Nuit Debout met Paris à genoux : un élu parisien s’exprime

Un élu parisien s’exprime : la Place de la République occupée par Nuit Debout doit être immédiatement et définitivement rendue à ceux à qui elle appartient : les Parisiens.

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Nicolas Vigier-Nuit Debout Paris(CC0 1.0)

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Nuit Debout met Paris à genoux : un élu parisien s’exprime

Publié le 23 avril 2016
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Par Jérôme Dubus.

Nuit Debout doit libérer Paris
Nicolas Vigier-Nuit Debout Paris(CC0 1.0)

 

Depuis trois semaines, le mouvement « Nuit Debout » occupe en toute impunité la place de la République, avec la complicité de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, et le silence du Préfet de Police.

En effet, malgré de nombreuses dégradations de commerces, d’équipements publics, malgré la consommation effrénée de drogues illicites en tous genres, « Nuit Debout » poursuit nuit après nuit ses bacchanales enfumées et violentes, en plein état d’urgence !

De qui « Nuit Debout » est-il l’enfant ?

Certainement pas de la tradition grecque de l’Agora, qui vit la naissance et le développement d’écoles philosophiques de première importance comme l’École du Portique de Zénon du Cition, fondateur du stoïcisme.

Pas non plus de la tradition britannique des « speakers » de Hyde Park, plutôt sympathiques et inoffensifs.

Encore moins des mouvements de type Podemos, qui n’ont jamais sombré dans la violence ou la destruction.

« Nuit Debout » est en réalité l’enfant de la gauche anticapitaliste, antimondialiste et anarchiste qui veut détruire notre société, sous couvert de revendications égalitaires et démocratiques.

« Nuit Debout » trouve son inspiration dans les mouvements altermondialistes violents dont les « grands hommes » sont Hugo Chavez, qui ruina son pays et le priva de liberté, et « Lula », l’un des dirigeants les plus corrompus du XXIe siècle.

« Nuit Debout » est enfin le reflet d’une France à genoux dont les plus hautes autorités sont désormais incapables de faire respecter l’ordre républicain.

Combien de temps les Parisiens vont-ils tolérer cette inaction à la fois complice et coupable ? Combien de temps les riverains vont-ils supporter ces « happenings » insalubres et dangereux ? Combien de temps les commerçants vont-ils supporter la casse de leur outil de travail et les exactions physiques de ces pseudo-démocrates ?

Il est temps désormais de mettre fin à cette mascarade de démocratie incapable de respecter une parole différente comme celle d’Alain Finkelkraut.

La place de la République doit être immédiatement et définitivement rendue à ceux à qui elle appartient : les Parisiens.

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  • Allons, allons… on y distribue le journal « le Bolchevik » (véridique) : il est important de laisser l’intelligence s’exprimer !

  • Que fait cette diatribe anti libérale sur ce site ?

    1- nuit debout à autant le droit d’occuper cette place que quiconque
    2- la violence et les dégradations inacceptables doivent être réprimées à république comme à Nantes, leurs auteurs n’ont aucun lien avec les manifestants, agissant pour leurs intérêts propres ou utilisés par d’autres ( ce qui expliquerait peut être l’étrange incapacité à les identifier, en plein etat d’urgence)
    3- aussi stérile que soient les débats nocturnes, entre personnes qui sont d’accord sur tout ( et son contraire), la liberté est aussi d’accepter celle des autres… Et c’est difficile.

    • Moui avec quelques bémols…

      « Quiconque » non, on ne peut pas organiser de fêtes et bloquer la circulation avec des copains sur une place, et je m’interroge même sur l’attitude des politiques s’ils n’étaient pas du « bon bord ». Droits à géométrie variable donc.

      Dégradation: j’ai pas mal manifesté dans mes années socialistes, je ne faisait pas partie des casseurs (que je connaissais) mais la foule aidant, je n’étais pas très respectueux non plus des biens ni ne décourageait franchement ces attitudes. « Aucun liens » c’est faux, c’est juste la frange la plus radicale mais c’est la même population dans l’essentiel.

      Liberté des autres: ils ne les respectent pas et violent celle des autres. Celle de circuler, celle d’avoir un droit égalitaire qui s’applique autant à eux qu’a nous, celle de ne pas nous faire payer leurs fêtes.

      • J’ai moi aussi manifesté à de nombreuses reprises, bloqué une quinzesjours l’accès de l’entreprise qui m’emploie… Et Je n’ai rien cassé, j’ai veillé à la securité des non grévistes comme de mes collègues grévistes, et meme une fois empeché une poignée de cgtistes bourrés de lancer une fusée dans un salon de thés…

        À Nantes comme place de la république il y a très clairement des individus qui se moquent bien de la loi travail ou de reflechir à une révolution gauchiste…
        Ils sont là pour profiter de la faiblesse d’un etat devenu illégitime par ses propres actes illégaux, liberticides, injustes, de sa propre faiblesse intellectuelle populaire…

        Je pense également à une forte manipulation… Autant qu’au sentiment de jeu

        • cap2006 : « Je pense également à une forte manipulation… Autant qu’au sentiment de jeu »

          Clair, mais il y a toujours une limite, et si deux trois jours bon enfants sont acceptables dans un état de droit, là ils commencent vraiment à faire ch… et à pisser sur les droits et la liberté de pas mal de monde.

          Ce qui est gênant pour eux, c’est qu’ils prônent justement un monde meilleur et plus respectueux des individus… en se comportant comme des gorets.

          cap2006 : « À Nantes comme place de la république il y a très clairement des individus qui se moquent bien de la loi travail ou de reflechir à une révolution gauchiste… »

          L’anticapitalisme va de pair avec un certain mépris pour les biens. Quand on est jeune, n’a jamais bossé, qu’on est idéaliste et anti-système on n’est pas au top du respect non plus. Pour la « réflexion », j’ai aussi un doute, j’étais idéologiquement con a manger du foin voici 35 ans, j’avais zéro connaissance sur les lois, l’économie, le monde du travail, mais plein de slogans déjà tout mâchés par mes parents et mes profs. C’était exactement les mêmes slogans en fait.

          S’il y a encore des gens vraiment intéressants et savants là-bas, c’est un accident, de la curiosité ou de la nostalgie à ce stade.

          cap2006 : « bloqué une quinzesjours l’accès de l’entreprise qui m’emploie… Et Je n’ai rien cassé »

          Une poubelle renversée coûte moins cher éventuellement que 15 jours de production ou de salaire pour les non-grévistes… 😉

        • @ cap2006
          « J’ai moi aussi manifesté à de nombreuses reprises, bloqué une quinzesjours l’accès de l’entreprise qui m’emploie… »

          C’est dans vos principes libéraux de bloquer l’accès à une entreprise ?
          Etes-vous un libéral… mais ? J’avais déjà remarqué….

      • Ce serait même mnon avec pas mal de dièses.

        L’occupation d’un lieu public n’est acceptable que quand elle respecte l’ensemble des autres usagers de ce lieu public : liberté de circulation, de tranquillité pour le sommeil des riverains, liberté de ne pas avoir à payer pour le nettoyage, etc.

        Les violences et les dégradations sont objectivement couvertes par la présence des manifestants. Il ne suffit pas de dire en levant les bras « c’est pas moi, c’est l’autre ». Sans manifestants, il n’y aurait pas de casseurs, ou ils seraient interpellés et dispersés ou plus probablement ne viendraient pas.

        Ceux qui veulent organiser un débat peuvent louer ou se faire prêter une salle et décider de qui ils invitent ou refusent. Ca se fait tous les jours partout. La liberté des autres à empiéter sur nos propres libertés, ça s’appelle la dictature. Il n’y a pas à en tordre la signification au prétexte qu’il y a quelques doux dingues qu’on ne voudrait pas choquer dans la foule des irresponsables.

    • C’est justement le problème: la police ne garantie pas forcément la sécurité de cette place. Perso, je serais d’avis que les organisateurs se chargent eux-même de la sécurité, mais on peut toujours rêver.

