Sire, surtout ne faites rien, de Charles Gave

Fondateur de l’Institut des Libertés, Charles Gave publie une série d’articles pour analyser l’économie sous le regard libéral, dans cette grande tradition du libéralisme français qui va de Tocqueville jusqu’à aujourd’hui.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Sire, surtout ne faites rien, de Charles Gave

Publié le 9 mars 2017
- A +

Par Jean-Baptiste Noé.

Le libéralisme n’est pas une doctrine économique, mais une branche du droit. Être libéral, c’est être attaché aux libertés, qu’elles soient politiques, économiques, culturelles, religieuses… C’est cet amour de la liberté qui vaut aux libéraux d’être vilipendés et accusés de tous les maux : crise économique de 2008, réchauffement climatique, pauvreté. Partout où le socialisme fleurit, on attaque les libéraux pour les accuser d’être responsables des conséquences dont ils dénoncent les thèses.

Une analyse sous le regard libéral

Fondateur de l’Institut des Libertés, Charles Gave publie une série d’articles pour analyser l’économie sous le regard libéral, dans cette grande tradition du libéralisme français qui va de Tocqueville jusqu’à aujourd’hui, en passant par Bastiat, Aron, Revel et beaucoup d’autres. Que ce soit en matière d’économie, de politique, de culture, l’invocation est toujours la même : fichez-nous la paix. Surtout, ne faites rien. Plus de lois, plus de décrets, plus d’aides. Que l’État fasse ce pour quoi il a été créé, assurer la police et la sécurité, et qu’ils laissent agir les corps intermédiaires, le principe de subsidiarité et les individus.

Dans ces séries de chroniques, nous trouvons une application pratique des principes libéraux. Le libéralisme tel qu’il existe réellement et non tel qu’il est dévoyé et caricaturé par les partisans du collectivisme. Sont évoqués également les problèmes structurels de l’économie française : le poids de la dette, des remboursements, la trop forte présence de l’État, et des solutions simples et concrètes à mettre en place pour sauver le pays.

Sur le web

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don
libéralisme
10
Sauvegarder cet article

Par Nathalie MP.

Je me suis demandé ce que je dirais si on me demandait ce que signifiait pour moi "être libéral". Je vais commencer avec un exemple qui va sans doute surprendre car il ne concerne pas du tout l’économie.

 

Deux exemples de constructivisme

Vous trouvez – hypothèse – que le don d’organes est une idée géniale qui permet de sauver des vies. C’est parfait, moi aussi je trouve que c’est génial. L’affaire commence cependant à déraper car vous êtes tellement emballé par cette idée que vous trouvez même qu’il... Poursuivre la lecture

Par Jonathan Frickert.

Offrant des analyses intéressantes de l'histoire du capitalisme ainsi qu'une critique bienvenue de la bourgeoisie, l’auteur retombe rapidement sur de vieilles antiennes marxistes dont il recycle ainsi les théories sur l'effondrement.

Cette vision le rapproche paradoxalement de Jacques Attali, lui aussi grand admirateur des analyses marxistes et avec qui il partage la propension à envisager l’effondrement du capitalisme tous les quatre matins. La critique benoistienne de la bourgeoisie souffre du même mal, ... Poursuivre la lecture

Par Jonathan Frickert.

Alain de Benoist nous propose une critique des fondements anthropologiques du libéralisme. Après avoir démontré que le libéralisme n’est pas un économisme, attaquons-nous à la mauvaise compréhension de l’individualisme dont fait montre l'auteur.

 

L’individu n'est pas un neutron

L'intellectuel reproche à l'individualisme de prôner un individu coupé de tout lien social. Cette confusion l'amène à estimer que le libéralisme nie les communautés naturelles et envisage donc un individu coupé de toute... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles