Heureusement, nous ne manquerons pas de catastrophes

Alors que les exhortations contre le réchauffement climatique se font tous les jours plus ridicules, une nouvelle catastrophe va prendre la suite.
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Heureusement, nous ne manquerons pas de catastrophes

Publié le 18 février 2019
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Puisqu’il est absolument certain qu’il y a réchauffement climatique, qu’il est absolument certain qu’il est directement dû à un taux de dioxyde de carbone frisant l’abominable aux fers chauds, qu’il est tout aussi certain que c’est l’Homme qui en est responsable, la conclusion logique est qu’il est absolument certain que nous devons, tous ensemble tous ensemble tous ensemble, faire d’amples sacrifices pour éviter la catastrophe à venir.

C’est donc partant de ce postulat aussi sain que pondéré et malgré la logique un peu scabreuse qui admet bizarrement que la catastrophe est certaine mais qu’il n’est pas trop tard pour se sacrifier qu’on se retrouve actuellement avec une véritable bousculade de petits articles généreusement badigeonnés de journamisme bien gluant dont l’idée générale est qu’avec ce qu’on observe actuellement, c’est certain, nous allons tous mourir.

Peut-être sont-ce les températures clémentes de cette semaine qui poussent les habituels prophètes de malheur à pousser l’alarme climatique biodiverse et éco-consciente ? Apparemment, il suffit que les températures dépassent les 10° en février pour qu’immédiatement, les sueurs méphitiques de la panique s’emparent de certains folliculaires : peu importe qu’il y a eu, de nombreuses fois, des mois de février plus doux encore, il est certain que le réchauffement climatique a encore frappé. C’est un signe, la catastrophe approche.

Alors, à force d’articles alarmistes — lardés de conditionnels qu’on camouflera par une prose facile — et à force de prédire des catastrophes qui n’arrivent pas (mais peu importe, oublions-les), inévitablement, un beau matin, de nombreuses personnes finissent par y croire.

Il faut dire que prétendre que le futur, s’il ne sera pas rose, ne sera a priori pas réellement pire que le présent et qu’il existe même de nombreux signaux indiquant que la situation s’améliore, ça ne rapporte rien ; tout le monde étant maintenant absolument persuadé qu’on court à l’apocalypse au petit trot, celui qui a l’idée saugrenue de prétendre le contraire est immédiatement vu comme un hurluberlu voire un dangereux négationniste qu’il va falloir au mieux faire rentrer dans le rang en lui cognant un peu sur la tête, ou, au pire, dézinguer pour éviter qu’il ne fasse des émules.

Dès lors, il devient évident qu’en matière d’environnement, on aura tout intérêt à se placer dans l’hypothèse où, justement, tout va de plus en plus mal : cette hypothèse est la seule officiellement admise et c’est la seule qui amènera attention et fonds du public sans lesquels il faut bêtement se placer dans le domaine commercial concurrentiel, où les médiocres et les nigauds n’ont pas toujours la vie facile.

Et là, c’est le drame : cet argent public, ce catastrophisme et cette médiocrité assumée ne peuvent pas déclencher autre chose qu’une nouvelle tempête de facepalms bien violents.

Pour une belle tempête, il fallait du lourd.

C’est ce à quoi se sont donc employés Novethic d’un côté, et B&L Evolution de l’autre.

Comme l’explique fort justement Gérard-Michel Thermeau dans un récent article sur Contrepoints, Novethic est un organisme qui dépend du Groupe Caisse des Dépôts, donc payé avec vos sous et qui a essentiellement résumé de façon balistique les propositions consternantes de B&L Evolution, un obscur « bureau d’étude en développement durable », propositions qui ont maintenant fait le tour de tous les réseaux sociaux (dont l’humidité émotionnelle face à l’écologie punitive est légendaire).

Pour nos héros de l’écologie expiatoire, pas de doute : seul un retour au collectivisme le plus complet, au dénuement le plus total et à un avenir le plus triste, sombre et limité permettront de sauver nos miches dans un environnement qui va devenir – c’est absolument certain – le plus hostile possible à mesure que nous ne ferons qu’à l’enquiquiner, nous et nos habitudes qui polluent méchamment.

Cependant, un message aussi violent entraîne son lot de remises en question.

Entre l’instauration d’un couvre-feu, le rationnement d’un peu tout et n’importe quoi (depuis les vols long courrier jusqu’aux vêtements en passant par l’alimentation) et les mesures aussi vexatoires que liberticides, beaucoup prennent rapidement conscience que la mise en place de ces mesures, outre une récession phénoménale et un appauvrissement majeur de tous, ne garantirait en rien une réduction des émissions de dioxyde de carbone tant les pays concernés, France en tête, sont parfaitement minoritaires et insignifiant dans la « facture carbone » mondiale.

Autrement dit et comme d’habitude, on nous propose une flagellation d’ampleur biblique, l’expiation de nos péchés d’Occidentaux dodus par un supplice quasi-génocidaire avec zéro assurance que ça serve quelque chose, si ce n’est bien sûr l’augmentation du pouvoir de nuisance de toutes ces ONG écolocompatibles qui proposent justement ces châtiments élaborés.

Il faut être un gamin ou un adolescent au ventre toujours plein pour tomber dans le panneau et se retrouver à défiler en groupes compacts pour qu’enfin soient mises en place de pareilles mesures, entre deux utilisations de téléphones portables absolument impossibles à imaginer dans le monde que proposent pourtant ces ONG et ces bureaux d’études fumeux gavés d’argent public.

Eh oui : toutes les catastrophes hypothétiques ne déclenchent pas forcément le seul mouvement de panique utile, celui qui consiste à mettre la main au portefeuille. Lorsque l’effort est trop grand, lorsque le portefeuille ne suffit plus, les individus, appauvris et le ventre de moins en moins bien rempli, se remettent à réfléchir.

Pour être efficace, la catastrophe, tout en étant au moins d’ampleur planétaire et menacer notre existence de façon profonde, doit rester pas trop proche et évitable moyennant finances. Promettre des hivers sans chauffage, des étés sans voyage et des endives par tickets de rationnement, c’est suffisamment peu glamour pour détourner les aficionados.

Heureusement, on a déjà trouvé la prochaine catastrophe : tout indique de façon certaine (à condition d’introduire plein de précautions oratoires, de conditionnels hardis et d’analyses statistiques très baveuses) que les insectes disparaissent partout. D’ailleurs, c’est bien simple, c’est forcément aussi exact que précis puisque des dizaines d’articles journamistiques sont sortis en même temps.

Au passage, la lecture attentive de la méta-étude qui a déclenché cette nouvelle tempête nous apprend que les raisons de cette disparition, qui reste statistiquement dans le domaine de l’hypothétique, sont… inconnues. Il va de soi que le réchauffement climatique, les pesticides et les derniers tubes de Christophe Maé ou de Jul sont au premier rang des explications envisagées. Mais la torture statistique n’a pas encore livré de résultats définitifs.

Rassurez-vous : comme pour la beepocalypse, cette disparition catastrophique et fort menaçante des abeilles aussi certaine en 2006 qu’évanescente dans les années qui suivirent, on sait déjà que l’Homme sera responsable. On sait aussi qu’il sera appelé à faire des efforts, de tous ordres, à mesure que la certitude que c’est de sa faute sera religieusement propagée par les ONG, les bureaux d’étude bidulementaux et environementruc puis toute la cohorte de journalistes parfaitement acquis à l’idée qu’une petite ponction, une taxe, une interdiction ou une vexation quelconque sont nécessaire à sauver le climat les insectes.

C’est vraiment pratique, cette méthode, puisqu’on n’est finalement jamais au bout de notre malheur.


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  • Les Khmers rouges ont vidé les villes en un week-end pour mettre tout le monde à la campagne (…et pour massacrer un bon quart de la population in-fine…), leurs enfants, les khmers verts veulent vider les campagnes pour éviter de se déplacer. Décidément, ces gens-là ne savent pas ce qu’ils veulent à part empoisonner la vie de leurs contemporains, quitte à les massacrer pour leur propre bien….

    • Il faut reconnaître que vivre à la campagne comme un citadin est bien plus coûteux, les services étant plus individualisé, créés pour de faible volume d’usagers.
      Mais entre la tendance naturelle à chercher les conditions les plus rentables, et le faible gain à attendre de ces mesures coercitives, je crois qu’on est exactement dans une décision idéologique plutôt que motivée par l’efficacité.

  • Ils vont finir par s’auto-éliminer et nous foutre la paix…
    Les mouches près des poubelles, ce n’est pas ce qui manquait cet été. Les guêpes non plus.
    Hier j’ai vu une abeille sauvage, au soleil de l’après-midi. Le matin, il y avait dans les -4.
    Samedi, un vol d’oies sauvages, hier 2 immenses vols d’oies sauvages.
    Qu’ils ne viennent pas avec la disparition des oiseaux…

    • Ou j’habite c’est tellement blindé de piaf et d’insectes en tout genre que ca en est parfois pénible, dans mon jardin il y a plus d’espèces que je ne saurais compter (qui bouffe allègrement mes legumes pour certaines), et je n’ai plus de poules vu qu’u autour des palombe à décidé que chez moi c’était son frigo.
      (il à même bouffé la chouette chevêche qui nichait dans la maison)

      La nature marche très bien , quand on habite pas en plein milieu de la ville, circulez il n’y a rien à voir.

    • Donc sur base de quelques jours d’observations météo, on ne peut rien dire sur le climat (et c’est vrai), mais vous, sur base d’une observation ponctuelle, vous en déduisez toutes les populations de mouches et d’oiseaux de France ? Vous êtes fort. Malhonnête aussi mais chuuuut. Les fraudes statistiques, les manipulations et les exagérations ne sont que dans le camp adverse n’est-ce pas ?

      • Tiens, voilà un con.vive pour le dîner de ce soir 🙂
        Vite avant que l’on meure noyé par la fonte des glaces…

        • oui ,les convives ne se fatiguent pas et sont affamés , ils osent tout …

        • Merci pour l’invitation mais trop risqué. Vous êtes du genre à mettre le barbecue au charbon à l’intérieur du salon. Sinon… ma remise en cause de votre « argument » vous a plu ? C’est embêtant ?

          • Mais pourquoi donc pensiez vous que je vous inviterais ❓
            Vous êtes votre propre con.vive :mrgreen:
            Vous vous suffisez à vous même, en auto-gestion, auto-consommation, auto-invitation.
            Très peu pour moi 😉

            • C’est vrai que je me suffis à moi-même en général. Un vrai libertarien qui ne doit rien à personne 🙂

              • Ben voilà, vous faites des progrès. Si vous vous ennuyez, mettez un miroir : vous serez deux 😉

              • @Amady
                Bonsoir,
                « C’est vrai que je me suffis à moi-même en général. Un vrai libertarien qui ne doit rien à personne »
                Je me permets de décortiquer votre pensée :
                libertarien ==> libéral ==> libertés individuelles ==> individu ==> individualiste ==> égoïste ==> égocentré ==> repli sur soi ==> nationalisme ==> facho-nazi-d’extrême droite.
                Je caricature un peu, mais j’ai bon ?

  • En tant que néo-écolo, je vous somme d’écouter ce message qui ne pourra pas vous laisser indifférent : CROAAA (cri de l’oiseau de malheur).

  • Merci pour cet article, de la science dérivant vers une pseudo science corrélative à but purement politique, masquant le socialisme larvé de frustrés de l’histoire qui rêvent du grand soir

  • Annoncer une catastrophe, puis tout faire pour qu’elle arrive, même si ce n’est pas exactement la même : Plutôt cohérent, non ?

    • @jesuisunhommelibre
      Bonsoir,
      C’est cohérent aussi avec le fait que cette catastrophe permet de « lever des fonds publics » pour lutter contre cette catastrophe. J’ai lu ou entendu, peut-être lu sur CP, que si l’écologisme ne permettait pas de piocher dans les poches des contribuables, cette lubie serait passée à la trappe. Ca aussi c’est cohérent.

  • Difficile de juger si le catastrophisme, ou la « conscientisation » naissent par manipulation ou par génération spontanée.

    En revanche, il me semble qu’ils deviennent rapidement incontrôlables et antagonistes comme dans le mouvement des GJ où l’on voit s’exprimer des idées clairement diffusées par les media, mais amplifiées et déformées et bien sur contradictoires.

    Donc ceux qui créent ces mouvements ou tentent de les canaliser devraient se méfier : le résultat est imprédictible.

    • C’est le problème d’une propagande monolithique qui déverse des âneries à un tel rythme que cela empêche de réfléchir. Le premier réflexe de survie est de couper la télé.

      • et de se réfugier sur Contrepoints pour ne fréquenter que des personnes qui pensent comme vous pour tomber dans le biais de confirmation le plus total et réducteur.

        • @Amady
          Bonsoir,
          Ah ? parce que rester à gober les couleuvres avec les autres ce n’est pas demeurer dans un biais de confirmation le plus total et réducteur, surtout quand les autres voies sont aussi tôt conspuées, et mises au ban ?

      • A La petite bête.
        « Le premier réflexe de survie est de couper la télé. »
        Bien dit ! Cela fait plus de 10 ans que je n’ai plus de télé et je m’en porte très bien. A cet objet, que je qualifiais de machine à crétiniser, il faut lui rajouter aujourd’hui celui de propagandiste !

  • Si 40% des insectes ont déja disparu comme j’ai entendu a la radio récemment, comment se fait il que 99% de leurs prédateurs n’aient pas disparu?
    Ils mangent des tartines a la place?

  • Je n’ai même pas pris la peine d’approfondir le coup de la disparition des insectes. Etant donné leur nombre et leur faculté d’adaptation et de nuisance, cela me semble totalement loufoque.

    Bien sur j’ai peut-être tort de ne pas m’affoler au point de grimper au mur des lamentations, mais on en arrive à un niveau de bourrage de crânes tellement élevé qu’il est difficile de croire encore à la presse. Même si je croisais des petits homme verts dans la rue, je ne croirais plus les journaux annonçant le débarquement des martiens.

    A force de crier au loup …

    • Les gens croient aveuglément des « études » basées sur des statistiques (si ce sont des études et s’il y a des mathématiques, forcément c’est vrai…), sans jamais se demander comment sont faites les mesures et quelle est leur part dans les résultats. Cela vaut pour les températures (ils sont où les thermomètres?) , les populations animales (comment on décompte la fourmi d’Argentine?…) ou même les sondages pondus avec une allure qui tient du dérangement intestinal.

      • N’oubliez pas, cher camarade, que votre argument va dans les deux sens. Pour critiquer ces études, vous devez aussi savoir où sont les thermomètres et les méthodes statistiques de comptage des fourmis d’Argentine.

        • Où sont les thermomètre ? Hum ! Non trop facile …

        • ah?
          alors un point;;On ne compte pas les fourmis on estime leur nombre…
          le GROS problème quand on avance qu’on a une estimation fiable du nombre d’insectes est que la seule contradiction possible vient d’un autre pseudo dénombrement fait par une autre équipe et pour cela il SUFFIT de faire d’autres hypothèses…

          ça ne s’appelle pas de la science ça s’appelle de la spéculation faite par des scientifiques.

          une remarque le giec donnait une températures de surface des océans en fin de 19 eme connue au dixième de degré… il ne s’agit clairement pas d’une mesure..c’est ENTIEREMENT dépendant des hypothèses souvent conservatives faites pour la calculer ..

          la science c’est que l’on a montré et que l’on connait avec une incertitude sous contrôle…
          typiquement les dénombrements d’insectes et les températures sont plus de la speculation que de la science..désolé…

          Pour les insectes..

          on a donc un nombre plus ou moins connu..une dynamique plus ou moins connu..
          on a aussi un certain nombre de causes qui sont à m’^me d’expliquer en grande partie l’évolution…
          extrapoler le nombre d’insectes en fin de siècle sans préciser si cela fait sens par rapport aux causes connues est du foutage de gueule..

          je donne un exemple…si en france en une durée donnée , prenons 10 ans , on détruit 10% des mares… et qu’on observe un diminution de 10% de la population de grenouille… pas besoin de dire dans 100 ans plus de grenouilles..les gens comprennent que ce qui compte c’est le taux de disparition des mares..
          pour les insectes..on ne sait pas c’est multifactoriel..on a aucun de raison de s’affoler sur un simple nombre d’insectes…..car on a assez de causes pour l’expliquer..on en a m^me trop..

          • Quand on compte en %, on a aussi des surprises… 10 fois 10% de réduction ne font que 65%…

            • 🙂 en fait j’ y ai pensé mais je ne dis pas ça, une projection linéaire d’une diminution de 10% observée sur 10 ans.. donne bien 100% sur 100 ans. et pas svp pas de débat sur 90 ans 🙂
              . j’ai donc laissé la formulation..mais ça reste un détail..
              c’est d’ailleurs similaire je crois à ce que fond les zozos qui veulent faire peur..

              ce qui importe est l’extrapolation hors cause…c’est typiquement extrapoler la trajectoire d’une voiture sans prendre en compte le conducteur…
              si nous avons des causes suffisantes pour expliquer la diminution du nombres des insectes alors la spéculation doit porter sur l’évolution de ces causes..si il n’y pas lieur dépenser qu’elles changent..extrapoler est absurde.

              en somme l’échelle de temps n’est pas pertinente… ce qui importe est la relation causale..

              tiens au fait ..le giec donne parfois non pas une échelle de temps pour extrapoler la temperature mais une échelle du CO2 émis…..

              la question est les mares disparaîtront elles.. pour savoir si les grenouilles disparaîtront..
              mais bon..

        • Bienvenue au camarade commissaire_politique_nouveau _régime_écologique

      • Ce n’est pas tant où sont les thermomètres qui m’inquiète, mais le fait qu’ils bougent (en place et en nombre) et qu’il faut de « trop » savants calculs pour corriger les données, ou bien qu’ils ne bougent pas alors qu’on à bétonné tout autour mais qu’on oublie de faire des « savants » calculs pour corriger les données.

        • Oui, les méthodes scientifiques et statistiques ne sont pas faciles hein. Mais elles sont vérifiables, reproductibles, réfutables. Je suis curieux de connaître vos qualifications perso…

          • Ce qui est vrai pour les scientifiques l’est beaucoup moins pour les pseudo-experts pratiquant des méthodes pseudo-scientifiques.

    • Il suffit de voir a quoi résiste un cafard… nous serons tous éteints en tant qu’êtres humains avant de voir la disparition des insectes…
      Ce sont des perfections biomécaniques bien plus résistantes que nous.

      • @ragnarok
        Bonsoir,
        En plus, on ne connaît pas le nombre total d’espèces d’insectes vivant sur la planète, ni même animale d’ailleurs.

        • 1992 : reconnaissance au sommet de rio de la biodiversité comme patrimoine commun de l’humanité.
          1994 :La France adopte une convention pour la diversité biologique et opte pour une stratégie visant à la conservation et à l’utilisation durable de la diversité biologique et au partage équitable des bénéfices issus de cette diversité.
          Mais pourtant a l’époque :(1994)
          La diversité du vivant reste pourtant mal connue. A l’heure actuelle, environ 1,7 million d’espèces vivantes ont été identifiées bien que les scientifiques évaluent le nombre total d’espèces entre 2,4 et 30 millions.
          __________________
          Et se sont les insectes qui donnent la fourchette qui va de 2.4 à 30 millions.
          Voila les vraies connaissances qu’utilisent les vrais écologues ! pas les écologistes

  • c’est pourtant facile, si les insectes disparaissent, c’est la faute au glyphosate, qui entre en réaction avec le CO2 de l’atmosphère pour créer un nouveau composé mortel pour tout ce qui a 6 pattes. Puisqu’on vous dit qu’il faut l’interdire de toute urgence !!!

    —> []

    • Pourquoi moinzun ?

      Il faut mettre moizun aussi à l’ensemble des media qui font pire. Sauf que eux ils se prennent sérieux (ou font semblant ?)

  • On remarque au passage que les voyages aériens s’ils seront proscrits pour les particuliers, devraient en revanche être multiplier pour les officiels oiseaux de malheur des bureaux catastrophistes type Novethic et B&L Evolution qui devront se réunir avec leurs homologues pour fêter la survie de la planète Terre, ainsi que ses habitants, moustiques et humains compris.

  • La disparition des insectes ? mdrr Ceux qui pondent des idioties pareilles ont ils déjà vu un insecte ?? A mon humble niveau, j’ai plutôt l’impression qu’ils pullulent de plus en plus..

    • ils ne vous disent pas, jamais! , que les insectes vont disparaître, ils vous disent que si on prend comme vraie la dynamique de la population qu’ils ont calculée..qu’on la suppose plus ou moins constante alors la population tomberait à zéro…en une centaine d’années.
      c’est comme votre neveu qui vous dit tata tu vas aller dans le mur SI tu continues tout droit..

      ce que dit votre neveu est du m^me tonneau que ces scientifiques…exactement du mémé niveau.

      • dans le monde normal de la science…trouver une dynamique de disparition des insectes significative provoque..de nouvelles recherches pour en trouver les causes..puis de les quantifier et alors les scientifiques peuvent se faire non pas des prédictions mais des rappels de causalité éventuels de nos actions..et dire si on fait ça alors ça…

        c’est du militantisme sous habit de science…lamentable.. la science dit la vérité la science ne donne pas de conseil, ne fait pas de politique..ce n’est pas le rôle d’un scientifique d’alarmer.. on constate d’ailleurs que les scientifiques désormais omettent de critiquer des trucs très mauvais quand cela va dans le sens de leur idéologie.

  • Finalement méchancon est cohérent. Moins d’humains pour plus d’insectes et de quinoa. Il est courageux d’admettre que seul le communisme (ou le socialisme), permet de réduire la « prolifération » humaine. Si l’humain est un parasite alors que représente un khmer vert ? Un rat d’égout ? La peur, le climat, les insectes. Et personne pour dire que la seule certitude c’est le résultat d’une politique communiste/socialiste.

  • Si tout est vrai..on a pas a s’inquiéter des pesticides ,ils sont devenus inutiles ,plus besoin de traiter le bois ,le Capricorne est mort …comme les oliviers les troènes les platanes mes géraniums etc etc
    C’est vraiment de grands blagueurs mais ont ils ,un jour , mis leurs petits pieds nikés a la campagne ? Jamais , a part le bois de Boulogne pour les plus intrépides….y a pas un moyen de se débarrasser des cigales , elles me gonflent grave

  • Pourquoi on est GJ, c’est bien qu’on a peur, peur de perdre son emploi, peur d’être déclassé, mais surtout peur d’être matraqué fiscalement sous prétexte d’écologie qui « sauverait la planète » ‘ rien que ça!), peur de ne plus pouvoir dire ce que l’on pense car la bien-pensance verte veille!

    • @Inox
      Bonsoir,
      Le matraquage fiscal est une punition. Cela ne peut être autre chose vu que la France est « responsable » de moins d’un pourcent de la pollution mondiale. (et dire qu’il y en a qui veulent diviser ce seul pourcent par huit !!???)

  • Oui, il y a des endroits où l’hiver est plus froid que d’habitude, l’été plus chaud ou humide (comme actuellement en Australie), mais moi, voyageant beaucoup et en 70 ans, je ne vois pas de différence ?
    Avez vous remarqué que quand les gens n’ont rien à dire, ils montent en épingle des trucs insignifiants, des petits scandales: « mais si ma p’tite dame, untel, y couche avec la femme à vôt voisin ! ». Les écolos catastrophistes, c’est ça !
    Pitié, arrêtons d’ouvrir les colonnes des journaux à tous les catastrophistes. Il n’y a pas de cata et il n’y en aura pas. Au contraire, un avenir matériellement de plus en plus rose, à mon avis ?
    Et le CO2 est excellent pour nous tous !!! Il faut n’avoir aucune connaissance environnementale pour dire le contraire !

    • le type qui dit qu’il a vu quelque chose se fout du monde… il a vu la variabilité météo ou climatique sans pouvoir faire d’attribution causale..
      on peut avoir constater des hivers plus doux des printemps plus précoces surtout quand on a un travail qui a un rapport avec la météo..sauf que faire le rapport avec le CO2 exige de se fier au travail d’attribution du giec du rca observé au CO2 dont, pour des raisons triviales , on peut douter sur le plan quantitatif.

      je vos pas mal de raisonnements circulaires …
      rappel simple on a « observé » un réchauffement au d »but du 20ème siecle que ..on explique pas..
      on a « observé » une montée des océans depuis 1850 qu’on ne comprend pas…

      les modèles ne peuvent bien évidemment pas reproduire cela..pourtant..ils sont jugés « bons » car ils reproduisent la période récente or dans le travail d’attribution une compréhension de la variabilité naturelle du climat est un impératif…..

    • Vous êtes une perle ! Aucune connaissance environnementale en effet ! C’est fou… Je lisais ici que l’enseignement français était en crise, je vois grâce à vous que ce n’est pas récent.

  • C’est bien simple, on en est arrivé à un point tel d’intériorisation de dérèglement climatique, que le bulletin météo du jour vous en apporte la preuve incontestable : le temps qu’il fait n’est pas celui qu’il devrait faire ! :mrgreen:

  • C’est très curieux… il n’y a qu’en France que l’on observe une telle hystérie climatique suivie de solutions les unes plus absurdes que les autres. Vu l’instinct dictatorial de nos politicards pourris, agiteraient-ils le chiffon rouge « sauvons la planète »… pour instaurer
    insidieusement le communisme ? Les répressions violentes des derniers temps ainsi que les dernières lois pondues indiquent cette probabilité…

  • Excellent, comme toujours! Et en plus, vous donnez le moral à ceux qui en ont assez de lire ou d’entendre le radotage délétère des écolos et des réchauffistes!

  • Les commentaires sont fermés.

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