Tranches de vie ordinaires en République Démocratique (et Populaire) Française, imaginées mais pas dénuées de réalité – Épisode 8 : « Pucé gros, pucé bête. »
Par h16 et Baptiste Créteur.
Pour qu’une société fonctionne, il faut à la fois une police efficace, de proximité, et aussi mais surtout des citoyens vigilants et respectueux de toutes les myriades de petites lois qui s’accumulent par centaines pour garantir le vivre-ensemble républicain. Heureusement, parmi ces citoyens vigilants et respectueux, il y a Julie.
Julie, c’est une battante. Compte-tenu de son chômage qui s’éternise, de sa vie amoureuse qui merdoie mollement depuis que François a de façon presque officielle décidé de la larguer, elle a pris récemment une grande décision : partir vivre au Canada, pour trouver là -bas un système plus propice à son épanouissement.
Elle a tout préparé, planifié, au mieux. Ses maigres économies ont servi à acheter :
- un billet Air Canada vers Toronto
- un ticket de RER Cergy-Paris-Roissy Charles de Gaulle,
- un sandwich au thon
Il ne lui reste que de quoi tenir une semaine sur place où, paraît-il, trouver un emploi est beaucoup plus simple qu’en France pourvu qu’on accepte les petits boulots. Ça tombe bien : Julie est prête à s’adapter, et ce même si elle a un bac +5 en géographie. Elle n’emporte avec elle que le strict nécessaire, et son chat qui, contrairement à son ex, François, lui a toujours été fidèle.
Surprise en arrivant à la station de RER : son ticket ne lui servira pas. Comme l’air de Paris est tout plein de Particules Microscopiques qui tuent, les transports en commun sont gratuits et seules les voitures impaires circulent (les paires polluent trop). Julie ne peut s’empêcher de noter qu’avec la circulation routière alternée, les voitures se mettent au diapason du RER qui, lui aussi, est souvent alterné. Elle sourit : bientôt, tout ceci sera derrière elle.
Elle s’installe dans le wagon malodorant, sa valise et son chat en cage à côté d’elle. Comme elle est hors des heures de pointe, elle trouve un peu de place. Au bruit lancinant des bogies s’ajoute celui, nasillard, d’une musique particulièrement mauvaise de deux jeunes au regard bovin qui écoutent leurs grésillements d’une oreille distraite. Cela aussi, Julie se réjouit intérieurement de le laisser derrière elle.
Voilà sa station. Elle doit effectuer une correspondance et la voilà donc dans les couloirs aux nombreux escaliers, avec son sac, sa valise et son chat qui miaule, vaguement inquiet. Au troisième escalier à gravir, lassée, elle pose ses fardeaux. Un trentenaire fringant s’arrête et, spontanément, lui propose un coup de main. Julie ne connaît que trop bien les mÅ“urs parisiennes et sait que, parfois, ce qui était un coup de main se termine par une course poursuite contre un voleur de valise. Elle refuse, poliment d’abord. Mais l’homme insiste une première fois, puis une seconde. Julie se trouve obligée de l’envoyer paître sèchement pour s’en débarrasser, puis reprend sa pénible ascension.
L’homme reprend donc sa route mais, après quelques pas, s’interroge : et si cette femme un peu rustre transportait, dans sa grosse valise louche, des objets interdits ? Et si son chat transportait une arme biologique ? Et si, plus simplement encore, elle était sans papiers ? La sécurité, c’est aussi des citoyens vigilants. Il prévient donc discrètement la police, qui, puisqu’on n’a pas vraiment besoin d’elle, n’est justement pas très loin.
Julie est interceptée sur le quai, juste avant d’entrer dans le RER qui allait l’emmener à l’aéroport. Heureusement, elle connaît bien la fiabilité des transports en ÃŽle-de-France et a donc prévu une solide marge, préférant attendre des heures à l’aéroport que tenter le diable qui a furieusement tendance à se jeter sur les rails ou à ronger les caténaires actuellement. Mais les choses se compliquent.
En effet, suite à l’intervention française dans différents pays d’Afrique stratégiquement douteux, et conséquemment à un sentiment de haine entretenu par une diplomatie française tantôt repentante, tantôt belliqueuse, tantôt gaffeuse, toujours mafieuse, le plan Vigipirate oscille à présent entre lie-de-vin et grenat. La police ne prend donc aucun risque et isole rapidement la voyageuse à laquelle il est promptement demandé de garder les mains en évidence et justifier de son identité.
Alors qu’elle commence à s’énerver de tant de moyens déployés contre elle, elle tente de sortir son portefeuille pour se retrouver immédiatement immobilisée par une clé de bras zélée récemment apprise par le fonctionnaire trop heureux d’appliquer sans risque les Gestes Techniques Professionnels d’Intervention En Milieu Hostile. Son chat panique, s’énerve, crache. Les fonctionnaires semblent un instant désemparés : personne n’a été formé pour manipuler les félins dangereux (et potentiellement toxiques).
Toutefois, le portefeuille tombé, un agent vérifie l’identité de Julie, ainsi que le motif évoqué de son déplacement ; le contenu de la valise est décrit, afin que la brigade de déminage – déjà en route – puisse en vérifier l’exactitude et l’exhaustivité.
Il ne lui faudra qu’une quinzaine de minutes pour arriver et détailler avec minutie le contenu de la valise, dont les sous-vêtements de Julie, qui déclencheront les inévitables blagues de bon goût, tout en faisant perdre son temps à la pauvre voyageuse, qui – erreur – s’impatiente vocalement. Immédiatement, agents et démineurs s’accordent à dire qu’elle devrait plutôt se mêler de ce qui la regarde et éviter de faire déplacer des agents pour rien.
Julie est excédée, et commet l’irréparable : calmement mais fermement, elle exprime le caractère inacceptable d’un examen aussi minutieux des étiquettes de ses soutiens-gorge, qu’elle trouve déplacé, autant que la proposition par l’un des agents d’échanger leurs numéros. Piqué au vif, ce dernier rougit et décide que, puisque c’est comme ça, un examen vétérinaire approfondi du grondant greffier s’avère nécessaire, ma petite dame, non mais alors. Le sang de Julie ne fait pas même un tour en comprenant que ces nouvelles péripéties risquent de lui faire rater son vol. Elle émet un petit couinement en ce sens devant une maréchaussée aussi goguenarde qu’obtuse qui lui répond sobrement qu’“on ne plaisante pas avec la sécurité”, assorti d’un “papiésiouplait” lancé dans la direction de la cage de l’animal qui continue à protester.
Ses papiers sont en règle, mais ça ne suffit pas à convaincre les agents qui, manipulant l’habitacle en plastique dur du félin, partent à la recherche d’un tatouage, qu’ils n’ont pas trouvé dans l’oreille du félin puisqu’il est en réalité doté d’une puce électronique. Pas de tatouage ? C’est louche, ma petite dame. Le félin surenchérit en s’agitant au point de faire tomber plusieurs fois sa propre cage des mains du policier. Julie, consternée, assiste au spectacle et tente quelques explications embrouillées par l’émotion de voir son fidèle compagnon bousculé de la sorte. Explications qui ne suffiront pas à lui éviter un passage par le poste de police, le temps que la brigade trouve parmi les collègues l’heureux propriétaire d’un autre matou pucé, qui confirmera les bredouillements de Julie.
Elle est donc libre, mais encombrée de ses paquets et de son chat, et doit retourner aussi vite que possible à la station de RER… qui n’en finit pas de ne pas arriver : un incident technique provoque l’arrêt de tout trafic à destination de l’aéroport pendant plus d’une heure. L’encombrement du train suivant obligera Julie à redoubler d’imagination pour réaliser un tétris parfait avec ses bagages dans la masse compacte de voyageurs agglutinés dans la rame. Moyennant quelques pieds écrasés et la gêne provoquée par l’odeur d’urine de son chat qui, apeuré, se sera malencontreusement lâché en cours de route, elle arrivera à Roissy trois heures plus tard que prévu, au bord de la crise de nerfs.
Techniquement, l’horaire est sans appel : son avion est parti. Dans la réalité, une grève impromptue d’une certaine catégorie de bagagistes aura fort opportunément retardé son départ, et, moyennant un sprint phénoménal qui la fera arriver gluante et à bout de souffle dans la cabine d’un avion déjà plein, elle pourra finalement décoller vers sa destination, assurée, s’il le fallait encore, que partir était une bonne décision. Quant au matou, il considère désormais que pucé gros, pucé bête.
Vous vous reconnaissez dans cette histoire ? Vous pensez qu’elle ressemble à des douzaines de cas relatés dans certains livres et, parfois, dans la presse ? Vous lui trouvez une résonance particulière dans votre vie ? N’hésitez pas à en faire part dans les commentaires ci-dessous !
Très bien :
“Il ne lui faudra qu’une quinzaine de minutes pour arriver et détailler avec minutie le contenu de la valise, dont les sous-vêtements de Julie, qui déclencheront les inévitables blagues de bon goût, tout en faisant perdre son temps à la pauvre voyageuse”
“Elle refuse, poliment d’abord. Mais l’homme insiste une première fois, puis une seconde. Julie se trouve obligée de l’envoyer paître sèchement pour s’en débarrasser, puis reprend sa pénible ascension.”
“Comme elle est hors des heures de pointe, elle trouve un peu de place. Au bruit lancinant des bogies s’ajoute celui, nasillard, d’une musique particulièrement mauvaise de deux jeunes au regard bovin ”
D’autant que :
http://mentakingup2muchspaceonthetrain.tumblr.com/?og=1
http://projetcrocodiles.tumblr.com/post/64942224508
Mais l’article ne convainc pas car aucune femme ne peut se reconnaître dans le portrait de cette Julie présentée comme une “cruche qui bredouille, au bord de la crise de nerf, mamie à chat, bac+5 géo, sandwich au thon …. l’idée sous-jascente c’est de montrer qu’il faut être un homme pour partir à l’aventure…
(De toutes façon ces deux là ils ne peuvent pas s’en empêcher… ils sont irrécupérables, irrécupérables)
Quand le sage montre la lune l’idiot regarde ailleurs
vraiment un article machiste?
Peut être aurez vous noté que sur ce site on s’en prend plus aux fonctionnaires qu’aux femmes!
Il ne vous aura sans doute pas non plus échappé le ton caricatural de la prose.
pourquoi suis je en train de vous répondre?
Quand le sage montre la lune l’idiot regarde ailleurs…
Justement ! La critique des fonctionnaire est incontestable mais si vous lisiez la collection de billets vous verriez que je dis juste.
L’imbécile qui a alerté la police est un homme.
Je parie que les fonctionnaires décrits comme de pervers barbares sont des hommes.
C’est pas normal ça !
Les auteurs de l’article sont méchants avec les hommes, blah blah blah… ouin ouin ouin…
“L’idiot regarde le doigt”. Mais vu que tous les vôtres sont dans vos yeux, je comprends mieux votre imagination sans bornes…
Au passage, c’est bien une femme qui part à l’aventure au canada, dans le but d’améliorer grandement ses conditions de vie. Mais bon on a pas dû lire le même article.
http://www.contrepoints.org/2014/02/28/154802-made-in-france-e5-michele-na-pas-perdu-son-chat-mais-son-temps?
Une hymne à la femme au travail peut-être ? Faut-il que je rappelle les statistiques sur la précarité et le chômage des femmes.
http://www.ega-pro.fr/
“Une hymne à la femme au travail peut-être ?”
Non. vous ne savez manifestement pas lire. L’épisode 5 de made in France était une dénonciation des contraintes administratives pesant sur le travail en France et leurs conséquences sur les individus en général, les femmes en particulier dans l’exemple de l’article. Ici, le choix d’un personnage féminin ne sert qu’à faire ressortir la stupidité des fonctionnaires caricaturés, en leur donnant des réactions machistes. On aurait pu faire le même article avec un protagoniste masculin.
Le fait que vous ne le voyez pas et bloquiez sur le sexe du protagoniste, dont on se fout, en indique plus sur vous que sur l’article. Vous ne grandissez pas le combat légitime des féministe. Pire, vous êtes dans le cliché de la folle furieuse hystérique.
C’est ça et l’épisode 7 : et vlan pour Najat
http://www.contrepoints.org/2014/03/14/154206-made-in-france-e7-vous-navez-pas-le-doigt
Et l’épisode 6 : oh la belle image de la femme en lingerie !
http://www.contrepoints.org/2014/03/07/158245-made-in-france-e6-syndicat-ou-liste-le-dilemme-du-syndicaliste
Et l’épisode 4 : oh ! la femme en politique
http://www.contrepoints.org/2014/02/21/157191-made-in-france-e4-aurelie-de-mal-en-pis
En effet, j’ai confondu les deux épisodes. Cela ne change pas grand chose à mon propos.
En revanche, l’épisode 4 ne parle pas des femmes en politique (peut-être n’avez-vous lu que le titre, vu un nom féminin identique à celui d’une ministre et tiré des conclusions hâtives ?).
Mais je vous accorde qu’illustrer un passage sur la prostitution par un demotivator sur la prostitution , est évidemment la conséquence d’un complot patriarcal violent et misogyne.
Il est vrai qu’on caricature un peu trop les femmes dans les billets “Made in France”. Entre prostitution aux syndics, formations farfelues et sans aucun espoir de débouchés professionnels, crises de nerfs…
Cependant je ressens une certaine amertume en lisant les articles de Bénédicte Cart, qui respectent à 100% ces stéréotypes. D’ailleurs je suis sûre que l’idée du monsieur qui s’obstine à vouloir porter la valise vient de là : http://www.contrepoints.org/2014/02/22/157402-cherie-la-cueillette-ou-la-chasse
Il faut être objectifs. Exception faite pour Roseline Letteron, qui est en train de démontrer que Baptiste Créteur et H16 se trompent?
Va te faire soigner.
C’était pour Adèle donc.
Adèle vous êtes impayable ! Il va falloir faire un recueil de vos meilleures âneries. Cette contribution est absolument magnifique. Merci.
Tiens? Tiens Adèle n’est pas morte? Heuuu, je veux dire, elle nous gratifie encore de
“comment taire”? C’est vrai que Adèle morte sans noisettes brisées…
En fait c’est Arlette son prénom.
Comment elle doit être bonasse pour écrire des âneries comme ça. Je pense qu’en plus d’écrire des trucs sexistes ignobles, elle doit aussi être assez efficace pour repousser et révulser n’importe quel prétendant.
En gros, nous sommes face à une vieille fille, qui selon moi a passé l’âge de la 50 ne et doit toujours être vierge.
Les trolls ne font pas partie des Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Trans-sexuels.
Le mariage est donc impossible pour Adèle; Et c’est cette discrimination inacceptable,
qui a instillé ce “ressenti” (novlangue) intolérable parmi “les personnels” (novlangue)
de son administration ou de son association; Malheureusement pour nous (mais pucé gros, pucé marrant, aussi), Adèle aux fins d’exister socialement, trolle les forums et les commentaires en espérant faire glisser le participant avec des commentaires de savant de Marseille.
Pas de chance pacsée depuis 2 ans 😉 😉 😉 et sans doute pas grâce à votre action politique.
je réponds parce que je suis poli, car au fond c’est inutile. Vous n’êtes là sans doute que pour avoir l’impression d’exister. A mon avis, nous n’avons pas besoin de vous. Nous savons tous, ici, que des gens comme vous existent.
Ce que j’écrivais pour votre non mariage était une blague, histoire de révéler d’autres choses…
Il ne fallait pas regarder le doigt, mais la Lune.
Message de modération :
@Adèle :
Le flooding et le trolling sont interdits sur Contrepoints.
Merci de cesser de faire dévier systématiquement dans les commentaire les débats sur des HORS-SUJETS.
Le sujet de cet article ne porte PAS DU TOUT sur la place des femmes.
Premier avertissement avant bannissement.
Golum: “elle doit aussi être assez efficace pour repousser et révulser n’importe quel prétendant.”
Elle arrivait a susciter des réactions agressive même dans le bus selon ses propres dire.
Une sale personne, avec un gros problème psy.
@ Adele :
“Mais l’article ne convainc pas car aucune femme ne peut se reconnaître dans le portrait de cette Julie présentée comme une « cruche qui bredouille, au bord de la crise de nerf, mamie à chat, bac+5 géo, sandwich au thon …. l’idée sous-jascente c’est de montrer qu’il faut être un homme pour partir à l’aventure…”
La photo au début de l’article laisse penser que Julie est un cruche, je suis d’accord sur ça.
Au fur et à mesure de la lecture, mon opinion sur ce personnage à par contre changé. C’est une jeune femme courageuse (prête à tout quitter pour partir à l’aventure) et débrouillarde qui est décrite ici.
L’idée sous-jacente de l’article n’est pas qu’un homme s’en serait mieux tiré (un homme aussi bredouille quand on lui plante un fusil d’assaut sous le nez alors qu’il n’a rien fait) mais plutôt que même si on est prêt à prendre sa vie en main et à tenter de s’en sortir, l’état nous pourrira la vie jusqu’au bout.
Attention je concéde que c’est plus ou moins subtile. On ne peut pas dire que cet article est ostensiblement sexiste. Mais il contient des effluves
Pour moi le parallélisme entre la lingerie de cette voyageuse et la photo de l’article http://www.contrepoints.org/2014/03/07/158245-made-in-france-e6-syndicat-ou-liste-le-dilemme-du-syndicaliste est frappant.
On retrouve ce phénomène dans la publicité, par exemple, ou dans les films.
C’est plus ou moins conscient chez les personnes qui utilisent les stéréotypes et c’est un des combats du féminisme de les pointer.
En celà le travail que fait le CSA actuellement est bon en pointant les propos sexistes systématiquement (ex commentaires lors des JO).
C’est comme la délinquance : zéro tolérance et on obtient des résultats.
Moi même je me surprends parfois à avoir des stéréotypes vis à vis des hommes. J’évite mais ça peut arriver. Le problème c’est que notre société est tellement patriarcalisé qu’on s’en aperçoit pas. Par exemple dans le film Her ou j’ai fait des commentaires personne n’a vu le lien machine/femme-objet et il a fallut que je cite une critique de presse qui allait plus loin que moi pour qu’on cesse de me dire que j’étais folle. https://www.contrepoints.org/2014/03/19/155579-her-un-film-qui-va-diviser-les-spectateurs
Bref je suis convaincue qu’il faut dépatriarcaliser le libéralisme et son discours.
Peut-on le faire par la théorie générale du libéralisme ? C’est tout mon questionnement…. j’y travaille et j’étudie bcqs ce sujet.
“Bref je suis convaincue qu’il faut dépatriarcaliser le libéralisme et son discours.”
Le libéralisme est patriarcal parce qu’un article humoristique utilise des clichés sur les femmes dans un but humoristique ?
Vous avez un gros problème.
ça y est! j’ai compris! H16, pour vérifier l’efficacité de la modération, a changé son pseudonyme en Adèle!
Donc inutile de mordre à l’hameçon, adressez-vous à Adèle en sachant que c’est H16!
Bravo H16! Je n’y aurais pas pensé! Ils sont forts ces libéraux!
Si ceci pouvait s’appliquer au gouvernement……
Si M. Le Honzec et son humour assassin avait fait la même chose, jamais je n’aurais pu découvrir
“le poteau rose”!
Cela écrit, je ne compare pas la fausse Adèle à un poteau.. 🙂
“De toutes façon ces deux là ils ne peuvent pas s’en empêcher… ils sont irrécupérables, irrécupérables” : sans vouloir vous offenser, à mon humble avis, c’est vous qui êtes irrécupérable
Si vous passiez à mon cabinet, je serais ravi de vous prescrire quelque chose.
Adèle… vous commencez a sérieusement nous briser menu les ovaires à force de voir du machisme imaginaire partout. A ce stade, faut en parler a un psychiatre… les délires de persécution et la paranoïa, ça se soigne. Vous nous (les autres femmes) collez la honte…
Ca me rappelle un retour du Japon arrivant à Roissy, vol parfait à bord d’un A380, d’où je pris le RER pour aller à Antony. Le train s’est arrêté à La Plaine St-Denis si j’ai bonne mémoire. Il a fallu prendre un tramway pour aller reprendre un autre RER qui arrivait à la gare du Nord afin de retrouver le RER B. Temps total du trajet 3h30. Après 12 heures de vol et les tracasseries stupides à l’immigration puis l’attente des bagages, sempiternels à Roissy, ça l’a bien fait. La dernière fois que je suis arrivé à Roissy en provenance toujours de Narita, à bord d’un B777 cette fois, à 4 heures du matin dans cet aéroport de merde, on ne sait pas où on est, j’ai pris un taxi (grève du RER de toute façon), coût de l’opération 100 euros ! Dorénavant quand je vais au Japon depuis Tenerife où j’habite (et grand bien me fasse), je ne passe plus par Roissy. J’ai définitivement opté pour Amsterdam ou Rome et dans le pire des cas Heathrow.
Chat, c’est mâle. Vous êtes des gros machos…blabla
Chatte, vous êtes des gros cochons, blabla.
Adèle, vous faites du tord aux femmes, honte aux hommes et fuir les petits chats.