Coronavirus : une belle gestion de crise en Socialie

Le premier rempart contre tout virus, c'est nous-mêmes. L'Etat va, encore une fois, nous encombrer.
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Coronavirus : une belle gestion de crise en Socialie

Publié le 6 mars 2020
- A +

par h16

Il n’y a maintenant plus aucun doute : la France subit, à son tour, l’épidémie de méchants virus. Luttant pied à pied sur tous les fronts, depuis la communication gouvernementale jusqu’aux graphiques flous des institutions en passant par les messages apaisants dans les administrations et les affiches fièrement placardées dans les aéroports et aux postes-frontières, tout a été fait pour que la panique ne s’empare pas du peuple.

Au milieu de la peur, de l’incertitude et des doutes qui envahissent progressivement les esprits, quelques éléments semblent heureusement de plus en plus clairs : si on doit mourir un jour, nous ne mourrons pas tous de ce virus, et, très manifestement, si prendre le TGV constitue un vrai risque, prendre le métro va rapidement devenir impossible puisque ses employés invoquent déjà le droit de retrait.

Nervosité qu’on peut d’autant plus comprendre qu’il apparaît qu’une agent de station de la ligne 6 du métro parisien a été testé positive au Coronavirus et qu’elle a travaillé en clientèle pendant une semaine avant d’être envoyée à l’hôpital.

On le comprend : à présent, le nombre de cas officiel (autour de 300 à l’heure où sont écrites ces lignes) est probablement très sous-évalué et la France est bien plus sûrement en phase 3 (le virus fait du tourisme partout dans l’Hexagone) qu’en phase 2 (où le gouvernement, fièrement armé de ses masques FFP2 son meilleur ministre de la Santé, tente de ralentir l’expansion du virus).

Nonobstant la gravité effective du virus – qu’on ne connaîtra vraiment qu’une fois le pic épidémique mondial passé – c’est donc une crise sanitaire qu’il faut gérer. Ce n’est jamais simple dans un pays affûté ; en Socialie française, cela nous donne ces petits mouvements chaloupés d’improvisation, de déclarations rapidement démenties, d’agitation cosmétique et de batailles de chiffres très télégéniques mais décidément assez peu opératoires.

Et alors que le pays va devoir vraisemblablement affronter un nombre important de personnes en détresse respiratoire propulsées dans un système de santé déjà passablement stressé par des décennies de gabegies, de mauvaise gestion, de délitements divers et de bureaucratie handicapante, nos gouvernants se montrent évidemment tout à fait à la hauteur.
On pourra évoquer le cas symptomatique (toussotements inclus) de Catherine Lemorton, de la Réserve Sanitaire de Santé Publique France et qui en a pris la direction le 1er mars 2019, après avoir été débarquée de son poste de députée socialiste de Toulouse et de présidente de la commission des Affaires sociales de l’Assemblée ; qu’a-t-elle bien pu faire du stock stratégique de matériel sanitaire nécessaire pour la médecine de proximité dont un rapport du Sénat indiquait, en mai 2009, qu’il contenait 463 millions de masques FFP2 ?

On devra aussi mentionner les efforts notables de notre Bruno Le Maire national sans lequel ce drame n’aurait pas immédiatement son petit côté clownesque : constatant la hausse (inévitable et logique) des prix des solutions hydroalcooliques ainsi que des masques chirurgicaux et des masques de protection, voilà que, n’y connaissant de façon maintenant certaine et scientifiquement prouvée absolument rien en économie de base, notre ministre de l’Économie décide d’imposer un encadrement des prix de ces produits ; il ne faudrait pas que certains spéculent, voyez-vous.

Et tant pis si le prix est un signal très clair permettant au marché de diriger rapidement une partie des capitaux vers les besoins les plus prégnants. Tant pis si cet encadrement des prix provoquera une pénurie plus sûrement qu’autre chose. Tout ceci a déjà été vécu (rappelez-vous la tempête Sandy et l’encadrement des prix de l’essence qui avait abouti à des pénuries sévères). Pour rappel, si on impose aux vendeurs et aux distributeurs de continuer à faire des profits ordinaires, ils n’auront aucune raison de faire des efforts extraordinaires pour accroître l’offre, qui, elle, n’a aucune raison de diminuer. L’échec est garanti. Merci Bruno.

On comprend donc aisément que cette crise est en de bonnes mains : la Socialie et la côterie de clowns à roulettes qui font mine de nous gouverner sont déjà à pied d’œuvre pour rendre pénible voire carrément dangereux ce qui apparaissait déjà comme un très mauvais moment à passer.

Rassurons-nous cependant. Notre brochette d’imposteurs ne perd pas le nord puisqu’une chose semble sûre : il n’y aura pas de report des élections municipales. D’ici là (deux semaines), l’épidémie sera à son point haut, il serait dommage de ne pas organiser quelques petits happenings festifs autour des urnes histoire de s’échanger les dernières nouvelles… variantes du coronavirus.

En multipliant les démonstrations de la sorte, nos gouvernants ne font qu’une chose : occuper stérilement le paysage médiatique et pousser, une fois encore, l’État français à nous faire oublier, à tous, l’importance pourtant cruciale de l’individu. Le premier rempart contre tout virus, c’est nous-mêmes au travers de notre hygiène (les gestes de propreté élémentaires et une nourriture adaptée qui nous permet d’avoir un système immunitaire en bon état), de notre résilience, de notre capacité d’adaptation, ainsi que, collectivement, par le génie humain pour comprendre et combattre la maladie, créer et commercialiser un vaccin.

Tout ceci ne demande pas un État.

Mieux : cela s’en passe très bien et la bureaucratie, les petits coups de tampons, les barrières administratives qu’il impose jouent bien plus comme un frein que comme une aide.

De toute façon, on le sait, l’État échoue logiquement lors de l’étape 1 de diffusion du virus : ce dernier finit toujours par entrer. À l’étape 2, l’État est maintenant inaudible, confit dans ses procédures mal boutiquées et sa pesanteur inadaptée. À l’étape 3, il sera évidemment impuissant, malgré des gesticulations théâtrales liberticides inefficaces voire contre-productives voire carrément homicides.


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Sur le web

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  • Ce pays est dans un état de décadence et de déliquescence extrêmement avancé.

    En pleine crise sanitaire mondiale :
    – le ministre de la santé démissionne pour faire campagne en mairie
    – le premier ministre aussi se met en retrait pour faire sa campagne au Havre
    – moins de 100 personnes sont testées chaque jour
    – le président de la République va à l’hôpital faire une tournée de serrage de mains (en pleine crise sanitaire mondiale je rappelle, dans un hôpital !)

    • « sa campagne au Havre » où il ne réside pas !!!

    • Sans compter l’envoi de masques en Chine tandis qu’on rapatriait nos compatriotes, avant d’annoncer que le foyer de Creil (base militaire qui a en fourni les accompagnateurs) était un hasard…

  • Les Belges savent vivre : pour les Happy Hours, deux bières Corona achetées, une Mort Subite offerte 🙂
    Et si on mettait des Belges à la place de ces tocards ? Cela ne pourrait être pire.

  • il n’y aura pas de report des municipales …..et nos imposteurs espère qu’il y aura beaucoup d’abstention sentant sans doute qu’ils vont se prendre une volée justifiée si tout le monde va voter ;

    • Donc seuls les électeurs-super motivés (ceux qui ont envie de retourner la table comme moi) vont se deplacer. Les républicains-en-marche vont prendre une claque

    • Je penche plutôt pour une excuse facile justifiant l’abstention, histoire de ne pas avoir à se remettre en question. Les éléments de langage sont déjà rédigés. Il ne reste plus qu’à les diffuser aux perroquets colorés des diverses pravdas franchouillardes subventionnées.

      Un maire élu avec 5 ou 10% du corps électoral dans sa commune peut-il décemment se maintenir, sans attraper dès le soir des résultats un double acouphène douloureux ?

      • @Cavaignac
        Bonsoir,
        « Un maire élu avec 5 ou 10% du corps électoral dans sa commune peut-il décemment se maintenir, sans attraper dès le soir des résultats un double acouphène douloureux ? »
        Souhaitons que non. En particulier quand il s’agit d’un premier ministre qui ne réside pas dans la commune.
        Concernant les résultats, tout comme les présidentielles, les résultats seront donnés en « voix exprimées ». Les nombres totaux seront peut-être tus. Il n’y a plus de démocratie, mais il faudra quand même scander le terme « démocratie » avant et après les élections. « Les [x] électeurs qui ont voté ont parlé : c’est la démocratie. »

  • Les russes ont agit très vite, fermeture des frontières, contrôles aux ports et aéroports, caméras thermiques etc … 4 cas …!!!…( il y en a probablement un peu plus )….. sans commentaire

  • pénurie de masques qui sera mise sur le dos des fabricants..
    vous savez les déserts médicaux c’est la faute des médecins.. ( pas du fabricant de médecins d’ailleurs)..
    bah au moins on rigole…

  • Les chiffres de mortalité en France depuis le 1er janvier sont les suivants: – cancers: 27600/ – maladies cardiovasculaires: 24500/ -affections respiratoires liées au tabac (hors cancers du poumon): 13150/ – accidents de la route: 591/ – meurtres 172…..
    – coronavirus: 9 ce soir

    • coronavirus, 16 ce soir soit de l’ordre de 40% de plus qu’hier. On peut donc attendre 50000 vers la fin du mois si on laisse faire, et à voir l’Italie, pas beaucoup moins si on laisse faire le gouvernement sans prendre d’initiatives personnelles complémentaires nous-mêmes.

    • Vous avez oublié les suicides et les accidents domestiques, bien plus importants que les accidents de la route. Comme quoi, la propagande anti-bagnole fonctionne sur certains.

      • Non, je n’ai évidemment rien contre la « bagnole ». Mais je n’ai pas cité toutes les causes de décès en France (environ 950.000 par an), juste quelques exemples pour montrer que la panique est entretenue par la sur-médiatisation d’un facteur. Et que si on faisait une couverture heure par heure sur les chapines TV des cas et des décès de cancers, on pourrait encore plus affoler les gens

        • Ce n’était pas un reproche personnel, juste le constat que lorsqu’on parle décès, on ne peut s’empêcher de caser la bagnole dans la démonstration, comme si c’était un problème. Et ça, c’est la conséquence du lavage de cerveau de la propagande permanente dont nous sommes tous destinataires. Il faut juste en avoir conscience pour lutter contre.

          • Que la médiatisation se fasse de manière idiote sur les chiffres les moins significatifs est une chose. De là à traiter par sous-entendus ce qui devrait être significatif, … Pour la bagnole, il est clair qu’on devrait mettre en évidence l’absence d’effets probants du 80 km/h. Pour le corona, il est aussi clair que l’important est le côté exponentiel de la croissance des effets, et la modestie de ces effets à l’instant t n’a aucune pertinence.

    • @HangaRoa
      Bonsoir,
      Il aurait été plus judicieux d’adjoindre le nombre de déçès dus à la grippe saisonnière depuis le premier janvier comme vous le notez.
      La grippe saisonnière a un taux de mortalité compris entre 2 et 5%. En plus du coronavirus, nous sommes dans une épidémie de grippre saisonnière depuis novembre.

  • Ce texte est un délice !

  • La question à se poser est la suivante : ce virus est-il aussi « redoutable » qu’on veut nous le faire croire ? Les avis médicaux divergent : les uns le considèrent moins dangereux que celui de la grippe, d’autres prétendent le contraire.
    Mais, à entendre les interdits et les autorisations distribués arbitrairement par nos clowns à roulettes, la question est largement justifiée. Les poignées de mains sont proscrites ; les rassemblements de plus de 5000 personnes interdits (5000 personnes ne « contaminent » pas, mais 5001… c’est la cata) ; le marathon de Paris est annulé, mais pas les matchs de foot (y a-t-il une atmosphère stérile dans les states ?). En pleurnichant, la Buzin, en « pleine crise » du virus, avec « son agenda chargé », les urgences en grève depuis X temps, le manque de matériel élémentaire pour lutter contre une contagion, préoccupée et soucieuse d’endiguer « l’apocalyptique virale » menaçante, abandonne précipitamment son ministère pour conquérir la mairie de Paris… Quelle merveilleuse illustration de sérieux et conviction de travail !!!
    Nos guignols de service, incapables de cohésion, de rigueur, s’agitant tous azimuts, sombrant dans une psychose créée par leur incompétence et leur amateurisme avéré, propagent leur névrose via les médias serviles, au risque d’engendrer la panique.
    Dans cette magnifique gestion anarchique de cette « crise virale », le génie de nos pantins macroniens ne reste pas en mal : ils ont lancé un grand plan (avec n° de téléphone et site internet) contre les punaises de lit qu’ils considèrent comme un problème de santé publique… Ça laisse rêveur… Ne nous étonnons pas que la France soit totalement foutue, avec de tels idiots aux commandes !

    • « Les avis médicaux divergent »
      Non. Les médias racontent tous un peu n’importe quoi, mais très majoritairement, les avis médicaux fiables concluent tous à une létalité plus forte d’un rapport d’au moins 20 à la grippe.
      L’autre problème est les complications qui sont nettement plus nombreuses que la grippe.
      Enfin, la viralité est 1.7x plus importante que la grippe.
      Tout ceci est vérifiable, vérifié et conservateur.

      https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/who-china-joint-mission-on-covid-19-final-report.pdf
      https://legrandcontinent.eu/fr/2020/03/07/bilan-coronavirus/

      • A h16
         » Les avis médicaux divergent ». Il ne s’agit pas de commentaires journalistiques mais de médecins urgentistes et de spécialistes interviewer dans des médias libres.

      • A h16
         » Les avis médicaux divergent ». Ne vous en déplaise, il ne s’agit pas de reprise de commentaires journalistiques mais de médecins urgentistes et de spécialistes interviewer dans des médias libres. Pour votre information, je n’ai pas pour habitude de « gober » le blabla de journalistes. Je cherche le plus possible l’info directe si non j’en vérifie le continu avant de me prononcer.

        • Les médias choisissent les personnes qu’ils interviewent pour leur élocution, pas pour leurs compétences en statistiques ou en évaluation du risque. Dites voir à un journaliste qui se propose de vous interviewer que vous êtes statisticien et spécialiste de l’analyse du risque, et déclenchez le chrono : il va battre le record du 100 mètres en marche arrière !

      • Il faut a minima se méfier de ce que produit l’OMS, qui est d’abord un organisme politique avant d’être un organisme de santé, à raison d’un ratio 80/20.

        En ce qui concerne la morbidité spécifique, si on connaît le numérateur (les décès), le dénominateur (les cas d’infection) est sujet à toutes les spéculations. Un urgentiste déclarait hier que la détection du virus est limitée par le nombre de tests fiables disponibles. Il est à peu près certain qu’on sous-estime le nombre de cas, notamment chez ceux ayant des symptômes légers. Enfin, les porteurs sains sont évidemment inconnus.

    • La Chine est peut-être une dictature, mais si elle a fini par prendre des mesures radicales, ça n’est certainement pas par fantaisie. Le virus est bien aussi redoutable qu’on peut le craindre, et c’est bien une crise qu’il faudrait gérer.

      • oui… et chez nous nous n’aurions pas des moyens aussi sévères..

      • Mesures radicales essentiellement inutiles qui justifient que les populations chinoises se passent des services de leur gouvernement.

        • il y au plusieurs batailles..
          l’une sans doute perdue qui a été d’empêcher l’épidémie sinon la pandémie.. avec tentatives de mesures de quarantaine.. et je pense qu’un gouvernement dictatorial est plus capable de la mener efficacement du fait du peu de cas qu’il fait des individus…
          mais c’était sans doute trop tard, confiner 1O millions de personnes est illusoire pour BLOQUER et non ralentir la propagation d’un virus.
          il y a en une autre qui est celle de la gestion de l’épidémie…

          • « je pense qu’un gouvernement dictatorial est plus capable de la mener efficacement du fait du peu de cas qu’il fait des individus »

            Je pense exactement l’inverse. C’est précisément parce qu’il a fait peu de cas des individus que la pandémie a pu se développer.

    • les qualificatifs sont affaire de subjectivité…

      on peut ramener la question à un nombre de victimes possibles en extrapolant à partir de ce qu’on sait.. clairement pire que la grippe…

    • @corbc
      Bonsoir,
      « La question à se poser est la suivante : ce virus est-il aussi « redoutable » qu’on veut nous le faire croire ?  »
      Début février, je suis allé consulter mon médecin car j’étais malade (trachéite). Je lui ai demandé quelles précautions ils avaient dans son cabinet qui regroupe 5 médecins. Sa réponse fut : « On attend les recommandatiosn de l’OMS et du ministère » Leur kit de vérification est celui du H1N1, distribué il y a quelques années, quelques masques. Elle avait vérifié le stock. La recommandation était de ne pas aller chez le médecin traitant mais d’appeler le « 15 » qui orienterait vers un hôpital le cas échéant. Je suis revenu à son cabinet fin février pour une lombalgie : la salle d’attente était pleine, de patients attendaient même dans le couloir. En cinq ans que je l’ai en tant que médecin traitant, je n’avais jamais vu ça.

      Demain, je reprends le travail avec plus de 1000 personnes sur le site, dont plus de 900 élèves…

  • Cet après midi, les visites étant interdites, j’ai déposé quelque chose à l’accueil d’un Ehpad du Haut Rhin.

    Comme la responsable était au téléphone, j’ai du attendre un peu et entendu le sujet de la série d’ appels qu’elle passait depuis un moment déjà:
    Les écoles étant fermées et de nombreuses soignantes ayant des enfants à garder, il s’agissait de tenter de mettre sur pied des équipes pour la semaine prochaine, et il m’a semblé comprendre que ce n’était pas gagné…

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