Le virus a tué l'ordre libéral
L'ordre libéral a réalisé des prouesses d'autant plus remarquables qu'elles n'ont pas été comprises ou appréciées. Ce n'est que maintenant, peut-être, que nous apprécions ce que nous perdons.
L'ordre libéral a réalisé des prouesses d'autant plus remarquables qu'elles n'ont pas été comprises ou appréciées. Ce n'est que maintenant, peut-être, que nous apprécions ce que nous perdons.
La peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a pris la correcte mesure.
Qu'est-ce qui différencie le libéralisme du conservatisme ? Petite réflexion à partir d'un texte classique de Friedrich Hayek.
Pour le libéral, les missions de l’État doivent se limiter strictement aux activités qui par nature ne peuvent pas être exercées sans la coercition, sans le monopole de la violence légale.
"N’oublions pas ce qui fait le sel du libéralisme : l’individu dans sa singularité, son imprévisibilité, sa propension à errer et à se tromper." Une tribune de Gaspard Koenig.
Il existe d’autres alternatives que le "toujours plus d’État". Qui aura le courage de porter la question sur la réforme des institutions, et de défendre la Constitution de la liberté pour sortir de la crise ?
Opinion : face aux antivax, l’enjeu n’est pas notre santé, mais la façon dont nous sommes traités. Une réponse plus complexe que les slogans et les anathèmes.
Le modèle d’utopie proposé par Robert Nozick est-il le plus pertinent pour décrire l’écosystème des réseaux sociaux et des plateformes réellement existant ?
Il est vraiment temps de réagir aux caractéristiques anti-libérales de la politique française depuis des décennies. L'analyse de Pascal Salin.
Dans un système de liberté économique et de libre concurrence l'individu est motivé à continuer à travailler pour créer encore plus de richesse et l’échanger avec des pairs contre le fruit de leur travail.
Chaque jour on nous ressert désormais l’idée qu’on va bâtir un nouveau monde. Dans lequel, bien sûr, il sera mis fin à cette horreur suprême que constitue le « néolibéralisme ».
Selon John Locke, c'est par nature que l'homme est social. Aussi est-il pourvu de droits naturels, qu’aucun législateur n’a créés.
La confusion qui s’est installée entre le libéralisme classique et le liberalism au sens américain du terme est réelle.
Refuser d'être asservi au régime de l'altruisme obligatoire et boursouflé qu'est le sacro-saint système de santé ou de redistribution cher à l'étatisme français ne conduit pas nécessairement à l'indifférence à autrui.
A l'occasion de la Journée internationale des droits de l'homme, une défense raisonnée de l'élément central de notre ordre juridique contemporain. Un débat entre libéraux.
Il serait extrêmement souhaitable que le respect des droits de propriété légitimes soit considéré par tous les individus du monde comme une exigence fondamentale.
Deux siècles après Tocqueville et Constant, les régimes reconnaissent toujours la décentralisation comme une menace. Ceux qui cherchent à limiter le pouvoir de l'État devraient en prendre acte.
Nous approchons rapidement de l'étape de l'inversion ultime : l'étape où l’État est libre de faire ce qu'il veut, tandis que les citoyens ne peuvent agir que sur autorisation.
Retour sur une entrevue d’Alex O’Connor (le Cosmic Skeptic) avec le Dr Michael Sandel, professeur de théorie gouvernementale à Harvard et auteur du livre The Tyranny of Merit.
Alors que l’on voit se multiplier depuis quelques années des lois pour lutter contre l’insécurité d’une part et l’islamisme de l’autre, les libéraux sont loin d’avoir une analyse partagée de ce qui se passe sous leurs yeux.