Plan Pauvreté : la liberté est la vraie solution !

Le gouvernement appauvrit les citoyens les plus vulnérables, puis se propose de les aider. Et si on laissait les citoyens se débrouiller sans son aide ?

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Clochard à Paris

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Plan Pauvreté : la liberté est la vraie solution !

Publié le 22 septembre 2018
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Par Olivier Maurice.

C’est assez ébahi que j’ai découvert le plan contre la pauvreté, tentative désespérée de la part d’un gouvernement aux abois qui cherche par tous les moyens à corriger son image et reprend donc avec acharnement les mêmes machines à distribuer des euros qui n’existent pas, et à promettre des effets qui ne se produiront jamais.

Plutôt que de critiquer ce plan tant la tâche me semblait fastidieuse, il m’a semblé plus judicieux de rappeler qu’avant toute chose, le libéralisme est une philosophie sociale, et à ma connaissance, la seule qui ait démontré son efficacité. L’application du  libéralisme est clairement la meilleure, sinon la seule politique réellement efficace en termes de lutte contre les inégalités, de réduction de la pauvreté et vivre ensemble.

En observant ses impacts dans les pays qui l’ont mis en œuvre, on arrive vite et sans conteste à la conclusion que les individus ne peuvent vivre heureux et en paix qu’à condition d’avoir atteint un niveau satisfaisant d’autonomie.

Mais si la technologie vulgarisée par l’exercice de la liberté a aidé des millions de personnes à développer leur autonomie en les libérant des contingences matérielles, les idéologies politiques rétrogrades n’ont eu de cesse de les tirer vers le bas, les entraînant toujours plus loin dans la servitude et la dépression.

Il est une constante que l’on retrouve malheureusement partout : les politiciens ont développé une habileté fabuleuse dans l’art du mensonge, dans celui de culpabiliser les gens et les dévaloriser afin d’assouvir leurs ambitions ; partout et surtout en France, dans un pays qui se revendique égalitaire et où l’hyper-politisation ne fait que créer toujours davantage d’inégalités, de pauvreté et d’exclusion.

 

Inégalités

À force de rhétorique s’est développée une légende tenace qui pointe du doigt les économies libérales comme étant les plus inégalitaires, et qui dénonce l’épouvantail d’un néolibéralisme mondialisé comme la cause de cette fracture sociale ravageuse. C’est clairement le genre de mensonge éhonté répété des milliers de fois et que tout le monde trouve savant de répéter, se targuant avec fierté de connaître une prétendue vérité incontestable et fanfaronner à propos de l’exception française.

Il est pourtant si simple de vérifier par soi-même l’absence de bien-fondé d’une telle affirmation…

Le type de répartition des revenus se reconnaît assez simplement :

Soit les revenus sont espacés les uns des autres de façon homogène (le plus haut revenu gagne un peu plus que le second, qui gagne un peu plus que le troisième etc.). Il n’y a pas d’inégalités, mais une répartition régulière : autant de riches que de pauvres, et une majorité de gens entre les deux. Dans ce cas, statistiquement, la moyenne est identique à la médiane.

Soit il y a beaucoup de petits revenus, tous pratiquement identiques, et quelques rares hauts revenus. C’est le cas d’une répartition inégalitaire entre une classe de riches peu nombreux et une majorité de pauvres, des petits revenus, tous pratiquement identiques, et quelques rares hauts revenus. C’est le cas lorsque, statistiquement, la moyenne est inférieure à la médiane (sachant que s’il y a plus de riches que de pauvres, ce sera l’inverse et la moyenne sera supérieure à la médiane)

Le petit exemple ci-dessous, que tout le monde pourra reproduire, donne un exemple assez simple avec une population de cinq revenus, le cas 1 où tous les revenus sont répartis, le cas 2 où ils sont séparés en deux classes distinctes.

 

En France, l’écart entre le salaire médian et le salaire moyen est de 44 %. Il est de 2 % aux États-Unis, de 1 % en Suisse.

