NTIC et révoltes arabes

Cet élément constitutif du pouvoir qu’est l’information est désormais à la portée des individus et, plus encore, des groupes

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NTIC et révoltes arabes

Publié le 11 février 2011
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L’impact des TIC sur les modes de production du politique avait déjà été notée aux Etats-Unis ou en Chine, mais leur rôle central dans les révolutions de Tunisie et d’Egypte révèle l’ampleur du changement de paradigme.

Certes la cause première de celles-ci est le ressentiment, la frustration, l’aliénation de larges parties de la population. Mais comme dans une réaction chimique, la révolution numérique est le catalyseur des révolutions politiques.

En permettant à des individus isolés, atomisés, impuissants face à un régime répressif, de s’associer, de se regrouper, de se mobiliser, elle donne une dimension nouvelle à la définition, proposée par Hannah Arendt, de l’essence du politique comme la capacité humaine à ne pas simplement agir, mais à « agir de concert ».

Lire la suite de « Révolution numérique » et révolutions politiques, par Pierre Buhler, sur le site de Telos.

Ce paragraphe a été reproduit avec l’autorisation de Telos.

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Pourquoi pas, en effet ? De toute évidence, malgré les exactions de Y, les coûts attendus de la rébellion doivent dépasser ses bénéfices attendus.

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