Le regard de René Le Honzec.
Devenu célèbre avec son entrée à l’Académie Française avec son expression « Casse-toi pov’kon ! », lauréat du Prix Renaudot pour son essai Je vais nettoyer les racailles au Karcher, l’ancien ministre de l’Intérieur et ex-Président de notre bien-aimée République fait un retour fracassant sur la scène politique française (pour les médias subventionnés, pour nous, c’est « Le Grand Guignol ») en promettant tout.
Pas la peine de détailler, il suffit de se souvenir de son absence de résultats probants, observée par l’ineffable criminologue Alain Bauer, copain de Sarko et ami de Valls, qui rappelle devant toutes les commissions d’enquête que le problème n’est pas une question d’effectifs, mais de qualité des personnels, souvent insuffisamment formés en procédure judiciaire. Et tout le monde a eu l’occasion de se frotter aux articles et reportages sur ces délinquants multi-récidivistes qui posent la question de l’action des juges (surtout ceux qui font des murs de cons…).
Non, ne vous précipitez pas pour voter Karcher, la législation sur les armes est de plus en plus répressive. Pour les honnêtes contribuables, bien sûr, sinon, en banlieue, préférez un Kalach qui supprime les tâches ménagères.