Barbie Entrepreneur ou le sexisme à portée de tous les analystes

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Barbie Entrepreneur ou le sexisme à portée de tous les analystes

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 16 mars 2014
- A +

C’est connu : lorsqu’on n’a qu’un marteau, tout ressemble à des clous. Et si c’est vrai pour un Montebourg dont l’unique occupation, que dis-je, la compulsion maladive consiste à bouter tout ce qui n’est pas Made In France hors du pays, il en va de même pour toute une frange de population pour qui l’inégalité sexuelle est – sans aucun doute possible – le problème numéro un que la société doit résoudre au plus vite. Forcément, cela donne lieu à d’intéressantes analyses.

Et actuellement, en plus, ça tombe bien, la période est particulièrement propice aux articulets enflammés qui découvrent, au détour d’un logo, de publications, de produits commerciaux, la preuve irréfutable qu’il y a bien quelque chose d’incroyablement sexiste et de pourri au Royaume de Bisounours ! Heureusement, le gouvernement a placé haut la lutte pour les droits de la femme et contre les inégalités, et n’a pas hésité pour cela à nommer un solide bûcheron de la rhétorique poilue coincé dans le corps d’une frêle suffragette de la République en la personne de Najat Vallaud-Belkacem. Depuis lors, toute la société française bruisse délicatement du combat permanent que se livrent les millions de machos déclarés et les rares défenseurs acharnés du sexe dit faible.

Et le constat est qu’il y a fort à faire tant le machisme le plus abject s’est insinué partout !

Et quand je dis partout, je veux vraiment dire partout, y compris dans ces endroits qu’on croirait pourtant à l’abri des adversités, du monde qui pique et de l’âpre réalité de la Nature qui ne se laisse pas faire malgré les coups de poings violents sur la table rase du progrès. Par exemple, comment ne pas voir le sexisme affolant, l’avalanche de clichés tous plus sexistes les uns que les autres jusque dans les livres pour enfants ? Et ce qu’il y a d’incroyablement incroyable avec des bouts de vraie incrédulité dedans, c’est que même lorsqu’armé d’un courage volontaire et d’une plume acide, on s’empresse de dénoncer aux éditeurs ces clichés sexistes dans les livres pour enfants, il ne se passe rien :

« Ce qui est encore plus fou, c’est qu’on a beau alerter les maisons d’édition, les critiquer à longueur de blogs, il n’y a rien à faire. On est face à un mur.(…) Ce qui me choque, et m’inquiète, c’est de voir à quel point ces livres se vendent super bien ! »

Bien sûr : alors que tout le monde devrait rejeter dans un mouvement rageur ces abominables brûlots sexistes et patriarcaux, ces abrutis de consommateurs en redemandent ! Pire : plus on fait des remarques contre le sexisme, plus les individus libres s’empressent de faire exactement le contraire.

Et ce qui est vrai dans les livres l’est aussi dans les jouets, avec un facteur multiplicateur encore plus important. Je pourrais passer pudiquement sur les célèbres poupées Barbie dont tout montre qu’elles font partie de ce plan planétaire machiste visant à assurer la suprématie mâle, mais lorsque j’ai appris que Mattel, la maison-mère du célèbre jouet, avait décidé de faire sortir une Barbie entrepreneur, je me suis bien vite renseigné. Horreur des horreurs mes petits amis dégenrés, c’est encore plus grave que d’habitude : la voilà tout de rose habillée, prête à dégainer son smartphone et sa tablette, à l’évidence, voilà qui est en grave désaccord avec la réalité, bien plus prosaïque, de femmes qui font du business sans être habillé en rose, sans avoir de smartphone ni de tablette. Manque de bol ou stupidité des foules qui s’entichent de fanfreluche genrée, la Barbie sans smartphone, sans tablette et tout de couleurs banales vêtue ne se vend pas aussi bien. Zut et flûte.

barbie entrepreneur

Mais foin du monde de l’enfance, il ne faudrait pas croire que cette abominable tendance au machisme débridé pourrait se restreindre à ces quelques domaines que, moyennant quelques lourdes campagnes de sensibilisation au tractopelle gouvernemental payé par vous, on pourrait encore arriver à contrebalancer. Les multinationales de tous bords, de tous horizons et sur tous les produits rivalisent d’inventivité (et de méchanceté, n’ayons pas peur des mots) pour continuer à s’assurer que le sexisme le plus atroce l’emportera.

Prenez Google : il est bien loin, le temps du « Don’t Be Evil » qui faisait passer la multinationale internet pour une place respectueuse des uns et des autres. On découvre, au détour d’une étude d’un sérieux et d’une application sans faille par un collectif américain d’une impartialité impeccable qui milite pour plus de diversité dans les médias que les doodles de Google seraient orientés !

Les doodles, ce sont les personnalisations du logo de la firme à des dates événements, et représentent souvent la réussite d’une personne en particulier. L’analyse est formelle : le moteur de recherche propose bien plus souvent des doodles d’hommes blancs que de femmes ou de personnes de couleur. C’est parfaitement scandaleux puisque chacun sait que Google doit être impartial, que Google doit remplir sa mission de faire du doodle équitable, bio-économe, transgenre et multiculturel. C’est comme ça et puis c’est tout.

Oui, le sexisme se niche partout, rampe discrètement dans les fissures de l’égalité douce et nécessaire, et une fois en place tel le lierre foisonnant, s’installe et grossit jusqu’à détruire le frêle édifice civilisationnel indispensable pour éviter que les hommes ne se lâchent totalement sur les femmes pour les jeter en esclavage dont elles ne sont sorties qu’il y a quelques années tout au plus. D’ailleurs, on sent déjà que cette fine couche de civilisation est en train de céder dans certains pays : on apprend, catastrophés, que le taux de femmes agressées ou harcelées est plus élevé dans les pays nordiques que dans le reste de l’Europe.

Non seulement les hommes sont des salauds machistes et sexistes qui font absolument tout pour empêcher les femmes de diriger les entreprises, les payent moins et vont jusqu’à les frapper, mais en plus, ils ne le font pas partout de la même façon ! Pire : plus les États font des pieds et des mains pour amoindrir ces différences et faire en sorte que les femmes frappent aussi les hommes les dissensions s’apaisent, plus elles s’exacerbent, plus les plaintes pleuvent et moins les individus se sentent à l’aise dans leurs baskets.

Women : like men, only cheaperLe constat est affolant : le monde devient, à l’évidence, tous les jours plus invivable. Deux petites lueurs d’espoir subsistent cependant, sur lesquelles ne s’attardent pourtant guère les associations de lutte contre les discriminations.

D’une part, le chômage féminin évolue et arrive petit-à-petit aux mêmes niveaux que le chômage masculin, bien que des progrès soient encore à faire dans le domaine. L’analyse pointilleuse de Mathilde Guergoat-Larivière et Séverine Lemière permet de montrer qu’avec les efforts de tous, le chômage des hommes peut lui aussi progresser pour les toucher dans des catégories jusque là réservées aux femmes ; à l’évidence, c’est un travail de longue haleine qui, s’il est bien mené, permettra enfin d’avoir autant d’hommes que de femmes au chômage, et ce dans toutes les catégories de non-travail comptabilisées par l’INSEE. C’est à ce prix que la société sera enfin plus égalitaire.

D’autre part, petit-à-petit, la proportion de femmes dans les « sans domiciles fixes » grandit, ainsi que celle des femmes seules avec enfant. Il y a cependant du chemin à faire puisque les hommes sont encore sur-représentés parmi les SDF (83% d’entre eux). Cependant, nous pouvons avoir dès à présent l’assurance que grâce aux efforts permanents de nos politiciens, du gouvernement, de l’administration et de toutes les associations lucratives sans but du pays, cette situation sera progressivement gommée et bientôt, la France comptera autant de chômeuses que de chômeurs, et autant de femmes SDF que d’hommes à la rue.

Haut les cœurs !

—-
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  • Adèle va nous faire un caca nerveux, ça va être priceless :mrgreen:

  • Najat Vallaud-Belkacem, le stéréotype du stéréotype de genre!

  • Barbie en rose ou barbie en gris, ça reste Barbie. Le drame est que les petites filles pensent qu’il suffit de faire un 36, mettre une robe rose moulante et posséder une tablette et un smartphone pour être considérée comme entrepreneur. L’autre drame c’est que les petits garçons ne voient pas que la cruche en rose n’est pas si cruche et que le rose fait de la jeune femme en gris une très belle barbie!
    J’aime bien la conclusion de cette article, surprenante mais intelligente, il fallait y penser 😉

    • « Le drame est que les petites filles pensent qu’il suffit de faire un 36, mettre une robe rose moulante et posséder une tablette et un smartphone pour être considérée comme entrepreneur.  »

      elles pensent vraiment ca? ou c’est vous qui pensez qu’elles pensent ca parce qu’elle sont adultes et qu’un enfant ca doit jouer en connaissance de cause (feministe) ? ou peut-etre juste vous vous plantez completement?