      • La police garantie la sécurité quelques part? ouf me voilà rassuré…

        • La police protège ces entités supérieures que sont les gouvernants. En revanche, les bombes, les balles de kalash et les impôts sont réservés aux gueux qui les entretiennent.

        • La police a très vite réagit quand les doux rêveurs de République ont voulu marcher vers la maison du Premier ministre 🙂

    • Personne n’a le droit d’occuper un lieu public pour son intérêt propre. Encore moins en état d’urgence.
      Que savez vous de ceux qui perpétuent ces violences ? Vous les connaissez ?
      Quant aux débats, nocturnes ou pas, revoyez mon point 1.

  • Devant la menace terroriste ce n’est pas l’Etat d’urgence qu’il faut voter c »est l’Etat d’exception qu’il faut décréter. Et là, plus de problème car l’exécutif sera obligé d’appliquer la loi.

    • Michel P: « Et là, plus de problème car l’exécutif sera obligé d’appliquer la loi. »

      Vœux pieux, Les causes de l’inapplication du droit actuel n’auront pas disparues. Ce n’est pas le texte de loi qui déconne, c’est la bureaucratie et la politique.

      Je dirais que c’est heureux que l’état soit incapable d’appliquer pleinement une législation qu’ils ont rendu folle. Si la France tiens encore pas trop mal c’est parce que quasi tous le monde passe outre.

  • Si ça vous intéresse les travaux de la commission MonnaieDebout (le nerf de la paix) ont commencé, voir sur FB : https://www.facebook.com/groups/MonnaieDebout/

  • « « Nuit Debout » trouve son inspiration dans les mouvements altermondialistes violents »

    On ne dit plus altermondialiste. On dit les « vrais démocrates»
    Altermondialiste, ça fait très 2000’s.

  • Article hilarant.
    Rien ne me réjouit davantage que de voir des conservateurs/puritains s’énerver parce que des bobos prennent du bon temps, font la fête, rejettent la diabolisation du sexe et de la drogue.

    Rien ne me réjouit davantage que de voir la panique de ces conservateurs/puritains.

    Rien ne me réjouit davantage que de voir la jalousie de ces conservateurs/puritains.

    Rien ne me réjouit davantage que de les voir s’enfoncer dans une argumentation ridicule : « la Place de la République occupée par Nuit Debout doit être immédiatement et définitivement rendue à ceux à qui elle appartient : les Parisiens. »

    Ha ha ! Comme ci il n’y avait aucun Parisiens parmi les gens de Nuit Debout ! La solution libérale c’est pas que l’État interdise aux bobos de se rendre sur des places publiques, la solution libérale c’est la privatisation du domaine public.

    D’autre part : Il y a une différence entre critiquer le fait qu’il ait des casseurs parmi Nuit Debout ou qui gravitent autour de ce mouvement, et critiquer le fait que des bobos s’amusent pacifiquement. Un bobo est un antilibéral/anticapitaliste mais un bobo n’est pas forcément un casseur. Un bobo est un progressiste mais un progressiste n’est pas forcément antilibéral. Les conservateurs/puritains font semblant de ne pas comprendre toutes ces nuances.

    Je soutiens les conservateurs sur le fait qu’il faut punir les casseurs, qu’il ne faut pas leur trouver d’excuse, qu’il faut les forcer à indemniser tout ce qu’ils détruisent. En revanche je ne soutiendrai jamais les conservateurs/puritains qui veulent que l’Etat interdise aux bobos de s’amuser pacifiquement.

    Concluons sur une citation de Mencken : « Le puritanisme est la crainte épouvantable que quelqu’un puisse être heureux quelque part. »

    • « Article hilarant.
      Rien ne me réjouit davantage que de voir des conservateurs/puritains s’énerver parce que des bobos prennent du bon temps, font la fête, rejettent la diabolisation du sexe et de la drogue. »

      Il fallait le dire qu’il y avait une partouse stupéfiante place de la république. La dope est offerte et non coupée j’espère. J’arrive tout de suite.

