Pourquoi le marché de la musique pulvérise-t-il tous les records de revenus ?

Redécouvrez les talents économiques de… Mozart et Beethoven, qui n’étaient pas seulement des artistes mais aussi des hommes d’affaires.

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Capture d'écran vidéo de l'Ecole de la Liberté

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Pourquoi le marché de la musique pulvérise-t-il tous les records de revenus ?

Publié le 2 juin 2019
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Par Corentin de Salle.

« Croyez moi, mon unique objectif dans la vie, est de gagner le maximum d’argent. Car après une bonne santé, c’est la meilleure chose à avoir. »– Mozart

Redécouvrez les talents économiques de… Mozart et Beethoven, qui n’étaient pas seulement des artistes mais aussi des hommes d’affaires.

 

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  • le marché de la musique pulvérise tous les records de revenus, mais pas pour tout le monde.

  • j’aime la musique ; un moment de douceur et d’évasion dans un monde de brutes et de fous ;

  • Que d’absurdités dans cette vidéo ! « Il peut y avoir beaucoup de prince, il n’y aura qu’un seul Beethoven » signifie que la créativité restera dans l’histoire, contrairement à l’argent, et non l’inverse. « Mozart et Beethoven était populaires ». Non. La musique classique était une musique de cour, réservée à une élite, financée par les rois ou les aristocrates, bien souvent sous perfusion d’argent public. Le blues est un cri de désespoir, un désir de liberté. Le rock a acquis ses meilleurs représentants (Beatles, door, Hendrix, Floyd…) via la génération 68, contre la guerre du Vietnam, les hymnes à la liberté et le rejet du système, devenus aujourd’hui les bobos que vous détestez tant. Les musiques électroniques naissent des raves libres. FREE party.
    La musique est un désir de liberté et d’émancipation, c’est une grave erreur philosophique que de confondre le concept de liberté (qu’il soit contre l’état ou le système capitaliste) avec la quête d’argent. Même si certains on amasser de petites fortunes, ceux qui ont cherché à bâtir leur carrière uniquement pour de l’argent n’ont pas durer plus longtemps que le cycle d’un tube.

  • Autre absurdité : » l’opéra est tout à fait rentable ». De tout les styles musicaux, l’opéra est le plus subventionné, partout dans le monde. Le taux d’autofinancement (hors infrastructure et formation des artistes, qui sont aussi des financements publics) est un peu partout inférieur à 50%. Un festivalier d’Aix en Provence ne paye même que 16% du prix réel du billet ! Ce qui confirme la loi de beaumol. Évidemment, à moins d’assurer l’opéra par un dj, on voit mal comment un opéra pourrait faire des gains de productivité, ou un conservatoire d’assurer ses cours via des tuto YouTube et les répétitions en visioconférence ! C’est absurde.

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