Vaccination, confinement : si on respectait les choix individuels ?

Le droit romain, le christianisme, le libéralisme ont transformé un individu en une personne. Il faut revenir au respect de la personne.

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Vaccination, confinement : si on respectait les choix individuels ?

Publié le 18 avril 2021
- A +

Par Patrick de Casanove.

« Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric Bastiat,  La Loi (1850)

Ce sont les droits naturels pour la défense desquels Bastiat s’est battu toute sa vie.

Depuis un an, la société française est devenue une société totalitaire. Au prétexte d’empêcher les gens de mourir d’une maladie qui tue très peu (0,07 % de létalité quand elle est prise en charge, pas de décès en dessous de 60 ans) le gouvernement empêche toute la population de vivre.

L’outil totalitaire, conçu pour paraît-il vaincre l’épidémie, repose sur deux piliers :

  • la coercition sociale,
  • la vaccination avec le chantage à la vie normale et l’énorme pression politico- médiatique en faveur du vaccin.

Intérêt général, intérêt personnel

Un des arguments utilisés pour imposer la vaccination est de protéger les autres. Dit autrement : ne pas penser à soi, vaincre son égoïsme, penser à la collectivité, à la communauté. Cela pour suivre le fameux adage qui veut que l’intérêt général prime sur l’intérêt personnel.

Il faut être conscient que l’intérêt général, hors unanimité, n’existe pas. Il n’est, au mieux, que l’intérêt d’une majorité. Il est surtout une pénalité pour tous les autres. Cette minorité opprimée peut-être réduite à sa plus petite expression : une seule personne. Or tout être humain mérite le respect de ses droits naturels.

Pousser quelqu’un à se sacrifier pour l’intérêt collectif, qualifié souvent de bien collectif, signifie que ne pas se sacrifier est mal. Cela s’apparente à un sacrifice humain, en moins sanglant, mais relève tout autant de la pensée magique.

Ce sacrifice de la personne revient à ne pas considérer la société humaine comme une communauté de personnes libres et responsables. L’Homme est un être social qui coopère naturellement avec ses semblables.

L’échange, c’est l’économie politique, c’est la société tout entière ; car il est impossible de concevoir la société sans échange, ni l’échange sans société. […] Si les hommes, comme les colimaçons, vivaient dans un complet isolement les uns des autres, s’ils n’échangeaient pas leurs travaux et leurs idées, s’il n’opéraient pas entre eux de transactions, il pourrait y avoir des multitudes, des unités humaines, des individualités juxtaposées ; il n’y aurait pas de société.

Que dis-je ? il n’y aurait pas même d’individualités. Pour l’homme, l’isolement c’est la mort. Or, si, hors de la société, il ne peut vivre, la conclusion rigoureuse, c’est que son état de nature c’est l’état social. Frédéric Bastiat, Harmonies économiques, Échange. (1850) 

Les Hommes échangent librement des services pour le plus grand profit de chacun, donc au final, de tous, puisque chacun trouve son avantage. Personne n’est pénalisé, personne ne reste sur le carreau. L’échange c’est la société. Les mesures de coercition sociales entravent les échanges et détruisent la société.

Ce sacrifice de la personne revient aussi à considérer la société humaine comme une société d’insectes, de fourmis ou de termites, où l’individu n’existe pas, ne compte pas, où seule existe la collectivité complètement figée et hiérarchisée.

À cause de cela l’humanité de chacun est niée, annihilée. Les individus ne sont plus des personnes mais des numéros, des rouages interchangeables de la mécanique sociale. Les Hommes de l’État sont des mécaniciens qui usent et jettent les pièces de la mécanique selon leur bon vouloir.

C’est ce qui se passe avec la poursuite de la pression pour une vaccination de masse. La pression vaccinale est entretenue alors que le gouvernement lui-même reconnaît que l’effet protecteur individuel est incertain, surtout avec les variants, que l’effet protecteur des autres est non avéré et, pour couronner le tout, que des formes plus graves de la maladie peuvent se voir chez les vaccinés. Le tout validé par le Conseil d’État.

