Hitler et le Che, deux faces d’une même pièce

Il suffit de lire les allégations anticapitalistes des leaders nazis pour vérifier le germe purement socialiste du totalitarisme hitlérien

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Hitler et le Che, deux faces d’une même pièce

Publié le 19 février 2012
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Au-delà de cette anecdote, le tragique de la question se trouve dans le fait qu’une multitude de jeunes, de politiciens et d’intellectuels continuent de louer les vertus de cette idéologie totalitaire et génocide, en même tant que de proclamer avec une complète facilité leur esprit « antifasciste », quand, en réalité, communisme, fascisme et nazisme forment un front commun. Ils sont, par essence, des manifestations diverses de la pensée anticapitaliste la plus extrême.

Un des aspects les plus frappants et contradictoires de ces mouvements de gauche a à voir avec leur totale ignorance du corpus d’idées national-socialiste, qui conserve de nombreuses similitudes avec le communiste. Tous deux aspirent à reconstruire la société depuis les fondements – raison pour laquelle il est nécessaire de renverser les institutions existantes –, à façonner un monde nouveau qui, à la manière d’un paradis utopique, donne l’origine à un homme rénové, dont la volonté individuelle est soumise au bien commun, l’esprit du peuple (lisez l’État). Ainsi donc, la colonne vertébrale des communistes et des nazis n’est ni plus ni moins que leur socialisme idolâtré.

Hitler et Lénine poursuivaient un même objectif : éradiquer la liberté individuelle et le capitalisme. Le premier avait une vision nationaliste basée sur la lutte des races ; le second, une perspective internationaliste soutenue par la lutte des classes. Luciano Pellicani dans Lénine et Hitler, les deux faces du totalitarisme dégage à la perfection le dénominateur commun des deux idéologies. Ainsi, il suffit de lire les allégations anticapitalistes des leaders nazis pour vérifier le germe purement socialiste du totalitarisme hitlérien.

Adolf Hitler

La lutte la plus forte ne devait pas se faire contre les peuples ennemis, mais contre le capital international. La lutte contre le capitalisme financier international était le point programmatique le plus important dans la lutte de la nation allemande pour son indépendance économique et sa liberté […]

Dans la mesure où l’économie s’est rendue maître de l’État, l’argent est devenu le dieu que tous devaient adorer à genoux […] La bourse commença à triompher et s’employa lentement mais sûrement à soumettre à son contrôle la vie de la nation […] Le capital doit rester au service de l’État et ne pas essayer de devenir le maître de la nation.

Après la guerre non plus, nous ne pourrons renoncer à la direction étatique de l’économie, car autrement tout groupe privé ne penserait exclusivement qu’à la satisfaction de ses propres aspirations. Étant donné que même dans la grande masse du peuple, tout individu obéit à des objectifs égoïstes, une activité ordonnée et systématique de l’économie nationale n’est possible sans la direction de l’État.

Je ne suis pas seulement le vainqueur du marxisme, mais aussi son réalisateur. À savoir, de sa partie qui est essentielle et justifiée, dépouillée du dogme hébraïco-talmudique. Le national-socialisme est ce que le marxisme aurait pu être s’il avait réussi à rompre ses liens absurdes et superficiels avec l’ordre démocratique.

Joseph Goebbels

Nous sommes socialistes […] nous sommes ennemis, ennemis mortels de l’actuel système économique capitaliste avec son exploitation de celui qui est économiquement faible, avec son injustice dans la redistribution, avec son inégalité des salaires […] Nous sommes décidés à détruire ce système coûte que coûte […] L’État bourgeois est arrivé à sa fin. Nous devons former une nouvelle Allemagne […] Le futur, c’est la dictature de l’idée socialiste de l’État […] être socialiste signifie soumettre le Je au Tu ; le socialisme signifie sacrifier la personnalité individuelle au Tout.

S. H. Sesselman (chef du parti nazi à Munich)

Nous sommes complètement de gauche et nos exigences sont plus radicales que celles des bolchéviques.

Gregor Strasser (président du parti nazi entre 1923 et 1925, pendant qu’Hitler était emprisonné)

Nous, jeunes Allemands de la guerre, nous, révolutionnaires nationaux-socialistes, déclenchons la lutte contre le capitalisme.

Le programme politique nazi incluait l’« élimination des gains » et de l’« esclavage de l’intérêt », l’« étatisation » d’entreprises stratégiques et l’« expropriation » forcée, sans indemnisation, de la propriété privée. Et même si le régime nazi ne nationalisa pas tous les moyens de production, il mit l’économie au service de l’État, sous la menace de durs peines et châtiments (expropriation, prison, travaux forcés et condamnation à mort). Ce n’est pas en vain que raisonnait la coupole nazie : « Quel besoin avons-nous de socialiser les banques et les usines ? Nous socialisons les êtres humains. »

Ainsi, il ne faut pas s’étonner que le dernier chancelier de la République de Weimar, le général Kurt von Schleicher, avertissait de ce que le programme national-socialiste « était à peine distinct du pur communisme ». De fait, beaucoup de ceux qui vinrent gonfler les rangs des redoutées SS et SA provenaient des rangs communistes, son but ultime étant le bolchévisme.

Au vu de tout cela, et étant donné que les nazis combattirent le malfaisant capitalisme autant ou plus que les communistes, je me demande pourquoi l’Équateur ne condamne pas également le siège des puissances alliées au régime d’Hitler… Ou bien pourquoi les jeunes anti-système n’impriment pas le visage du Führer sur des chemisettes rouges avec une svastika en fond, dans le plus pur style Che Guevara. Pourquoi cette discrimination, si, en fin de compte, Hitler et le Che poursuivaient la même fin, employant, en plus, des méthodes si semblables ?


Article publié par Libertad digital. Traduit de l’espagnol.

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  • Merci pour les citations, on dirait du Mélenchon !

  • J’approuve : excellents article et T shirt !

  • Je veux le tshirt. Je sais pas si j’aurai le courage de le porter mais il est excellent!

  • Superbe article !! Il faut lire aussi le 19e siècle à travers les âges de Philippe Murray, où l’auteur s’emploie à démontrer comment la pensée socialiste qui a germé aux 19e a initié les totalitarismes, tous les totalitarismes du 20e, y compris celui d’Hitler. Il cite aussi cette phrase sur la socialisation de peuples.

  • Le communisme ne s’est pas seulement contenté de la lutte des classes. Dans le programme des purges de Staline; il y avait des quotas d’extermination contre divers nationalités. Polonaise, Ukrainienne, minorité ethniques comme les tatares de Crimée etc… Ceci dit l’article remet en place les gauchistes qui se disent anti-fasciste qui pour eux est souvent synonyme de néolibéralisme. Alors que le fascisme est un socialisme nationaliste qui ressemble beaucoup aux socialisme de gauche et rien du tout au libéralisme.

    D.J

  • J’ajouterais au commentaire de D.J. que le fascisme – création italienne en tant que régime – a été une modalité de socialisme. Mussolini était membre du parti socialiste italien avant de créer son parti fasciste et cette doctrine est profondément « social » au sens socialiste du terme. D’ailleurs, l’embrigadement des jeunes chemises noires ne différait en rien des chemises brunes nazis ou des pionniers soviétiques.

  • Pour aller dans le sens de sens de cet article de propagande libérale confusionnelle:

    http://fr.liberpedia.org/Socialisme_hitl%C3%A9rien#Presque_tous_les_socialismes_sont_nazis

    Continuez les gars!!! vous êtes super crédibles! ça donne carrément envie d’être libéral….

    • A GodisDead

      Afin de justifier votre accusation de « propagande libérale confusionnelle », veuillez être plus précis et donner des arguments factuels qui permettraient de refuter l’article.

      • Ce genre d’article (et c’est loin d’être une première à contrepoints et plus généralement dans la dogma libérale ou « libertarienne »), vise simplement et de manière caricaturale, à isoler le terme « Socialisme » de National Socialisme afin de pouvoir mieux le dézinguer: socialistes/sociaux démocrates = Nazi/communistes = méchants-assassins-génocidaires-ennemis de la liberté.
        Le raccourci est déconcertant de mauvaise foi simpliste, en ayant en même temps l’avantage de montrer jusqu’à quel point les libéraux peuvent tordre les sciences politiques pour défendre leur chapelle.

        • Il est pourtant parfaitement juste, au vu de ce que firent les nazis de l’économie allemande et de ce qu’ils déclaraient eux-mêmes vouloir faire, que la politique économique nazi était un socialisme totalement comparable au communisme.

          Je rappelle que le socialisme dans sa première définition correspondait d’abord dans une première étape à supprimer la propriété privée et le capitalisme pour mettre tout l’appareil productif dans les mains de l’Etat, puis dans une seconde étape à abolir l’Etat. Le socialisme visait l’anarchie, détruisant le capitalisme et l’Etatisme mais se servant d’abord du second pour détruire le premier.

          En France et en Europe du sud on a préféré appeler cela communisme ou marxisme et préserver le mot socialisme pour les modérés, une sorte de manipulation sémantique bien pratique, mais ailleurs on a préservé le mot socialisme pour ce que cela est vraiment, et les modérés se sont faits appeler sociaux-démocrates, terme absent du vocabulaire en France.

          • Ceci étant, pour nuancer le propos, il y avait au sein des nazis des partisans pour laisser une place au secteur privé et Hitler lui-même avait fini par comprendre qu’il ne pourrait pas se passer de la bourgeoisie pour accéder au pouvoir et s’y maintenir, mais ce secteur capitaliste devait toujours être au service de la nation et la redistribution était le leitmotiv.
            C’est en cela que le nazisme se différenciait du socialisme marxiste, mais cela restait bel et bien un socialisme. On peut dire que le nazisme était une sorte de Mélanchonisme avec la solution finale en moins, mais toujours un peu de xénophobie.

          • En même temps des figures historiques du socialisme ou de la « Gauche » en France n’étaient absolument pas marxistes (je pense à Jaurès ou à Camus par exemple. Idem pour Mauss, Castoriadis, Lefort).

          • Et par ailleurs il est tjrs assez drôle de nous sortir ce fameux chiffre de 100 millions qui n’existe que dans la tête de Stéphane Courtois, le maoiste repenti qu’ont désavoué même les historiens qui avaient participé à la rédaction de son Livre noir.
            Et affirmer que Mélenchon = Hitler comme certains s’échinent à le faire dans les commentaires, c’est absolument lamentable.

            • faux. son chiffre est crédible. d’ailleurs, ce n’est pas son livre mais un livre écrit par 10 historiens. avec le recul du temps, on voit que peu à peu des choses contestés dans son livre par ses opposants sont aujourd’hui plus contestés par personne. ces opposants sont comme par hasard des personnes aux sympathies communistes (cela montre leur fiabilité)

    • depuis quand la vérité historique est de la propagande, si vous ne me croyez pas allez vous renseigner aupres d’historiens. Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

    • et vous arrêtez avec votre proagande. vos arguments tel qu’hitler était un agent du patronat (ces soi disnats liens avec le patronat) sont des arguments de propagande soviétique (voir en dessous). de plus, vos autres réfutations par exemple le fait qu’hitler a combattu les communistes, ect je les ai démonté (voir mes commentaires en dessous). tjs les meme arguments

      • de propagande communiste. il faut changer de disque

        • Comme l’a montré Ludwig von Mises, l’apport original du nazisme ne se situe pas sur le plan idéologique, mais sur celui de l’exécution : « Les principes fondamentaux de l’idéologie nazie ne diffèrent pas des idéologies sociales et économiques généralement acceptées. La différence concerne seulement l’application de ces idéologies aux problèmes spéciaux de l’Allemagne. »

      • Et dès 1933, F. A. Hayek écrivait : « la persécution des marxistes et des démocrates en général, tend à occulter le fait fondamental que le National-Socialisme est un véritable mouvement socialiste, dont les idées principales sont le fruit des tendances antilibérales qui ont progressivement gagné du terrain en Allemagne depuis la fin de l’époque bismarckienne. » ce que rejette Hitler dans le communisme, ce n’est pas son socialisme, c’est son origine juive et sa tendance internationaliste. Et c’est pour les mêmes raisons qu’Hitler condamne le capitalisme. Le capitalisme libéral, mondialisé, financiarisé, était pour lui le mal absolu. Or les Juifs en étaient à la fois les créateurs et les maîtres absolus. Le capitalisme, pensait Hitler, était un système essentiellement Juif. De même, le bolchevisme était considéré par les nazis comme une création essentiellement juive.

      • Bien qu’ayant largement versé dans l’antisémitisme, Karl Marx était lui-même d’origine juive, et même le descendant d’une longue lignée de rabbins. Si donc Hitler a dénoncé le marxisme comme un « faux » socialisme d’origine juive, ce fut pour mieux construire une économie socialiste dans laquelle chacun agirait pour le bien-être de la collectivité. C’est ainsi que de la législation sociale à la fiscalité, de la politique environnementale à la réglementation des entreprises, il fut un architecte de peuple et un dessinateur de nation. Il voulut façonner non seulement l’économie allemande mais aussi chaque sphère de la vie individuelle, partant du principe que l’individu n’est qu’un agent de l’État et qu’il doit se mettre au service du bien commun, c’est-à-dire du bien de l’État. Tout comme le système économique allemand, la vie sociale des Allemands fut également collectivisée. L’État prit à sa charge les activités sportives, les manifestations culturelles et tout le temps de loisir. Il y eu plus d’État dans la culture, le gouvernement se chargeant de subventionner grassement les manifestations culturelles « dignes » de l’Allemagne et de proscrire les autres. Le ministère de l’Éducation du Reich se chargea d’édicter les programmes et les manuels furent réécrits. Anciennement assurée par les écoles confessionnelles, l’éducation des jeunes Allemands fut désormais une mission d’État. Les professeurs devinrent des fonctionnaires du gouvernement. Or tout cela, cet État si large, disposant de pouvoirs si grands, si étendus, n’était-ce pas là le grand rêve des socialistes ?

  • « Hitler a très tôt entrepris la conquête des milieux d’affaires. Dès 1921, quelques industriels, comme le célèbre facteur de pianos Bechstein et sa femme, soutiennent le mouvement nazi. Le sidérurgiste Thyssen a financé régulièrement le NSDAP lui permettant d’acheter en 1927 la « Maison Brune », le nouveau siège du parti. En janvier 1931, il adhère officiellement au parti. Kirdof, un autre magna de la sidérurgie avait adhéré en 1927 démissionné en 1928 et rejoint de nouveau les nazis en 1934.
    A partir de 1926, par l’intermédiaire de Göring et de Thyssen, Hitler rencontre de nombreux « dirigeants de l’économie » et s’emploie à les convaincre de la modération de son « socialisme ». Hitler manifeste son attachement à la propriété privée et a le souci grandissant de faire taire les voix discordantes en particulier celles des frères Strasser. Quand en 1931, George Strasser et Feder défendent au Reichstag une motion prônant la confiscation des biens et des « princes de la banque et de la bourse », Hitler les force à retirer ce projet aussitôt repris par les communistes.

    Hitler a confié la mise en valeur de cette politique favorable à la « libre entreprise » à Otto Dietrich, le rédacteur en chef d’un grand journal économique munichois, placé à la tête du service de presse du parti et à Walter Funk, un journaliste financier qui devient le véritable homme de liaison entre Hitler et les milieux dirigeants de l’économie. En décembre 1930, il rencontre le Dr Schacht, ancien directeur de la Reichsbank […] qui impressionné par son énergie et son enthousiasme décide de l’aider de ses conseils.

    Grâce à Thyssen, Vögler et Kirdof, Hitler entreprend en octobre 1931 des « tournées triomphales » dans les usines de la Ruhr et multiplie les conférences dont la plus fameuse est celle qu’il prononce le 27 janvier 1932 à Dusselford devant un parterre de 300 chefs d’entreprises réunis au Club de l’Industrie. […]

    Dans ce discours Hitler rappelle qu’il a toujours été partisan de la propriété privée car celle-ci est fondée sur l’inégalité naturelle. Il légitime ainsi la hiérarchie des salaires à cause des différences de « rendements » et l’émulation dans l’organisation du travail, opposée aux contrats collectifs de travail. Hitler justifie le principe du profit capitaliste et de la concurrence entre entreprises. En affirmant qu’il est « utile de laisser aux hommes l’administration de ces résultats à peu près dans les mêmes proportions », Hitler désavoue toute ponction fiscale alourdie sur les profits, il légitime donc propriété privée, autorité patronale et profit d’entreprises au nom du darwinisme social. Hitler aurait conclu son discours par la célèbre formule « Je vous laisse l’économie, donnez moi la politique »

    « Le nazisme des origines à 1945 »
    Enrique Leon et Jean Paul Scot

    Étonnant, non?

    • Rencontrer les grands dirigeants ce n’est pas ce que font Strauss-Kahn, Hollande, Fabius, Mélanchon avec Dassault, Jospin, Delanoë etc…? Mélanchon prétend-il donner le même salaire à tout le monde et supprimer la propriété privée? Non, juste fournir une fourchette entre un salaire minimum et maximum et subordonner la propriété privée aux intérêts de la nation.
      Le capitalisme de connivence n’est pas du capitalisme, encore moins du libéralisme, c’est du socialisme.

      Hitler était très anti-capitaliste au moment de fonder son mouvement, par la suite -je l’ai indiqué- il a modéré son discours tel un Cohn-Bendit passé du marxisme à la social-démocratie verte, car il savait qu’il fallait aussi manier les cordons de la bourse pour pérenniser son projet. Il avait en quelque sorte externalisé l’économie de guerre nazie avec la menace du bâton, le capitalisme devait servir ses intérêts et ceux de l’Allemagne, l’inverse et la propriété était spoliée sur le champ ou redistribuée à ses copains.
      Pour autant, c’était un choix pragmatique et stratégique et non du coeur, et ils étaient nombreux au sein du parti nazi souhaitant exproprier les industries, les banques et autres sociétés privées.

    • Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
      Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
      L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

      L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
      Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
      Bref du socialisme sur toute la ligne.

      • A un moment donné, la moindre des choses, c’est d’accepter un élément contradictoire bien argumenté.

        • il faut accepter la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
          le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

        • hitler lui meme se disait socialiste (il en existe plusieurs centaines de discours). http://arbeitertum.wordpress.com/2010/10/11/warum-sind-wir-sozialisten/

        • apres la premiere guerre mondiale, les communistes ont tenté en allemagne un coup d’état et ce sont les corps francs (des milices d’anciens soldats) qui ont sauvé la république de weimar, qui apres ont été désarmés et se sont retrouvé au chomage, ils se sont sentis abandonnés alors ils se sont tournés vers hitler (ce sont eux qui ont formés le sa). le nsdap et le parti communiste avait le meme électorat donc était concurrent, ce qui justifie leur haine réciproque. il y avait également une haine entre socialiste et communiste. une partie de la population allemande a voté et mis hitler au pouvoir en raison de la haine du communisme. sans le communisme, il n’y urait pas eu de nazis et de fascistes. la bourgeoisie a soutenu hitler et mussolini par haine car elle avait une peur bleue du communisme. hitler s’est contenté d’utiliser la bourgeoisie pour arriver au pouvoir. regardez le programme économique du nsdap et les mesures économiques mises en place par les nazis au pouvoir et osez dire que ce n’est pas socialiste. ce qui différencie le communisme, fascisme et le communisme c’est que le nazisme est nationaliste alors que le communiste est internationale.

        • Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

          Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
          Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
          L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

          L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
          Les politiques sociales pour favoriser les o uvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
          Bref du socialisme sur toute la ligne. regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

    • Ce sont les soviétiques qui ont accusé en premier les Nazis d’être les agents du Grand Capital, et cette thèse a été utilisée abondamment par les historiens de l’Allemagne de l’Est. Aujourd’hui, elle est entièrement rejetée par l’historiographie du nazisme. On peut toujours citer les quelques cas individuels comme Fritz Thyssen, c’est vrai. Mais dans son ensemble, le grand capital resta loin d’Hitler, et appela même longtemps à lui barrer la route. Surtout depuis les travaux de l’historien américain Turner, les historiens du nazisme se sont détachés nettement de ce vieux mythe très utilisé dans les années de la Guerre froide.

  • A GodisDead

    Ce que vous écrivez n’est pas étonnant. Hitler est arrivé au pouvoir par la voie démocratique (contrairement aux autres régimes socialistes) et avait besoin d’argent pour financer les campagnes électorales et son parti NSDAP (Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei , donc aussi socialiste). Cette stratégie démagogique lui a permis d’obtenir jusqu’à 44% des voix aux élections de mars 1933.
    Une fois au pouvoir, les nazis ont été moins irréalistes que les bolcheviques et n’ont pas nationalisé les entreprises mais le gouvernement allemand leur a imposé des objectifs de production, des prix de vente et des salaires administrés, ce qui a abouti au contrôle de l’économie par l’Etat.

    Sur le plan idéologique, la lecture de Mein Kampf – écrit par Hitler lui-même – est certainement plus instructive pour comprendre la pensée de Hitler que la lecture de certains auteurs qui essayent de séparer le nazisme du socialisme à tout prix afin de protéger les idéologies de gauche.

    J’ajouterais que pendant deux ans (1939-41) les deux pays ont été alliés politiques et économiques et que Hitler et Staline s’appréciaient mutuellement. Albert Speer dans son livre sur le IIIème Reich écrit que après la conquête de l’URSS l’objectif de Hitler était de laisser Staline au pouvoir dans le rôle de Gauleiter de l’URSS.

    • « Sur le plan idéologique, la lecture de Mein Kampf – écrit par Hitler lui-même – est certainement plus instructive pour comprendre la pensée de Hitler que la lecture de certains auteurs qui essayent de séparer le nazisme du socialisme à tout prix afin de protéger les idéologies de gauche. »

      C’est clair, et je vous invite à le (re-)lire:

      « La doctrine juive du marxisme rejette le principe aristocratique observé par la nature, et met à la place du privilège éternel de la force et de l’énergie, la prédominance du nombre et de son poids mort. Elle nie la valeur individuelle de l’homme, conteste l’importance de l’entité ethnique et de la race, et prive ainsi l’humanité de la condition préalable mise à son existence et à sa civilisation. »

      « Admise comme base de la vie universelle, elle entraînerait la fin de tout ordre humainement concevable. Et de même qu’une pareille loi ne pourrait qu’aboutir au chaos dans cet univers au-delà duquel s’arrêtent nos conceptions, de même elle signifierait ici-bas la disparition des habitants de notre planète… »

      « Mis en contact avec le parti social-démocrate, quelques mois suffirent pour me faire comprendre quelle peste se dissimulait sous un masque de vertu sociale et d’amour du prochain, et combien l’humanité devrait sans tarder en débarrasser la terre, sans quoi la terre pourrait bien être débarrassée de l’humanité. »

      Mein Kampf

      Définition du National Socialisme (Wiki):

      Le Parti ouvrier allemand (DAP), fondé en 1919, se réclame d’un « socialisme germanique » mal défini[26], qui a pour but d’amener les ouvriers allemands vers le nationalisme, tout en les détournant de l’internationalisme marxiste. Le « socialisme » et l’« anticapitalisme » continuent ensuite de faire partie du discours du Parti national-socialiste des travailleurs allemands (NSDAP), qui succède au DAP, et se retrouvent essentiellement au sein de l’aile gauche de ce nouveau parti[27] dont l’idéologie répond au nom officiel de national-socialisme (couramment abrégé par nazisme). Après l’élimination de l’aile gauche du NSDAP, progressive à partir de mi-1930 et définitive en 1934[28], socialisme et anticapitalisme continuent cependant de figurer comme « leurre social » dans la propagande nazie[29], Hitler ayant pour sa part défini dès 1922 le « socialisme » comme un dévouement inconditionnel à l’État et à la nation[30]. Dans le projet nazi, la lutte des classes serait évitée par une union de classes sociales au sein de la « communauté du peuple » (Volksgemeinschaft), soudée par une solidarité nationale et raciale. L’historien Hajo Holborn souligne qu’Hitler lui-même n’a jamais été socialiste, et que les termes « nationalisme » et « socialisme » ont été utilisés dans ses discours comme des synonymes et de manière interchangeable, leur sens variant d’ailleurs en fonction du public auquel il s’adressait[31]. Pour l’historien Aloïs Schumacher, si le Programme en 25 points du parti nazi comporte certains éléments qui l’approchent des thèses socialistes, on ne peut faire du national-socialisme un courant socialiste[32]. L’historien Ian Kershaw range le nazisme parmi les « mouvements extrémistes antisocialistes » et considère que la « fusion du nationalisme et du socialisme » proposée par Hitler ne repose sur aucun concept socialiste moderne, mais au contraire sur une forme primaire de darwinisme social et d’idées impérialistes héritées du XIXe siècle[33]. Le national-socialisme, en outre, n’entretient aucun rapport avec des mouvements et courants « socialistes », qu’il s’agisse des sociaux-démocrates ou des communistes, sinon une hostilité radicale qui mènera à leur violente répression par les nazis au pouvoir[34],[35].

      « J’ajouterais que pendant deux ans (1939-41) les deux pays ont été alliés politiques et économiques et que Hitler et Staline s’appréciaient mutuellement. » oui et.. ??? (voir question polonaise)
      L’Angleterre aussi était un partenaire de l’allemagne nazie, jusqu’aux accords de Munich…

      • apres la premiere guerre mondiale, les communistes ont tenté en allemagne un coup d’état et ce sont les corps francs (des milices d’anciens soldats) qui ont sauvé la république de weimar, qui apres ont été désarmés et se sont retrouvé au chomage, ils se sont sentis abandonnés alors ils se sont tournés vers hitler (ce sont eux qui ont formés le sa). le nsdap et le parti communiste avait le meme électorat donc était concurrent, ce qui justifie leur haine réciproque. il y avait également une haine entre socialiste et communiste. une partie de la population allemande a voté et mis hitler au pouvoir en raison de la haine du communisme. sans le communisme, il n’y urait pas eu de nazis et de fascistes. la bourgeoisie a soutenu hitler et mussolini par haine car elle avait une peur bleue du communisme. hitler s’est contenté d’utiliser la bourgeoisie pour arriver au pouvoir. regardez le programme économique du nsdap et les mesures économiques mises en place par les nazis au pouvoir et osez dire que ce n’est pas socialiste. ce qui différencie le communisme, fascisme et le communisme c’est que le nazisme est nationaliste alors que le communiste est internationale.

      • c’est la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
        le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

      • vous oubliez que les anticapitalistes utilisent EXACTEMENT les meme arguments que les nazis (sauf qu’eux mettait juif: la finance juive, le 1 % juif, les banques juives,….)

      • renseignez vous sur l’antisémitisme et le communisme (bcp de communistes étaient antisémites du fait que pour eux les juifs sont plus riches que le reste de la population et que le judaisme dit que les juifs sont le peuple élu (ce qui pour les cocos) est contre l’égalité). qui est l’électorat du fn, c’est l’ancien électorat du pcf. le fn est économiquement tres à gauche, , c’est pas pour rien que c’est le premier parti ouvrier. comparez leur programme économique avec celui du pcf des années 70. les communistes sont racistes sauf que leur racisme n’est pas basé sur la couleur ou la religion mais sur la classe sociale.

      • Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l’union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand.

        Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l’organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l’esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n’est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l’esclavage et est l’objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu’au travers d’une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d’un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n’est rien, seulement un fantôme, rien qu’une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l’avenir, la liberté, la patrie !

        Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d’estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l’État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l’État, libératrice et constructive.

        Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu’à aujourd’hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliqué dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu’elle cherche à faire partie de l’organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; ellel finira dans le politique. Ce n’est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d’heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c’est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d’intégration d’une classe puissante et responsable dans l’État, peut-être même d’en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées.

        Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu’il produit. Nous n’avons pas l’intention de mendier pour ce droit. L’intégrer dans l’organisme étatique n’est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s’agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l’atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l’intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l’État ouvrier à venir. A l’extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l’avènement de l’État national-socialiste. Le socialisme n’est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l’unité nationale et la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d’un État national-socialiste.

        Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé.

        Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme !
        Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme !
        Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !
        Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands !
        extrait d’un livre nazi: http://arbeitertum.wordpress.com/2010/10/11/warum-sind-wir-sozialisten/
        « Je suis Socialiste, et un Socialiste plus authentique que votre riche ami le Comte Reventlow », disait Hitler en 1930 à Otto Strasser.

      • » le nazisme c’est le bolchévisme sans le judéo-bolchévisme »
        Adolphe Hitler
        occcupy wall street est financé par george soros (qui finance bcp d’autes mouvements anticapitalistes) ce qui n’empeche en rien occupy wall street d’etre anticapitaliste…..

      • Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

        Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
        Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
        L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

        L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
        Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
        Bref du socialisme sur toute la ligne.
        regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

  • A GodisDead

    Les extraits que vous invoquez de Mein Kampf n’invalident pas la thèse que le nazisme était aussi socialiste. Le socialisme n’est pas une doctrine monolithique et le marxisme n’a été qu’un courant socialiste parmi d’autres (léninisme, fascisme italien, maoïsme, etc). Hitler n’était pas marxiste ni social-démocrate aussi bien que Lénine haïssait certains courants socialistes et a réussi à imposer le bolchevisme par la force.

    Concernant le partenariat que vous invoquez du Royaume Uni avec l’Allemagne nazi, il s’agissait d’un partenariat commercial identique à d’autres que le R.U. avait développé avec plein d’autres pays dans le cadre d’une politique de libre échange. Le Pacte Germano-Soviétique a été un pacte politique de non agression entre l’Allemagne et l’URSS et qui définissait aussi une répartition des territoires séparant les deux pays. Par ce pacte, la Gestapo s’engageait aussi à livrer au NKVD les réfugiés russes présents sur le territoire allemand et réclamés par l’URSS, en échange de quoi l’URSS livrait à l’Allemagne de nombreux réfugiés allemands et autrichiens réfugiés en Union soviétique.

    • « Les extraits que vous invoquez de Mein Kampf n’invalident pas la thèse que le nazisme était aussi socialiste. Le socialisme n’est pas une doctrine monolithique et le marxisme n’a été qu’un courant socialiste parmi d’autres (léninisme, fascisme italien, maoïsme, etc). Hitler n’était pas marxiste ni social-démocrate aussi bien que Lénine haïssait certains courants socialistes et a réussi à imposer le bolchevisme par la force. »

      D’accord avec vous (même si de mon point de vu, MK ne valide aucune théorie socialiste), d’où mon exaspération face aux amalgames pratiqués par contrepoints pour démolir le socialisme.

      • Contrepoint n’a null besoin de pratiquer des amlagames pour démolir le socialisme, il le fait très bien tout seul. par contre c’est les socialiste qui tentent pas tout le moyens de tordre la vérité pour faire d’Hitler un libéral alors que manifestement par ses actes et ses discours il était un étatiste de la pire espèce tout comme le sont les socialistes. de fait Le nazisme et le socialisme ont beaucoup plus de points commun entre eux et sont naturellement opposé au libéralisme. C’est l’unique but de l’article.

  • A Avez vous lu Polanyi :

    « il est tjrs assez drôle de nous sortir ce fameux chiffre de 100 millions qui n’existe que dans la tête de Stéphane Courtois, le maoiste repenti qu’ont désavoué même les historiens qui avaient participé à la rédaction de son Livre noir »

    D’abord « Le livre noir du communisme » n’a pas été écrit que par Stéphane Courtois mais par lui et 5 autres auteurs et encore avec la collaboration de 5 autres.

    Ensuite, lorsque Stéphane Courtois parle des 100 millions de morts victimes du communisme, il écrit (page 14) :
    « nous pouvons néanmoins établir un premier bilan chiffré qui n’est encore qu’une approximation minimale et nécessiterait de longues précisions mais qui, selon des estimations personnelles, donne un ordre de grandeur et permet de toucher du doigt la gravité du sujet  »
    « Cette échelle de grandeur recouvre de grandes disparités de situation »
    « Cette approche élémentaire ne saurait épuiser la question dont l’approfondissement implique une démarche « qualitative », reposant sur une définition du crime ».

    Libre à vous de résumer les 840 pages du Livre noir du communisme à la moitié de la page 14. Je vous conseille toutefois de lire attentivement la totalité du livre et de ne pas le résumer à des chiffres isolés de leur contexte. En plus contrairement à votre affirmation , les historiens qui ont participé à leur rédaction n’ont pas désavoué Stéphane Courtois.

    • « Nous pouvons néanmoins établir un premier bilan chiffré qui n’est encore qu’une approximation minimale et nécessiterait de longues précisions mais qui, selon des estimations personnelles, donne un ordre de grandeur et permet de toucher du doigt la gravité du sujet »
      Une « approximation minimale » : autant dire qu’il reconnait que son chiffre est lourdement sujet à caution. Je ne cherche évidemment pas à minorer ce chiffre. Je ne vois d’ailleurs pas tellement en quoi le fait d’envisager des chiffres plus « modestes » bien qu’encore bien bien macabres, ait pour résultat d’amoindrir l’horreur qu’a été le stalinisme Ou alors le fait qu’Hilberg ait réévalué le nombre des victimes juives du nazisme à 5 millions 100 000 victimes le rend illico suspect de vouloir dédouaner le nazisme. Le système Courtois c’est simple ; le gars qui meurt d’une angine de poitrine en URSS sous Staline est une victime du stalinisme. Avec des méthodes de ce genre, on doit effectivement arriver à plus de 100 millions.
      « Cette échelle de grandeur recouvre de grandes disparités de situation » Très bien, dans ce cas, on se demande quel est l’intérêt pour lui, de larguer ce massif 100 millions, dont le moins qu’on puisse dire est qu’il ne rend pas vraiment justice à ces « grandes disparités de situation ».
      « Libre à vous de résumer les 840 pages du Livre noir du communisme à la moitié de la page 14 » Je vais vous faire une confession ; je n’en ai lu que des parties. Notamment parce que je n’ai aucune sympathie pour les enragés type Courtois ou Adler (tous anciens maoistes, trotkistes ou que sais-je, c’est à noter). (J’avais bien aimé celui de Furet ou ceux de Werth et de Lewin par contre). Mais le principe même des Livres noirs, que ce soit pour le communisme, la révolution ou le capitalisme, me parait en lui-même un peu vain.
      Courtois a écrit ce livre avec des intentions politiques évidentes (et explicites), mais le rôle de l’historien n’est pas d’utiliser l’histoire à des fins idéologiques, il est de discriminer des expériences. Courtois prend deux phénomènes distincts (le nazisme et le stalinisme) et il les rend inintelligibles en les confondant.
      Nicolas Werth a en tout cas pris ses distances avec l’ouvrage à plusieurs reprises dans le Monde : « « la centralité du crime de masse dans les pratiques répressives des communismes au pouvoir ; l’assimilation entre doctrine communiste et mise en application de celle-ci, ce qui fait remonter le crime jusqu’au cœur même de l’idéologie communiste ; l’affirmation qui en découle de la grande similitude du nazisme et du communisme, tous deux intrinsèquement criminels dans leur fondement même ; un chiffrage des victimes du communisme abusif, non clarifié (85 millions ? 95 ? 100 ?), non justifié, et contredisant formellement les résultats des coauteurs sur l’URSS, l’Asie et l’Europe de l’Est (de leurs études, on peut tirer une « fourchette » globale allant de 65 à 93 millions ; la moyenne 79 millions n’a de valeur que purement indicative). » Désaveu ne me semble pas un terme excessif en l’occurrence.

      • « Une « approximation minimale » : autant dire qu’il reconnait que son chiffre est lourdement sujet à caution. « 

        « Approximation minimale » devient « chiffre lourdement sujet à caution ».
        Bravo. Au moins, vous ne vous embarrassez pas de demi-mesure dans la mauvaise foi.

        • Bon dans ce cas, plus simplement, référez vous à ce qu’en dit Nicolas Werth dans son article du monde (cf plus bas dans le commentaire)

          • Vous ne faites pas de remarque sur le reste de mon commentaire précédent (d’il y a 11h) j’imagine donc que vous approuvez le reste de ce que je dis en tout cas

      • le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme, ces trois idéologies ont bcp de similitudes.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

      • apres la premiere guerre mondiale, les communistes ont tenté en allemagne un coup d’état et ce sont les corps francs (des milices d’anciens soldats) qui ont sauvé la république de weimar, qui apres ont été désarmés et se sont retrouvé au chomage, ils se sont sentis abandonnés alors ils se sont tournés vers hitler (ce sont eux qui ont formés le sa). le nsdap et le parti communiste avait le meme électorat donc était concurrent, ce qui justifie leur haine réciproque. il y avait également une haine entre socialiste et communiste. une partie de la population allemande a voté et mis hitler au pouvoir en raison de la haine du communisme. sans le communisme, il n’y urait pas eu de nazis et de fascistes. la bourgeoisie a soutenu hitler et mussolini par haine car elle avait une peur bleue du communisme. hitler s’est contenté d’utiliser la bourgeoisie pour arriver au pouvoir. regardez le programme économique du nsdap et les mesures économiques mises en place par les nazis au pouvoir et osez dire que ce n’est pas socialiste. ce qui différencie le communisme, fascisme et le communisme c’est que le nazisme est nationaliste alors que le communiste est internationale. renseignez vous sur l’antisémitisme et le communisme (bcp de communistes étaient antisémites du fait que pour eux les juifs sont plus riches que le reste de la population et que le judaisme dit que les juifs sont le peuple élu (ce qui pour les cocos) est contre l’égalité). qui est l’électorat du fn, c’est l’ancien électorat du pcf. le fn est économiquement tres à gauche, , c’est pas pour rien que c’est le premier parti ouvrier. comparez leur programme économique avec celui du pcf des années 70. les communistes sont racistes sauf que leur racisme n’est pas basé sur la couleur ou la religion mais sur la classe sociale

  • A avez vous lu Polanyi

    Je le répète : ne résumez les 840 pages du Livre noir du communisme à la moitié de la page 14. Le plus important est l’analyse faite pays par pays depuis l’implantation du communisme. Je le répète aussi : ce livre n’a pas l’oeuvre de S. Courtois, mais de 11 auteurs.

    Si vous n’avez pas lu ce livre, je vous le conseille vivement de le faire sans préjugés. Je suis aussi réticent à des titres racoleurs (livre noir, livre blanc…) mais, au-delà du titre, ce livre me semble bien documenté et décrit des faits historiques. Il ne porte pas sur l’idéologie ou les courants théoriques communistes mais sur la pratique du communisme réel, et c’est cela qui a provoqué lors de sa publication l’indignation de nombreuses personnes acoquinées avec le socialisme/communisme : on passe du discours théorique aux faits et ces derniers ont été tragiques et sont documentés.

    Comme vous le dites, Stéphane Courtois a été maoïste, mais j’ajouterais qu’il est devenu maoïste quand il avait 21 ans… Personne n’est obligé de trainer les bêtises de jeunesse jusqu’à la fin de ses jours ! L’actuel grand manitou de l’UE, José Manuel Barroso, a aussi été maoïste dans ses années de fac au Portugal.

    Vous affirmez que « Le système Courtois c’est simple ; le gars qui meurt d’une angine de poitrine en URSS sous Staline est une victime du stalinisme. Avec des méthodes de ce genre, on doit effectivement arriver à plus de 100 millions. »
    Ce « système Courtois » est une pure création de votre esprit car dans le livre rien ne permet de l’affirmer.

    Vous affirmez que « Courtois a écrit ce livre avec des intentions politiques évidentes … »
    Comment pouvez vous dire cela à propos d’un livre que vous n’avez pas lu ; encore une création de votre esprit !

    • Bon entendu vous m’avez l’air de bonne foi, je vais me le procurer. Sans dénier la portée possiblement tragique des écrits de Marx (Aron et Lefort ont dit l’essentiel de ce qu’il y avait à dire sur ce point), je nie par contre qu’on puisse parler de la tragédie du stalinisme comme d’un « passage à la pratique » stricto sensu ni qu’on puisse dire que l’expérience soviétique toute entière était contenue dans les écrits de Marx. Cela me parait être le type même de l’illusion rétrospective.

  • A avez vous lu Polanyi

    Je suis d’accord avec vous lorsque vous affirmez que « je nie…qu’on puisse dire que l’expérience soviétique toute entière était contenue dans les écrits de Marx. »
    La première partie du Livre noir du communisme (Nicolas Werth) analyse cet aspect (théorie versus pratique) mais je vous conseille aussi la lecture du livre « Lénine » de Helène Carrère d’Enchaussé, très éclairant à ce sujet. Lénine était un homme pragmatique dont le but était la conquête du pouvoir à tout prix et notamment par la ruse et la force, compte tenu de l’impossibilité de le prendre par la voie démocratique. Les écrits de Marx n’ont servi que de prétexte à cette conquête du pouvoir par les bolcheviks, et je pense aussi qu’il est abusif de mettre sur le dos de Marx les crimes du socialisme/communisme.
    Par contre, on pourrait peut-être établir un lien assez fort entre la révolution française et la révolution bolchevique : Lénine (et d’autres bolcheviques) était un inconditionnel de ce qu’il appelait « la grande révolution » qui s’est traduit par la mise en oeuvre de la terreur, du meurtre de masse, de l’expropriation, de la déportation, etc. comme forme de gouvernance au nom d’un idéal (les bolcheviques ont à plusieurs reprises justifié la nécessité et le bien fondé des massacres de Vendée).

    En outre, la tragédie socialiste/communiste en URSS n’a pas commencé avec Staline, mais à partir de 1917 avec Lénine, Trotsky et bien évidemment Staline qui est devenu un des plus proches collaborateurs de Lénine. Les assassinats, l’emprisonnement de masse, les famines provoquées par le pouvoir central, les déportations et internements en camp de concentration ont dès le début été mis en oeuvre par Lénine et par Trotsky (qui gérait l’Armée rouge et indirectement la police secrète).

    • « En outre, la tragédie socialiste/communiste en URSS n’a pas commencé avec Staline, mais à partir de 1917 avec Lénine, Trotsky et bien évidemment Staline qui est devenu un des plus proches collaborateurs de Lénine. » Oui oui bien sûr j’employais le terme stalinisme par commodité (pour marquer également l’inflexion qui a suivi sa mort puisque la Terreur se maintient mais perd sa dimension paroxystique)

      Concernant Révolution française et Révolution d’Octobre, c’est évidemment une question suffisamment complexe pour qu’on ne l’épuise pas. Un élément de réponse cependant; Castoriadis distingue deux éléments, deux « significations imaginaires » pour utiliser son vocabulaire; une signification de l’émancipation, de l' »autonomie », une signification d’une expansion de la maitrise sans limite de la maitrise rationnelle. Et il dit que chez Lénine, la première signification est évacuée au profit exclusif de la seconde. Quand je dis « évacuée », je ne veux pas dire liquidée, je veux dire qu’il la repousse aux calendes grecques (en se servant pour le coup de la téléologie marxiste)

  • En clair la ligne de défense de Godisdead pour dissocier le socialisme du national socialisme, c’est que Hitler détestait le marxisme (tu m’étonnes, notre gauchiste découvre que Hitler n’aimait pas les juifs, que ce Marx, Einstein ou Rosenblum), donc il n’est pas socialiste.
    ROLFMAO !

  • A avez vous lu Polanyi
    Je suis d’accord avec votre élément de réponse à propos de Lénine. La réalité dépasse toujours en complexité les analyses simplistes.

    Lénine a passé sa vie jusqu’en octobre 1917 à lire, écrire, organiser son parti et à voyager dans différents pays européens (comme d’ailleurs plusieurs autres intellectuels russes à l’époque comme Plekhanov ou Axelrod) grâce à l’argent de sa mère et plus tard des fonds en provenance des braquages de banques et de vols divers organisés par Staline et autres coreligionnaires. En 1917, à l’âge de 47 ans, Lénine se voit parachuté (il a tout fait pour…) à la tête d’un empire qu’il connaissait très mal et sans aucune expérience de gouvernance et tout court sans aucune expérience de travail (sa carrière professionnelle se résume à un stage de quelques mois dans un cabinet d’avocats à l’issue de sa licence en droit).
    Comme il l’a fait avant 1917 pour constituer le parti à son image et contre tous les autres courants, une fois conquis le pouvoir il lui fallait bien, pour garder ce pouvoir, gérer un pays exsangue de plusieurs années de guerre et d’anarchie. La solution a été de « repousser aux calendes grecques » l’idéologie (comme vous le dites) et de prendre au fil de l’eau les décisions nécessaires à sa survie politique : aujourd’hui répression sanglante et famine créée par l’Etat, demain des politiques d’ouverture (NEP) pour calmer les esprits et attirer des capitaux étrangers indispensables à la survie du pays, le lendemain répression et massacres à nouveau et ainsi de suite. Lénine a été maitre dans l’art de  » la maitrise rationnelle » comme vous le dites.

    Si vous avez du temps disponible, je vous conseille quelques livres sur ce sujet :
    Lénine : Helène Carrère d’Encausse
    Le grand défi – bolcheviks et nation : Helène Carrère d’Encausse
    Le malheur russe – essai sur le meutre politique : Helène Carrère d’Encausse
    Stalinisme et Nazisme – histoire et mémoire comparées : Henry Rousso
    et aussi Le livre noir du communisme

    P.S.
    A propos de votre pseudo, Polanyi concerne l’économiste hongrois Karl Polanyi ?

    • Oui effectivement il s’agit bien de Karl Polanyi. La Grande Transformation est un bouquin qui m’avait fait une forte impression

      Je vais me procurer le livre noir et le Lénine de Carrère d’Encausse.

      De mon côté, je vous recommande donc trois livres:

      Claude Lefort : Eléments d’une critique de la bureaucratie
      Cornélius Castoriadis Une société à la dérive et surtout l’institution imaginaire de la société

  • Hitler était avant tout un populiste nationaliste. Sa doctrine était basée sur une profonde croyance en la supériorité des « forts » sur les faibles, une vision du monde purement raciste et élitiste , la guerre comme moyen de « purifier » le monde et de le soumettre aux Aryens, race « supérieure »…

    Alors que les idées communistes visaient officiellement l’égalité des citoyens de tous les pays (vs l’élitisme), la révolution populaire à l’intérieur de chaque pays, et la solidarité à l’échelle mondiale comme antidote aux guerres entres Nations. Bon ça c’est la théorie, évidemment en pratique ce fut très différent comme on sait. Mais tout de même, les objectifs étaient très différents, au départ, même si les dictatures en résultant ont hélas bien des points communs.

    L’utilisation du discours social par Hitler servait surtout un but populiste, à savoir remporter l’adhésion de la majorité de ses concitoyens, profondément blessés dans leur patriotisme par la défaite, et dont le niveau de vie n’était guère reluisant suite aux décisions des vainqueurs. Une majorité grandissante étant acquise aux idées de la gauche révolutionnaire, qui leur promettait un avenir forcément meilleur, il n’a fait qu’utiliser le même discours pour galvaniser les foules et les attirer à lui. Le cocktail socialisme + nationalisme correspondant exactement à ce que la population voulait entendre après avoir vu leur pays mis en coupe réglée. Simple (mais habile) stratégie électorale. Je suis d’ailleurs prêt à parier que les extraits ci-dessus datent essentiellement de la période d’avant son arrivée définitive au pouvoir, quand il lui fallait ratisser large et séduire le plus grand nombre.

    Dans un premier temps bien des sympathisants des idées communistes ont été séduits par le projet « social » des Nazis, jusqu’à s’enrôler dans les SS . Cependant, une fois le pouvoir acquis, Hitler les a vite liquidés : devenus inutiles, ils auraient pu devenir une menace. Séduire l’ennemi pour mieux l’étouffer ensuite…

    Hitler a pu mettre en place des mesures sociales pour maintenir sa popularité (le niveau de vie augmente, le peuple est content) mais on ne peut pas dire que son régime ait été fondé sur les bases idéologiques du socialisme tel que celui qui a présidé à la fondation de l’URSS. Il s’en est simplement servi comme marche pied pour arriver à ses fins. Ses « valeurs » étaient très différentes.

    L’Etatisme dictatorial reste bien sûr à la base de ces régimes, mais en théorie le régime socialiste était censé avoir des bases plutôt démocratiques (la « dictature du prolétariat » restant celle du plus grand nombre), alors que dans le programme Nazi il me semble que l’idée du « führer » guidant la nation était comprise d’emblée dans l’idée de domination des peuples par l’élite.

    • le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein. apres la premiere guerre mondiale, les communistes ont tenté en allemagne un coup d’état et ce sont les corps francs (des milices d’anciens soldats) qui ont sauvé la république de weimar, qui apres ont été désarmés et se sont retrouvé au chomage, ils se sont sentis abandonnés alors ils se sont tournés vers hitler (ce sont eux qui ont formés le sa). le nsdap et le parti communiste avait le meme électorat donc était concurrent, ce qui justifie leur haine réciproque. il y avait également une haine entre socialiste et communiste. une partie de la population allemande a voté et mis hitler au pouvoir en raison de la haine du communisme. sans le communisme, il n’y urait pas eu de nazis et de fascistes. la bourgeoisie a soutenu hitler et mussolini par haine car elle avait une peur bleue du communisme. hitler s’est contenté d’utiliser la bourgeoisie pour arriver au pouvoir. regardez le programme économique du nsdap et les mesures économiques mises en place par les nazis au pouvoir et osez dire que ce n’est pas socialiste. ce qui différencie le communisme, fascisme et le communisme c’est que le nazisme est nationaliste alors que le communiste est internationale. renseignez vous sur l’antisémitisme et le communisme (bcp de communistes étaient antisémites du fait que pour eux les juifs sont plus riches que le reste de la population et que le judaisme dit que les juifs sont le peuple élu (ce qui pour les cocos) est contre l’égalité). qui est l’électorat du fn, c’est l’ancien électorat du pcf. le fn est économiquement tres à gauche, , c’est pas pour rien que c’est le premier parti ouvrier. comparez leur programme économique avec celui du pcf des années 70. les communistes sont racistes sauf que leur racisme n’est pas basé sur la couleur ou la religion mais sur la classe sociale

      • le socialisme est une philosophie de l’échec, le credo de l’ignorance et l’évangile de l’envie. comme disait churchill: » Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. » L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. Car, aujourd’hui comme autrefois, chacun, un peu plus, un peu moins, voudrait bien profiter du travail d’autrui. Ce sentiment, on n’ose l’afficher, on se le dissimule à soi-même; et alors que fait-on? On imagine un intermédiaire, on s’adresse à l’État, et chaque classe tour à tour vient lui dire: « Vous qui pouvez prendre loyalement, honnêtement, prenez au public, et nous partagerons. le socialisme: Si ça bouge, taxez-le. Si ça continue à bouger, régulez-le. Si ça s’arrête de bouger, subventionnez-le. L’erreur fondamentale du socialisme est de caractère anthropologique. En effet, il considère l’individu comme un simple élément, une molécule de l’organisme social, de sorte que le bien de chacun est tout entier subordonné au fonctionnement du mécanisme économique et social, tandis que, par ailleurs, il estime que ce même bien de l’individu peut être atteint hors de tout choix autonome de sa part, hors de sa seule et exclusive décision responsable devant le bien ou le mal. L’homme est ainsi réduit à un ensemble de relations sociales, et c’est alors que disparaît le concept de personne comme sujet autonome de décision morale qui construit l’ordre social par cette décision. De cette conception erronée de la personne découlent la déformation du droit qui définit la sphère d’exercice de la liberté, ainsi que le refus de la propriété privée. En effet, l’homme dépossédé de ce qu’il pourrait dire « sien » et de la possibilité de gagner sa vie par ses initiatives en vient à dépendre de la machine sociale et de ceux qui la contrôlent ; cela lui rend beaucoup plus difficile la reconnaissance de sa propre dignité de personne et entrave la progression vers la constitution d’une authentique communauté humaine. le socialisme croit que la société est mécanique alors qu’elle est organique.

    • Les communistes tuaient des gens juste parce qu’ils pourraient représenté des menaces. si vous etes d’origine bourgeois meme si vous etes un communiste, vous étiez tués (c’est une forme de racisme). Les koulaks (paysans russe possédant leur propre popriété) ont été persécuté juste car c’étaient des koulaks. Renseignez vous sur les communistes, ils ne tuaient pas que les capitalistes ou les gens n’étant pas de la meme opinion qu’eux…

    • bcp de dictatures dans le monde (en particulier) en afrique sont socialiste, d’ailleurs elles font partie de l’internationale socialiste. ben ali faisait parti de l’internationale socialiste. la tunisie comme les autres pays du magreb (lybie, égypte,..) est socialiste tout comme la syrie. le parti baas a meme servi de modèle au pasok (parti socialiste grecque) qui a dirigé sur la grece ces 30 dernières années et qui a mis en place un systeme basé sur le clientelisme et la corruption et qui est responsble de la situation de la grece actuelle… tous les pays du printemps arabe avait en commun d’etre socialiste. le socialisme n’est pas spécialement démocratique…. le socialistes ont tendance à pratiquer la pensée unique qu’ils veulent imposer à tout le monde et à etre contre la liberté (économique, d’expression,…). http://www.institutcoppet.org/2012/03/25/l%E2%80%99horreur-socialiste-par-alain-laurent/

    • le socialisme se base sur la jalouisie et a comme devise diviser pour mieux régner. il divise (riches pauvres, hommes femmes, minorités…) et crée un sentiment de jalouisie. il fait tout pour dresser les uns contre les autres

    • le socialisme est une philosophie de l’échec, le credo de l’ignorance et l’évangile de l’envie. comme disait churchill: » Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère. » L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. Car, aujourd’hui comme autrefois, chacun, un peu plus, un peu moins, voudrait bien profiter du travail d’autrui. Ce sentiment, on n’ose l’afficher, on se le dissimule à soi-même; et alors que fait-on? On imagine un intermédiaire, on s’adresse à l’État, et chaque classe tour à tour vient lui dire: « Vous qui pouvez prendre loyalement, honnêtement, prenez au public, et nous partagerons. le socialisme: Si ça bouge, taxez-le. Si ça continue à bouger, régulez-le. Si ça s’arrête de bouger, subventionnez-le. L’erreur fondamentale du socialisme est de caractère anthropologique. En effet, il considère l’individu comme un simple élément, une molécule de l’organisme social, de sorte que le bien de chacun est tout entier subordonné au fonctionnement du mécanisme économique et social, tandis que, par ailleurs, il estime que ce même bien de l’individu peut être atteint hors de tout choix autonome de sa part, hors de sa seule et exclusive décision responsable devant le bien ou le mal. L’homme est ainsi réduit à un ensemble de relations sociales, et c’est alors que disparaît le concept de personne comme sujet autonome de décision morale qui construit l’ordre social par cette décision. De cette conception erronée de la personne découlent la déformation du droit qui définit la sphère d’exercice de la liberté, ainsi que le refus de la propriété privée. En effet, l’homme dépossédé de ce qu’il pourrait dire « sien » et de la possibilité de gagner sa vie par ses initiatives en vient à dépendre de la machine sociale et de ceux qui la contrôlent ; cela lui rend beaucoup plus difficile la reconnaissance de sa propre dignité de personne et entrave la progression vers la constitution d’une authentique communauté humaine. le socialisme croit que la société est mécanique alors qu’elle est organique.

    • comme par hasard les pays qui s’en sortent le mieux sont les pays les plus libérales (autriche, pays bas,..) et les pays en crise sont les pays les plus socialistes socialistes (grece, espagne, france,..) . les pays dans le monde qui ont la meilleur situation économique et démocratique sont libéraux.

    • on peut dire bcp de chose sur hitler mais surement pas qu’il était populiste, il n’a fait que mettre en pratique ce qu’il disait dans mein kamf

    • lisez la route de la servitude d’hayek qui montre comment le socialisme mène au nationalisme

  • Très utile a balancer aux gauchistes, merci

  • ARTICLE DE PROPAGANDE MENSONGER!

    Ce qui a été réalisé en URSS, en Chine, en Corée du Nord et au Cambodge n’est PAS du communisme! Simple exemple: Mao a fait mourir de faim 50.000.000 de Chinois car il devait payer une dette gigantesque à Staline…et il y a mis plus de zèle que l’URSS ne le lui demandait, plus de zèle même que les Sarkhollande n’en mettent à rembourser la nôtre actuellement! Rembourser une dette sans obligation en affamant un peuple, c’est du communisme? Non!

