Le regard de René Le Honzec.
Depuis le début de ces mouvements populaires qui tranchent sur les manifs conventionnelles et compassées (banderoles et cocktail molotof) des syndicats institutionnels, toute la gauche frigide-barrée, outrée de voir ses plates-bandes piétinées par d’autres godillots que ceux des prolétaires de la fonction publique essaye désespérément de transformer en hordes de néo-nazis les honnêtes citoyens contribuables des Manifs Pour Tous. Valls ose s’interroger pour une éventuelle interdiction (comme au Trocadéro ?) et les médias de l’establishement se la jouent frissonnant d’angoisse et de dégoût quant à ces manants d’une France profonde dont ils avaient fini par se persuader que seuls quelques militants faucheurs de Mac-Do ou d’aéroport en étaient les derniers authentiques exemplaires-verts-j’espère. Ben, non, ils sont roses… et bleu.
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