Comme si les hommes de pouvoir, dépourvus de compassion, ne savaient pas tirer de leçon de la mort de jeunes adultes, qui ne seraient jamais morts de la Covid. Ces morts ne sont pas considérés comme des personnes mais comme des individus indifférenciés qui peuvent être sacrifiés à la collectivité.

Or la mort d’un être humain qui n’aurait pas dû mourir ne saurait être considérée comme un dégât collatéral acceptable au regard d’une prétendue balance bénéfice/risque favorable.

La personne et la balance bénéfice/risque

La balance bénéfice risque du vaccin contre le SARS-coV2 a toujours été mise en avant. Depuis l’affaire du vaccin Astrazeneka, responsable de thromboses mortelles, cette balance présentée comme favorable à la vaccination est davantage encore relayée. Les politiciens, les médias et bien des médecins nous bassinent à longueur de journée.

C’est une manipulation. La balance bénéfice/risque ne peut et ne doit s’apprécier qu’au niveau de chaque personne. Il n’est pas sain de comparer des personnes différentes ayant chacune des caractéristiques distinctes qui influent sur cette balance.

Elle n’est pas la même chez une personne âgée ou atteinte de comorbidités, que chez un adulte ou un enfant en bonne santé. L’appréciation de cette balance est propre à chacun. Elle fait intervenir la relation intime médecin/malade et la responsabilité personnelle.

Pour les personnes qui ont zéro risque de mourir de la Covid, un risque même infime d’être tué par le vaccin est inadmissible. Faire courir un tel risque n’est pas éthique. Faire courir un tel risque à ces personnes ne sauvera pas une personne à risque.

En ce qui concerne les enfants, hors comorbidité grave ils n’ont aucun risque de complication, ni de décès, la balance bénéfices/risque est systématiquement défavorable au vaccin.

Malheureusement, tout à leur obsession monomaniaque (une seule solution, la vaccination.) certains voudraient les vacciner.

Justement, la France prépare une étude sur les effets du vaccin AstraZeneca chez l’enfant avec Covireivac. On proposera à des parents et enfants volontaires de participer à l’essai clinique pour évaluer, non pas l’efficacité, mais les effets secondaires et la production d’anticorps, explique la présidente de la Société française de pédiatrie. […] Si nous découvrons deux effets secondaires graves, on arrête tout de suite.

Ne pas évaluer l’efficacité confirme ce que l’on sait déjà à propos d’une maladie qui ne tue pas les enfants : même une efficacité à 100 % (de quoi d’ailleurs ?) n’apportera rien. Dans ce cas le vaccin est inutile.

Si les seuls critères étudiés sont les effets secondaires ce n’est pas éthique. L’étude prendra fin en cas d’effet secondaire grave, mais ce sera déjà trop tard les dégâts seront là.

Il ne faut pas oublier non plus que des études rassurantes n’excluent pas des effets graves à long terme. Ces effets peuvent n’apparaître que sur de longues séries, donc seulement quand le vaccin est utilisé larga manu dans la vraie vie. Nous venons de le vivre avec le vaccin Astrazeneka chez des adultes jeunes.

Cette proposition de vacciner les enfants « pour sortir de l’épidémie » s’appuie sur des modélisations. On constate pourtant qu’aucune modélisation apocalyptique ne s’est réalisée. Même pas dans les pays n’ayant pas confiné. Cela devrait amener nos prétendues élites et nos dirigeants à réexaminer la pertinence de cet outil de gouvernance.

L’objectif qui sous-tend cette préconisation vaccinale est l’éradication virale. Non seulement peu réaliste mais inutile pour sortir de la crise. Ce sont les politiques qui imposent cette condition parce qu’elle les arrange. Elle justifie leurs mesures de coercition sociale et de vaccination à tout-va, sans discernement aucun.

Revenir sur Terre, respecter les choix individuels et la personne

Il y a eu trop de morts, trop de malheurs, trop de souffrances dans cette affaire de la Covid. Il est temps que cela cesse. Il faut mettre fin au grand n’importe quoi qui règne depuis plus d’un an. Il faut arrêter la spirale infernale dans laquelle le gouvernement a embringué la France.

Il est temps de ne plus ajouter du malheur au malheur. De ne plus ajouter aux malheurs de la maladie les malheurs de leur incurie. Il est temps que nos gouvernants reviennent sur Terre et fassent preuve d’humilité et de bon sens. Il faut faire une pause et regarder la situation avec calme et bon sens.

Les gens n’ont pas peur de mourir, ils ont peur de vivre.

Il ne faut plus avoir peur de vivre.

Il faut un retour immédiat à la normale et une prise en charge rapide des malades en mobilisant plusieurs moyens.

Il faut travailler avec l’immunité naturelle grâce aux personnes sans risque. Il faut se concentrer sur la protection des personnes à risque, en respectant leur libre arbitre. L’enfermement du reste de la population ne leur apporte aucune protection.

Il n’y a aucune indication médicale à une vaccination de masse pour une maladie globalement peu mortelle, et dont la létalité en dessous de 60 ans peut être ramenée à zéro quand les gens sont soignés. (Voir supra).

Il faut isoler les malades, dépister intelligemment, vacciner pertinemment, respecter les gestes barrières à bon escient, traiter précocement avec des traitements efficaces, même s’ils ne sont pas reconnus officiellement en France. Il faut augmenter nos capacités en lits hospitaliers et en lits de réanimation, armés évidemment.

Le droit romain, le christianisme, le libéralisme ont transformé l’individu en une personne. La personnalité est spécifique à l’humanité. Les colonies de fourmis ou de termites sont constituées d’individus, pas de personnes. La destruction de la personne réifie les êtres humains. La  négation de la personne est un recul civilisationnel.

Il faut revenir au respect de la personne.

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  • S’il n’y avait pas de contrainte totalitaire face aux épidémies vraiment létales, Bastiat n’aurait sans doute pas plus survécu que la plupart de ses compatriotes libéraux.
    La question est en effet de savoir si ce virus made in China et ses avatars à venir sont suffisamment malfaisants pour justifier un remède aussi radical que la paralysie qui nous est imposée.
    Peut-être ai-je tort de douter des vertus anticontagieuses du libéralisme?

    • Ah bon ?
      Je pense au contraire que si un virus vraiment létal apparait il faut surtout pas que l’état intervienne.
      Relisez l’article.
      L’état impose une dictature sanitaire inefficace.

    • oui vous avez tort : laissez les médecins soigner et prescrire et ce virus retournera à la discrétion comme ses prédécesseurs (sauf pour le fait qu’il soit vraisemblablement sorti du labo chinois).

      • Si vous me relisez vous remarquerez que je ne parle pas de CE virus qu’en effet on aurait pu (et qu’on pourrait toujours) soigner comme je l’ai déjà écrit ici.

  • désolé , mais je suis suffisamment égoïste pour ne pas me faire vacciner et vouloir protéger ma santé avant celle des autres ; 40 ans que je cotise à la sécu sans lui couter un rond ; je ne vais pas prendre le risque de saborder ma santé pour faire plaisir à l’état ; qu’il aille se faire mettre ;

    • Vous avez raison, vous n’avez aucun bénéfice à tirer ce cette injection, et degros risques, les effets à moyen et long terme sont inconnus. De plus, il ne peut s’agir d’un geste altruiste, ces produits n’empêchent pas la contagion.

    • Qu’est-ce qui vous dit que vous êtes à même d’évaluer et de comparer les risques ? D’accord, l’état ne sait pas le faire, mais ça ne veut en rien dire que vous, vous savez mieux.

