Ces associations écolos au fonctionnement néo-soviétique

La méthode soviéto-marxiste s’est imposée comme guide stratégique et moral de l’action politique dans le domaine de l’écologie.

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Climate Emergency by Takver(CC BY-SA 2.0)

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Ces associations écolos au fonctionnement néo-soviétique

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 2 septembre 2018
- A +

Par Michel de Rougemont.

Quels sont les dogmes de l’écologisme1 ?

Tout d’abord celui que l’action humaine conduit inexorablement à la ruine de sa propre espèce (la défaite de l’Homme) par les agressions qu’elle opère sur une nature innocente dont nous pillons et empoisonnons les ressources.

Ensuite, que les modèles économiques en place, orientés vers le productivisme, produisent à répétition des crises sans limites avec des victimes manquant de tout : désagrégation sociale, chaos environnementaux et climatiques, mondialisation injuste.

 

L’Internationale verte

Nous sommes donc tous les prolétaires d’un environnement insupportable, victimes de l’action égoïste d’un monde économique conduit par une oligarchie, devant nous tenir prêts à nous libérer pour atteindre un avenir radieux de simplicité, d’harmonie entre nous et avec la Nature.

Une action alternative est nécessaire –un projet global– fondée sur l’action locale et mutualisée par une nouvelle gouvernance mondiale, ayant comme objectif  la « mutation écologique de la société » afin de la rendre durable et juste, sans privilèges ni victimes.

Organisé en cellules locales, coordonné par une puissante Internationale, le monde soviétique savait assurer sa mainmise sur le politiquement correct de son époque, malgré les contre-offensives de la propagande yankee. Par compagnons de route interposés et en instrumentalisant bon nombre d’idiots utiles, la méthode soviéto-marxiste s’est imposée comme guide stratégique et moral de l’action politique.

Et nous ne sommes pas près d’en être libérés, le relais étant pris par cette doxa écologiste qui s’est imposée en l’espace d’un demi-siècle. Même buts, le matérialisme en moins et la nature en plus, même combat, mêmes méthodes : l’Histoire nous l’enseigne mais nous n’apprenons pas.

 

Les ONG, idiots utiles

Les néo-Soviets, cellules de base du mouvement, sont les associations écologistes, souvent préoccupées par une défense ou une protection allant du lombric au grand mammifère, d’un biotope particulier à la flore et la faune d’une région entière, ou soucieuses de conserver la biodiversité ou de régler le climat global, etc. Il y a aussi les militants anti-quelque chose – nucléaire, chimie, biotech, béton – ou prônant leur schmilblick –véganisme, LGBT, panneaux solaires et éoliennes, agriculture bio.

Bien que cela ressemble à un inventaire à la Prévert, les fondements de ces entreprises se trouvent partiellement ou entièrement dans les dogmes cités plus haut. Avocats et chiens de garde, ces groupes animent la scène en exprimant des revendications ou en réagissant à tout évènement ou publication leur paraissant scandaleux.

Les arguments factuels et rationnels faisant défaut, l’opposant ou le déviant a droit à des attaques ad hominem pour le disqualifier ou l’accuser de crimes imaginaires. Les programmes scolaires en ont été envahis. Les enfants n’en sont pas encore à dénoncer les mauvais comportements de leurs parents, mais la tentation est grande de les y inciter.

Or il est bien connu que les petites racines doivent nourrir de grands arbres. Des fédérations globalisées sont en place qui disposent de moyens énormes, bien supérieurs à ceux que des associations d’industries engagent dans leur lobbying. Leurs noms sont Greenpeace, WWF, Friend of the Earth, Sierra Club, Climate Action Network, et d’autres encore.

Quoique dénommées ONG elles jouissent d’un statut quasi gouvernemental, avec des agents infiltrés ayant accès aux préparations et délibérations de conférences internationales qui s’assurent de la rectitude politique des experts publiant des rapports de synthèse pour les décideurs.

C’est une sorte de Komintern virtuel qui fonctionne, maître de l’agenda politique donnant le ton et le rythme, sachant parfaitement user des médias et du levier des réseaux dits sociaux de l’internet. Ni un Pape, ni un comité directeur, ni une académie écolo-climatique ne sont nécessaires, la syntonisation est devenue automatique.

Comme tout producteur d’électricité ne peut se connecter que si sa fréquence et sa phase sont parfaitement synchronisées avec le réseau, tout écart provoque un rejet immédiat du fautif et à sa destruction s’il persiste.

 

L’écologisme contre la liberté

Les compagnons de route sont les habituels collectivistes et planificateurs de bonheur au prix de la liberté individuelle, les étatistes distributeurs d’impôts trop perçus, soutenus par des administrations trouvant là une raison d’exister et de perdurer. Les médias y participent aussi, voulant se donner des airs de maîtres à penser mais en réalité subordonnés à un politiquement correct qu’ils aident à imposer. Ils n’aiment pas savoir qu’ils sont les idiots utiles de la farce, pourtant leur conformisme discipliné prouve leur manque d’opinion propre et d’esprit critique.

La réponse à ce néo-soviétisme est quasiment absente ou muette : ceux qui s’y opposent sont isolés et désorganisés. Dans le monde francophone un Claude Allègre, pourtant socialiste, a été réduit au silence et ridiculisé, les Luc Ferry et autres Pascal Bruckner s’expriment avec talent mais ne disposent d’aucun relais médiatique ou politique pour amplifier leur message, au contraire de n’importe quel incompétent –président d’une grande république, cheffe d’un département fédéral, ministre d’État, animateur TV ou vedette pop et éphémère – répétant le mantra écologiste avec splendeur.

Pas de place non plus pour un Bjorn Lomborg, considéré comme traître à la cause écologiste parce qu’il propose une méthode fondée sur les faits et les priorités des peuples concernés plutôt que de s’aligner aveuglément au courant dominant et aux solutions toutes faites des « sachants ».

La fibre écologiste a maintenant été phagocytée par tous les partis traditionnels, tant d’un bord que d’un autre, bien que, à l’exception du dogmatisme vert, n’ayant aucune opinion structurée à propos de la gestion de l’environnement, le monde politique reste fidèle à lui-même : suiveur et opportuniste.

À gauche, le néo-soviétisme bat son plein, bis repetita placent, cette fois sous la métaphore de la pastèque. À droite, personne ne conçoit rien pour s’y opposer ni même entrevoir les dérives totalitaires que cela entraînera ; la sidération devant l’avènement de l’État social, percepteur et redistributeur, se poursuit face à l’écologisme.

Alors que, dans le bon vieux mauvais temps, le communisme pouvait mobiliser une opposition déterminée, le néofascisme écologiste ne semble effrayer personne. Même aux USA, les Républicains ne mettent pas en question les causes écologistes mais s’attachent à préserver des avantages politiques et financiers à plutôt court terme, celui de la prochaine élection. Le monde de la finance semble aussi y trouver son beurre, peu lui chaut l’illibéralisme que cela implique.

Faudrait-il alors se résoudre, une fois de plus, à subir les « visions » d’un monde promis comme meilleur, à accepter l’omniprésence d’une propagande qui vend cet avenir radieux au prétexte mensonger que le présent serait des plus horribles, le pire de l’histoire, à obéir à l’ardeur normative et planificatrice contraignant nos besoins et nos désirs, nous imposant des comportements et des croyances absurdes ainsi que des taxes toujours plus élevées ? Faut-il se soumettre au mensonge2 organisé et permanent, à cette contrainte moralisante ? Non, bien sûr !

Mais comment faire, alors que les Soviets et leurs commissaires politiques sont d’ores et déjà en place à tous les niveaux, que les gardiens du temple y font de magnifiques affaires et que la mise à l’index n’a jamais été aussi efficace ?

Il serait plus confortable de se planquer, de rester coi. C’est certainement ce que fait cette majorité silencieuse dont on dit qu’elle sait tout mais ne l’exprime pas. Comment faire pour la réveiller, la secouer ? Je n’en sais rien mais je commence en écrivant ce billet…

Sur le web

  1. Afin d’éviter toute confusion il faut rappeler que l’écologisme n’a rien à voir avec l’écologie, qui est une discipline scientifique. Par définition un « -isme » procède d’une idéologie, avant tout politique, fondé sur un ou plusieurs dogmes. C’est de cela dont il est question ici. Le très court résumé dogmatique qui est présenté a été tiré des déclarations de partis écologistes.
  2. La place manque ici pour démontrer l’inanité, donc le mensonge, du message catastrophiste à propos des malheurs sans précédents des temps modernes. Voir mon livre Réarmer la raison et ses chapitres consacrés à l’écologie et au développement.
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  • Je suis assez d’accord avec votre analyse dont le renoncement ( ou l’aveuglement) de toute la sphère politique face à l’émergence d’une nouvelle idéologie qui traverse toute la société. Sans doute comparable à ce qu’a été l’émergence du christianisme dans l’empire romain ou du socialisme au 19 eme sciécle. Nous vivons une période charnière pour l’avenir de l’occident.
    Nous devons nous exprimer et nous appuyer sur ce que dit la science, même si elle est aujourd’hui beaucoup pervertie par des militants en blouse blanche. Cependant je ne crois pas que celà changera la direction que la société semble vouloir prendre. Seule la confrontation avec la réalité ( la baisse de la production agricole, les coupures d’électricité, etc, ) pourra peut être réveiller les consciences.

