Énergies renouvelables : 8000 euros par famille se sont déjà envolés…

8000 Euros par famille se sont déjà envolés… et avec eux la balance commerciale de la France et le taux d’émission de dioxyde de carbone par Français qui impactera les générations futures !

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Énergies renouvelables : 8000 euros par famille se sont déjà envolés…

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 10 août 2020
- A +

Par Sébastien Richet.

La somme de 120 milliards d’euros, soit 2000 euros par Français ou encore 8000 par famille est partie en fumée dans des installations éoliennes et solaires industrielles indument subventionnées, lesquelles, de plus, ne provisionnent même pas les déchets qu’elles génèrent, laissant cela à la gestion des communes et surtout aux générations futures.

Comme déjà écrit par ailleurs, la production intermittente quand elle n’est pas nécessaire, ou absente quand on en a besoin coûte cher en subventions distribuées par milliards en faveur des énergies dites renouvelables… ce qu’elles ne sont pas puisqu’il faut remplacer tout l’équipement tous les vingt ans et que la gestion de leurs déchets n’est pas assurée.

La bagatelle est actuellement estimée à 120 milliards d’euros pour des machines essentiellement produites hors de France, en Chine principalement mais aussi Allemagne, etc. Et ce n’est pas fini !

Puisqu‘on y est, savez-vous pourquoi l’on ne parle que de puissance installée et non d’énergie produite ? Tout simplement parce qu’au mieux en France, la production de ces machines éoliennes et des panneaux solaires électriques n’a qu’une efficacité de 20 % pour la première et de 10 % pour la deuxième alors qu’elles ont d’abord été installées sur les meilleurs sites disponibles.

Autrement dit, un GW (gigawatt ou milliard de watt) d’ENRI (énergie dite renouvelable mais intermittente) est équivalent à ce que produit une machine dix fois moins puissante nucléaire ou hydraulique, mais toute l’année.

Ainsi, s’il y a 60 GW de nucléaire, il faut 600 GW d’ENRI (300 000 éoliennes terrestres de 2MW chacune par exemple) pour produire la même quantité et encore de l’ordre de 60 GW de production au gaz ou/et au charbon pour compenser lors des épisodes sans vent de nuit… qui sont monnaie courante en hiver.

Inutile de se poser la question du soutien des gaziers français ou des ligniteux allemands aux ENRI : c’est l’un de leur gagne-pain en particulier si les énergies renouvelables intermittentes continuent de se développer ! Le tout en augmentant la production de CO2 et ses rejets dans l’atmosphère chaque fois qu’une éolienne ou un panneau solaire est mis en service…

Les taxes sur le carburant ou encore sur l’électricité qui ne cessent d’augmenter pour financer abusivement ces ENRI sont la manne qui manque à la France pour rétablir sa balance commerciale.

Cette manne tombe sonnante et trébuchante dans l’escarcelle de promoteurs : tout est acheté in fine, que ce soit rentable – ce qui est très rare (cas d’iles isolées) – ou non, presque tout le temps. N’oublions pas que le client lambda DOIT acheter l’électricité produite par les énergies renouvelables intermittentes via les taxes et à cause de l’obligation de rachat par EDF de cette électricité à des tarifs 10 fois supérieurs à ceux de sa propre électricité nucléaire et hydraulique.

Pire, pour la même somme, on aurait pu construire 15 réacteurs extrêmement puissants et robustes, d’une durée de vie de 60 ans qui non seulement auraient supprimé nos importations hivernales et nous auraient garanti toute l’année l’accès à un courant peu cher, mais nous auraient déjà permis d’exporter à bas prix pour nos collègues européens tout en faisant de colossaux bénéfices pour la balance commerciale française.

Autrement dit, les programmes de développement des énergies renouvelables intermittentes sont contre-productifs, que ce soit pour l’économie des ménages, la balance commerciale de la France, la gestion des déchets, le CO2 émis et également pour toutes ces mines de terres rares et de cobalt qui polluent leur environnement tout en tuant les mineurs.

Ne laissons pas l’avenir continuer comme le présent, exigeons la mise en place d’une politique énergétique digne de ce nom qui prenne en compte la balance commerciale de la France, l’économie des ménages et bien sûr la gestion responsable des déchets. Exigeons de nouveaux réacteurs nucléaires sur les sites qui existent déjà et ont été préparés pour eux de longue date et non des moulinets à vent qui envahissent nos paysages et des cellules solaires électriques, tous deux fabriqués hors de nos murs !

 

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  • Rien ne tient debout dans cette histoire de transition vers un monde de pénurie généralisée, d’états aux décisions incompréhensibles comme cet amour pour le Liban, cette repentance de faits historiques sortis du contexte de leur époque.
    Tout ça est absurde sauf dans un monde de fous.. Et ils semblerait que les fous ont pris le pouvoir dans la rue et au sein des états.
    On n’a pas besoin de renouvelables personne en Europe n’en a besoin et pourtant….

    • 8000€ : l’escroquerie légale !

    • Ce qui est inquiétant, c’est que les fous sont soutenus et encouragés dans la rue, dans les media la politique ou l’administration au nom d’une finalité « bien-pensante » cumulant les à-priori sociétaux et scientifiques, le refus de voir les leçons de l’histoire et les conséquences actuelles.

      • Sur LCI :

        – commentaire journaliste de Figaro : la politique de Le Maire sur les transports n’est pas très cohérente pour la relance.

        – réponse du PRG du groupe de presse EBRA : « Meuuh non ! »

  • L’indubitable gaspillage des énergies renouvelables ne doit pas être prouvé en utilisant des chiffres trop inexacts. Le facteur de charge des éoliennes est aujourd’hui plutôt proche de 25 % et celui des panneaux solaires de 15 % – ce qui reste bien inférieur au nucléaire, un peu en-dessous de 80 %.

    En 2019, sur les dix principaux fabricants de modules photovoltaïques, sept sont chinois, un sino-canadien, un coréen et un américain

    En 2015, les principaux fabriquants d’éolienne étaient chinois ( 29 % ), allemands ( 13 % ), danois ( 12 % ), nord-américain ( 10 % )

    Quant aux 120 milliards, dénoncés par la Coour des Comptes (« des charges importantes, durables et mal évaluées » ), il s’agit des engagements à moyen terme pris par la France ( situation en 2017 ) et non de montants déjà dépensés – vu la frénésie récente dans ce type de dépenses, il est clair que ce montant sera largement dépassé … pour fournir cette énergie initialement vantée comme « gratuite »

    • oui en effet..
      ce qui en change rien au fond..

      • absolument, le détail et la précision n’apporte rien au débat… Nous avons compris le fond du problème.

        • Les erreurs factuelles seraient pain-bénit pour votre adversaire, lors d’un débat – je me souviens d’un écolo qui donnait un facteur de charge de 65 % pour les éoliennes au Danemark, alors que le maximum théorique est de l’ordre de 59 % et que le meilleur rendement offshore était juste en-dessous de 50 % – ce qu’il a dit après n’a plus été écouté par personne…

    • Ce gaspillage s’inscrit dans le New Deal pastèque :

      – on fait semblant de croire que le New Deal a sauvé l’économie après la crise de 1929.
      – au lieu d’investir dans des infrastructures pour générer une dynamique économique, on casse les infrastructures existantes pour les refaire en moins rentables et moins disponibles.
      – on substitue le libre échange qui fournit les ressources indispensables à l’économie par une version étatique administrée – et en plus on restreint artificiellement la ressource pour l’adapter aux possibilité technologiques.

      Et aujourd’hui, on nous vend le même principe pour le secteur des transports avec de l’argent emprunté. Je croyais les Allemands plus réalistes en tant que banquiers et plus craintifs en matière d’hyper inflation.

      • « Je croyais les Allemands plus réalistes en tant que banquiers et plus craintifs en matière d’hyper inflation. » Ils le seraient si c’était eux qui gouvernaient. Croyez-vous que le lobby vert, qui fait la pluie et le beau temps à Bruxelles, s’y soit installé tout seul?

    • Merci pour ces corrections.

    • Heureusement que les facteurs de charge de ces  » renouvelables » est faible, chaque kw vendu nous coûte très cher

    • Merci d’exposer ces chiffres : vous m’économisez un commentaire à ce sujet.
      Et pour info à l’auteur : ce n’est pas 8000 euro par ménage, vu qu’un ménage français est composé en moyenne de 2,2 personnes, et pas 4 :-).

      • Comme toutes les statistiques on divise une valeur par une autre et un chiffre apparait. Pour vous rassurer si vous considérez à juste titre qu’un ménage français, c’est 2,2 personnes il faut savoir que dans certains autres ménages (appelez cela comme vous voulez) issus de l’immigration par exemple nous sommes largement au dessus de ce rapport. D’où la moyenne de 4 possible.
        Manque de chance ces gens là n’étant pas imposables ce sont vos prélèvements qui financent. Alors 8000 € est un chiffre peut être sous évalué pour les gens qui cotisent à l’impôt de toute sorte et de toute forme..

        • 2,2 personnes par ménage, c’est juste la statistique de l’INSEE.
          Pour les gens qui ne sont pas imposables, faut compter les enfants aussi ? Le calcul va devenir difficile.
          Pour rappel, comme vous ne l’ignorez pas bien sûr,
          En 2017, la France compte 37,9 millions de foyers fiscaux :
          16,5 millions de foyers imposables, soit 43 % du total ;
          21,4 millions de non imposables.
          (source : impôt sur le revenu.org)
          Mais comme la fiscalité française (comme beaucoup d’autres) est très compliqué, ce qui n’est pas pris d’un côté l’est de l’autre.
          Une personne non imposable met du carburant taxé dans sa voiture non ? Il a payé une taxe de mise en circulation en l’achetant non ? La TVA, non ?

  • Satisfaire les écolos (ou pseudos) est un gain non négligeable de voix pour les prochaines élections, tous les présidents savent qu’il faut brosser dans le sens du poil les minorités.
    Tout le monde, ou tout au moins ceux qui ont un minimum de réflexion, savent que le nucléaire est largement moins cher que les ENRI mais on continue à nous bassinet avec les éoliennes et autres qui ont besoin de vent ou de soleil pour fonctionner et produire de l’électricité.
    Dans quelques années lorsque les gens s’apercevront en période hivernale que nous n’avons pas assez d’électricité à fournir, il sera trop tard car des illuminés et/ou inconscients auront fait fermer des centrales nucléaires.
    Pendant ce temps là d’autres pays seront sur la voie du progrès constant…

    • J’espère peut-être naïvement qu’on garde Fessenheim sous le coude sans toucher à rien pour pouvoir la rouvrir en 2022 à la demande générale d’un peuple frigorifié et ruiné qui commencera à voir où nous mène la pastèquophilie.

      • 2022, c’est trop tôt, les effets de cette fermeture se feront sentir au long de la décennie, mais plutôt à moyen terme. Et comptez sur la classe jacassante pour trouver une excuse parfaite qui ne mentionnera pas cette fermeture de centrale.

      • N’oublions pas que nous allons quand même finir par mettre en service l’EPR de Flamanville qui remplacera avantageusement cette vieille centrale de Fesseneim

    • Le problème est que la clique au pouvoir cherche des alliés pour y rester. Elle racle les écologistes espérant les faire voter pour elle. La réalité économique lui importe peu.

  • Vous écrivez « il y a 60 GW de nucléaire, il faut 600 GW d’ENRI (300 000 éoliennes terrestres de 2MW chacune par exemple) pour produire la même quantité et encore de l’ordre de 60 GW de production au gaz ou/et au charbon pour compenser lors des épisodes sans vent de nuit… qui sont monnaie courante en hiver. » c’est un raisonnement parfaitement faux. Quand il n’y a pas de vent il n’y a pas de vent. On pourrait multiplier la puissance installée par 1Md cela ne changerait rien, dans la mesure où on ne stocke pas l’électricité. Il n’y a pas plus de foisonnement dans le temps que dans la géographie.

  • Cet article est orienté. Quid du risque terroriste sur une centrale nucléaire ? De la gestion de ses déchets ? Du risque technologique? De l’approvisionnement du combustible ?… Le temps de l’énergie facile et pas chère est révolue. Seul un mix des différentes technologies présentes pourrait nous permettre de maintenir le niveau actuel de dépendance, et le nucléaire uniquement pour amorcer la transition.

    • « Quid du risque terroriste sur une centrale nucléaire ? »

      Pensez vous qu’il soit plus facile de faire diverger un réacteur avec une bombe que faire sauter un barrage hydroélectrique.

      « Le temps de l’énergie facile et pas chère est révolue. »

      Oui, parce que l’état et les activistes contrôlent le secteur : multiplication des contraintes, interdiction du forage pour GDS, sabotage du marché et de la concurrence, interdiction du charbon, fermeture de centrales fonctionnelles …

      Le mix n’est en aucun cas une stratégie à l’heure actuelle : seulement une tentative pour faire entre le cube vert dans le rond bleu à coups de marteau.

  • Faut-il le répéter, réduire les émissions de CO2 NE SERT A RIEN quant au réchauffement climatique actuel dont l’origine n’a rien à voir avec l’augmentation du CO2. Ce dernier n’en est qu’une conséquence.

    Ce n’est qu’une escroquerie planétaire à 35 000 milliards de $.

    • Bah, c’est un mal modéré ils auraient pu aussi déclencher une guerre mondiale pour se remplir les poches.. On a de la chance, ils tiennent encore à la vie et pouvoir voyager dans des pays en paix..merci à l’inventeur du long courrier et des îles paradisiaques.

    • « réchauffement climatique actuel dont l’origine n’a rien à voir avec l’augmentation du CO2. »

      Je visionnais hier une conférence sur la « matière noire ».

      – Un « consensus » de 90% des astrophysiciens croient en la matière noire, bien que cette « invention » pratique pour justifier les anomalies gravitationnelle génère autant d’incohérence qu’elle n’en résout et qu’aucune expérimentation en recherche sur les particules élémentaires ne puisse appuyer la thèse.
      – Le reste penche plutôt pour une conséquence de théories de gravité quantique bien qu’elles soulèvent pratiquement autant d’incohérence avec les théories actuelles.

      Mais au moins les astronomes ne prétendent pas sauver la planète avec des peut-être et des consensus !

    • Le « consensus » sur le climat est suffisamment pétri d’incohérences sans raconter des bêtises pour les discréditer.
      Le CO2 qu’on trouve en accroissement dans l’atmosphère provient bien de nos émissions (absorbées par ailleurs à 50% par l’écosphère.)
      De combien cela augmente notre température, et quelles seront les variations naturelles du climat à l’avenir, ça c’est une autre histoire.

      • oui… de toutes façon l’homme agit sur le climat car la biosphère en général agit sur le climat… le scepticisme porte en effet sur la quantification..

      • « Le CO2 qu’on trouve en accroissement dans l’atmosphère provient bien de nos émissions (absorbées par ailleurs à 50% par l’écosphère.) »

        Vous basez vous sur les estimations de flux « au doigt mouillé » ou sur le dosage de C14 pour cette affirmation ?

        • Nous émettons en moyenne l’équivalent de 4 ppm de CO2 par an, la concentration dans l’atmosphère augmente, elle, de 2ppm. L’écosphère est donc un puits de carbone par rapport à nos émissions. Si c’est un puits, ce n’est pas une source…
          Pas besoin de recourir aux isotopes…

          • La mer est en équilibre gazeux avec l’atmosphère. Elle dégaze quand la température augmente (comme une bouteille de coca).

            Avec la répartition de température à la surface et les saisons et la captation par la banquise + la complexité des migrations verticale du CO2 dont la solubilité augmente au fond des mers (basses températures) + les échanges du phytoplancton + les dégagements volcaniques + … les échanges sont forcément calculés au doigt mouillé. D’où la tentative de différentiation des origines de CO2 par concentration isotopique.

          • L’enrichissement de l’atmosphère en CO2 (quelle qu’en soit la source) ne peut venir que d’une dynamique défavorable car la quantité dissoute dans les mers est très supérieure à celle contenue dans l’atmosphère.

    • 1) c’est une escroquerie intellectuelle = du baratin, aucune énergie n’est verte au sens où l’on emploie ces termes. (seuls les prés et les arbres sont verts, et les grenouilles, certains lézards, certains perroquets… mais pas l’énergie ! 🙂
      2) c’est une escroquerie scientifique à supposer que le CO2 soit une cause du réchauffement (soyons beaux joueurs, acceptons cette donnée) ni l’éolien ni les PV ne permettent de réduire quoi que ce soit, vu la chaîne industrielle « non vertueuse » mise ne place pour fabriquer ces bidules.
      Enquête de Guillaume Pitron = 1 tonne de terres rares dans chaque rotor d’éolienne ou, en remplacement 17 tonnes de cuivre. Juste à ce niveau : quelle quantité de minerai extrait – y compris les scories car aucun de ses métaux rares n’émmerge pur et immédiatement utilisable. Quelle est la quantité, la profonceur des cratères, des gouffres, des mines ? Coût environnment de leur transport ? => déplacement des sites de pollution et non suppression.
      3) Quel est le bilan carbone de ces « trucs »? Les transports de ci de là pour les mettre en fabrication ? Puis le transport des turbines et des PV ? Puis leur mise en oeuvre ? (les fondations + 1500 tonnes de béton ferraillé enterré à jamais dane le sol) + les raccordements aux postes sources (quantité de cuivre ?)
      4) Notre production électrique était déjà décarbonée à 95 %, quel imbécile a décidé de vouloir nous équiper d’un rasoir à 8 lames pour tondre un oeuf ? Qui a décidé de cette utopie, de cette gabégie ?
      Si les Allemands ont en projet de s’équiper du fameux futur gazoduc Russe pour combler les intermittences (75 % du temps) pour remplacer la lignite (voir les villages qu’ils n’ont pas hésité à raser pour ouvrir ces mines, puis à nous polluer chaque hiver avec leur particules fines) ils n’ont pas omis de penser qu’ils pourraient « tenir » le rôle de distrubuteur de gaz pour l’Europe, quand les « suiveurs-à-courte-vue- auront démantelé leurs centrales nucléaires, ils deviendront ainsi le leader de l’énergie en Europe. Et ce mariage EnRI – gaz Russe ne sera pas considéré contre nature, puisqu’il apportera une amélioration au couple EnRI-lignite !
      Hourrah ils ont trouvé La Solution !
      5) La planète pourra-t-elle fournir tous ces métaux pour continuer à ce train d’enfer EnRI ? Selon JM Jancovic les ressources sont limitées.
      6) EnRI mais non durables => remplacement tous les 20 ans de tous ces accessoires ! y compris le creusement de nouvelles fosses pour les socles.
      7) Pour au final une énergie moins constante et probablement le triplement de son prix de vente. Si vous conservez vos factures vous pouvez déjà comparer !
      8) Esthétiquement = un pays pourri, enlaidi, massacré, saccagé par ces turbines.
      9) Quid du démantèlement puisque les provisions exigées ne sont pas capables de démanteler une seule turbine proprement sur un « parc » ?
      10) aspect sanitaire et social. + d’infrasons (couverture du pays, plus de zones blanches), + de radiofréquences – et ruine des ruraux sur leur pauvre patrimoine. (en campagne nous ne sommes pas tous des nantis ! et recevons moins d’aide que les « quartiers » car nul ne songe à acheter nos voix aux élections, et que la paix sociale règne, car nous sommes éduqués) = dommage d’ailleurs, car cela ne nous profite pas !
      Qui peut trouver, pour m’apporter une lueur d’espoir, le moindre petit avantage à ces choix ? Je suis en grande demande ! Merci d’avance !

      • Ouf, j’ai retrouvé un excellent commentaire de ma part du 4 août à vous-même, auquel vous n’aviez pas réagi.

        1 tonne de terre rare par rotor ? Ah bon…
        Selon l’ADEME, les éoliennes du parc français en service à fin 2018 contiendraient « environ 70 tonnes de néodyme et 13 tonnes de dysprosium ».
        Toujours selon l’ADEME : « D’ici à 2030, l’installation de 10 GW de capacités éoliennes offshore dans l’hexagone pourrait porter le besoin annuel de terres rares à 173 tonnes de néodyme et 33 tonnes de dysprosium. Ce qui correspondrait à « moins de 1% de la demande annuelle en néodyme et un peu moins de 4% de la demande annuelle en dysprosium ».
        (Source : connaissancesdesenergies.org)
        On est loin de la tonne de terre rare par rotor.

        POur le béton : selon alternativeséconomiques,
        ‘l’industrie du béton produit 19 Mt de produits en béton.
        Donc en clair, pour construire le parc éolien français de 2030, il va falloir 10% de la consommation annuelle de minéraux utilisés en France. Pour des équipements qui ne durent pas un an mais vingt ans au moins. Ce montant annualisé représente 0,5% de la consommation annuelle de minéraux !
        Si l’on se focalise sur le béton, les 18Mt nécessaires aux futures éoliennes (puisque 8000 sont déjà en place) représentent donc moins d’une année de production de béton… mais là encore pour des équipements qui vont être construits sur plus d’une décennie et durer au minimum vingt ans. Annualisé, cela fait donc 5% de la consommation de béton qui sera consacrée à la construction d’éoliennes. »
        Et pour info, le béton, ça se recycle de plus en plus.

        • Bah il faut éviter d’avoir de faux arguments pour combattre ce qu’il ne vous plaît pas. Les éoliennes, sans doute que certaines sont très efficaces et d’autres pas et que dans le futur, avec les changements des couloirs venteux , celle-ci ne seront plus que des monuments à la gloire des échecs. industriels du XXI ème siecle.. Mais si certains veulent dépenser notre argent dans cet art devenu populaire de l’escroquerie, il suffit de les virer…il semblerait que l’homme ne s’intéresse plus à son devenir, il vit au jour le jour un œil sur son nombril et l’autre sur les réseaux sociaux, tant pis pour eux.

        • Je cite Guillaume Pitron qui a réalisé un documentaire de 1h30 pour Arte : « lenfumage des la transition énergétique » c’est 1 tonne de terre rare pour le rotor ou en solution de remplacement 17 tonnes de cuivre.
          Vous pouvez voir son interview sur Tinkerview – 1h30
          Et ce n’est pas un opposant, car en conclusion il dot : pourquoi pas à condition de recourir à des mines en nFrance et à une fabrication chez nous aussi et de cesser d’aller polluer des pays en voie de développement ! C’est son opinion.
          J’imagine bine notre pays creusé et percé de partout pour estraire de quoi fabriquer ce petit % d’énergie aléatoire !
          Je viens d’écouter France Inter – émission de 14 H (il me semble qu’elle se nomme  » à chacun sa route » (1ère partie) relative à la fin du pétrôle et au monde d’après. Eh bien si nous devons vivre avec les EnRI il faudra diviser notre consommation par quatre !
          Doit être accessible à la ré-écoute !

        • https://www.ctif.com/deux-tonnes-daimants-permanents-pour-une-eolienne/

          2 tonnes d’aimants par éolienne (pour les modèles à aimants permanents), les terres rares représentant un tiers du poids total => 666kg. C’est sur, ça fait pas une tonne, mais contrairement à ce que vous affirmez, c’est tout sauf « loin ».

          Quand au béton, on en reparlera au moment donné, mais quelque chose me dit (l’expérience française) que les socles vont rester longtemps dans le sol…

          • Je ne fais que citer l’ADEME avec ses chiffres actuels.
            2 tonnes d’aimants pour une éolienne de 3MW, ce qui le maximum pour les terrestres je pense, elles sont souvent plus petites.
            Le néodyme est dit terre rare, mais les réserves estimées sont de 10 millions de tonnes (pour une conso annuelle d’environ 25.000 tonnes). Le néodyme peut être remplacé par du praésodyme, et seuls les aimants permanents en requièrent.
            Ensuite, les énergies renouvelables sont aussi soumises aux progrès technologiques (ça a le don de surprendre certaines personnes ça…) et ces terres rares ne sont pas indispensables, des pistes sont ouvertes : https://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/quelques-verites-sur-lexploitation-des-terres-rares-1296/
            Pour le béton dans le sol, c’est une supposition dans le futur, à voir.. au pire, le béton est inerte.

            • Oh, et j’ai pensé lors de ma petite balade à un truc : le néodyme se recycle. Un aimant permanent NdFeB n’est pas « consommé » lors de son utilisation (je lis justement une thèse de doctorat sur le sujet, de Céline Bonnaud, université Grenoble Alpes). Il est dit que 9% des besoins mondiaux en néodyme en 2030 pourrait provenir du recyclage. Certes, la filière doit se développer, entrainant R&D et emplois, mais rien d’impossible.
              C’est pas comme du pétrole ou du charbon 🙂

            • Déjà, c’est pas le maximum. Mais surtout : tranquille le nostalgique de la colonisation, de batailler pour ne pas revenir à l’essentiel : déporter la pollution ailleurs que chez lui, mode « n’a foutre que les Chinois crèvent comme des chiens pour extraire les terres rares à un prix fracassé, histoire que je puisse me payer mes lubies inutiles – ventilateurs géants / croony crapitalism » ? https://www.contrepoints.org/2013/11/05/145159-eoliennes-terres-rares-et-desastre-environnemental-une-verite-qui-derange

              • Ah mais personne ne dit que l’extraction des terres rares, c’est de la rigolade, et c’est un vrai souci. Les réglementations environnementales européennes sont d’ailleurs une des raisons pour lesquelles aucune mine de ce genre existe en Europe (à ma connaissance). Bon, bien sûr, l’extraction de l’uranium africain, c’est Bisounoursland, les marées noires dans le Golfe du Mexique ou les ravages dans le golfe du Nigeria, c’est pas grave, tant que ce n’est pas destiné aux énergies renouvelables, tout est excusable.
                Les conflits armés, les milices privées qui chassent les propriétaires terriens pour faire passer l’oléduc qui fuit pollue les terres, c’est pas de la déportation de pollution, noooon, bien sûr, c’est sain !
                Ya pas d’énergie parfaite, totalement non polluante, etc..

                • Super « l’argument » : parce qu’il y a des accidents industriels (marées noires) et parce qu’ils existent des mines honteuses (rien à voir cependant avec les conditions chinoises, mais faisons semblant de l’ignorer), alors je me donne bonne conscience pour continuer mes caprices d’enfant gaté. Écœurant…

                  • J’avoue que quand j’y ai repensé, je n’étais pas fier. C’est un peu du style des gens qui disent « cessez de dire que Trump est un fou car Biden est fou ».
                    Mais d’un côté, vous pouvez difficilement utiliser l’argument écologique pour critiquer les éoliennes si vous n’êtes pas autant conscient des ravages du pétrole. Moins l’uranium (à ma connaissance). Mais tout cela nous ramène au point : peut-on commercer normalement avec la Chine au vu de son mépris des droits de l’homme et atteintes à l’environnement ? On a besoin des terres rares, les Chinois ont besoin de nos marchés, ça fait de l’activité économique et ça améliore les conditions de vie de pas mal de gens (et dire que le camarade Mitch m’accusait de vouloir la misère de 400 millions de Chinois… alalalala) mais dans des conditions problématiques. Et la question peut se poser, en reprenant vos termes : « parce qu’il amélioration de la vie de certains, je me donne bonne conscience de la pollution engendrée et des violations des DH du régime ».

                    • Je ne critique pas les éoliennes (ou les panneaux solaires), je critique le fait de les présenter comme une solution unique. Je n’ai ABSOLUMENT rien contre les éoliennes ou l’énergie solaire (qu’elle soit photovoltaique ou non*) tant qu’elle est utilisée de façon LOGIQUE, et la logique, pour ces sources d’énergie, est de les considérer pour ce qu’elles sont : des sources appoint, ponctuelles, dans des environnements très spécifiques et pour des applications qui le sont tout autant**

                      * : là où je vis, quasi 100% des logements sont équipés de chauffage d’eau solaire : des simples tubes de chauffage, spiralant sur un panneau en métal peint en noir, dans lesquels l’eau se réchauffe au soleil, sur les toits des habitations. Aucune technologie, juste une application physique, qui fait que 9 mois par an, je n’ai pas besoin d’allumer la résistance électrique de mon cumulus.
                      ** : exemple : panneaux solaires (photovoltaïques) alimentant des bornes d’urgence / des bornes téléphoniques / une fontaine d’eau fraîche sur une aire de stationnement / … dans le désert qui couvre 30% du pays, au lieu de tirer des kilomètres de cables haute tension dans ledit désert. Exemple ² : des éoliennes judicieusement posées dans des couloirs à vent notoires, comme le long de l’autoroute A16 Paris / Le Touquet, des barrages hydroélectriques dans des vallées naturellement optimum pour cela, …

                      Sinon, pour tes délires sur le pétrole : déjà, de base, à quel moment ai-je dénié les conséquences pratiques du pétrole ? Nulle part, tu te contentes, comme d’habitude, de décider à la place des gens ce qu’ils pensent, pour pouvoir te gargariser de ta supposée supériorité (alors qu’en réalité, tu n’es qu’une caisse de resonance, un si triste et si banal conservateur mort de trouille devant l’inconnu de la liberté…). Je te renvoies TON argument écolo à la gueule au sujet des éoliennes, parce que TU es celui qui est infoutu de regarder les faits (à savoir qu’une éolienne est tout sauf « verte », en particulier quand on prend en compte la centrale à lignite qui comble son intermittence), moi, je suis un pragmatique, je prends en compte tous les paramètres, et je sais donc que chaque application a une source d’énergie qui est optimale : essence (en l’état actuel des choses) pour le transport, électricité nucléaire pour quasiment tout le reste, énergies « renouvelables » dans des rares cas ponctuels.

                      Quand au sujet de la Chine : je ne suis en rien un ennemi de la mondialisation, je suis en particulier particulièrement heureux de voir des synergies mondiales s’effectuer et sortir la majorité de l’humanité de la pauvreté (parce que, déjà, et infiniment probablement contrairement à toi, j’ai passé du temps dans le « Tiers Monde », et pas en mode « Club Med »), mais dans le cas de la Chine, je suis adepte de la doctrine de la canonnière, qui est la seule acceptable avec une dictature prédatrice, en particulier quand les comportements de ladite dictature prédatrice est de justement plonger dans la pauvreté des pans entiers de l’humanité pour satisfaire la mégalomanie de ses dirigeants (et les intérêts bien compris de croony capitalists). A ta différence, j’ai des valeurs que je ne relativise pas au grès de mon égoïsme, et la paire de knecks nécessaire pour les défendre…

      • Il n’y a aucun espoir, la messe est dite…Depuis déjà trop longtemps les « pastèques » diffusent leurs messages poisons via les média complices…L’homme de la rue est convaincu…
        Les gens de bons sens comme vous ne sont définitivement plus crédibles.
        Je pense me rapprocher d »un mien cousin corse qui lui a d’autres arguments que la parole…Chez lui, cela marche !!Pourquoi pas ??

        • Ah ? Vous pensez commettre des attentats ? C’est bien cela que vous sous-entendez ?

          • Il faut admettre qu’un certaine forme actuelle de « démocratie » présente des limites…..
            Mais qui parle d’attentat ??

            • « cousin corse qui lui a d’autres arguments que la parole…Chez lui, cela marche !!Pourquoi pas ?? » => bien sûr, vous faites allusion à la distribution de bonbons et chocolats aux politiciens ?

  • Remercions Macron, avec lui l’agonie de la France sera nettement abrégée.
    Avec Hollande on avait seulement un incapable omni-discipline, avec Macron on a un « Destructeur », Masqué, et ce , bien avant le Covid.

  • toutes choses prévues aux valeurs numériques près..
    la seule question qui reste pour moi est pourquoi il agissent ainsi? ce qui reste souvent un procès d’intention où distinguer la part de la stupidité de l’arrivisme de l’idéologie et du cynisme est bien difficile..

  • Un bon rappel pour les rebutants qui n’auraient toujours pas intégrés que les chiffres et les calculs des écolos, en matière d’électricité dans cet exemple, sont dément, Faux de six à dix zéros minimum. Mais attention la démence a déteint, d’autres minorités que je ne citerai pas, ce serait trop long, et par prudence, les rattrapent. Juste une pour la Route : Les Antiracistes, ces gens qui connaissent parfaitement tous les racistes, Perso pendant 40 ans je n’ai su faire que de l’éducation contre le racisme, pauvre imbécile que j’étais, j’ignorais l’existence d’un fichier des racistes tout fait grâce, en partie, a une française, la sœur a Traoré.

  • Attention,
    Le facteur de charge d’une éolienne est généralement inférieur à 20% en fonction de l’endroit ou elle est installée.
    Et les alternateurs utilisés sont des technologies qui bénéficie d’un très bon rendement, il n’y aura de ce fait aucune amélioration du rendement de ces technologies à l’avenir contrairement à ce que prétendent les écolos.
    Les éoliennes de taille moyenne sont plutôt de l’ordre de 100kW.
    Les 2MW sont des monstres que nous rencontrons très rarement.
    Une centrale nucléaire est composée de plusieurs réacteur, et un de ses réacteur à une production de 1TW/h 1000MW/h ou 1 000 000de kW/h.
    En prenant en considération le facteur de charge des éoliennes 20% un seul réacteur devrait être compensé par au moins 50 000 éoliennes de taille moyenne.
    Ce qui permettrait de couvrir la production SI il y a du VENT!
    Si il y à trop de vent, il faut pouvoir dissiper la surproduction dans le réseau géré par RTE sinon ce dernier devra coupera le courant dans certaine lignes pour protégé le reste du réseau de la surproduction.
    C’est pour cette raison que l’Allemagne paie la France et la Pologne pour dissiper dans nos réseaux leur surproductions d’ENR.
    C’est possible par ce que nous maîtrisons nos production, si nous faisions tous comme l’Allemagne, se serait très compliqué est parfois même impossible.
    Dans ce dernier cas, il faudra se préparer à un Blackout.

    La ou l’article est complètement dans le faux, c’est à propos du rendement des panneaux solaires.
    Généralement nous installons des « PV » Panneaux Photovoltaïques de technologie silicium mono et poly cristallins sur les habitations.
    Leur rendement se situe entre 15 et 25% avec une valeur médiane de 19%.
    La encore les écolos nous racontent que les nouvelles technologies amèneront un meilleur rendement.
    Ce qui n’est pas faux en soi mais les technologies dites mince pose un gros problème de recyclage car il est impossible de séparer les différentes couches constituant le PV qui souvent sont des matériaux toxique.

    Bref rien de mieux que le nucléaire.

    • Un bilan du « parc » éolien de Bouin, en Vendée faisait état d’un taux de charge de 18 % – ce parc est pourtant situé en bord de mer.
      (je ne me souviens pas de l’année mais c’était au moment de la sortie du film d’Al Gore = pour situer un peu.)

    • Pour les panneaux solaires, il est très simple de compenser l’intermittence : il suffit de relier ensemble les panneaux de France et de Nouvelle-Zélande.

    • Les 2MW sont légion….Promenez vous en Brie, en Beauce, dans les plaines du nord, en vallée du Rhône…et même en Bretagne, hélas !!
      Vous verrez ces « monstres » partout…. Et il est question de les remplacer par des 4 MW car plus rentables vu la baisse du prix de rachat du KW/h

    • Pour le PV, cela produit environ pendant 33% de la journée, moins les nuages, moins l’inclinaison dues aux saisons. Dans les 20%?
      Même si on prend la capacité effective du panneau, cela n’est pas si flatteur.

      • Vous avez raison de le souligner Michel.
        Je n’y ai même pas prêter attention.
        rendement des PV aux conditions standard de test soit une irradiance de 1000W/m² et une température de panneaux de 25°C.
        Des conditions jamais atteintes pour la température et rarement pour l’irradiance tout du moins en France.
        A cela vient s’ajouter le rendement de l’onduleur qui est plutôt bon mais seulement lorsque l’énergie produite est proche de la puissance maxi de ce dernier.
        Ce qui encore une fois est rarement le cas en France et pousse les installateurs à vendre des onduleurs de puissance moindre que l’installation pour travailler sur une plage de rendement supérieur.
        On peut avoir un aperçu de l’irradiance et d’une potentielle installation PV en fonction de plusieurs critère technique sur le site PVGIS.

  • Article écrit à charge sans objectivité réelle, avec des vérités fausses qui plus est. Dans le cas des éoliennes, dire que leur fin de vie n’est pas programmée est faux puisque l’investisseur a obligation de bloquer sur un compte de dépôts le montant nécessaire au démentellement de toute l’installation après sont arrêt technique à l’issu Des 20 ans environ. Le sujet des énergies «propres» est tellement médiatisé qu’on ne sait plus qui et quoi croire parce que surexploité par les lobbying de tous poils………

    • « Bloquer » des actifs dont la valeur s’élèvera dans 20 ans à 50k€ par MW installé… 50 actions EDF devraient suffire, qui oserait dire le contraire ?

    • Encore faudrait-il que le montant bloqué ne soit pas sucé par une inflation à 2 chiffres, ce qui va se produire. Le propriétaire terrien se fera baiser de tout façon 🙁

      • Les chiffres de mise en œuvre pour l Epr sont actuellement de plus de 12 milliards hors coûts de production et maintenance à venir puis de demantelement. Stopppons les debats sur les chiffres.
        On a besoin de toutes les énergies celles fossiles du passé dont il faut vite se passer, celle presente du nucléaire pour assurer un mixte soutenable. Et ine transition vers d aitres energies.
        Ensuite sur les renouvelables, le solaire thermique a du sens la geothermie a du sens. Pourquoi n en oarlez vous pas ?
        On peut aussi rester immobile et ne pas bouger et regarder le monde de nos enfants devenir invivable…. ou bien chercher des solutions et y investir.
        Il y a peu encore les investissements au niveau mondial ds les recherches d energie fossile etaient bien superieures a celles des enrs.
        Et pour ce qui edt des enrs, il y en a de multiples et qui se complètent et par ailleurs il daut poursuivre la maîtrise des energies consommees. Isolation au programme pour l hiver comme pour l l’été.

  • Vous avez totalement raison! Tout ce cirque éolien et solaire devient indécent. Quand ceux qui sont au pouvoir vont-ils ouvrir les yeux. Pour le moment, c’est mal parti puisqu’il y a parmi eux des personnes dont les intérêts financiers sont investis dans ce cirque!

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