Le capitalisme, seule solution pour sortir de la pauvreté et être libre

Accorder aux gens la liberté de commercer, reconnaître les gens comme des individus différents capables de rechercher leur propre bonheur tel que défini par eux-mêmes est à l’opposé du collectivisme et de l’étatisme.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
Ayn Rand by Scott Beale(CC BY-NC-ND 2.0) laughingsquid.com

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Le capitalisme, seule solution pour sortir de la pauvreté et être libre

Publié le 30 décembre 2019
- A +

Par Chris Hatting1.

On a essayé le collectivisme sous toutes ses formes, malheureusement cela a échoué dans le monde entier. Cela ne pourrait jamais fonctionner même si l’on changeait les personnes responsables de sa mise en œuvre. C’est un système défaillant, à la fois conceptuellement et moralement et qui en plus cause trop de morts.

Pourtant, l’Afrique du Sud semble attirée par cette voie. La croyance en la redistribution de la richesse et le choix récent de l’expropriation sans indemnisation, sont quelques indices qui témoignent d’une volonté d’étendre le pouvoir de l’État au détriment de l’individu. Il est urgent pour l’Afrique du Sud de retrouver la voie du capitalisme.

 

Qu’est-ce que le capitalisme ?

Le capitalisme, c’est avant tout la protection des droits individuels et des droits de propriété. Le capitalisme signifie la diversité humaine. Le capitalisme signifie aussi un système basé sur une vraie concurrence. Les Sud-Africains ont été opprimés par l’État de différentes manières, il est donc temps de leur permettre de bénéficier du capitalisme.

Dans son ouvrage Le capitalisme : l’idéal inconnu, Ayn Rand définit le capitalisme comme étant « le seul système social fondé sur la reconnaissance et la protection des droits de l’individu et, partant, le seul système interdisant la coercition des relations sociales. »

L’Afrique du Sud ne peut pas avoir une économie viable avec une croissance réelle à long terme, si les gens ne sont pas libres d’entreprendre, et, dans l’état actuel des choses, nous ne le sommes pas car l’État dresse toujours plus d’obstacles devant nous.

Un système dans lequel les populations se disputent les faveurs et les offrandes du gouvernement n’a rien à voir avec le capitalisme. Un système dans lequel entreprises et particuliers sont écrasés par des montagnes de bureaucratie et de tracasseries administratives n’est pas du capitalisme.

Un système dans lequel des entreprises (essentiellement publiques) sont protégées ou renflouées par le gouvernement n’est pas du capitalisme. C’est ce que l’on appelle le capitalisme de copinage qui n’est rien d’autre qu’un système reposant sur la corruption.

Actuellement, l’Afrique du Sud est dans ce que l’on pourrait qualifier d’économie mixte : un mélange de liberté et de nombreux contrôles. Ayn Rand a décrit un pays à économie mixte comme étant « en voie de désintégration, une guerre civile de groupes de pression se pillant et se dévorant les uns les autres. »

Tant que nous aurons ce capitalisme dénaturé, tout groupe plus puissant exploitera les ressources de l’État pour son propre bénéfice.

 

Le copinage malsain

Plus l’État grandit, plus il nous contrôle pour conserver sa position. Il n’aime pas la concurrence, en témoigne les entreprises publiques Eskom et SAA, qui ont été protégées et renflouées d’innombrables fois, à des coûts énormes pour les Sud-Africains et pour l’ensemble de l’économie.

Dans un système capitaliste, lorsqu’une entreprise échoue, elle doit en supporter les conséquences : il n’y a pas de plan de sauvetage payé par les contribuables. Peu importe qui dirige le gouvernement à un moment donné, le groupe au pouvoir aura toujours ses favoris, et plus le pouvoir de l’État sera étendu, plus les abus seront nombreux.

 

L’obsession de la redistribution

Le capitalisme est le seul système qui garantit les droits de propriété.

Chaque personne doit être libre de cultiver sa propre richesse pour son propre intérêt. Penser que la richesse d’un pays est fixe, qu’elle doit être divisée de manière à ce que chacun reçoive sa juste part est un raisonnement incohérent. Nous devons raisonner au niveau individuel, pas en termes de groupes arbitraires divisés sur la base de race ou la richesse. Si chacun peut créer de la richesse, la richesse nationale augmentera drastiquement et tout le monde sera plus riche.

 

L’État barreur de routes

Dans le même ordre d’idées, limiter la liberté individuelle signifie que les gens s’enfoncent davantage dans la pauvreté car ils ne peuvent pas se libérer de l’emprise de l’État et perdent ainsi du temps et de l’argent à se débattre pour avancer. Plus l’État est intrusif, plus le mal est grave. Ainsi, l’Afrique du Sud, comme d’autres pays du continent, devrait marcher vers le capitalisme et la liberté, et rompre avec le socialisme et la décadence.

Accorder aux gens la liberté de commercer est radical. Permettre la création de nouvelles entreprises, exemptes de toute réglementation, est radical. Reconnaître les gens comme des individus différents, capables de rechercher leur propre bonheur tel que défini par eux-mêmes, est radical. Le collectivisme est le choix de ceux qui considèrent l’État comme notre sauveur, et constitue l’antithèse même de ce qui est radical. Le capitalisme est le seul choix radical positif pour les Sud-Africains et l’Afrique en général.

Article initialement publié en décembre 2018.

Sur le web

  1. Chris Hatting, analyste for The Free Market foundation
Voir les commentaires (20)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (20)
  • vous auriez plutôt du directement démarrer avec la conclusion, point auquel vous vouliez arriver des le départ « Le capitalisme est le seul choix radical positif pour les Sud-Africains et l’Afrique en général. »
    Pour arriver a cette conclusion, les argument sont…et surtout ne regardez pas à coté.
    Bref pas d’analyse objective de la réalité, aucune place à l’ innovation.
    Et svp ne liez pas capitalisme et liberté, si lien de subordination (au capital) est une liberté, alors ne doutez pas, foncez !
    Bonne année quand même !

    • ok alors oublions le mot capitalisme..
      une société où la coercition est limitée est encadrée par un droit connu..
      le droit de jouir des fruits de son travail,le droit d »échanger librement.. sont garantis..
      vous devez en outre préciser par ce que vous entendez pas lien de subordination au capital.

      • @ jacques lemiere
        C’est toute l’ambiguïté entre libéralisme et capitalisme.
        Capitalisme fait directement lien avec capital. Le terme donc, tout seul, va braquer tous les tentés par le socialisme, peu ou prou, à se dresser contre vous: libéralisme n’égale pas capitalisme: le libéralisme et la propriété privée n’est pas forcément synonyme d’acquisition ininterrompue de richesses, ce qui est l’acception du terme capitalisme, en France, en opposition pure et dure de toute pensée sociale ou sociétale. Il faut bien reconnaître que capitalisme a pris, en France, un aspect anti-social très peu pardonnable et donc condamné dès le mot prononcé! Aux USA, vous enrichir sera considéré; en France, vous serez ou suspecté ou condamné au moins par la réputation! (C’est vrai en France mais pas partout dans l’Union Européenne, loin de là!)

      • Jacques lemière, Vous trouvez que la coercition est limitée ? J’en suis très surpris .
        Au moins ne posez-vous pas votre affirmation en miroir d’avec le régime de la Corée du nord.
        Vous savez à coté de chez nous il y à un pays qui ignore les crises les manifs pour deux balles six sous etc etc … et qui ont un merveilleuse système de retraite et de démocratie.
        Ils sont invité à exprimer leur avis sur de très nombreux sujets, tout en conservant aux gouvernants les décisions d’ordre économique et politique international.
        C’est la SUISSE, vous savez c’est celle que TOUT LE MONDE envie sauf les imbéciles du gouvernement français.

    • Capitalisme et libéralisme.

      Le capitalisme est à première vue d’essence libérale et doit son succès à l’arbitrage efficace de la libre concurrence, forme de sélection naturelle vertueuse.
      Mais à l’usage et à maturité il me semble exposé à une forme de maladie auto-immune
      qui est la rançon de son excellence. C’est
      la tendance au monopole (winner-take-all) qui absorbe toute la clientèle et peut inviter à étouffer dans l’œuf toute forme de concurrence, situation illibérale à souhait.
      Une loi antitrust coupant le monstre en morceaux (Baby bells) n’est que piètre solution (les héritiers peuvent s’entendre). Attendre un improbable miracle aussi (Linux David écrasant Microsoft Goliath). Google et Amazon sont devenus de véritables états transversaux que plus personne ne peut espérer concurrencer mais qui au moins peuvent encore ajouter de la plus-value par conquête de nouveaux territoires commerciaux.
      Donc en effet, on ne peut plus vraiment confondre libéralisme et capitalisme qui ont tendance à diverger après un siècle de mariage harmonieux.
      Ce que nonobstant, bonne année à tous si tant est que ce soit concevable.

