Décidé à appliquer une taxe sur les billets d’avion, le gouvernement Benkirane risque de se tirer une balle dans le pied.

Selon la Heritage Foundation, le Maroc a connu un important déclin de la liberté économique ces dernières années.

La focalisation du gouvernement marocain sur l’équilibre comptable l’a poussé à choisir la solution de facilité : couper dans les investissements publics et augmenter les prélèvements.

Le remaniement du gouvernement au Maroc est marqué par la violation de l’esprit de la nouvelle constitution et le retour en force de la monarchie exécutive.

Avec la mise en pratique de l’indexation partielle sur les produits pétroliers, le gouvernement Benkirane continue dans son jeu d’illusionniste.

Le vote d'un nouveau décret s’inscrit dans la continuité de préservation des privilèges de la haute classe militaire marocaine.

Les finances publiques marocaines sont dans un état critique et les emprunts se multiplient.

La cherté du foncier est due à une rareté artificielle et une spéculation provoquées par une politique foncière inadaptée, une bureaucratie étouffante et des réglementations mal pensées.

Pour lutter contre un déficit abyssal, le gouvernement Benkirane propose une stratégie d’économies de bouts de chandelles.

Les islamistes remportent les élections législatives au Maroc: ils devraient accéder au gouvernement et le diriger