Fin du communisme : rappel pour les nostalgiques et autres « progressistes », 30 ans après

Avis aux « progressistes » amateurs d’utopies égalitaristes : ceux qui appliquent aujourd’hui une idéologie communiste crèvent de faim.

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Fin du communisme : rappel pour les nostalgiques et autres « progressistes », 30 ans après

Publié le 9 novembre 2019
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Par Nicolas Lecaussin.
Un article de l’Iref-Europe

Il y a trente ans le mur de Berlin tombait et avec lui s’effondrait l’idéologie communiste. Même s’il ne reste aujourd’hui dans le monde que deux régimes vraiment communistes, Cuba et la Corée du Nord , quelques pays continuent à s’en inspirer et à appliquer, au moins partiellement, les méthodes socialistes-marxistes pour leur économie ou leur système politique.

Parmi eux, le Venezuela, la Mongolie, le Vietnam, le Laos, le Cambodge, plusieurs pays africains dont le Zimbabwe ou la Tanzanie et, pour ce qui est du parti unique, la Chine. Il existe d’énormes différences entre ces pays et l’on doit toujours rappeler que l’essor économique de la Chine date du moment où elle a opté pour le capitalisme. Elle n’aurait jamais atteint le niveau qui est le sien actuellement si elle n’avait pas fait ce choix.

La mondialisation, le capitalisme, ne sont certes pas sans défauts. Mais, il faut apparemment le marteler encore et encore, le monde ne s’est jamais aussi bien porté qu’aujourd’hui.

Les nostalgiques, les amnésiques et les « progressistes »

On trouve encore, malgré tout, des nostalgiques de l’idéologie totalitaire, des utopistes plus ou moins authentiques qui soutiennent que « une autre voie serait possible » ; une voie qui trouverait ses sources dans un marxisme remis au goût du jour par les apôtres de l’égalitarisme, les adversaires du capitalisme, les ennemis de la mondialisation.

Ou par les amnésiques de l’histoire, ajouteront certains, car ils sont nombreux à le penser : qu’il existe encore un parti communiste dans quelques pays et notamment en France, est une honte. Qu’un grand nombre de jeunes soutiennent le marxisme est au moins aussi grave et inquiétant : selon les derniers sondages, 33 % des millennials américains approuvent le communisme et 70 % seraient prêts à voter pour un programme socialiste.

Début octobre, le Parlement européen a adopté une résolution mettant sur le même plan les atrocités nazies et communistes, soulignant le caractère intrinsèquement criminel des deux idéologies. On n’en a pas assez parlé.

Tous ceux – jeunes, vieux, intellectuels, politiques, journalistes – qui se réclament du communisme, le défendent ou le justifient, savent-ils vraiment de quoi il s’agit ? Ou ne veulent-ils pas le savoir ? Court rappel des faits et des réalités.

Le communisme est synonyme de catastrophe économique et de crime de masse

1. Le communisme n’est jamais arrivé au pouvoir par voie démocratique. Il a toujours été imposé par la force ou par le trucage des élections. La Révolution d’octobre en Russie s’est transformée en coup d’État bolchévique.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, il y avait moins de 1000 communistes en Roumanie, environ 8000 en Bulgarie, 15 000 en Yougoslavie, 20 000 en Pologne, 30 000 à peine en Hongrie. Ce sont les chars soviétiques et les pressions venant de Moscou qui ont amené les partis communistes au pouvoir.

2. Contrairement à l’un des clichés les plus répandus, les crimes du communisme n’ont pas été le résultat d’un quelconque dévoiement. Le caractère totalitaire, et donc criminel, de l’idéologie était bien présent dans les premiers documents produits par les théoriciens du communisme ainsi que dans les manifestes politiques distribués avant qu’ils prennent le pouvoir.

En 1916, Lénine rédige un texte à l’intention de Kievski, pseudonyme du responsable bolchevique Georges Piatakov, dans lequel il insiste sur l’importance d’une réaction violente aux massacres de la guerre. Le terrorisme révolutionnaire de masse doit être le moyen « unique » pour changer de société. Lénine l’écrit clairement dans le texte de 1916 cité plus haut : « Le mot d’ordre qui indique à la fois le moyen le plus rapide de sortir de la guerre impérialiste et le lien entre notre lutte contre cette dernière et la lutte contre l’opportunisme, c’est le mot d’ordre de guerre civile pour le socialisme. »

3. Ceux qui veulent réhabiliter Marx afin de nous « sauver » du capitalisme, devraient relire ses textes. Car le crime communiste est annoncé aussi chez Marx et Engels.

Lorsque, dans un article publié en 1849, dans la revue Neue Rheinische Zeitung, Engels demande « l’extermination des Serbes et autres peuplades slaves, ainsi que des Basques, des Bretons et des highlanders d’Écosse », il ne fait que tracer les grandes lignes des programmes d’extermination nazi et communiste. « Une fois au pouvoir, les communistes doivent être des monstres. », peut-on lire dans leur correspondance.

Pour Marx, « la torture a donné naissance aux plus ingénieuses innovations […] en créant de nombreux emplois nouveaux ». Les deux, Marx et Engels, souhaitent la disparition de la bourgeoisie comme classe mais aussi des « peuples réactionnaires et faibles ». Ces derniers sont des « déchets ethniques ».

4. Partout où ils ont été au pouvoir, les régimes communistes ont instauré la terreur et le crime. Leurs méthodes économiques ont débouché sur des famines et des pénuries généralisées. Il n’existe aucun exemple au monde de réussite du communisme.

5. Le communisme est une utopie criminelle, une idéologie absolutiste, pas une religion. Contrairement à la religion, il promet le paradis sur Terre et non après la mort. Le dogme communiste, partout où il a été appliqué, a détruit l’Homme et l’a soumis au parti et à ses sbires, pas à un Dieu tout-puissant. Le communisme est la négation de la vie avec, comme l’écrivait Alain Besançon, la « falsification du Bien » en tant qu’idée centrale.

6. Il n’y a pas de système plus inégalitaire que le communisme, entre les apparatchiks au pouvoir d’un côté et le peuple de l’autre. L’individu ne représente rien, n’a aucune valeur, ce n’est pour le socialisme qu’une pâte à façonner pour en faire un « homme nouveau ». Sur lequel le parti a un droit de vie ou de mort. Même les enfants sont tués ou réduits à l’esclavage, condamnés aux travaux forcés dans les camps.

7. L’économie communiste ne repose sur aucun critère logique, n’a aucun fondement. L’État détient tout et redistribue selon son bon vouloir. Les statistiques n’ont aucun sens car elles ne s’appuient sur aucune réalité économique. Elles sont truquées en fonction des demandes du pouvoir.

8. Contrairement à un autre cliché tenace, le niveau de vie ne s’est pas détérioré après la fin du communisme. Au contraire, après quelques années difficiles de transition, inévitables pour redonner vie à des économies en faillite, la croissance et les richesses sont revenues dans les nations anciennement communistes.

Le PIB par habitant a plus que doublé depuis 1990 dans la plupart ; certaines, comme la République tchèque, la Hongrie, la Pologne ou plusieurs anciens pays yougoslaves, comptent même aujourd’hui parmi les plus dynamiques économiquement. Tous les pays sortis du communisme, sans exception, sont plus riches aujourd’hui qu’en 1989.

Les donneurs de leçons nostalgiques du marxisme ne cessent de se moquer, depuis 30 ans, du politologue Fukuyama et de son célèbre essai intitulé La Fin de l’Histoire. L’évolution du monde depuis 1989 lui donne cependant raison.

A-t-on découvert depuis un autre système qui fonctionne, hors l’économie de marché fondée sur la liberté d’entreprendre ? Ceux qui l’ont refusé crèvent de faim comme à Cuba, au Venezuela ou en Corée du Nord.

D’autres, qui rechignent à l’appliquer pleinement, stagnent dans une relative pauvreté. En réalité, c’est bien le capitalisme qui a atteint les objectifs économiques et sociaux du communisme, enrichissant la classe ouvrière et réduisant les inégalités.

Avis donc aux « progressistes » amateurs d’utopies égalitaristes. Profitons de nos libertés démocratiques et économiques. Tout en essayant de les améliorer.

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  • Pour une liste des famines marxistes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_famines ( avec une grossière sous-évaluation des victimes du « grand bond en avant )

    • Tout à fait(bien que Wikipédia « édulcore » un peu trop en minorant ces crimes) ! communisme, socialisme, écologisme et j’en passe constituent les cancers de notre monde

  • Mais aucun des ex-satellites n’a rattrapé l’Europe ex-libre au niveau des soins de santé. ( https://ec.europa.eu/health/state/country_profiles_fr )

  • Heureusement , les mauvaises idees ne durent pas très longtemps ,combien d’annees pour le communisme avant qu’il ne s’ecroule ?
    Espérons que l’ecologisme ,neo communisme , ne dure pas aussi longtemps et que je verrai sa chute autrement que du ciel !

  • En tous les cas en France nous avons tout un secteur public qui ne jure que par le communisme.

  • Réduire « un autre monde est possible » et une tendance à l’égalitarisme (le pur égalitarisme est à fuir absolument, j’en suis convaincu, mais je parle de la lutte contre les inégalités, d’un égalitarisme « light » en gros) à du communisme est une nouvelle démonstration de la pensée binaire trop présente dans les penseurs libéraux.

    • Vous ne comprenez pas que le communisme ou le socialisme « light », ça n’existe pas. Une fois que vous mettez le doigt dans la machine, elle finit par vous avalez tout entier. Certes, cela prend du temps dans les pays démocratiques.
      Les « inégalités » est un concept abstrait, de quoi parle-ton ? Tout le monde doit avoir le même physique, la même santé, la même intelligence, la même chance, le même charisme, etc ?
      Nous vivons dans un monde de différences et c’est cela qui fait le sel de la vie. Dans une société de clones, vous n’auriez rien à apprendre de l’autre.
      L’important est que nous partions tous sur la même ligne de départ (les mêmes droits (à définir par la loi) garantis pour chacun et ensuite chacun se débrouille dans ce cadre.

      • le communisme ou le socialisme « light », ça n’existe pas. Il existe des totalitarismes qui avancent masqués (on peut penser à l’écologisme actuel). Il ne faut pas non plus oublier que ce sont toujours de bonnes intentions qui sont affichées par les totalitarismes (l’amélioration du sort de la classe ouvrière, sauver la planète, mais aussi « libérer » les moeurs ou les échanges…).
        Le point capital de discernement est le respect de la personne humaine et des différences « qui font le sel de la vie ». Dès qu’il y a contrainte (pour autre chose que le respect des droits fondamentaux) ou uniformisation, cela doit éveiller notre attention.

    • Pensée binaire peut-être, mais pas stupide, comme la vôtre, qui nous explique que l’égalité réelle c’est mal, et ensuite qu’un peu d’égalité réelle c’est bien. Quelle finesse !
      Vous faites exprès d’être socialiste ?

    • Certes nous sommes binaires. Fondamentalement, vous êtes libre ou vous ne l’êtes pas. Dire vous êtes libre de mais sous telle condition n’a aucun sens.

      Maintenant, SVP, faites nous partager votre esprit supérieur et dites nous comment vous faites la synthèse d’un régime qui assurerait la liberté de tous tout en nous rendant plus égaux les uns que les autres.

  • Les pro-système en France sont communistes. Même en leur faisant lire cet article de force ils refuseraient l’évidence. C’est ça la force du communisme. De se nourrir des peurs et des vices humains. Je ne crois pas que les gens aiment vraiment cette forme de politique. C’est plus pour combler un vide de leur être. Quoi de plus rapide et simple que de sombrer dans cette violence gratuite de destruction des autres. C’est très triste finalement de constater qu’autant de gens souffrent de leur existence et ne rêvent que de détruire celle des autres.

    • Si je résume les gens ressentent un vide terrifiant. Pour le combler ils cherchent à détruire les autres. C’est curieux ! Une fois les autres détruit il ne reste rien, je ne vois pas comment on peut ainsi combler du vide avec rien.
      Vous ne le savez peut-être pas mais en dehors de quelques réthoriques qui masquent la réalité, les pauvres détestent les pauvres plus que les riches puisqu’ils rêvent de devenir riches et certainement pas de rester pauvres. Toutefois comme les riches ont tendance à rester entre eux (ils ont en effet plus en commun toutes sortes d’affinités), les pauvres font contre mauvaise fortune bon coeur. Ce n’est pas de l’idéologie c’est du pragmatisme.

      • Pour mieux vivre leur vide, ils veulent que tout le monde vive le même. C’est simple à comprendre pourtant. Ils veulent donc que tout le monde soit pauvre.