    Lisez Marx: le communisme est un idéal démocratique et libertaire! Marx, dans le Manifeste:

    « L’émancipation des travailleurs sera l’oeuvres des travailleurs eux-mêmes. Le régime politique du Parti Communiste est la République ».

    Hitler a aussi dit que l’Allemagne serait une démocratie sous son règne: l’est-elle devenue? Non. Les paroles sont les paroles. Les actes comptent plus:

    -Interdiction des SYNDICATS
    -Interdiction du KPD ET SPD (partis communistes et socialistes)
    -Censure de toute la littérature de gauche ou révolutionnaire (les instructions du ministère préconisaient de lutter contre « Le matérialisme historique et la LUTTE DES CLASSES » (allez au musée juif, à Berlin, et vous verrez…)).

    Les entreprises ont-elles été massivement nationalisées? Non.
    Les banques ont-elles été socialisées? Non.
    Les salaires ont-ils été augmentés? Non.
    Une législation sociale a-t-elle été adoptée? Non!

    Alors apprenez à voir au-delà des citations! Il y a ce qui s’appelle la démagogie, le mensonge et le populisme. Hitler a prononcé ces phrases d’inspiration marxiste avant d’arriver au pouvoir: une fois son coup réussi, il a pourchassé les socialistes, les communistes et les syndiqués avec une barbarie et une cruauté inconnue jusqu’alors dans l’histoire de l’humanité! Vous voulez d’autres FAITS? Hitler, comme son ami Mussolini, a reçu le soutien moral et financier des grands du capitalisme allemand et international! Un seul exemple: la Banque d’Amérique a donnée de l’argent pour financer l’ascension d’Hitler…

    Mais puisque vous aimez tant les citations, je vous en ai préparé deux:

    « Dans la nature, c’est la loi du combat qui domine depuis le début; tout ce qui est faible est éliminé ». Hitler, bien sûr.

    Maintenant, celle-ci: « une vérité irréfutable est que le fort opprima le faible depuis la nuit des temps ». Goebbels? Himmler? Non! Herbert Spencer, philosophe minarchiste!
    Le capitalisme et le nazisme ont des racines PHILOSOPHIQUES communes: les deux idéologies se basent sur un constat naturel: la nature élimine les plus faibles. Les deux s’en servent pour créer un système qui reproduit cette sélection naturelle, où il y a des gagnants (les riches/les aryens) et des perdants (les miséreux/les Juifs et autres « impurs »). Cette doctrine s’appelle le DARWINISME SOCIAL. Cherchez sur internet, c’est très intéressant…

    • A vous écouter le communisme n’a jamais été appliqué, du coup l’ignoble situation dans laquelle se sont retrouvé toutes les populations sous les régimes qui ont essayé de mettre en place le communisme ne vous sert pas de leçon.

      Vous êtes un dangereux idéologue, heureusement les lecteurs de contrepoints ont un cerveau, malheureusement vous ne commentez pas que sur contrepoints…

    • non, c’est la vérité historique et si vous ne le croyez pas renseigné vous aupres d’historiens.
      le totalitarisme (nazisme ,fascisme et communisme )est dérivée du socialisme.le parti nazi s’appelait national SOCIALISTE des ouvriers allemands, contrairement à ce que la plupart des gens pensent s’étaient un parti d’extreme GAUCHE (comme le fascisme et le communisme). Ce n’est qu’APRES la seconde guerre mondiale que l’on a dit que c’était d’extreme droite.Mussolini avant de fonder son parti fasciste a été rédacteur en chef d’un journal SOCIALISTE. LAVAL a été communiste avant la 2 guerre mondiale. Miterrand et son pere ont collaborer avec le régime de pétain. La tres grande majorité des collaborateurs en france étaient des gauchistes. En france, 80 % des colllabos venaient de la gauche. je vous conseille de lire Un paradoxe français, Antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance de simon epstein

    • Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l’union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand.

      Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l’organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l’esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n’est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l’esclavage et est l’objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu’au travers d’une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d’un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n’est rien, seulement un fantôme, rien qu’une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l’avenir, la liberté, la patrie !

      Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d’estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l’État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l’État, libératrice et constructive.

      Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu’à aujourd’hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliqué dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu’elle cherche à faire partie de l’organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; ellel finira dans le politique. Ce n’est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d’heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c’est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d’intégration d’une classe puissante et responsable dans l’État, peut-être même d’en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées.

      Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu’il produit. Nous n’avons pas l’intention de mendier pour ce droit. L’intégrer dans l’organisme étatique n’est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s’agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l’atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l’intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l’État ouvrier à venir. A l’extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l’avènement de l’État national-socialiste. Le socialisme n’est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l’unité nationale et la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d’un État national-socialiste.

      Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé.

      Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme !
      Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme !
      Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste !
      Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands !

    • vous etes un révisionniste, vous oubliez que les anticapitalistes utilisent EXACTEMENT les meme arguments que les nazis (sauf qu’eux mettait juif: la finance juive, le 1 % juif, les banques juives,….)

    • « Je suis Socialiste, et un Socialiste plus authentique que votre riche ami le Comte Reventlow », disait Hitler en 1930 à Otto Strasser.

    • renseignez vous sur l’antisémitisme et le communisme (bcp de communistes étaient antisémites du fait que pour eux les juifs sont plus riches que le reste de la population et que le judaisme dit que les juifs sont le peuple élu (ce qui pour les cocos) est contre l’égalité). qui est l’électorat du fn, c’est l’ancien électorat du pcf. le fn est économiquement tres à gauche, , c’est pas pour rien que c’est le premier parti ouvrier. comparez leur programme économique avec celui du pcf des années 70. les communistes sont racistes sauf que leur racisme n’est pas basé sur la couleur ou la religion mais sur la classe sociale.

    • Rappelons tout de même la politique de grands travaux du 3ème reich: autoroutes, logements sociaux (oui, oui les mêmes qu’on voit pululler dans les communes en France), réfection des cantines ouvrières, loisirs de masse tel Paris-Plage etc… Le lancement de la filière automobile avec Volkswagen, telles les subventions que reçoit renault, avec des automobiles censées être accessibles aux plus pauvres…
      Le régime imposa la planification et une stricte autarcie obligeant les industriels à respecter des objectifs et à remplacer les produits d’importation par d’autres de moindre qualité made in Germany…pas loin de ce que prétend faire Mélanchon d’ailleurs.
      L’industrie fut complètement réorganisée par une série de lois, suivant un plan de remilitarisation. Cette politique s’est appuyée dès 1933-1934 sur une série de lois économiques qui favorisèrent la réorganisation complète de l’industrie, puis fut accentuée à partir de 1936 avec le lancement du plan de Quatre Ans confié à Hermann Göring. Celui-ci constitua le tout-puissant cartel des Hermann-Göring Reichswerke, devenu très vite l’une des plus grosses entreprises d’Allemagne puis, après la mise sous tutelle des industries des pays conquises, une des plus grosses du monde.

      L’Etat nazi promulga une loi supprimant chomage et emprunta 1 milliard de marks pour refaire tous les bâtiments, c’est simple de donner du travail comme ça évidemment, il créa le livret de travail avec les administrations qu’il fallait. De manière générale la bureaucratie et son cortège de fonctionnaires grossit de manière exponentielle, le droit du travail et les compensations envers les travailleurs sont allés largement plus loin que ce que réalisa même le front populaire à la même époque en France.Au total le Front du Travail allemand a versé, de mai 1933 à la fin de l’année 1938, à titre d’assistance, une somme de 424 millions de marks.
      Les politiques sociales pour favoriser les ouvriers et les familles étaient très développées, se développèrent énormément de locaux sanitaires, l’apprentissage, les congés payés obligatoires etc…
      Bref du socialisme sur toute la ligne.

    • apres la premiere guerre mondiale, les communistes ont tenté en allemagne un coup d’état et ce sont les corps francs (des milices d’anciens soldats) qui ont sauvé la république de weimar, qui apres ont été désarmés et se sont retrouvé au chomage, ils se sont sentis abandonnés alors ils se sont tournés vers hitler (ce sont eux qui ont formés le sa). le nsdap et le parti communiste avait le meme électorat donc était concurrent, ce qui justifie leur haine réciproque. il y avait également une haine entre socialiste et communiste. une partie de la population allemande a voté et mis hitler au pouvoir en raison de la haine du communisme. sans le communisme, il n’y urait pas eu de nazis et de fascistes. la bourgeoisie a soutenu hitler et mussolini par haine car elle avait une peur bleue du communisme. hitler s’est contenté d’utiliser la bourgeoisie pour arriver au pouvoir. regardez le programme économique du nsdap et les mesures économiques mises en place par les nazis au pouvoir et osez dire que ce n’est pas socialiste. ce qui différencie le communisme, fascisme et le communisme c’est que le nazisme est nationaliste alors que le communiste est internationale.

    • arrete de dire n’importe quoi, les juifs étaient justement considéré comme les riches responsable de tous les malheurs….

    • le communisme ne marche pas et a fait plus de 100 millions de morts. le capitalisme a réduit ces dernières années de moitié la pauvreté mondiale. soutenir le socialisme ou le communisme est bcp plus stupide que de soutenir le libéralisme ou le capitalisme. la preuve que le socialisme ne marche pas est que bcp de socialistes eux meme l’ont reconnu et ont évolué vers la social démocratie voir maintenant vers le social libéralisme. http://loicgonsolin.politicien.fr/2013/07/05/716/

    • « Que les syndicats ont été immédiatement interdits, que les communistes et socialistes pourchassés, torturés et condamnés à morts? »

      comme en union soviétique dé la première année.
      à Cuba, sous Mao etc….

      Vous voulez les idées socialistes d’Hitler, es voilà !

    • » le nazisme c’est le bolchévisme sans le judéo-bolchévisme »
      Adolphe Hitler

    • Huit des dix points (du Manifeste du Parti communiste de Marx et Engels) ont été exécutés par les nazis avec un radicalisme qui aurait enchanté Marx. Seuls deux points n’ont pas encore été complètement adoptés par les nazis, à savoir l’expropriation de la propriété foncière et l’affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat (point n°1 du Manifeste) et l’abolition de l’héritage (point n°3). Cependant, leurs méthodes de taxation, leur planisme agricole et leur politique concernant la limitation des fermages vont chaque jour dans le sens du marxisme

    • occcupy wall street est financé par george soros (qui finance bcp d’autes mouvements anticapitalistes) ce qui n’empeche en rien occupy wall street d’etre anticapitaliste….

    • regardez le programme économique du nsdap et les réformes mises en place par hitler puis osez dire que ce n’est pas socialiste.

    • Ce sont les soviétiques qui ont accusé en premier les Nazis d’être les agents du Grand Capital, et cette thèse a été utilisée abondamment par les historiens de l’Allemagne de l’Est. Aujourd’hui, elle est entièrement rejetée par l’historiographie du nazisme. On peut toujours citer les quelques cas individuels comme Fritz Thyssen, c’est vrai. Mais dans son ensemble, le grand capital resta loin d’Hitler, et appela même longtemps à lui barrer la route. Surtout depuis les travaux de l’historien américain Turner, les historiens du nazisme se sont détachés nettement de ce vieux mythe très utilisé dans les années de la Guerre froide.

    • lisez la route de la servitude d’hayek qui montre comment le socialisme mène au nationalisme

    • Comme l’a montré Ludwig von Mises, l’apport original du nazisme ne se situe pas sur le plan idéologique, mais sur celui de l’exécution : « Les principes fondamentaux de l’idéologie nazie ne diffèrent pas des idéologies sociales et économiques généralement acceptées. La différence concerne seulement l’application de ces idéologies aux problèmes spéciaux de l’Allemagne. » Et dès 1933, F. A. Hayek écrivait : « la persécution des marxistes et des démocrates en général, tend à occulter le fait fondamental que le National-Socialisme est un véritable mouvement socialiste, dont les idées principales sont le fruit des tendances antilibérales qui ont progressivement gagné du terrain en Allemagne depuis la fin de l’époque bismarckienne. » ce que rejette Hitler dans le communisme, ce n’est pas son socialisme, c’est son origine juive et sa tendance internationaliste. Et c’est pour les mêmes raisons qu’Hitler condamne le capitalisme. Le capitalisme libéral, mondialisé, financiarisé, était pour lui le mal absolu. Or les Juifs en étaient à la fois les créateurs et les maîtres absolus. Le capitalisme, pensait Hitler, était un système essentiellement Juif. De même, le bolchevisme était considéré par les nazis comme une création essentiellement juive. Bien qu’ayant largement versé dans l’antisémitisme, Karl Marx était lui-même d’origine juive, et même le descendant d’une longue lignée de rabbins. Si donc Hitler a dénoncé le marxisme comme un « faux » socialisme d’origine juive, ce fut pour mieux construire une économie socialiste dans laquelle chacun agirait pour le bien-être de la collectivité. C’est ainsi que de la législation sociale à la fiscalité, de la politique environnementale à la réglementation des entreprises, il fut un architecte de peuple et un dessinateur de nation. Il voulut façonner non seulement l’économie allemande mais aussi chaque sphère de la vie individuelle, partant du principe que l’individu n’est qu’un agent de l’État et qu’il doit se mettre au service du bien commun, c’est-à-dire du bien de l’État. Tout comme le système économique allemand, la vie sociale des Allemands fut également collectivisée. L’État prit à sa charge les activités sportives, les manifestations culturelles et tout le temps de loisir. Il y eu plus d’État dans la culture, le gouvernement se chargeant de subventionner grassement les manifestations culturelles « dignes » de l’Allemagne et de proscrire les autres. Le ministère de l’Éducation du Reich se chargea d’édicter les programmes et les manuels furent réécrits. Anciennement assurée par les écoles confessionnelles, l’éducation des jeunes Allemands fut désormais une mission d’État. Les professeurs devinrent des fonctionnaires du gouvernement. Or tout cela, cet État si large, disposant de pouvoirs si grands, si étendus, n’était-ce pas là le grand rêve des socialistes ?

    • quelques articles sur le sujet:
      Erik von Kuehnelt-Leddihn: The Socialism in National-Socialism
      http://archive.thetablet.co.uk/article/30th-august-1952/5/the-socialism-in-national-socialism
      Götz Aly: On the Basis of Envy http://es.scribd.com/doc/101194949/On-the-Basis-of-Envy-by-Gotz-Aly
      George Reisman: Why Nazism Was Socialism and Why Socialism Is Totalitarian
      http://mises.org/daily/1937
      Michael E. Newton: The Socialist Promises of the Nazis
      http://thepathtotyranny.wordpress.com/2011/01/10/the-socialist-promises-of-the-nazis/
      Ed Kosak: Once and for all: The leftist origins of National Socialism
      http://www.thecommentator.com/article/2827/once_and_for_all_the_leftist_origins_of_national_socialism
      Vladimir Moss: Nazism and Socialism: The Brother Ideologies
      http://www.orthodoxchristianbooks.com/articles/342/nazism-socialism-brother-ideologies/

    • il y a un mécanisme de pensée commun aux « progressistes » d’aujourd’hui et aux nationaux-socialistes. C’est la croyance en la pureté intrinsèque du peuple et dans l’impureté de l’argent qui circule, l’argent que produit le capitalisme. Non pas la richesse en elle-même, car la richesse foncière, celle qui s’enracine dans le terroir, a toujours été considérée comme légitime, de même que celle des pensionnés de l’état. Maurras et Mitterand seraient tombés d’accord là-dessus.
      Mais l’argent qui circule, celui qui passe par-dessus les frontières, pourrit tout, pensent les socialistes, nationaux ou pas. Il existe un complot apatride d’autant plus insidieux qu’il pénètre partout, s’infiltre partout, tente de se faire invisible. Pour les uns, les auteurs du complot sont les juifs, pour d’autres la grande finance. Hitler, dans ses discours, associaient toujours la ploutocratie enjuivée et les grandes banques anglo-saxonnes.
      De nos jours, on met en veilleuse l’histoire du complot des sages de Sion, ça fait pas bien dans le paysage. Mais le reste n’a pas tellement changé.
      C’est un automatisme mental de la part de ceux qui pensent que le monde ne devrait pas changer parce qu’ils ont peur d’y perdre leurs acquis et leur mode de vie: il y a quelque chose de pas normal qui tombe sur nous, de diabolique, et qui s’instille partout; il faut supprimer ceux qui sont les porteurs de cette peste et qui la répandent partout. Alors le monde redeviendra sain (et saint ?). Les classes moyennes déclinantes sont facilement attirées par cette vision des choses.
      Selon l’époque, ceci aboutit à bruler des sorcières, à donner une dimension industrielle à la technique du pogrom ou à promouvoir la version rouge ou rose vif (ou rose-vert) du totalitarisme de gauche.
      Malbranque a raison de citer Jaurès parmi les antisémites. En 1894, lorsque Dreyfus a été arrêté, il a interpellé à la chambre le président du conseil Dupuy en lui reprochant d’avoir été trop indulgent avec Dreyfus parce qu’il était juif. Il a ensuite changé d’avis, ce qui est tout à son honneur. Mais son premier réflexe était bien l’antisémitisme.

  • quelques citations de Che Guevara: « The Negro is indolent and lazy, and spends his money on frivolities, whereas the European is forward-looking, organized and intelligent… The Negro has maintained his racial purity by his well known habit of avoiding baths. » « Mexicans are a band of illiterate Indians. »
    « We’re going to do for blacks exactly what blacks did for the revolution. By which I mean: nothing. »
    « Given the prevailing lack of discipline, it would have been impossible to use Congolese machine-gunners to defend the base from air attack: they did not know how to handle their weapons and did not want to learn. »
    http://www.histoire-en-questions.fr/personnages/che%20execution.html http://www.libreafrique.org/files/Alvaro%20Vargas%20Llosa%20-%20Che.pdf
    https://lavitrecassee.wordpress.com/2012/05/10/la-petite-histoire-du-che/
    http://www.slate.fr/story/101591/che-guevara-hollande
    quelques livres à lire sur le che: , « La face cachée du Che » de Jacobo Machover, « La véritable histoire d’Ernesto Guevara » de Pierre Rigoulot ainsi que « Raul et Fidel : La tyrannie des frères ennemis », le livre de Jacobo Machover : « Cuba : l’aveuglement coupable : Les compagnons de la barbarie », « Cuba : mémoires d’un naufrage » de Jacobo Machover

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François Kersaudy est un auteur, historien reconnu, spécialiste de la Deuxième Guerre mondiale et de l’histoire diplomatique. Auteur de De Gaulle et Churchill (Perrin, 2002), De Gaulle et Roosevelt (Perrin, 2004), il a aussi écrit une biographie de Churchill pour Tallandier, et une autre consacrée à Lord Mountbatten pour Payot. Il est aussi l’auteur d’ouvrages consacrés à l’Allemagne nazie.

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