Le communisme a laissé des traces en France

Même s’il n’existe pratiquement plus en tant qu’organisation officielle, le communisme inspire les mentalités d’un grand nombre de Français.

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Le communisme a laissé des traces en France

Publié le 19 août 2022
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Le parti communiste français (PCF) a été créé en 1920 et a eu un rôle politique important après la Seconde Guerre mondiale. Mais il a perdu ce rôle depuis beaucoup d’années. Certes, en principe, le parti communiste français existe encore, mais on n’en entend jamais parler car il ne joue aucun rôle public important.

Ainsi en 2021 ce parti a perdu sa dernière présidence de conseil départemental. Il dispose encore un nombre limité d’adhérents et son journal, L’Humanité, existe encore (mais est fort rarement évoqué).

On a donc le sentiment que le communisme n’existe plus. Mais s’il n’a plus de rôle politique précis on peut tout de même se demander si le mode de pensée communiste subsiste malgré tout. De ce point de vue on peut donc considérer comme utile de pouvoir définir ce qu’est un mode de pensée communiste.

 

Le marxisme est toujours là

On peut penser à juste titre que le marxisme est la pensée qui a inspiré les communistes. Le marxisme est opposé au capitalisme car les marxistes considèrent que les entrepreneurs capitalistes exploitent les salariés et qu’ils leur sont nuisibles.

On en tire la conséquence qu’il convient que l’État puisse limiter ou empêcher ce pouvoir de domination arbitraire. Pour cela il conviendrait que l’État impose des règlementations en faveur des salariés ou bien que les entreprises privées soient remplacées par des entreprises publiques.

Ces dernières sont considérées par les communistes comme non critiquables car on suppose que les politiciens agissent en fonction du bien commun et pas pour obtenir des gains individuels (contrairement à ce qui est supposé pour les entrepreneurs capitalistes).

Ceci est absurde car les entreprises capitalistes ne constituent pas des systèmes de domination des entrepreneurs sur les salariés, mais des ensembles de contrats volontaires, en particulier entre entrepreneurs et salariés.

Cependant la liberté des individus dans les décisions concernant les contrats est en grande partie limitée par les actions étatiques. Ainsi la règlementation concernant la durée du travail (par exemple hebdomadaire) constitue une contrainte sur les salariés mais aussi évidemment sur les entrepreneurs.

 

Méfiance française du capitalisme

Si, contrairement à l’idéologie communiste, la liberté des salariés n’est pas détruite par les entrepreneurs, elle est maintenant détruite par l’État.  Comme on le sait la France constitue l’un des pays du monde où la fiscalité est la plus importante, ainsi que la règlementation. On peut l’interpréter comme la conséquence d’une mentalité hostile à la liberté des entreprises capitalistes, comme cela résulte des conceptions communistes.

Il est par ailleurs caractéristique des mentalités françaises que le capitalisme soit souvent critiqué en France. On prétend que les crises économiques sont dues au capitalisme ou à ce qui est bizarrement désigné par néocapitalisme en France.

Et nombreux sont ceux qui reprochent au capitalisme d’être à l’origine de problèmes économiques, par exemple une faible croissance économique ou un taux de chômage élevé. Mais on peut démontrer qu’en réalité toutes ces difficultés économiques sont dues aux politiques publiques et aux politiques monétaires.

À titre d’exemple de cette situation française dans laquelle beaucoup peuvent être considérés comme communistes en tant que critiques du capitalisme, on peut citer une déclaration récente d’Emmanuel Macron.

En effet en 2019 il a dénoncé devant l’Organisation internationale du travail à Genève les dérives d’un « capitalisme devenu fou ». On peut certes considérer que ces déclarations faites par des politiciens contre le capitalisme français consistent essentiellement pour eux à justifier les politiques économiques publiques.

Mais les critiques du capitalisme sont souvent faites par beaucoup d’autres personnes et c’est pourquoi l’on peut considérer que même s’il n’existe pratiquement plus en tant qu’organisations officielles, le communisme inspire beaucoup les mentalités d’un grand nombre de Français.

Artile publié initialement le 31 décembre 2021

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  • Ce qu’on a aussi est pas mal d’étatisme.. avec la conviction chez beaucoup qu’il va de soi que l’etat se mêle de tout, au point que ombre d’opposants au communisme en appelle à l’état pour l’interdire..

    Le français moyen est loi d’etre convaincu des idées libérales qui pourtant constitue le fondement supposé de la république. La liberté des autres est ce qu’il sacrifie en premier.

    Je ne peux pas m’emepecher de faire le rapprochement avec la défense de la liberté d’expression par la gauche naguère…et la défense de la liberté économique par la droite ou ce qu’il en reste.

    circonstanciel..

    le français moyen ne connait pas l’opinionde Bastiat ( je crois) sur état, mais il a parfaitement compris son fonctionnement.

  • Pour « L’humanité », j’ai eu la curiosité de regarder les aides à la presse 2017 et j’ai constaté avec surprise le fort biais de ces subsides ( en € / numéro ) :
    – 0,462 pour l’Humanité ( le plus subsidié de tous )
    – 0,242 pour Libération ( le deuxième plus subsidié )
    – 0,058 pour Le Figaro
    – 0,056 pour Le Monde
    – 0,022 pour Le Point

  • Emmanuel Macron, qui en tant que ministre de l’Economie a présidé à la vente à la découpe d’Alcatel dans des conditions plus que douteuses, qui lui ont valu le soutien de tous les acteurs du capitalisme français de connivence (cf. rapport de la commission Marleix), est très bien placé pour parler du « capitalisme devenu fou »…

  • Le communisme est comme « l’alien » du film : l’héroïne le tue à la fin, mais… il a pondu ses oeufs partout ! Surtout dans l’éducation et la culture, comme convenu entre de Gaulle et le PCF au sortir de la guerre. Cela mena à mai 68, et l’épidémie gagna la plupart des médias. Comment avec tout cela, une majorité des Français pourrait-elle échapper à l’influence idéologique du communisme ?

  • Il y a chez beaucoup de français de l idolâtrie pour l etat . Ils sont convaincus que l etat est une entité incarnée qui veut le bien du peuple et le leur. Et de fait cet état a permis à bcp de vivre au-dessus de leur moyens : école , santé, garderies, retraites . Mais comme dans tout pays communiste il y aura la fin de la récré : la fin de l argent des autres, la fin du quoi qu il en coûte , le réveil sera brutal et terrible.

    • Plus qu’une idolâtrie de l’Etat, il y a une méfiance presque haineuse envers ce qui se permettrait d’échapper à l’Etat.

      • Oui on la sent bien la haine de la liberté, je confirme.
        Échapper à l’Etat c’est faire sécession, je ne vois pas d’autres moyens non violents ou alors l’illégalité. Évidement je ne conseille pas de rentrer dans l’illégalité.
        ( voir mes posts trop exaltés et avec énormément de fautes de ce matin sur l’article d’hier sur les rachats de RTT )

  • L’économie me laisse perplexe, et je pose quelques questions : depuis que le troc a été remplacé par « l’argent », peut-on dire que les redistributions correspondent à du travail ? (idem pour les emprunts d’état ? (sauf planche à billets). Autre question : si un organisme vivant a besoin de régulation pour éviter un cancer, l’économie a-t-elle besoin de régulation, pour éviter des monstres financiers ? Le libéralisme paraît être le plus adapté, mais avec des règles d’éthique. Quel est le bon modèle ? sans tomber dans les extrêmes. Alors oui le marxisme a laissé des traces, car c’est un excès. Et les redistributions sans contrepartie me paraissent sans fondement.

    • « l’économie a-t-elle besoin de régulation, pour éviter des monstres financiers ?  »
      La bonne question serait plutôt: qu’est ce qui dans l’économie favorise l’apparition de « monstres financiers »?
      Si un monstre financier apparaît ( exemple les Gafam, prenons Amazon par exemple), je serais tenté de répondre qu’Amazon répond à un besoin de plus en plus de consommateurs, mais aussi de commerçants qui utilisent ses services, parce qu’Amazon bénéficie d’une position dominante sur le marché. Mais cette position dominante d’Amazon n’existe que parce qu’il n’existe pas en face un ou des services concurrents suffisamment puissants. Et pourquoi? Parce que en France ( et en Europe aussi) les réglementations tatillonnes imposées par les Etats tuent dans l’œuf toute velléité de développement de services analogues!