    • La solution libérale c’est pas que l’État interdise aux bobos de se rendre sur des places publiques, la solution libérale c’est la privatisation du domaine public.
      Du grand n’importe quoi… La solution libérale c’est surtout le respect de la liberté des parisiens. La liberté de circuler par exemple. Et celle de travailler dans le secteur occupé par les bobos.

    • Sade n’aurait pas mieux dit…

    • commando: « de voir des conservateurs/puritains s’énerver parce que des bobos prennent du bon temps, font la fête, rejettent la diabolisation du sexe et de la drogue. »

      Tant qu’ils pissent chez le voisin ça vous fait rire en gros.
      Le droit et la liberté à géométrie variable c’est en face, chez les bobos justement.

    • « des conservateurs/puritains »

      Comme les socialistes ayant voté la pénalisation des clients des prostitué(e)s ?

  • Ces groupuscules d’extrême gauche agissant toujours en toute impunité alors que nombre de manifestations de la droite décrétée extrême par la gauche ont été interdites et les moindres petits écarts à ces interdictions réprimés avec la plus grande sévérité ( le tout justifié par les bien pensants avec une faconde et un ton que n’auraient pas renié les personnages de petits bourgeois ridicules des films de Chabrol), il conviendrait de se demander qui les protège ? Et là, il faut se rappeler d’un sigle qui signifiait « police privée de l’Etat » soit une police qui avait carte blanche pour opérer des exactions politiques contre les opposants et la mise en coupe réglée de la population, soit des agissements qu’on ne pouvait demander à la vraie police issue de l’Etat démocratique précédent. Cet état fut l’Allemagne des années 30. Le sigle était l’abréviation de Geheime Statt Polizei… (je vous laisse faire la compression)…. Dans une démocratie, les apparences obligent à masquer ces emplois particuliers derrière des activités associatives de semeur de m… professionnels…..Mais si en France, tout est sclérosée depuis 40 ans car aucune réforme n’est possible (malgré les choix des urnes) contre ce qu’on appelle faussement « la rue » (une centaine de milliers de personnes en tout, bien nourries et au poil bien brillant), c’est bien qu’il y a une raison.

  • Et donc, une place, ça sert à quoi ? Je ne comprend pas bien la logique derrière cette opinion. N’est-on pas libre, dans ce pays, de se rassembler sur une place publique pour discuter, débattre, écouter… ? Devons-nous au coucher du soleil déguerpir et rentrer à la maison ?

    Ah, vous n’êtes pas d’accord avec eux… soit… mais ça ne justifie pas une interdiction de se rassembler.

    D’ailleurs vous êtes libre d’y aller et venir.

    Quant aux casseurs : et bien que la police fasse son travail et protège les commerces. Il y a bien des caméras à Paris, non ? Et des brigades aux abords de la place, non ?

    Quant au tapage nocturne : et bien là oui, ok, la police pourrait intervenir, distribuer des amendes, etc. Mais qu’on les laisse se rassembler en silence !

    Quant à l’état d’urgence… pffff…

    Ce genre de réaction est fondamentalement antilibérale il me semble et le fait de réagir ainsi face à des antilibéraux ne constitue pas une justification valable.

    Nuit Debout m’indiffère totalement, quand certains intervenants ne sont pas obsolètes et pathétiques comme ce pauvre Lordon. Mais bon sang, qu’on leur foute la paix à ces bobos !

    • @Xavier C : Le cas Finkelkraut semble prouver qu’on est pas tout à fait « libre d’y aller et venir. »

      Concernant le tapage nocturne, c’est se leurrer de croire qu’on peut régler ce problème de façon non-arbitraire si on refuse de privatiser le domaine public.

      Je suis entièrement d’accord avec tout le reste de votre message.

      • Chaque casseur prend 10 ans de taule par fait. Au bout de trois faits, c’est perpet’ sans remise de peine. Pas besoin de rentrer dans les histoires de tapages.

    • « Quant au tapage nocturne : et bien là oui, ok, la police pourrait intervenir, distribuer des amendes, etc. Mais qu’on les laisse se rassembler en silence ! » Ben justement apparemment ils ne sont pas très silencieux
      « Qu’on leur foute la paix à ces bobos » soit mais il faudrait aussi que ces bobos respectent les lieux, la place de la république est un urinoir géant ! Il faut bien vidanger après l’absorption massive de bières Hein !!!

  • Chacun peut circuler ou s’installer où il veut dans la limite du respect de la propriété privée, de la non entrave à la circulation d’un autre citoyen. Ce qui n’est pas le cas ici.

  • Si la place de la République est entouré de CRS, ce n’est pas pour surveiller ou contrôler les participants de Nuit Debout, c’est pour les protéger. Mes copains et moi, nous n’en ferions qu’une bouchée…

  • La parodie de démocratie n’est pas le mouvement « nuit debout » qui a le mérite de chercher d’autres voies, mais les quinquennats de nos présidents, avec les résultats que l’on sait.
    Critiquer les français qui essayent de ramener l’état a servir véritablement une vraie démocratie, n’est -il pas une parodie de journalisme -propagande ?

    • Combien de fois faudra-t-il dire qu’il n’y a aucun mérite à chercher, surtout avec l’argent des autres, et que seuls ceux qui trouvent ou défendent des solutions efficaces méritent notre soutien ?

    • Diane Toury: « La parodie de démocratie […] mais les quinquennats de nos présidents, avec les résultats que l’on sait. »

      Vous avez 100% raison, ils sont élus avec 1,9 voix sur 10 en moyenne, ils légifèrent sans aucun contrôle ni acceptation du peuple, nous avons affaire à une monarchie corporatiste, une mafia bureaucratique.

      Diane Toury:  » le mouvement « nuit debout » qui a le mérite de chercher d’autres voies »

      Par contre, là, pitié ! Vous passez la frontière Est et tout est absolument nickel depuis le taux de chômage à la dette en passant par les impôts, les comptes des assurances sociales et les prestations. Il y a bon nombre de pays sur lesquels prendre exemple ou le social est aussi excellent que la gestion, l’économie et les comptes.

      Quant aux « autres voies » de nuit debout, ce sont les mêmes slogans funestes que 40 ans en arrière quand les pays qui appliquaient ces doctrines n’avaient pas encore fait faillite lamentablement et pour la « démocratie », ils ne semblent même pas avoir compris la première lettre de ce mot.

      Justement, à la frontière Est, encore, le peuple a voté 700 fois sur les lois en 30 ans et Ça, c’est la vraie « démocratie » (pouvoir du peuple).

      En bref « Nuit debout » cherche dans de vieilles idéologies criminelles un truc qui existe et fonctionne excellemment à 3 heures de train.

    • « chercher d’autres voies »

      C’est simple il y a les voies qui respectent les droits de l’homme et celles qui les réduit à ceux des esclaves. « la fin de la propriété des moyens de production » fait clairement partie des seconds : elle est appliquée depuis 70 ans en Chine, à Cuba, en Corée du Nord et en France avec les magnifiques résultats que l’on connaît.

  • Il y a plein de problème important ( géopolitique, économique, démocratique…) et contrepoints passe son temps à taper sur des gens qui sont en un lieu que vous devez pour la majorité jamais voir (et même moi alors que j’habite à côté) autrement dit c’est du blabla sur un microcosme sans grand intérêt.

    • Derrière ces gens, il y a une nébuleuse politique, des idéologies, une mentalité et des manières de faire qui ont leurs racines partout dans le corporatisme mortifère français. Celui qui n’est pas démocratique, celui qui scie l’économie française depuis des décennies et qui nous rend ridicules sur la scène internationale.

      On n ‘attaque pas le chancre mou parce que ça vue nous dérange spécialement, mais parce qu’il révèle une terrible syphilis socialiste en phase terminale.
      Contrepoints attaque cette maladie très largement, jour après jour, mais il colle aussi à l’actualité, ce n’est pas exclusif.

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