Macron : diviser pour mieux régner

OPINION : à quel prix Emmanuel Macron va-t-il faire payer aux Français sa réélection ?

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Emmanuel Macron 2017 BY Jacques Paquier (CC BY 2.0)

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Macron : diviser pour mieux régner

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 17 juillet 2021
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Par Olivier Maurice.

Le 12 juillet 2021 restera sans doute une date historique. En ce soir d’été pluvieux et froid, Emmanuel Macron, président de la République à 10 mois de la prochaine élection présidentielle et après un an et demi de cafouillages et d’exceptions sanitaires, a en effet franchi une ligne que peu de monde croyait franchissable.

On aurait pu comprendre, sans forcément être d’accord, l’imposition d’une vaccination obligatoire. Mais le risque pour l’exécutif était trop grand de voir cette initiative bloquée juridiquement.

Le président de la République a donc utilisé une méthode radicale pour contourner l’obstacle légal : réduire les récalcitrants à l’état de citoyens de seconde zone, de parias et leur rendre la vie impossible afin de les obliger à se faire vacciner.

Cette méthode est proprement inadmissible, mais elle s’inscrit dans la liste maintenant longue des vexations et des injonctions morales qui pleuvent régulièrement sur les Français.

Mais avant tout, elle suit clairement la même stratégie électoraliste qui pourrit notre pays depuis 40 ans : diviser et stigmatiser pour mieux régner.

La méthode de ringardisation

Les racistes, xénophobes et autres suprémacistes ont été les premiers faire-valoir du pouvoir. En créant SOS Racisme en 1984, François Mitterrand a entériné la recette électorale qui l’avait fait élire et qui allait le maintenir au pouvoir pendant 14 ans : ringardiser l’adversaire politique (en l’occurrence la droite) en l’amalgamant au mal absolu.

Les épisodes sociétaux sur le mariage homosexuel, la fin de vie, l’école… ajoutés aux multiples errements géopolitiques, sur l’Europe en particulier se sont ensuite succédé, en suivant tous le même processus de mensonges, de désinformation et de manipulation :

  • Faire croire à la majorité ou au grand nombre qu’ils ne sont qu’une minorité
  • Ringardiser les opposants en usant et en abusant de jugements moraux
  • Les désigner comme responsables de leurs propres échecs
  • S’ériger comme sauveur
  • Tenir comme acquis un soi-disant appui populaire pour contourner la loi, les institutions, le droit, de préférence en utilisant un événement afin de profiter de l’instant de sidération.

Cette magnifique manœuvre machiavélique a entraîné des conséquences effroyables sur notre pays : elle a obligé la droite à courir dans tous les sens, elle a enfermé la gauche dans une posture moraliste ridicule et elle a exclu de la société les immigrés et les autres minorités, les réduisant au rang de sujets philosophiques et de chair à canon électorale.

En 40 ans de SOS racisme et de ses héritiers et disciples, la France est devenue un pays ouvertement intolérant, où les actes de haine de l’autre, quotidiens, violents et totalement décomplexés, sont devenus monnaie courante.

La guerre du Bien contre le Mal

Emmanuel Macron a repris le flambeau du grand manipulateur au chapeau mou. Il en a même fait une doctrine, une théorie qu’il assume et explique fièrement à qui veut l’entendre.

Le nouveau monde est divisé en deux : d’un côté les progressistes, de l’autre coté les nationalistes.

En langage médiatique, ce catéchisme se traduit chaque jour par des images faciles à comprendre, simples à exagérer et promptes à railler, comme celle du président Trump à la coupe de cheveux ridicule, qui mange des hamburgers et des hot-dogs, boit du Coca, sort des billets par liasses et qui tweete des bêtises en permanence (et en majuscule).

L’antiracisme, l’antinationalisme, l’antifascisme utilisent exactement les mêmes moyens pour tenter de convaincre, les mêmes outrances, les mêmes raccourcis, amalgames et exagérations que ceux qu’ils veulent combattre : le dénigrement et la haine de l’autre.

Or toute la grandeur de l’Occident depuis les Lumières, depuis la scholastique et sans doute bien avant, tient en un seul et unique principe : la fin ne justifie jamais les moyens. Jamais. Jamais. Jamais.

Caricaturer ou dénigrer une personne pour son mode de vie ou restreindre les déplacement des gens pour leurs idées ne deviennent pas subitement des actions morales et acceptables parce qu’elles sont prises dans un but que l’on considère juste.

Une atteinte aux droit, à l’intégrité, à l’honneur d’une personne reste une action vile, dégradante et condamnable, qu’elle soit faite dans une noble intention ou pas.

On dit d’ailleurs l’enfer pavé de bonnes intentions…

Gagner, quoi qu’il en coûte

Le 12 juillet, Emmanuel Macron a simplement transposé sa vision manichéenne et machiavélique du monde à la situation actuelle. Il a désigné le nouvel ennemi à combattre et employé exactement la même stratégie, cette fois ci-contre les 47 % de Français pas encore entièrement vaccinés.

Comme prévu, les extrêmes ont immédiatement bondi comme un diable de leur boîte et en retour toute la machine à conspuer s’est immédiatement mise en marche. Action. Réaction.

Mais sortons rapidement de ce bourbier argumentaire. Il n’est absolument pas question de vaccin ou de protection sanitaire ici, ce n’est ni le rôle, ni le sujet, ni l’intention d’un chef de l’État, surtout d’un président de la Cinquième République française.

Le sujet est intégralement, totalement, uniquement politique et tout commentateur qui essayerait d’y trouver un sens sanitaire, médical ou social est juste ridiculement totalement hors sujet.

Emmanuel Macron a tout simplement joué le 12 juillet son va-tout électoral.

La bonne nouvelle est qu’il s’est lui-même condamné à réussir et qu’en conséquence, sauf circonstances exceptionnelles, nous en avons fini avec le Covid et toutes ses folies. Les réanimations pourront être pleines à craquer, les chiffres de contaminations exploser tous les records : le 12 juillet 2021, Emmanuel Macron, sauveur de la nation a définitivement vaincu la pandémie. Il espère fortement en récolter les lauriers le 24 avril 2022.

Oublié alors la très longue liste de cafouillages, l’état lamentable du système de santé, la pitoyable génuflexion devant les mandarins, les horreurs qui se sont passées dans les hôpitaux et les maisons de retraite, les parents décédés sans qu’il soit possible d’aller les voir…

Oublié le confinement sanitairement totalement inutile mais politiquement absolument indispensable. Oublié le bilan désastreux de la crise, le coût humain, social, psychologique et financier du quoi qu’il en coûte.

Le risque d’explosion

Oui justement : à quel prix ? À quel prix Emmanuel Macron va-t-il faire payer aux Français sa réélection ?

Il existe toujours le risque, mince, mais existant de la levée d’une réelle rébellion, d’un nouvel épisode de Gilets jaunes ou de Bonnets rouges. On ne peut pas miser sur le fait qu’Emmanuel Macron ait oublié ou n’ait pas vu cette possibilité. Dès le lendemain de son allocution, tout le gouvernement était d’ailleurs déjà à la manœuvre pour rétropédaler et arrondir les angles.

La seule question est de savoir si les contestataires (évidemment bien plus nombreux qu’on veut le dire) arrivent à mobiliser suffisamment rapidement et surtout à créer un événement suffisamment violent avant que l’équipe gouvernementale n’ait lâché le lest prévu dans le dispositif actuel.

Car cette escalade ne peut s’arrêter que si la peur change de camp. La stratégie de ringardisation et de mystification ne peut fonctionner que si l’ennemi imaginaire, le monstre décrit dans toute son horreur ne se révèle pas être en fin de cause une réalité.

Si les véritables racistes décriés par SOS Racisme en 1984 avaient réellement existé et étaient aussi horribles qu’on les a dépeints, ils n’auraient certainement pas plié la tête sans qu’on ne les entende ailleurs que dans un parti politique bien propret et ayant pignon sur rue.

Un immense fardeau pour les générations futures

Non, le risque principal est bien plus insidieux et surtout bien plus certain.

Emmanuel Macron a érigé en principe le vieux fantasme de tout politicien sans scrupule. Il est en train de gagner le pari que l’on pouvait convaincre les gens, que la fin pouvait justifier les moyens, c’est-à-dire qu’un homme politique pouvait s’affranchir totalement de la morale, si cela était pour la bonne cause ; cette digression relevant du domaine réservé, est l’apanage du chef suprême et de ses uniques partisans ; et enfin, que la liberté était la source de tous les problèmes, ou plutôt que la suppression de la liberté était la solution à tous les problèmes.

Nos enfants auront à vivre avec un précédent qui fera date : le 12 juillet 2021, il a été décrété que le confort de quelques-uns valait plus que la liberté des autres.

Parce que toute cette folie poussée au plus profond du ridicule et du sordide vient de la généralisation, de la banalisation, voire de la sanctification de ce sophisme moral que l’on entend partout :

« Je suis vacciné, je prends toutes mes précautions, mais il reste un infime risque et je ne veux pas le prendre, je ne veux que mon plaisir de boire ma bière en terrasse soit gâché par la peur d’être contaminé par une personne qui aurait décidé de ne pas se faire vacciner ».

En d’autres termes : « Je ne veux pas être mélangé avec la vermine ».

Après 40 ans de manipulation politique à visée purement électoraliste. Après 40 ans à jouer avec le feu. Après 40 ans de racisme antiracisme, 40 ans de peur de celui qui a peur de l’autre…

Le 12 juillet 2021, la ségrégation, la canalisation et la légalisation de la haine, la peur de l’autre et de la différence sont devenues la doctrine officielle du pays.

 

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  • faisant parti de la vermine , je ne tiens pas à être mélangé avec des moutons ; après tout , les contagieux , ce sont eux ; et puisque la santé des français est si chère à macron , il sera sans doute ravi d’apprendre que des scientifiques américains ont repéré un nouvel anticorps capable de neutraliser des souches du sarscovid ainsi que d’autres types de coronavirus ….voilà voilà voilà….

    • Pas d’accord. Je ne me mélangerai pas avec les collabos, ok. Mais les moutons, j’en connais plein, j’en aime beaucoup.
      Le 12 juillet peut avoir deux conséquences: ou les Français s’unissent pour faire sa fête à la dictature, ou ils suivent le plan de macaron et se divisent en deux tribus qui se détestent.

  • Mon éducation chrétienne me conduit à une certaine bienveillance et de l’indulgence envers mon prochain, et à ne rien souhaiter de fâcheux. Avec ce gamin totalitaire et nocif, j’ai du mal…

    • A RB83
      Etre chrétien ne signifie pas être béni oui-oui et tout tolérer. Loin de là. Le Christ s’est-il couché devant la fausseté des pharisiens ? Non ! Ne les a-t-il pas traité de « race de vipères » et combattu toute sa vie ? A-t-il niaisement « pardonné » le négoce des marchands du Temple, ou les a-t-il jeté brutalement dehors avec tout leur fatras ? La grandeur de cet homme, mis à part sa porté théologique, est d’avoir été croyant, intègre, juste, respectueux des lois de Dieu et de vivre cet éthique jusqu’à la mort, sans rien renier.
      Etre chrétien, c’est avant tout être un Homme debout dénonçant et combattant le mensonge, l’hypocrisie, l’injustice et tout fourberie.

  • Quand je lis « haine de l’autre », j’arrête de lire l’article. Sais pas pourquoi.

  • Je n’oublierais jamais Macron, lors d’une interview (BFM ou LCI je ne sais plus) déclarant que l’Etat était là pour faire respecter la loi, pas pour la respecter… Ce qui augurait déjà des moments cocasses pour la population

  • D’un coté : constitution libéral MAIS.
    de l’autre : majorité collectiviste.. attachée à la sécu et autre ed nat..

    prendre les gens pour des cons, les monter les uns contre les autres est parfaitement constitutionnel..

    macron est une conséquence , voire un symptôme..

  • Il y a quelques mois je sortais de chez moi sans masque. J’ai senti peser sur moi les regards réprobateurs des masqués. Je m’inquiétais à chaque fois que j’en croisais un. J’étais sans cesse en alerte pour détecter la présence des forces de l’ordre. Alors j’ai compris – mutatis mutandis, bien sûr – quelque chose de ce que vivaient les porteurs de l’étoile jaune. Ségrégation et discrimination. Ce masque extérieur inutile d’un point de vue sanitaire est destiné à me rappeler tout le poids du Pouvoir dès que je quitte mon domicile. Et il obligé la population à faire le tri entre les bons et les mauvais, tous les jours, à chaque instant. Le pli est pris et ne s’effacer plus. Le système Goebbels fonctionne désormais. Quelle sera la prochaine cause sacrée après le Covid ? Je crois que ce sera l’écologie et son pass Ecocitoyen.

    • N’évoquez pas la Sh..h à tout bout de champ, comme n’importe quel islamiste décérébré. C’est très insultant pour ceux qui en ont vraiment été victimes.
      En revanche, une analogie avec le contrôle social à la chinoise est beaucoup plus appropriée.

      • Même la Chine ne va pas à ce niveau… L’obligation de vaccination est très ciblée et le fameux pass sanitaire obligatoire et lui aussi ciblé géographiquement. J’ai plus confiance en la Chine pour que cette obligation de pass sanitaire soit temporaire, alors qu’en France, cette obligation pourrait perdurer bien longtemps…

        • A maniaco
          … comme avec la vignette des voitures (taxe destinée à l’aide aux personnes âgées) prévue pour un ou deux ans puis abolie… 40 ans plus tard !

      • Ce n’est pas une comparaison avec la shoa, mais avec le climat qui pouvait régner dans les rues pendant l’occupation.

  • D’accord pour le sens général. Mais pas sur les (mauvais) exemples. Que vient faire la mariage pour tous dans cette galère ? Le MPT n’a pas créé de citoyen de seconde zone. C’est le contraire.
    On peut tout à fait combattre la situation dans laquelle Macron nous met sans invoquer n’importe quoi, que ce soit le MPT, la Shoah ou la dictature.
    Nos discours n’en seront que plus porteurs.

    • Merci pour votre commentaire.
      Le MPT est un des meilleurs exemple de « diviser pour mieux régner » : les opposants ont été copieusement étiquetés de tous les noms. Les comparer à des nazis, des fachos et autres, en faisant ouvertement collection de points Godwin ne gênait absolument personne.

      • Il n’y avait aucune volonté de division avec le MPT. Même si cela est survenu.
        Il y a clairement une volonté de discriminer avec le pass pour contraindre à la vaccination.
        Le MPT a ouvert un nouveau droit à une partie de la population.
        Le pass retire des droits à une partie de la population.
        Le MPT était au programme du président élu en 2012.
        Macron avait juré que « jamais le pass… ».
        Etc.

        • euh…. si le mpt avait été accompagné de l’explication de texte necessaire il n’aurait pas été clivant, mais il a été accompagné de la pire argumentation possible.. amour = mariage… soit l’état est légitime a « approuvé  » que deux adultes consentants s’aiment ou non…

          le mariage civil e serait remplaçable par un acte notarié.. ou c’est les les sous à qui?

          et ça vaut pour le mariage blanc gris ou je ne sais quoi.. on pose des question sur » l’amour »

          au lieu de ça le choix du clivage fut fait..

          ce qui fait consensus c’est les enfants…. en gros si il ya des gosses on doit savoir qui sont les parents responsables..le reste on s’en tape..

          d’ailleurs une autre conséquence premiere du mariage d’amour et des enfants qui vont avec.. c’est la gestion des enfants de divorcés ou de parents isolées …

          le but est la destruction de la famille traditionnelle…où l’maour était secondaire quand il n’etait pas absent, parce que les gosses et la filiation importaient.

    • « …ne sont pas dans ce délire »

    • Avec le Pacs, pas de succession ni de pension de réversion. Ca a été demandé, sans succès, de nombreuses années. Le mariage règle le problème.
      La filiation, autour du MPT, est hors sujet. Et franchement, parent 1 et parent 2, ça enlève quoi à qui ? Soyons sérieux. Vous avez ouvert votre livret de famille combien de fois dans votre vie ?

  • « Oublié alors la très longue liste de cafouillages … »

    Les politiciens savent qu’ils peuvent réécrire l’histoire (contrairement au public naïf).

    Le risque évident est que sur des problèmes délicats, quand le scientisme s’en mêle et s’emmêle, que les experts et les lobbies tirent en tous sens pour faire valoir leur solution, le politique va construire sa propre solution sur son propre intérêt avec la certitude de pouvoir la justifier à posteriori même s’il faut fortement réarranger la vérité.

    Et on trouve toujours facilement des idiots utiles pour réarranger la vérité, pendant et après et dire que les dégâts, c’est la faute à « pas de chance » ou aux autres.

  • Pasteur doit se retourner dans sa tombe, lui qui a permis par la découverte de vaccin de sauver des millions de personnes

  • Narcisse veut faire payer aux Français les bouffes prises dans sa gueule de pervers avec cinq ans d’âge mental en juin dernier.

  • La différence entre la sociale-démocratie et la dictature est juste une question de temps.

    Ayn Rand

  • Mais non, mais non, nous avons à faire à un fin stratège pour les parties de billard à trois bandes…
    Vous verrez, il saura donner le bon coup de queue – de billard s’entend – au bon moment!…

  • Analyse que je trouve très juste et, de ce fait, plutôt inquiétante. Etant vaccinée, a priori, je ne risque rien et donc je ne vois pas l’intérêt du pass puisque ceux qui sont en danger sont les non vaccinés. C’est leur responsabilité propre et leur choix personnel de ne pas l’être et de tomber malade éventuellement.

    • Mais ça, ça ne permet pas au pouvoir de contrôler. Depuis longtemps, ils essayent de nous tracer. Chaque fois les moyens n’étaient pas les bons. Et cette fois, ils ne vous permettent pratiquement pas de refuser: si vous n’acceptez pas, vous n’êtes plus un citoyen, mais quelqu’un qui devra demander des autorisations pour vivre librement.

      • Malheureusement,il y a bien longtemps que les citoyens ne sont plus libre dans ce pays : en france ,on peut tout faire , a condition d’en demander l’autorisation; la pieuvre administrative a pris tous les pouvoirs sur nos vies, depuis 1968 et 1981

      • Si vous demandez une autorisation pour vivre libre, c’est que vous ne l’êtes pas.

  • Oui, socialisme !

    On en sait toujours peu sur le virus et sur la manière dont il va se répandre et évoluer. Les tentatives »scientifiques » de contrôler et prévoir le virus sont des bricolages. On ne peut prédire si une décision est bonne ou mauvaise à l’échelle du groupe et dans un an.

    Alors que d’un autre côté, les dérives liberticides, économiques et leurs conséquences sont plus faciles à prévoir car elles sont d’essence socialiste et que le modèle est parfaitement connu.

  • En toute justice, la logique la plus élémentaire voudrait que les anti-vaccins qui seront contaminés soient avertis dès aujourd’hui qu’ils seront mis en liste d’attente non prioritaire, et sans garantie dans les hôpitaux. Et en attendant ils devront être rigoureusement confinés entre même malades pour les mêmes raisons, afin d’affirmer le souci de garantir la protection du reste de la population ayant accepté la solidarité vaccinale …

    • Ces pseudo-vaccins expérimentaux ne protègent ni de la contamination, ni de la maladie quant à la réduction des « cas graves » la VAERS qui récence les accidents de vaccination depuis 1968 aux état-unis en est a 9535 morts en 6 mois contre 3 par an pour les 94 autres vrais vaccins.
      .
      Vous proposez d’injecter un médicament expérimental qui ne résout rien à des enfants qui n’ont aucun risque Covid en plus d’ouvrir des camps pour les malades et de ne les soigner qu’accessoirement.
      .
      On peut quand même vous remercier de nous démontrer avec quelle facilité les pires régimes totalitaires ont pu s’imposer facilement.

    • « en attendant ils devront être rigoureusement confinés entre même malades »

      En clair, ouvrir des camps de concentration pour non-vaccinés …

      Ce qui est remarquable, c’est que la presse de « camp du bien » ne trouve rien à dire à ces délires dont elle est largement responsable par son parti-pris.

    • On les dépouillera aussi de leurs biens ?

      Votre commentaire est répugnant.

  • Volontairement j’évite le mot « vaccin », terme inapproprié pour la thérapie génique ARNm, qui n’est autre qu’un bidouillage génétiquement modifié, bâclé en 6 mois. Certes, il est plus aisé de fourguer ce produit sous le mot « vaccin » que sous le terme « piqûre OGM »… Pub oblige !
    Revenons à cette hystérie des piqûres. De deux chose l’une : ou il y a protection ou il n’y en a pas ! S’il le produit ne protège que très modérément contre le covid mais n’évite pas sa transmission, pourquoi vociférer contre ceux qui n’en veulent pas ? Logique ? Non ? Mais les « brebis galeuses » qui réfléchissent… on n’en veut pas !
    Mais une question s’impose : tyrannie mis à part, que cache cet entêtement voire cette rage de ces injections ?

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