Greta Thunberg ou la montée des passions tristes

Le marxisme écologique est clairement antiproductiviste et promeut l’égalité dans la pauvreté.

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Greta Thunberg By: Streetsblog Denver - CC BY 2.0

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Greta Thunberg ou la montée des passions tristes

Publié le 23 janvier 2020
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Par Philippe Charlez.

On annonçait à Davos un duel entre le président septuagénaire considéré comme l’homme le plus puissant du monde et la pasionaria d’à peine 17 ans. La passe d’armes a bien eu lieu sous la forme d’un échange par discours interposés.

Résolument optimiste, vantant ses résultats économiques, le président américain climato-sceptique s’est adressé indirectement à la jeune Suédoise :

Il faut rejeter les éternels prophètes du malheur et leurs prédictions de l’apocalypse. Il appartient au passé poussiéreux des oiseaux de mauvais augure et nous ne laisserons pas leur prophétie s’accomplir.

Il s’est aussi félicité que « les États-Unis soient devenus le premier producteur mondial de gaz naturel » ce qui au passage a permis au pays de l’Oncle Sam de devenir l’un des champions de la réduction des GES. Même si ce choix est plus opportuniste que clairvoyant, grâce au gaz les États-Unis cochent les trois cases du développement durable : une énergie à la fois abondante, économique et plus propre.

 

L’apocalypse climatique annoncée

Avec en arrière-plan un slogan où l’on pouvait lire « Adverting a climate apocalypse », la jeune collapsologue a, comme à son habitude, lu le papier qu’on lui avait écrit annonçant que « notre maison était toujours en feu, que votre inaction alimentait les flammes à chaque heure et qu’il était temps de paniquer ; comment justifiez-vous à vos enfants vos échecs et le fait que vous les laissiez affronter un chaos climatique que vous avez sciemment provoqué. »

On connaît le dessein de ces apôtres de l’apocalypse : instrumentaliser une lutte climatique sommée de choisir entre société de croissance et fin du monde. Avec son obsession de l’égalité et sa haine du riche, ce mode de pensée est une nouvelle forme de marxisme à une différence fondamentale près : le marxisme classique était hyperproductiviste et promettait l’égalité dans l’abondance ; le marxisme écologique est au contraire clairement anti-productiviste et promeut l’égalité dans la pauvreté.

Pour imposer sa pensée unique, le marxisme écologique délivre à une jeunesse manipulable et peu expérimentée la pensée binaire du bien et du mal. Facile à entendre, la pensée binaire est aussi très commode pour éviter un débat de fond qui, pour un militant de base, peut très vite se révéler hasardeux, surtout sur des sujets complexes comme le dérèglement climatique ou la transition énergétique.

L’absence de débat et l’ignorance sont historiquement les leviers de l’embrigadement. La religion, le marxisme, le fascisme et le nazisme l’ont utilisé avec toute la brutalité que l’on connait.

Dans un monde binaire, la perception, l’impression et la rumeur remplacent progressivement la réalité des faits et des données. La formule chère à Descartes « je pense donc je suis » se transforme en « je crois donc je sais » ! Véhiculant une pensée unique, le marxisme écologique représente une nouvelle forme d’obscurantisme. Surfant sur la montée des peurs et des « passions tristes », il rejette les élites et transforme une vérité locale en une vérité générale. En répétant que demain sera nécessairement moins bien qu’hier, il se place de facto en rupture avec l’idée même de progrès.

 

Crise de narration scientifique

Et face à ce fléau, la science en pleine crise de narration est incapable de délivrer à l’opinion publique ce grand récit positif qui fit la réussite de la révolution industrielle et des Trente glorieuses.

Pour faire renaître de ses cendres le positivisme d’Auguste Comte ou l’esprit critique d’Ernest Renan, revaloriser les connaissances aux dépens de l’impression et du ressenti, le citoyen a un urgent besoin de pédagogie. Et ce constat est particulièrement criant pour la jeunesse davantage concernée par la problématique climatique que les générations plus âgées.

Quoi qu’on pense de Trump, on peut au moins lui reconnaître le courage d’avoir délivré à Davos un discours sans ambiguïté dont les Européens pourraient parfois s’inspirer.

 

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  • pensée triste je ne sais pas..

    mais qu’une gamine de 16 ans soit écoutée à davos ou à l’onu…

    d’ailleurs ce n’est pas la pensée de greta thunberg..

    De nombreux chercheurs sont politisés est entendent désormais délivrer un message de nature idéologique. Le salut ne viendra pas d’eux.

  • Quoique pensant que le réchauffement climatique me semble une hypothèse assez solide, je ne supporte pas cette Fifi Brindacier téléguidée dont le discours et les attitudes desservent la cause qu’elle pense servir.
    Néanmoins, une petite remarque à propos de « demain sera nécessairement moins bien qu’hier ». Le fait qu’il existe maintenant des taux d’intérêts négatifs signifie exactement cela.
    Ce n’est donc pas la scandinave à couettes qui l’affirme mais bien l’économie mondiale qui, en inversant le prix du risque, entérine que « demain sera moins bien qu’aujourd’hui » donc oblitère toute notion de progrès telle qu’on l’a connu jusqu’à aujourd’hui.
    Si j’avais le sens du paradoxe, je dirais que l’économie mondiale est donc d’accord avec l’avenir sombre prédit par Greta…
    … et tous ceux qui se réjouissent d’une telle situation comme « une situation historiquement favorable pour emprunter massivement » pour financer je-ne-sais-quel-délire ne feront qu’aggraver la situation.

    • L’économie mondiale, Adam Smith et la Main Invisible sont innocents ! Les taux négatifs ne sont pas tombés du ciel, ils ont été sciemment mis en place par … ?

    • Qui aime les taux d’intérêt ? Personne sauf les usuriers .
      Un taux négatif est moins mauvais que l’inflation ! Le réchauffement est moins mauvais qu’un refroidissement….

      • @ réac : un taux d’intérêt négatif est contraire à la nature humaine : personne n’est prêt à se dé-saisir d’un bien aujourd’hui pour en avoir moins demain. Les taux d’intérêt sont nécessaires et naturels. Vous voulez être payé pour un service et ne pas payer pour un service ?

    • demain sera nécessairement moins bien qu’hier

      Non, c’est l’inverse. Demain sera plus sûr que maintenant. Et ce n’est pas l’économie qui décide, mais les polytocards avec leurs injections massives par des QE monstres.

  • Quand Sainte Greta se démasque :

    https://www.project-syndicate.org/commentary/climate-strikes-un-conference-madrid-by-greta-thunberg-et-al-2019-11

    Article interessant si vous ne l’avez pas lu.

    Où sont officelement révélées les vraies motivation de Saint Greta et autres prophètes en chemises vertes.

    « After all, the climate crisis is not just about the environment. It is a crisis of human rights, of justice, and of political will. Colonial, racist, and patriarchal systems of oppression have created and fueled it. We need to dismantle them all »

  • Voici ce qu’a dit Trump précisément « Ce n’est pas une époque pour le pessimisme, mais pour l’optimisme. Ils [les écologistes] avaient prédit une crise de surpopulation dans les années 1960, une famine massive dans les années 1970 et la fin du pétrole dans les années 1980. Ils veulent toujours dominer, transformer et contrôler tous les aspects de nos vies. Nous ne laisserons jamais le socialisme radical détruire notre économie, ruiner notre pays ou supprimer notre liberté. »
    Qu’on apprécie Trump ou pas, en tant que Libéral on ne peut qu’approuver ce qu’il dit.

    • D’ici qu’on ne propose Trump comme candidat au prix Nobel de la paix 😉

    • D’ailleurs, les écolos ne parlent plus de « réchauffement climatique » mais de « bouleversements climatiques », histoire de ne plus être contredits car il y aura toujours des tempêtes et des tornades, comme par le passé.
      Pour la petite histoire,sinon la grande: lors de l’optimum climatique du moyen age (XIe -XIIIe siècle), la température moyenne, en Europe, était 1,5° supérieure à ce qu’elle est actuellement; ça nous a valu un tel gain de productivité en agriculture que les moyens dégagés ont permis de couvrir tout notre continent de cathédrales.

    • D’accord avec Trump. L’année 2019 a sans doute été une des meilleures de l’humanité en terme de recul de la pauvreté, de gains de prospérité, de
      liberté et de paix dans le monde.
      Ce que je ne comprends pas chez lui c’est qu’il pense que l’ennemi est toujours la Russie, comme si l’Union Soviétique n’avait pas disparu.

      • On peut penser que la Russie de Poutine, qui s’effondre économiquement, est dangereuse car pour se maintenir au pouvoir, Poutine ne peut user que de l’argument de l’ennemi extérieur.

        • Bravo Stephane, c’est exactement cela! Les sots n’arrêtent pas de vanter la finesse stratégique de Poutine, alors qu’en fait il est d’une nullité invraisemblable! La puissance d’une nation se mesure à sa puissance économique. La Russie est toujours un pays sous développé qui n’exporte que des matières premières, comme tous ces pays: pétrole, gaz, or, diamants et métaux rares. Il est impossible de trouver un seul article manufacturé russe sur le marché, alors que nous sommes inondé de chinois! Les russes sont toujours pauvres et c’est pourquoi il érige les occidentaux en ennemis qui veulent envahir la mère patrie. Alors que les seuls à lorgner le territoire russe sont les chinois sur la Sibérie et les richesses de son sous sol. Il avait au début de ses mandats une chance que l’Occident l’aide au développement de la Russie, ce qui aurait rétabli une partie de sa puissance, il a préféré se l’aliéner pour s’allier avec la Chine qui est son véritable et seul danger!

      • Vous ne comprenez pas alors qu’elle a envahie la Géorgie après avoir suscité des sécessions ethniques. Puis remis ça avec l’Ukraine? Vous ne comprenez pas grand chose si cela n’a pas été suffisant! Comment se fait-il que les gens est la mémoire aussi courte?

  • L’écologisme est aujourd’hui une doctrine politique poussée par les classes supérieures et moyennes supérieures (l’élite boboïsée à laquelle Greta Thunberg appartient) et qui souhaite imposer son mode de vie aux autres classes.
    En ce sens, l’ecologisme n’est pas un marxisme mais un anti-marxisme…

    • @ lapurée : manifestement, vous ne savez pas ce que c’est que le marxisme … et tous les penseurs socialistes marxistes appartenait à la classe moyenne /supérieure pour info …

  • D’accord avec l’article mais mettre le marxisme, le fascisme et la nazisme sur le même plan que la religion (du moins chrétienne) est un peu fort tout de même.

    • Que vaut en effet un article que l’on peut retourner terme à terme ( remplacer communisme par libéralisme) sans qu’il perdre tout à fait le sens ?

    • On ne peut pas nier que la religion, même chrétienne, est un moyen de contrôler le peuple. Le fait que le christianisme ait perdu ce pouvoir en France ne doit pas conduire à se voiler la face.
      Je précise que je suis bien loin d’être anti-clérical.

      • Pour moi la religion (chrétienne du moins) a plus vocation à guider l’individu qu’à contrôler les peuples. Je trouve qu’il y a une différence substantielle entre inculquer une discipline de vie permettant à l’individu d’être libre, et aliéner les individus afin qu’ils pensent tous la même chose, qu’ils aient peur des responsabilités et par conséquent qu’il aient toujours besoin d’une tutelle.

    • @Mousquetaire : Elles ont un socle commun : la connaissance révélée prévalant par principe sur la connaissance acquise.

      • Bonjour RX33, pourriez-vous approfondir votre remarque? Par exemple qu’entendez-vous par connaissance acquise et révélée?

  • MODÉRATION CONTREPOINTS >> MESSAGE SUPPRIMÉ

    • Intéressant… Je crains de ne pas saisir toute la finesse de vos réflexions.

      • Quelque soit le problème levé par un écolo j’y vois de la jalousie.
        Ex: la bouffe ,ils veulent tout interdire sauf leur régime alimentaire basé sur une peur maladive de mourir.ils sont jaloux de la liberté de manger des hamburger ,des pesticides des E machin , comment , ces gens n’ont pas peur de la mort ? Jaloux jaloux .
        Très facile à manipuler ,ils suffit d’accroître leurs peurs

        • « Quelque soit le problème levé par un écolo j’y vois de la jalousie. »
          La jalousie n’est pas une caractéristique fondamentale de l’écologie, mais du socialisme, en compagnie d’une addiction complète au fric.

          • Ce n’est pas une composante fondamentale ? Certainement ,l’homme n’a pas qu’un défaut mais une multitude bien connues ,mais certains deviennent maladifs …le fric ,non ,le fric ou son amour n’est pas un défaut bien au contraire a moins que le mot travail soit péjoratif ,fric =travail ,de soi ou des autres.

    • l’ouvrage « Société close et société ouverte » de Karl Popper nous développe que : » le fondement de la philosophie politique repose essentiellement sur le couple société close / société ouverte. La société close renvoie à la société magique ou tribale ou encore de non-liberté. À l’inverse, la société ouverte est celle où les individus sont appelés à discuter et à prendre des décisions personnelles. La société ouverte, ainsi présentée, est cependant jalonnée d’ennemis dans le monde. Aussi, la société close demeure-t-elle une réalité à travers le tribalisme et le nationalisme obtus. En outre, les ennemis actuels de la société ouverte apparaissent dans des mouvements terroristes qui contraignent l’Occident à tirer l’épée pour se défendre. »

  • je pense qu’il reste beaucoup de monde à enfermer.
    ceci dit ont en revient toujours au même constat, ce sont les ignorants qui font barre aux sachants, les véritables scientifiques.
    du reste il serait intéressant de connaitre le nombre de véritables scientifiques présent à Davos.
    Vive la pensée unique venant des tréfonds de la bêtise.
    Bonne journée.

  • MODÉRATION CONTREPOINTS >> MESSAGE SUPPRIMÉ

    • C’est exactement mon avis « echo »! Je n’ai rien à ajouter!!!!

    • Le jounalistes adorent les gens clivants ,et une greta pas ici et une Ségo par la ,ils interrogent rarement les gens intelligents, genre dîner de c..s ,et ils ne se trompent jamais ou presque

    • Qui contrôle les médias ?
      Qui va mettre la main sur un pactole de mille milliards d’euros ?

      • @BUCKYHORSKY ceux qui contrôlent les médias sont TOUS LES propriétaires DES CES médias qui ne vivent et ne s’enrichissent que grâce aux contrats de l’état.

    • Chaque époque a son folklore plus ou moins contraignant.
      Le mieux est de laisser dire et ne rien faire.
      C’est comme l’urticaire, on évite de gratter et on attend que ça passe.

  • MODÉRATION CONTREPOINTS >> MESSAGE SUPPRIMÉ

  • Il y a scientifique et scientifique. Polytechnique forme des poly-techniciens, pas des scientifiques.
    Un doctorat en physique ne valide guère que la capacité à manipuler certaines équations. Pas nécessairement à les comprendre. Si fait que nombre de techniciens se croient scientifiques : l’ouvrage qu’ont consacré Gilles Cohen-Tannoudji et Michel Spiro au boson de Higgs est d’abord un monument d’idéologie scientiste. Pour faire de la science, il eût fallu introduire nombre de champs, autres que ceux de la physique des hautes énergies. Avec des œillères bien serrées, on peut estimer que Mengele était un scientifique (pour faire bonne mesure, en dehors du scientisme pseudo libérale ou nazie, l’Union soviétique a également eu ses idéologues scientistes). La science réelle – celle qui multiple les angles et ne se satisfait pas d’une focale ultra-courte – repose sur le consensus. Comment dès lors accorder quelque scientificité à des points de vue ultra-minoritaires, tel celui présenté ici ? Or, le consensus scientifique est chaque jour plus clair et massif. A ce compte, il va falloir considérer que le mouvement universel est possible, puisqu’il existe des « scientifiques » pour défendre l’idée.
    « L’esprit scientifique, estimait Thomas Henry Huxley, a plus de valeur que ses produits; et des vérités défendues de façon irrationnelle peuvent être plus nuisibles que des erreurs raisonnées. Or l’essence de la pensée scientifique, c’est l’exercice de la pensée critique »
    Dernière question : quel rapport nécessaire pourrait-il bien avoir entre un libéralisme bien compris et la climato-négationnisme ? Si ce rapport existe, ne serait-ce pas plutôt que ce climato-négationnisme utilise illégitimement le vecteur libéral pour défendre des thèses sans rapport avec lui. Qui ignore qu’il existe une écologie hyper-libérale, par exemple ? Ou une écologie démocratique ? Le libéralisme serait-il condamné à l’obscurantisme ? Méfions-nous du cheval de Troie.

    PS: Auguste Comte se rêvait en grand prêtre de la religion positiviste qu’il envisageait créer. Un peu comme Robespierre et son être suprême.

    • La pensée critique ne peut exister que dans un monde libéral. Un consensus obtenu en faisant taire tout ceux exprimant d’autres idées…totalitarisme ?

    • Le scientifique digne de ce nom croit ce qu’il comprend et doute du reste.
      Pour lui les arguments d’autorité (diplômes, réputation, prestige, consensus) ont peu de valeur.
      Et pour les autres, à défaut de pouvoir vérifier par soi-même, il est bon de se rappeler que quand tous les « experts » sont d’accord, ce n’est pas très bon signe.
      Telle qu’elle est organisée, la communauté scientifique ressemble beaucoup au microcosme politique.
      Le scepticisme est salutaire, évitons d’en faire un blasphème.

    • Je ne suis pas certain que le terme de « climato-negationnisme » soit vraiment approprié.
      Comment peut être « contre » le climat?
      Et le terme négationniste renvoie à la négation de la shoah: misérable association pour tenter de discréditer le discours des opposants.

    •  » La science réelle – celle qui multiple les angles et ne se satisfait pas d’une focale ultra-courte – repose sur le consensus. »
      Faux. Elle repose sur la démonstration et la répétition par d’autres acteurs. Il n’y avait pas beaucoup de consensus autour des idées de Galilée, à l’époque.

      • +1000 !
        La science réelle repose des individus rares et géniaux qui parviennent à réfuter ce dont l’évidence faisait auparavant consensus. Et ce qui fait appel au consensus est par construction douteux scientifiquement, parce que le seul argument de l’absence de réfutation crédible d’un point réfutable devrait suffire. Pour le climat, rappelons que nul n’a réfuté l’assertion que les observations récentes s’inscrivent dans les limites de la variabilité court-terme naturelle d’un climat stationnaire à l’échelle de quelques siècles.

    • MODÉRATION CONTREPOINTS >> MESSAGE SUPPRIMÉ

    • Le consensus? Vous me faites bien rire! Il n’y a pas de consensus à ce propos. il est inventé par les écolos et les media. 31.000 scientifiques ont pétitionné contre le RCA!
      Et quand bien même, le scepticisme est nécessaire en science pour faire avancer la connaissance. Le consensus des scientifiques était opposé à la dérive des continents, à Mendel, à Darwin, à Einstein, à toute théorie révolutionnaire. On ne compte plus le nombre d’âneries que le consensus soutient à l’heure actuelle. Dans les années d’après guerre il était que la Terre entrait dans une période de refroidissement intense et que notre civilisation allait disparaître!

  • MODÉRATION CONTREPOINTS >> MESSAGE SUPPRIMÉ

    • « Oui le monde a un vrai problème de gouvernance. »
      Aucun, si on se réfère aux objectifs masqués des véritables gouvernants et non aux clowneries de ces mauvais acteurs réunis à Davos où ils peuvent renifler l’odeur de leur objectif suprême : le fric.

    • Il est curieux que l’organisateur invite Greta Thunberg (et d’autres jeunes, une autre africaine a 13 ans) ou alors on nous cache vraiment quelque chose que nous ne pourrions supporter, nous « petit peuple »

      • On invite ceux et celles qui boostent l’intérêt et l’audience des médias. On a beau être organisateur de rencontres, on n’en est pas moins préoccupé par l’équilibre financier de la manifestation plus que par la pertinence des conclusions qui en sortiront.

      • Pas curieux , cette réunion n’a aucun intérêt alors pour faire le spectacle on invite des vedettes du show bizness

  • Elle représente bien notre époque. La Papesse des réchauffistes est une gamine ignorante et hystérique!

    • Etre ignorante n’est pas en soi un défaut. En revanche, faire la grève le vendredi plutôt qu’étudier pour faire disparaître cette ignorance, …

      • Juste Michel, mais quand des gens instruits écoutent l’ignorance on peut se poser des questions. Perso je fuis dans ces cas là!

  • le libéralisme écologique? J’aimerais qu’il existe !

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