    • « l’économie a-t-elle besoin de régulation, pour éviter des monstres financiers ?  »
      La bonne question serait plutôt: qu’est ce qui dans l’économie favorise l’apparition de « monstres financiers »?
      Si un monstre financier apparaît ( exemple les Gafam, prenons Amazon par exemple), je serais tenté de répondre qu’Amazon répond à un besoin de plus en plus de consommateurs, mais aussi de commerçants qui utilisent ses services, parce qu’Amazon bénéficie d’une position dominante sur le marché. Mais cette position dominante d’Amazon n’existe que parce qu’il n’existe pas en face un ou des services concurrents suffisamment puissants. Et pourquoi? Parce que en France ( et en Europe aussi) les réglementations tatillonnes imposées par les Etats tuent dans l’œuf toute velléité de développement de services analogues!

    • La seule règle d’éthique commune valable est de ne pas voler, ne pas contraindre, ne pas tuer.
      Les capitalistes pratiquent déjà.
      A l’Etat et à ses potes maintenant ( les parasites )

    • Je collerai bien discours de Francisco d’Anconia sur l’argent dans la Grève, vous y apprendriez ce qu’est l’argent. Vous trouverez bien tout seul où le lire.
      La redistribution cela n’existe pas.
      Existe le don, l échange libre et le vol.
      Quand on échange quelquechose contre quelque choses d’autres et que les deux en tirent profit ça s’appelle un échange libre.
      Le don est un cas particulier de l’échange libre car l’un en retire uniquement un profit pour son esprit et évidement ce type d’échange n’est pas obligatoire.
      Le vol, vous savez ce que c’est. La redistribution est l’autre nom du vol.
      Une rétribution sans contrepartie est un don, c’est quoi le problème ? Personne ne vous oblige donner. Le problème c’est le vol !
      Arrettez de tout mélanger ! C’est moi le dingue ici.

      • Si vous vous posez des questions sur le libéralisme et sur l’économie et que vous souhaitez un ouvrage très complet sur la tradition libérale et nos idées sur lesquels tellement de gens se méprennent je ne peux que conseiller l’excellent et didactique ouvrage de Daniel Tourré, Pulp Liberalism, avec une préface magnifique de Damien Theillier que tout le monde connaît ici. C’est pas cher, c est très drôle, c’est indispensable, c’est chez Amazon, même d’occasion et je ne touche absolument aucun euro sur les ventes, mais n’en déduisez pas que je n’en tire aucun intérêt.

  • Mais, le. Communisme n’est pas mort, ils sont tous communistes mais ont choisi d’autres noms pour nous tromper…. La France politique est communiste, les français… Allez savoir, leur éducation laisse à désirer et pour cause….. La caractéristique principale d’un monde communiste est… La corruption dans tous les domaines de la vie…

    • Meuh non.
      Ils sont de graves gens mais ne réfléchissent pas plus loin que le bout de leur nez.
      Le libéralisme ce n’est pas la haine des autres et c’est le respect de leurs opinions même si on est pas d’accord ( quand on est d’accord, c’est facile de tolérer l’autre, y’a aucun mérite ). Des gens pour la collectivisation des moyens de productions il n’y en a plus beaucoup. C’est beaucoup plus subtil maintenant, le parasite a compris qu’il ne devait pas tuer la bête dont il accapare la propriété (c’est nous tous la bête hein ! ). En effet le parasite a compris que les producteurs crée la richesse et qu’il faut bien le laisser-faire si on veut le voler le plus longtemps possible sans que la bête humaine se gratte un peu trop fort.

  • Un ami communiste me disait: « Gali, si vous êtes 10 naufragés qui débarquent sur une île déserte, vous allez bien sûr partager, non?? » Or si l’île est déserte, c’est qu’il ne doit pas y avoir grand chose à parrtager. Et si sur les 10 se trouvent 1 audacieux capable de ramener un marcassin et 1 industrieux capable de construire un foyer pour le cuire… nous serons sauvés. 2 sur 10 me semble la proportion d’individus capables de générer des richesses sur cette planète, et c’est là tout le problème du partage équitable…

    • Un audacieux capable de ramener un marcassin ? Un audacieux intelligent cacherait le marcassin et s’en nourrirait, cru s’il le faut, le temps que les autres crèvent et qu’il puisse utiliser leurs os pour faire l’armature d’un kayak. Il vaut mieux qu’il n’en réchappe qu’un que de prolonger de quelques jours l’agonie de tous.

    • Partager quoi ?
      Faut produire, travailler, sortir avec ses mains des ressources de la terre, les transformer.
      Allez moi, je fabrique un arc et des flèches au lieu de me gaver de fruits dans les arbres ce que vous allez tous faire, je n en doute pas.
      Et quand il n’y aura plus de fruit sur les arbres, que vous aurez épuisés vos stocks vous allez me demander de la viande. Je suis sympa je vais partager.
      Puis je vis retourner à la chasse et vous vous allez glander sur la plage. Je vais revenir avec ma chasse et vous aurez faim. Je suis sympa mais moi aussi j’aime glander et ramasser des jolies coquillages sur la plage. Alors je vas vous proposer d’échanger une partie de ma viande contre ses jolies coquillages que vous avez ramassé et dont je compte bien me faire un collier. Le lendemain vous me proposez vos coquillages en échange de ma viande, mais je n’ai pas l’utilité, j’ai déjà mon jolie collier et je n’ai pas l’intention de devenir producteur de collier. Vous pourriez me voler ma viande, mis j ai un arc. Je propose fabriquer un deuxième arc ( ça prends du temps ) et de le donner à un des naufragés en échange d une partie de sa chasse pendant quelques jours. Il accepte. On a donc plus de gibiers, on a deux arcs et vous vous êtes toujours à glander sur la plage et à glaner les rares fruits qui y poussent.
      J’y peux rien moi !

      • Je crée par mon travail, j’échange et ainsi j’augmente la quantité de bien disponibles pour les naufragés et transforme la rareté en a abondance. Vous vous y mettez quand ?
        Quand je partage c’est un don. Producteur vs parasite ( ça va bien finir par entrer ), sauf ceux avec qui j’ai échanges des coquillages et celui avec qui j’ai échangé l’arc. On est déjà trois à réfléchir un petit peu.

        • Dans mon histoire il n’y a pas encore de parasite, et je ne vais faire don de nourriture éternellement ceux qui n’ont rien à échanger avec moi.

          • Comment les groupes de naufragés s’organisent-ils spontanément ? Il y a deux fameux bouquins ici, que j’ai relus justement sur la plage pendant cet été ensoleillé. L’Odyssée de l’Endurance, de Sir Ernest Shackleton, et Abattoir 5, de Kurt Vonnegut Jr.. Honneur, initiative et entraide pour Sir Ernest, passivité et mesquineries pour Billy Pèlerin, nulle trace d’un communisme spontané dans ces histoires. A noter que Abattoir 5 est de l’autobiographie.

    • Et s’il n’y a rien pour le cuire, ni bois ni herbes, à quoi va servir votre foyer et a fortiori votre infortuné marcassin mort pour rien?

      • Allez au boulot, faut fabriquer une couizine !
        C’est mon taff aussi ?

        • Agir ! Il faut agir sur une île déserte sans ressources ( si c’était l’abondance moi aussi je glande sur la plage, je flirt avec les femmes à mon gout, qui sait certaines auront elles le goût commun de pratiquer certaines choses avec moi , mon besoin d’échanger ne va pas se tarir ainsi une fois le ventre plein)
          Blague à part, Le partage c’est liberhallal c’est mais il ne crée pas de richesse, il la…partage.
          Avec mon arc j’obtiens plus de nourriture. Je peux l’échanger avec des choses que d’autres producteurs produisent. Et ainsi de suite.
          Je ne comprends vraiment pas pourquoi vous ne comprenez pas que l’échange enrichi les deux échangeurs, cela profite à la société, et que le don permet de partager ce que l’on avec l’autre mais que cela ne crée rien de la richesse matériel et que le vol détruit la richesse de l’un au profit de celles de l’autres.
          Mes momes le comprennent très bien, des prix nobels également.
          Je n’ai pas une mentalité de pilleurs et bon nombre d’entre nous non plus.
          Alors c’est quoi qui bloque. Peur d’être libre ?

  • Normal : On a toujours pas enseigné aux français que Staline a partagé la Pologne avec Hitler, Que Thorez été un traitre absolu, Que Sept 1939 a debut 1941, les cocos français etaient les mis de l’occupant Nazi.
    ça fait beaucoup !
    Le plus grave n’est pas la, le plus grave c’est ce que l’on nous raconte aujourd’hui sur L’Islam, sur L’Ukraine etc ….

  • Je rêve de pouvoir payer un droit de passage à Michel O lorsque je traverse sa propriété pour me rendre sur la page qui la borde. Je suis certain qu’il n’y verrai aucun inconvénient et qu’il préférerait des gens responsables comme moi et non pas des pilleurs pour traverser ce qui lui appartient et en le dégradant en plus.
    Je veux que Michel O soit libre.
    Pardonnez moi de vous impliquez Michel, vous n’êtes pas aussi radical que moi et ce que je propose pourrait se faire dans le cadre de l’Etat ( ou sans État également ). Et si vous ne voulez pas que je passe, quelqu’en soit le prix, je ne passe pas. C’est d’ailleurs ce que je fais déjà, j’ai bien trop de respect pour la propriété d’autrui, quand la loi m’autorise et que le propriétaire des lieux ne consent pas*. Pour moi aussi également il y a Droit plus important que les lois de la République 🫢.
    Comprenez moi bien, si l’Etat luttait contre le pillage et si il n’était pas lui-même celui qui l’autorise, je ne serais pas anarchiste. Je serais démocrate et avec un grand plaisir. Mais je n’y crois plus, ce n’est plus possible d’y croire, mieux vaut espérer qu’un jour le droit de sécession individuelle sera reconnu par les nations. J’ai un tout petit peu plus d’espoir, ils seront obligés tellement ce sera le chaos.

    *je fumais. Je ne fumais pas chez les gens qui n’y consentaient pas et ce avec grand plaisir et pourtant j’ai le droit de fumer non ?
    C’est par respect pour leur droit de propriété, le seul que je connais. Chez moi, je fumais et celui à qui cela ne plaisait pas était libre de déguerpir. Évidemment je ne fumais pas dans la même pièce que mes enfants mais personne ne m’y forçait à part moi-même et comme je suis un gentil parfois je n’imposais pas ma tabagie, mais ça c’est pas obligatoire, à ceux que j’aime, c’est le petit plus …pour les gens qu’on aime. Si ça se trouve Michel vous me feriez passez gratis sachant comme je respecte la proprite d’autrui autant que la mienne ?
    Distinguez.

    • Je ne connais aucune loi qui m’empêche de fumer chez quelqu’un, seuls les lieux ouverts au public sont concernés. Pourtant je ne fumais pas chez les autres et pas plus dans les lieues publics lorsque c’était autorisé.
      Vous comprenez ? J’ai pas besoin de lois. Je raisonne correctement, je sais pourquoi j’agis, comment j’agis, je ne suis pas un pantin, je suis profondément honnête. J’ai pas besoin de lois pour mettre un casque en moto ou s’avoir que pepsi c’est mauvais piur la santé. Je suis fou mais responsable. Hyperresponsable. Deal with it, ma psy fait avec ( et elle est enchantée de m’avoir comme patient…heu comme client…elle m’adore et c’est réciproque, elle n’est pas anarchiste, mais elle me dit souvent que si tout le monde était comme moi…. en souriant de tout son être et en me recommandant de ne jamais gâché ce bien si précieux que je possède).
      Oui je me la pète , mais j’ai grave de quoi ! Z’avez qu’à faire pareil, c’est facile : Foutez votre tyran personnel dehors pour commencer. On s’occupera des autres après.

    • Je ne l’ai pas déjà dit ? Je vous offre le droit de passage, l’après-midi sur la dune avec vos enfants, et le barbecue, si vous promettez de passer une partie de la journée à discuter avec moi. Mais si vous voulez aussi pouvoir revenir quand je ne serai plus là, vous seriez bien inspiré d’apporter l’apéro ou le dessert en plus.

      • Et je suis sérieux. Mais maintenant ce sera l’an prochain, si nous râlons encore à ce moment-là. Mon mail est prénom.nom à free.fr évidemment. Je vous donnerai la clé pour trouver nom un jour, quand les trolls auront oublié.

  • Le problème c est l éducation.
    Ce n est pas l éducation nationale qui vous enseignera les fondements du libéralisme ni même des grands penseurs qui sont ignorés complètement.
    Par contre un tapis rouge est déroulé pour les thèmes communistes.
    Même nos parents qui à la sortie de la guerre en plus d un travail harassant était bassine avec une propagande marxiste.
    A nous de diffuser le plus possible la pensée libérale afin que les gens puissent après choisir en toute conscience entre le communisme et le libéralisme.
    PS. En Amérique du Sud le pouvoir marxiste est de retour avec vigueur.

  • Communauté de l’Etre
    ou
    Société de l’Avoir.

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