Par Jon Miltimore.
Un article de la Fondation for Economic Education
Vendredi, le San Francisco Chronicle a publié un article indiquant que la Californie a l’un des taux de cas de Covid-19 les plus bas des États-Unis, même si le taux de vaccination du Golden State est en retard par rapport à de nombreux États qui luttent actuellement contre le variant delta.
Le Chronicle rapporte :
Un exemple clair est celui des États de la Nouvelle-Angleterre, le Vermont et le Maine. Relativement protégés du pire des poussées précédentes de la nation, ils ont lutté contre le variant delta, qui a fait monter en flèche leurs taux de cas.
En fait, le Vermont a le taux de vaccination le plus élevé du pays. Selon les données de la Mayo Clinic, 99,9 % des personnes âgées de 65 ans et plus sont entièrement vaccinées et 74 % des personnes âgées de 18 à 64 ans le sont également.
Pourtant, comme le souligne le Chronicle, malgré son taux de vaccination élevé, le Vermont a récemment établi son record de cas sur une seule journée par rapport à la durée de toute la pandémie. Et au 1er octobre, le taux moyen de cas sur sept jours pour 100 000 personnes y était de 30, soit trois fois plus que dans la région de la Baie.
California, the U.S. coronavirus hot spot early this year, in recent weeks has recorded some of the lowest case rates in the country — lower than some states that are more vaccinated.
One clear example is the New England states of Vermont and Maine. https://t.co/1jz4gEgzoy pic.twitter.com/00UUCsy7JW
— San Francisco Chronicle (@sfchronicle) October 8, 2021
Ce que les vaccins font et ne font pas
Les scientifiques s’accordent généralement à dire que les vaccins contre le Covid-19 sont très efficaces pour réduire le risque de développer des symptômes graves pouvant entraîner une hospitalisation et la mort.
Leur efficacité à réduire la transmission du virus reste cependant un sujet de débat, en particulier depuis que les CDC ont publié en juillet des résultats montrant que les personnes vaccinées continuent de contracter le virus, de le transmettre et de porter autant de particules virales dans leur gorge et leurs voies nasales que les personnes non vaccinées lorsqu’elles sont contaminées.
Si les scientifiques admettent que les vaccins ne peuvent pas empêcher la transmission, beaucoup soutiennent qu’ils la réduisent quand même.
Selon les épidémiologistes de Johns Hopkins M. Kate Grabowski et Justin Lessler dans The Daily Beast :
Nous sommes convaincus que la vaccination contre le Covid-19 réduit les chances de transmission du virus.
D’autres scientifiques en sont moins sûrs et une nouvelle étude suggère que leur scepticisme pourrait être justifié. L’étude publiée le mois dernier dans le European Journal of Epidemiology, une revue médicale mensuelle avec comité de lecture, a examiné 68 pays et 2947 comtés des États-Unis et a conclu que des taux de vaccination plus élevés ne sont pas associés à moins de cas de Covid.
Au niveau du pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de Covid-19 au cours des 7 derniers jours, ont conclu les chercheurs. En fait, la ligne de tendance suggère une association marginalement positive, de sorte que les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé ont plus de cas de Covid-19 pour un million d’habitants.
Au niveau du comté, les chercheurs ont déclaré qu’il « ne semble pas non plus y avoir de signal significatif de diminution des cas de Covid-19 avec des pourcentages plus élevés de population entièrement vaccinée. »
Les résultats ne suggèrent pas que les gens ne devraient pas se faire vacciner. Encore une fois, il existe des preuves solides démontrant que les vaccins réduisent le risque de réaction symptomatique grave au Covid-19. Ce que la recherche suggère, cependant, c’est que les vaccins sont avant tout une question de santé personnelle, et non de santé publique.
C’est précisément ce qu’a récemment suggéré le Dr Jay Bhattacharya, professeur de médecine qui étudie l’épidémiologie à Stanford. Il a noté que la recherche indique que les vaccins ARNm produits par Pfizer et Moderna offrent une protection individuelle importante – Bhattacharya attribue son propre rétablissement rapide du Covid-19 au vaccin – mais ne contribuent pas à l’immunité de groupe ou à l’amélioration de la santé publique.
With every passing day, the case for vaccine mandates grows weaker and weaker.@SenatorBrakey highlights data from @DrJBhattacharya to show that an abundance of scientific research undermines the justifications for #Covid_19 vaccine mandates.https://t.co/V7BoxGHLLz
— Jon Miltimore (@miltimore79) October 8, 2021
Just out: A wide-ranging conversation between me and @ThomasEWoods on the southern summer case spike, herd immunity, what the vax can and can’t do, and why mandates are bad for public health.https://t.co/76b8lTAkJV
— Jay Bhattacharya (@DrJBhattacharya) September 19, 2021
Chaos planifié
Les résultats publiés dans le European Journal of Epidemiology contribuent à expliquer pourquoi des États américains tels que le Vermont et le Maine connaissent des flambées massives de cas malgré leurs taux de vaccination élevés. Les experts en santé publique soulignent également que la Californie présente des niveaux d’immunité naturelle beaucoup plus élevés que ses homologues de l’Est, rapporte le Chronicle.
Mais cela n’explique pas pourquoi tant de personnes continuent à affirmer que les vaccins réduisent la transmission du virus et offrent une protection aux individus – malgré une abondance de preuves (empiriques et anecdotiques) du contraire.
Une explication peut être trouvée dans une observation de l’économiste Ludwig von Mises. Celui-ci a fait remarquer qu’une grande partie des conflits dans le monde moderne est une lutte pour savoir qui le conçoit, les autorités ou les individus. Comme l’a dit Mises, nous pouvons avoir soit « le processus démocratique du marché, dans lequel chaque individu a sa part, [soit] la règle exclusive d’un organisme dictatorial ».
Si se faire vacciner est simplement une question de santé individuelle, il existe peu de raisons pour que les planificateurs, comme Mises les désignait, exercent un contrôle sur le public. Cela reviendrait à exiger des individus qu’ils se fassent enlever des tumeurs cancéreuses au nom de la santé publique.
Mais si le fait de ne pas se faire vacciner constitue une menace pour la santé publique ou pour la société, alors les planificateurs centraux ont une bonne raison, sinon une justification valable, d’exercer un contrôle sur la société.
Reminder: @SouthwestAir accepted $3.2 BILLION from taxpayers. That money kept its pilots employed during the pandemic. It also made @SouthwestAir the first airline to post a profit. And now, apparently, many of those pilots don’t want to help society by getting vaccinated.
— Andrew Ross Sorkin (@andrewrsorkin) October 11, 2021
En d’autres termes, les preuves qui montrent que la vaccination covid concerne principalement la santé individuelle vont à l’encontre de la raison d’être des planificateurs, qui est d’exercer leur emprise sur la société.
Mises affirme dans Planned Chaos :
Ce que ceux qui se disent planificateurs préconisent n’est pas la substitution d’une action planifiée à l’abandon des choses. C’est la substitution du propre plan du planificateur aux plans de ses semblables. Le planificateur est un dictateur potentiel qui veut priver tous les autres individus du pouvoir de planifier et d’agir selon leurs propres plans. Il ne vise qu’une chose : la prééminence absolue exclusive de son propre plan.
Ludwig von Mises est une lecture obligatoire pour ceux qui essaient de comprendre pourquoi, pour la première fois dans l’histoire moderne, les responsables de la santé publique tentent de combattre un virus respiratoire en contraignant des personnes en bonne santé à prendre les mesures souhaitées – et dans de nombreux cas à perdre leur emploi et leurs libertés fondamentales s’ils ne le font pas.
There is a lot to learn from this graph, but most obviously, the COVID vax does not stop infection.
The vax provides a private benefit (protection vs. severe disease), but limited public benefit (protection vs. disease spread).
So what is the argument for mandates? https://t.co/52JSrEEAyl
— Jay Bhattacharya (@DrJBhattacharya) October 12, 2021
Traduction Justine Colinet pour Contrepoints
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Les limites de cette étude sont bien expliquées ici : https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9PK3LZ-1
Il existe un tas d’études qui montrent que les vaccins ont une efficacité réelle, même si limitée, sur la transmission du virus (depuis 2 mois, j’en ai vu au moins une dizaine). La question qui est intéressante étant pourquoi l’auteur met en avant l’étude dont les résultats lui permettent de citer Ludwing Von Mises et ignore totalement les très nombreuses études qui n’auraient pas pu lui permettre de le faire…
Afp…. Info donc très douteuse. Tout est douteux sur les études concernant ce virus.
Tellement simple de vérifier la charge virale d’un vacciné et d’un non vacciné et de conclure.
C’est un papier de l’AFP qui reprend la publication, mais ne remet pas en cause les conclusions.
Le vaccin est efficace contre les formes graves mais n’arrête pas l’épidémie (Il n’apparait de relation observable entre pourcentage de population vaccinée et nouveau cas de virus).
Petit extrait de la “vérification” de France Propagande:
“ En fait, l’analyse montre que quelque soit le niveau de vaccination, le nombre de cas par habitant peut être plus élevé ou moins élevé sans que l’on trouve un modèle récurrent clair.”
D’ou les pro vaccins planificateurs ( dont l’auteur de l’étude, cité) conclueront que la vaccination genérale est indispensable, et sont prêts a réinventer l’étoile jaune pour y parvenir, et les individus indépendants se disent que c’est leur choix.
La conclusion de l’article de Contrepoints est totalement justifiée.
Au contraire… Le vaccin – barrière contre la contagion, c’est un peu la cerise sur le gâteau.
Tous les vaccins protègent de la maladie. C’est leur fonction première. Peu protègent bien de la contagion. Il y en a deux : ceux contre la variole et contre la rougeole.
Les autres protègent plus ou moins bien. Ceux contre la diphtérie, la polio, la coqueluche, pas du tout !…
Dans la mesure où le vaccin contre le covid ne fait qu’empêcher les conséquences pulmonaires graves d’un virus mais n’a pas d’effet sur sa présence dans les muqueuses nasales, il est clair qu’on peut l’attraper, le porter et le transmettre tout en étant vacciné.
Le vaccin contre la polio fonctionne un peu sur le même principe : il empêche l’irruption du virus dans le système nerveux à partir du tube digestif, mais ne détruit pas le virus qui peut alors contaminer d’autres personnes…
La science n’est pas une affaire de nombre. Une seule étude peut avoir plus de poids que dix études précédentes.
Article AFP très orienté, comme souvent, et qui en plus ne remet absolument pas en cause les conclusions de cette publication. AU contraire, comme ils en sont spécialistes, les « fact-checkers » détournent complètement le propos d’origine, qui distingue nettement l’efficacité des vaccins sur la circulation du virus de celle sur la protection contre les formes graves, pour tenter de faire dire aux auteurs que le vaccin ne servirait à rien. Magistral.
Des limites à cette étude, il y en a, comme pour toute étude. Mais elle va dans le sens de ce que l’on observe depuis plusieurs mois : l’efficacité des vaccins sur la circulation du virus est douteuse.
Donc les obligations et autres pass « sanitaires » sont eux aussi douteux. Ce que ne veulent surtout pas entendre les partisans du contrôle social pour motifs soi-disant sanitaires qui pullulent dans le monde politique et dans les médias subventionnés.
Pas étonnant que suite au lien que vous avez publié de vous voir décoré d’autant de trolls. Les conclusions du doc ne pouvaient que déplaire à nombre complopointistes.
Où sont « les très nombreuses études » montrant l’efficacité de CHAQUE vaccin (il y en a plusieurs et certains ont été arrêtés ou suspendus par de nombreux pays) sur la TRANSMISSION du virus ?
Merci de nous donner les liens…
Personnellement, celles que j’ai lues se contentent de « modélisations » ou « projections » pour affirmer une certaine efficacité avec beaucoup de doutes pour la mesurer !
ce n’est pas les cas de covid qui importent,
et ce n’est pas la vaccination qui importe mais la vaccination obligatoire…
la vaccination modifierait elle la dynamique épidémique..que ça ne justifierait pas de la rendre obligatoire..
l’effet du vaccin se regarde sur des individus..pour évaluer le risque de cas grave.. par groupe témoins en somme..
je ne comprends pas l’obligation..
ce serait donc pour éviter de contaminer des gens non vaccinés..et in vaccinables ou pour un gain statistique inconnu et vicelard sur le risque de contaminer ces personnes par une propagation du virus diminuée par la vaccination…
vous allez arriver dans les zones floues de l’épistemiologie augmentée de modification de comportement liés à la vaccination..eh! je suis vacciné , je peux revivre…
non quand on est fragile..on reste fragile..on baisse le risque.. colin powel est mort.. vacciné.
masque et lavage demain quand on est avec une personne fragile » invaccinable » et qui n’a pas le choix !!
et éviter le contact si on a le virus , qu’on soit vacciné change peu de chose..
Tout à fait.
D’où aussi l’importance de tester à tour de bras. Et donc si on doit avoir un truc et un seul couvert par la sécu, ça doit être les tests, pas les vaccins. Et si un truc doit être rendu obligatoire c’est le test pour certains trucs (pas pour vous l’interdire mais pour dépister, isoler, suivre).
Une des pires erreurs de ce gouvernement dans la « gestion de la crise sanitaire » (qui comme toute choses se serait mieux gérée sans intervention gouvernementale et politisation de la science voire de la « vérité ») c’est de rendre les tests payants pour les non vaccinés et facultatifs pour les vaccinés… Et pourtant des erreurs, ils en ont aligné ces clowns !
La conclusion est foireuse. Comme si toute chose ne pouvait être vue que sous l’angle décrit dans cet article. Mais si la terre est plate..
Merci de ne pas traiter de platiste toute personne, éventuellement bien mieux formée et informée que vous, qui ne partage pas vos opinions.
Vous n’avez rien compris à mon message, ce qui rend votre argument d’autorité d’autant plus ridicule.
En résumé il paraît de plus en plus clair que cette potion stimule provisoirement les défenses et n’immunise pas la population.
Il suffirait donc qu’elle soit accessible et conseillée à ceux qui ont peur de cette grippe chinoise.
Rien ne justifie qu’elle soit obligatoire.
Les risques à long terme étant inconnus c’est une drogue qu’on pourrait même interdire aux mineurs dont les défenses sont intactes.
On peut ajouter qu’un vaccin qui doit être renouvelé tous les 6 mois, ce n’est plus un vaccin. C’est un traitement !
alors le vaccin contre la « grippe »? ..oui je sais.. les virus grippaux..
faut quand même pas essayer trop fort de faire entrer ce « traitement » dans l’idée de départ que les vaccins étaient de la science fiction..
ce n’etait pas l’idée de ceux qui ont critiqué les dits traitements au départ..de jouer sur le sens du mot vaccin..
Depuis Bruxelles – Ici, on a commencé par nous terrifier en nous présentant des mourants en phase terminale branchés à des respirateurs. Si c’était un petit jeune, ça faisait même la une du JT. Puis on nous démontrait que si nous ne respectons pas les consignes, nous sommes responsables de cette situation. Le contrôle de la population par la peur et la culpabilisation. Mais ma question est la suivante. On nous a d’abord asséné le nombre de morts jour après jour. Puis, le nombre de patients en soins intensifs, en réanimation. Puis, le nombre de patients hospitalisés. Toujours les chiffres des entrées, jamais ceux des sorties. Ils sont encore tous à l’hosto ? Puis, ces chiffres sont devenus ceux des » cas- contact » Keseksa ? Des gens qui ont été en contact avec des malades ou des bien portant contaminés ? Depuis des mois maintenant on nous parle de « cas ». Ce glissement sémantique est – il une manipulation qui repose sur la confusion subliminale avec les morts et les agonisants ? Et puis, ce sont des cas de…. quoi ? L’important est de citer un chiffre même si le public ne sait plus ce qu’il désigne. Si ce sont des cas de personnes détectées positives au Covid, alors à proportion constante, si je teste demain deux fois plus d’individus qu’hier, le nombre de cas va doubler ! Et puis, ces cas restent – ils des cas, et pour combien de temps ? Je suis vacciné en bonne santé mais je peux être porteur. Est – ce que je vais être testé positif et devenir un cas ? Et le virus va me squatter pendant combien de temps ? Ça veut dire que le vaccin ne diminue pas le nombre de « cas » ?
Bon jour l’embrouille…
Chez nous ils ont inventé une nouvelle métrique à suivre qui fait peur : le « taux d’incidence » qui est simplement le nombre de nouveaux cas, cumulé sur 7 jours, pour 100 000 habitants. Si on vous dit « le taux d’incidence est de 50 dans votre région » ça fait « gros », ça fait peur… Si on dit « dans votre région vous avez 0.05% de chances d’être testé positif par semaine, et dans 80% de ces cas rarissimes, aucun symptômes… » on tremble déjà beaucoup moins déjà.
Très bon article.
Je pense qu’on a été bien rapide à croire que le vaccin luttait contre la transmission, et bien peu à reconnaître que ce n’était pas le cas.
En effet, dès lors que le vaccin est seulement une affaire individuelle, un argument fort contre la vaccination – barrière à la contamination – tombe.
Ne reste plus alors que l’argument de la réduction de la pression hospitalière.
Qui peut se contrer en réclamant plus de lits de réa. Ce qui ne fait pas les affaires de nos gouvernants. En revanche, un vaccin qui lutte contre la contamination, ça fait retomber la faute sur le citoyen !
Ne reste plus alors que l’argument de la réduction de la pression hospitalière.
Qui peut se contrer en réclamant plus de lits de réa.
Même pas. Sous l’angle libéral, prendre prétexte du fait que tout malade ou accidenté risque d’encombrer l’hôpital pour que l’État dicte aux citoyens leur conduite (se faire vacciner, ne pas boire, ne pas fumer, ne pas pratiquer de sports ou activités un peu risqués, etc. la liste est infinie) ne tient absolument pas.
Et réclamer plus de lits de réa non plus, puisque là encore on tombe dans l’étatisme et l’autoritarisme, qui sont opposés au libre marché qui reste le moins mauvais système.
Il faut à mon sens présenter les choses sous l’angle de la responsabilité personnelle : si je fume, ou pratique une activité risquée pour ma santé, le premier qui sera pénalisé en cas de cancer du poumon ou d’entorse du genou, c’est moi. Cet aspect ne regarde que moi. Quant aux personnels soignants, ils sont payés pour soigner, pas pour se tourner les pouces en s’abritant derrière un État tout-puissant qui maintiendrait les gens confinés pour l’éternité. Qu’ils fassent leur métier : soigner les gens, et tout ira bien.
Dans un marché libre, les producteurs sont en général contents quand le nombre de clients augmentent. D’ailleurs ils augmentent leur capacités de production.
Dans la logique collectiviste, c’est l’inverse puisque les « clients » ont payés d’avance (sous la contrainte). Donc du point de vue du producteur (l’état et les soignants fonctionnaires) toute augmentation de clients est négative. Plus de travail pour le même prix.
Dans une économie libre de la santé, la maladie est un risque contre lequel on se couvre par des assurances. Chaque arrête de maladie, invalidité ou décès est un sinistre qui pèse sur les comptes. Chaque sinistre évité est donc un profit.
À la différence de la médecine socialisée, le marché récompense le fait d’éviter la maladie.
C’est donc le marché qui est en harmonie avec la morale, et la médecine socialisée qui est immorale.
Le comportement des grandes pharmaceutiques est dû à l’étatisation, pas du tout au capitalisme – bien au contaire.
Tout à fait. Les effecteurs de santé, les assurés, les assurances. Le modérateur étant les assurances.
Comme la bagnole, en cas de sinistre, l’assurance vérifie que le garagiste ne gonfle pas la facture, que le client ne se fait pas une nouvelle peinture sur son dos, Les conducteurs ‘maladroits’ ont une surprime, les garagistes indélicats sont remis à leur place, et les assurances qui ne font pas leur boulots voit leurs clients aller chez la concurrence.
Et elle ne vous oblige à rien, mais elle vous fait payer vos choix.
Vous fumez ? Vous préférez la moto ? OK mais c’est plus cher.
Et les choix de santé ne sont pas déconnectés du reste de l’économie.. Avec l’État on ne peut faire que du « quoi qu’il en coûte » car on tâtonne dans le noir (Mises).
oui…sans doute mais maintenant on fait quoi..
je suis d’accord sur un point casser le mythe de la sécu..
Un élément factuel de plus à mettre au dossier. L’objectif de ceux qui « gèrent » cette pandémie n’a plus rien de sanitaire (si tant est qu’il l’ait jamais été). Il est 1/ de faire de l’argent, 2/ de développer leur emprise sur la société.
Vu la façon de traiter le professeur raoult… Ce n’est surtout pas une crise sanitaire… Ça n’a jamais été une crise sanitaire.
il ya une crise sanitaire.. mais la crise qu’onnous présente comme telle en effet n’a rien à voir avec ça..
Tout a fait d’accord, maintenir en poste un scientifique a la retraite qui c’est couvert de ridicule en pariant sur un médicament inefficace dépasse l’entendement.
On doit terriblement manquer de personnel compétent pour faire le job correctement…
Il est assez logique que dans un pays soviétique, comme la France, avec un système de santé complètement collectivisé la vaccination se retrouve « obligatoire ».
Le peuple français a voulu la « sécurité sociale », il la boira jusqu’à la lie. D’ailleurs, cela me fera toujours bien rire de voir des mélenchonistes crachaient sur la dictature sanitaire. Elle est une conséquence directe de la socialisation de la santé qu’ils appellent de leurs vœux !
Le « passe sanitaire » n’est que la suite logique des autres interdictions « hygiénistes » : contrôle des drogues, taxation des alcools et tabac, obligation du port de la ceinture de sécurité, etc. Attendez-vous à voir débarquer quelques mesures liberticides supplémentaires sur le sel et le sucre dans les années qui viennent …
oui…ceux qui acceptent la sécu abandonne l’idée d’interet personnel .. et comme l’interet collectif ne fait pas sens..ils acceptent que le « chef » sait..
Cet article est scandaleux, Tout article sur le vaccin-efficace-et-sans-danger doit conclure qu’il
est efficace et sans danger. Combien de fois faut-il le répéter ? On vous le répète depuis un an ! La plus forte cascade d’opinion de l’Histoire n’a pas suffi à vous faire renoncer à utiliser votre jugement ?
Peu importe que ce soit impossible à savoir. Les coronavirus mutent en permanence. À quoi bon éliminer 95% des variants quand leur nombre croît exponentiellement ?
La menace du covid est l’exact contraire des « vaccins » (et de la plupart des maladies contre lesquelles il existe un vaccin efficace) sur 2 points: 1) elle change tous les 3 mois de manière imprévisible et ne repasse jamais par le même variant; 2) elle arrive par les voies aériennes, supérieures puis, dans une minorité des cas, inférieures.
Notre système immunitaire est suffisamment sophistiqué pour tenir compte correctement de ces caractéristiques. Il interagit avec les coronavirus depuis des éons.
Le vaccin ne l’informant pas correctement sur la menace va le conduire à y réagir plus mal, voire à l’accentuer – hypothèse de l’ADE. Les « vaccinés » pourraient devenir plus mal protégés, voire exposés à des risques accrus.
Ce risque vaut-il la peine d’être couru ?
D’être imposé ? Au mépris des droits humains ? Science sans conscience…
Pendant que complexe pharmacoétatique US nous produisait ce prodige de technologie en un temps record, des médecins qui pratiquaient encore l’art de la médecine constataient que plusieurs substances bien connues et sans risque pouvaient contrer efficacement le virus et réduire le risque, déjà faible, à presque rien. La prouesse technique ne servirait à rien.
Les importuns. L’arsenal de la persuasion se déchaîna. On fit des exemples. On publia un article ridiculement faux dans The Lancet : Il faut avoir le bras sacrément long. Vous voilà avertis.
Cette crise d’hystérie collective marquera l’histoire. La gauche, c’est la victoire de la peur sur la raison. La politique est le contraire de la science : L’opinion et non les faits. La politisation de la santé était déjà un désastre larvé qui nous conduisait lentement mais sûrement à la misère et la tyrannie, mais non pas à la santé. Je crains fort que nous ayons fortement accéléré. J’espère encore que ce ne sera qu’un décrochage et non un départ en autorotation. Puis le crash.
Il devrait rester les Amish pour repeupler. Ils ont tourné le dos à toutes les mesures anti-covid depuis longtemps et ils s’en portent très bien.
je serais pas si dur.. mais on fait effectivement un pari surtout avec la vaccination de masse..
le problème est bien l’arrogance..et l’amplification causée par des scientifiques qui se lient au pouvoir..et veulent sauver le monde..
Il ne faut pas surinterpréter cette étude qui compare des choux et des carottes.
Si il semble claire que le vaccin est beaucoup moins efficace pour éviter le variant delta que les précédents (https://www.nature.com/articles/s41591-021-01548-7#Tab1), il reste néanmoins très efficace pour éviter les cas les plus graves et c’est déjà beaucoup.
Vous ne voyez pas plus loin que votre nez.
Injecter tout le monde avec ce machin ne fera que filtrer les mutations jusqu’à ce que les variants ne soient plus affectés par les anticorps, voire les utilisent (ADE). Injecter tout le monde est donc non seulement CRIMINEL, puisqu’en injectant des millions de gens qui ne sont pas à risque on inflige gratuitement des séquelles graves ou la mort à des centaines d’entre eux; c’est aussi STUPIDE, car sans cela le virus n’aurait pas contourné la protection des « vaccins », et les personnes à risque seraient restées protégées plus longtemps.
Les porteurs de pass sanitaire sont des double-zéro : permis de contaminer.
Allez ! Même si personne ne me lira, j’ai envie d’ajouter mes « trois petites notes de musique, qui vous font la nique du fond des souvenirs » ..…
Car j’en ai ras la casquette des sod.mis.teurs de diptères !
1. Je ne suis pas vacciné, conteste l’utilité de ce truc qui n’est d’ailleurs pas un vaccin mais un traitement.
Je ne me suis plié qu’une seule fois au « test » (pour prendre l’avion afin d’aller féliciter mon petit fils pour son doctorat)… (la rage de passer sous les fourches caudines fut palliée par la belle fête de famille !).
Je n’ai pas de pass, n’en solliciterai pas, et emm… ceux qui veulent m’en persuader.
ET.. Je n’ai pas été victime du Covid, juste mes deux rhumes annuels.
2. Je suis vieux (presque 80 ans)
Je suis gros (ma masse pondérale actuelle relève du secret, évidemment !)
Je ne vis pas loin de tout. Au contraire, les confinements et les con..eries de type pass m’ont amené à inviter famille et /ou amis, toutes les semaines sans exception ; en intérieur quand il fait mauvais, dans le jardin quand le temps s’y prête. Ah les beaux repas !
Chez moi, il n’y a que deux interdits absolus (sinon on est éjecté !) : pas de masque, pas de propos woke. J’admets ici que mes penchants libéraux ont des limites ; mais nul n’est obligé de venir goûter mes ragoûts de sangliers et ou ma bouillabaisse.
On accepte même les « vaccinés », c’est dire si on est libéraux !
ET… Je n’ai pas été victime du Covid, juste mes deux rhumes annuels.
3. J’ai eu une carrière longue, essentiellement sous les tropiques, là où il y avait beaucoup de diptères (de type piquant).
De 1961 à 2019, j’ai quasiment sans cesse pris du Plaquenil (je simplifie, pas toujours sous cette appellation) ; j’ai depuis janvier de l’an dernier tapé dans mes réserves à chacun de mes deux rhumes annuels, je l’avoue.
ET… Je n’ai pas été victime du Covid, juste mes deux rhumes annuels. Tiens donc !
Je me permets de vous citer (presque) pour terminer : j’admets ne pas supporter ceux qui « tentent de combattre un virus respiratoire en contraignant des personnes en bonne santé à prendre les mesures souhaitées – et dans de nombreux cas à perdre leur emploi et leurs libertés fondamentales s’ils ne le font pas ».
J’aimerais bien être un tyran, parfois, à leur encontre !
« Trois petites notes de musique
Qui vous font la nique du fond des souvenirs
Lèvent un cruel rideau de scène
Sur mille et une peines qui ne veulent pas mourir ».