Je n’ai jamais oublié que l’objectif inavoué du socialisme – municipal ou national – était d’accroître la dépendance. La pauvreté n’était pas seulement le sol nourricier du socialisme : elle en était l’effet délibérément recherché.
Margaret Thatcher, une femme politique britannique, présidente du Parti conservateur de 1975 à 1990 et Premier ministre du Royaume-Uni de 1979 à 1990. Attachée à la souveraineté britannique, à la protection de l’intérêt de ses administrés et aux principes de droit, elle mena une politique étrangère déterminée, marquée par l’opposition à l’URSS, la promotion de l’atlantisme et la défense des intérêts britanniques lors de la guerre des Malouines en 1982 ou face à l’Europe. Sa politique économique, fortement influencée par les idées libérales, fut marquée par d’importantes privatisations, dérégulations, par la baisse de la pression fiscale et la fermeté face aux syndicats. Elle reste associée à la « révolution conservatrice » des années ’80 et à l’ère de révolution idéologique qu’elle lança.
Je ne crois pas que les socilaistes aient comme objectif la pauvreté mais l’enfer est pavé de bonnes intentions.
Ainsi F Mitterrand a été élu en 1981 sur un programme de justice sociale et de lutte contre le chômage. Au bout de presque deux septenats, la différence entre les catégories les plus aisées et les plus pauvres avait snesiblement augmentée en France ainsi que la proportion de salariés au smiig ou proche du smig. Par contre accroître la dépendance par le biais de l’Etat est un objectif avoué jusqu’à aujourd’hui (voir les emplois jeunes et toutes sortes de mesures qui vont dans le même sens).
« Ce n’est pas en appauvrissant les riches qu’on enrichit les pauvres. » (P. Salin)
Personnellement, j’ai toujours pensé qu’effectivement l’intérêt électoral du socialisme était la pauvreté.
Si les gens commencent à s’enrichir, ils ne votent plus à gauche.
Ou alors ils agissent par réelle conviction.
@Ray : Mme.Tatcher parle de l’idéologie même du socialisme, en opposition avec le libéralisme reposant sur la réussite personnel, et duquel il est possible (selon elle) de se détacher. (Vous verez je le suppose facilement l’opposition avec le socialisme économique, qui rend, il est vrai, tout le système dépendant de l’Etat).
De plus, votre thèse est obsolète : il est reconnu de par tous les analystes politique que le vote des classes populaires se dirige principalement vers l’extrème droite, voir même la droite libérale avec N.S en 2007 qui a obtenu une partie du vote des classes populaires avec son « Travailler plus pour gagner plus ».