      • Et donc ? Qu’est-ce que vous ne comprenez pas dans l’expression « choix personnel » ?
        Toute la journée, vous faites des choix selon vos propres évaluations. Etes-vous expert en coton pour choisir un blue-jean plutôt qu’un autre ? Votre métier ou votre compagne (si vous en avez), vous les avez choisis après une étude scientifique ? Et comment pourriez-vous affirmer que c’était de bons choix, voir les meilleurs ?
        C’est facile d’être tout le temps content de soi et de ses choix, mais finalement, cela relève toujours de la croyance parce que nous ne faisons qu’expérimenter dans le noir total. En témoigne les suicides, les dépressions, les divorces, l’amertume.
        Mais bon, le mantra des socialistes c’est que les autres doivent toujours faire tout comme eux.

        • Il me semble qu’à partir du moment où votre choix impacte la sécurité d’autrui il est abusif de le qualifier de « choix personnel ».
          C’est tout le problème de la collision entre liberté individuelle et épidémies.
          Ceci dit, je ne me ferai pas non plus vacciner tant que je ne connaîtrai pas les éléments d’appréciation du rapport risque/bénéfice et incidence sur la contagiosité.

      • Donc, vous dites que ni l’Etat ni l’individu n’ont la réponse.
        Dans ce cas, pourquoi se soumettre au diktat de l’Etat?
        On juge les gens apte à voter pour choisir un dirigeant mais on les juge inaptes à décider qqchose pour leurs propres vies?

        • Bien d’accord avec vous, il ne faut pas se soumettre au diktat de l’Etat. Mais pourquoi les alternatives seraient-elles de se soumettre à n’importe qui d’autre ? Non, je ne juge pas les gens aptes à voter pour choisir un dirigeant. Vous les trouvez aptes, vous ? Mais la solution que je préconise est de les aider à le devenir, en les informant, et en formant leur sens critique et leur aptitude au jugement personnel. Certainement pas de les pousser à se croire capables sans en passer par là.

    • J’aimerais donner ici le point de vue d’un ami médecin (à l’étranger);

      d’après lui, les personnes qui font des thromboses en réaction aux les vaccins classiques (à base de virus affaibli) sont du même type que les presque 20% de gens qui meurent de thromboses en réanimation Covid.

      Il apparait donc que les personnes dont le système immunitaire réagit au vaccin sous forme de caillots sanguins ont de toute façon très peu de chances de s’en tirer face au ‘vrai’ virus.

      Je ne suis pas spécialiste, mais cela mérite réflexion…

      • Ce qui est ennuyeux est l’absence de coagulation pour les arn.. Pourtant ceux ci provoquent la même génération d’anticorps.. Perso je pense que c’est la faute à malchance lors de la piqûre intra musculaire.. Technique pas pratiquee pour le vaccin contre la grippe puis, sans doute l’emploi de petites aiguilles pour racler les fond de flacons arn

        • Ce serait plutôt en fait l’absence de communication sur les thromboses suite aux « vaccins  » à ARNm , il faut regarder les rapports officiels des agences du médicament pour les voir.

      • Réflexion intéressante.
        Sauf que la contamination au covid n’est pas certaine et on sait ce qu’il faut faire pour essayer de s’en prémunir pour ceux qui le souhaitent.

        Par contre, une vaccination est un acte artificiel. S’il est faire volontairement pas l’individu, il n’y a rien a dire. Même si on pourrait critiquer la propagande mortifère et angoissante qui est fait autour du covid en décalage par rapport aux chiffres.
        Si cette vaccination devient obligatoire et réalisée contre la volonté des gens alors que la mortalité du covid n’est que de 0,3-0,4%, les décideurs de cette vaccination obligatoire deviennent responsables de la mortalité induite par cette dernière sur des gens qui n’en veulent pas.

    • entièrement d’accord, non pour le vaccin pour ma part, mais ce qui me chagrine un peu c’est que je commence à entendre mon entourage me faire ce reproche de ne pas vouloir me faire vacciner..

  • Le respect des choix individuels, ok, à deux conditions :
    1. Ils doivent être conscients et informés.
    2. On doit pouvoir choisir d’ostraciser ceux qui ont fait des choix qu’on n’approuve pas.
    Donc, déjà pour le 1. ça n’est pas gagné vu les comportements de meutes sans oreilles, mais pour le 2., pouvoir exiger par exemple de vérifier que son contrôleur fiscal a bien été vacciné avant de lui permettre de mettre le nez dans votre dossier, c’est de la pure utopie.

    • Au fait, le virus chinois nous immuniserait-il contre l’indiscrétion des contrôles domiciliaires (douanes et fisc)?
      Le PCC nous aurait offert un virus libéral qui paralyse les bureaucrates?

    • « Sachant que »…
      Si vous avez des sources, merci de les citer correctement. Il n’y a pas d’erreur de ma part, « conscients et informés » signifie par exemple capables de distinguer ARNm et ADN et de mesurer les risques sur la foi d’autres sources que les affirmations péremptoires des commentateurs de réseaux sociaux.

    • Comme disait Churchill, « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées »

  • Cet appel de P. de Casanove a malheureusement toutes les chances de rester lettre morte. Une société partie en vrille de cette façon n’est plus réceptive à un discours raisonnable. Ses dirigeants encore moins, à supposer que leur intention soit de résoudre le problème – ce dont je doute fort. À ce stade, c’est chacun pour soi, et se préparer à encore pire.

  • Excellent cet article.
    Il est évident que s’ils font preuve de tant d’insistance c’est que la fin ne justifie…. Personnellement je ne me ferai pas vacciner. Je connais au moins 4 personnes qui se sont fait vacciner et qui l’ont eu et encore une fois, une maladie grave qui mériterait tous ce bazar serait une maladie qui donnerait à un ensemble d’individus des séquelles graves. Alzheimer, le sida, le palu…Quand je pense à tous ces enfants qu’on aurait pu nourrir avec tout cet argent. là oui on peut parler de bénéfice risque

    • « tous les enfants qu’on aurait pu nourrir avec tout cet argent »…
      Un enfant se nourrit de bonne éducation à l’effort et au sens critique. Le manque à gagner qu’on aurait prétendument évité n’a jamais rassasié personne.

      • « J’ai débuté dans la vie avec deux grands avantages : pas d’argent et de bons parents ».

        M. Thatcher

        • Avec l’état providence et des parents qui croient les médias (Pravda ou réseaux sociaux), CGEF : cette génération est foutue.

  • Une excellente raison (supplémentaire) pour respecter le choix individuel est que quand un expert dit une chose et un autre son contraire, on enfreint manifestement le « principe de précaution » en prenant des décisions contraignantes. (J’espère qu’un jour on les traînera devant des tribunaux).

    Néenmoins, la lassitude s’empare de tous dans cette affaire et il faut se méfier même dans un choix individuel : par lassitude on est prêt à accepter n’importe quoi. Et jouer sur la lassitude du citoyen est devenu une nouvelle façon de gouverner et d’imposer des décisions. Ne doutons pas que cette démarche est parfaitement assumée par nos chers Enarques qui considère que leur rôle est de commander (et se faire obéir) et non d’être efficace pour résoudre des problèmes.

  • On peut faire dire à Bastiat, ce que l’on veut à partir de 3 mots. Chercher bien peut-être que vous trouverez des explications libérales pour abandon de son épouse le jour de son mariage.

    Si le BCG n’avait pas été obligatoire, particulièrement pour le monde médical, si le vaccin de la variole n’avait pas été obligatoire, où en serions nous du nombre de mort aujourd’hui; et il y aurait eu des libéraux qui aurait gueuler contre un état qui ne soignait pas ses malades et on nous aurait ressorti quelques mots de Bastiat pour justifier cela.

    Si il y a des personnes qui ne veulent pas se faire vacciner, comme vous le dites c’est leur droit. OK. Alors qu’ils n’aillent pas embouteiller les hôpitaux quand ils sont malades. Plus de priorité. Et deuxièmement la sécurité sociale ne doit pas leur rembourser les frais encourus puisqu’il sont totalement responsables de leur état.

  • Il suffit d informer honnêtement et de laisser les gens libres de décider pour eux mêmes et surtout il faut respecter leur choix et ne pas se laisser emporter par des peurs et des divisions fabriquées par intérêt par nos gouvernants

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