Gilles Babinet : « Nous sommes à deux doigts de la dictature numérique »

Gilles Babinet, nommé « Digital champion auprès de Neelie Kroes », pour porter la voix numérique de la France à Bruxelles, s’insurge contre le système de surveillance des données, inclus dans la Loi de programmation militaire.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Gilles Babinet : « Nous sommes à deux doigts de la dictature numérique »

Publié le 13 décembre 2013
- A +

Gilles Babinet, nommé « Digital champion auprès de Neelie Kroes », pour porter la voix numérique de la France à Bruxelles, s’insurge contre le système de surveillance des données, inclus dans la Loi de programmation militaire.

À lire sur Les Echos

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Internet rend toutes vos données publiques et éternelles. Or, chaque donnée peut vous porter préjudice ultérieurement.

Dans cet article, nous examinerons les mesures que vous pouvez prendre pour protéger les données de vos enfants et garantir leur sécurité en ligne.

 

Sensibiliser au risque

Les données alimentent notre traçage sur internet, et parfois des trafics douteux.

On trouve sur internet des reventes massives de comptes Facebook ou Instagram, de cartes bancaires pirates ou des photos illégales. De pl... Poursuivre la lecture

Par Nicole Saad Bembridge.

La Cour suprême vient d'entendre les arguments dans l'affaire Gonzalez contre Google. Selon les médias de tous les horizons idéologiques, elle déterminera l'avenir de la liberté d'expression sur Internet.

Les gros titres n'ont pas tort : une décision contre Google pourrait anéantir la loi essentielle à la liberté d'expression qui offre aux sites web la protection dont ils ont besoin pour accueillir les propos des utilisateurs. Mais l'affaire Gonzalez n'est que l'une des quelques affaires de liberté d'e... Poursuivre la lecture

Par Yannick Chatelain et Jean-Marc Huissoud.

 

En Chine, le pouvoir dispose de plus de 280 000 « fonctionnaires » rémunérés pour « fabriquer » l’opinion publique. Leur appellation ? La water army (l’armée de l’eau) créée en 2010. Cette « armée » se compose d’utilisateurs et utilisatrices – qui peuvent faire partie de firmes privées – rémunérés pour publier des commentaires en chinois sur des sites web selon les directives gouvernementales. Ils opèrent généralement sur les plateformes en ligne les plus prisées comme le site ... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles