Coronavirus : l’urgence d’un changement de cap

Maintenir pour la surveillance de ce virus un état de guerre est un non-sens qui nous conduit à un naufrage collectif.

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Coronavirus : l’urgence d’un changement de cap

Publié le 24 janvier 2021
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Par Paul Touboul. 

Pour commencer, des questions. Allons-nous installer définitivement dans nos pratiques le dénombrement quotidien de nos concitoyens atteints par tel ou tel virus ? Au même titre que le bulletin météo, chiffres et pourcentages des victimes s’afficheront-ils désormais sur nos téléphones, influant sur la coloration de nos journées ?

La perspective d’un voisinage tendu avec le monde des virus se dessine-t-elle et avec elle celle d’une vie attentive aux moindres soubresauts de ce comparse réfractaire auxquels il conviendra de répondre sans tarder ? Un combat de longue haleine est-il entamé dans lequel se déploient, pour notre survie, toutes les ressources de l’intelligence humaine ?

Entrons-nous dans une nouvelle ère, celle d’une humanité en croisade contre les nuisibles naturels qui la mettent en péril ? Est-ce le projet grandiose de l’avenir pour pérenniser notre existence sur Terre ?

Notre humanité, dans sa relation à la nature qui l’environne, est peut-être à un tournant. Elle semble ne pas tolérer désormais ce qui autour d’elle échappe à son contrôle et, qui plus est, serait une menace.

Une lutte ancestrale

Mais, à bien y réfléchir, cette lutte est, au fond, ancestrale. L’Homme a de tous temps cherché à vaincre les obstacles à son développement, voire à les éliminer. Il s’agissait toujours de cibles à échelle humaine, appréhendées par nos sens, et à la portée de moyens adaptés, parfois violents. L’avènement des vaccins puis des antibiotiques a offert la première opportunité de combattre nos ennemis du monde invisible que sont les agents infectieux.

Vaincre ces organismes dangereux capables de nous exterminer a certainement marqué une date dans notre vie sur la planète Terre. Et l’amélioration aujourd’hui de nos conditions d’existence doit beaucoup à cette avancée.

Depuis, la connaissance de l’univers vivant microscopique s’est considérablement développée. Une multitude d’espèces qui l’habitent a été identifiée. Des techniques de plus en plus fines ont pénétré leur intimité, offrant même des possibilités de manipulations.

L’explosion de ce savoir se solde aussi de remises en cause incessantes, de questionnements supplémentaires, de théories nouvelles et de pratiques de plus en plus intrusives. Le champ de l’inconnu n’est pas pour autant réduit et se renouvelle même à l’infini. Si l’Homme a pu s’ériger en apprenti sorcier, il n’en reste pas moins fasciné par le mystère grandiose qu’est la vie. Et dans le cheminement du chercheur, la passion de connaître voisine avec l’humilité et la conscience de son ignorance.

Coronavirus et mise à l’écart de la médecine

Alors pourquoi ce préambule ? Parce que la gestion de la crise sanitaire actuelle a mis en lumière les illusions d’attitudes scientifiques dévoyées qui sont elles-mêmes le pendant d’une hubris contemporaine. Qu’avons-nous vu en l’occurrence ?

Ont été écartés avec dédain les comportements traditionnellement requis en matière d’épidémie. Que chaque cas déclaré en réfère à son médecin, que ce dernier le prenne en charge et prescrive un traitement jugé approprié dont il assure le suivi, voilà ce qui se passait de tout temps quant telle ou telle virose faisait son apparition. La maladie restait personnalisée, avait un visage, se composait d’histoires individuelles, gardait une dimension humaine.

Or cette pratique a été balayée. Le praticien n’était plus à la hauteur d’un combat jugé titanesque. Exit la médecine de proximité. Place à l’armada d’État que sont les hôpitaux publics. Ainsi en a décidé l’État français.

La notion de pandémie donnait-elle sens à pareille mesure ? L’explosion des contaminations pouvait justifier au contraire le recours à l’ensemble du corps médical et la démultiplication de l’offre de soins. D’autant que la prise en charge initiale relevait à l’évidence de la compétence de généralistes.

Pourtant il en a été décidé autrement. Et la manière a été brutale puisque certains médicaments recommandés initialement ont été contingentés et des praticiens sanctionnés par l’Ordre pour avoir contrevenu aux injonctions officielles. Un centralisme autoritaire en matière médical s’est donc instauré, l’État gérant unilatéralement l’épidémie, en comptabilisant l’étendue et décrétant les conduites. Une situation entièrement inédite et qui n’a fait que se renforcer avec le temps.

Ce faisant, en l’absence des généralistes, on peut considérer que nombre de cas ont été livrés à une aggravation qui pouvait être évitable, contribuant éventuellement à la surmortalité de départ. L’autoritarisme d’État s’en est donné à cœur joie, s’abritant derrière une évidence qui ne souffrait pas la discussion.

Un parfum de totalitarisme politique

L’on a assisté à une politisation des prises de position et des commentaires sans commune mesure avec les contenus sanitaires et leur base scientifique. Il y avait désormais une vérité officielle, seule valable dans la prise en charge de l’épidémie.

Il est bien sûr admissible que le pouvoir impose sa manière d’appréhender une crise et les solutions qui en découlent. Mais pas en instillant un contexte ambiant délétère, malsain, où les opposants sont livrés à la vindicte des bien-pensants. Et l’on n’a jamais autant mesuré le poids de la propagande par médias interposés à propos de sujets relevant simplement de controverses sur les connaissances. J’ose dire que l’ambiance a pris un parfum totalitaire.

L’imposition des esprits liée à cette volonté de rester maitre du jeu et de régner sans partage s’est poursuivie depuis sans discontinuer. La flambée épidémique éteinte, le gouvernement s’est lancé dans la traque de virus perdurant ici ou là, auquels était assigné le dessein perfide de nous envahir de nouveau.

Sur quels arguments s’étayait cette crainte ? À vrai dire l’affirmation était entourée de mystère, laissant penser qu’elle allait de soi. Par le fait prenait corps la représentation d’un adversaire hors du commun auquel serait livré une guerre sans merci.

Un évènement, que rien au départ ne distinguait de ceux du passé, devenait ainsi unique, inouï, et, je dirais, à la mesure de l’hubris contemporaine. On n’en était plus à traiter et isoler les cas contaminés, b-a-ba des stratégies traditionnelles, il fallait prendre à bras le corps un évènement planétaire et assurer à terme, avec les armes d’aujourd’hui, la victoire de l’Homme prométhéen.

Car c’est bien de posture générationnelle qu’il s’agit. Et notre ministre de la Santé en est l’incarnation. Fils de ce monde-là, il a repoussé sans état d’âme l’avis de personnalités reconnues de l’infectiologie, aussi titrées et prestigieuses soient-elles, pour s’en remettre à des méthodes qui, à défaut d’être éprouvées, étaient innovantes.

Experts, algorithmes et bureaucratie à la rescousse

Force est de reconnaître qu’il suivait en cela les recommandations d’experts, plus hommes de laboratoire que de terrain. Ont été pris en compte des prédictions basées sur de savants calculs, des schémas explicatifs appuyés par de mystérieux algorithmes, une gestion de la crise effectuée depuis un centre de commande où se déployait une intelligence abstraite manipulant des données qu’elle enfantait.

C’est peut-être la grande nouveauté de l’évènement, celle d’avoir inauguré une vision mondialiste, bureaucratique d’une épidémie, à l’image d’experts hors sol trônant du haut d’un savoir dématérialisé.

Dans cette même optique il fallait que les mesures prises soient à l’échelle d’un combat de géants. Intervenir sur des populations entières, imposer confinement, port de masques, voire user si nécessaire de coercition, brasser des multitudes dans une joute sans merci contre le coronavirus, voilà bien une guerre digne de ce nom dans laquelle les ressources de l’intelligence humaine auront toute latitude de faire leurs preuves.

Si dans le passé les virus paraissaient dicter leurs conditions, on pouvait aujourd’hui leur imposer d’autres règles du jeu. Il s’agissait, avec nos tests, de les débusquer à grande échelle, de traquer les foyers de multiplication, et en cas de danger, de calfeutrer le pays pour le soustraire à l’assaut des envahisseurs.

Et on n’a pas lésiné sur les moyens, quitte à mettre à bas l’activité économique et sociale. L’homme contemporain défié s’est hissé à la hauteur d’un mal planétaire. Chaque jour ont été comptabilisées compulsivement les intrusions ennemies et les pertes subies sur ce champ de bataille informe et invisible.

Sourds à toute critique nos augures en sont venues à découvrir à leurs dépens que le virus a plus d’un tour dans son sac. Ils avaient pourtant été prévenus. Les virus respiratoires sont l’objet de mutations continuelles. L’avènement de variants avait déjà été signalé en juillet puis octobre 2020, responsable d’un regain d’activité virale.

Du coup l’histoire a repris souffle et le combat est reparti de plus belle. Dépistage à marches forcées, maintien d’une chape de plomb sur la population, monopolisation de l’information par la virose, bref la folle épopée continue. Et il n’y a pas de raison que cela s’arrête. Jusqu’alors on s’attaquait aux épidémies déclarées. Maintenant c’est au monde secret des virus que l’on s’en prend.

Les mutations cachées qui les caractérisent sont la nouvelle cible. Ces variants qui pourraient devenir un jour épidémiques sont suivis à la trace. Mais jusqu’à quand ? La maitrise de l’échange, il faut le reconnaitre, appartient bel et bien au coronavirus qui nous impose son tempo et peut seul décider la fin de partie.

Il est clair que la stratégie appliquée à cette virose est devenue démente. Les choix pris, y compris celui du vaccin, ne peuvent escompter un contrôle véritable de la situation, à savoir nous protéger tous durablement d’une contamination.

Si l’on ne se contente pas d’une approche pragmatique, c’est-à-dire traiter, isoler les contaminés et protéger les plus vulnérables en attendant des jours meilleurs, l’issue risque d’être repoussée aux calendes face à un virus scruté en permanence et dont on ne tolère plus de vie secrète.

Il y a bientôt un an que tout a commencé. Rien ne laisse entrevoir une issue prochaine. C’est du jamais vu en matière d’épidémie. Fallait-il que celle-ci déroge à toute règle et que nos connaissances tirées d’une expérience éprouvée soient battues en brèche ? Il est permis d’en douter et questionner la politique sanitaire actuelle s’impose plus que jamais aujourd’hui.

On ne peut impunément mettre à l’arrêt un pays pour combattre un agent infectieux, certes contagieux mais dont la létalité n’excède pas celle de la grippe. Qu’on continue à le surveiller à l’abri de tout tapage médiatique, l’affaire est du ressort de toute nation chargée de protéger ses citoyens. Mais maintenir pour cela un état de guerre est un non-sens qui nous conduit à un naufrage collectif.

Il est malheureusement à craindre que nos gouvernants renâclent à se remettre en cause. Sans compter que le sacro-saint principe de précaution et la peur des juges risquent de conforter pareille obstination. Pourtant l’urgence est là.

La vie doit reprendre ses droits dans notre pays, toute latitude étant restituée à l’activité socio-économique et à la culture pour s’exprimer, l’individu retrouvant quant à lui dans son quotidien les ingrédients qui le motivent et le structurent.

En somme une existence libre, sans peur et ouverte sur l’avenir. Garder un œil sur le virus, comme d’ailleurs sur toutes les menaces qui nous entourent, ne doit pas mettre en péril nos raisons de vivre.

 

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  • On marche sur la tête si on prend un peu de recul.
    87% des personnes touchées par le virus sont asymptomatiques : elles ne s’aperçoivent de rien. À priori, elles transmettent peu ou pas le Covid.
    Seules environ 3% des personnes infectées développe une forme plus sévère (à vérifier).
    99,5% des personnes infectées survivent après un test positif.
    Pour l’ensemble de la population : 99,95% des gens ne mourront pas du Covid.
    Le vaccin ne remplissant pas les critères d’approbation classiques (face à l’urgence), sa mise sur le marché a été autorisée de manière dérogatoire en l’absence de traitement. C’est la raison pour laquelle le gouvernement ne parle jamais de traitement (autre que du Doliprane). Or les traitements existent. C’est un véritable scandale, dans lequel les médias mainstream nous montrent de quoi ils sont capables : manipulation, désinformation, climat de peur, soutien sans faille du gouvernement. Une véritable dictature. Quand tout ça finira-t-il ? Selon Karl Schwab le porte drapeau du mondialisme : quand 75% des restaurants, cafés… auront mis la clé sous la porte. Pour lui, ce n’est pas une prédiction mais carrément un objectif, et il ne s’en cache pas. Ce personnage parle du Covid comme une opportunité pour le grand reset ! Son bouquin fait froid dans le dos.

    • On pourrait discuter vos 87% (source ?), mais le problème n’est pas là.
      Si le système sanitaire est saturé, à vos 0.05% morts du covid s’ajouteront de gros % bien gras et bien entiers de morts d’autre chose et de ne pas avoir soignés à cause du covid. Donc votre calcul est à côté de la plaque.

      • Le système sanitaire n’est pas saturé. Sortez un peu de cette vision étatique profondément fixiste. Laissez faire le marché, par le mécanisme de l’offre et de la demande, les choses s’ajustent d’elles mêmes.
        Et ne me répondez pas qui c’est impossible, que l’hôpital ceci, que l’hôpital cela. Que les français sont fautifs etc..

        • En ces périodes de troubles, j’investis sur les biotech (dont deux pépites françaises). Pourquoi ? Parce ce que le Saint-Marché ne s’applique pas vraiment au secteur de la santé. La demande y est bien souvent contrainte et l’offre aussi (en partie). La santé n’est pas un marché comme les autres, tout simplement.

          • La santé est un marché comme les autres. Ou alors le marché des denrées alimentaires doit être aussi étatisé, la demande est contrainte itou, faut bien manger.
            Le seul marché qui doit être étatisé est celui de la sécurité extérieure, l’armée.. parce que il existe d’autres armées d’autres états pas forcement bienveillants.
            Sortez de vos convictions. En suisse, l’assurance santé est privée, avec des résultats certes mitigés, mais les gens sont soignés.

            • La santé n’est pas un marché comme les autres car il manque un truc essentiel : la maitrise. Pour que le duo « liberté et responsabilité » existe réellement, il faut la maitrise. Vu que je ne choisis pas les maladies ou les accidents, je ne suis pas libre totalement ni responsable totalement.
              Pour la Suisse : nuance : la souscription à une assurance maladie est obligatoire et « Contrairement à la France, il n’existe pas d’organisme central équivalent à l’Assurance Maladie gérant l’ensemble des remboursements de santé du pays. Ce sont différentes caisses-maladie qui s’acquittent de cette tâche, sous la tutelle de l’Office Fédéral de la Santé Publique (OFSP). »
              On est pas vraiment dans un super système libéral. Dans un pays comme les USA, des gens meurent parce que l’insuline est impayable. Insuline dont le coût de production est ridiculement bas mais dont le prix a très mystérieusement (ironie) explosé depuis 20 ans au profit de certains mais absolument pas dans l’intérêt des diabétiques.

              •  » car il manque un truc essentiel : la maitrise.  »
                Ah bon?
                Parce que tous autres domaines économiques sont basés sur des éléments parfaitement maitrisables et maitrisés??
                La production agricole n’est pas sujette aux intempéries et aux épidémies? Il faudrait l’étatiser selon vous.
                Idem pour la pêche? Etatisons donc!
                Et le domaines des assurances? Tout est maitrisable? Non, étatisons alors!

                Comme l’avait dit Bébéar (ex-patron d’Axa), il y a de nombreuses années, l’assurance santé est un domaine assurantiel « facile » car les assureurs ont toutes les statistiques concernant la survenue des différentes pathologies, leur cout et taux de complication. C’est plus facile que l’assurance voiture.
                Et en cas de grosse épidémie, il en connaissance les risques statistiques qu’il suffit de provisionner.
                Donc c’est parfaitement maitrisé.

                Votre argument est celui essayant de justifier le système de Sécurité Sociale à la française.
                Si votre assertion était exacte, toutes autres autres systèmes basés sur un système assurantiel privé auraient du s’effondrer depuis longtemps. Or c’est plutôt la SS française qui est en train de s’effondrer que les autres systèmes. 🙂

              • Quant à l’insuline aux USA, c’est un peu plus complexe que l’éternelle ritournelle des méchants Labos et du méchant Capitalisme….

                Il s’agit des insulines de dernières générations qui offrent des avantages par rapport aux anciennes certes mais les anciennes sont tjrs disponibles.
                De plus, les prix affichés sont le prix de vente de base pour ceux qui paieraient leur insuline de leur poche et non celui après négociation auprès des différentes assurances santé. Enfin, la pratique de plus en plus fréquente aux USA de traiter les diabète de type II avec de l’insuline entraine obligatoirement des tensions sur le marché et la disponibilité.
                Ensuite, regardez les prix réels. Le cout d’un traitement annuel par insuline est passé de 231$ à 737$ aux USA avec les nouvelles insulines. C’est peu malgré tout. Cela a été mal accueilli parce que le cout était faible avec les anciennes molécules et que bcp pensaient qu’ils disposeraient du meilleur au même prix. Ben voyons, la Mercedes au prix de la Mégane…
                Tout dépend également de l’assurance que vous avez souscrite. Certaines couvrent le nouveau prix et d’autres pas.
                En France, le cout annuel d’un traitement par insuline basale est de 364E sur une étude de 2016 donc supérieur au prix US antérieur ce que nos bons journalistes contempteurs du modèle US ne disent pas. Ce sera plus avec les nouvelles Insulines sauf si la SS décide de limiter leur utilisation à certains patients comme elle l’avait fait pour le médicament traitant l’hépatite C…
                Il faut sortir de la représentation binaire que font nos journalistes de la situation médicale US.

                C’est comme la couverture des pertes de CA du à une épidémie comme le covid! Certains commerçants (5 à 7%) ont souscrit à l’option proposée par leur assurance et ont été indemnisés. Et d’autres n’ont pas pris l’option. Ils le regrettent actuellement. C’est pour cela que l’amorce de polémique sur la soi-disante non-couverture de la pandémie par les assureurs, s’est vite éteinte: les assureurs avaient proposé la couverture du risque mais peu l’ont souscrite. Question d’évaluation des risques et de responsabilité.

                https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/diabete-l-envol-des-prix-de-l-insuline-inquiete-aux-etats-unis-562244.html
                https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2016-6-page-781.htm

                • Je me permets de répondre à vos deux commentaires en une fois : mis à part un choix de mode de vie permettant de limiter (et non d’annuler) le risque de maladie, la santé n’est pas maitrisable car souvent non choisie.
                  La fille de mon amie, née avec un trou au coeur et des pieds mal foutus ne l’a pas choisi. Je n’ai pas choisi d’être myope. Mon père n’a pas choisi son diabète. Sans choix possible, la liberté n’existe pas.
                  Pour l’insuline, vous dites très simplement (sources à l’appui) que les labos se goinfrent car les assureurs et/ou l’état paye. Faut pas avoir fait sciences po pour comprendre que ce sont les clients des assurances et les citoyens via impot qui payent la note.
                  Dans l’article de la tribune, il est dit que le marché US était le plus gros marché (« 40% du marché mondial de l’insuline estimé à 22,35 milliards de dollars dans le monde en 2013 ») à cause d’une grande population mais aussi à cause de prix très élevés permis par un système problématique, spécialement pour les plus démunis. Et cela ramène à la maitrise : devoir choisir de pouvoir payer son insuline (sa vie, vous savez, ce droit dit naturel…) n’est pas un choix.. ce n’est pas une liberté.
                  Et je dois finir malheureusement par dire que je n’ai jamais parlé d’étatisation totale, mais le point 7 de Schopenhauer, ça vous parle sans doute.

                  • Et oui la vie n’est pas totalement maitrisable. Cela dépend de son pays de naissance, de son potentiel intellectuel, de son environnement familial ect.. comme disait Coluche tout le monde est égaux, mais il y en a de plus égaux que les autres.
                    Toujours est-il qu’un système libéral fonctionne mieux qu’un système collectiviste.

                    Toujours.

                    • Oui, nous sommes parfaitement d’accord sur cela. Mais comme personne ici n’a défendu le moindre système collectiviste, il est sans doute inutile de le dire.

                    • « comme disait Coluche tout le monde est égaux, mais il y en a de plus égaux que les autres. »
                      Rendons à César…
                      c’est de George Orwell dans « Animal farm ».

                  • « le risque de maladie, la santé n’est pas maitrisable car souvent non choisie. »
                    Le risque maladie est aléatoire pour l’Individu. Je ne l’ai jamais nié.
                    Une voiture qui vous rentre dedans fait également partie des événements non maitrisables (si votre conduite n’en est pas directement la cause). Cela n’est reste pas moins la source d’une activité non assistée par l’Etat (allant de l’assurance aux réparations). Idem pour toutes les activités soumises aux caprices de la météo ou/et aux aléas des événements naturels. Faut-il étatiser tous ce qui a un peu d’aléas?
                    Le « trou au cœur » et « les pieds mal foutus » sont des aléas certes non maitrisés par un individu mais parfaitement évalués par les statistiques épidémiologiques dans une population donnée. Or c’est à partir de ces statistiques que les assurances fonctionnent. Il n’y a donc rien de non maitrisable, rien qui ne permettent d’en faire la base d’une exploitation économique (assurance santé dans ce cas précis) et d’une évaluation des dépenses à venir pour une population donnée.

                    « vous dites très simplement (sources à l’appui) que les labos se goinfrent car les assureurs et/ou l’état paye. »
                    Non. Les articles ne disent pas cela. Votre phrase n’est que votre interprétation personnelle très empreinte de cette mentalité anti-labos de notre société collectiviste.
                    Les articles disent simplement que les nouvelles insulines sont plus chères et stigmatisent les labos qui auraient dues selon les journalistes (nous sommes en France) les mettre à disposition au prix des anciennes bien sûr. Pourtant nos journaleux signalent bien qu’elles sont nouvelles et mieux tolérées, qu’elles sont issus des nouvelles technologies (et donc d’investissement qui devront être rentabilisés)…etc Les anciennes restent disponibles aux mêmes prix ce que nos journaleux omettent (opportunément) de signaler! Donc les démunis pourront tjrs se faire soigner. Nos journaleux omettent également de signaler que dans cet (horrible évidemment) système de santé US, les anciennes insulines coutent moins chères que dans notre (merveilleuse) Sécu. Etonnant, non?

                    « devoir choisir de pouvoir payer son insuline (sa vie, vous savez, ce droit dit naturel…) n’est pas un choix.. ce n’est pas une liberté. » lol
                    On doit également payer pour pouvoir manger et boire, ce n’est pas un choix non plus. Idem pour se vêtir…etc Quand au travail, vous êtes obliger de travailler pour pouvoir vivre, ce n’est donc pas une liberté selon votre raisonnement? Lol On rejoint le raisonnement bien connu de nos amis gauchisants sur l’asservissement au travail, aux patrons, aux capitalistes et tutti quanti. 🙂

                    Quant au point 7 de Schopenhauer, il s’agit du questionnement à outrance d’un interlocuteur pour le déstabiliser? Or je ne vous ai posé que 3 questions… 🙂 un peu léger non. Il vous en faut peu.

                    « que je n’ai jamais parlé d’étatisation totale, »
                    Vous avez basé votre justification de l’étatisation sur le caractère non maitrisable des évènements de santé. Or ce caractère est retrouvé dans bcp d’autres champs de l’activité humaine. Donc pourquoi étatiser l’un et pas les autres…
                    Cette absence de « maitrise » en matière de santé semblent être bcp mieux maitrisée de par le monde par d’autres système de santé plus efficaces, moins couteux et laissant moins de démunis sur le bas côté.

        • @Gilib vous êtes fatiguant !
          La seule manière que je puisse imaginer de sortir de cette vision étatiste serait d’émigrer, et pour des raisons qui n’ont rien à voir, ça n’est personnellement pas possible. Alors vos yaka fokon, j’ai beau en être le plus souvent d’accord avec vous sur les principes, ils sont parfaitement décalés ici et maintenant.
          Le risque de saturation du système sanitaire est considérable, croyez-en quelqu’un qui a fait sa carrière, avec un certain succès, justement dans l’analyse de risque. Que vous ou moi ayons une idée très claire de ce qui pourrait facilement éviter cette saturation n’a aucune importance : nous ne sommes pas aux postes où nous pourrions faire appliquer ces idées, mais dans les positions où nous allons subir ce qui sont les conséquences prévisibles 1) de la situation actuelle, et 2) de la focalisation des esprits sur des chiffres exacts, mais absolument pas pertinents.

          • @Gilib vous êtes fatiguant !
            Et oui, confronter ses idées peut être irritant.. mais c’est le but d’un forum où chacun exprime ses opinions (et non la vérité).
            Je ne suis pas du tout d’accord avec vous sur la question du covid, alors que ma position est celle de l’OMS, celle qu’on trouve dans tout cours de médecine. On isole, on isole, on isole.
            Ce que ne gouvernement n’a jamais fait.
            Ce n’est pas du yaka faukon, c’est le b-a-ba de toute gestion des épidémies. Isoler les malades, pendant 10 jours, c’est moins liberticide que de confiner 67 millions de français pendant 5-6 mois sans aucun effet sur l’épidémie, mais par contre ayant un effet sur l’économie.
            Mais je pense que la haute administration n’est pas mécontente de faire plier le marché.
            PS le risque de saturation est fantasmé, croyez quelqu’un qui a fait sa carrière, avec un certain succès 🙂 dans les soins. Quand il y a une épidémie, ben on travaille et on rentre tard le soir.

            • Mais sur le « on isole (bis) (bis) », je suis parfaitement d’accord avec vous !
              Je dénonçais la minimisation du risque et la focalisation erronée sur des statistiques non-pertinentes. Donc, vous faites comment pour isoler les malades s’ils sont convaincus qu’ils ne risquent rien eux-mêmes, que c’est une grippette, et qu’ils n’ont pas le sens inné coréen ou japonais de respect des consignes ?
              Oui je défends d’affecter au minimum l’économie, en respectant des modes de travail qui seraient sans commune mesure avec le confinement. Mais je crois aussi que ça ne peut se faire qu’avec des acteurs de cette économie qui se sentent concernés et responsables de la faire marcher dans un contexte qui a pas mal de différences avec ce que nous considérions jusqu’ici comme la normale. Et je condamne ceux qui ne défendent que l’insouciance irresponsable, et ça me fatigue que cette condamnation soit interprétée, systématiquement, comme un soutien à l’état.

        • Le système n’est pas satyre puisque des lits continuent à être supprimés.

          Ce n’est pas une crise sanitaire mais une crise des pénuries organisée par le régime communiste français.

          • « puisque » signifierait que les décisions administratives suivraient une certaine logique. Mais enfin, quand on voit des satyres dans le système, on peut bien aussi croire à la logique de l’administration 🙂

            • En principe le cerveau est intelligent, il corrige de lui-même les erreurs que le traitement de texte glisse dans les messages. En l’occurence, dans le message de Théo31, il comprend bien que l’auteur n’a pas écrit « satyre » mais « saturé ». Donc celui qui fait de l’ironie à propos des satyres supposés vus dans le système témoigne d’une confusion mentale au moins momentanée. Les gens les plus dangereux ne sont pas les gens idiots, ce sont les gens potentiellement intelligents qui sont capables de faire des raisonnements robustes sur la base de suppositions complètement fausses.

              • En quoi faire de l’ironie après avoir montré à la phrase précédente qu’on avait parfaitement compris et corrigé le lapsus calami serait-il une preuve de confusion mentale ? Vous avez quelque chose contre l’ironie ? Vous ne savez pas interpréter les smileys ?
                Dois-je reprendre au degré zéro ? Alors voilà :
                La suppression des lits provient de décisions administratives sans rapport avec les constatations sur le terrain. Théo31 ne croit certainement pas à la logique de l’administration, alors pourquoi ne privilégie-t-il pas la thèse de ses erreurs à celle d’une organisation consciente, lui dont le lapsus montre qu’il commet aussi des erreurs ?

            • Argh, @*#°§¬/ de correcteur automatique 😉

        • Mais justement l’état ne laisse pas faire le marché : réquisitions des masques, interdiction de l’HXC, suppressions de lits d’hôpitaux entre mai et novembre…

      • Justement, parlons de la supposée saturation du système de santé.
        1- c’est très discutable; la maladie affectant certains aires géographiques plutôt que d’autres, on a de la marge,
        2-ce qui était pardonnable au printemps dernier ne l’est plus aujourd’hui. Qu’on fait les pouvoirs publiques et les hôpitaux pour éventuellement absorber une seconde vague épidémique? Seconde vague, je le souligne, qui a été amplement discutée par tout le monde. Il y avait des options organisationnelles pour y faire face. On en est au même point qu’en Mars 2020. Curieux quand même.

        Le pourcentage d’asymptomatiques énoncé le plus souvent est effectivement d’environ 80% et plus. On a les statistiques du Diamond Princess et d’autres navires où il y a eu des épidémies de COVID. Il y a également maintenant tout un panel d’études sérologiques qui tend à confirmer ce pourcentage. Moralité: on confine pour une maladie qui tue entre 0.05 à 0.2% des infectés. Du jamais vu dans l’histoire de l’humanité.

        • Le chiffre pour le pourcentage d’asymptomatiques varie, dans les études que j’ai pu voir, entre 17 et 86%. Il semble y avoir aussi une confusion entre « asymptomatique à la date du premier test positif » et « asymptomatique pendant toute la durée de la positivité ». En tout cas, quand on a un chiffre qui se situe dans un intervalle aussi large, on se garde bien de l’utiliser tant qu’on n’a pas pu réduire l’intervalle.
          D’accord avec vous sur l’inaction coupable dans la préparation à une 2e vague.
          En revanche, mes chiffres indiquent dans le monde environ 100 millions de cas (même seulement 75 millions de cas terminés), et 2.1 millions de décès. Pour moi, ça fait une maladie qui tue entre 2 et 3% des infectés.
          Enfin, je vous retourne votre argument : pourquoi pouvoirs publics et hôpitaux auraient-ils dû faire quelque chose pour une maladie si elle ne tuait qu’entre 0.05 et 0.2% des infectés ? Vous leur offrez une belle excuse sur un plateau !

