Économie : pourquoi les États-Unis réussissent mieux que l’Europe

Les 10 raisons qui expliquent pourquoi l’économie américaine se porte nettement mieux que l’économie européenne.

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Économie : pourquoi les États-Unis réussissent mieux que l’Europe

Publié le 25 décembre 2019
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Par Martin Feldstein, depuis les États-Unis.

Dans une récente allocution, Martin Feldstein, professeur d’économie à l’Université Harvard a identifié les 10 avantages concurrentiels de l’économie américaine.

1- Une culture entrepreneuriale

Les Américains sont entreprenants et sont animés par le désir de lancer des entreprises et de les faire croître. Aux États-Unis, on jette rarement l’opprobre sur ceux qui échouent et recommencent.

2- Un système financier qui soutient l’entrepreneuriat

Les États-Unis ont un système de financement par capitaux propres plus développé que les pays d’Europe, comprenant des business angels prêts à financer des start-ups et un marché du capital-risque très actif qui permet de financer ces entreprises au fur et à mesure de leur croissance.
Les États-Unis disposent également d’un vaste système bancaire décentralisé, avec plus de 7000 petites banques qui octroient des prêts aux entrepreneurs.

3- Des centres de recherche de classe mondiale

Les universités fournissent une grande partie de la recherche fondamentale qui stimule l’entrepreneuriat dans les hautes technologies. Le corps professoral et les doctorants sont insérés dans le tissu local des start-ups, et la culture des universités et des entreprises encourage ce rapprochement. Les meilleurs centres de recherche universitaires attirent les meilleurs étudiants du monde entier, dont beaucoup finissent par rester aux États-Unis.

4- Des marchés du travail efficients

Les marchés du travail américains relient les travailleurs et les emplois, sans entraves des syndicats, des entreprises publiques et des réglementations du travail excessivement restrictives. Moins de 7 % de la main-d’œuvre du secteur privé américain est syndiquée et il n’y a pratiquement aucune entreprise publique.
Même si les États-Unis réglementent les conditions de travail et l’embauche, les règles sont beaucoup moins contraignantes qu’en Europe. Par conséquent, les travailleurs ont de meilleures chances de trouver le bon emploi, les entreprises ont plus de facilité à innover et les nouvelles entreprises ont plus de facilité à se lancer et à croître.

5- Une population en croissance, notamment en raison de l’immigration, et géographiquement mobile à l’intérieur des frontières

La croissance démographique de l’Amérique se traduit par une main-d’œuvre plus jeune, donc plus apte à la formation et plus flexible. Bien qu’il y ait des restrictions à l’immigration aux États-Unis, il existe également des règles spéciales pour permettre l’accès à l’économie américaine et une voie vers la citoyenneté fondée sur le talent individuel et le parrainage industriel.
Un système distinct de « loterie de cartes vertes » permet à ceux qui le souhaitent de s’installer aux États-Unis. La capacité du pays à attirer des immigrants qualifiés a été une raison importante de sa prospérité.

6- Une culture et un régime fiscal qui encouragent le travail acharné et les longues heures de travail

Le salarié moyen travaille 1800 heures par an, soit nettement plus que les 1500 heures travaillées en France et les 1400 heures travaillées en Allemagne (mais pas autant que les 2200 heures à Hong Kong, Singapour et en Corée du Sud).
En général, travailler de plus longues heures signifie produire davantage et donc des revenus réels plus élevés.

7- Une source d’énergie qui rend l’Amérique du Nord indépendante sur le plan énergétique

La fragmentation du gaz naturel, en particulier, a fourni aux entreprises américaines une énergie abondante et relativement peu coûteuse.

8- Un environnement réglementaire favorable

Bien que les réglementations américaines soient loin d’être parfaites, elles sont moins contraignantes pour les entreprises que les réglementations imposées par les pays européens et l’Union européenne.

9- Un État moins lourd que dans les autres pays industrialisés

Selon l’OCDE, les dépenses publiques américaines aux niveaux fédéral, régional et local ont représenté 38 % du PIB, contre 44 % en Allemagne, 51 % en Italie et 57 % en France.
Le niveau plus élevé des dépenses publiques dans d’autres pays implique non seulement une plus grande part des revenus sous forme d’impôts et de taxes, mais aussi des revenus de transfert plus élevés qui réduisent les incitations au travail.

10- Un système politique décentralisé dans lequel les États et les administrations locales sont en concurrence

La concurrence entre les États et les collectivités encourage l’esprit d’entreprise et le travail. Les États sont également en concurrence en matière de règles juridiques et de régimes fiscaux pour les entreprises et les résidents individuels.
Certains États n’ont pas d’impôt sur le revenu et leur Code du travail limite la syndicalisation. Les États-Unis sont peut-être uniques parmi les grands pays à revenus élevés en ce qui concerne leur degré de décentralisation politique.


Extrait d’une conférence de Martin Feldstein, traduit par Raphaël Marfaux pour Contrepoints.

Cet article a été publié une première fois en décembre 2018.

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  • Pas très convaincant. Les US sont surtout en train de devenir une poubelle écologique (je ne parle pas du réchauffement ou autre gaz à effet de serre, mais de la pollution et de la saleté, style SF ou LA) et humaine (franchement, entre les geeks et les youtubers complètement débiles et les migrants sans éducation, ça fait peur).
    Quand à la réussite économique, on attend le prochain crash pour en parler. Ça devrait faire des étincelles.
    A part l’arrogance mal placée, cet article ne démontre pas grand chose. Les US resteront dans l’histoire comme une expérimentation à l’extrême du capitalisme de connivence.

    • Euh, vous parlez depuis où, là ? Parce que la France, question saleté dans les quartiers où les journalistes ne s’aventurent pas, question débiles et bac niveau entrée en 6e d’il y a 30 ans, question crash déjà effectif, et question perte de niveau par rapport aux USA, elle se place un peu là !
      Alors, vous êtes allé dans les deux pays, et vous y avez comparé la vie du citoyen lambda ?

      • Et vous bien calé dans votre fauteuil , le cigare à la bouche…Vous y êtes allé au fin fond du Wyoming discuter du libéralisme avec les cowboys locaux…???? Allez respirer le bon air du Texas et boire l’eau de source merveilleuse qui en sort …Vous connaissez le niveau scolaire des enfants du bayou..??? Alors les donneurs de leçons ça va 5 minutes….!!!

    • J’étais allé aux US en 2011, et j’avais eu plusieurs fois des prédictions sur la sortie de rise, qui pronostiquaient un relèvement plus rapide des US que de l’Europe. Un des plus frappant était l’analogie suivante : nous tombons par terre, nous nous faisons mal et nous nous relevons. Vous ( les Européens ) tombez dans un fauteuil moëlleux et restez assis. Ce qui s’est effectivement passé.

      • En France quand on fait des heures sup, les kamarades zélés vous arrangent le portrait à la sortie : ça c’est la liberté en socialaisie . . . il faut être solidaire de la misère de tout le monde pardi !

    • une poubelle écologique… ce matin j’entendais philippe geluck à la radio( dessinateur du chat) tenir un discours écologique soit disant « conscientisé » sur l’état du monde et il faisait la liste avec gourmandise de tous les maux dont souffrait la planete perturbateurs endocriniens, montée des eaux, surconsommation etc…et quelles étaient les bonnes nouvelle selon lui…moteur à hydrogène et suédois methanisant leurs poubelles…rien d’autre…

      donc philippe geluck ne se rend pas compte que les gens vivent infiniment mieux…voire tout simplement , ils survivent..ils sortent de la pauvreté les enfants ne crèvent pas en masse…et ça c’est rien en face de perturbateurs endocriniens..autrement dit à sa liste dérisoire on peut mettre en face touts les indicateurs du développement humain!!!!!:

      j’ai adoré aussi..demain nos enfants rouleront en vélo… voila…le niveau de conscientisation comme des gens comme vous ont atteint… c’est pathétique..

      • pas très clair votre truc… les enfants suédois crèvent en masse ?

      • En effet, a entendre les bonnes consciences médiatiques nous vivons dans un monde terriblement pollué et qui cause toutes sortes de maladies terribles qui vont tous nous tuer… Comment expliquer alors que nous vivons tous une bonne dizaine d’années de plus qu’il y a seulement 50 ans, et en bien meilleure santé ? Qu’un « vieillard de 50 ans » ça semble une absurdité aujourd’hui mais que ça courait les rues il n’y a pas si longtemps…

        • je dois vous mettre le lien vers la page wikipédia sur les sophismes ? Parce que bon hein… vous êtes un bon exemple… Bref… Je peux vous retourner votre « logique » : les mouvements écologistes et les réglementations en faveur du tri des déchets et des diminutions des rejets toxiques etc ont énormément progressé depuis 50 ans. Ce qui explique la bonne dizaine d’années d’espérance de vie en plus :-). (ce n’est pas « vrai » car corrélation n’est pas causalité, mais ça doit vous échapper). Allez, une bise au chat et bonne année…

          • @ AmaDy
            On sait quels sont les causes de la progression de l’espérance de vie des terriens, et on sait aussi que ce n’est pas dû à l’écologie mais au progrès. Les Africains vivaient dans un milieu écologique mais étaient loin de notre espérance dans un environnement aussi pollué que le prétendent les écologistes!

