Le regard de René Le Honzec.
L’UMP est parfaitement représentative de la société électorale française : elle vit de l’État, subventionnée, pour l’État, pour le prendre et vivre de ses prébendes, comme l’État, en empruntant faute d’avoir une activité de production de richesse. Ce mimétisme la pousse à survivre comme son modèle, en empruntant (55 millions !) à défaut d’avoir des militants qui la soutiennent financièrement, comme aussi les syndicats, les organisations patronales, les grands groupes alimentaires ou industriels qui ne savent que demander à l’État de les sauver de leurs gestions défaillantes et du grand méchant loup de la mondialisation.
Mais envisager de voter pour des responsables incapables de gérer sans tricher un simple compte de campagne, de diriger un parti incapable de se régenter, élevant la haine personnelle en style de gouvernance ? Ces qualités sont sans doute essentielles pour être à la tête de l’État, certainement pas pour développer un pays.
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