Comme dans les pays du printemps arabe, répression politique et kleptocratie sont la régle en Asie centrale. La rue y reste relativement calme mais les autorités sont en état d’alerte et la région reste une poudrière.
Vite comparés aux révolutions est-européennes de 1989, les événements du monde arabe ont suscité l’espoir d’une contagion démocratique aux autres régions du monde.
Les républiques post-soviétiques d’Asie centrale – Kazakhstan, Kirghizistan, Ouzbékistan, Tadjikistan et Turkménistan – viennent immédiatement à l’esprit.
Qu’en est-il véritablement ?
Lire la suite de l’analyse de Olga Alinda Spaiser sur le site de Telos.
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