Crise énergétique : l’exécutif remet une couche de transition vers le néant

Entre Macron et Borne, tout l’Exécutif se mobilise pour garantir qu’aucune énergie efficace et pilotable ne subsiste sur le territoire.

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Transition énergétique (Crédits : baerchen57, licence CC-BY-NC-SA 2.0), via Flickr.

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Crise énergétique : l’exécutif remet une couche de transition vers le néant

Publié le 24 octobre 2022
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Les perspectives énergétiques des prochains mois ne sont pas bonnes. La crise qui touche maintenant toute l’Europe s’annonce sévère et si, par malheur, l’hiver est rigoureux, les peuples auront l’occasion de mesurer précisément ce qu’intermittent veut dire pour les énergies vertes.

Manifestement, les solutions mises en place jusqu’à présent pour compenser l’arrêt des distributions de gaz et de pétrole russes montrent des faiblesses et accroissent clairement les soucis des citoyens. Cependant, avec plus de 20° de moyenne en France actuellement, il est encore bien trop tôt pour s’inquiéter et le gouvernement sait, encore une fois, comment procéder. Comme souvent en Socialie, si ce qu’on a fait ne marche pas c’est que cela ne tient qu’à une seule raison solide : on n’a pas été assez loin ni assez fort.

La planification écologique continue donc de plus belle, renforcée par les dernières décisions d’un exécutif totalement hors sol et résolu à absolument tout faire pour aboutir aux objectifs idiots fixés par l’Agenda 2030, quitte à dissoudre le peuple dans l’opération si celui-ci se montrait un peu trop coriace.

C’est ainsi qu’on apprend qu’Emmanuel Macron a décidé, tout seul comme un grand, de sortir la France du Traité sur la charte de l’énergie signé en 1994.

Arguant du fait que cette sortie aurait été « demandée par beaucoup » (beaucoup étant l’unité de mesure maintenant officielle de la démocratie, bien plus précise et efficace qu’un référendum ou la pénible utilisation d’une Assemblée nationale dont on a d’ailleurs vu récemment toute la vacuité), le chef de l’État va donc retirer la France des accords de ce traité qui visait essentiellement à offrir certaines garanties aux sociétés réalisant des investissements coûteux dans différents domaines énergétiques, notamment les énergies fossiles fort coûteuses en capital, afin de leur éviter les mauvaises surprises liées à des États légiférant directement contre leurs intérêts.

Excellente opportunité pour ce pays de découvrir ce qu’une insécurité juridique supplémentaire peut provoquer à court, moyen et long terme notamment dans le domaine de l’énergie et en particulier celui des énergies fossiles, celui où, précisément, les investissements, outre coûteux, sont les plus problématiques en France et où le retard accumulé ces dernières décennies commence déjà à provoquer quelques soucis : en 2013, De Margerie, alors patron de Total, expliquait à qui voulait l’entendre que les sociétés pétrolière, la sienne en premier, seraient obligées de fermer des raffineries tant les politiques vertes poussaient leurs exploitations vers le mur.

Presque 10 ans plus tard, la France se retrouve dans une situation très délicate (elle importe de plus en plus de diesel raffiné à l’étranger) à laquelle les grèves ajoutent un petit parfum pimenté et on voit mal comment la dernière décision unilatérale de locataire de l’Élysée améliorera la situation.

Parallèlement à ces décisions catastrophiques d’un chef de l’État résolument décidé à ruiner les industries françaises, tout le gouvernement s’emploie lui aussi à ajouter sa patte dans la destruction en cours. Babeth Borne, l’actuelle excuse responsable du gouvernement, nous a ainsi gratifiés d’un récent discours dans lequel elle nous a péniblement résumé les 22 (!) différents chantiers qu’elle compte ouvrir pour une transition écologique encore plus verte, écoconsciente, inclusive, partageuse et solidaire (qui est, pour rappel, la fournée de qualificatifs officiels pour « socialisme écolo tous azimuts »).

Se payant aisément de mots creux et d’envolées lyriques parfaitement en accord avec la communicopathie inhérente de Macron et de ses sbires, la Première ministre a donc rappelé que l’objectif du gouvernement était donc, en toute modestie et avec réalisme, de faire plus pour le climat que ce que la France a accompli en trente-deux ans, le climat étant – pour rappel – ce petit truc faible et apeuré que seul le gouvernement français peut aider à revenir dans la norme, la règle et la stabilité.

Certes, l’historique de ces cyclomanes compulsifs permet de conserver un peu d’optimisme tant ils sont généralement nuls à réaliser leurs lubies mais ici, l’ambition est concrètement de réduire d’au moins 55% d’ici 2030 les émissions françaises de gaz à effet de serre, pourtant déjà microscopiques. Autrement dit, il s’agit de couper l’accès à l’énergie encore plus fort et encore plus loin que ce qui fut fait jusqu’à présent. Si vous avez aimé la décroissance pépère de ces douze derniers mois, vous allez adorer l’hiver prochain qui ne sera qu’un avant-goût des hivers suivants qu’on peut sans mal imaginer de plus en plus dépourvus de chauffage.

Or, pour rappel, Macron est farouchement opposé au nucléaire : il suffit pour le comprendre de voir le décalage violent qu’il y a entre ses pipeautades endiablées lorsqu’il évoque la maintenance et le développement de cette énergie en France, et ses actions qui consistent à fermer des réacteurs. Pour rappel, la loi qui impose l’arrêt de douze réacteurs supplémentaires d’ici quelques années n’a toujours pas été abrogée, même devant les difficultés actuelles d’EDF…

Dès lors, il convient de comprendre que tout ce qui sera entrepris le sera sans pétrole, sans gaz ni de schiste, ni naturel, sans nucléaire et essentiellement avec des moulins à vent et des panneaux magiques, tous deux intermittents, économiquement catastrophiques et au rendement ridicule. Cela donnera aux 22 chantiers (ou plutôt, 22 zones de carpet bombing gouvernemental si l’on veut regarder la réalité en face) articulés en six thèmes (se déplacer, se loger, se nourrir, produire, consommer et préserver les écosystèmes) tout le loisir d’expérimenter avec la pénurie, le bricolage et l’inévitable pollution qu’entraineront les contournements et les dérives que tous les systèmes collectivistes imposés finissent toujours par produire.

Et c’est le plus beau : en prétendant ainsi lutter contre un dérèglement climatique chimérique et en voulant faire de l’écologie la pierre angulaire de leurs âneries gouvernementales, cette bande de clowns va aboutir exactement à l’effet inverse de celui recherché. C’est une prévision plus qu’une prédiction et elle ne prend aucun risque : si on laisse faire ces manchots destructeurs et à cause de leurs efforts, la France sera dans quelques années plus polluée, plus sale et beaucoup moins verte que ce qu’elle est maintenant.

Si vous trouvez la France polluée actuellement, dites-vous que c’est un paradis à côté de ce qu’elle va devenir sous les coups de boutoirs de ces politiques lamentables.


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  • Mme Borne investit dans l’industrie très prometteuse des vélos. Exactement ce qu’ont fait Staline et Mao en leur temps pour favoriser la mobilité de leurs peuples. Et Dieu sait combien ces peuples ont nagé dans le bonheur entre 1945 et 2000 ! Chacun son tour : maintenant c’est à la France de nager dans le bonheur pendant que les Chinois et les Russes polluent à tout va. Les pauvres !

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  • « nous » avons été bernés lors du premier mandat Macron . Les limitations de vitesses, puis la convention « citoyenne climatique » auraient dû nous mettre la puce à l’oreille…. Au second mandat, la désignation d’un premier ministre qui a « oeuvré » toute sa carrière dans des cabinets écolos, le nouveau ministre de l’éducation, la reconduction du ministre de la justice nous démontre que nous sommes passé sous domination écolo, gaucho, bisounours…….. le vrai visage de ce gouvernement, maintenant dévoilé, on ne peut que constater le résultat….. Les injonctions européennes ne vont qu’accentuer ce délitement.
    (NB : cher H16, vous avez omis votre slogan « ce pays est foutu »)

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    • @nanard je n’ai pas été bernée , je m’attendais exactement à ça . Une petite minorité a été bernée , et ça a suffi pour faire passer Minus

    • Je n’ai jamais été berné, je n’ai jamais voté Macron. Je sais depuis 1981 ce qu’on peut attendre des post staliniens. Ca arrive, préparons nous à la prochaine guerre.