          • Baser votre argumentation sur le nombre de 100 millions de cas déclarés est un peu risible. De nombreux pays au moment de la première vague ont très peu ou pas testé (la France ou le Canada par exemple). A cet égard le nombre de décès attribué au COVID est beaucoup plus révélateur (en admettant que les chiffres n’ont pas été gonflés). Il est vraisemblable, en France, que le nombre d’infectés au printemps a été sous-estimé d’un facteur 10 à 100. Même en prenant une fourchette basse de 20% pour les cas asymptomatiques (ce qui est déjà énorme), il faut les ajouter aux nombres de cas déclarés.
            Par ailleurs, le taux de décès varie d’une tranche d’âge à une autre. D’une manière générale, la probabilité de mourrir du COVID en dessous de 60 ans se situe dans des proportions de 1 pour 1000.

            Le pourquoi des politiques gouvernementales a été mainte fois débattu. De très nombreux médecins et chercheurs (entre autre quelques sommités mondiales) ont trouvé ces politiques de confinement ineptes, stupides et dangereuses pour la santé publique sur le long terme (je laisse de côté la catastrophe économique qui s’en suivra). Pour répondre à votre argument (que je trouve particulièrement de mauvaise foi, soit dit en passant), on nous a ressassé depuis le début la dangerosité (réelle ou supposée) de cette maladie avec de nombreuses déclarations alarmistes de politiques (on est en guerre, il paraît) et des campagnes de presse ad hoc jusqu’à l’ad nauseum. On nous a bien fait comprendre que ça n’était pas fini. Par chance, il s’est avéré, que pour une fois, ils avaient raison. Là encore, on peut se demander si nos dirigeants croient à ce qu’ils disent. Il y a une claire dichotomie entre paroles et actes. On ne peut pas d’un côté dire qu’en maladie est très dangereuse et ne faire absolument rien du côté soins et organisation du système de santé pour absorber un choc potentiel…surtout quand on a eu 8 mois pour se sortir les doigts du cul et faire quelque chose.

            • Merci de votre réponse. Je ne base pas mon argumentation au sens où vous l’entendez, je rappelle les doutes que vous passez sous silence dans la vôtre. Si vous trouvez ça risible, tant mieux en cette période de mauvaise humeur générale.
              Le pourquoi des confinements, et pas seulement en France, est simple à mon avis : c’est que les dirigeants pensent avoir plus à perdre en matière de pouvoir à ne pas confiner qu’à confiner, et que l’opposition bête, méchante, et pas constructive pour deux sous au confinement ne change rien à ce constat.
              Et désolé, quand vous dites qu’on ne peut pas avoir dichotomie entre les paroles et les actes, je vous trouve d’une naïveté et d’un idéalisme incroyables envers la classe politique.

    • On marche sur la tête dirigés par des clowns à roulettes prétentieux : ils nous promettent de contrôler une virose alors qu’elle évolue naturellement, avec ou sans assignation à résidence de la population.
      Le vaccin est présenté comme « le » remède miracle au danger qui nous guette mais le choix de privilégier les vieux en France fait penser à une expérimentation à grande échelle pour le tester. En vaccinant des gens en fin de vie on peut observer les effets indésirables sans grand risque puisqu’ils sont condamnés à brève échéance. Sous prétexte de protection, on les expose à un produit dont les effets sont encore inconnus, alors que leur système immunitaire est affaibli.
      La propagande nous affirme que c’est une avancée mais je trouve le procédé malhonnête.

  • bref! rien à voir avec la médecine et tout à voir avec le totalitarisme destiné à camoufler la nullité de dirigeants au parfum de poubelles et une économie en ruine depuis bien avant l’arrivée du virus

    « Un parfum de totalitarisme politique » qui ne pourra cesser comme d’hab qu’avec une une bonne vieille guerre destinée à effacer les livres de comptes et la mémoire des témoins

  • dernières trouvailles : ne plus parler dans les transports en commun , maintenir une distance de 2 mètres entre chaque personne , et même ne plus faire de galipettes sexuelles face à face ….en  » levrette  » , c’est moins contaminant …..non mais on va ou là ???

  • « J’ose dire que l’ambiance a pris un parfum totalitaire. »
    C’est que je sens aussi. Et ce qui me terrifie ce sont tous ces gens qui trouvent ça très bien. Voire même qui s’y complaisent, se sentent rassurés d’être « encadrés ».

    • Jadis toute la population était d’accord pour faire des sacrifices humains pour éviter de mourir, ce virus, bienvenu à un moment stratégique, permet toutes les énormités possibles et imaginables..

    • C’est terrifiant pour vous, mais c’est parfaitement logique. Personne ne propose d’autre alternative au totalitarisme que le jemenfoutisme ! Alors les gens ne trouvent pas ça « très bien », ils le trouvent simplement moins pire que l’irresponsabilité et le « vous pouvez tous crever du moment que je ne risque rien » qui est la seule autre proposition.

      • Je ne sais pas où vous voyez de l’irresponsabilité. C’est un peu trop facile, avec vous c’est toujours les autres. Jamais l’état. Ou plutôt, la V° république qui est un système politique particulièrement toxique.

        • Où je vois de l’irresponsabilité ? Vous ne prenez jamais le train ou le bus ? Vous n’écoutez jamais les micros trottoirs ? Vous n’avez jamais eu la réponse « si vous avez peur, restez chez vous » à une demande de respect des gestes simples pour éviter de vous faire postillonner dessus ?
          L’Etat, que vous dénoncez à juste titre, s’appuie sur ceux qui sont encore plus outrés par ces comportements que par les mesures autoritaires. Donc je me répète : que proposez-vous d’autre que ces comportements qui ait une chance de convaincre ceux qui se tournent, en désespoir de cause, vers l’autoritarisme pour les éviter ?

          • On ne vit pas dans le même monde.. Je vois dans la rue des gens terrorisés, masqués alors qu’ils sont seuls. Je vois des gens en voitures terrorisés, masqués. Que vous ayez peur, c’est votre problème, mais personnellement personne ne m’a postillonné dessus depuis 1 ans, pour une simple raison est que tout le monde porte des masques, même quand ce n’est pas obligatoire, même en pleine campagne.

            • Mais moi aussi, je vois ces gens-là. Simplement, j’en vois aussi d’autres, une minorité, qui dans le car et le train s’installent à côté ou en face de vous, enlèvent leur masque, postillonnent à qui mieux mieux, et vous engueulent si vous leur demandez de s’écarter. Donc je me répète, avez-vous déjà pris un TER ou un car à 17h, pour quitter une agglomération où les étudiants sont nombreux ? Rennes – Saint Lô, un vendredi ? Ca n’est pas le même monde que celui que vous décrivez, mais ça existe bien, je vous le certifie, et ça n’est pas une construction intellectuelle que ma prétendue peur aurait faite.

              • Pour résumer, nous avons une très petite minorité de gens qui se comportent de manière irresponsable et propagent l’épidémie. L’état, au lieu de les sanctionner, durcit les règles autoritaires envers la majorité déjà raisonnable et responsable, évidemment sans effet notable sur l’épidémie. Et la grande majorité des commentateurs, face à ces mesures autoritaires, jette le bébé avec l’eau du bain en affirmant que l’épidémie est sans gravité, encourageant ainsi la multiplication des irresponsables.

              • MichelO, ça vous vient pas à l’idée d’utiliser d’autres moyens de transport qui ne mettraient pas, selon vous, en danger votre vie ?
                A moins que vous pensiez que coûte que coûte, les transports en commun vous y avez droit, na !?

                • La personne qui ne conduit pas et qui veut rejoindre son appartement de Saint Lô pour voir sa mère en Ehpad le samedi où elle bénéficiera d’un créneau d’une demi-heure pour cela, quelle alternative lui proposez-vous au TER/Car Rennes – Saint Lô ? Je vous écoute avec intérêt, et je vous ferai de plates excuses et de grands remerciements si vous avez une solution concrète.

                  • Comme quoi, il est important d’avoir son permis de conduire et de pouvoir se déplacer en voiture. C’est la liberté !

