Comment sortir la France et l’Europe de l’ornière ?
Quels vrais remèdes après la fausse austérité (faustérité) que les politiques imposent à tout sauf à la dépense publique ?
Pour y répondre Contrepoints vous propose de rencontrer lors de débats exceptionnels le samedi 15 juin à Paris de grands spécialistes et praticiens du sujets : économistes, anciens ministres, philosophes, politiques ou acteurs de la société civile.
Un programme de grande qualité pour identifier les meilleurs pistes de réformes pour la France et l’Europe, et annoncer officiellement le lancement d’un mouvement paneuropéen pour la segmentation contrôlée de la zone euro.
Pour vous inscrire et le détail du programme, tout se passe à cette adresse !
Programme prévisionnel :
9h – Grand débat : La politique fiscale du gouvernement françaisÂ
Débat sur les sujets qui font l’actualité dont notamment les nouvelles taxes et la crise économique et sociale avec 4 représentants de partis politiques.
10h – Conférence de presse : Lancement du Manifeste pour la Solidarité Européenne
Un groupe d’économistes du nord, du sud de l’Europe et de pays non-membres de la zone euro présentera une stratégie pour une segmentation contrôlée de la zone euro afin d’aider l’Europe du sud et sauver l’Union européenne et le Marché commun.
Modérateur : Jean-Jacques Rosa (Sciences Po Paris)
Intervenants : Hans-Olaf Henkel (ancien président de la Fédération des industries allemandes), Stefan Kawalec (ancien vice-ministre des finances polonais), Brigitte Granville (Université Queen Mary de Londres), Alfred Steinherr (ancien économiste en chef de la Banque européenne d’investissement)
11h – Panel 1 : Baisser les dépenses publiques
Redéfinir le fonctionnement de l’État, des collectivités locales, des retraites, de l’assurance-maladie et de l’assurance-chômage.
Intervenants : Jean-Michel Fourgous (maire d’Élancourt, ancien député), José Piñera (International Center for Pension Reform), Dan Mitchell (Institut Cato), Pierre Garello (Université Paul Cézanne), Edward Stringham (Université Fayetville)
12h – Panel 2 : Libérer la croissance
Assouplir les contraintes fiscales et réglementaires qui pèsent sur le développement des entreprises et de l’emploi, simplifier l’administration afin de laisser la société se réinventer.
Intervenants : Enrico Colombatto (Université de Turin), Barbara Kolm (European Coalition for Economic Growth), Nicolas Lecaussin (Institut de Recherches Économiques et Fiscales), Erich Weede (Université de Bonn)
Pour vous inscrire, tout se passe à cette adresse !
Et les représentants des contribuables, il n’y a pas que l’économie! C’est à chacun de se prendre en charge pour sortir son pays du marasme!
De toute façon on ne coupera pas à ces réformes…
http://www.magtuttifrutti.com/article-recession-debut-de-la-fin-ou-second-souffle-117813264.html
Le sujet a l’air interessant, mais je voudrais poser quelques questions.
Vous dites : “grands spécialistes et praticiens du sujets : économistes, anciens ministres, philosophes, politiques ou acteurs de la société civile.”
Les economistes : aucun d’entre eux n’a vu arriver la crise et depuis 2008 aucun d’entre eux n’a de solution. Quand a prevoir l’avenir,…..soit ils mentent, soit ils possedent une machine de science-fiction.
Les anciens ministres : ils viennent pour faire leur mea culpa de leur gestion desastreuse? Depuis quand un budget deficitaire depuis 40 ans permet d’avoir des comptes equilibres?????
Les philosophes : sans doutes auto-proclames. Ma concierge pourra sans doute venir participer, non?
Les politiques ou acteurs de la société civile : ….no comment….. (inutile de mettre en marche la clim, avec tout l’air qui va etre brasse, on ne va pas creuver de chaud).
PS : j’ai prefere ne pas commenter les termes “grands spécialistes et praticiens du sujets”,…. je suis trop gene pour vous.
BRAVO! Aux commentateurs je dirais: il est important de ne pas jeter toutes les critiques à la tête de l’organisateur AVANT même que le débat n’ait eu lieu. Le simple fait que Contrepoints en soit le producteur est un gage de qualité exceptionnelle à mes yeux. Je ne pourrai pas y assister mais je le regrette infiniment.