Élection américaine : 2020 – 2024, quatre années décisives

Biden, pompeusement intronisé par les médias, va devoir se montrer à la hauteur d'un poste qu'on pressent taillé trop grand pour lui.
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Élection américaine : 2020 – 2024, quatre années décisives

Publié le 9 novembre 2020
- A +

par h16

Et voilà, l’affaire semble pliée : c’est le candidat Biden qui a été « officiellement » désigné par les médias comme nouveau président américain. Je me serais donc trompé… Mais finalement, beaucoup moins que les sondages.

Rappelez-vous, c’était il y a quelques jours encore : tout indiquait une victoire écrasante, absolument sans le moindre doute, une véritable vague bleue pour le candidat démocrate. Les sondages, les experts, les médias des deux côtés de l’Atlantique étaient formels : Joe Biden était le prochain gentil président américain et il allait écraser le méchant Trump.

La réalité fut nettement plus pastel.

D’une part, l’écrasante victoire n’a pas eu lieu. Les médias concèdent la victoire à Biden, très difficilement, avec une âpre bataille dans plusieurs États où tout se joue encore à quelques poignées de voix. Ceci en dit long sur la prétendue détestation des Américains pour l’actuel président : en réalité, on mesure ici fort bien le biais énorme des médias et des instituts de sondage en faveur des candidats démocrates (ceci n’étant grosso-modo qu’une redite de l’élection de 2016), médias qui refusent encore d’admettre que non seulement, Trump a obtenu un soutien large du peuple, mais que ce soutien est même supérieur à ce qu’il fut en 2016, y compris dans ces tranches de population que ces mêmes médias classent obstinément comme démocrates.

On devrait donc s’étonner que les foules de social justice warriors, lassées d’un vieil homme blanc hétéro, l’aient courageusement remplacé par un vieil homme blanc hétéro et on pourrait imaginer une remise en question de ces instituts, de ces médias, de ces experts. Ne rêvez pas : il n’en sera rien. Gageons que cet échec lamentable ne servira de leçon à personne et que le prochain candidat qu’ils trouveront compatible, que ce soit aux États-Unis ou ailleurs, en France ou en Europe, bénéficiera du même traitement lourdement biaisé.

D’autre part, signalons que le Sénat semble se diriger vers une majorité républicaine : la victoire de Biden s’annonce donc (très médiatiquement) non seulement bien moins solide qu’annoncée à grande titraille, mais de plus ce dernier pourrait, s’il est confirmé, avoir à affronter une chambre haute opposée à certaines de ses propositions.

Enfin, tout se déroule comme prévu, c’est-à-dire mal : des soupçons de fraude entachent ce scrutin, notamment parce que les votes postaux sont dits faciles à bidouiller et que ce sont ces derniers qui permettent aux médias d’imposer une victoire à Biden, du reste toujours pas officielle…

L’écart est faible, des soupçons existent et Trump ne s’avoue évidemment pas vaincu : l’ensemble du processus électoral est en train de passer, comme je l’envisageais dès le 4 novembre dernier, dans le champ douloureux du judiciaire.

Pour Trump et son équipe, deux fronts peuvent être ouverts : la contestation des résultats d’une part, et d’autre part la destruction du president-elect Biden en utilisant les affaires qu’il traîne maintenant de façon visible : Burismagate, Bobulinski, collusion avec la Chine, on peut garantir des semaines à rebondissement et tout semble pouvoir être envisagé afin que le vote ne soit pas du tout clair, tenu public et sans doute médiatisé à ce moment, des Grands Électeurs qui doit intervenir le 14 décembre.

Si la probité du candidat est en effet largement compromise avec des révélations médiatiques fracassantes, il n’est pas impensable d’imaginer les Grands Électeurs avoir un cas de conscience, objecter et ne pas voter pour lui, le disqualifiant de l’investiture. Inutile de dire que ceci signifierait un chaos total aux États-Unis qui n’est absolument souhaitable pour personne. L’avenir nous dira si Trump choisit ou non cette voie dangereuse, et pourquoi.

