Supprimer le logement social pour résoudre la crise du logement

Le logement social est la source d’une multitude d’effets pervers qui pénalisent tous les foyers, surtout les plus modestes, et aggravent la crise du logement.

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Supprimer le logement social pour résoudre la crise du logement

Publié le 28 septembre 2012
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Le logement social est la source d’une multitude d’effets pervers qui pénalisent tous les foyers, surtout les plus modestes, et aggravent la crise du logement.

Par Charles Beigbeder, Aurélien Véron, Anne Bourdu et Vincent Bénard, conseillers nationaux du Parti Libéral Démocrate.

Les députés ont adopté le relèvement de 20 à 25 % du taux obligatoire de logements sociaux dans les communes des territoires SRU. Par contre, les effets pervers des HLM sont complètement occultés.

Tout gouvernement se doit d’afficher de généreux objectifs en matière de construction de logements sociaux. Madame Duflot a annoncé qu’elle allait renforcer la proportion exigible de HLM au titre de la loi SRU, sous peine d’amendes surmultipliées pour les communes fautives. L’État jacobin entend ainsi interdire à des élus locaux d’envisager d’autres solutions que la construction sociale pour résoudre la crise du logement. Après 50 ans d’échecs en la matière, le pays compte plus de 700 000 personnes sans domicile et 3 000 000 de personnes en logement insalubre.

Ne serait-il pas temps de se demander si au lieu d’être la solution, le logement social ne serait pas une grande partie du problème ?

Laissons de côté les graves erreurs urbaines commises dans les années 1950 à 1970. Elles nous laisseront pour des générations les stigmates de plusieurs centaines de cités pudiquement appelées difficiles, où le droit républicain ne s’exerce plus. Feignons d’admettre pour le moment que la construction sociale actuelle, empreinte de mixité sociale et d’intégration dans des quartiers existants, évite de reproduire les même travers. Même sous ces hypothèses favorables, le logement social reste… anti-social.

 

Des effets pervers en pagaille

Le logement social est par définition un bien subventionné proposé en dessous de ce que serait son loyer au prix du marché.

Il en résulte naturellement une demande bien supérieure à l’offre. Depuis plus de 20 ans, la presse mentionne régulièrement une liste d’attente supérieure à un million de foyers pour un parc social de 4,5 millions d’unités. Ce n’est pas le passage de 100 à 120 000 logements sociaux annuels qui changera la donne.

En outre, la subvention est encapsulée dans le logement. Même en affectant de croire que toutes les attributions initiales soient dénuées de passe-droit – ce que conteste régulièrement la Mission interministérielle d’inspection du logement social dans ses rapports – les ménages concernés voient souvent leurs revenus augmenter mais ne sont alors jamais priés de quitter les lieux pour laisser la place à des ménages plus modestes. Les offices HLM ont besoin de ces ménages bon payeurs de loyers pour équilibrer leurs comptes et produire de nouveaux logements et les élus qui président les OPHLM ont besoin de leurs voix ! Ceci explique qu’une bonne moitié du parc social soit occupée par des ménages qui n’auraient rien à y faire tandis que des millions de foyers modestes sont condamnés aux taudis. Qui peut prétendre qu’un tel gaspillage de ressources est social ?

Ajoutons que pour conserver les ménages bon payeurs dans leur parc les OPHLM leur attribuent les bons logements, ceux de la mixité sociale. Les pauvres ? Les étrangers ? Dans les cités ! En 2001, le rapport Simon-Kirzbaum dénonçait déjà ce phénomène et rien n’indique que la situation a évolué. Inutile d’insister sur les innombrables effets pervers de la formation de ghettos sociaux pour la collectivité.

Enfin, une personne ayant la chance d’occuper un bon logement social fait tout pour le garder car elle sait que ce sera plus dur pour elle d’en obtenir un autre. Par conséquent, la détention d’une HLM est un obstacle fort à la mobilité géographique en cas de perte d’emploi. Le fonctionnement du logement subventionné nuit à la lutte contre le chômage. Le système est indéfendable.