 

Pauvreté

La méthode retenue en France pour définir le seuil de pauvreté consiste à comptabiliser la population dont les revenus ne dépassent pas 60 % du revenu médian. Cette méthode est en fait totalement fallacieuse : dans un pays où le salaire médian est inférieur au salaire moyen, le seuil est forcément plus bas, et il y a donc moins de personnes dites pauvres (sous cette barre de 60 % du revenu médian) que dans un pays où les revenus sont mieux répartis (un rapide calcul sur l’exemple précédent donne un seuil de 48 pour le cas 1, et de 42 pour le cas 2).

Cette subtilité de calcul permet ainsi à la bonne conscience française de pointer du doigt des pays comme la Suisse avec toute l’arrogance qui la caractérise ; c’est-à-dire de comparer un pays où 7,5 % de la population gagne moins de 2000 euros par mois avec la France, où 50 % de la population gagne moins de 1797 euros et dont 11 % de la population est allocataire des minima sociaux.

 

Vivre ensemble

Si j’ai pris comme exemple la Suisse, ce n’est pas seulement parce que notre voisine occupe la première place du classement 2017 des libertés, c’est aussi parce qu’elle possède quatre langues officielles, et que 31 % des emplois y sont occupés par des travailleurs étrangers, résidents et frontaliers.

Mais j’aurais tout aussi bien pu choisir un des pays du Commonwealth : Royaume-Uni, Irlande, Australie, Nouvelle-Zélande, Hong-Kong, un pays du Nord de l’Europe, ou bien d’autres encore ; en premier lieu ces pays qui foncent à tombeau ouvert vers la modernité, maintenant qu’ils se sont libérés des chaînes du totalitarisme à l’étoile rouge que la France vénère toujours.

 

La société n’est que l’ensemble des individus qui la composent

Le gouvernement est totalement incapable de réduire la pauvreté, les inégalités et les tensions sociales. L’État ne parvient d’ailleurs déjà pas à gérer convenablement sa propre organisation. De toute façon, on n’extrait pas les gens de leur condition sociale : ils en sortent, ou pas.

L’évolution sociale ne se décrète pas, ni ne s’obtient par les luttes et les révolutions, mais au contraire par la stabilité économique et politique, la paix et la sécurité. Le progrès social n’est qu’une conséquence des moyens mis à disposition des individus pour que chacun puisse se construire de meilleures conditions de vie. Pour cela, il faut des progrès technologiques, des connaissances et des opportunités, mais surtout du temps et du calme.

Car chacun, absolument, aspire au progrès, pour lui-même et les autres. Chacun aspire à vivre mieux.

Il ne faut surtout pas confondre ce progrès avec un progrès universel et collectif qui n’existe pas. Ce sont les individus qui progressent socialement, pas la société. La société n’a aucune vie sociale : elle ne vit pas, ne naît pas, ne meurt pas, n’éprouve aucune peur face au manque de nourriture ou de logement, aucune détresse face à la perte d’un emploi, aucune douleur devant les drames de la vie, ne ressent aucune impuissance ni aucune frustration.

Ceux qui prétendent aider les gens en changeant la société ou en la mobilisant sont d’abord aveuglés par leur désir d’accomplir quelque chose de bien et surtout de le faire connaître, par leur besoin compulsif de reconnaissance personnelle.

Par contre, le gouvernement peut créer un environnement plus ou moins favorable, qui aura comme conséquence l’enrichissement des individus, ou au contraire leur appauvrissement.

 

Moins d’État

L’une, et non des moindres de ces conditions, est de laisser les gens en paix. Les problèmes de l’État ne sont pas leurs problèmes. Les individus, surtout ceux qui souffrent de la pauvreté, ont bien d’autres choses à faire que d’être mis constamment à contribution pour aider l’État à s’en sortir.

Les individus n’ont pas non plus à souffrir des dysfonctionnements de l’État. Ils n’ont surtout pas à recevoir de leçons de gestion ou de développement de sa part alors qu’il est totalement incapable d’équilibrer un budget et parvient tant bien que mal à fournir quelques services indigents, et ce uniquement parce qu’il interdit la concurrence.

 

Plus de réussite

La meilleure chose que quelqu’un puisse faire pour aider son prochain est de réussir personnellement. Ce n’est que lorsque l’on est soi-même hors du besoin que l’on peut aider ceux qui sont dans la peine. Personne, absolument personne n’est mieux placé que soi-même pour s’occuper de ses propres affaires.

Habituer les uns à dépendre des autres, c’est en pousser certains dans la servitude, les isoler encore plus du reste de la société. Comment prétendre vouloir réduire les inégalités en rangeant les individus dans deux catégories opposées : ceux qui reçoivent et ceux qui sont obligés de donner ?

 

Une société forte

La société n’est pas l’État. Ce sont deux choses totalement séparées. La société, c’est vous, moi, chacun d’entre nous. L’État n’est qu’une organisation, qui comme toute organisation collective n’a pour seule utilité d’effectuer ce qu’un individu isolé ne peut pas faire.

La société ne peut être forte si l’État la remplace. Elle ne peut pas être homogène si elle distribue le pouvoir à une minorité élue par élimination face aux autres. Et la société se doit d’être forte, unie, harmonieuse afin de laisser sa place à chacun, pas uniquement à ceux qui ont le profil requis par l’autorité pour être considérés comme étant de bons citoyens.

 

De l’emploi pour tous

Inutile de chercher désespérément les raisons sociales du chômage : manque de formation, difficultés de transport… c’est l’hypertrophie de l’État qui est responsable de celui-ci. Ce sont les taxes, les règlements, mais surtout la place de l’État dans l’économie qui créent le chômage.

L’État n’est pas conçu pour faire des profits, il est un centre de dépenses. Tout service public assuré par l’État représente un coût que celui-ci cherchera à réduire par tous les moyens, y compris en réduisant ses effectifs, amorçant ainsi une spirale de pénurie que le monopole aggravera encore.

 

Du capital pour tous

La possession de biens productifs n’est pas réservée à une classe. La propriété est la condition indispensable pour assurer son autonomie, ne plus dépendre des autres, faire les choses les plus simples, et ne pas dépendre d’un bailleur lorsque l’on est propriétaire, des transports publics car on possède son moyen de transport, des laveries grâce à son propre lave-linge…

L’autonomie passe par la constitution d’un patrimoine. La réduction de la pauvreté passe par la préservation et la transmission de ce patrimoine. L’autonomie et elle seule permet de sortir de la pauvreté ; comme la reconstitution du capital personnel détruit par la guerre a été à l’origine du boom économique de l’après-guerre.

C’est cette destruction constante du capital personnel par l’impôt, la difficulté à le créer par le manque d’opportunités économiques et la pléthore de subventions faisant monter les prix de façon artificielle qui sont à l’origine du triste record de la France : un pays où il faut bien plus longtemps que chez nos voisins pour sortir de la pauvreté.

Aucun traitement social, aucun plan ou investissement pharaonique n’y feront rien, sauf alourdir encore plus la charge qui pèse sur nos épaules et aggraver encore plus le problème.

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  • « En France, l’écart entre le salaire médian et le salaire moyen est de 44% »
    Hein, quoi, comment ?! … Z’êtes sûr ??

    • Le chiffre officiel donné par l’INSEE est que le salaire moyen est supérieur de 25% – Mais ce salaire est calculé en équivalent plein temps, ce qui est complètement ridicule. Il faut prendre les revenus par foyer et on obtient ce chiffre.

      • Ah ! Vous ne nous aviez pas tout dit… Mais pourquoi le calcul ETP est il moins pertinent que le revenu par foyer ? Et si vous raisonnez sur la base des foyers, pourquoi citer plus loin de l’article le revenu median insee 1797€ ? Autres questions : d’où tirez vous ces chiffres ? Et avez vous utilisé la même méthode pour les pays étrangers ?

        • Le remplacement des valeurs par des « équivalents », dès qu’il est utilisé en dehors du contexte de l’équivalence, est toujours une fraude statistique.

          • Au moins cela autorise des comparaisons sur des bases communes.
            Je n’ai pas cette certitude sur le revenu median/moyen par foyer, où l’on agrège des foyers de celibataires, de couples sans enfants (dont un des membres peut travailler à temps plus ou moins partiel, voire pas du tout), de familles nombreuses…
            Même avec ça, un passage de 25 % à 44 % me paraît suspect. J’attends donc les compléments de Olivier Maurice.
            Ps : meme le calcul de 25 % est sujet à caution. 25 % de quoi, du salaire median ou du salaire moyen ? Ce n’est pas spécifié. Réponse : c’est 25 % du salaire median. Et 20 % du salaire moyen…
            Cette propension à charger systématiquement les chiffres à l’appui d’un argumentaire, tout en jouant sur du non dit, ne me plait guère. Fraude, vous avez dit fraude ?

            • A la limite, 20%, 25% ou 44%, on s’en fout. Ce qui importe, c’est de savoir si cette dissymétrie qui transparaît dans l’apparition d’un écart significatif entre moyenne et médiane est une très bonne chose, une bonne chose, neutre, une mauvaise chose ou une très mauvaise chose. Or alors qu’on nous vante la distribution française sur la base d’une faible distance inter-fractiles (coef. de Gini), il est clair que sa forme générale est plutôt dans la catégorie des très mauvaises choses.

            • Effectivement, je ne me suis pas étendu sur le bidouillage de l’INSEE qui aboutit au chiffre de 20% que vous citez. Il s’agit d’un article et pas d’une thèse.

              Mais comme le dit justement MichelO ce n’est qu’un détail de plus qui démontre l’étendue du mensonge. 20% (si vous ne retenez que ce chiffre : 20% de la moyenne donne 25% de la médiane, 44% correspond à l’écart à la médiane des salaires perçus et non des salaires recalculés pour les mettre en équivalent temps plein) démontre sans conteste qu’il y a superposition d’au moins 2 lois normales et donc clairement inégalités très marquées.

              https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_m%C3%A9lange_gaussien

              Je ne pense clairement pas qu’il soit nécessaire d’aller dans ce niveau de détail : l’excuse du modèle égalitaire de la France est tellement ancré profondément que l’on se place plus au niveau de la foi que de la raison. Et je ne pense pas que l’on combat des mensonges avec des calculs : affirmer que ce ce que l’on répète en boucle n’est qu’un énorme mensonge pousse déjà les gens à sortir de leur zone de confort.

              • A la place d’une fiche wiki qui ne m’apprend rien que je ne sache déjà, j’aurais préféré que vous nous citiez vos sources…
                C’est pourtant pas faute de l’avoir demandé.

        • Les autres pays donnent des chiffres constatés. Ce qui importe est le salaire perçu (le revenu). C’est totalement frauduleux de considérer qu’une personne travaillant à mi-temps a un salaire à plein temps, tout cela pour rendre les chiffres moins mauvais.

          • Vous ne m’avez toujours pas donné les valeurs pour les revenus par ménage. Et si c’est un indicateur que vous privilégiez, il faudrait au moins le corriger par la fiscalité et les prestations sociales, pour éviter de comparer des choux et des carottes. Ca s’appelle le Revenu brut disponible.
            Sauf que là, on ne compare plus des salaires (median ou moyen) mais des revenus, soit un niveau de vie.
            Le problème, c’est que vous naviguez constamment dans votre argumentaire entre les revenus et les salaires, sans qu’on sache en outre de quels revenus vous parlez.
            Bref, pas très sérieux.
            En tout cas, j’ai bien compris que vous recourez à l’astuce rhétorique que vous dénoncez : prendre les chiffres qui vous arrangent pour rendre la chose plus mauvaise.

    • en effet… en outre il est périlleux de s’aventurer sur le terrain de l’égalité comme un but..
      A mes yeux, une bonne société n’est ni ‘égalitaire en terme de richesse, ni avec tel niveau de vie dans l’absolu..ni même » heureuse »…c’est une société qui vous laisse le maximum de liberté dans votre quête du bonheur dont la définition est subjective..
      on peut certes causer sur le maximum et transiger un peu et composer avec la réalité.

      la liberté d’etre heureux n’est pas une garantie de l’être..
      l’égalité de richesse n’est pas en soi un problème mais il est infiniment plus probable qu’une société libre sera inégale…

      ça conduit à une série d’articles assez bancals où on nous explique que le libéralisme est souhaitable car il conduira à une meilleure efficacité dans tel ou tel ou tel domaine.. sauf que je refuse une métrique collectiviste qui aboutit au pire au sacrifice humain : bon tu n’as rein fait de mal mais le bonheur de la communauté exige que tu meurs…

      le taux de chomage ,le pib le taux de croissance, les inégalités de salaire , le taux d’illettrisme ne sont pas des arguments politiques valables .. car toute personne qui veut agir directement là dessus va restreindre des libertés.
      si le communisme promet du travail à tous..il force aussi tout le monde à travailler…

      • « il est infiniment plus probable qu’une société libre sera inégale » faux : les chiffres le prouvent – dans une société libre les revenus trouvent leur équilibre naturellement, c’est exactement comme pour les prix qui se répartissent dans un marché libre.

        • je ne dis pas plus inégale qu’une autre…
          il me semble évident qu’une société libre qui compte des individus différents avec des talents plus ou moins valorisables à un moment donné peut difficilement conduire à une égalité de richesse!
          et en conséquence l’égalité comme but implique la suppression de la liberté.
          les inégalités de richesses sont plutôt à l’origine de problèmes sociaux.. et on doit faire avec..

          • vous tombez dans le travers que je dénonce d’ailleurs…le libéralisme va nous conduire à la prospérité etc..

            la prospérité économique n’est pas tout…je n’ai rien à dire si les gens décident librement de mener une vie austère et vivent misérablement.
            la promesse de prospérité matérielle n’est pas une justification valable du libéralisme…
            la prospérité vient du travail de l’innovation et du capital accumulé..et parce que le libéralisme rend responsable de ses actes , n’entrave pas l’innovation et récompense les meilleurs méthodes ne permet pas de piller les fruits de votre travail ..il est favorable par nature à l’essor économique.

      • « si le communisme promet du travail à tous..il force aussi tout le monde à travailler… »
        Et tout le monde s’adapte en faisant semblant de travailler, et les dirigeants communistes, non dupes, font semblant de les payer.

        • C’est à l’armée qu’en son temps j’avais appris à prendre une position de repos qui ressemble à s’y méprendre à une position de travail…

        • tout à fait au point que la question est de savoir comment une économie collectiviste peut durer. clairement car elle n’est pas collectiviste mais étatiste et les teantsn de l’etat vont vous forcer à être productifs

  • Qui dit là vérité sur les finances de L’ÉTAT ?
    L’ÉTAT. les experts financiers qui eux même se contredisent ? plus les jours de l’année en cours nous font découvrir la vérité..
    A quand une autre politique budgétaire de L’ÉTAT ?

  • certains élus se plaignent de ne pas être assez payé…que connaissent-ils eux de la pauvreter ..c’est vrai que certains parmis eux, il ne reste que des pâtes pour se nourrir ! les fins de mois sont difficiles ! Comment voulez vous que les finances de L’ÉTAT soit saine !
    c’est du foutage de gueule ! l’incompétence à encore de l’avenir ..pour certains, les prochaines élections vont être devastratifs! ils vont devoir aller à la soupe populaires !!
    ils auront du temps pour faire du bénévolat !!
    Et de méditer…

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