                  • Vous n’avez pas de permis, pas de véhicule, vous êtes handicapé, vous n’avez pas d’amis (je ne suis pas surpris) ou que sais-je, vous vous gardez bien de le dire d’ailleurs.
                    C’est votre choix de prendre les TEC et vous venez vous plaindre.
                    Pire, vous pensez que vous mettez ainsi votre vie en danger… mais ça change rien, les TEC j’y ai droit.
                    Vous faites pareil quand vous avez la priorité sur la route ?

                    • Vous ne savez pas distinguer transports en commun et transports publics. Quand on vous demande des alternatives, vous répondez par des attaques personnelles. Vous vous faites votre petit scénario pour confirmer vos préjugés et justifier votre arrogance prétentieuse. Pas étonnant qu’avec une opposition pareille, nos gouvernants restent aussi puissants et embêtants.
                      Et accessoirement, il ne s’agit pas de mon cas personnel mais de celui d’une personne que je connais bien ! J’ai le permis, un véhicule, pas plus de handicaps que la plupart des gens, et peu d’amis mais excellents et loyaux.

                • J’ajoute que oui, les transports en commun, j’y ai droit, qu’ils s’appellent Blablacar ou pas, et que d’ailleurs si la totalité des passagers y payait sa place au juste prix,il y aurait certainement beaucoup moins d’insouciants à les prendre et à s’y comporter en sagouins…

      • michel tu vis dans un pays où la responsabilité individuelle et le sain civisme ont été détruits..

        Ce que tu acceptes » si je ne me trompe pas c’est d’ imposer des mesures de nature hygiéniste dictatoriale à la population or c’est aussi la source de ta colère car ce qui se voit est surtout le dictatorial et l’abritraire… tu n’a pas l’hygiène quoi..

        ça présente selon moi une similarité avec la défense du nucleaire selon gay…

        comme on disait à saint-Jores , quand tu vas à gorges, deviens anthropophage..

        la population a cessé d’avoir majoritairement confiance dans la rationalité scientifique.

        le dilemme est pour toi…
        moi je vis halluciné..

    • Jordan Peterson vous dirait que la plupart de ceux qui clament haut et fort qu’ils auraient résisté dans l’Allemagne nazi ou en France occupé se serait soit caché , soit aurait activement collaboré.
      Avoir des petits kapos chefs qui, sous couvert d’intention apparement très louables, enverraient des centaines de milliers de personnes en camps d’internement n’a rien de surprenant.

  • Cela fait des mois et des mois qu’on se répète la même question, pourquoi font ils ça et biensur on évite d’y répondre, on tourne autour du pot, on s’invente des dirigeants incompétents, mais, ils ne le sont pas, la réponse est, ils le font exprès et nous n’y pouvons rien. Jusqu’où vont ils aller dans la destruction de la France de l’Europe et du monde…

    • Ils le font parce qu’ils en ont l’opportunité, que ça conforte leur cote de popularité, et que faire autre chose demanderait des compétences qu’ils n’ont pas.

      • Je ne crois pas. Si on fait l’historique, ils ont bien réagi au départ, les masques ne servent rien,on peut aller au théâtre, mais s’en doute ont ils eu des remontrances du général commandant qui détient les cordons de la bourse, changement d’équipe demande et accorde, depuis tout déraille.

        • alors bien…ça dépend de ce que tu « veux » . tu as une fenêtre courte de l’orde de la semaine pour installer une politique agressive de detection et isolement des malades en clair de maitrise de l’épidémie..

          allez au théatre est un pari, « bah ça va faire comme la grippe ou le sras ou autre. »….

          n’oublions pas en plus que ce n’est pas la premiere « alerte »..

          on se rend compte d’une chose. face aux épidémies virales que les ministres évoquaient de temps à autre après une alerte pour dire » la France est prête ! », il n’y avait eu que des rapports…et des études…pas de moyens materiel..

          • La première chose que l’on fait en cas d’épidémie, on soigne les malades et on les isole , il n’y a rien d’autre à faire.. Et surtout on n’ importe pas des cas de zones contaminées sans prendre des precautions.
            La’premiere, test de température, on n’en parle plus, on ne voit plus que le pcr… Chez mon dentiste, test de température obligatoire et lavage des mains, toujours pas de contaminés chez ses clients ni de lui même pourtant très a risque !

            • @Avorton
              « On les isole »pour être efficace doit signifier autre chose qu’une « déclaration sur l’honneur »évidemment sujette à caution !

    • Ils font ça parce que leur État providence national socialiste est en faillite. Plus elle approche, plus les hommes de l’Etat sont dangereux.

  • Excellent article dont je souhaite commenter quelques points:
    1) La simulation numérique, qui a justifié la plupart des mesures sanitaires, n’est qu’un outil parmi d’autres et ne doit pas être sacralisée.
    Il y eut un débat similaire dans l’industrie aéronautique lorsque que sont apparus les super calculateurs.
    La simulation numérique devait signer la fin des essais au sol, il n’en fût rien.
    La bonne démarche est d’utiliser les 2 techniques qui se complètent et s’enrichissent mutuellement.
    2) La seule alternative entre le vaccin et le confinement est complètement suicidaire.
    Rien n’indique pour l’instant que la vaccin arrêtera le virus, malgré les affirmations péremptoires de certains experts.
    3) Pour ce qui est de l’ambiance totalitaire vous avez malheureusement raison.
    C’est une tendance de fond dont nous avons déjà mesuré les effets avec le débat sur le climat.
    Souvenons nous de Philippe Verdier, viré de France 2 pour avoir osé émettre des réserves sur la politique climatique.
    Il n’a reçu aucun soutien de la part de ses collègues tout comme les Pr Raoult, Perronne et quelques autres dont les poursuites par le Conseil de l’Ordre ne semblent pas émouvoir leurs collègues.
    Il semble que plus on parle de liberté d’expression moins elle est présente.
    Aujourd’hui, la défense de la liberté d’expression est réduite au soutien à Charlie.

  • Dire que le COVID n’est pas plus dangereux que la grippe est « osé ».

    L’hypothèse la plus plausible, sans pour autant que cela permette, selon moi, de passer en mode « psychose » et « catastrophe » est une mortalité trois fois supérieure. (Grippe 0,3%/COVID 1%)
    (Certains articles « suggèrent » même que cela pourrait être plus…)

    Pour autant, est-ce justifier de mettre le pays à l’arrêt ?

    Autoritarisme, baisse des libertés individuelles : Notre gouvernement avait déjà, avant la crise COVID, une très nette propension à agir contre « son peuple » avec un succès indéniable. Prise de décisions ne visant qu’à contenter un « peuple d’élites, de sachant » dont le rôle est de contrôler la plus grande part des faits et gestes d’ « illettrés », allant jusqu’à limiter la liberté d’expression !
    L’écologie a été le premier alibi pour accroître la pression sur les libertés mais le COVID est la « touche finale » : l’alibi ultime.
    Ces deux alibis sont propres à expliquer les pires décisions…

    Sérieux budgétaire et incompétence totale en gestion :
    Avant même la crise COVID l’état français, et indéniablement sa part « socialiste » avait accumulé environ 2.200 milliards d’euros de dette fin 2019.
    « Logiquement  » (rires jaunes) le budget 2020 était (avant COVID donc) prévu en déficit de 95 milliards (!). Les économies annoncées dans le programme LREM (très faibles) n’ont bien sûr pas été faites. Aucune !
    Dans ce contexte on a augmenté le soutien financier aux lobbies vivant sur l’idée de la sauvegarde de Gaïa (/ J-M Vancovici-Sénat : https://www.youtube.com/watch?v=R4UG3Akorro) en pure perte.
    On continue d’aider, au prix d’une augmentation de notre dette, les pays africains (si l’on était riches et sans dette pourquoi pas ?mais là…)
    On continue de dépenser 42 milliards par an (!) en subventions aux associations etc…
    A contrario les budgets « régaliens » sont écrasés.
    La crise du COVID est intervenue à point pour :
    – justifier un laxisme budgétaire (assumé)
    – augmenter l’assistanat donc la dépendance d’un frange encore plus large de citoyens.

    C’est ainsi que l’on a magnifiquement provoqué la perte de 15 milliards supplémentaires en interdisant l’ouverture des stations de ski…en toute décontraction.

    On peut interpréter ces faits par l’incapacité de nos « clowns à roulette » dans la quasi totalité des domaines, mais aussi (un soupçon de complotisme ?) la volonté de maîtriser un peuple qui ne veut pas l’être ?
    Autres causes ??
    Enfin ne pas exclure que nos dirigeants sont « juste » totalement perdus…sans cap, comme des lapins pris dans la lumière des phares d’une voiture, hagards…

    L’avenir s’annonce radieux

    • La différence entre la grippe et le COVID, c’est que la grippe a un vaccin et que la population est plus ou moins immunisée. La dernière épidémie de grippe a fait 21000 morts en dec2016-janv2017. La première vague du COVID a fait 25000 morts.
      Y a-t-il plus de morts du COVID parce que le virus est plus virulent ou parce que la population n’est pas vaccinée et naïve par rapport au virus? Sans doute un peu des deux. En tout cas on est, actuellement de le même ordre de grandeur et loin des centaines de milliers de morts promis par les oiseaux de mauvais augures.

    • Bon déjà, la mortalité c’est sur l’ensemble de la population et pour simplifier 66000/66000000 ça fait 0.1%.

      Quant à la létalité il faudrait déjà connaître le nombre de personnes atteintes, et vu qu’on ne connaît pas le nombre des asymptomatiques, c’est impossible.

  • La fin approche. Et ça va se terminer comme cela s’est terminé à chaque fois dans l’histoire et près de nous, au moment de la révolution de 1789. Quand les biens « essentiels » vont commencer à manquer, qu’une majorité n’aura plus les moyens de se nourrir, de se vêtir, se loger et comme déjà aujourd’hui travailler, il se produira ce qui s’est toujours produit: la guerre ( civile ou mondiale), l’horreur absolue. C’est peut-être le but de tout ça, le grand reset, l’éradication de 80% des humains sur terre par ceux qui espèrent en réchapper, être à l’abri, et tirer leur épingle du jeu! AMHA, ils se fourrent royalement le doigt dans l’oeil! CPEF

    • « comme déjà aujourd’hui travailler »…
      La majorité considère que l’argent de la manne étatique est un bien essentiel, mais certainement pas le travail qui devrait normalement être la condition impérative de son obtention.

      • alors là on a un mystère est un paradoxe rien de plus honni que le travail..mais rien de plus désiré que d’en avoir un..

        c’est la manif groupée; « on veut du boulot « avec la manif  » on veut la retraite »

        • Aucun mystère. Comme disait Coluche : « On dit que les gens veulent du travail. C’est pas vrai, de l’argent leur suffirait »

      • Coluche l’avait très bien dit avant de ne pas nous quitter du Covid: On dit que les gens veulent du travail, mais de l’argent leur suffirait! CQFD/CPEF

    • Peut-être et pire Macron peut faire un second mandat..!!!

  • Le problème n’est pas qu’il y ait des psychopathes, il est qu’ils soient élus et obtiennent une cote de popularité de 40% à ce jour.

    • Ca n’est peut-être pas très sincère (plutôt que crédible), mais l’important est que manifestement ça n’a pas fait -20 ou -30pts comme ça aurait logiquement dû.

  • vous parlez de cap? je vois un beau cacap.

    • Comme dans le sketch du croiseur américain qui fonce tout droit sur le phare espagnol et menace à la radio le gardien qui le prévient de son erreur!

  •  » Exit la médecine de proximité… »

    Dans la cacophonie ambiante, savamment orchestrée par les « médias » (ma note de guillemets var encore augmenter) il devient impossible de se faire une opinion circonstanciée. Cependant il me semble que les médecins sont encore censés prêter le serment d’Hippocrate et non celui « d’encadrer la population ».

    « Changer de cap » ? Peut-être … Mais peut-être à un moment faudrait-il simplement ne plus écouter le « Capitaine ».

  • D’accord avec vous. Il faut changer de cap. Je suggère qu’on fasse comme en Chine, confinement total sans sortie et tout opposant hop, au goulag…Les Français vont suivre sans rechigner….

    • Je propose en effet qu’on fasse comme en Chine : confinement total pendant 15 jours, avec l’armée qui veille à la nourriture et autres besoins essentiels des confinés et à leur obéissance à la règle.
      Les citoyens en infraction au goulag, ça ne me dérange pas, ils savent ce qu’ils risquent. Ce qui me dérange dans cette « solution », c’est que le risque que malgré l’arrêt de l’épidémie, au bout des 15 jours, on ne revienne pas à la normale, est ultra-significatif et ultra-dangereux. Ce qui me dérange aussi, c’est que l’armée française, malgré le respect que j’ai pour elle, ne soit probablement pas en mesure de remplir cette mission de toute façon…

      • Si la Chine c’est si bien, allez-y !
        (à pied…)
        Vous êtes consternant

        • Je vous ai écrit que la poursuite « à la chinoise » une fois le confinement terminé serait un danger majeur. Vous ne savez pas lire, juste contrepéter ? ?

          • Pourquoi proposez-vous alors?
            C’est comme si vous disiez « je propose le revenu universel, à 5000€ mais le risque c’est que plus personne ne branle rien »

            • Je propose parce que j’espère naïvement que d’autres vont m’aider à pallier les défauts de mes propositions, surtout ceux que je mentionne, plutôt que d’en prendre prétexte pour m’accuser des pires turpitudes. Et ça n’a rien à voir avec votre RU à 5000€, le RU n’étant pas une solution à un quelconque problème tandis que l’isolement pendant une quinzaine stoppe bien la propagation de l’épidémie.

              • Hi hi le RU n’est pas une solution à un quelconque problème !
                Pour certains si.
                Et c’est EXACTEMENT comme pour le confinement : pour certains dont vous, si.
                Pour d’autres non.
                D’ailleurs contrairement à ce que vous dites, un confinement de 6 semaines n’a rien résolu, alors une quinzaine hum…

                • Ce que MichelO vous répète inlassablement depuis des lustres mais que vous ne voulez pas entendre au pretexte d’une liberté « bidonnée »…c’est que s’il y a confinement c’est que l’on ne respecte pas les GESTES BARRIERES…c’est pourtant pas compliqué…

                  • Si le confinement marche, pourquoi un 2ème et bientôt un 3ème ?

                    Si le confinement ne marche pas, pourquoi un 2ème et bientôt un 3ème ?

                    Le confinement ça ne fonctionne nulle part, ni chez les gaulois soi-disant récalcitrants ni chez les allemands bien obéissant.

                    Tester, traiter et isoler les positifs seulement

                  • C’est un peu trop facile de rendre responsable la population française de l’évolution du virus, alors que celle-ci a été tres obéissante.
                    La vérité est que l’évolution du virus est inéluctable, les pays qui ont bien gérés la première vague rattrapent les mauvais (dont la France).
                    Moralité; ne rien faire, sauf isoler les malades, comme dans toute épidémie.
                    Au moyen-âge on faisait des processions avec un curé. Nous on a le masque. Ca rassure le bon peuple.

                    • Il ne s’agit pas de rendre responsable la population française, mais de distinguer les quelques individus qui se refusent à se montrer responsables, et leurs dirigeants qui plutôt que sanctionner ces quelques individus préfèrent durcir les conditions pour le reste de la population.

                    • Faire comme au Japon et Corée du Sud: tester et isoler uniquement les individus positifs, protéger les individus fragiles, masques et gels… et ne pas toucher au fonctionnement économique!
                      Quand on voit les chiffres de mortalité de ces pays… D’ailleurs aucun journaliste n’ose en parler. Cela risquerait peut-être de froisser nos gouvernants?

            • @sam player

              Pour ce qui vous concerne que proposez vous alors d’efficace qui n’ait pas encore été tenté ?
              En tant que béotiens nous avons tant besoin de savoir !

      • L’armée est incapable de prendre en charge une telle logistique.
        La livraisons des masques par l’armée n’a pas fonctionné.
        L’armée « est à la corde »…

        • Il me semble bien que constitutionnellement l’armée ne peut pas intervenir sur des missions de cet ordre là à l’intérieur des frontières, tout au plus des sentinelles pendant le niveau vigipirate (mais je confonds p-e avec les USA)

        • Hélas oui, j’ai eu entendu qu’en France, pour le président y avait que 2 boutons qui marchaient, l’armée et les impôts, il reste plus que les impôts…

        • En effet l’armée est à la corde tant au niveau des hommes que du matériel malgré nos 57% de record de prélèvements,c’est fini le temps du service national ou l’on faisait venir les appelés pour les grèves des éboueurs!

  • Si on disait la vérité aux Français sur ce qui va se passer après cette crise, ils seraient certainement moins favorables aux décisions prises.
    En effet, le chômage va inévitablement exploser, les retraites vont baisser, les prestations sociales seront revues à la baisse, les épargnants seront plumés, les impôts vont augmenter et comme tout cela ne suffira pas, on vendra nos bijoux de famille, comme certains monuments historiques, les gares, les aéroports, les forêts domaniales…
    Il ne faut pas être dupe, si une bonne partie de notre dette est détenue par des étrangers, c’est parce qu’ils savent très bien que, le moment venu, ils pourront « se payer sur la bête ».
    Pour compléter ce tableau, les décisions seront dictées par l’union européenne, voire le FMI.
    Pourquoi nos élus ne parlent-ils jamais de cela ?
    Peut-être parce qu’ils sont tous plus ou moins responsables de cette situation.

    • La pandémie, comme il est souvent dit, ne fait que mettre les états devant la réalité de leurs pays…Tout ce que vous dites est vrai…

  • J’arrive un peu tard mais il y a beaucoup à dire sur cet article…Les médecins ont soigné cette virose comme une grippe initialement , puis l’HCQ a fait beaucoup de mal et le tenant de cette thérapeutique revenu sur son efficaité depuis y est pour beaucoup….les algorythmes n’ont pas fait la loi…n’importe quoi..!! Que des épidémiologistes se soient avancés à tort c’est évident..Mais pas les infectiologues…Et une pandémie ça ne se soigne pas seul dans son cabinet …La grippe aviaire pour prendre un exemple comparable ne se gère pas par le véto du coin comme le vélage de la Blanchette …Abattre 600 000 canards faut des autorisations car il n’y a pas de vaccin..Donc en passer par l’état…La pandémie c’est pareil….On ne marche pas sur la tête on fait face à ce que les asiatiques connaissent depuis très longtemps car leur culture les amène à manger des bestioles infestées par des chauve souris…Il y a des critiques à formuler , des mensonges qu’il faudra sanctionner( les masques entre autre)…Mais tous les pays d’Europe ont soufferts…(nos pipistrelles sont quand même plus sympas..!)

    • La pandémie est par définition mondiale. Et on ne sait pas gérer l’épidémie au niveau local. Il n’y a pas de « pipiste ». Seulement des hypothèses qui ne devraient pas sortir du cercle des chercheurs.

      Nous ne sommes pas des cobayes ! Soigner les gens oui. Faire des tests à l’échelle du pays non !

      Le niveau de contradiction perpétuel et étendu à tous les domaines qui prévaut actuellement montre simplement que le but recherché n’est atteignable car nous n’avons aucune visibilité. Les politicards ont semble-t’il finit par croire leurs propres mensonges.

  • Et même mieux bien au début des médecins n’ont pas soigné cela comme une virose mais comme une pneumonie cad avec des antibiotiques ! sans savoir ce qu’il en était réellement ! Eh bien ces
    malades là s’en sont bien tirés et n’ont pas finis en réa !

    • Mais mon cher je suis d’accord avec vous ..L’azithromycine ça marche..L’augmentin est utilisé largement à l’hopital dans les cas sérieux , cela ne détruit pas la virus mais limite les complications..vous prêchez un convaincu..!!!

  • ah parce que les poulets sans tête qui nous gouvernent ont un cap ???
    faudra déjà les virer.
    après on pourra réfléchir à une direction.

  • « Comme je descendais des Fleuves impassibles,
    Je ne me sentis plus guidé par les haleurs :
    Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
    Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs.

    … »

    Bateau ivre (A. Rimbaud)

  • Depuis la premier minute Raoult a donné la solution. Des politiciens et toubib corrompus ont mis en place une manipulation et une gestion politique de cette épidémie. Il est impossible d’en sortir sans dire ce que sont les Buzyn, Salomon et autre Lacombe ou Veran … Soutenu, Cautionné, et encouragé par Macron.

    Prévenir ! Dépister ! isoler ! soigner !
    Vacciner si on a des vaccins fiables et efficaces.

  • C’est fou ça tout ces gens qui parlent de perversion narcissique et qui n’y connaissent rien ..

    https://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2008-3-page-193.htm

    Voilà un peu de lecture …Allez jusqu’au bout…

  • La démarche proposée, le « lâcher prise » de la société face à l’épidémie au non du retour à la vie est un oxymore. Comment imaginer le retour de l’insouciance, catalyseur de la joie de vivre, simultanément à l’explosion probable du nombre de morts, due au COVID et à l’embolisation du système hospitalier? Comment aussi imaginer le maintien de la motivation de consommer dans un climat mortifère? Le plus sûr moyen de ruiner l’économie serait justement la non utilisation des connaissances scientifiques de l’humanité. Le déni de l’impact du virus et l’ode irresponsable à la liberté comme remède conduiraient à un holocauste aveugle.
    La démarche proposée est inspirée par Tanatos, cachée derrière le masque d’Eros.

    • @IOAN
      Subodorez-vous que cette simple » grippette, » pour certains,pourrait en cacher une autre ?
      Il semble bien que ce soit le cas en dépit de propos parfois lénifiants ,certes rassurants, mais hélas contraire à la réalité !

    • Quand vous avez 20 ans vous êtes insouciant. La France est devenu un pays de petits vieux qui ont peur de tout. De nombreux pays ne confinent pas la population et ils ont un nombre de morts similaire au notre. Je ne suis pas dans le déni, c’est vous qui êtes dans la psychose.

      • Je ne suis pas dans la psychose, mais dans le marketing et l’économie. Comment imaginer le redémarrage de l’économie avec 2000 morts par jour et les chaines en continu montrant les mourants dans les couloirs d’hôpitaux. Pour cela, on peut leur faire confiance!!!

        • @IOAN
          « Comment imaginer le redémarrage de l’économie avec 2000 morts par jour et les chaines en continu montrant les mourants dans les couloirs d’hôpitaux ».
          +1000 !
          Vous avez parfaitement résumé la situation en peu de mots !
          La véritable psychose à redouter est bien la perspective d’un effondrement de nos économies qu’il faut prévenir par des mesures urgentes et appropriées.
          La bonne nouvelle est que de telles mesures existent sous réserve d’avoir le courage de les appliquer.
          Le temps presse et ne fait rien à l’affaire car tous le monde est concerné : de 0 à 77 ans (et plus si affinités!)

      • @gillib
        Petit rappel d’une évidence : Ce que vous estimez « insouciance » ou « peur de tout »,en fonction de l’âge, ne sont que des traits de caractère attribués par la doxa visant à une différenciation entre les classes.
        En revanche il est indéniable que le système immunitaire est affecté par l’âge,mais là aussi à des degrés divers et en fonction des individus.

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