  • quand on aura arrête de traiter les agrumes, le blé, le mais ,etc sans traitement les plans n’arrivent pas a maturité, la production diminue jusqu’a 30% ; les prix flamberont.
    quand l’électricité nécessaire a notre confort quotidien ne sera plus suffisamment fourni pour alimenter chauffage, MàL , frigo , etc peut être qu’une grande majorité se réveillera enfin contre tout ces idéologues incultes , car la les choses seront claires et réelles!

    • « quand on aura arrête de traiter les agrumes, le blé, le mais ,etc sans traitement les plans n’arrivent pas a maturité, la production diminue jusqu’a 30% ; les prix flamberont. » On se demande comment les plantes qui n’arrivent pas à maturité sans traitement ont pu parcourir le chemin allant deu paléolithique à aujourd’hui. Bef, un poil de connaissances scientifiques parmi les retardés de la connaissance, négationnistes obscurantistes, ne fera pas de mal

      • vous devriez vous renseigner avant de telles critique vous avez certainement fait l’ENAou étés vous vert.
        sans aucun traitement actuellement les plantes comme le blé , le mais , l’orge n »arrivent pas a maturité . allez chez un petit producteur il vous expliquera le pourquoi .bien des facteurs (physiques, chimiques, de dispersion polluante dont deux guerres mondiales ont largement participées (les munitions etant de la chimie qui pollue sur zone et en disperssion) sont responsables de ce phénomène qui n’existait pas ne serait ce qu’au 18eme siécle, pas besoin de remonter a l’age de la pierre taillée !
        quand a vos connaissances scientifiques vous êtes un peu comme Hulot l’homme qui sait tout !

      • Vu récemment un reportage d’un viticulteur bio désespéré : son vignoble décimé par le mildiou….. On doit en rire ou en pleurer? Voilà ou mène l’obscurantisme qu’est l’écologisme.

      • Les espèces cultivées aujourd’hui n’existaient pas au paléolithique. Par exemple, Le blé est issu de multiples croisements entre espèces qui n’ont rien à voir avec la céréale actuelle. Et ceci est vrai pour tous les végétaux domestiques ainsi que les animaux de rente.

  • Les adaptes de l écologisme et les SJW sont des derniers avatars du socialisme.
    Il faut les traiter pour ce qu’ils sont, des ennemis de la liberté mâtinés de bon sentiments dégoulinants.

  • mais ils ont réussi à entrer dans les écoles et influencer les journalistes jusque leur dicter leurs reportages.. hier encore j’entendais une journaliste répéter les éléments de langages permettant de transformer une publication scientifique assez fumeuse en « nouvelle alarmante ».. .

  • Le communisme a failli dans son application. Mais il est clair, à lire les lignes ci-dessus et les commentaires, que l’obscurantisme a envahi le champ du libéralisme, et que ce libéralisme a lui même perdu tout sens et toute mesure, allant jusqu’à soutenir les monopoles, et perdant de vue toute référence à son ambition libératrice. Bref le libéralisme-tel-qu’il-est est l’avenir du libéralisme-tel-qu’il est. Dans les deux camps, les idéologues obscurantistes abondent.

  • Les écolos politiques sont toujours de gauche.
    Seul un état collectiviste peut leur accorder le pouvoir de coercition, leur garantir le soutien d’une armée de fonctionnaires pour faire appliquer les lois les plus idéologiquement stupides, aux dépens d’un peuple K.O. debout sous l’avalanche des contraintes socialistes !
    Pour notre bien, qu’ils disent…

  • Article princeps, ayant le grand mérite de mettre à nu les pseudos rois qui ont la prétention de nous gouverner.
    Un petit détail : vous avez omis de parler du féminisme, avatar « moderne » de la lutte des classes remplacée par la lutte contre le mâle blanc dominant, promis à la même défaite.

  • dans un autre genre : l’ONU, Amnesty Internartional, SOS Racisme, La LICRA, CCIF, la Cimade, le CRAN, ATTAC
    et le PIR, les Indigènes, l’UNEF, MRAP,la Ligue ddes Droits de l’Homme

  • J’adhère totalement à cette analyse.

  • Le parallèle avec le système soviétique a ses limites. Les mensonges en URSS tenaient grâce au trépied Parti, Armée, KGB.
    Les ONG ont une certaine sympathie de l’opinion en guise d’armée, et ses agents « infiltrés » n’ont pas la puissance d’un KGB derrière aux, quant au parti unique, il est représenté par le discours unique du politiquement correct.

  • Les gens font attention aux grandes idéologies passées, mais ne voient pas celles qu’ils ont sous les yeux. Pourtant, comme le dit cet article, des liens de filiation existent.
    Ce pdf est long, mais mérite d’être lu:
    http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/0/31/89/29/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes/Etude-sur-la-nature-des-mouvements-ecologistes.pdf

  • Un neostalinien est pressenti, c’est dire !

  • Comme pour les portiques écotaxes, les français se réveilleront quand il sera trop tard et qu’il faudra payer la facture.
    Voilà ou mène l’indigence d’une classe politique qui n’a jamais voulu expliquer et dénoncer le collectivisme.

  • Excellent article, qui insiste bien sur la responsabilité de la presse et des médias. Mais les gens ne sont pas dupes : à chaque fois qu’un bobo-écolo se présente à une élection, il est battu. Toute la question est de savoir si la droite (en particulier lors de la prochaine élection à la Mairie de Paris) parviendra à désigner un candidat qui ne soit pas bobo-écolo. Rappelons que Anne Hidalgo n’a été élue que parce qu’elle était opposée à Nathalie Kosciusko-Morizet, autre bobo-écolo.

    • Mais Anne Hidalgo est encore plus bobo-écolo que NKM !
      Et puis Paris, c’est un peu particulier, il y a 19 arrondissements où l’on ne vote qu’indirectement pour le candidat principal.

  • L’on remarque surtout que l’écologisme n’est qu’une tête émergente parmi d’autres de l’hydre de l’idéologie du communisme. Je rejoins certains commentaires qui parlent du nouveau féminisme comme autre émanation de ce mouvement global qui ne dit pas son nom mais dont on devine l’idéologie.
    Etant Suisse, je remarque dans mon pays l’utilisation désormais abusive de la démocratie avec les armes du dépôt d’initiatives et du référendum de la part de mouvements issus de la gauche et extrême-gauche.
    Ces dernières années on a assisté de manière détournée par le biais d’initiatives à des attaques en règles contre le capitalisme: imposition des successions dépassant un million de francs, plafonnement des salaire de patrons d’entreprise, arrêt de la spéculation sur les matières premières, densification des zones à bâtir,…
    J’en oublie d’autres mais il est frappant de constater que la soupe est toujours servie avec 2-3 principaux moraux inattaquables issus et prétend « améliorer » une situation catastrophique aux yeux de la masse néo-bobo-communisto-écolo.
    De plus les médias roulent à fond pour véhiculer leur théorie fumeuses. Mais fort heureusement comme partout existe une majorité silencieuse, encore déterminée à ne pas avaler n’importe quoi qui refuse de résoudre des problématiques somme toute épineuse avec des slogans et des belles paroles.
    Ce qui est inquiétant c’est que cela ne les décourage pas à recommencer. La prochaine tentative concernera « le développement de l’offre d’aliments produits dans le respect de l’envirionnement et des animaux ainsi que dans des conditions de travail équitables ».
    Vous voyez le jargon ainsi utilisé? C’est juste hallucinant et il faut m’expliquer ce que sont des conditions de travail « équitables ».
    Ici en Suisse la démocratie est détournée pour servir la cause d’organisations de gauche ou d’extrême gauche qui ont trouvé une aubaine formidable pour tenter de faire passer sous de belles promesses et initiatives leur idéologie mortifère.

  • Excellent article. J’ajouterai qu’il ne faut pas oublier la dimension religieuse de l’écologisme, qui en fait est plutôt le fruit des amours illégitimes du communisme et du christianisme. La révélation d’un dogme, la culpabilisation, la promesse d’un avenir meilleur (mais que personne n’a jamais vu) si l’on se soumet aux règles issues du dogme, même le rachat des indulgences (appelées taxe carbone), on retrouve tous les outils qui ont fait le succès des religions du livre.
    Et on peut effectivement penser que la perte d’audience de la religion dans nos pays soit compensée par l’émergence d’une nouvelle religion, l’écologisme. Mais effectivement cette religion a vu les conversions en masse des orphelins de l’URSS, gauchistes de tous bords, trouvant dans l’écologisme leur moyen d’exprimer leur anti-capitalisme primaire

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