La stabilité politique d’un État n’est plus un indicateur pertinent. De même, les indicateurs macro-économiques, quand ils sont surpondérés, ne sont plus adaptés pour apprécier les risques politiques puisque que ceux-ci ont fait croire à la modestie des risques de ce type en Tunisie ou en Égypte.
Aujourd’hui, il faut renverser la méthodologie du risque-pays en accordant une place accrue à des indicateurs qualitatifs comme la qualité de la régulation publique, la transparence et concertation (voice and accountability), la lutte contre la corruption, l’équité et la justice, etc.
Lire la suite de l’analyse de Corinne Vadcar sur le site de Telos. Cet extrait a été reproduit avec l’accord de Telos.
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