  • A un certain moment, se couper de ses sources d’approvisionnement énergétiques et de ses marchés d’exportations (Russie, Iran), vendre ses actifs à l’étranger (Chine, USA, Golfe, …) pour payer ses fins de mois, céder ses actifs stratégiques pour éventuellement les racheter derrière (cf Alsthom), se mettre sous la dépendance politique d’une entité supranationale (l’UE) non élue et sous la dépendance énergético-militaire d’un état tiers (USA), utiliser des cabinets de conseils américains pour piloter sa politique intérieure, etc, etc., ne devient-il pas de la Haute Trahison même si on a eu l’onction électorale qui, compte tenu du bourrage de crâne médiatique et de l’ambiance de peur infusée dans le pays, si elle est légale est assez sujette à caution du point de vue démocratique ?

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    • Non, car cette trahison est généralisée en occident. On appelle des « liquidateurs » les nouveaux présidents dits « du Nouveau monde ». Et je suis quasiment certains que plus rien ne pourra plus les arrêter (les mondialistes) jusqu’à effondrement complet de l’occident, voir d’une tragédie mondiale type guerre etc…

    • Un bon résumé de la situation… A croire que les termes « pragmatisme, anticipation, responsabilité » n’ont pas obtenu le label CEE!
      Eh oui: depuis quelques décennies, ces mots-là, comme nos industries, ont migré vers les cieux plus cléments des pays « émergents », comme on dit.
      Si le prix à payer pour « émerger » et devenir « dignes » du G7 est ce qui nous attend à brève échéance -« nous » les pays dits développés – je souhaite à ceux-là d’en avoir bien conscience; de ne pas trop se presser et d' »émerger » encore pendant longtemps!
      N’empêche qu’ils doivent bien se marrer, ceux-là, à l’idée de nous vendre plus cher ces énergies fossiles russes, que nos politiciens « bien pensants » ont refusé d’acheter à bas prix, par idéologie… à ces mêmes russes!
      Cherchez l’erreur!

  • Bravo pour votre article qui nous offre une description malheureusement rigoureusement exacte de notre situation.
    Je n’en veux même plus à Macron et sa clique, j’ai voté en mon âme et conscience pour leur faire barrage.
    Par contre, j’en veux énormément aux oppositions qui ne disent rien et qui laissent couler nos entreprises sans dire un mot.
    Que devient Olivier Marleix qui nous avait promis de tout dire sur le scandale Alstom ?
    Que devient Marine Le Pen ? Les ors de l’assemblée nationale la laissent sans voix !
    On ne vous demande pas de twitter à tout propos mais de travailler pour la France et les Français que vous avez l’honneur de représenter ! Bougez-vous le cul !
    Je suis très triste pour mes enfants et petits-enfants à qui on va laisser un pays sans industrie, sans agriculture, sans éducation, sans perspective.
    L’Histoire nous jugera sévèrement !

    16
    • D!accord avec vous, il n’y a personne pour protester contre le saccage énergétique du pays, et donc du saccage industriel tout cour, et les entreprises sont prises à la gorge par les tarifs dementiels de l’électricité, les bailleurs sociaux ne pourront plus guère chauffer et éclairer les immeubles. Tout ca au nom du « dérèglement » climatique, sans que personne ne puisse nous expliquer quand et ou le climat avait été parfaitement réglé, sans gel dramatique, sans sécheresses, sans canicule, sans inondations? Le mot haute trahison du peuple français ne me parait pas usurpé

      12
      • sans que personne ne puisse nous expliquer quand et ou le climat avait été parfaitement réglé ».
        On entend des journalistes, et même des pseudos scientifiques, nous citer la chaleur du printemps et de l’été dernier comme une preuve du dérèglement, ce dernier étant, bien sur lié à l’homme avec comme traitement du problème la sobriété énergétique massive.
        Voici donc des témoignages historiques des sècheresses ayant frappé l’europe…
        Grandes sècheresses :
        * VIe siècle : 580, 582, 584, 585, 586, 587, 589, 591
* VIIe siècle : 675, 700
* VIIIe siècle : 783
* IXe siècle : 874, 892
* Xe siècle : 921, 987, 994
* XIe siècle : 1078, 1094
* XIIe siècle : 1137, 1183, 1188
* XIIIe siècle : 1204, 1212, 1226, 1287
* XIVe siècle : 1305, 1306, 1325, 1331, 1334, 1361, 1384, 1392
* XVe siècle : 1473
* XVIe siècle : 1540, 1553
* XVIIe siècle : 1632, 1674, 1684, 1694
* XVIIIe siècle : 1701, 1712, 1718, 1719, 1726, 1727, 1767, 1778, 1793
* XIXe siècle : 1803, 1811, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893

        1303 : Loire, le Rhin, la Seine et le Danube sont à sec

        L’année 1540 constitue un phénomène météorologique extrême. Une masse de chaleur s’était accumulée au-dessus de l’Europe centrale et l’anticyclone stationna pendant plusieurs mois. Les rivières s’asséchèrent. Si le Rhin atteignit la moitié de son débit normal pendant l’été 2003, en 1540, c’était seulement 10 à 15 %. À Bâle, on traversait même le fleuve à pied. Les chutes du Rhin étaient lourdes d’un silence sinistre, le lac de Constance était réduit à l’état de flaque d’eau. Les gens arpentaient son fond à la recherche de pièces de monnaie romaines.

        • Et les hivers extrêmement rigoureux durant le petit age glaciaire, notamment sous Louis XIV, ou la seine, la Loire, la tamise étaient gelées. Pas sur que nos systèmes électriques et addiction d’eau résistent à de tels hivers s’ils se reproduisaient,

        • Depuis les dinosaures, il y a un complot mondial pour dérégler le climat et avec tous ces bestiaux qui pètent du CO2 et du méthane à tout va depuis cette époque lontaine (dinosaures, zébus, hippopotames, éléphants, boeufs et chevaux, etc … et j’en passe!, personne n’a été foutu de le re-régler! Bon c’est une explication qui vaut bien celle de la responsabilité des chevaux-vapeur humains, non ?

    • @Jean Paul Où ça des oppositions ?

    • Il ne faut pas en vouloir aux oppositions d’attendre. Il faut en vouloir à ceux qui condamnent a priori leurs propositions du simple fait des étiquettes d’extrême droite qui leur collent à la peau. Le moment n’est pas encore venu où l’électorat soit prêt à écouter des propositions sensées, les formuler n’aboutirait qu’à les discréditer durablement. Essayons simplement de hâter son avènement.

  • Le passage « en prétendant ainsi lutter contre un dérèglement climatique chimérique » me laisse sans voix.
    Si seulement nous appliquions la même rigueur scientifique aux climatosceptiques que celle qu’ils appliquent à chaque scientifique travaillant sur le climat pensant découvrir la pierre philosophale et hurlant des cris d’offraie si le GIEC a oublié une virgule dans son rapport…

    -10
    • « Si seulement nous appliquions la même rigueur scientifique aux climatosceptiques que celle qu’ils appliquent à chaque scientifique travaillant sur le climat ». Les statuts du HIEC interdisent à ses membres d’analyser le climat. Ils sont cantonnés à colliger toutes les publications traitant du réchauffement climatique anthropique, à l’exclusion de toute autre. Travail de secrétaires et non de scientifiques. Rappelons que le premier président du GIEC était ingénieur ferroviaire.

  • Le parallèle de la dernière image avec Haïti est assez bien vu , car là bas comme ici , les gouvernements fantoches font la politique favorable à un pays étranger que tout le monde aura reconnu, qui soit dit en passant ont aussi des fantoches mais qui travaillent au moins pour des lobbies locaux. Jusqu’à présent chez nous ça passait plutôt inaperçu , mais de moins en moins .

  • ils vont réussir finir à faire en sorte d’etre OBLIGES de subventionner vraiment les fossiles..

  • Les deux mots qui reviennent sans cesse apropos de tous les sujets de société.
    Transition et Migrant. Ce n’est pas un Hasard, c’est deux mots ne veullent strictement rien dire en tant que tel.
    On ne sait pas de qui ou de quoi on parle, On sait pas d’ou l’on part ni ou on/il va.
    Rien sur les Buts, les causes, les motivations, les couts , l’fEfficacité …
    Pour les écolos, c’est la transition energetique, qui commence par la fermeture de centrales Nucléaires … Le trou noir pourre durer un moment
    Pour Macron c’est la transition « Démographique », de quel peuple cause t-il ? Mystére !
    La surpise pourrait etre violent.
    Les migrants: OQTF, Pur Clandos, etc … Deux millions se proménent en 2022 en France.
    ça va faire quoi si on ne fait rien ?

  • « Or, pour rappel, Macron est farouchement opposé au nucléaire ». Pour mémoire, micron n’ aucune conviction. Il se dirige toujours uniquement vers ses intérêts. Financiers.

  • Confier un pays à,de tels individus c’est de l’inconscience. Mais avec ce système démocratique où trouver l’Hercule qui néttoiera ces écuries d’Augias que sont devenus l’immense puzzle totalement innéficace des élus et des fonctionnaires.

  • Quel scandale de confier la gestion de notre pays à de tels doctrinaires totalement incompétents et irresponsables. Mais il parait que nous sommes en démocratie (enfin le peu qui en reste) alors où trouver l’Hercules qui serait élus pour nettoyer les écuries d’Augias que sont devenus l’immensepuzzle d’élus et de fonctionnaires ?

  • On a déjà une idée avec Paris en avance sur le reste du pays.

    CPEF 🙁

  • Après est-ce qu’on peut attendre quelque chose de bien d’un président ancien ministre de l’économie de François Hollande, une première ministre ancienne présidente de la RATP et un ministre de l’économie qui a fait des études de lettres et d’Allemand ?

  • Que sauraient-ils donc que nous n’aurions appris ? Quels sont leurs desseins réels ? Serait-ce l’influence de Klaus Schwab ?

  • « C’est ainsi qu’on apprend qu’Emmanuel Macron a décidé, tout seul comme un grand, de sortir la France du Traité sur la charte de l’énergie signé en 1994. »

    mais en meme temps..il peut nous interdire d’acheter un diesel en 2023.. si si , c’est signé ..su un papier avec un tampon..
    je ne suis pas un fan inconditionnel de la démocratie… c’est à dire que je n’accpete pas la légitimité morale et ethique d’une interdiction démocratique je m’y conforme cependant …mais je n’accepte pas du tout la légitimité de macron à interdire en 2035.

    • Je pense que on doit rester modérer et voir le problème des limites de notre belle planète
      Je ne disserterai pas mais juste qq points;
      Faut arrêter de voyager pour tout et rien
      Pourquoi pas un quota co2 par personne
      Pourquoi n aborde t on pas la taille de la population mondiale car à 3 ou 9 milliard c est pas la même chose. Le problème est qu alors il faudra travailler jusque 70 ans si on n à plus d enfants
      Si nous faisons des efforts que tous le fasse, Bresilien, Russes, Riches et tous les autres
      Comment peut on encore promouvoir des véhicules rapide et puissants quand on se fait flasher à 130 voire moins
      Pourquoi ne pas, comme en Chine, mettre un compteur aux feux rouge qui annonce quand il fasse rouge afin d anticiper sa conduite
      Bref que sd incoherences… et le véhicule électrique est un de plus..

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