      • peut être que je me plante, mais pour de nombreuses petites filles, devenues jeunes femmes et en passe de devenir adulte, l’idée est là oui. Les pitchounes jouent à être maman, ou maîtresse d’école 😉

        • « l’idée est là oui. »

          non.Ce qui est la c’est autre chose mais ca vous depasse alors vous plaquez votre grille de lecture primaire sur le monde.

          • Oulah, je ne lis rien du tout sur le monde, je vous rapporte ce que j’ai entendu.
            Je pense que le monde est bien triste, méchant et féneant, je le trouve endormi mais c’est mon ressenti. C’est dommage que vous y voyez une grille de lecture primaire, ce n’est pas mon intention, si j’en ai une…

  • N’empêche qu’il vaut toujours mieux pour une femme être belle plutôt qu’intelligente : les hommes sont plus souvent cons qu’aveugles…

    • D’après mon expérience, les hommes sont bien souvent d’abord cons puis aveugles…vous allez me dire que nous voyons d’abord, donc le physique mais dans ce cas, qu’est ce que cela signifie pour vous « belle »?

      • La beauté est une notion très subjective tout comme « le charme ». C’est ce qui fait que les hommes ne s’arrachent pas tous la même femme et que les femmes ne se battent pas toutes pour le même homme. La beauté peut ne pas être que physique mais il peut y avoir le fameux charme qui fait qu’on peut craquer sur une personne pas forcément jolie (mais elle sera la plus belle personne à nos yeux). Après c’est une autre histoire, on peut être aveugle sur des travers non pas physiques mais psychologiques et c’est là qu’il faut ouvrir grand ses yeux. Il y a les passionnés, les romantiques et les cérébraux. Dans les deux premiers cas, ce sont des gens qui s’emballent sur des critères parfois superficiels quant à la troisième catégorie leur problème est que bien souvent les cérébraux ont du mal à trouver chaussure à leur pieds car ce sont des personnes plus clairvoyantes donc un peu méfiantes.

        • Mon vieux professeur désargenté avait divorcé à 70 ans et avait ensuite proclamé « plus jamais de femme à moins que j’en trouve une qui me batte aux échecs » … Deux ans plus tard, il en a bel et bien trouvé une qui le battait à ce jeu, et qui lui a encore donné deux enfants avec! Il est mort à 84 ans.

      • bravo.Les femmes sont bien souvent connes et puis apres aveugle.Ca pisse haut.

    • Les hommes préfèrent les connes. Il y a une étude la dessus. Les femmes préfèrent les hommes plus vieux qu’elles, avec de l’argent.

      Perso, comme un bon Golum des cavernes je les aime belles, intelligentes et si possible riches. Bien que souvent cela puisse poser beaucoup de problèmes, notamment pour garder sa chère et tendre.

      Bref, en principe, c’est toujours dans les veilles casseroles culottées que l’on fait la meilleure cuisine.

  • Il y a pire que le sexe dans la vie !

    Les socialistes ont tué le plombier de notre village. Oh, non, pas directement. C’est bien plus atroce que ça. Je vous compte son histoire.

    Petit plombier honnête d’un petit village (on va dire le village poil, et le plombier Paul), donc je disais, ce petit plombier jonglait avec les charges, les nombreux clients fidèles et sa famille: une petite fille de 3 ans et une femme en partance. Car voilà, malgres un travail régulier de qualité, un service commercial sympathique, notre bon Paul ne s’en sortait pas. Il y avait un gros monstre (pour nom FISC) qui le plumait, le tondait, enfin lui mettait la misère totale.

    Donc Paul, a petit à petit sombré dans le chichon, l’alcool, la clope, jusqu’à crever d’un AVC à 33 ans.

    Alors, les grognasses, les najat, les Adèle….je m’en tape la roubignole sur le sol. D’ailleurs mon dictons préfèré est:

    – le matin au réveil met une baffe à ta femme, si tu ne sais pas pourquoi, elle, elle le sait.

    • Oh Golum, povre Golumette, si je peux vous donnez un conseil, n’appliquez jamais votre dicton cela réglera votre problème de comment garder votre riche, belle et intelligente tout aussi chère et tendre Golumette!
      Votre histoire se répète hélas de plus en plus je ne comprendrais jamais ces gens, ils font leur vie, comment peuvent-ils tout abandonner sur un coup de tête en prétextant que c’est peut être mieux ailleurs ou que leur vie ne leur convient pas…

      • Golumette ne rigole pas ! Pire même. 🙁
        C’est pour ça que l’homme et la femme se complètent. Vouloir nivelé le sexe c’est complètement débile.

        J’aime les femmes, toutes. Il n’y a pas de demi mesure dans l’amour, quand on sait écouter, il y a de l’amour avec un grand A de partout autour de nous. L’amour n’est pas Homme, ou Femme. L’amour c’est le Tout, c’est l’acceptation de la vie.

        • Si Golumette sait cela, pourquoi elle ne rigole pas?
          Elle devrait être la plus heureuse des golumettes!
          Cela me fait penser à une discussion (je fais un aparté sur ma propre vie), jeudi je dînais en compagnie d’une amie. Nous parlions de l’amour que nous avons pour les hommes, tous, et que cela était un bon sentiment et devait le rester, du coup nous nous sommes fait invité par le serveur, plus tard. C’était drôle 😉

    • Oh ! Mon petit Golum, quel vilain dicton que voilà…
      N’essaye même pas de me bousculer ou je t’arrache tes gonades avec mes dents affûtées… Il y en a qui ont essayé et ont amèrement regretté 😈

      • Aucun risque, avec les femmes qui portent un flingue (de plus sans culotte), je deviens un vrai pantin. Comme beaucoup d’homme, je suis bien peu de chose !

      • Quel dicton con, la moindre tentative de baffe et je sors illico presto mon épée yi king à lame rétractable !!!

  • Le combat idéologique est déjà perdu, vous le savez et noues, noues savons que nous ne l’avons pas encore terminé.

    Puisqu’il fut question de rejeter les femmes dans l’esclavage deux choses:

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/11/23/01016-20131123ARTFIG00346-sequestrees-de-londres-des-milliers-de-femmes-esclaves-en-france.php

    Et une invitation a relire la dialectique du maître et de l’esclave de Hegel.

    Ah ! si une dernière chose…partout …mêmes sur les frontons.

    Liberté – Egalité – Sonorité

    • Petite correction …

      Libertée – Egalitée – Sonoritée

    • Adèle: « vous le savez et noues, noues savons que nous ne l’avons pas encore terminé. »

      Correction: « …noues savonnes que noues ne l’avonnes pas encore terminée ! »

      De rien.

      • C’est à cause des bandages sur les mains. De plus, avec une boule rouge dans la bouche, des clous, des lanières de cuir, un fouet, notre Troll féministe ne badine pas avec ces choses. C’est pas du tout priceless, c’est juste triste des gens en perdition comme ça.

    • On ne parle pas de rejeter les femmes en esclavage. Par contre, vous, vous insistez pour voir toute relation homme / femme ou femme / homme comme l’expression d’une domination masculine. Vous devriez ouvrir les yeux et voir que beaucoup, beaucoup, beaucoup de gens vivent la différence avec bonheur, sans aucun esprit de « domination » ni de mise en esclavage. Je vous souhaite vraiment de sortir de cette éternelle victimisation qui ne sert en rien votre épanouissement personnel.

      • H16 a écrit : « Oui, le sexisme se niche partout, rampe discrètement dans les fissures de l’égalité douce et nécessaire, et une fois en place tel le lierre foisonnant, s’installe et grossit jusqu’à détruire le frêle édifice civilisationnel indispensable pour éviter que les hommes ne se lâchent totalement sur les femmes pour les jeter en esclavage dont elles ne sont sorties qu’il y a quelques années tout au plus. « .

        Donc on n’en parle bien, donc je suis pas hors-sujet. Je commente.

  • Attention, à Paris, circulation alternée:

    – les personnes avec un gros nez plein de poil ne doivent pas circuler aujourd’hui
    – demain, toutes les femmes devront rester chez elles

    – après demain, les hommes célibataires, avec un salaire minable pourront circuler

    Etc….

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