        • Vous pourriez préciser qui sont ces « ils » ? Si vous pensez aux pauvres vous êtes dans une généralisation de ce que souhaitent une minorité. Vous parlez de cette minorité, je parle de la majorité. La vie est majoritairement faite de nuances, ce n’est pas tout noir ou tout blanc, ni chez les riches ni chez les pauvres ou quelque soit le clivage choisi. Si les riches sont dans l’outrance, cette majorité aura tendance à rallier la minorité, si à l’inverse cette minorité est dans l’outrance, la majorité aura tendance à leur tourner le dos. Opposer bêtement les riches et les pauvres n’a pas de sens sauf pour les minorités de part et d’autres qui en font une affaire doctrinaire. C’est d’ailleurs ainsi que l’on peut classer en première approche les régimes politiques : la démocratie laisse tout ce monde s’exprimer, l’autoritarisme écrase l’extrême opposé et le totalitarisme ne maintient que la minorité au pouvoir. Au sujet de la démocratie, si elle ne veut pas tomber dans une sorte de dictature du milieu, doit éviter de museler les extrêmes.
          C’est simple à comprendre pourtant non ?

  • Nr pas oublier la cpnférence de Yalta où le monde a été divisé en trois par un ivrogne, un paralytique syphilitique et un boucher

  • Oui, on ne répétera jamais assez les bienfaits du capitalisme qui a tiré de la misère tous les peuples qui l’on adopté.

    • Le capitalisme est comme l’air que l’on respire on ne peut pas s’en passer . Ce qui nous a permis de progresser est le liberalisme economique , liberalisme totalement absent du syteme communisme ou socialiste qui est un capitalisme sous un controle politique a but totalement inegalitaire puisqu’il cree deux peuples , les privilégiés du systeme et leur dégénérescence par consanguinité et les autres..

  • Petite correction à cet article ô combien juste : les chars soviétiques ne sont jamais entrés en Yougoslavie, Tito a été très ferme là-dessus. C’est d’ailleurs une des causes majeures de sa brouille avec Staline et du traitement particulier de la Yougoslavie par l’Ouest tout le long de l’existence du Rideau de Fer (qui passait, de fait, plutôt à l’Est qu’à l’Ouest de la Yougoslavie).

  • « A-t-on découvert depuis un autre système qui fonctionne, hors l’économie de marché fondée sur la liberté d’entreprendre ? Ceux qui l’ont refusé crèvent de faim comme à Cuba, »

    A Cuba ?? Le lien (un billet de … Contrepoints) ne renseigne aucune personne ayant crevé de faim !!

  • Pour faire un tout petit pas de travers à cet article, je mets en lien le blog de Régis de Castelnau, avocat communiste qui, malgré quelques égarements excusés d’ avance par ses convictions profondes et sincères, y émet régulièrement des réflexions très intéressantes du point de vue stricto sensu du droit.
    A suivre également Jean claude Michéa.

    https://www.vududroit.com/
    https://www.lefigaro.fr/vox/culture/michea-pour-l-honneur-du-peuple-20190614

  • On n’a jamais vu un citoyen de pays capitaliste risquer sa vie pour quitter son pays et s’installer dans un pays communiste. L’inverse est vrai tous les jours. On n’ a jamais vu non plus un champion Américain se faire la belle lors d’une compétition en pays communiste. Ce sont bien les pays capitalistes qui attirent les « malheureux chez eux ». Ces pays capitalistes dont on voudrait nous faire croire que leur « ultralibéralisme » fait de la vie des pauvres un enfer.

    • ici on est contraint ( de consommer) par notre liberté.. extinction rebellion..

    • Si si, des citoyens de pays capitalistes se sont installés en pays communiste, soit suite à rencontre amoureuse (Cuba, URSS) soit professionnellement (Vietnam, Cambodge). Mais sans risquer leur vie en partant bien sûr.
      Les pays capitalistes attirent chez eux bien sûr du fait de la profusion économique et de la liberté, je ne suis pas en train de dire qu’on est mieux dans un pays communiste bien sûr. Et il est évident qu’il est hallucinant de toujours critiquer le capitalisme, soi-disant un drame pour les pauvres.

  • « Profitons de nos libertés démocratiques et économiques » tant qu’elles existent encore en France …

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François Kersaudy est un auteur, historien reconnu, spécialiste de la Deuxième Guerre mondiale et de l’histoire diplomatique. Auteur de De Gaulle et Churchill (Perrin, 2002), De Gaulle et Roosevelt (Perrin, 2004), il a aussi écrit une biographie de Churchill pour Tallandier, et une autre consacrée à Lord Mountbatten pour Payot. Il est aussi l’auteur d’ouvrages consacrés à l’Allemagne nazie.

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