Il est temps d’abolir l’OMS !

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) est un organisme des Nations Unies qui est à la fois vaste, coûteux et incapable de servir sa propre cause de «santé publique».

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Cigarettes By: Luciano Belviso - CC BY 2.0

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Il est temps d’abolir l’OMS !

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 26 juin 2018
- A +

Par Bill Wirtz.

Les dérives de l’OMS, organisation dispendieuse et idéologique, sont nombreuses, et des organismes non gouvernementaux opèrent plus efficacement dans le domaine de la santé.

Alors que la crise Ebola ravageait des pays africains en 2014, nous faisions confiance à un certain nombre d’organisations internationales pour aider les pays d’Afrique occidentale tels que le Libéria, la Sierra Leone, la Guinée ou le Nigéria, afin d’endiguer la propagation du virus et porter assistance à ceux qui ne pouvaient recevoir des soins médicaux.

L’Organisation mondiale de la santé était l’une d’entre elles. Selon l’agence elle-même :

L’OMS a pour objectif de prévenir les épidémies d’Ebola en maintenant la surveillance de la maladie à virus Ebola et en aidant les pays à risque à élaborer des plans de préparation.

Cependant, les experts dans le domaine n’étaient pas tous d’accord. Comme Reuters l’a indiqué en 2015, un groupe de spécialistes du Global Health Institute de Harvard (HGHI) et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine (LSHTM) a conclu que d’immenses souffrances humaines avaient été ignorées par les responsables institutionnels.

L’OMS ignore Ebola et préfère le tabac

Il est avéré que les responsables de l’OMS étaient au courant de l’épidémie au printemps, mais il a fallu attendre le mois d’août pour que l’Organisation mondiale de la santé la déclare comme une urgence de santé publique et prenne des mesures. Cela faisait déjà des mois que le grand public était au courant des problèmes de l’épidémie. On pourrait s’attendre à ce que l’OMS réagisse plus rapidement que le journal de France 2.

La réalité est que l’OMS a d’autres priorités. Dans son rapport de la même année ce n’était pas la crise Ebola qui fut évoquée mais un tout autre problème : la publicité pour le tabac. L’OMS craint que les maladies non transmissibles liées au tabagisme s’aggravent. Encore plus frappant, l’OMS ne se préoccupait pas seulement de la commercialisation du tabac dans les des pays développés, mais aussi dans les zones précises touchées par le virus Ebola. Voici un extrait de ce rapport :

En Guinée, de jeunes femmes séduisantes sont embauchées par les compagnies de tabac en tant que cadres de marketing, mais en réalité ces ‘filles de cigarettes’ font promotion de cigarettes devant des boîtes de nuit, devant des magasins et dans d’autres lieux publics.

Plus de 2 500 personnes sont mortes d’Ebola en Guinée, l’OMS s’est concentrée sur le problème du marketing des cigarettes. En 2014, pendant qu’Ebola ravageait l’Afrique de l’Ouest, l’ancienne directrice-générale de l’OMS, Margaret Chan, parlait devant la sixième Conférence des Parties lors de la Convention-cadre pour la lutte antitabac (FCTC COP6) et a déclaré que la lutte contre le tabagisme était la priorité de son institution.

L’OMS a déplacé peu à peu son attention des maladies transmissibles vers les maladies non transmissibles (MNT), causées par les aliments gras, le tabagisme ou la consommation d’alcool.

L’OMS, qui ne semble plus très impressionnée par les conséquences à grande échelle des épidémies nationales, préfère prendre une position idéologique militante pour un Etat-nounou visant à réglementer le comportement personnel des individus. Est-ce ce que cela répond aux attentes des contribuables ?

Gaspillage de l’argent des contribuables

D’après le Washington Post, les frais de voyage de l’OMS s’élèvent à 200 M$, ce qui signifie que chaque membre du personnel recevrait en moyenne un total de 28 500 $ par an.

Lorsque qu’on se bat contre le tabagisme au lieu d’Ebola, mieux vaut le faire dans un siège de classe affaires. Et lorsqu’on se rencontre, autant le faire dans un cadre agréable tel que l’hôtel Coral Strand aux Seychelles, qui a accueilli des experts internationaux de la lutte antitabac venant d’Afrique du Sud, de l’île Maurice, du Kenya, d’Ouganda et du Libéria. L’hôtel propose de belles chambres, des courts de badminton et d’autres sports de plein air ainsi qu’un Ocean Deck Bar pour tous les professionnels de la santé assoiffés, le tout pour environ 300 $ la nuit.

La raison invoquée pour ce lieu de réunion ? Les experts de santé africains pouvaient ainsi s’inspirer de l’exemple des lois anti-tabac des Seychelles. Cependant, de l’aveu même du site internet de la République insulaire, ces règles ne sont pas encore mises en place.

En mars 2017, l’Associated Press a rapporté que l’Organisation mondiale de la santé a plus dépensé pour les voyages de 7000 salariés que pour la lutte contre le paludisme, la tuberculose, le sida et l’hépatite, ainsi que la lutte contre la toxicomanie de la maladie mentale, réunis ! Malgré tout, l’agence exige que son budget soit augmenté, car le budget actuel serait insuffisant pour remplir son rôle de prestataire de soins de santé.

Pourquoi pas la charité ?

Comparez cela à Médecins sans Frontières, qui est presque entièrement financée par des dons privés, et généralement considérée comme étant plus efficace dans la lutte contre Ebola, à travers une opération à grande échelle impliquant de nombreux bénévoles et chercheurs. Les frais de transport de MSF sont de 160 000 €.

Les défenseurs de l’aide aux personnes souffrant du manque de soins devraient se tourner vers des organismes caritatifs renommés, et non vers l’OMS. Des organisations telles que MSF montrent que motiver les gens qui croient en leur cause est beaucoup plus efficace que de noyer des ressources publiques dans les budgets pour des «experts» extravagants et idéologiquement orientés.

Dans le débat sur la nécessité de certaines organisations internationales, nous devrions regarder les résultats plutôt que les intentions. Si l’on regarde les résultats de l’OMS, la conclusion est claire : celle-ci devrait être éradiquée.

Pour plus d’informations, c’est ici.

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  • encore et toujours de l’argent dépensé pour des machins qui n’ont aucun mérite…..

  • Et que dire de son petit frère, le CIRC, qui vient, opportunément d’annoncer que 40% des cancers seraient évitables, cancers qui seraient liés au tabac, l’alcool et à la « malbouffe ». Bien sûr, derrière ça, on voit poindre des politiques « volontaristes », liberticides en diable, pour notre bien à tous.

  • Ajoutons à cet édifiant état des lieux les abus de biens sociaux qui sont monnaie courante pour les salariés . Ainsi il est courant de voir en brousse Africaine de gros 4×4 estampillés OMS utilisés lors des week end et autres villégiatures .
    Ils ne se cachent même pas . Leur suffisance leur sert de couverture !

  • Dernière ânerie en date : l’addiction au jeu reconnue comme maladie mentale. Je passerai sous silence le rapport truqué sur le diesel…
    Mais l’affaire est bien plus préoccupante que le seul cas de l’OMS. Car c’est à tous les niveaux de notre société que les médecins ont pris le pouvoir. Pas le médecin de famille qui lui est necessaire. Mais le médecin présent dans les instances décisionnelles, que ce soit l’infatigatible et très penible Dr Got qui milite (avec succès) pour le 80 km/h ou ceux qui convaincus d’oeuvrer pour la santé publique imposent 11 vaccinations à des nourrissons ou encore ceux qui refusent de dépénaliser la fumette. Et ça, ça se passe chez nous, pas à l’OMS et pas chez nos voisins.
    Le « médecin institutionnel » français, celui qui ne soigne plus depuis bien longtemps mais se contente de proposer coercition et sanction ? Le meilleur allié de la Peur et de l’hygienisme securitaire.

    • Vous tenez absolument à ce que les maladies mortelles reviennent? Des gens meurent de la rougeole qui est revenue grâce à des ignares comme vous!

      • Fariboles et calembredaines ! La décision d’étendre la vaccination obligatoire à 11 maladies est politique et absolument pas sanitaire.
        Le taux de couverture vaccinale pour la plupart d’entre elles dépassent 90, voire 95 % (y compris pour des vaccins non obligatoires), l’occurrence mortelle est très faible (et souvent liée à des cas très spécifiques) et la plupart de ces maladies sont en régression dans les pays occidentaux.
        Vous aurez noté aussi que la maladie vaccinable qui fait le plus de dégâts est la grippe, et que son vaccin n’est pas obligatoire ! La grippe, c’est plusieurs milliers de morts par an. La rougeole, qui a servi d’épouvantail pour justifier cette politique, c’est au pire, 2 ou 3 décès dans l’année.
        Enfin, la majorité des pays européens se contentent de recommandations, et ne rencontre pas les problèmes que nous nous évertuons en France, pays de l’hygiénisme sécuritaire, à monter en épingle pour justifier une fois de plus la tentation liberticide de l’Etat français…
        Je précise, ca va sans dire mais mieux en le disant à voir votre réaction, que je ne suis pas contre la vaccination, mais seulement contre son caractère obligatoire…

        • « je ne suis pas contre la vaccination, mais seulement contre son caractère obligatoire… »
          mais c’est bien sûr, sauf que vous devriez savoir qu’en vous vaccinant, vous vous protégez, mais vous protégez les autres également. Refuser la vaccination revient à être un passage clandestin: vous bénéficiez des efforts des autres.
          Quant à la couverture vaccinale en rougeole en France, elle est désormais inférieure à 95%, seuil qui devient critique: on revoit apparaître des cas de rougeoles qui n’est pas une maladie si bénigne que ça.

          • Les choses sont plus complexes. Certaines vaccinations sont purement « égoïstes », vous ne protégez que vous (tétanos qui n’est pas contagieux, diphtérie ou polyo ou vous restez porteur sain etc). D’autres sont purement altruistes, comme celle de la grippe, où l’ideal est de vacciner les adulltes qui ne risquent rien pour eviter la contamination des vieux chez qui la vaccination est risquée et inefficace. Pour certaines, c’est le grand n’importe quoi : pour éviter le cancer de l’utérus, ne prevoit que la vaccination des filles, alors que les garçons sont contagieux aussi. Les garcons ont plus de chances : on vaccine aussi les filles pour les oreillons dont les complications ne concernent que les premiers… Les oreillons, parlons en : avant quand on choppait les oreillons, généralement en bas âge, on était vacciné à vie. Le vaccin administré aux jeunes enfants ne les protège que jusqu’ a l’adolescence, pile au moment où cette maladie devient vraiment problématique…
            Etc.
            Donc oubliez le mythe de la vaccination qui sauve la planete en eradiquant le virus : cela ne s’est produit que pour la variole. En réalité il y a presque autant de cas de figures qu’il y a de vaccins et tous n’obeissent pas à la jolie fable que vous nous racontez…
            Et encore une fois : je ne suis pas contre la vaccination, mais contre l’obligation. En Europe, tous les pays, loin s’en faut, n’imposent pas d’obligation et encore moins 11 vaccins !!
            Et leur couverture vaccinale n’est pas moins bonne que la nôtre. Je ne vois pas bien pourquoi le principe de liberté-responsabilité, pilier du libéralisme devrait s’arrêter dans la salle d’attente du médecin…

            • L’éradication du virus… Vous faites tout pour l’empêcher, et ensuite vous faites de son échec un argument. Pas très honnête intellectuellement, tout ça.

              • Pardon mais vous répondez à coté Mr. MichelO.

                « Vous faites tout pour l’empêcher »
                Réclamer le fait qu’un vaccin ne soit pas obligatoire ce n’est pas « tout faire pour empêcher l’erradication ». C’est contre sens vulguaire ou une tentative de diabolisation sans finesse. Guido Brasletti n’a pas l’air d’œuvrer contre eradication de certains virus (sous réserve que ce soit un but accessible en l’Etat actuel des choses). Il questionne la légitimité morale tout autant que le résultat produit par cette obligation.

                Son argument sur le fait que l’obligation de vaccination est une réponse légale triviale à un problème médical complexe est plutôt bonne. Pardon MichelO mais votre réponse ressemble plutôt à une mauvaise tentative de garder la face devant un argument meilleur que le votre, et non pas à une objection très réfléchie.

                On parle des seuils critiques pour l’efficacité de la vaccination. Mais il y a aussi une efficacité individuelle. Les gens vacinés souffrent beaucoup moins de l’infection en moyenne que les gens non vaccinés. A moins de prendre les individus pour des imbéciles, ils verront vite ce que la vaccination leur apporte. On aura bien plus de succès à convaincre de l’utilité d’un vaccin non obligatoire que de faire accepter un vaccin obligatoire. Le consentement est plus efficace que l’obligation.

                Et puis pardon mais ce qui se cache derrière votre phrase, c’est que l’eradication de certains virus est une bonne cause qui justifie la mise entre parenthèses de la liberté individuelle. On pourrait en conclure qu’en ce qui concerne l’eradication de virus, selon vous, la fin justifie les moyens. J’espère que je me trompe.

                • Vous vous trompez, effectivement. Les mesures pouvant mener à l’éradication relèvent de votre responsabilité envers la liberté d’autrui de ne pas être exposé inconsidérément à un danger. La question de l’interdiction forcée est spécieuse, puisque tout individu de bon sens devrait oeuvrer à cette éradication, et que c’est une mesure qui n’a effectivement pas lieu d’être, parce que toute personne sensée devrait prendre cette mesure de son propre chef. Donc on ne peut que soupçonner ceux qui demandent la liberté de pouvoir refuser la vaccination de se défiler, par refus des responsabilités au profit de sa commodité personnelle, plutôt que de défendre la liberté.

                • J’ajoute que je suis d’accord, sur le consentement bien préférable à la coercition. Mais il faut aussi éviter de traiter de la même manière les cas où le risque n’est pas avéré, genre glyphosate, et ceux où il y a un risque avéré comme la maladie. Sinon, l’amalgame est vite fait : celui qui refuse la vaccination se moque des risques qu’il fait courir à autrui, celui qui autorise le glyphosate tout pareil.

              • Finalement je découvre ici de nombreux étatistes (adeptes de la coercition) qui s’ignorent…
                Amusant.

          • Guido Brasletti a raison,chacun devrait être conscient des risques et se faire vacciner ou pas…ça s’appelle « responsabiliser » ..mais on est dans un pays ou tout est tellement dirigé et les gens habitués à ce que l’Etat les éduque qu’ils ne savent plus prendre des décisions par eux même…l’obligation de l’Etat de faire vacciner c’est de l’assistanat déguisé.

        • @ Guido Brasletti

          « pas contre la vaccination, mais seulement contre son caractère obligatoire… »
          Déjà, cela démontre que vous n’avez rien compris! Une vaccination de masse se doit d’être « obligatoire » parce qu’il est moins question de protéger le vacciné que d’éviter l’épidémie qui pourrait toucher une part de la population: pour cela, on a besoin d’au moins 90% de vaccinés pour enrayer l’épidémie (contagieuse! Ben oui!).

          La France, par exemple, n’a pas pu combattre l’idée répandue dans la population qu’un fonctionnaire de la santé publique d’état, sauve plus de vies que les soignants s’occupant des malades, d’ailleurs, c’est le ministre qui l’a dit à la télé: c’est son intervention et celle de son ministère qui ont préservé la France de la catastrophe!
          Bon sang! Mais c’est bien sûr puisque vu à la télé!

          Donc non, ce qui empêche l’épidémie, c’est la masse de population vaccinée qui ne pourra plus vous contaminer, pas vos velléités personnelles d’être vacciné ou pas: votre préférence passe après le bien de la communauté: c’est ce qu’on appelle « santé publique »!

          • Une vaccination de masse se doit d’etre obligatoire, dites vous…
            Vous irez expliquer ça à la quinzaine de pays européens chez lesquels la vaccination n’est pas obligatoire, et dont les résultats ne sont pas moins bons sinon meilleurs que chez nous en termes de santé publique.

  • Comme l’ONU lui même, cela ne sert qu’à caser des copains qui toucheront de bons salaires avec des avantages ( nuits dans les 5 étoiles, restaurants, voyages, etc…! )

  • J’approuve le ton général de l’article mais la lutte contre le tabagisme n’est pas une cause sans intérêt non plus, il ne faut pas exagérer.

    • La lutte contre le tabagisme n’est pas une grande cause internationale, ça ne rajoute absolument rien de passer par un organisme mondial pour ça.

      • C’est une cause de santé publique objet de l’OMS, l’appeler grande cause internationnale n’est qu’une question de terminologie.
        Peut-être que je me trompe mais les actions de l’OMS ne portent pas spécifiquement sur des problèmes qui nécessitent une coopération internationnale de part leur nature – ou alors l’OMS se limite-t-elle aux maladies infectieuses transmissibles ?

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