Voulant rassurer un électorat féminin qui lui fait défaut, le républicain s’est mué en « pro-choice ». Une stratégie sur laquelle il est vite revenu après avoir été vertement critiqué par les évangéliques, prouvant la difficulté pour la droite populiste américaine de trouver un équilibre sur le sujet.
Par Alexandre Mendel
L’arithmétique électorale américaine est une science de laboratoire. Un mauvais dosage de promesses, un mélange de stratégies non miscibles entre elles, et vous voilà à devoir refaire le retard que vous pensiez...
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Comment expliquer qu’un journal prétendument économique comme Les Echos soutienne des positions outrancièrement social-démocrates ? Idem pour un journal prétendument libéral comme Le Figaro. Leur traitement malveillant de Trump ou de Milei laisse très songeur. On aurait au moins pu s’attendre à un traitement équilibré, alors qu’ils nous proposent une analyse similaire à celle de L’Humanité ou du Monde. Le problème est que cela empêche d’éclairer l’opinion publique de manière contradictoire sur les enjeux économiques.
Le Figaro et les Echos sont passés à gauche par peur de se démarquer du gauchisme de la soi-disant élite française. Les jeunes journalistes sortant de écoles sont encore plus gauchistes que leurs aînés!
D Trump n a rien d un libéral puisque son outil économique préféré est le protectionnisme comme les populistes même s il souhaite baisser les impôts
C est un attelage baroque, assez éloigné de la politique du président argentin, qui ne peut conduire qu à des contradictions puisque le protectionnisme est inflammatiste tout en relançant la machine économique !!!!