Indépendamment de ces potentiels rebondissements, il existe une possibilité distincte pour le président Biden de ne pas faire tout son mandat, étant donné son état général et ce que l’on peut diagnostiquer comme un Alzheimer déjà avancé. Dans cette configuration, Kamala Harris prendrait le relais.

Celle-ci, beaucoup plus à gauche et collectiviste que ne l’est Biden (qui n’est plutôt que l’archétype de vieux briscard politicien prêt à plonger ses doigts dans tous les pots de confiture de tout âge), promet de pousser un peu plus les États-Unis vers un collectivisme assumé.

Là encore, ce n’est une bonne nouvelle pour personne : la Chine et quelques autres États (dont en Europe) sont déjà hardiment lancés dans cette expérimentation qui a toujours abominablement foiré jusqu’à présent ; y ajouter les États-Unis, pour faire bonne mesure, garantit un début de décennies 2020 belliqueux et chaotique.

Du reste, il n’y aura probablement pas besoin de pousser beaucoup l’Amérique vers la crise : avec les divisions exacerbées entre les militants et sympathisants des deux partis politiques, l’élection un peu trop millimétrique, les revendications racialistes de plus en plus violentes, les social justice warriors de plus en plus éruptifs, une dette colossale et des bulles boursières évidentes, tout concourt à fournir un terreau ultra-fertile à des catastrophes en tout genre…

Sur le plan international, l’Amérique de Biden (et de Harris ?) ne se placerait plus en opposition frontale de la Chine qui se retrouverait avoir les coudées franches. Si l’on factorise que Xi n’a que deux ans avant le prochain congrès du PCC pour montrer sa force, dans ce contexte, son actuel repositionnement du côté de l’Inde et de Taïwan n’augurent rien de bon ; imaginer de nouveaux conflits ne semble ni inapproprié, ni même particulièrement osé. Que fera (ou que ne fera pas) l’Amérique de Biden dans ce contexte ? Reste à espérer que ces conflits soient aussi localisés et de faible intensité que possible…

On le comprend : cette élection ne résout rien, et les semaines qui arrivent promettent beaucoup trop d’agitation, comprennent beaucoup trop de paramètres pour se lancer dans la moindre prévision, surtout sur quatre ans.

Néanmoins, tout semble indiquer que le monde de 2024 sera profondément différent de celui de 2020, dans des proportions qu’on imagine mal maintenant.


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  • 2 points à prendre en considération à propos des sondeurs.

    1/ Ils ne peuvent pas tous se tromper au-delà de leur marge d’erreur, généralement plus ou moins 2 ou 3%. La plupart, pour ne pas dire tous s’ils travaillent correctement, devraient être à l’intérieur de la marge d’erreur.

    2/ Ils ne peuvent pas se tromper tous dans le même sens. Leurs erreurs devraient être réparties autour de la moyenne (le résultat de l’élection).

    Si des sondages sont erronés à ce point, soit les sondages sont truqués, soit les élections sont truquées, ou pourquoi pas les deux à la fois. Dans une démocratie qui se respecte, il convient de criminaliser la publication de sondages électoraux falsifiés.

    • une seule question.. qui bono?
      si tu compiles les différentes manigances depuis l’élection de Trump, tu ne peux qu’aller dans le sens d’un trucage des élections par les démocrates, qui ont tous des casseroles au cul
      Et cela que l’on aime Trump ou pas
      Même chose pour l’éjection de Fillon chez nous

    • Les Trumpien étant décrit comme des criminels et des fous par les médias ont le même problème pour les sondages que ceux qui votent FN ou d’autres groupes diabolisés: plutôt crever que de déclarer à un inconnu pour qui on vote.
      A l’autre bout du téléphone il y a peut-être un fichier avec votre nom ce qui n’est jamais bon en période de chasse au sorcière.

