Pendant que la Chine travaille, l’Europe sort piteusement de l’Histoire

Face à l’esprit conquérant de la Chine marxiste, force est de constater qu’une partie des élites européennes a déjà levé le drapeau blanc par antilibéralisme. Témoignage.

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Pendant que la Chine travaille, l’Europe sort piteusement de l’Histoire

Publié le 30 octobre 2022
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Ouverture d’un colloque sur l’avenir du travail dans une université française cette semaine. En vedette, deux universitaires spécialisées en management : l’une belge, l’autre franco-chinoise.

La première donne un aperçu du travail aujourd’hui et envisage trois scénarios possibles pour son futur proche. Soit le travail disparaît pour laisser la place aux robots, soit nous laissons lentement les relations se dégrader sous les coups de boutoir de la mondialisation malheureuse, soit nous réformons, c’est-à-dire nous encadrons, réglementons, légiférons un capitalisme foncièrement mauvais. L’intervenante ne cache pas sa préférence pour la dernière solution et même pour une « sortie du travail de l’univers marchand ».

 

Sacrifier l’individu pour la collectivité

La seconde intervenante explique de son côté à quel point le travail est une valeur positive aux yeux des Chinois, qui sont prêts à sacrifier toute individualité et tout confort personnel au service du bien commun, que celui-ci s’incarne dans la famille ou la nation. Oui, parce que la Chine, ce n’est pas l’Occident : c’est un pays collectiviste qui assume totalement son collectivisme, et dont les racines, aux dires de l’intervenante, sont bien antérieure au communisme national. Et le but des élites chinoises, c’est devenir leader sur le marché des nouvelles technologies pour dépasser l’Occident : l’avenir du travail en Chine, c’est toujours plus de travail pour un jour espérer atteindre un niveau de vie comparable à celui des Occidentaux.

D’un côté, nous avons un regard européen qui n’envisage le travail que comme un divertissement ou une distraction qu’il serait possible d’extraire du monde économique, alors qu’il en assure une fonction essentielle ; de l’autre, le regard chinois sanctifie l’effort et le travail pour contester la suprématie occidentale, qui, dans sa version européenne, semble avoir déjà baissé les bras. D’un côté, l’enfant gâté qui a oublié que le travail répond à des besoins et alimente l’extraordinaire prospérité occidentale ; de l’autre, la glorification du travail jusqu’au sacrifice, sans voir qu’il n’est rien dans le collectivisme politique, si ce n’est du servage au service des bureaucrates et des oligarques.

 

Le capitalisme c’est horrible !

Oui, car ce qui frappe l’observateur de l’échange entre ces deux intervenantes, c’est leur accord de fond sur la perversité du capitalisme et la nécessité d’une plus grande régulation politique mondiale au nom de la « justice sociale ». Le capitalisme engrange les inégalités, les gafam gouvernent le monde, fractionnent le marché du travail et menacent le climat.

D’un côté, la solution, c’est le retrait du monde : l’Europe doit s’effacer politiquement et économiquement en adoptant l’idéologie climatique de sortie de la compétition mondiale pour la suprématie politique. De l’autre, c’est le marxisme dans sa forme la plus pure et la plus fausse, qui glorifie la valeur travail, envisage de dominer le monde, et surtout propose de remplacer l’affreux ultralibéralisme individualiste par le contrôle social et politique total, éventuellement appuyé sur les dernières évolutions des technologies de surveillance. Dans les deux cas, plus d’interventionnisme politique agit comme une solution miracle. Les deux intervenantes opinent du bonnet, d’accord pour une régulation politique mondiale du travail.

Face à l’esprit conquérant de la Chine marxiste, force est de constater qu’une partie des élites européennes a déjà levé le drapeau blanc par antilibéralisme.

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  • Ce qu’il ne faut pas oublier, c’est que ce que désirent les gens, ce n’est pas un travail ni de l’argent, mais des biens et des services. Et ceux-ci ne poussent pas tout seul dans les arbres.

    • La société ne sera pas organisée par des robots et leur substitution aux travailleurs de toutes catégories sera lente et l’homme cherchera à en dominer la progression. Leur utilité dans les tâches ingrates et très spécifiques est certes souhaitable.
      Cependant la substitution de la dette à l’épargne la première étatique ne peut pas être décidée par des politiciens qui ne connaissent pas l’investissement et la responsabilité des capitaux engagés , l’on en mesure aujourd’hui l’emploi et l’inefficacité économique et l’irresponsabilité qui l’accompagne (la patate chaude). Le « quoi qu’il en coûte » pas plus que la « théorie moderne de la monnaie » dont le premier écoule, ne sont sérieux .

    • Vous oubliez le trait de génie de Coluche à propos du travail:  » vous dites que les gens veulent du travail, mais de l’argent leur suffirait! »!

  • Peut-on avoir un lien pour suivre les propos de ces deux intervenantes ?

  • « l’idéologie climatique  » dont la signification à ‘l’instar de l’ideologie environnementaliste reste à préciser.

    parce que quand vos actes ne changent rien à l’environement au sens global ou au climat global.. on est endroit deposer quelques questions sur le sens des mots. et ce que ça cache.

    je vais le répéter je veux bien non pas sauver le climat mais accepter un objectif mondial d’émission de CO2.. typiquement via une taxe carbone.. arbitraire banal..

    mais à certaines conditions que je pense irréalisables.

    universalité et uniformité mondiale… pour que ce ne soit pas un outil de redistribution pays à pays dans les mains de politiciens locaux;.
    et transparence totale et principes clairs d’utilisation de cette taxe… pour que ça ne devienne pas un outil de redistribution de richesse et de connivence dans les mains des politiques!!!!
    parce que personne ne croit qu’on va se passer des fossiles et que la question est que le compromis à définir est lié à une minimalisation de l’amoindrissement de richesse.
    une des rares mesures qui fasse sens serait investissement massif de la taxe carbone dans le nucléaire…

    si redistribution il ya de pays à pays il faut en définir le rationnel..donc. en fait une forme de dette historique.. au sens que ne n’arrive pas à préciser sans y avoir réfléchi..

    Je n’y crois pas une seconde…or sachant que si une des conditions n’est pas remplie car accepter une politique c’est littéralement donner un blanc seing aux élus pour taxer..

    et je n’ai pas parlé dun niveau des émissions!!! juste la taxe..

    similairement, je suis à donf pour le collectivisme…quand on m’aura défini le bien commun de façon non arbitraire..sinon c’est donner un blanc seing aux dirigeants pour m’envoyer au travail forcé..

    la petite dame quand elle dit la fin du travail… avec l’idée d’exploitationen arrière plan, je présume, c’est pour elle..elle fait ce qu’elle veut et moi je fais AUSSI ce qu’ELLE veut.

    Rien ne l’empeche de renoncer déjà au travail…

    • Bonjour Jacques Lemière, comme à votre habitude vous avez des idées intéressantes mais votre texte est bâclé. Je vous suggère de l’écrire préalablement sur un document Word pour nous en rendre la lecture aisée
      Merci de m’avoir lu et peut-être ecouté

    • L’idéologie n’échoue pas quand elle ne marche pas. On le voit bien avec le socialisme, on le verra bien avec l’écologisme tel que pratiqué. Les idéologies sortent du champ de la rationalité.
      Si avec plein d’écologistes au pouvoir le climat ne s’arrange pas, leurs idées ne vont pas disparaitre. D’ailleurs l’objectif des dirigeants idéologues n’est pas d’arriver à leur but quel qu’en soient les moyens. Il faut que ces moyens soient compatibles avec l’idéologie, et ce même si cette contrainte empêche d’arriver au but.
      Les marxistes veulent la prospérité grâce au collectivisme.
      Les écologistes veulent le bien être humain par la décroissance.
      Le moyen est fixé d’avance, même s’il est contre productif.

  • Mais les élites sont rarement libérales, le libéralisme implique la concurrence avec le risque de perdre sa position privilégiée ce qui est in envisageable pour l’élite.
    Une population sous contrôle social au comportement de fourmi est l’idéal pour les élites

  • La vision européenne politique est « arrosoir le peuple de subventions pour rester au pouvoir ».
    la vision chinoise est « si l’individu ne veut pas travailler, libre à lui de crever de faim »

    • La vision européenne est surtout sociale (mot belette) j’emploierai donc le mot socialiste équivalent à je n’aime pas le travail. Sauf que sans travail pas de salaire donc pas de nourriture logement etc. À chacun selon ses besoins n’est pas responsable car d’autres doivent assumer le travail non réalisé c’est équivalent à de l’esclavage. Il n’est pas non plus question de convoiter la richesse d’autrui qui est aussi apparentée à du vol.

    • « si l’individu ne veut pas travailler, libre à lui de crever de faim ». Ca c’est la vision libérale en fait. La version chinoise, c’est plutôt « si l’individu ne veut pas travailler, on le tuera ».
      Dans les dictatures, le choix de la mort n’est pas libre.

      • Pas besoin de le tuer, il mourra de faim tout seul. Il suffit d’aller faire du tourisme en Chine et de discuter avec les Chinois pour s’en rendre compte.

  • Avatar
    The Real Franky Bee
    30 octobre 2022 at 8 h 20 min

    Comme l’expliquait Alain Peyrefitte, les intellectuels de salon français ont applaudi des deux mains Mao et sa Révolution Culturelle, avant de tourner le dos au PCC de Deng qui s’ouvrait au capitalisme, feignant de découvrir là un problème de droits de l’homme en Chine. L’hypocrisie radicale chic dans toute sa splendeur. Au passage, la France a en partie loupé le coche de la méga-croissace chinoise, contrairement à l’Allemagne. Mais bon notre pays a l’avantage de pouvoir compenser ses mauvais choix dogmatiques par une dépense à l’infini et la planche à billets (du moins le croit-on).

  • On voit aussi que l’Occidental cherche à se projeter dans un futur plus ou moins rêvé, tandis que le Chinois se détermine simplement pour infléchir la trajectoire du présent.

  • « Pendant que la Chine travaille »: Taïwan ou Formose? Travail ou agitation?
    Le véritable travail c’est de savoir attendre (Jean Rostand).
    Ce qui doit arriver arrive (Jacques Rueff).

  • L équivalence indispensable entre : argent et travail a été rongé altéré et maintenant presque détruit. Les formes variées du communisme chez nous se sont attaqués à l’argent , en oubliant volontairement que l’argent n’est qu’un stock de travail . Alors rien d étonnant que le travail soit maintenant chez nous jugé non nécessaire . A « quoi qu’il en coûte constant » , pourquoi travailler ?

    • Certes, mais quand le « quoi qu’il en coûte devient exponentiel »?

      • Avatar
        The Real Franky Bee
        30 octobre 2022 at 9 h 26 min

        Quand l’argent n’a plus de valeur, l’économie s’effondre et la société se délite. Beaucoup de grandes crises historiques ont fondamentalement une origine économique et monétaire.

      • @C2MR si le quoi qu’il en coûte devient exponentiel , le pourquoi me lever le matin deviendra aussi exponentiel tout comme le nombre d’afficionados , surtout à frontières inexistantes constantes . L’argent magique c’est comme le mouvement perpétuel , le Graal , la pierre philosophale , tout ceux qui prétendaient les avoir trouvés étaient des illusionnistes . Ce qui m’étonne c’est que les gens achètent encore la grosse ficelle . Ca ne croit pas en Dieu mais par contre ils sont près à gober toutes les martingales , normal finalement .

        • Vous avez raison, et on voit que beaucoup de jeunes qui sont ( en théorie?) l’avenir de notre pays, ont un mal de plus en plus exponentiel à se lever le matin, et ceux qui sont debout auront bien du mal à tirer la charrette sociale, pour autant qu’ils n’aient pas émigré avant sous des cieux plus cléments où le travail est encore valorisé!

  • « D’un côté, nous avons un regard européen qui n’envisage le travail que comme un divertissement ou une distraction qu’il serait possible d’extraire du monde économique, »
    Non le bourrage de crâne veut convaincre que le travail c’est une aliénation, une souffrance, qu’il faut éradiquer.
    Voilà l’idéologie de la décroissance au pouvoir. La décroissance nous allons l’avoir, elle a commencé son cheminement ravageur. Question à M le Maire, grand spécialiste des finances: que fait on – lorsque nous sommes en décroissance – avec 3000 milliards de dette qui s’accroissent chaque année de 100 milliards ?

  • Je rêve ou quoi ? Anticiper l’Histoire ou conclure sur la base d’un échange entre deux universitaires qui balancent de gros poncifs. Dans les années cinquantes l’URSS conquérante de Staline puis de Kroutchev allait avaler l’occident parce que officiellement ou naïvement les valeurs du communisme était supérieures au capitalisme. On a vu le résultat. Certes la Chine actuelle pragmatique n’est pas l’URSS ou l’arbre du prestige international masquait la forêt des lacunes nationales.
    Je sais que sur CP on aime taper sur l’Europe et l’occident mais quelques remarques :
    L’Europe puis l’occident l’ont connu (et le connaisse encore), la place du puissant fait de vous un ennemi ou un rival de plus en plus marqué avec le temps. A ce titre le déferlement chinois atteindra rapidement ses limites. Selon le principe de shismogenèse qui détermine les sociétés humaines, toutes ne voudront pas épouser de gré ou de forces le modèle chinois, ce qui peut se produire à l’échelle régionale mais pas planétaire.
    Alors peut être que l’Europe veut travailler moins et la Chine plus (shismogenèse) mais cela ne préfigure en rien de l’issue sur le plan historique d’autant que les modèles autoritaires sont particulièrement rigides donc cassants.
    Pour finir cela ne signifie pas non plus que l’Europe/occident telle qu’actuellement vaincra, l’avenir sera différent mais comment ??

    • Les limites sont déterminées par là où l’argent des autres est devenu indispensable et commence néanmoins à manquer. La manière dont on peut transgresser ces limites n’est pas écrite, en effet, mais avec la méthode occidentale actuelle, ça ne va pas le faire. Et s’il est évident que le modèle chinois a ses limites, certaines valeurs éternelles devront impérativement faire partie du modèle futur pour qu’il s’impose. Des valeurs comme qui ne travaille pas ne mange pas, ou qui ne sait pas se tait. Les pillards seront expulsés, et il leur faudra quelques décennies ou quelques siècles pour réapparaître. Et contrairement à ce qu’on veut nous faire croire, le système fondé sur le pillage n’est pas celui de l’expansion chinoise, mais celui de la décadence occidentale.

      • Le système chinois n’est pas fondé sur le pillage, euh vous êtes sérieux !
        Bon ok il y a matière à critiquer l’occident mais il y a tout autant matière à critiquer la Chine. Et l’expansion ne doit pas masquer cette réalité. Ou alors la fin justifie les moyens mais cela sera sans moi.
        Et puis si il y a décadence elle est planétaire parce que je ne vois pas un modèle sortir DURABLEMENT du lot.
        Enfin franchement, ceux qui passent leur temps à tout dézinguer dans leur propre camps, fricotant par défaut avec l’adversaire, dans une passivité coupable, ne m’inspire pas confiance.
        Même si le bateau coule je ne quitterai pas le navire !

        • L’Europe, aux richesses minières très limitées, ne doit son bien-être qu’au pillage, du Nouveau Monde d’abord, de ses colonies ensuite, au nom bien sûr de la Civilisation. Le relais est actuellement remarquablement assuré par les USA, au nom de la Démocratie. Quant à la Chine, elle joue plutôt les usuriers.

          -1
          • C’est absolument n’importe quoi. L’Europe a d’excellentes richesses minières et agricoles. Du gaz en mer du Nord, des réserves considérables de gaz de schiste, considérables de charbon, il y a pas mal de terres rares d’ailleurs (c’est marrant, on nous rabâche qu’elles sont toute en Chine), de l’uranium (dont on nous dit que les centrales nucléaires imposent de l’importer d’Afrique). Et des terres très fertiles, un climat très varié.
            C’est juste qu’en Europe, et encore plus particulièrement en France, on refuse les mines, car c’est considéré comme du passé. La vision d’un mine aujourd’hui en France, c’est ça http://www.mine-capgaronne.fr/
            Et pour y avoir été, je peux vous dire que ses concentrations sont élevées, telles qu’il peut être intéressant de se servir soi même pour revendre le cuivre.

        • Quand on veut commercer plutôt que piller, il n’y a pas d’adversaire, seulement des partenaires potentiels. Des individus, avec leurs aspirations et les contraintes que leur imposent leurs dirigeants. Bon, il y a un peu de pillage en Chine, comme dans tous les pays corrompus, mais c’est ridiculement peu par rapport à ce qu’il y en a chez nous.
          Et il n’y a pas de camp dont je me sente proche, seulement des individus. Leur point commun est de respecter le travail des autres, et de chercher à coopérer pour le bien mutuel.

          • Les myrmécologues ont découvert assez récemment que presque toutes les colonies de fourmis quelle que soit l’espèce entretiennent une armée de fourmis paresseuses de l’ordre de 30% voire 50% des effectifs. Voilà le mythe de la fourmi travailleuse bien écorné ! Pour l’instant semble t-il le rôle de ces paresseuses n’est pas établi. Cependant si elles existent il y a nécessairement une raison. Cette raison nous échappe pour le moment, d’autant plus que cette inactivité (apparente) s’oppose au paradigme de la fourmi travailleuse. Comment est-ce possible du point de vue de la sélection naturelle ? Peut être que ce que nous appellons paresse n’est pas de la paresse pour la nature.
            Ce que je veux dire c’est peut être qu’un monde qu’avec des libéraux (si on arrive à se mettre d’accord sur la définition) ou alors des principes libéraux, tournerais encore moins rond qu’actuellement. Si je suis libéral (par naissance pourrais-je écrire) je me garde d’en faire le bien de l’humanité. L’observation des individus et du monde en général aujourd’hui et par le passé me remplit d’humilité. Parfois je me demande si Leibniz n’avait pas raison, nous vivons dans le meilleur des mondes possibles.

  • D’ordinaire, Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes.
    Les anticapitalistes Le laissent perplexe : car voilà des gens qui déplorent la cause – le capitalisme – dont ils apprécient les conséquences – la prospérité.

  • Beaucoup de dirigeants des pays démocratique occidentaux ne dirais pas non à un contrôle de ses citoyens,la preuve par toutes les crises ( loi d exception sur le terrorisme,sur le covid,ect…) Qui permettent de nous limiter dans nos déplacements.
    Quand à la Chine pour le moment le système est bien en place, mais nous constatons que tout doucement que la croissance recule suite aux gestion de crise sanitaire,de l effondrement du marché immobilier, si la décroissance Chinoise continue est ce que la population l acceptera nous pouvons en douter , nous verrons.

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