          • Les mouvements écolos ne commencent à avoir du poids dans la société que depuis une 15aine d’années pas plus. Leur attribuer le bénéfice de l’augmentation de l’espérance de vie depuis 50 ans, il fallait oser. 🙂 🙂

          • mais oui!! on vis plus vieux parce qu’on tri les déchets!! l’écologie est un passe temps de riche, c’est parce que nous nous somme énormément enrichi qu’on peut se permettre d’aller s’occuper des scarabées à poiles drus ou la galinette cendrée du poitou

        • On ne vie pas vraiment 10 ans de plus, c’est surtout la mortalité infantile qui a baissé. Ce qui est certainement un bonne chose par ailleurs.
          Juste pour rappeler que l’espérance de vie est un chiffre à prendre avec des pincettes, même s’il y a surement eut aussi une augmentation de l’age max.

    • c’est quand la derniere fois que vous êtes allé la bas?

    • Accuser, depuis la France, les USA de capitalisme de connivence… Il fallait oser. 🙂
      Quant au prochain crash, les USA s’en remettront bcp plus vite que la France.

    • Vous débloquez complètement. Le capitalisme de connivence existe certes mais infiniment moins qu’en France et il est dû à l’étatisation! Quand à l’arrogance ils ont depuis la fin de la Seconde guerre obtenu plus de 250 Prix Nobel pour leurs travaux scientifiques! L’anti-américanisme débile du français moyen, jaloux des succès de ces gens, comparé aux 20 Nobel franchouillards.

    • Oui oui attendons le prochain crash économique et on verra qui de l’europe ou des US s’en sortira le mieux (ou le moins mal). Quand au capitalisme de connivence notre très chère France caracole en tête depuis très longtemps avec tout le succès que l’on peut constater…

    •  » Quand à la réussite économique, on attend le prochain crash pour en parler. Ça devrait faire des étincelles.  »

      Les USA en ont subit deux majeurs. Elle s’en est toujours bien relevé en restant l’économie la plus puissante du monde. Et de préciser que la grande crise de 1929 n’a pas pondu aux USA un pouvoir fasciste contrairement aux grands pays européens France comprise où le parlement a donné les pleins pouvoirs à Pétain.

  • Et si on parlait de ce qui ne va pas ? Le fait qu’ils travaillent 1800 heures et ne sont pas syndiqués (l’esclavage semble être le but ultime de l’auteur) ça n’empêche pas les américains d’etre un pays surrendetté, et qui contrairement à l’UE est en déficit commercial chronique. Avec son système de santé plus chère qui exclue une bonne partie de la population, des étudiants surrendettés avant même d’arriver sur le marché du travail, un système financier à l’origine des plus graves crises financières depuis un siècle.

    • la pravda socialiste a encore frappé
      taux de chomage _3% , TVA 3% etc.. etc..

      • Ah le fameux taux de chômage américain à 3%. Je ne suis pas fan du socialisme français mais si vous citer le chômage américain, il serait bien de comparer la même chose.

        On est plus proche de 7%

        https://www.thebalance.com/what-is-the-real-unemployment-rate-3306198

        • Merci du lien. Intéressant d’ailleurs!
          Cependant, cela ne change pas grand-chose.
          Les 3% cités correspondent aux « people without jobs who are in the labor force. To remain in the labor force, they must have looked for a job in the last four weeks.” ce qui correspond à la définition du BIT (Bureau International du Travail). Cela exclue donc les chômeurs longue durée qui n’effectuent plus de démarche de recherche d’emploi. Sauf que les 9.1% de la catégorie A des chômeurs en France (Nov 2018) excluent aussi les chômeurs longue durée (voir définitions en fin de lien : https://www.journaldunet.com/management/conjoncture/1038148-taux-de-chomage-et-nombre-de-chomeurs-en-france/ ). On compare bien 2 choses identiques.

          Votre lien attribue un taux de 7.6% de chômage US en incluant les longues durées, les non en recherche d’emploi, les divers sous-employés…etc Cela double donc le chiffre ! Vilains ricains qui nous enfument pourrait-on dire. Mais…sauf que… en France, on ne comptabilise même pas les « discouraged workers » càd les chômeurs longue durée non en recherche d’emploi. En France, ces derniers ne sont même pas considérés comme faisant partie de la population active! Pratique n’est-ce pas, pour ne pas trop gonfler désagréablement certains chiffres…
          Donc, en France, on a environ 3 450 000 personnes en catégorie A, on passe à environ 5600000 en incluent les catégories de chômeurs B et C (les divers sous-employés). On passe donc de 9% à plus de 14% !!
          https://www.capital.fr/economie-politique/chomage-pole-emploi-hausse-nombre-demandeurs-emploi-deuxieme-trimestre-2018-1299808

          Donc, 7.6% pour les USA en incluant les sans emploi complet et en recherche, les longues durées sans recherche et les sous-employés sous diverses formes. Mais plus de 14% en France pour les mêmes catégories excluant les longues durées non en recherche d’emploi. Si on tenait effectivement compte de ces derniers en France, quel score atteindrions-nous ??
          Bref, il n’y a pas photo.

        • Alors en France on est plutôt à 15-20% dans ce cas là

    • les Etats-Unis sont il est vrai, comme certains pays d’Europe dont la France, un pays très endetté.
      la toute petite différence, c’est qu’en cas de difficulté, les Etats Unis peuvent s’ils le souhaitent et afin d faire face à des échéances, relever le niveau de taxation. ce qui est rigoureusement impossible en France.

      et ça, ça fait une toute petite différence.

    • ils travaillent 1800 heures..et sont plus riches que nous…et..en France on ne veut pas faire le rapport..car c’est bizarrement quand on veut plus de pouvoir d’achat on ne travaille pas plus ou mieux..on gueule.

      ne pas être syndiqué n’est pas être esclave.. Le plus extraordinaire est que nous refusons de voir que le marché du travail est extraordinairement biaisé en FAVEUR des salariés.. ceux qui se font avoir et non exploiter sont d’une part les entrepreneurs et les gens empêchés de bosser.

      • Et oui Jacques Lemiere, la France des derniers gj n’a pas compris le rapport entre gagner plus et travailler plus. C’est mieux de réclamer plus de sous gratuits de l’état.

        • Vous pouvez m’expliquer comment un ouvrier soumis au 3/8 peut travailler plus pour gagner plus svp ? Comment il peut faire des heures sup ? En plus que une très grande partie des employeurs ont à l’oeil la masse salariale ? Qu’ils adorent les stagiaires peu ou pas payés alors que des employés ou ouvriers seraient sans doute prêts à faire ce boulot en heure sup.
          J’ai vécu une restructuration où mon département a été réduit car sa masse salariale représentait un trop grand pourcentage par rapport aux départements comparables dans des entreprises également comparables. Alors travailler plus pour gagner plus, faudrait peut-être déjà que l’employeur consente à payer plus…
          C’est tout bête quand on y réfléchit… quand on y réfléchit…

    •  » Et si on parlait de ce qui ne va pas ?  »

      On sait déjà très bien de ce qui ne va pas aux USA. L’anti-américanisme nous le bassine à longueur de journée souvent bourrés de contre-vérités.

    • Le travail tue, c’est bien connu.
      Pourtant, en France, on ne vit pas plus vieux que les autres pays qui travaillent plus que nous. Curieux, non?

    • Pfiiiioooouuuuuuuuuhhhhhhhhhhh, le niveau ❗

      Chaque français à une jolie dette de 35000 Euros, décidée non par lui, mais par les énarques régnants. Les nouveaux-nés, donnent-ils leur avis là-dessus ❓

    • Ah… La santé aux US… Si on retire les morts par accident (route, armes a feu, vie dans la nature, etc liés à une culture de la prise de risque soulignée dans l’article) les US sont le pays avec l’espérance de vie la plus élevée.
      Si vous avez une maladie grave vous faites un go-fund-me pour aller vous faire traiter aux US… L’inverse pas vraiment.
      Quand au coût du système de santé, la France est TRÈS mal placée pour faire la leçon a qui que ce soit…

    • Ça veut dire qu’ils ont trouvé des banques pour leur prêter de quoi poursuivre 4 ans d’études jusqu’à 60000$/an.
      Ce qui veut dire qu’ils ont de bonnes chances de pouvoir le rembourser.

      Demandez donc à 18 ans un prêt de ce genre en Europe.

      • Si vous pensez qu’il n’y a pas une bulle sur les prêts étudiants, vous allez être surpris. De nombreux étudiants se retrouvent avec plusieurs dizaines de milliers de dollars et des salaires à 30-40k$ et bien ils vont rembourser un moment.

  • Entièrement d’accord avec l’auteur sur un pays que je connais un peu.
    Bravo pour avoir placé en point n°1 la question culturelle, car elle est le fondement de tout.
    Evidemment, en creux, on lit toutes les tares de pays comme la France qui, bien évidemment, ne peut qu’haïr les pays libres.
    C’est ainsi que l’on voir fleurir, y compris ici, des poncifs antiaméricains que l’on croyait révolu.
    En tout état de cause, après les années Obama, on peut saluer Monsieur TRUMP pour avoir réactivé brillamment certaines des raisons de la réussite US évoquées ci-dessus.
    Maintenant, s’il s’agit de dire que les USA ne constituent pas un idéal absolu, je suis d’accord ‘=)

    • Pour avoir travaillé là bas , je peux dire que mon salaire était le double , que ma mutuelle moins chère que la secu française me couvait a 100% pour tout dents et lunettes comprises.. que la TVA a 3%, le prix des carburants , mettait les prix 2 fois moins chers qu’en france pour tout ..
      Que les jeunes se voyaient confier de vraie responsabilités , gagnaient plus que les vieux, et que la vie était plus marrante pour tout le monde..
      vivez donc votre copie de l’URSS et buvez le calice jusqu’à la lie

      • C’est à moi que vous répondez !!!
        Avez- vous compris mon propos ????

        • @yve81
          ben non ce n’est pas a vous que je répondais çà tombe sous le sens;
          mais a des post précédents qui portaient un jugement négatif sur les usa

      • Erreur d’aiguillage me semble-t-il CHDC! 🙂 🙂

      • Une toute petite question: pourquoi diable êtes vous revenu dans ce triste pays qu’est la France…????

        • @sigmund
          parce que dans la vie on a des choix a faire et pas uniquement pour soi, notamment des choix familiaux

          • D’accord……Mais en dehors de ces circonstances vous y seriez resté quand même …Très honnêtement..??

            • Moi, certainement. Et vous, qu’est-ce qui vous a convaincu de revenir ?

            • oui , mais pas en ville
              une fois carrière faite j’avais le projet de m’établir dans le Montana..
              çà ne s’est pas fait

              • C’était un bon choix …Pêcher sur la Madison …Un vrai rêve… !! Les rocheuses…!!! Après mes plateaux me sont forts sympathiques et je dois aussi reconnaitre que partager un bout de saucisson autour d’un verre dans un troquet local , refaire le monde quitte à s’engueuler un peu autour d’un terrain de rugby et bien ce n’est pas désagréable non plus …

              • Je suis marié depuis 45ans à une américaine, j’adore ce pays et cette ville de Kansas City, on a beaucoup plus de chances qu’en France de rencontrer des gens sympa, qi se défoncent pour vous aider.
                Rien n’obligeait Peter, mon futur beau père, à embaucher comme chauffeur de combine un traine savate comme moi qui levait le pouce pour voyager.
                Rien n’obligeait Berry, son neveu à devenir mon ami et à me montrer ses techniques au saxo en même temps qu’il m’initiait aux finesses du Cat 530.
                C’était et c’est encore le pays où si tu veux tu peux, il suffit de parler aux gens…

                • Oh mince Kansas City, je connais, j’y ai travaillé 2 ans! KS Missouri, à l’hôtel Ritz-Carlton.
                  J’avais été frappé, tout jeune premier que j’étais, de la grande différence de mentalité qui existe là-bas en efft: on y est positif, on encourage, même mieux, on récompense l’esprit d’initiative et les efforts personnels. Y’a des cons aussi, mais la connerie est également répartie partout, et si c’était à refaire j’y repartirais sans une seconde d’hésitation.

                  • Bonjour
                    J’ai travaillé dans la zone américaine, et la mentalité est vraiment différente, les gens sont plus chaleureux, ils ne sont pas méprisant, hautin comme en France où les rapports sont rigides.
                    Mais c’est sûr, tu fais une conn.rie, tu es viré sur l’heure.

                • @Kansas beat
                  Je confirme, et on s’entraide beaucoup entre voisins (si on leur parle), justement parce qu’il n’y a pas d’État nounou.

              • Le Montana.. j’y compte y habiter dans deux ans.. je comprends..

              • Moving to Montana soon….
                Yippie Yie O Tie Ay…

        • ça va peut être pas vous sembler sympa (quoique avec votre pseudo ?), mais j’ai un petit truc qui m’a toujours aidé dans mes contacts avec nos amis ricains.
          élévé dans un milieu germanique, éduqué à l’école française, dès que je suis dans un milieu anglo-saxon je n’utilise plus que le coté germanique de ma personnalité, mon accent alsacien qui fleurit mon anglais parlé m’avaient fait surnommer ‘german’ et mes collègues de travail étaient tout étonnés d’apprendre que j’ avais un passeport français, que j’étais un ‘Stinky Frenchman’…

          Surtout après avoir bossé tout au nord de l’Allemagne,
          un exemple ?
          En Frise du Nord , quand on vous appris à dire  » twee lüte boddle beer » pour deux petites bouteilles de bière,
          il est plus aisé de comprendre « two little bottles of beer » aux USA.

          Et pour l’intermède culture, le mot « Lüte » qui veut dire ‘petit’, il est à l’origine du mot ‘lutin’…

      • On est d’accord. J’y ai vécu 5 ans et j’ai la même conclusion mais je n’ai pas d’enfant. Maintenant faites 2-3 enfants et le coût de l’éducation fait rapidement très mal.

        • Bien sûr, mais vous ne payez pas pour l’éducation des enfants des autres. A vous de gérer comme bon vous semble. Principe de responsabilité.

    • Merci à tous pour vos échanges sur les US, que je ne connais pas, si ce n’est le « si tu veux, tu peux » que j’ai appliqué dans ma vie et que j’envoie régulièrement à mes interlocuteurs trop collectivistes à mon goût !

  • Il ‘manque 2 points essentiels:
    Une armée surpuissante
    La vente d’armes légale
    l’Américain ne se fait pas marcher sur les pieds, c’est la raison de sa reussite

  • Voilà bien la liste des clichés les plus éculés de la catéchèse conservatrice matinée d’orthodoxie monétaire, rebaptisée « libérale » pour faire chic et moderne…
    Dans ce catalogue à la Prévert, il manque malheureusement la seule raison réellement déterminante du succès économique des USA : les interventions et les financements massifs de l’état fédéral en direction de la recherche et de l’innovation, celui-ci étant sans doute, de tous les états modernes, le plus obsédé de pilotage économique, le plus stratège, le plus prévoyant, le plus « anticipateur ».
    Google, Microsoft, Apple, Internet, la Silicon Valley, l’industrie automobile, le cinéma… Il n’est aucun domaine stratégique où l’état fédéral n’intervienne sous la forme de subventions, d’allègement fiscaux, de mise à disposition de chercheurs, ingénieurs, techniciens appartenant à la fonction publique et donc dûment rémunérés par l’impôt des citoyens américains…

    • Eh bien c’est ce que j’appelle de l’argent bien dépensé, ne croyez-vous pas?

    • Ben oui, nous on a eu le plan calcul, le minitel et Bull.

      • Vous savez pourquoi l’emblème de Bull était un arbre ? Bull, le seul ordinateur qui se plante !
        Oui, nous on met les sous dans le ministère de la culture…

    • « la recherche et l’innovation » ne manquent pas dans la liste des raisons déterminantes de l’auteur. C’est le point 3.

      En revanche, l’auteur ne tombe pas dans la sottise de croire qu’il suffit d’arroser de subventions une chose pour qu’elle devienne efficace.
      Selon votre subtile théorie, le CNRS, financé à 100% par l’Etat français, devrait être un phare de la recherche et de l’innovation…

    •  » la seule raison réellement déterminante du succès économique des USA : les interventions et les financements massifs de l’état fédéral en direction de la recherche et de l’innovation,  »

      Pas faux, mais on peut prendre aussi le raisonnement inverse. L’importance des investissements privés dans les plus prestigieuses universités publics et les pôles de l’innovation. La NASA ne serait pas ce qu’elle aujourd’hui sans les partenaires privés.

      Vous arrivez à critiquer l’un des domaines où l’argent des contribuables n’est pas jeté par les fenêtres.

      • Pas d’acciod avec votre intro : c’est faux, les interventions de l’État fédéral ne sont pas la seule raison déterminante (etc).
        C’est une des raisons, mais la première est l’amour de la liberté, des libertés individuelles, et de leur corollaire, la responsabilité individuelle – comme le dit Yves81 plus haut – car cette qualité « culturelle » entraîne tout le reste.
        Les Américains aiment peu l’État, en tout cas moins que les Français, ce qui contredit totalement l’idée que l’interventionnisme étatique soit la première raison de leur succès économique.

  • Les petits américains n’apprennent pas le marxisme depuis l’école primaire jusqu’à l’université.

    • Exact, ils apprennent dès le plus jeune âge l’épopée de la conquête de l’Ouest, l’héroïsme de ceux qui se jettent à l’eau, pour voir …
      Et s’ils ne deviennent pas tous héroïques, ils ont envie d’aider ceux qui prennent des risques y compris après des échecs.

    • Mais hélas de nos jours ils apprennent en accélère la doxa marxiste anti capitaliste post moderniste etc. dans la grande majorité des universités… Qui deviennent en plus de plus en plus chères. Heureusement pour eux étudier a l’Université n’est pas du tout nécessaire aux US pour réussir, même dans les grandes entreprises…

  • L’ambition des petits américains n’est pas de devenir fonctionnaires.
    Et leur rêve n’est pas de s’expatrier dans un pays offrant des opportunités par le travail.

  • Les petits américains admirent et respectent les riches, comme exemple à suivre de gens qui ont réussi.

  • Il ne parle pas de cet « article » de l’armée américaine qui emploi 1.347.000 personnes en 2015, avec un budget de 600 milliards de dollars. Sans compter les centaines de milliers d’emplois directement dépendants de l’armement. Non non.. un oubli sans doute. Une paille…
    Et puis sur la productivité et le nombre d’heures, selon l’entreprise Expermarket reprenant les chiffres de l’OCDE de 2015 et de la CIA de 2015, les USA sont dépassés en productivité par heure par Luxembourg, Norvège, Australie, Suisse, Pays-Bas, Allemagne et Danemark, et dans chacun de ces pays, le durée moyenne de travail est jusque 15% inférieure aux USA.
    Les USA ont des qualités, mais le nombre de travailleurs pauvres ou devant cumuler deux emplois est plus élevé. Et si votre définition du bien-être ne se calcule qu’à l’argent sur votre compte, c’est que vous êtes restez aux cours d’économie du siècle passé… Comme disait Napoléon au sujet des ouvriers qui travaillaient 7J/7 : « ils mangent aussi 7 jours par semaine non ? « . Conception archaïque.

    •  » dans chacun de ces pays, le durée moyenne de travail est jusque 15% inférieure aux USA.  »

      Il faut relativisé vos propos. Moins vous travaillez en touchant un même salaire comme avec la loi des 35 heures plus vous devez être productif. Par contre en matière de compétitivité économique les USA sont parmi les plus compétitifs de la planète.

       » Les USA ont des qualités, mais le nombre de travailleurs pauvres ou devant cumuler deux emplois est plus élevé.  »

      Il est toujours préférable d’être pauvre et d’être sur le marché du travail même en cumulant plusieurs emplois que d’être pauvre sans emploi. Quand vous travaillez vous n’êtes pas un exclus en marge de la société et vous pouvez accéder plus facilement à l’ascenseur social.

      • vive les travailleurs pauvres alors ? Ceux qui bossent mais doivent vivre dans leur voiture ? Ils n’accèdent pas à l’ascenseur social, ils restent dans la masse informe des petites mains.

        •  » vive les travailleurs pauvres alors ?  »

          Est-ce que j’ai affirmé que c’était bien d’être pauvre? Est-ce que j’ai affirmé que l’ascenseur social est automatique quand on a un emploi?

          Relisez mon commentaire. J’ai simplement dit que c’est plus facile d’accéder à l’ascenseur sociale quand on a un job même précaire. Alors que quand on en pas de travail vous ne le pouvez pas.

          On ne peut que gravir les échelons d’une entreprise et gagner mieux sa vie que si on a un job. Si vous n’arrivez même pas à comprendre cela je peux plus rien pour vous.

          • ne me faites pas le coup du « je ne peux plus rien pour vous » svp. On est sur un site sérieux avec des discussions sérieuses. L’ascenseur social est en panne depuis un bout de temps en France en tout cas. Et aux USA, il fonctionne beaucoup mieux MAIS pour redescendre, ce n’est pas un ascenseur mais un vide-ordure.
            Depuis que je fréquente Contrepoints, j’ai beaucoup appris, et notamment que les mythes et conceptions socio-économiques ont la vie dure et servent souvent de rocher à des moules qui ne voient pas que le monde a changé.

            • Le monde n’a pas vraiment changé. La façon dont on le raconte dans les salons a légèrement évolué (pas forcément en bien) mais c’est tout. La nature humaine et donc les lois de l’économie n’ont pas bougé, les lois physiques sont probablement immuables, bref, ce bon vieux monde reste ce qu’il est pendant que les pédants se gargarisent de « mais en 2018 on ne peut plus penser ci ou ça… »

              • Ben on a quitté la féodalité si vous n’étiez pas au courant. Ya eu les Lumières, la Révolution Industrielle, le marxisme, etc.. des choses/points de vue/organisations socio-politico-économiques que le monde n’avait pas connu avant. Et l’écologie politique est aussi assez nouveau. Tout comme il est impensable de nos jours de voir deux pays européens (je ne dis pas impossible) envoyer des centaines de milliers d’hommes et de femmes s’entretuer. Les lois de l’économie ne sont pas « naturelles », elles sont édictées par les hommes et leur temps. Si aucun investisseur ne s’inquiétait du bilan carbone ou de l’implication du développement durable dans leurs choix de placements, ce n’est plus le cas aujourd’hui, même si ce n’est pas systématique. Les banques proposent des instruments financiers répondant à des critères, les particuliers sont sensibilisés, la banque Triodos, etc… Et puis la fin de l’esclavagisme (si si c’est fait) a changé les données de l’équation. Tout comme l’introduction de l’Euro. Ya de l’offre et de la demande etc, bien sûr. Mais c’est comme dire que Homo Erectus et Homo Sapiens n’ont pas changé car ils ont 2 bras et 2 jambes tous les deux.

            •  » ce n’est pas un ascenseur mais un vide-ordure.  »

              Et c’est vous qui parliez d’un site sérieux avec des discussions sérieuses? Les  » ordures  » apprécieront.

              • Pouvez-vous me dire à quel moment j’ai traité quelqu’un d’ordure ? Il va falloir revoir les nuances du langage. Métaphores, images, analogies, comparaison, etc. Et la bonne foi. Si si j’insiste.

            • L’ascenseur US fonctionne dans les deux sens. Mais même une fois redescendu vous avez toujours la possibilité de remonter.
              En France, s’il est difficile voire impossible de monter pour beaucoup, il est aussi facile de descendre qu’aux USA. A vous de voir ce que vous préférez. C’est souvent fonction de la position que vous avez déjà sur l’échelle de l’ascenseur…

    •  » Il ne parle pas de cet « article » de l’armée américaine qui emploi 1.347.000 personnes en 2015, avec un budget de 600 milliards de dollars. Sans compter les centaines de milliers d’emplois directement dépendants de l’armement. Non non.. un oubli sans doute. Une paille…  »

      Et le budget du secteur publique français qui emploie plus de fonctionnaires que la plupart des pays industrialisé qui donne du travail à des milliers de travailleurs du privé pour construire toutes les infrastructures publique ( routes, ponts, tunnels, écoles etc… ) pour l’armée ( armes avions véhicules ) Pour les transports publiques ( Train, TGV, bus, rames de métros etc…)

      Et pourtant on ne parle pas de la France comme une économie de plein emplois. Allez savoir pourquoi?

  • Bizarre… À lire certains commentaires sur les USA, pays où j’habite depuis plusieurs décennies, je me demande si je ne suis pas prisonnier dans un univers parallèle. Alors je me frotte les yeux, je me pince pour vérifier que je suis bien vivant. Non, décidément, nous ne vivons pas dans cet enfer que l’on décrit dans une certaine presse française subventionnée. Il doit y avoir quelque chose dans l’air qu’on respire ici, ou bien dans l’eau que nous buvons, car les Américains se plaignent rarement. Quant à faire grèves à répétition et à descendre dans la rue et brûler des voitures? Les Français, par contre, sont champions dans ce domaine. Les Américains, eux, préfèrent voter et quand ils ne sont pas contents, ils ne se privent pas de le faire savoir, comme très récemment. Quant aux Français qui arrivent chez nous (de plus en plus nombreux), ils adoptent très vite notre mode de vie. Pourtant, avec tous les problèmes que nous avons plus tout ceux que les autres ne manquent jamais de nous jeter à la figure (réels, montés en épingle ou inventés), il y aurait de quoi sombrer dans la déprime! Pas de doute, il y a quelque chose dans l’air…

  • 15% des américains vivent avec les tickets d’alimentation…

    • Oui et 103 millions en age de travailler ne travaillent pas, alors parler de plein emploi ou presque…

      •  » Oui et 103 millions en age de travailler ne travaillent pas, alors parler de plein emploi ou presque…  »

        Le taux d’actif est peut-être moins important ( moins de 70% de la population ) que dans certain pays comme la Suisse. Mais il est plus ou moins pareil qu’il y a 40 ans et cela malgré l’augmentation de l’espérance de vie et des départs à la retraite anticipée. Si vous déduisez les chômeurs officiels ( 3% de la population active ça fait beaucoup de monde ) + les étudiants dés 18 ans qui étudient plusieurs années jusqu’à la fin de leurs études universitaires et toutes les femmes ou hommes au foyer qui s’occupent de l’éducation de leurs gosses parce que le conjoint gagne assez pour faire vivre sa famille ça relativise beaucoup votre chiffre de 103 millions de personnes sans emploi qui seraient victime d’un marché du travail qui ne créerait pas assez d’emploi.

    • @ olivier
      Et combien de pauvres en France? Cessez ces statistiques uniquement à charge en oubliant systématiquement de parler des nôtres malgré un état soi-disant secourable qui nous coûte cher!
      Selon l’OCDE, les dépenses publiques américaines aux niveaux fédéral, régional et local ont représenté 38 % du PIB, contre 44 % en Allemagne, 51 % en Italie et 57 % en France.

  • bonjour,
    les USA peuvent effacer leur dette grâce au dollar.
    Il n’a plus de contrepartie en or.
    Il suffit de le « démonétiser » et le remplacer par une autre monnaie et il n’y a plus de dette.
    Cdt

  • Le point le plus important de l’article est le premier, et aussi le fait que le socialisme/communisme n’ait jamais pris grâce au maccartysme.

    En face, l’europe est largement socialiste. Dès qu’on veut créer quelque chose tout le monde fait appel à l’état ou à l’UE.

  • La zone euro est la seul zone économique qui export plus qu elle n importe. Quelle réussite !

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