    • non.. , les sondages d’intention de vote sont déclaratifs , ils doivent opérer des corrections sur les déclarations « fausses », chose à laquelle ils n’ont pas accès…ils n’ont pas accès non plus à qui ira voter.. qui est aussi une déclaration.

      la marge d’erreur qu’ils donnent est statistique et porte sur le sondage déclaratif..c’est bidon, l’erreur est ailleurs..

      la question est pourquoi continue t on à croire ces sondages pour donner le résultat d’une élection…

  • Cette élection aura démontré une mobilisation éléctorale sans précedent ce qui est très rassurant, un Joe Biden élu avec plus de 3 millions de voix de plus que Trump ce qui n’est pas rien ….Et surtout surtout…twitter va pouvoir se poser un peu et le discours présidentiel prendra d’autres formes..Pour le reste rien ne sert d’ergoter , rien ne dit que les électeurs de Georgie en janvier n’éliront pas deux démocrates puisque actuellement les sondeurs donnent l’avantage aux républicains..!!!

    • recomptage en cours en Georgie…

    • mobilisation telle que le nombre de votes est parfois supérieur à celui des inscrits…

      • ce qui est complètement faux. Encore un fake news, je vous invite à regarder le nombre d’inscrits et les valeurs donnés par ces soi-disantes « sources »

    • Pas plus de 3 millions, mais plus de 4 millions (précisément 4. 501. 000)

      Si, cette fois-ci, le Bouffon dont je préfère oublier le nom, l’emporte, je crains une guerre civile.

      Je fais le pari qu’aucune juridiction (tant fédérée que fédérale) n’osera contester

      • (suite) … les résultats, même si pour l’instant ils testent partiels !

        • l’élection du Président américain n’est pas au suffrage direct, ce sont des grands électeurs qui le désignent, chaque État en ayant un nombre défini. En 2016, Clinton avait eu plus de suffrages populaires, mais le nombre des grands électeurs favorable à Trump était plus important. C’est pourquoi il a été élu. Et ce n’est pas plus un bouffon que Clinton ou Biden, qui sont tous deux corrompus jusqu’à la moelle.

      • Vous pourriez nous éviter vos insultes envers Trump qui est tout sauf un bouffon. Qu’avez vous fait dans votre vie comparé à lui? Je ne supporte pas les mauvaises langues qui se permettent ce genre de réflexion sur des gens qu’ils ne connaissent pas!

        • Vous êtes vraiment exceptionnel…Vous connaissez Trump vous..???
          A part wikipedia j’en doute fort…!!!

          • De quoi je me mêle? Faut que vous la rameniez? Je n’ai pas dit que je le connaissais, mais un homme intelligent n’insulte pas une personne dont il ne sait rien. Répétant comme un mouton idiot les calomnies de ses adversaires! Vu l’âge et la notoriété du monsieur il est archi connu aux USA et tout américain connaît son passé et son CV.

            • Vous vous contredisez…Je ne le connais pas et tout le monde le connait..!!! Excellent documentaire sur Arte montrant les liens dudit président avec la mafia russe et la locale aussi ,…

              • Les américains le connaissent! Vous êtes encore plus stupide que je croyais. Arte est profondément de gauche et c’est ce que vous citez comme référence? Qu’est ce que Trump a à voir avec la mafia russe alors que c’est un promoteur américain qui oeuvre aux USA? Avec les Aliens aussi? Pour être aussi crédule faut en tenir une sacré couche! Toutes les calomnies sont bonnes contre ce type, et c’est ce qui me révolte, je déteste les lâches qui s’acharnent sur les boucs émissaires! Si vous êtes de gauche vous n’avez rien à faire sur ce site!