 

Changer de paradigme

Il existe pourtant un moyen efficace de loger les plus démunis : laisser faire le marché à condition bien sûr de le libérer des verrous qui l’empêchent de fonctionner, notamment celui du foncier.

Les États du centre du Canada et des USA fonctionnent encore ainsi : tout terrain étant par défaut constructible, sous la seule contrainte de quelques règles de bon sens (respect du voisinage et de l’environnement), les ménages les plus aisés peuvent se construire facilement les logements correspondant à leur niveau de vie à des prix restant sages. Résultat : les logements anciens voient leur prix diminuer, offrant aux ménages à bas revenus des toits de confort correct à des prix accessibles et limitant le besoin d’intervention sociale de la collectivité aux seules situations d’urgence.

Parvenir à cette situation suppose de privatiser le logement social actuel. Pour être politiquement acceptable, une telle opération ne peut se faire qu’au bénéfice de ses occupants, comme dans les anciens pays de l’est. Comment ? En transformant leur loyer actuel en mensualité de remboursement des prêts contractés par les offices HLM pour construire ces logements. Les occupants modestes de logements en mauvais état, mal situés, ne paieront presque rien. Ils seront incités à redorer l’image de leur propriété au bénéfice des cités difficiles. Ceux qui occupent un logement neuf très bien situé paieront davantage,mais pourront toujours revendre leur bien et trouver moins cher si la mensualité excède leurs capacités.

Se débarrasser des mauvais réflexes n’est pas facile mais abattre le paradigme dominant du logement social est le seul moyen d’améliorer durablement et à moindre coût la situation des familles les plus mal logées.

Vincent Bénard développe ces idées dans un ouvrage Logement, crise publique, remèdes privés, disponible gratuitement en ligne.

Paru initialement sur Atlantico

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  • Ces libéraux sont encore plus socialistes que les écolos socialistes sur base état providence et redistribution , actuellement aux manettes . Ainsi , ils considèrent , en gros  » que tout terrain étant par défaut constructible  » on peut règler la crise de logement avec la contrepartie qui veut que la vente des Hlm soit assise sur le loyer actuellement payé …
    C’est du socialisme à faire rêver un fonctionnaire élu et socialiste français ou Chinois , qui voudrait que ce soit le fonctionnaire qui décide quand la terre doive être constructible ou non …
    D’autre part , la plupart des habitants d’Hlm ne payant qu’un faible loyer , le reste étant des aides , de l’APL , des transferts sociaux , cela revient à fixer dans le bronze l’actuel assistanat …

    Ces libéraux m’ont tjrs interpellé !!!

    • Où voyez-vous un passage qui dit que c’est l’Etat qui doit décider de ce qui est constructible ou pas ? Copiez-collez le ici, qu’on le voie. Merci.

      • ???? mais » tout terrain étant par défaut constructible  » , cette notion , appliquée en France socialiste , signifie simplement que , comme en Chine , in fine , le terrain appartient à l’état et que c’est le fonctionnaire qui décide de son affectation , je suis surpris , qu’en tant que libéral , vous ne l’ayez pas compris ( libéralisme socialisme , même combat ?)

        • volna : « mais » tout terrain étant par défaut constructible  » , cette notion , appliquée en France socialiste , signifie simplement que , comme en Chine , in fine , le terrain appartient à l’état et que c’est le fonctionnaire qui décide de son affectation  »
          ———————————–
          « Tout terrain étant par défaut constructible » signifie que c’est le propriétaire et le tribunal (en cas de litige) qui décide de son affectation, pas le fonctionnaire.

          Bon, à part votre mauvaise compréhension du français, vous avez quoi vraiment comme argument crédible contre une libéralisation du marché du logement ?

          • Vous plaisantez quand vous dites que c’est le propriétaire et le tribunal ( en cas de litige ) qui décide et pas le fonctionnaire …Actuellement , le ministre du logement prépare une forte surtaxation pour les terrains vacants et urbanisables ( souvenez vous d’une surtaxation de quelque
            1000 % mise en place au niveau terrain vacant par le maire d’une ville de la Nièvre ) . Quel est le but de cette surtaxation , selon vous ( sinon , libèrer du foncier privé , contre l’avis du propriétaire ) …Il faut un petit peu voire plus loin que le bout de son nez , les libéraux …

            Renseignez vous sur les questionnaires qu’envoient actuellement les Safer pour les terrains en périphérie des villes !!!

            Désolé pour Minitax et Nick , j’ai une bonne compréhension et lecture du français ( peut -être mon apprentissage de la lecture par la méthode syllabique ) mais ces rapprochements objectifs socialistes / Libéraux questionnent !!!

        • Justement, les autorités ne décident pas.

    • Comprenez que la situation actuelle profite à trop de gens pour qu’on décide que hop, allez zou, tout les HLM à des loyers normaux ! On peut en rêver, mais les rapports de force politiques ne le rendent pas possible.
      Alors je comprends que ça ne vous plaisent pas, mais la seule solution qui permet de faire cesser le renouvellement du scandale c’est de sédimenter le scandale existant

    • Volna, vous dites n’importe quoi !

  • Le bon sens et la vraie vie sont en contradiction parfaite avec la dictature politico bureaucratique qui régit en France de nombreux domaines, dont celui-ci.
    Les intérêts des élus locaux, fonctionnaires, dirigeants des sociétés HLM et « bénéficiaires » des « logements sociaux » vont à l’encontre de l’intérêt de la nation.
    Ça ne fonctionne pas et bien poursuivons en y consacrant encore plus de moyens confisqués aux contribuables et qui seraient bien plus utile ailleurs !

  • Si une partie du constat est bon, la solution me fait doucement rigoler.

    Prendre les USA en exemple pour loger les plus démunis après la crise des subprime et les millions d’américains qui se sont retrouvés à dormir dans leur voiture ou dans la rue, il faut être aveugle ou de mauvaise foi.
    D’autre part, le concept du « tous propriétaires » comme solution au problème date du 19ème siècle, et était à l’époque mâtiné de parternalisme. Déjà au 19ème des voix s’élevaient contre ce concept, qui entravait la mobilité professionnelle des plus pauvres (et pourtant ils n’avaient pas la crise financière actuelle….). Je vous invite à ce sujet à comparer la part de propriétaires dans la population en Europe : il y en a le moins dans les pays les plus riches (Allemagne, Danemark, …), et le plus dans les pays du Sud (le record étant en Espagne, je vous laisse vous en faire votre propre opinion).

    La solution serait peut-être de faire accepter l’idée qu’un logement social n’est pas un logement « normal », en facilitant la mobilité interne au parc :
    – facilité la sortie du parc pour ceux dont les revenus ont augmenté (actuellement le délai de 3 ans est bien trop long).
    – facilité la mobilité par « échanges » de logements entre les occupants en sous-occupation et ceux en sur-occupation.

    Pour conclure, je vous invite à lire ce livre, très éclairant sur les raisons qui ont poussé à la création du logement social : « Les origines du logement social en France 1850-1914 » http://www.paris-lavillette.archi.fr/leseditions11/?p=10

    • Un paragraphe a sauté: « les états ou la constructibilité du foncier dépend d’un processus administratif long et restrictif ont vu leurs prix s’envoler ».

      • @volna
        Vous m’interessez quand vous dites que les SAFER envoient actuellement des questionnaires pour les terrains en périphérie des villes. C’est « bassement » intéréssé car je posséde actuellement 10 000 m2 de terrain dans une station balnéaire de la côte atlantique et une enseigne de supermarchés serait intéréssé mais le maire refuse de rendre mes terrains constructibles car il pretend avoir sur le dos les SAFER qui l’en empêche.
        C’est quoi cette histoire de fous ?
        D’autant plus que j’habite à 500 kilomètres de là et je n’arrive pas à suivre toutes les magouilles locales.Mais c’est sûr que si j’arrivais à vendre pour un supermarché, je pourrai me constituer une très belle rente.

        • Oui , enquête de la Safer , il y a un an environ , pour se renseigner de ce que je voulais faire d’un terrain ( champ ) à un km d’une grande ville ;;;

        • J’ajoute que cette enquête de la Safer a été diligentée à la demande du bon maire socialiste de cette bonne ville , nous nouys étions posé une foultitude de questions !!!

    • Merci d’avoir pris le temps de répondre, cela fait plaisir.

      Concernant la chéreté du foncier en zone tendue : ne faudrait-il pas obliger les maires à augmenter le COS dans les quartiers pavillonnaires ou peu densifiés (prenez Colombes par exemple) ?

      A la lecture de votre article de 2008 sur le logement social, je pense que vous avez quelques a priori négatifs sur le monde HLM, pas totalement injustifiés je vous l’accorde, mais qui frisent la caricature. Je ne sais pas si la loi MOLLE a fait évolué votre point de vue à ce sujet, mais sachez qu’on ne peut pas jeter dans le même panier les 800 organismes HLM (je serais d’accord si vous trouvez qu’il y en a trop).

      • non on ne peux pas les jeter dans les même panier mais dans la même poubelle certainement. Le logement social est une hérésie économique emprunter directement à la défuntes URSS. Tout comme celle ci ce furoncle immobilier devra retourner un jour ou l’autre dans l’abîme putride qu’il n’aurait jamais du quitter.

  • Les gueux de pauvres n’ont qu’à dormir sous les ponts. Et d’où l’on voit que les fameux libéraux ne sont que de pauvres riches qui cherchent avant tout à préserver leurs intérêts économiques face à des classes sociales qu’ils méprisent et détestent profondément. Vive le communisme !

    • npa , Certes , les libéraux défendent leurs noisettes et pourquoi ne le feraient-ils pas , puisque ces noisettes , il les ont gagnées , on ne leur a pas données !!! par contre , les élus qui touchent de l’argent produit par les autres , les fonctionnaires itou ne se posent que peu de questions sur la légitimité de ce transfert fiscal , ainsi d’aiileurs que l’assistanat !!!

    • le communisme qui a fait plus de 100 millions de mort et qui ne marche pas alors que le capitalisme a réduit de moitié la pauvreté mondiale. http://loicgonsolin.politicien.fr/2013/07/05/716/

  • Article qui occulte une partie de la vérité…. Vous faites ici fit de la réalité du logement aux USA qui a connu une crise majeure dans les années 2008 (les fameux actifs dits toxiques…) ou l’on voit bien l’effet d’un parc locatif privé; près de 50% des logements de la ville de Détroit sont VIDÉS car ces fameux pauvres (que vous conchiez à longueur d’articles) ne peuvent plus payer. Il en va de même pour les logements en propriété foncière, récupérés par les banques…. Résultats, des dizaines de millions de sans domiciles jonchent les rues américaines et des villes entières se sont transformées en villes fantômes ou il n.y a quasiment plus âme qui vive. Beau modèle.
    Vous ne priez que pour votre paroisse, celle des possédants en tronquant la réalité à votre avantage. Cela devient de plus en plus ridicule….

    • les USA un modèle? laissez moi rire! C’est bien le pays ou l’état à obliger les banques à prêter de l’argent à ceux qui n’avaient pas les moyens le rembourser n’est ce pas? C’est bien ce pays ou deux banques (Fanny may et Freddy mac) dispose de la garantie de l’état pour déverser du crédit immobilier sans limite au mépris de toutes les règles prudentielles? Les problèmes immobiliers au USA n’ont rien à voir avec le fait que les logement soit public ou privé mais que les politiques et la bureaucratie à mis une fois de plus sont vilain groin dans des processus qu’ils ne maîtrisent pas (et qu’ils ne pourront jamais maîtriser).
      La France, les USA : deux mode d’intervention étatique conduisant au désastre comme à chaque fois.
      Personne ne prie ici, contrairement au socialiste dont vous faites parti qui ont ériger la lutte des classes et la spoliation au statue de religion sous prétexte d’égalité. L’égalité nous l’aurons oui mais dans le caniveau