  • Le capitalisme a peu de chance d’arriver en Afrique, parce l’individualisme lui est nécessaire, et que ce dernier est antinomique de la mentalité africaine. C’est certes une généralisation, mais globalement ce qui compte pour l’Africain, c’est la famille (très élargie), la tribu et l’ethnie, avec lesquels il faut partager rapidement ce que l’on possède. Ce qui interdit la capitalisation nécessaire à tout projet ambitieux.

    • D’accord et pas d’accord, un peu le problème de la poule et de l’oeuf !
      Quand vous dites que ce qui compte pour l’africain c’est la famille, la tribu, l’ethnie, avec lesquels il faut partager rapidement ce que l’on possède, est-ce la volonté de l’individu qui chercherait à s’émanciper par le capitalisme, ou bien son entourage qui le forcerait à partager rapidement. Pour ma part je penche pour la deuxième assertion.
      Alors, … en Afrique, comme partout ailleurs dans le monde, les individus arriveront à s’émanciper de leurs groupes d’appartenance pour choisir « la vertu d’égoïsme » et en définitive pour le bien de l’Afrique, car c’est la force des choses.

      • @ Pierre MICHON
        Non! C’est facile à dire dans un pays où l’état a organisé la « solidarité » en lieu et place des citoyens qui ne font plus que payer pour ça.
        Mais en Afrique, si vous ne pouvez plus compter sur vos congénères pour palier le manque de sécurité sociale ou de mutuelle, vous crèverez tout seul!
        C’est d’ailleurs l’idée originale des mutuelles!

    • d’ou la stagnation et la misere

    • D’un autre côté, l’Afrique a des mécanismes de type tontine qui permettent de constituer et d’investir collectivement du capital. Il y a sûrement moyen de les utiliser pour s’en sortir.

  • Voilà un article dont la portée est universelle et ne se limite donc pas à l’Afrique du Sud. C’est aussi valable pour la France et donc pour le monde entier.
    Et ce n’est pas un voeu pieux, c’est ce qu’il va advenir dans un temps plus ou moins éloigné, car seul ce système correspond à homme et encore plus aujourd’hui.

  • « Le capitalisme, c’est avant tout la protection des droits individuels et des droits de propriété. »
    Ça, c’est le libéralisme, pas le capitalisme.
    Le capitalisme, c’est tout autre chose : pour faire simple, c’est la dissociation entre ceux qui détiennent les moyens de production et ceux qui y travaillent. Cette définition implique qu’on peut parler de capitalisme d’Etat, par exemple…

  • Tout a fait daccord. Oui le libéralisme se préoccupe d’abord des libertés individuelles , d »opinion et economiques. Le capitalisme est une des formes de liberté economique mais il peut y en avoir d’autres. Il n’y a d’ailleurs pas qu’une seule forme de capital. Le capital peut etre detenu par les salariés d’une entreprise par exemple.
    Ou par l’état. Mais là il y a un problème. C’est lui qui s’occupe aussi des libertés individuelles et des libertés d’opinion. En general ca ne colle pas …

  • Encore un bel article riche en idéologie et pauvre en démonstration rigoureuses… Par où commencer ?
    Tout d’abord vous faites une confusion très populaire mais également très simplificatrice entre le « capitalisme » et le « libéralisme ». Au delà de toute idéologie, l’essence du capitalisme est avant tout l’accumulation de richesse, par un cercle vertueux de production et de réinvestissement. Peu importe, alors, que les richesses soient collectives ou individuelles, privées ou publiques, pourvues qu’elles soient réinvesties et permettent une accumulation. Dans cette acceptation plus fondamentale du capitalisme, les systèmes communistes utilisent en fait le capitalisme, puisqu’ils accumulent, investissent, grandissent… Il semblerait en réalité que le capitalisme soit le propre du développement humain depuis son origine, et il est donc illusoire de penser un système qui ne serait pas capitaliste.
    Le système dont vous parlez dans cet article est en fait plutôt le capitalisme libéral, fondé sur l’idéal de liberté individuelle.
    Je ne suis pas un opposant frontal au libéralisme économique, mais je trouve que vous faites ici une bien piètre démonstration de la façon dont ce dernier pourrait mener au bien être de tous. Vous vous concentrez sur des critères idéologiques qui opposent la liberté individuel au seul Etat. Comme si l’Etat était seul à disposer de pouvoir dans l’économie…
    Ainsi vous nous parlez de corruption de l’appareil étatique, ce qui décrédibilise son action. Il est vrai que les administrations publiques dans le monde sont très souvent corrompues… Mais qu’en est-il des grandes entreprises ? Elles le sont tout autant, on le vois à travers les scandales environnementaux, sociaux, les détournements de fonds, l’évasion fiscale… Par ailleurs, lors d’une corruption, il existe 2 protagoniste : le représentant public, et bien souvent un représentant d’une entreprise privée… En réalité, la corruption n’est pas inhérente à l’Etat, elle est inhérente au pouvoir. Dans tous système politique (qu’il soit communiste, libéral, etc…), certains individus se voient confiés du pouvoir et une tâche, et ils sont naturellement tentés de détourner ce pouvoir à leur avantage.
    Et c’est la toute la beauté du libéralisme, il propose un système ou aucun n’acteur ne pourrait détourner son pouvoir contre le reste de la société. Cela veut dire un appareil étatique contrôlé et limité, mais aussi une concurrence pure et parfaite ! Vous oubliez quasiment ce point capital dans votre article, qui n’est finalement que l’apologie d’un libéralisme très politisé, qui voit dans l’Etat la source de tous les maux économiques…
    Maintenant intéressons nous à l’idéal de liberté, qui est très intéressant et symptomatique du mode de pensée dont vous faites la promotion. Vous érigez la liberté en valeur fondamentale, qui permet le bonheur de tous les individus et leur enrichissement. Mais votre conception de la liberté est tronquée, puisqu’elle se limite à la liberté vis à vis de l’Etat. Hors s’il est vrai que l’Etat peut être une bride pour ceux qui possèdent du capital et désirent investir et entreprendre, que faites vous de ceux qui ne possèdent pas de capital ? Ces derniers, même avec une liberté totale et complète de l’Etat, ne pourraient entreprendre, car ils n’ont pas de pouvoir économique. La liberté est un concept indissociable du pouvoir : Si vous n’avez pas de pouvoir, vous ne pouvez pas jouir de la liberté, si vous n’avez pas de liberté vous ne pouvez pas jouir de votre pouvoir… Prôner un libéralisme politique et économique quasi total, c’est donc augmenter la potentialité de ceux qui ont déjà du pouvoir, au détriment de ceux qui n’en ont pas. Hors le pouvoir – où la richesse, qui n’est autre qu’un pouvoir économique – s’accumule par un cercle vertueux que l’on nomme capitalisme. Dans un système entièrement libéral, les acteurs déjà bien dotés deviennent de plus en plus fort, jusqu’à être tellement puissant… qu’ils nuisent à la liberté des autres acteurs ! On peut voir un exemple de ce phénomène à travers l’émergence de monopoles titanesques (Google, Facebook, Monsanto…) qui empiètent clairement sur les libertés individuelles, et font preuve de ce que l’on peut appeller de la corruption.
    De même il est certain dans un système totalement libéral que les individus ne possédant rien, incapables de jouir de la liberté car n’ayant aucun pouvoir, ne verront pas leur situation économique évoluer…
    Force est donc de constater que le libéralisme économique radical et aveugle ne se suffit pas à lui même, ni pour instaurer la richesse, ni même pour instaurer son cher idéal de liberté individuelle. Il a besoin d’être encadré par un Etat fort mais aux missions précisément délimitées… Et il est clair que les Etats aujourd’hui ne se concentrent pas sur les bonnes missions, quand ils ne sont pas tout simplement corrompus !
    Mais pourquoi ne pas nous avoir fait une réelle analyse de l’action publique, de l’échiquier politique, de la situation économique de l’Afrique du Sud ? Pourquoi ne pas citer quelques monopoles, tenter d’expliciter plus clairement en quoi le mode de capitalisme est inefficient en Afrique du Sud ?
    Non vous avez préféré vous perdre dans des considérations très idéologiques et radicales, comme « l’Etat est toujours mauvais et corrompu », « la liberté individuelle permet l’enrichissement et le bonheur de tous »… Des considérations extrêmes qui demandent donc des preuves rigoureuses… Hors vous ne faites aucune démonstration, vous ne citez qu’un seul auteur même pas référencé en bas d’article, vous ne faites mention d’aucun chiffre concernant l’Afrique du Sud, vous ne citez le nom d’aucun dirigeant, d’aucune entreprises, d’aucun experts…