        • Ce qui compte c’est ce qu’il a fait. Il n’a pas provoqué de nouvelle guerre et rapatrié les troupes. Et il a stoppé les délires écologistes, baissé les impôts, supprimé les règlements qui entravaient l’économie, réduit le chômage grâce à la reprise économique provoquée par la baisse des impôts et l’arrêt de l’immigration, ce qui a permis en même temps une hausse de 19% des bas salaires ( que l’immigration tire vers le bas ). Lutté contre l’expansion belliqueuse de la Chine tant sur le plan économique que diplomatico-militaire (à Pékin on fête au champagne la disparition du seul type qui faisait obstacle à l’hégémonie chinoise, et on prépare des liasses de billets pour Biden le corrompu) et il a même réussi à réconcilier certains Arabes avec Israël. Donc pas mal quand même.
          Bien que je ne sois pas du tout d’accord avec certaines de ces décisions, le bilan est positif. Maintenant on va avoir droit à une reprise de toutes les conneries de la gauche américaine et des écologistes! Lutte contre le réchauffement (Al Gore va pouvoir s’en mettre plein les poches), politiquement correct, racialisme et communautarisme exacerbé, socialisme, etc… L’establishment a remporté la victoire contre le peuple, et va continuer de mettre en coupe réglée le pays, mépriser le peuple des déplorables sur le dos duquel il vit et prospère, collectiviser et supprimer les libertés qui sont la marque de l’Amérique! Les migrants clandestins vont affluer ce qui va poser des préjudices aux plus pauvres (concurrence sur le marché du travail et criminalité), etc… Et avec un peu de chance Kamala Harris se retrouvera présidente!

      • S’il doit y avoir une guerre civile, soyez sur quelle sera déclenchée par des électeurs démocrates. Cette année c’est bien des villes démocrates qui ont été mises sens dessus dessous par leurs habitants.

    • la gauche et son « green new deal », la même gauche étatiste, anticapitaliste et pro-immigrationniste que dans la France dévastée c’est « rassurant » ?
      Euh… LOL !

  • autre question… pourquoi les médias européens et francais en particuliers ont ils été si prompts à relayer la bonne parole?
    Je n’ai jamais vu un tel déferlement de haine à l’encontre d’un président démocratiquement élu. Même Chavez, Castro et le joufflu nord coréen ont bénéficié de plus de sympathie.. c’est dire

    • @ragnarok.;ils passent pas leur temps sur twitter à raconter des balivernes…Enfin des vacances..

    • Parce que les media de gauche dans un pays communiste comme la France ont plus de sympathie pour des dictateurs criminels que pour un président de droite démocratiquement élu. Bolsonaro est dans le même cas que Trump! La politique de la gauche, aux USA aussi, est de semer le calomnie et la haine contre ses adversaires pour les discréditer… et les crétins qui votent avalent !

      • qui plus est, les médias français le détestaient déjà avant qu’il ne soit élu… télé réalité, milliardaire, libre et provocateur et anti deep state.. on le connaissait avant ses twits

    • Le vrai clivage est entre globalistes et nationalistes (à prendre sans connotation péjorative: volonté de défendre la nation comme espace de décision politique).
      Ceci explique cela.
      A noter que les peuples se révoltent de plus en plus contre les globalistes et leurs projets de contrôle mondial. La « crise » du Covid, dans ce contexte, n’est pas un hasard.

  • il me semble qu’aucun résultat officiel n’est encore tombé.
    Les médias affirment Biden vainqueur tout de même, comme pour forcer le destin ?

    • Tactique d’intimidation bien connue. Ils gagnent à tous les coups : si l’adversaire se décourage, ils ont le poste ; et si l’adversaire se rebiffe comme c’est le cas actuellement, ils l’accusent de chercher à subvertir la démocratie, de jeter de l’huile sur le feu, de diviser les Américains (comme si les Dems ne passaient pas leur temps à diviser les Américains, avec la dictature des minorités)…

  • Cette élection montre au moins une chose: une élection présidentielle – en plus sur un continent de 350 millions de personnes – est une aberration pratique : les erreurs et la pagaille sont inévitables , et démocratique: Il n’y a pas de débat sur les grands sujets, tout se concentre sur des problèmes souvent sordides de personnes.
    Il faut à l’évidence un scrutin indirect, avec une vraie campagne d’idées.

    • Ce n’est pas tant un problème de mode de scrutin que celui de l’extension sans fin du domaine politique. Peu importe le mode de scrutin dès lors que le politique est dépouillé de son pouvoir (de ruiner l’économie en fonction des dernières lubies politiciennes à la mode).

      C’est bien pourquoi une démocratie qui se respecte ne peut tolérer la persistence d’idéologues socialo-collectivistes dans le champ politique.

      • +1000
        en effet, a quel moment le politique s’est il cru autorisé à envahir tous les champs d’activité?
        ça s’appelle un cancer, et c’est mortel pour l’hôte

    • @HERAKLES
      Bonsoir,
      Pour information, les U.S.A comptent un peu plus de 183 millions de votants.
      Quand des personnes mettent dans des bennes à ordures des boîtes contenant des bulletins de votes par correspondance ; quand des individus apportent des caisses devant un centre de dépouillement (comme à Détroit) désert, sans la moindre surveillance à l’extérieur ni à l’intérieur, sans contrôle des personnes entrantes ni contrôle de ce qu’elles portent, transportent, dans ce centre ; quand un gouverneur parle de « morts qui votent » ; quand les accès à ces centres sont interdits d’accès aux observateurs des partis en lisse ; quand des votes sont ajoutés au décompte pendant que ce dernier est arrêté (dans le Michigan) ; quand on parle de transparence et qu’on met des panneaux pour cacher les dépouilleurs du public : ce n’est pas le mode de scrutin qu’il faut changer : il faut trouver ceux qui trichent (trahissent) et les punir.
      Au vu de l’importance de l’événement, et des suspicions de triche, on aurait pu croire que les bulletins de vote et les centres de dépouillement auraient été sous une surveillance et protection digne de Fort Knox. Il n’en a été rien.
      Cette élection pue le vol purement et simplement, par bourrage d’urnes, et par le fait des démocrates.

      Personnellement, quand j’ai vu que l’Arizona avait voté pour Biden, j’ai cru avoir la berlue et j’ai trouvé que les élections puaient.

      • Sans compter les centaines de milliers de votes apparus en Pennsylvanie ou Georgie sur les statistiques googles (pourtant « en live ») c’était hilarant ! 😀

      • Aucune preuve, intéressant de voir qu’à force de répéter un mensonge, certains finissent par y croire.

  • Très juste! Il est inquiétant de voir, après l’échec lamentable dans tous les pays qu’il gangrena (pénurie et pauvreté, sauf pour la nomenklatura) et plus de 100 millions de morts, que le socialisme regagne à nouveau du terrain dans les pays démocratiques, incapables de tirer leçon du passé! Errare humanum est, perseverare diabolicum!

    • Il paraît qu’un jour Soljenitsyne a dit ceci : « Aujourd’hui les dissidents sont à l’Est, ils vont passer à l’Ouest. »

      Dans pas mal de pays de l’Est (surtout ceux à qui le communisme a été imposé de l’extérieur), les gens ont parfaitement retenu la leçon de l’Histoire.
      À l’Ouest, nous n’avons jamais été soumis au joug marxiste, aussi la leçon n’est-elle pas inscrite dans notre chair. Peut-être est-ce cela qu’il faut : que la leçon soit inscrite dans la chair des Occidentaux.

  • Un peu triste de vous voir tomber pour cette histoire de fraude.

    Une victoire de justesse mais à ce jour il y a quasiment 5 millions d’électeurs de plus qui ont votés Biden. C’est sûr que la démocratie n’est plus trop une notion importante chez les républicains qui ont perdu 7 des 8 derniers votes populaires mais ont pourtant eu 3 mandats. Sans le système des grands électeurs, ils auraient du mal à exister

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