Été en Belgique : ni glace, ni cigarette, ni liberté

Envie d’une cigarette en attendant votre train ? Elle pourrait vous coûter 250 euros. Envie d’une glace ou d’une gorgée d’eau sous cette chaleur ? Mieux vaut se déssécher sur place.

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Été en Belgique : ni glace, ni cigarette, ni liberté

Publié le 18 août 2020
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Par Justine Colinet.

C’est l’été et vous rêviez d’une petite glace accompagnée, qui sait, d’une petite cigarette en vous promenant au soleil ? Eh bien pas en Belgique ! En tout cas, pas dans les zones où le port du masque est obligatoire en extérieur.

Comme à son habitude, la Belgique n’a pas fait simple, et c’est le moins que l’on puisse dire à propos de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics.

Il y est obligatoire sur tout le territoire : dans les marchés, les brocantes, les rues commerçantes, les lieux fréquentés, les bâtiments publics, et les établissements de restauration. Mais aussi partout où les autorités locales ont décidé d’agir, ce qui dépend donc de la ville ou de la commune où l’on se trouve.

A Bruxelles, où le port masque est obligatoire dans l’ensemble des 19 communes depuis le 12 juillet, l’obligation est globalement respectée par la plupart des citoyens.

Restaient quelques interrogations à propos de cette mesure, la plus récurrente au sein de certains groupes étant : peut-on s’arrêter pour fumer une cigarette, en attendant un transport en commun ou en se promenant par exemple ?

La réponse est non. Comme on peut le lire dans cet article de la RTBF :

« De nombreuses personnes enlèvent le masque pour fumer une cigarette, manger une glace ou boire un verre. Ce qui n’est pas permis. »

En effet, la seule chose permise est de s’installer en terrasse ou dans un établissement HORECA. Ce n’est qu’une fois assis que le masque peut être enlevé « en toute sécurité » et que la dégustation peut commencer, sous peine d’amendes pour le consommateur, allant de 250 à 350 euros.

Le contrôle, dans un café ou un restaurant, d’un client circulant sans porter son masque dans l’établissement coûterait 750 euros aux exploitants.

Outre le fait de pousser les citoyens à la consommation puisqu’ils n’ont plus d’autre choix que de payer pour boire ou fumer, ce qui pourrait dans le fond être bénéfique pour un secteur ayant énormément souffert de la crise, les contrôles de police semblent se multiplier afin de veiller au respect du port du masque et/ou de renflouer les caisses de l’État.

Alors, envie d’une cigarette en attendant votre train ? Elle pourrait vous coûter 250 euros. Envie d’une glace ou d’une gorgée d’eau sous cette chaleur ? Mieux vaut se dessécher sur place. Car oui, pour boire, il faut enlever son masque. Se désaltérer en rue en temps de canicule risque de mettre le citoyen en infraction.

Parallèlement, comme le rappelle Jonathan Frickert dans son article paru hier dans nos colonnes, la Galice a interdit de fumer dans la rue et en terrasse en cas d’impossibilité de respecter la distance de sécurité de deux mètres entre chaque personne.

Comme le soulignait l’auteur, on ne peut que s’interroger sur l’ampleur que prennent ces mesures faussement ponctuelles ainsi que sur le besoin de contrainte qui semble gagner du terrain de jour en jour.

Ces dispositions prises en Espagne, en Belgique ou ailleurs risquent bien de s’étendre au territoire français. Le port du masque et la crise engendrée par le coronavirus de manière plus générale seront-ils un prétexte à toutes les interdictions, plus saugrenues les unes que les autres ? Une chose est sûre, nous devons plus que jamais nous interroger sur le respect et le maintien de nos libertés individuelles.

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  • La Belgique a été autant la patrie du bon sens, « les pieds dans la glèbe », que celle du surréalisme,  » la tête dans les étoiles » – pas étonnant qu’on ait maintenant « un peu de tout »*, au gré du vent ou des vagues

    * pour les non-Belges, « un peu de tout » est une publicité récurrente vantant la variété des fromages belges

  • Une chose est sûre, ce coronavirus rend fou et c’est à cela même qu’on le reconnaît sans test. Mais sa cible de prédilection c’est les dirigeants politiques qui finissent par transmettre cette folie aux peuples.
    N’y aurait-il pas de gestes barrières efficaces contre ces « clusters » ?

    • Les dirigeants politiques suivent aussi l’opinion publique formatée par les médias. Les Serbes se sont opposés massivement à la reprise des mesures liberticides, et leur gouvernement a cédé.
      Les Suédois, moins intoxiqués grâce à une télévision indépendante de la doxa mondialiste, n’ont oas eu droit au confinement…

      • Hum attention aux publications, l’interaction entre vaccins.. Ça semble particulièrement idiot, on affronte en permanence des milliers d’infections virales ou pas,.. Un de plus ou un de moins…

        • Je ne parle pas d’interaction entre vaccins, mais d’interférence des virus comme la covid 19 et le vaccin de la grippe. Nous verrons bien dans quelques mois.

      • Les interférences virales sont, en général positives, dans le sens où la présence d’un autre virus, même mort peut protéger d’un nouveau comme le Covid 19. Il y de fortes présomptions pour que le BCG protège efficacement du Covid 19, par exemple.

      • C’était @ROROS

        • Une diatribe anti-profits ( « dénoncer et condamner la démarche purement mercantile et le cynisme abject qui ont guidé leur production » ), des affirmations à l’emporte-pièce ( « le vaccin est plus dangereux que la maladie » – 80 vaccins en cours de développement, soumis aux tests habituels ), des absurdités ( « quelle est la nécessité de vacciner s’il n’y a plus d’épidémie ? » – revenir à une libre circulation, peut-être ? ). Bref, je ne suis vraiment pas convaincu.

          • Il y a à boire et à manger dans son article, mais une chose est sure un vaccin fait en quelques mois aura probablement des effets non souhaités.

            • Il y a un abus sémantique destiné à tromper: ce n’est pas un « vaccin », du moins dans les recherches menées en Occident. Pas de vaccine, mais une modification génétique à la clé, associée à un système de surveillance.

              • Pour rappel, le bilan européen validé par les autorités médicales fait état d’un taux de mortalité de 0,046 % pour la France, 0,010 % en Allemagne, 0,065 % au Royaume-Uni, et le record revient à la Grèce, avec 0,001 %.
                Cette affaire est un mensoge à partir d’une épidémie réelle. Ce mensonge est planétaire et apour but d’établir un contrôle mondial des populations (contrôle social, mais aussi démographique) à l’aide d’un prétendu vaccin.
                (Projet ID2020)

  • bah , le haut conseil français de la santé publique préconise de porter le masque chez soi , lors de réunion de famille ; bientôt , il sera interdit de pleurer , des fois que les larmes diffuse le coronvirus ….

  • Plus les gouvernements ont été mauvais pendant l’épidémie, plus ils imposent de mesures imbéciles et totalitaires après. Avec le consentement de populations manipulées et terrorisées.
    Le naufrage houellebecquien de civilisations arrivées au bout de ce qu’elles pouvaient donner…

  • Ce matin, un préfet de notre répoublique bananière disait que les pro masque doivent faire une pression psychologique pour que les contres se sentent obliger de le porter à leur tour.
    Je propose plutôt que les pro masque en mettent deux, le leur et le mien à l’envers, comme ça ils seront bien protégés.

  • Belgique, France même combat, je ne sais pas ce qu’ils pourront encore inventer lorsque le virus sera de retour en phase épidémique. Sans doute qu’ils attendent les ordres du grand patron ou la phase 3 de test du vaccin miracle. Avec leurs milliards de doses en pré-commande, la liberté individuelle va sans doute en prendre un coup.

  • Nous assistons peut-être à l’épilogue d’une longue histoire dnt l’un des épisodes majeurs fut la création en 1884, de la Fabian Society, sur des idées développées par des théoriciens du socialisme. Les fabiens, farouches adversaires de la propriété privée, étaient aussi pétris par l’idéal suprémaciste anglo-saxon et farouches partisans de la mise en place d’une gouvernance technocratique mondialisée. Ils étaient surtout des élitistes intolérants, et voulaient voir, à l’époque, l’Angleterre dirigée par une caste supérieure.

    Le choix du nom donné à cette société est révélateur des méthodes subtiles employées par les promoteurs du mondialisme – et plus tard par les fédéralistes européens: prudence, discrétion et patience pour ne jamais susciter d’oppositions décisives chez les populations amenées à se soumettre progressivement à un nouvel ordre social et institutionnel. Ce nom vient de celui du général romain Fabius Cunctator (le « temporisateur ») dont la stratégie consistait en de petites guérillas successives et victorieuses sur les Carthaginois, plutôt que le risque de la défaite lors d’une grande bataille décisive. Le premier logo de la Fabian Society était… un loup déguisé en agneau…

  • Pauvres Belges, leurs socialistes sont aussi debiles qu’en France. Et le racket pour crimes imaginaires y est encore plus soutenu.

    • A Théo31
      Auriez-vous pensé que les socialistes belges soient moins idiots que les nôtres ?
      La débilité et le crétinisme sont les caractéristiques du socialisme. Elles ne se cantonnent ni en Belgique, ni en France, mais s’étendent sur la planète entière…

    • Comme en France, sont comptabilisées comme nouvelles hospitalisations, toutes celles pour lesquelles le patient est testé positif, quelle que soit la cause de l’hospitalisation.
      Les surrémunératios en cas de Covid seraient-elles en cause?
      https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041991042&categorieLien=id
      Et les médecins libéraux ont droit aussi à une tarification spéciale…
      C’est pareil, et même pire aux USA. Tout est mis en place pour qu’un maximum de cas soit déclaré.

      • Et jamais on a d’information sur le sort des détectés positifs, pas de symptôme donc même pas le légendaire doliprane ou d’anti viral comme la xxxxxxine.

      • C’est amusant leurs délires, la contagion s’étend bien avec de moins en moins de cas sérieux, du coup on ne communique plus que sur les tests positifs et l’ombre d’une deuxième vague. Pourtant si on veut une immunité de groupe, il faut que la masse soit infectée et n’en meure pas par charrette, quoi de mieux que maintenant ?

  • Je plains les Belges. Heureusement que chez nous le respect de la liberté empêche les autorités d’imposer des règles stupides.

  • Si l’auteure prenait la peine de se renseigner sur son sujet, elle aurait pu lire sur le site du SPF économie (un de nos nombreux ministères) : « La consommation de boissons et de nourriture est autorisée sur les marchés et les fêtes foraines. Cette consommation doit se faire selon les règles d’application pour le secteur horeca. Le take-away reste bien sûr possible. Cela signifie, par exemple, que déguster une glace ou un hamburger en se promenant dans le marché ou la fête foraine est autorisé. »
    Bim.
    (Oui, la police ne sait pas toujours ce qui est d’application ou non. Et ferme les yeux pour certains trucs, mais pas pour d’autres)
    S »encrasser les poumons sur les quais de gare : c’est déjà interdit dans plusieurs villes depuis plusieurs années.

    • « la police ne sait pas toujours ce qui est d’application ou non. »

      Ce qui transforme l’espace publique en zone de « non-droit ».

      Mais c’est un peu ce qui est voulu par la bien-pensance qui veut substituer sa propre vision du bien à la législation.

    • Pas normal de laisser tout cela à l’appréciation de la police.

    • Vous oubliez juste de dire que l’une des règles applicables au secteur HORECA est que « le port du masque ou, si cela est impossible pour des raisons médicales, d’un écran facial est obligatoire pour les clients quand ils ne sont pas assis à leur table ».
      Il faut être assis à sa table pour pouvoir enlever son masque ; sinon, muselière obligatoire dans les restaurants et cafés.
      Le principe des sur marchés et des fêtes foraines étant en général d’acheter pour emporter, vu qu’il n’y a pas de tables mises à dispositions, on voit mal comment il serait possible de déguster une glace en flânant sur le marché, la muselière sur le nez.
      L’auteur de l’article a donc raison.

  • En réponse à le Covid prétexte pour voter des lois liberticides. Histoires belges.Chers amis Français. Que vous soyez amateur ou pas, vous savez que votre équipe de foot a battu la Belgique. Nous étions vexés. Cette fois, nous allons vous battre. Nous vous avons déjà battus.
    Déjà, au nombre de ministres, vous ne faites pas le poids (nous allons jusqu’à 7 ministres de la santé pour 11 millions d’habitants.
    A propos de Covid-19, quelques histoires belges (pas assez de place pour toutes les transcrire).
    1- Un ministre commande des masques, un autre commande des filtres pour ces masques. Quand ils arrivent, on se demande s’ils sont conformes. OK. Mais, quand on essaye de les mettre ensemble (les filtres et les masques) ils ne sont pas compatibles.
    2- Des bourgmestres (des maires) ont un pouvoir de police, ce qui permet à 3 d’entre eux, en plein confinement, de ne pas autoriser une manif, MAIS (subtilité de la langue française) de la TOLERER … au nom de la liberté d’expression. Vous, pas plus de 5 personnes dans votre « bulle », sinon amende.
    3- Plusieurs fois, un ministre communique. Plusieurs fois, on n’a pas bien compris ce qu’il voulait dire, sans qu’il se demande si le discours était clair : personne ne comprenait rien.
    4- Deux personnes habitent dans la même rue : un à gauche, l’autre à droite. L’un doit mettre le masque (décret communal), l’autre pas. Et s’ils traversent pour parler ?
    5- Une dame qui habite à Baerle Hertog, a une boutique coupée en deux par la frontière belgo-néerlandaise. D’un côté de la boutique, masque, de l’autre pas. Baerle Hertog est une enclave belge aux Pays-Bas. Toute cette histoire de partage date du … Moyen-Age.
    6- A Bruxelles, masque obligatoire sauf si malade, sportif, etc. Un gars passe à vélo devant une patrouille, sans masque. La police : – Vous faites du sport ? – Non, je vais chez ma fille. – Pas de masque : 250€. Un peu plus loin, nouvelle patrouille (elles poussent comme des champignons) – Pas de masque, vous faites du sport ? L’autre qui a déjà payé – Oui. – Circulez y’a rien à voir.
    Je ne continue pas : il y en a trop. WE ARE THE CHAMPIONS.

  • Le socialisme est plus dangereux que le covid. Les socialo, sur le plan politique, sont en perte de vitesse. Ils s’appuient donc sur le virus (quelle bonne aubaine), avec l’aide des médias (à leur bottes) et de sanctions financières, pour reprendre les rennes du pouvoir… CQFD !
    Si l’idiotie de nos clowns à roulettes nous impose le masque en tous lieux et toutes circonstances, il y a toujours la liberté d’opposer la force de l’inertie (excellente arme pour nous défendre) en boycottant la consommation qui est (pour eux) la condition de la relance économique…
    Parlons du prétendu vaccin (pré-commandé) qui devrait être « opérationnel » à la rentrée ? De qui se moque-t-on ? L’élaboration d’un vaccin dure en moyenne deux ans (voire plus), certains temps d’expérimentation étant incompressible. Si mutation du virus il y a, le temps expérimental est indéfini. A moins que, l’idéologie socialo se substituant à la Science décrète que ces étapes sont superflus. C’est une éventualité à ne pas négligé, car la nouvelle tendance (implicite) est : la Science n’a qu’à se soumettre à la doxa socialiste. Nous en sommes là, et cela ne se réduit pas qu’au domaine sanitaire !
    Un autre volet du problème est que la rentrée risque d’être houleuse, du moins en France. Nos guignols, ayant le trouillomètre à zéro, veulent contrecarré ces manifestions en agitant la « terreur » du virus et de sa contamination.

  •  » l’obligation est globalement respectée par la plupart des citoyens » : ce qui ne veut rien dire, la mesure en question étant en fait du grand n’importe quoi. Quid de la conformité de ces masques ? Quid de la façon de les porter , de les manipuler, de les nettoyer, de les éliminer? On fait tout un tralala (principe de précaution oblige) avec les déchets hospitaliers et voilà tout d’un coup que des centaines de masques usagés et grouillant de petits virus bien sympathiques jonchent les trottoirs et les sentiers de forêt. Tout cela est ridicule et un masque chirurgical ou ffp-jenesaisquoi n’a pas d’autre vocation que d’être porté à l’hôpital, à moins peut-être qu’il ne s’agisse d’accréditer la thèse passablement stupide et anxiogène que nous serions en guerre, auquel cas autant imposer le port du masque à gaz.

  • « ou boire un verre. Ce qui n’est pas permis. »

    LOL, celle là c’est une première en dehors de tout conflit/goulag/torture.

  • Pour relativiser le port du masque, s’il ne sert évidemment à rien puisqu’il n’y a pratiquement plus d’épidémie mortelle (alors qu’il aurait été plus utile entre février et avril, surtout dans les transports en commun qui n’ont pas été fermés malgré l’urgence), ce n’est pas non plus dramatique. Il faut voir ça comme une esquisse de politesse à l’égard des vieux boomers 68tards qui, après une vie de débauche et de luxure parfaitement assumée, refusant tout interdit pour eux-mêmes, se transforment désormais en vieilles rombières moralisantes, percluses d’interdictions à tout-va (mais toujours avec une morale sans dieu ni diable, leur petite personne égoïste faisant fonction). La libido épuisée, ils entreprennent de faire ch… leur prochain pour compenser. Pas étonnant qu’ils aient élu le gendre idéal en France.

    Pour fumer à l’aise, amis belges, n’omettez pas de pratiquer trois petits trous discrets dans vos masques.

    • Toutes les decisions politiques depuis en gros 74 peuvent etre reliées a la satisfaction de cette clientèle électorale des boomers, cette classe d’âge surreprésentée démographiquement permet de remporter des scrutins si on sait la capter

      • Désolé mais ce sujet me parait totalement subalterne. Il y a du bon et du moins bon a contrepoints, mais je ne comprends pas comment les commentaires insipides de Justinne Colinet sur des réglementations surréalistes puissent faire l’objet d’un débat idées. Nous sommes vraiement au fond du trou.

        • « ce sujet me parait totalement subalterne »

          Subalterne ? « Secondaire » peut-être ; mais cela est subjectif : on est en droit de penser que l’action politique actuelle n’est pas cohérente.

          En revanche « subalterne » suggère que seules les « élites » sont autorisées à entrer dans le débat et que les exécutants doivent « fermer leur gueules ». (Tiens ça me rappelle quelqu’un …)

      • Attention aux gènéralisations hâtives. On trouve aussi dans cette catégorie d’âge des défenseurs de la liberté et du droit.
        N’oubliez pas non plus que nos élites sont ravies, absolument ravies, d’ériger les catégories de populations les unes contre les autres…

    • Suivant le même raisonnement, la vaccination contre la polio ne sert à rien puisqu’il n’y a pratiquement plus de cas de polio. Ca n’est pas parce que le gouvernement belge prend des mesures débiles qu’il faut lui opposer des raisonnements aussi inconsistants !

    • Mai 68 prise du pouvoir 74 inflation qui rembourse le logement
      80 éradication de cette même inflation pour ne pas écorner l’épargne
      1981 election dans le candidat qui promet la retraite à 60 ans parce que des vacances à 65 ans ça semble un peu long mise en place des préretraite à la fin des années 90 parce que décidément attendant 65 ans et encore impossible boom immobilier qui permet de se financer des retraites en or en Thaïlande ou au Maroc au frais de la princesse bien sûr et cetera et cetera on peut relier tous les points entre eux à chaque fois ce sont les baby-boomer qui gagnent

      • C’est juste la nouvelle génération qui gagne. La génération Z promet d’écraser sans appel les baby-boomers sans attendre les tirs au but.

  • Moi, j’aime la Belgique, les Belges, surtout les Flamands, leur sens de l’humour, de la fête et leur décontraction.

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