  • @Volna
    Ce passage la est a la limite de l’indéfendable : » les libéraux défendent leurs noisettes et pourquoi ne le feraient-ils pas , puisque ces noisettes , il les ont gagnées , on ne leur a pas données »
    Certes mais vous oubliez que ce système que vous glorifiez à outrance est un système qui récompense la feneantise au détriment du travail. car dans votre logique, l’idée est beaucoup plus valorisée que le sang et la sueur des petites mains qui ont permis la réalisation de cette idée. C’est notre système actuel, et ce dernier est abject et doit être changé !!! Car tous libéral que vous êtes, vous dévalorisez l’idée même du travail et sa juste récompense. Est-il normal de voir qu’un gars qui a eu une simple idée, aussi géniale soit-elle, soit récompensé des millions de fois plus que ceux qui la font vivre et lui permettent d’exister ? Car sans compétences, sans main dans le cambouis, combien de nos valeureux énarques chefs d’entreprises sur rémunérés auraient atteints le niveau social qui est le leur , est-il normal de voir un Carlos Goshne (chantre du libéralisme) se rémunérer 9 millions d’euros alors que ce dernier ne sais sûrement même pas changer une roue, quand les ouvriers qui construisent les voitures qui lui permettent de s’enrichir émargent souvent avec peine à 1000€ ? Et pourtant, qui a bossé pour assembler le véhicule ? Je pourrais multiplier les exemples à l’infini…. Valoriser les idées et la bonne société au détriment de celui qui sue, c.est une erreur fondamentale, et cela ne peut nous mener que dans le mur, comme actuellement…

    • @ Maniak : Que c’est beau ce que vous écrivez, cela me met des larmes aux yeux qui inondent mon clavier. A la pensée de ces corps musclés couverts de sueur, que c’est beau!!!!!!!!!!
      .

    • Quelle jolie colliers de perles de poncifs, merci, faillait pas…
      Bon assez rigolé, le travail en lui même ne vaut rien. Le travail n’a de valeur que celle qu’il apporte à autrui. Je peux passer mes journées à creuser des trous partout, et me tuer à la tâche en les rebouchant la nuit. mon « travail », ma « sueur » comme vous éructé ne vaut rien, ne crée rien et n’intéresse personne. Si je tricote un pull over à la main que qu’il me faut un mois pour le terminer, croyez vous que je trouverais beaucoup de couillons pour acheter mes pull 1500 € pièces sous prétexte que mon travail doit pouvoir me faire vivre?
      Oui une idée, un concept est plus facile à vendre et rapporte plus que le simple effort musculaire car voyez vous l’effort musculaire est très commun et à la porté que n’importe qui, il est abondant donc peut coûteux. Les bonnes idées elles sont rare (vous en êtes l’exemple vivant), elles sont donc activement recherchées. Mais au delà de ça, les bonnes idées participes à l’innovation et au progrès, elles enrichissent considérablement la société et améliore la vie de millions d’individus. Il n’est donc que justice que ceux qui sont à l’origine de ces idées soient récompensés à la hauteur du service rendu. c’est économiquement logique et hautement moral voyez vous, beaucoup plus que l’égalitarisme crasse que vous défendez et qui n’a comme but ultime que de transformer l’humanité en un vaste troupeau de ruminant.
      Voilà, vous pouvez retourner dans votre grotte et rejoindre les néandertalien qui peuple encore en nombre cette planète, merci

  • Dégouté Paris habitat ne fais rien depuis mais 1974 rien n’est fait nous sommes envahi de cafafard ascenseur toujours en panne mais nous payons les charges et loyers augmente

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