À force, les naïfs qui croient encore aux fadaises gouvernementales se rapprochent des complices qui participent, voire des collabos.
Sous couvert de l’état d’urgence sanitaire, la France multiplie des initiatives plus liberticides les unes que les autres, en tentant d'aller au-delà de la réglementation européenne.
Bruno Le Maire affiche son « sérieux » budgétaire dans les médias et aligne en conséquence quelques chiffres mirobolants qui ne signifient rien et n’engagent à rien.
Supprimer l’ENA est une bonne idée si cette décision s’inscrit dans le cadre d’une réforme radicale de la haute administration et du service public. Mais pas s’il ne s’agit que de remplacer l’ENA par une autre institution qui lui ressemble.
Il faut restaurer le plus vite possible les libertés fondamentales en abandonnant toute idée de retour en arrière. En cas de nouvelle dégradation, la liberté de la jeunesse doit donc être sanctuarisée, il ne faut plus rien décider qui puisse la pénaliser.
Aujourd’hui, c’est au nucléaire et aux Français de se courber devant les caprices des énergies renouvelables, le premier en adaptant sa production, et les seconds en soumettant leur vie quotidienne aux lois de l’intermittence.