    Il en ressort de tout ça que votre article aux allures d’éditorial en est finalement très pauvre en argumentation, et son ton idéologique sera fort peu enclin à convaincre ceux qui ne sont pas adeptes du libéralisme économique. Vous ne convaincrez que des convaincus.
    Pourtant je suis persuadé que votre objectif est également de s’adresser à ceux qui ne sont pas de votre avis. Dans ce cas si je puis vous donner un conseil : faites preuve de plus de rigueur, d’exigence dans la démonstration, et soyez moins catégoriques dans vos affirmation, tentez de faire un pas vers l’autre avant de l’amener vers vos convictions… En faisant preuve d’extrémisme, vous ne faites que vous placer dans la même posture que les défenseurs d’un communisme aveugle et incapable de reconnaître la pertinence d’autres analyses économiques…

    • « capitalisme est avant tout l’accumulation de richesse »

      N’importe quoi. C’est un système juridique. Vous confondez avec le marché qui est LE système économique.

    • Merci pour ce long commentaire, bien argumenté. Mais ne confondez pas « hors », et « or » … Amicalement

  • @ MichelO , les asiatiques mettent en pratique la tontine , en Guyane par exemple et en Afrique et c’est une réussite, leurs commerces sont florissant …

  • J’ai eu la curiosité d’aller voir sur wiki la définition du capitalisme, c’est n’importe quoi comme je le prévoyais , ce terme ne signifie rien . Et il semble dans la première phase être l’équivalent de libéralisme….après on s’etonne que le libéralisme n’existe pas en france ..pour le peuple mais certains le pratiquent sans remords en s’appropriant tout.

  • Il faudrait être un peu Con pour croire de nos jours au Socialisme et à tous ses dérivés.

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Alors que la France est aujourd’hui confrontée à des tensions sociales et ethniques d'une ampleur inédite dans son histoire contemporaine, la principale réponse politique consiste à réclamer un renforcement du rôle de l'État. Cet automatisme étatiste est pourtant ce qui a conduit le pays dans son impasse actuelle.

 

Depuis la fin des années 1960, l’État a construit un arsenal sans précédent de politiques sociales censées corriger les inégalités et prévenir les conflits supposément inhérents à la société française. Las, non ... Poursuivre la lecture

Il l’a fait. Javier Milei, ce candidat excentrique qui, il y a quelques mois encore, apparaissait comme un outsider en qui personne ne croyait, tant son profil et son discours étaient loufoques, a remporté le second tour de l’élection présidentielle avec 55,6 % des voix, et devient donc le nouveau président d’Argentine.

Pourtant, les résultats du premier tour et les sondages qui ont suivi laissaient croire à une probable victoire de son adversaire, Sergio Massa. La stratégie de modération pour lisser son image, ainsi que le soutien de ... Poursuivre la lecture

Que dit Alain Juppé dans ses Mémoires à propos du renvoi d’Alain Madelin du gouvernement en 1995 ?

Les lecteurs qui ont vécu la présidentielle de 1995 s’en souviendront. Le 26 août de la même année, le ministre libéral du gouvernement Juppé est limogé. Pourquoi ?

Dans Une histoire française paru en septembre 2023 (Paris, Tallandier, 2023), l’ancien maire de Bordeaux écrit :

« Si je me suis séparé d’Alain Madelin au mois d’août 1995 en acceptant sa démission du gouvernement, ce n’est pas à la suite d’un désaccord de fond s... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles