En Inde, l’État est responsable de la mort de deux à trois millions de pauvres par an, alors que de nombreux programmes de lutte contre la pauvreté ciblent une population qui participe activement au projet démocratique à travers les élections. L’anthropologue Akhil Gupta explique ce paradoxe dans un ouvrage novateur fondé sur une minutieuse ethnographie des pratiques quotidiennes de la bureaucratie indienne. À lire dans La Vie des Idées.
La violence de la bureaucratie
Publié le 22 décembre 2013
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