Les Russes ont Poutine, Medvedev, Lavrov.
Quand ils parlent, on se tait, même si on a envie de dire son sentiment.
Nous avons Hollande, Valls, Fabius.
Quand ils parlent, on rigole même si l’on a bien plus envie de pleurer.
Bon. On a touché le fond. Il n’y a plus rien à dire.
Les Russes ont Poutine, Medvedev, Lavrov.
Quand ils parlent, on se tait, même si on a envie de dire son sentiment.
Nous avons Hollande, Valls, Fabius.
Quand ils parlent, on rigole même si l’on a bien plus envie de pleurer.
Bon. On a touché le fond. Il n’y a plus rien à dire.
Quand Obama parle, je ne sais pas si je dois rire ou pleurer.
Dans le doute, j’assure : je fais les deux.