Pourquoi le catastrophisme écologique ?

Quel est le ressort idéologique du réchauffisme ?

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Pourquoi le catastrophisme écologique ?

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 2 juillet 2015
- A +

Par Michel de Rougemont.

Pourquoi faut-il absolument se convaincre que la Terre est malade des Hommes ?

Par quel mécanisme dérive-t-on de la science pour mentir sélectivement, exagérer grossièrement les traits et prononcer des oracles infondés ?

Comment de telles affabulations se transforment-elles en une pensée unique totalitaire ?

Comment et pourquoi les gouvernants ont-ils décidé de nommer des experts afin de se faire dicter un dogme devenu irréfutable ?

Pourquoi les politiciens, y compris le Pape, cultivent fidèlement ce dogme et se montrent sourds à toute discussion scientifique, philosophique ou simplement pratique au sujet du climat ?

 

Répondre de manière courte à chacune de ces questions est certainement une entreprise osée mais si l’on faisait long une certitude supplémentaire s’imposerait, celle de ne pas être lu du tout.
Et c’est déjà pas mal long, accrochez-vous donc !

 

La Terre est-elle malade des Hommes ?

À la première question on pourra répondre de manière anthropologique.

Au cours de l’évolution nous avons appris à faire fonctionner un système de méfiance, de veille et d’alerte permanente qui sert à nous prévenir des dangers et à survivre en tant qu’espèce mais aussi comme individu. Les animaux le font aussi mais chez les humains cela s’est intellectualisé pour devenir un mode d’organisation sociale, au-delà de la meute agressive ou du troupeau agressé. Cela a pour conséquence que la quiétude est devenue impossible sauf pour les moines et autres sages qui se détachent des affaires de ce monde avant de rendre l’âme.

Ainsi les nouvelles ne sont bonnes que si elles sont mauvaises.

Supposer un mal afin de lutter contre lui est devenu une bien meilleure justification, une morale de l’action, que celle qui conseille de vivre sa vie avec calme et raison. L’hédonisme sobre des sceptiques de l’Antiquité ne fait hélas pas salon. Donc il est « normal» de chercher le mal chez nous car il y aurait un bien suprême, ce que nous verrons dans la discussion du troisième mystère.

 

De la science aux oracles infondés

La « trahison des clercs » qui est suggérée par la deuxième question n’est en fait pas si complexe.

Avant les Lumières, le savant, le chercheur, l’expérimentateur étaient considérés comme des sorciers dangereux pour la société et le salut de l’âme. Puis sont venues les connaissances issues d’approches rationnelles et de la méthode scientifique, discutables et réfutables. L’âge d’or d’une certaine forme de scientisme trouva le début de sa fin lorsque la physique quantique réduisit à néant tout espoir de décrire la nature dans tous ses détails et avec toute précision.

La modestie a dû ainsi devenir une vertu du chercheur, ce qui est peu compatible avec son ambition tenace de comprendre et d’expliquer. Aussi, au cours du développement des sociétés industrielles l’enthousiasme pour la modernité et le bien-être a lentement fait place à un désenchantement de la technique et du progrès. Les problèmes environnementaux et les dimensions monstrueuses de certaines de nos réalisations (villes, trafic, production de masse, military-industrial complex, etc.) ont contribué à cette critique sociétale.

Rencontrant moins de respect et plus de critique, risquant de redevenir le sorcier abhorré, le chercheur et l’ingénieur se sont vu obligés de justifier leurs travaux autrement que par l’ingénue curiosité ou l’utilité pratique. En contribuant à une « cause » ils retrouvent une autorité intellectuelle et morale qu’ils étaient en train de perdre. La liberté académique n’est pas tout, le nombre de publications est nécessaire pour obtenir la reconnaissance de ses pairs (publish or perish), fixer des objectifs de recherche qui vont dans le sens du poil assure que les crédits ne manqueront pas (cash or crash). Dans un tel système de type boule de neige il n’est pas étonnant que l’on se mette à forcer le trait, à sélectionner les pistes porteuses, voire à éliminer les faits qui dérangent (to be or not to be).

Bien sûr tous ne se s’abreuvent pas à telles fontaines mais beaucoup sont entraînés par ce courant au point même de rejeter et d’exclure celui qui se rebelle. Certains appellent ce comportement dissonance communicationnelle. Pourtant je ne suis pas certain qu’il y ait un dilemme chez le chercheur qui pratique un discours mensonger alors qu’il sait les limites de son savoir. Il n’opère en fait que dans l’intérêt bien compris de la tribu à laquelle il fait allégeance et doit fidélité.

Et puis, particulièrement dans le cas de la climatologie qui n’est pas une science en soi, l’impossibilité de pratiquer son métier sans utiliser des modèles fait que l’on finit par croire sincèrement aux résultats qu’ils produisent. On peut même lire des articles dits scientifiques, lus et révisés par des pairs, dans lesquels un modèle est présenté qui confirme les résultats obtenus par un autre. Le serpent se mange la queue. Avec, encore, l’autorité que leur confèrent leurs titres académiques et leur soi-disant désintérêt de la chose économique, les grands patrons d’instituts de recherche n’ont plus de retenue pour prononcer les oracles dont ils savent pourtant qu’ils sont plus qu’incertains voire complètement faux, mais qui répondent si bien aux aspirations de leurs clients.

On constate très clairement que dans le cinquième rapport du GIEC le résumé et les recommandations pour décideurs sont nettement catégoriques alors que les discussions de détail transcrites dans des chapitres techniques sont plus nuancées et à cause de cela presque illisibles d’ailleurs. Le scientifique devenu expert se pose en prescripteur, et sort dangereusement de sa zone de compétence et de responsabilité1. Mais cela lui donne son quart d’heure de célébrité.

Je voulais faire court mais constate que l’on ne peut pas aborder ces questions avec des phrases trop lapidaires.

 

Une pensée unique totalitaire 

Pour expliquer le troisième mystère il faut chercher dans l’opposition philosophique qui sépare l’humanité en deux depuis que l’écriture nous permet de connaître la pensée de celui qui veut bien la décrire.

Cela est magnifiquement analysé par Karl Popper dans son ouvrage The Open Society and Its Enemies.

D’un côté l’idéalisme, celui de Platon qui suppose une perfection toujours abîmée par l’Homme, le paradis perdu du chrétien qui, s’il se repend, le retrouvera après la mort, le jardin d’Eden juif, le paradis promis au bon croyant musulman, l’âtman ou le nirvana oriental, le Reich de mille ans, ou encore l’avenir radieux d’une société marxiste sans classe.

Pour ceux-là l’histoire a un sens que les « sachants » et autres prêtres connaissent et transmettent aux disciples qu’ils gardent sous bon contrôle. Leur société est par essence autoritaire car le maître sait et le vulgaire doit se soumettre.

Par contre, dans une société ouverte il n’est pas question d’un modèle à suivre ou d’une fin à atteindre. L’individu y est au centre comme gestionnaire de sa personne et de ses relations avec les autres. Il avance de manière heuristique, pas à pas, reculant parfois, apprenant en chemin, sachant qu’il ne sait pas grand-chose. Il n’a pas de recette précuite mais il développe sa méthode, raisonnablement et scientifiquement, apte à se remettre en question par les découvertes qu’il fait en route, sans préjugés, dogmes ou croyances absolues.

Les idéalistes vouent aux gémonies cette société profondément libérale, l’accusant à tort d’être le suppôt de l’égoïsme et de la défense des intérêts privés contre ceux de la communauté. Il est ironique mais pas illogique qu’ils lui attribuent ainsi un sens, un « isme » qu’elle se refuse à se donner ; l’idéaliste est incapable de concevoir l’absence d’idéalisme.

Une cause globale présentant des aspects peu connus mais terrifiants, exigeant des connaissances compliquées et difficiles à obtenir, devant bien sûr être réglée au plus haut niveau : voilà du pain bénit pour l’idéaliste.

Tu poses des questions ? Remets-t-en aux prêtres et à leurs caciques car eux savent et ne te doivent pas d’explication.

Tu n’es pas d’accord ? Tout sera bon pour réduire cette posture immorale car hérétique.

Tu aimerais un débat ? Il est d’ores et déjà clos, la messe est dite, « the case is settled ».

Tu insistes ? On fera de toi un renégat. On ne te pardonnera, ou plutôt t’oubliera, que si tu te tais. Le bon couillon qui n’en sait pas trop te dit, comme Georges Clooney : « mais enfin, ces gens veulent notre bien et ont étudié la question à fond, qui es-tu pour les mettre en question et te permettre de contredire ce consensus ? » À quoi je réponds que moi aussi j’ai beaucoup étudié la question et que les impostures de cette énorme majorité sont de l’ordre de la croyance et du dogme et non de la science. Ils croient et prétendent savoir, l’histoire est suffisamment remplie de tels malhonnêtes témoins et malfaisants gourous pour qu’encore une fois je ne m’y laisse pas prendre.

 

Comment et pourquoi des experts ?

Il est facile de répondre à la quatrième question.

Le potentiel de pouvoir que la possession de ce thème peut accorder aux serviteurs du système étant énorme il était indispensable de l’orner d’un crédit ayant des atours scientifiques. Mais l’on s’est bien gardé de s’en remettre à ces impossibles sociétés scientifiques et autres académies dans lesquelles des débats sans fin ont lieu pour ne jamais vraiment arriver à des conclusions (car aucune n’est jamais définitivement possible).

Alors on a créé un groupe d’experts venant du monde de la science et de la technique bien sûr, en lui donnant mandat d’instruire à charge contre ce réchauffement dû aux activités humaines. Le GIEC a obéi et délivre depuis plus de vingt ans des rapports catastrophistes à souhait. C’est ascientifique mais ça ne fait rien. Il n’est donc pas étonnant de voir ces mêmes politiciens ou leurs successeurs, car cela dure depuis plusieurs législatures, accueillir avec bonheur les conclusions qu’ils voulaient entendre. Ils ont ainsi reçu le grain qu’ils peuvent maintenant moudre.

 

Pourquoi les politiciens cultivent-ils fidèlement ce dogme ?

Quant à la dernière question, c’est celle qui pose la plus grande énigme.

On ne peut attendre des principaux intéressés, les dirigeants politiques, des justifications crédibles tant qu’ils sont au pouvoir. Et après ils ne sauraient se déjuger et révéler quels mécanismes de confiscation du pouvoir ont été utilisés. Ceux qui ont exprimé leur désaccord, tels Lord Lawson au Royaume-Uni, Claude Allègre en France ou Václav Klaus en République tchèque furent vite relégués dans la catégorie des inaudibles et cessent d’être invités à s’exprimer dans la presse ou sur les ondes.

On peut supposer que les dirigeants de ce monde font en grande majorité partie des ennemis de la société libérale et ouverte, sinon ils n’auraient pas brigué le pouvoir ou été élu Pape. Il leur est donc naturel de s’emparer d’une cause qui leur permet de se montrer sous un aspect écolo-responsable, ce qui est un oxymore, tout en sachant que le résultat des courses est tellement éloigné dans les générations à venir que personne ne viendra jamais leur demander des comptes.

Et si par-dessus le marché cela permet de ralentir les locomotives chinoises et indiennes alors tant mieux.

Il reste la question éthique à laquelle je ne trouve toujours pas de bonne réponse : se rendent-ils compte du totalitarisme globalisant qu’ils sont en train d’instaurer ?

C’est probable pour certains, les cyniques, mais il y en a aussi beaucoup qui n’ont pas assez de culture pour s’en rendre compte, les ignorants. Désirent-ils l’avènement de ce gouvernement mondial qui aurait, pour commencer, la main sur les stratégies énergétiques de tous les pays du monde ? C’est certainement le cas de beaucoup, voir la discussion du troisième mystère.

Mais il y a une autre hypothèse : ils font semblant, promettent des actions spectaculaires (réduire les émissions de CO2 de 80 %, supprimer progressivement l’usage des carburants fossiles jusqu’à la fin du siècle) qu’ils savent pertinemment ne pas pouvoir tenir ou même, en leur for intérieur, qu’ils jugent inutiles. Ce sont les vrais hypocrites, ceux qui travaillent à ce qu’un jour on leur dresse un monument pour célébrer leur clairvoyance et le rôle de modèle qu’ils auront joué.

Face à l’alternative purement totalitariste j’en viens, honte à moi, à souhaiter la victoire du professionnel hypocrite. Tout sera promis et, heureusement, rien ne sera fait.
C’est mon souhait, mon pari, et ma prédiction pour la conférence de Paris en décembre prochain !

P.S. :
Tout avis contradictoire et/ou complémentaire sera le bienvenu.
Mais avec arguments et civilité.

P.S. No 2 :
Non je n’ai pas dit que tout était permis et que le laissez faire soit à l’ordre du jour, une société libérale n’est pas du tout ainsi. Et une écologie bien comprise ne saurait être dogmatique et castratrice. Cela doit être l’objet d’autres billets.

Sur le web

  1. « we must also be alert to the equal and opposite danger that public policy could itself become the captive of a scientific-technological elite. »Farewell address of President Eisenhower, January 17, 1961.
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  • Une bonne façon de tenir les hommes est de les maintenir en permanence en état de culpabilité.

    La religion a inventé le péché pour ça.
    L’homme y tombe dedans petit et en est marqué à jamais.
    Heureusement qu’il y a de bonnes âmes pour lui vendre des indulgences.

    La religion écologique fonctionne exactement sur le même principe de rançonnement.
    Chaque goulée d’air respirée, chaque goutte d’eau bue, chaque geste humain est un crime contre mère nature.
    Mais là aussi, heureusement, de bons prêtres nous permettent de nous laver de nos fautes à grands coups de taxes et d’argent brûlé sur l’autel de la déesse Nawak.

    Combien de temps avant d’être dessillés ?

    • Vous avez dû être élevé chez les curés car vous semblez un fin connaisseur. J’approuve entièrement ce que vous écrivez.

    • Le problèmes n’est pas vraiment de boire quelque gouttes d’eau, c’est d’utiliser, rien qu’en france, près de 6 milliards de bouteilles en plastique pour ce faire.
      Le problème, n’est pas de respirer une goulée d’air, c’est d’y balancer des particules fines…

      L’écologie politique, ou l’idée que respecter la nature et l’environnement sont un devoir moral, ne se réduit pas au problème de changement climatique. (Si problème il y a.)

      Ça ne vous fait rien de vous balader sur une plage et trouver un oiseau crevé avec dans l’estomac une pile, 3 bouchons et un tampax?

      • Je respecte toujours la nature. Je suis favorable aux economies d’énergie de matières premières, au recyclage. .. mais je refuse d’adhérer a la grande secte qui prône de remplacer la connaissance par la croyance, qui risque de conduire l’humanité a sa perte du fait d’intention suspectes de quelques uns et du panurgisme béat de la masse.

        • Il faut quand même admettre que ce qu’on tient pour être le fruit modéré équilibré et rationnel du sens commun est dans l’essentiel des cas le résultats d’actions de types totalement bornés et radicaux.

          Je ne suis pas sur que vous auriez parlé de recyclage et d’économie d’énergie dans les années 60.

          Aussi exaspérant que soient les greenpeace wwf et compagnie, je ne suis pas certain qu’on vivrait dans un monde vraiment meilleur s’ils n’avaient pas existé. Il n’y a peut être que 10% de leur combat qui soit utiles et légitime, mais ces 10% là sont irremplaçables.

          • Il faut un contre-pouvoir aux multinationales ou grosses entreprises qui peuvent être réellement dommageables à l’environnement et donc à la sécurité et au cadre de vie des populations.

            Cependant, quand elles s’attaquent aux revenus des populations pauvres (même si le sort des Orangs-outans ou des baleines me met mal à l’aise) et surtout quand elles rackettent les entreprises pour distribuer des indulgences, je me dis qu’il y a quelque-chose de pourri au Royaume du Danemark.

            • Donc il faut équilibrer tout contre pouvoir par un autre contre pouvoir. Et c’est bon an mal an ce qu’il se passe.

              Ce que je voulais dire, c’est que pour tout domaine ce sont les convictions radicales qui permettent le militantisme. Et c’est ce militantisme radical qui , de loin en loin, infléchissent les opinions des tiédasse dans mon genre. Si on a des relations entre homme et femmes plus égalitaire aujourd’hui qu’il y a 100 ans, c’est en bonne partie grâce à des féministes révolutionnaires littéralement dingues…

              Si vous êtes mal à l’aise quant au sort des baleines et des ouran outang, c’est que votre vision de ces gros animaux placides a été plutôt façonné par des types de chez greenpeace que par le aramco de l’huile de palme ou le charal de la viande de baleineau …

              C’est comme brigitte bardot qui place la vie d’un humain en dessous de celle d’un clébard, qui a fait qu’on ne va plus massacrer des petits bébés phoques tout mignon à la batte de baseball. Ce n’est pas quelque qui « raisonne par pure » logique qui a obtenu ça.

              • Désolé pour ce texte bourré de fautes…

              • Et comme on ne massacre plus de bébés phoques autrement qu’à la batte de baseball non plus, les phoques pullulent, leurs parasites qui deviennent ensuite vers perforants dans les harengs aussi, et les Hollandais ne peuvent plus manger de harengs crus.

              • Si vous êtes mal à l’aise quant au sort des baleines et des ouran outang, c’est que votre vision de ces gros animaux placides a été plutôt façonné par des types de chez greenpeace …

                Non, je n’ai pas besoin de Greenpeace pour établir une (ma) propre catégorisation des espèces en fonction de leur proximité à l’homme en matière de génome ou d’intelligence. Mais connaissez-vous les Schmoo et les Bandernatchi ? Ils sont la réponse à notre problème (ou son absence).

                Et je suis d’accord avec vous : les écologistes étaient sympathiques tant qu’ils ne mettaient pas la pagaille partout comme maintenant.

          • Les greenpeace et compagnie ont un role utile comme lanceurs d’alerte. Ils veulent maintenant prendre le pouvoir et là ils sont véritablement dangereux. Ils dictent le discours du pape de notre président et on ne me fera pas croire que ceux ci nont pas d’arrière pensées purement politiques. Hollande a échoué partout et voit dans le grand machin de la fin 2015 un moyen de se refaire.

            • « Les greenpeace et compagnie ont un role utile comme lanceurs d’alerte. »
              => Même ça je ne peux leur concéder !
              C’est grâce à des Greenpeace et autres WWF, que cette année encore j’ai été contraint de foutre des organophosphorés dans mes semis de maïs, soit les belle recettes qu’appliquai mon grand-père ! Au lieu d’acheter des semences enrobées d’imidachlopride. Mais la secte verte a décrété que non ce n’est pas tolérable. Les pastèques ont gueulé plus fort que tout le monde et n’ont pas eu besoin de « démontrer » quoi que ce soit d’autre que leur déterminisme !
              idem pour les OGM, la pêche à la baleine, le paraben, etc, etc, etc, ….
              Ces gens-là sont plus une nuisance pour l’environnement que des gardiens du temples !
              Tout ce qui intéresse ces officines, c’est de rentrer du « don », leur business média prime sur tout autre chose, point !

          • Recyclage et économie d’énergie existait dèjà dans les années 60. Il y avait énormément de récupérateurs en tout genre et le passage du charbon/bois au pétrole fut un grand progrès au niveau de l’efficacité énergétique. Si vous comparé les gains d’efficacité énergétique depuis de lébut de l’utilisation du pétrole juqu’à aujourd’hui ceux ci on été continue et même lorsqu’il n’existaient aucune réglementations. personne ne brule du pétrole pur le simple plaisir de voire partir son argent en fumée. Si demain il existe des source d’énergie ^plus économique le pétrole sera abandonné très rapidement et sans état d’âme.

      • Respecter l’environnement est simplement de la pure logique – et il est certain que l’on a un très gros problème avec les déchets mais qui ne se règlera pas avec des containers multicolores et une morale de bisounours. (Je ne fais cependant pas l’autopsie des oiseaux crevés en ce qui me concerne).

        Cependant quand vous parlez de respect de la nature et de morale à ce sujet, il faudrait quand même atterrir : l’homme a toujours respecté la nature dans le sens où il la craint. Un marin respecte la mer et la météo, les cultivateurs respectent le volcan sur lequel ils sont assis et si on ne respecte plus les loups, on doit encore respecter les micro-organismes et les insectes qui ravagent nos constructions, nos cultures et notre santé.

        Quelle idée bizarre de décréter que la nature est fragile et qu’on doit la soigner, alors qu’en fait on lutte en permanence contre la faune, la flore et les éléments. Tout ce que construit l’homme et l’homme lui même est éphémère. La nature n’a rien a craindre, même si ce n’est pas une raison de vivre dans une poubelle ou de menacer sa propre santé.

        • Vous simplifiez la question. Ce n’est pas « la nature » qu’on détruit ou qu’on protège, ce sont des écosystème.
          Un mignon marais -avec ses petits poissons qui mangent les petits vers qui fertilisent le sol et nourrissent les herbes qui nourrissent les petites abeilles- aura toujours une forme de vie quand vous aurez déverser 3000 mètres cubes de lisiers de porcs et 500 kg de mercure. Mais vous aurez perdu l’héritage de millénaires d’évolution croisées d’espèces et un joli coin.

          • Un écosystème qui n’existerait que dans un seul marais avec des espèces uniques est voué à la disparition. Tout comme les pandas ! En fait, on ne perd pas grand chose.

            Sauver les pandas est un luxe même si ce n’est pas plus idiot que de dépenser de l’argent pour envoyer des hommes sur Mars. (Ca doit même rapporter pas mal en fin de compte). Mais l’évolution fait apparaitre et disparaitre des espèces sans que cela ne change rien au monde et à notre situation.

            Quant à condamner de vastes étendues par la pollution (ou l’inondation pour créer des barrages !), le problème est surtout de savoir ce que cela apporte (rapporte) et le fait qu’on ne demande pas leur avis et n’indemnise pas les victimes contraintes de se déplacer. Au passage regardez ces qu’était la France – ou Paris – avant qu’on assèche des marais – sans parler des Pays Bas. C’est bien ou c’est mal ?

            Mais en matière de catastrophes écologiques, attendez quelques centaines d’années et tout sera redevenu comme avant.Et la disparition de la mer d’Aral est évidemment un désastre, mais si elle n’avait pas disparu, je ne saurais même pas qu’elle a existé.

            La nature, c’est comme l’emploi : on ne la détruit pas, on la transforme et elle se transforme toute seule dès qu’on n’intervient plus. Et on risque probablement plus à diriger et planifier mal qu’à laisser les équilibres se reconstituer tout seuls.

            • Tout est voué à la disparition. La tour eiffel ou la joconde finiront bien par tomber en poudre. Ce qui n’est pas une raison pour les attaquer au burin.
              Ce n’est pas parce qu’une chose est unique qu’il faut en précipiter la disparition. La morale du meilleur qui gagne appliquée à l’anthropisation des espaces naturelles, c’est remplacer des espèces faibles ( les grenouilles, les papillons, les abeilles, les hérissons etc etc etc) par les espèces fortes, les winners du vivant ( les rats, les mouches a merde, les cafards etc).

              Que la france ou les pays bas aient asséché les marais n’est ni bien ni mal: c’est fait. La seule leçon pertinente à en tirer c’est qu’il s’agit de choix largement irréversible. Ça n’enlève rien à la portée des choix fait par nous à notre époque. Il ne me parait pas aberrant de laisser aux hérissons des espaces où il peuvent manger leur petit verre de terre sans se faire rouler dessus par un hummer…

          • Alors là celle là je l’attendais : on s’en fout des écosystèmes, un écosystème est fait pour évoluer et se transformer, ça me rappelle un cas dans le massif central d’une série d’étangs au milieu d’une forêt qu’on avait reboisé. Les écolos se sont battus pour recréer les étangs. Sauf que l’écosystème originale c’était bien la forêt, et que c’est des moines au moyen-age qui avait crée les étang en creusant le sol pour du minerai de fer …. donc les écologiste on détruit l’écosystème naturel, la forêt pour refaire des étangs artificiels crée par l’homme …..

          • Donc quand un gentil astéroïde, un volcan mignon ou un sympathique feu de forêt annihile des millions de km² de vie végétal et animal c’est bien mais quand c’est l’homme c’est mal?

      • Entre respecter l’environnement et vivre selon les préceptes d’une idéologie sectaire, punitive, culpabilisant l’homme parce qu’il a la tête du coupable, exigeant de faire un acte de foi dans un grand bond en avant, il y a une petite différence que ne semblent pas comprendre les écologistes…

        L’écologie politique, ça n’existe pas. Il y a l’écologie (science) et l’écologisme (idéologie).
        Les écologistes parlent d’écologie politique, parce que ça leur permet de prétendre que leurs revendications politiques sont induites par la science, ce qui est en réalité une escroquerie.

    • Combien je partage ce commentaire ….

      Ceux qui poussent à la roue sont ceux qui ont un intérêt purement et exclusivement financier.

      L’écologie là dedans !?!?!?!?

      Ce qui ne veut pas dire que nous pouvons continuer impunément de faire tout et n’importe quoi …

      • Marc « Ceux qui poussent à la roue sont ceux qui ont un intérêt purement et exclusivement financier. »

        Alors que c’est pas ça du tout pour les libéraux qui défendent leurs préceptes 😉

        • Ben non. L’intérêt que les libéraux défendent c’est la liberté. Celle des autres parce qu’elle est impliquée par la leur et réciproquement. Si on y gagne de l’argent tant mieux, mais ce n’est jamais qu’un corolaire.

    • C’est pas plutôt face à la défaite du communisme qu’un nouveau dogme de gauche a été crée : l’écologie mais effectivement en suivant un processus comme la religion catholique qui mise sur la faute individuelle pour éviter de se casser la gue… comme le communisme ?

    • @ Vincent Andrès Je n’adhere pas a votre propos L’auteur cite Platon A cet epoque il y avait quelques millions d’hommes sur la terre et l’ecologie n’etait pas un probleme evidemment Le monde connu des grecs s’arretait au detroit de Gilbratar Je refute le terme religion ecologique et si je bannis les ecolos politicards, l’ecologie est avant tout une science et on l’oublie un peu vite Il y deux problemes majeurs la pollution, par exemple des oceans avec les plastiques viennent se meler au plancton ( le plancton est un generateur d’oxygene ) et la disparition rapides des biotopes et conséquemment la disparition des especes Cette pollution est systémique puisque désormais il deconseille de manger trop souvent du poisson en haut de la chaine alimentaire qui concentre les polluants De surcroit la banquise est polluee par les metaux lourds Il ne s’agit pas de faire du catastrophisme mais d’etablir un etat des lieux et d’avoir une propespective Ce syteme de developpement est il encore viable? Pouvons nous avoir le meme comportement negligeant et comment gerer cette explosion demographique en particulier celle de la mediterranne Ce sont des questions qui devraient etre posees simplement Mais ne vous inquietez pas ce sont les insectes qui viendront semer le trouble religion ecologique ou pas c’est deja le cas avec l’arrivée du moustique tigre en france Ces insectes sont de formidable vecteur de maladie et ces bestioles ont une formidable capacite d’adaptation On a deja a peine a modeliser le climat donc de comprendre son fonctionnement alors je vous laisse le soin de la comprenhension des ecosytemes qui sont autrement plus complexes.

      • Comme vous dites tout cela est très complexe, d’aucun diront trop complexe, personne ne comprend vraimet ce qui se passe. Toutes théories école sont juste cela des théories dont le fondement est l eplus souvent idéologique partant du principe sacrosaint que l’homme est coupable et que la nature doit rester immuable (le mythe de l’age d’or)
        Quand à la pollution à votre avis c’est quoi le plus dangereux pour un être humain, arrêter de manger ou manger des produits pouvant éventuellement à très long terme affecter sa santé? La nutrition étant à peut prêt au stade de l’alchimie au moyen age qui pourrait venir m’affirmer qu’en mangeant régulièrement du poisson je ne serais pas finalement en meilleure santé que ceux qui s’en privent sous prétexte de toxicité?
        La science c’est le royaume de l’expérimentation, pour valider une théorie il faut autre chose que des statistiques, des impressions ou des convictions, il faut des preuves et de reproductibilité sinon c’est de la M…..

  • Merci pour vos réflexions si pertinentes. Cette affaire de réchauffement est un écheveau où il faut démêler les questions scientifiques, anthropologiques, politiques… La science sert juste d’argument pour un public qui, quoi qu’on en dise, a encore tendance à l’absolutiser.
    Je mettrais une nuance sur l’évocation que vous faites du christianisme. L’Église, en des temps où la vie n’était souvent qu’une vallée de larmes, a mis l’accent sur la félicité post mortem et la foi chrétienne est souvent réduite à un idéalisme tel que vous le décrivez.
    Il me semble malgré tout que l’autonomie des sciences, la liberté de l’individu et la méfiance vis-à-vis de tout totalitarisme sont des fruits du christianisme. Dieu seul est Dieu. La planète n’est pas Dieu. L’homme est libre, mais responsable, invité à vivre « comme » le Christ : ce « comme » est de l’ordre de l’amour et de la communion, non pas un ordre venu d’en haut avec la règle sanction-récompense. Certes, il y a un idéal, mais il ne fait pas abstraction du réel. La différence entre le christianisme et une idéologie tient à la miséricorde et à la liberté qu’elle engendre.
    Pour moi, l’adhésion de nombreux chrétiens à l’idéologie écologiste est une forme d’aveuglement sous couvert de bonnes intentions qui les ont séduits, voire manipulés.

  • vous n’avez pas répondu à la question soulevée par le titre même de votre billet et que je reformule ainsi : À qui profite le crime ? Car il s’agit bien d’actions criminelles engagées sous prétexte de réduire les émissions de CO2. Réduire et mettre à genoux des pays comme l’Inde, la Chine, le Brésil ou l’Afrique du Sud ? Vous mentionnez trop brièvement cette éventualité. Les actions de Greenpeace, du WWF et des milliers d’autres ONGs gravitant autour de ces deux poids lourds à l’idéologie malthusienne déclarée et semeurs de terreur climatique – des terroristes, il ne faut pas faire de périphrase : pour qui travaillent-ils ? À qui va profiter leurs actions criminelles ?
    Je suis convaincu que cette gigantesque et coûteuse imposture climatique sans fondement scientifique aucun est télécommandée par des groupes de pression financiers internationaux sous la tutelle des USA, pays qui par ailleurs se contrefout du protocole de Kyoto (qu’il n’a jamais ratifié) et ne ratifiera jamais les décisions prises lors de la COP21. Il en est de même de l’Inde et de la Chine qui n’aspirent qu’à se développer. Qui va les en empêcher ? Dans quel but ?
    La réponse à ces questions existe pourtant. Les USA utilisent les ONGs climato-activistes pour mettre à genoux tout pays qui aurait quelques velléités pouvant éventuellement contrecarrer leurs visées hégémoniques. Je ne suis pas un complotiste mais il y a tout lieu de penser que cette histoire rocambolesque de changement climatique a été récupérée par le Département d’Etat américain pour asseoir sa suprématie mondiale …

    • Un simple coups d’oeil sur la consommation croisée de charbon de la chine et des états unis montre que la stratégie malthusienne complotée avec greenpeace est, au choix, une vue de l’esprit ou un bide total.

      http://www.energytrendsinsider.com/wp-content/uploads/2013/08/Coal-Consumption.png?00cfb7

    • Vous n’avez pas remarqué que toutes ces organisations sont les enfants des groupes « pacifistes » financés par l’URSS ? Votre anti-américanisme vous aveugle.

    • C’est LA QUESTION que je pose aussi, et à laquelle je ne trouve pas de réponse satisfaisante !

    • Wow!!! Respire a fond et bonne pleine lune

    • Monsieur jacqueshenry, pourriez-nous refaire un article argumenté sur un refroidissement imminent du climat, ça ferait du bien. 😉

    • Le crime profite aux états occidentaux qui par la même empêchent le reste du monde d’arriver facilement à leur niveau de richesse par l’emploi d’énergie peu chère (et de devenir des concurrents). Ces derniers pays étant bien contents de recevoir des subsides plus facile à se partager en comité restreint pour diminuer leur emprunte carbone plutôt que de faire évoluer leur industrie (sauf la chine, l’inde et le brésil qui sont suffisamment grand pour pouvoir se foutre de l’avis ou des pressions des autres mais qui vont devoir faire des efforts pour continuer à vendre leur produit chez nous).

    • @ jacqueshenry le sinologue francais Jean Luc Domenach a dit  » la Chine inquiète plus les Chinois que les occidentaux  » et de continuer 16 des 20 villes les plus polluées sont chinoises. In fine ce sont les chinois qui pour l’instant subissent les conséquences de cette croissance rapide Que vous évoquiez Malthus les ONG les complotistes des francs macons que sais je , les problèmes des Chinois sont bien reels comme beaucoup de pays a forte croissance et a forte démographie Cette querelle byzantine du CO2 ne changera pas cette realite et notre champ de vision devrait etre élargi afin de mieux appréhender tout de meme l’avenir sans se laisser enfermer par un dogme une « croyance ecologique » J’apprécie Allegre pour son franc parler mais un bemol lorsqu il dit l’homme a toujours su s’adapter Certes mais désormais demain il s’agira de quelque 10 milliards d’humain Il faut etre honnete personne n’a la solution.

  • Une bonne explication de la survivance des croyance infondées et maléfiques est bien expliquée par les théorie du groupthink, tel que décrit par Benabou (qui a travaillé avec Jean Tirole, car ils partagent une technique de modélisation économique des croyances)

    http://www.princeton.edu/~rbenabou/papers/Groupthink%20IOM%202012_07_02%20BW.pdf

    le paradoxe du groupthink est qu’il se dévelope, et se durci non pas malgré qu’une croyance soit toxique mais parce quelle est toxique.

    Le groupthink apparait tout d’abord sur une base rationnelle, par une analyse sur la base de données imparfaites.
    Ensuite les acteurs investissent des choses précieuses dedans, leur égo, leurs carrière, leur épargne.

    ensuite le secret de la théorie est qu’on admet
    – que les acteurs humains optimisent non pas la valeur de leur investissements, mais l’ESTIMATION qu’ils font de la valeur.
    – que les acteurs humains ont la possibilité aussi bien de changer leur comportements, que de ne pas voir la réalité. le déni, l’aveuglement, est donc un acte, comme celui de vendre ses actions, changer de carrière, ou d’insulter les autres

    le résultat peut aller dans deux directions.

    si l’acteur est libre de voir la réalité, et de changer ses actions pour améliorer son futur, malgér l’opposition des autres, alors il va agir dans ce sens… il va s’informer et s’adapter.

    a l’opposé si l’avenir de l’acteur dépend de l’opinion des autres, alors l’acteur va rationellement choisir de ne pas voir la réalité pour ne pas subir la double peine, perdre et savoir que l’on va perdre. Pire encore, pour protéger sa croyance en un future qui chante, l’acteur va terroriser les dissidents qui pourraient faire apparaitre la réalité funeste de l’avenir prévisible.

    le problème dans la sciece moderne, est qu’elle est devenu , plus encore que les siècles précédents, dépendentes d’un unique consensus mondial, qui décide des financement.

    même les rats de capitaliste (entrepreneurs ou financiers), qui usuellement décidaient rationnement de profiter des illusions des autres pour s’enrichir (premier cas), aujourd’hui doivent passer sous les fourches caudines du consensus.
    En effet si vous pensez que le climat n’est pas un problème, que le nucléaire est plus propre que le photovoltaique, vous ne pourrez pas gagner un centime avec cette information. le gouvernement va subventionner vos concurents, va vous punir, vous règlementer.

    pour la recherche c’est pareil, car non seulement on va refuser de vous publiez si vous être un vrai dissident (et pas un faux rebelles comme on vous le demande qui discute de théorie exotiques confortable), mais même si vous avez raison, même si vous trouvez une machine qui marche, ou prouvez que les théorie sont fausses, en fait on va vous exclure du jeux, vous critiquer sans preuve mais sans espoir de défense.

  • Dans le cas présent, étant, par nature, sceptique et, par formation scientifique, et après analyse des données disponibles, je crois sincèrement et d’après moi, c’est prouvé scientifiquement, qu’il y a changement climatique, réchauffement mais pas seulement, et que ce changement est du à l’homme. Et d’après ce que je sais, 97% des scientifiques et la quasi unanimité des climatologues sont de la même opinion. Maintenant quand je lis que 1/4 des personnes sur cette planète ne croient pas à l’évolution des espèces, je suis bien obligé d’admettre que toutes les opinions coexistent même les plus improbables… mais avoir 1/4 des personnes qui n’y croient pas n’empêchera jamais les espèces d’évoluer ! Ni le climat de changer !

    • Bonjour. Vous allez avoir du boulot en commentaire en partant comme ca: 97% d’accord et preuve scientifique. Essayez de faire la liaison en cherchant qui a bien pu dire qu’il y avait 97° de scientifique d’accord …

    • Quand bien même tout cela serait vrai, le réchauffement climatique ne peut pas et surtout ne doit pas servir de prétexte à la mise en place d’une tyrannie chargée de planifier l’économie (et donc de nous asservir).

      En ce qui me concerne, je préfère risquer le coup de soleil.

      • Et puis la terre se portait à merveille avec 5 fois plus de CO2. L’homme ne menace pas la terre, c’est plutôt le contraire. La dernière glaciation à failli éradiquer l’espèce humaine l réchauffement ne peut être que bénéfique dans l’ensemble en rendant d’énorme surface de terre habitables et cultivables.

        • Ridicule ! 2000 ppm et ça augmenterait les superficie habitables et cultivables? Ca m’étonnerait. En plus vous vous trompez sur la presque éradication de l’homme à la dernière glaciation.

    • Pour Cook et al : C’est « 97% de ceux qui ont émis un avis », ce qui change tout. En fait, il s’agit de 97% d’un tier des publications. En fait, 2/3 des publications ne concluent sur rien.

      http://iopscience.iop.org/1748-9326/8/2/024024/article
      http://www.skepticalscience.com/97-percent-consensus-robust.htm
      http://skepticalscience.com/97-percent-consensus-cook-et-al-2013.html

      On est très loin des
       »
      d’après ce que je sais, 97% des scientifiques et la quasi unanimité des climatologues sont de la même opinion
      « 

    • 100% des gens pensaient que la terre étaient plate. La majorité n’a presque jamais raison et lorsqu’elle à raison, c’est par hasard pas par clairvoyance.

      • Bien sur, mais depuis la découverte que la terre est ronde, on a découvert la méthode scientifique (Depuis Galilée, Descartes, etc.). Pour me former une opinion, je ne prends en compte que les données et articles publiées avec peer review -lecture critique par d’autres personnes du domaine – dans des revues scientifiques « neutres » (donc pas celles où on peut obtenir une publication en payant ). Si vous connaissez des articles mettant en doute le changement climatique satisfaisant ces critères, merci de me les signaler…je suis toujours ouvert à d’autres opinions…. .

        • @pascal Vedel
          « je suis toujours ouvert à d’autres opinions…. . »

          Vous vous êtes discrédité dès votre premier commentaire en écrivant ça :
          « Et d’après ce que je sais, 97% des scientifiques et la quasi unanimité des climatologues sont de la même opinion »

          C’est vraiment inquiétant comme commentaire venant d’un scientifique, mais vous ne seriez ni le premier ni le dernier à vous planter lamentablement !

        • C’est agaçant de voir cette obsession du peer review en climatologie. La méthode scientifique c’est l’expérimentation reproductible, pas l’accord entre spécialiste.
          Si vous ne voyez pas le problème qu’il y a à dire que les travaux d’un type qui mesure la température du 13 siècles avec des vieux sapin ne peut être évalué QUE par des types qui mesurent la température du 14 ème siècles avec des coquilles d’huîtres c’est que vous n’avez qu’un rapport lointain avec la science…

          Sinon je vous avait trouver un article sur la disparition totale de la banquise en arctique en 2013, mais ça s’est avéré être du vieux consensus de 2007…

          http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/7139797.stm

        • « Si vous connaissez des articles mettant en doute le changement climatique satisfaisant ces critères, merci de me les signaler »

          Dans votre premier commentaire vous avez écrit : « après analyse des données disponibles, je crois sincèrement et d’après moi, c’est prouvé scientifiquement, qu’il y a changement climatique ».

          Donc en fait, vous n’avez PAS DU TOUT analysé toute les données disponibles sinon vous seriez au courant de l’existence des articles peer-reviewed proposant des hypothèses alternatives à celle de la faute de l’homme.
          Et le fait que vous soyez un ancien de chez Shell laisse supposer de gros conflits d’intérêt dans votre réflexion.

          • Ëtant un ancien de Shell, je ne vois pas où est le conflit d’intérêt, au contraire ! Conditionné pendant 35 ans dans le milieu des énergies fossiles, il m’a fallu d’autant plus m’appuyer sur des données pour me forger une opinion qui serait « contre » les énergies fossiles…. J’ai été ravi de participer à cette discussion mais je vais la stopper à ce stade car je me sent « bien seul » (ce qui montre que la pensée unique n’est peut être pas toujours là où on l’attend).

            • @pascal Vedel

              Pas très scientifique cette fuite, surtout quand on sait que la pensée unique à accès à tous les médias sans contradiction possible !

              He He !

            • L’écolo dans toute sa splendeur. Pratique de cracher dans la soupe après coup et de se draper dans une tardive pseudo rédemption. Donc vous avez vécu du pétrole toute votre carrière et depuis vous vous êtes fait une opinion contre. Alors il faut immédiatement renoncer à votre retraite… Et ne pas penser que vos mains sont désormais propres grâce à une contrition à deux balles.
              Les écolos du début du 21e siècle sont des hypocrites et des dictateurs par rapport à meurs ainés. Les écolos des années 70 allaient élever des moutons dans le Larzac, ils renonçaient au confort de la ville sans emmerder le monde. Aujourd’hui ils veulent changer la ville tout en profitant de ses avantages et essaient d’imposer aux autres leurs idéaux. Mais personne n’oblige les écolos à consommer des énergies fossiles, nucléaire; trop d’eau, de la viande, etc… Personne n’empêche les cocos à partager leurs revenus avec qui ils veulent.

            • « Ëtant un ancien de Shell, je ne vois pas où est le conflit d’intérêt, au contraire ! »

              Chuis pas raciste, je connais un arabe…

            • « ce qui montre que la pensée unique n’est peut être pas toujours là où on l’attend »

              Visiblement, vous n’avez pas compris le concept de pensée unique.
              La pensée unique, ça ne signifie pas les convictions de ceux qui ne pensent pas comme moi, la pensée unique, ça signifie une pensée critiquable pour laquelle il est interdit de la critiquer, une pensée qui vous mène à l’exclusion si on la remet en question…

        • Malheureusement, il y a un certain nombre de facteurs de sélection qui font qu’un journal « peer-reviewed » à publication gratuite ne suffit pas à garantir grand-chose :
          1. Les « peers » ne sont pas un échantillon aléatoire de scientifiques, mais ceux auxquels l’éditeur aura choisi d’envoyer le manuscrit. En général, on n’envoie pas à des scientifiques contestés…
          2. Les « peers » relisent pour l’amour de la science, mais le reste du temps, il leur faut bien vivre et faire vivre leur labo. Aucun financement public n’est accordé si on ne remplit pas dans la demande les paragraphes expliquant en quoi le projet est solidaire, éco-responsable, en faveur de la parité et des minorités visibles et invisibles et des thèses politiquement correctes. Tout financement privé sera lui interprété comme signe d’allégeance aux intérêts du grand capital et discréditera le labo.
          3. On ne conclut jamais un article en disant qu’on ne peut pas conclure — par exemple, à un effet anthropique sur les fluctuations du climat –, on propose des explications à vérifier suivant des termes qui appelleront à financer de nouvelles recherches — et le job du chercheur l’an prochain — dans un nouveau projet solidaire, éco-responsable, en faveur de la parité et des minorités visibles et invisibles et des thèses politiquement correctes (cf.supra).
          4. Les résultats sont savamment vulgarisés en renversant les propositions ou avec des sophismes, les conditionnels sont perdus dans la traduction, les légendes oubliées en sortant les graphiques du contexte, etc.

          En conséquence, on peut vous retourner la question : connaissez-vous des articles prouvant que les fluctuations climatiques ne sont pas la poursuite normale de la variabilité historique observée ? Certes, si de tels articles existaient la messe serait dite, le GIEC ne servirait plus à rien, mais est-ce une raison suffisante pour qu’il les passe sous silence ? Ou des articles montrant que le tri sélectif en Europe de l’ouest a un effet sur les volumes de macro-déchets dans les océans ? Ou que le nettoyage ratissage désalguage des plages n’a aucun effet sur l’érosion côtière ?

        • « Pour me former une opinion, je ne prends en compte que les données et articles publiées avec peer review -lecture critique par d’autres personnes du domaine »

          Et comment choisissez vous les articles que vous lisez ? Vous lisez tout ou vous laissez un arbitre « impartial » (dont la mission est d’évaluer le réchauffement) vous dire quels articles il faut lire ?

          • Ce qui est fou chez les écolos, c’est leur incapacité à considérer que leurs analyses soient biaisées, qu’ils puissent être des observateurs partiaux et non efficients…

        • @Pascal Vedel
          Si vous excluez toutes les revues où « on peut obtenir une publication en payant » votre bibliothèque d’articles scientifiques doit être plutôt maigrichonne…

          En effet, les revues dans lesquelles ont peut publier gratuitement, ça n’existe pas (mis à part quelques rares arrangements avec les éditeurs notamment si vous êtes referee).
          Pour faire survivre les revues scientifiques, les chercheurs (du moins leurs labos) payent (et parfois très cher) pour que leurs articles soient publiés et ceci dans toutes les revues dites « payantes », c’est à dire celles pour lesquelles les lecteurs doivent aussi payer.

          Et c’est encore pire pour les revues dites « open ». Là, ce ne sont que les auteurs qui payent.

          Visiblement vous ignorez tout sur les processus de publication dans les revues scientifiques !

      • Quoi ? La terre n’est pas plate ?

    • Pascal Vedel
      « ce changement est du à l’homme » implique que sans action humaine il n’y aurait aucun changement climatique … Vous croyez, vraiment ?
      La réalité évidente, et prouvée, c’est qu’il y a toujours eu des changements climatiques. Et l’évidence (non prouvable : on parle du futur, n’est-ce pas ?), c’est qu’il y aura toujours des changements climatiques même si l’Homme arrive à annuler son action sur le climat (et pour ça il faudrait qu’il arrête de fonder des villes, qu’il renonce à l’agriculture, etc. : back to the trees !) . Alors à quoi sert d’annuler cette action (supposée) ?
      Réponse du GIEC : à reculer de 8 mois, de 2040 à 2041, le moment où la température aura augmenté de 2° … SI les calculs sont justes, alors que pour le moment leur succès est nul….
      Et pendant ce temps là, la nature est parfaitement capable de gagner 5 ° toute seule, ou d’en perdre 5, aussi bien. Elle l’a déjà fait, alors pourquoi ne le referait-elle pas ?

      « Maintenant quand je lis que 1/4 des personnes sur cette planète ne croient pas à l’évolution des espèces »
      Je crois que c’ets plus que ça : TOUS les réchauffistes, c’est à dire, soi-disant, 97 % des scientifiques du climat, nient dans les faits l’évolution des espèces puisqu’ils n’y en a pas un pour dire qu’elles vont simplement s’adapter, comme l’ont toujours fait, aux changements climatiques qui ont toujours eu lieu. Parce que là, tu comprend, c’est pas pareil…

      • Tout a fait et pour rajouter un argument dans ce sens, il faut penser aux vikings qui ont colonisés le Groenland pendant 2-3 générations parce que le climat s’était réchauffé durant cette période ……

    • la question du changement climatique ne se pose pas dans les termes que vous écrivez…il s’agit d’une part de quantification et d’autre part d’évaluation quantitative de la probabilité des hypothèses.

      Quant au 97%, convaincus de quoi…et en quoi être convaincu de quelque chose rend cette chose vraie?
      ON voit que nous sommes dans la com, puisque vous ne savez m^me pas ce dont les sceptiques doutent.
      Je vous incite à aller lire judith curry par exemple

    • 97% des scientifiques consultés par le GIEC

    • Comme dit dans l’article, il ne s’agit en réalité que de modèles, recoupés avec d’autres modèles, etc, etc…
      Un modèle doit quand même être expérimenté pour être validé, ce qui est bien complexe dans la question de ce RC.

      Maintenant, il semble y en avoir un, ou du moins y en avoir eu un… Mais qui sait ? Le climat change tout le temps, notre analyse n’est-elle pas biaisée par l’établissement d’une normalité subjective du climat qui tôt ou tard est confronté par le changement hors de cette normalité ? Après tout, de tous temps, on a dit qu’il n’y avait plus de saison… Fourier disait à son époque que le climat était déjà déréglé… (soit, bien avant le boom industriel…)

  • Je n’irai pas jusqu a faire une association directe, mais il est marrant que vous portiez le nom de famille de Denis de Rougemont, https://fr.wikipedia.org/wiki/Denis_de_Rougemont dont on lit qu’il est assez a l’avant garde du developpement du mouvement écologique qui trouve son fondement dans les idées de Malthus selon certains.

    Lire cette phrase sachant ca porte à confusion: » Il reste la question éthique à laquelle je ne trouve toujours pas de bonne réponse : se rendent-ils compte du totalitarisme globalisant qu’ils sont en train d’instaurer ?  » L’association éthique + totalitasime globalisant + malthus + se rendre compte, c’est pas banal.

  • Ce matin, j’ai entendu Bartolone sur France Info, il a parlé climat en utilisant trois fois l’expression « déréglementation climatique ».

    Salauds de capitalistes, ils veulent tout dérèglementer, même le climat, heureusement régulé par décret, comme chacun sait.

    • Est-ce qu’il n’y aurait pas aussi un dérèglement de l’assemblé Nationale où on fait voter les lois majeures par 3 pelés et un tondu, un dérèglement du PS où la moitié tire à droite et la moitié à gauche, un dérèglement de l’UMP qui a du changer de nom, un dérèglement de la courbe du chômage et de la croissance, un très léger dérèglement de l’Europe et un dérèglement de la sécurité dans ce pays.

      Mais tout va bien, Culbuto arrive avec son petit tournevis.

    • Bartolone a aussi dit qu’il fallait tout faire pour sauver les guignols.
      Charité bien ordonnée commence par soi-même !

    • Comme le réchauffement climatique n’explique pas les vagues de froid (comme aux USA l’hiver dernier), le dérèglement climatique (forcément causé par l’homme) est devenu le nouveau cheval de bataille.
      Pour un politique, ce glissement sémantique est difficile à intégrer. En revanche, Nicolas Hulot, chevalier blanc de l’écologie responsable, a bien intégré ce nouveau concept qui permet d’englober tout et n’importe quoi : les inondations, les sécheresses, les vagues de chaleur ou de froid, la fonte des glaces, les incendies, les avalanches, la fin des haricots, et j’en passe.

      • …Et même la diminution de la population des lézards dans le Midi

        • Et l’augmentation de la prostitution aux USA :

          According to a resolution proposed by California Rep. Barbara Lee, the ostensible threat of global warming is set to affect women in a far more demeaning way than it will men. The Democrat lawmaker suggested women in the dystopian future predicted by climate change alarmists will be forced to trade their own bodies for access to depleting resources such as food and water.

          http://www.westernjournalism.com/will-global-warming-turn-women-prostitutes-democrat-seems-think/

          Il faut le bon coté : les péripatétiputes pourront marcher en petite tenue sans attraper froid.

          Et ça, c’est un acquis social!

      • Oui, il y a comme un dérèglement sémantique dans la langue française.

      • Les vagues de froids relèvent d’un synoptique météo. Quel rapport avec le réchauffement?

        • Les températures sous la moyenne, c’est de la meteo, les températures au-dessus de la moyenne, c’est du climat. En revanche le foutage de gueule, ça fonctionne en haut, en bas, à droite, à gauche et surtout en profondeur …

          Le tout est d’avoir une sémantique souple mais bien lubrifiée et de trouver ceux qui sont près à l’avaler toute crue.

          • Faux. Cest de la mauvaise foi. Ce qui compte cest la moyenne.

            • Ce qui montre que les climescrologues ont une cinquantaine d’années (au moins) de retard sur les statistiques.

              Mais il le faut bien puisque les séries « modernes » sont indistinguables des séries anciennes à la bonne granularité… donc on bidouille et on oublie (ou on ne connait pas) tout ce qui pourrait gâcher la bonne soupe.

      • « Comme le réchauffement climatique n’explique pas les vagues de froid »

        Mais si, le réchauffement explique tout!

        Plus de banquise, moins de banquise, vague de chaud, vague de froid, moins de neige, plus de neige, sur iClimate il y a toujours un modèle pour expliquer un phénomène.

  • … Le Chrétien qui, s’il se repenT…
    Le repentir ne saurait s’assortir d’un suicide!

  • Comment osez-vous mettre en cause ces héros qui mettent leur clairvoyance infinie au service des vermisseaux que nous sommes ?
    Paris va sauver le monde, ça ne fait aucun doute !

  • D’autres questions plus vitales pour la survie des hommes et de leurs sociétés se posent à propos du catastrophisme:
    En particulier: Quelles sont les conséquences du catastrophisme?
    A cette question le dogme vert et socialiste ne veut surtout pas que l’on réponde. Parmi les conséquences :

    -Ralentissement de la recherche et du progrès scientifique, accaparement des moyens restants de la recherche sur des sujets et cul de sac moins utiles centrés sur les catastrophes supposées,

    -Détournement de l’attention vers les catastrophes supposées et leurs auteurs supposés, au détriment de l’attention qui devrait être portée aux risques réels. C’est déjà le cas du catastrophisme sur l’énergie nucléaire : on s’occupe d’entasser des dispositifs de sécurité, superflus dans nos centrales nucléaires étant donné le faible risque (et même si un accident arrive, la mortalité par radioactivité est faible : 0 mort pour les 3 accidents de Fukushima) , au détriment de l’attention portée au reste de l’installation qui risque d’être très coûteuse à nos dépens ou de ne pas être fonctionnelle (n’est-ce pas ce qui risque d’arriver à l’EPR de Flamanville?).

    -Accaparement des budgets publics et des budgets des ménages à des activités et travaux centrés sur les catastrophes supposées et leurs auteurs supposés, et qui sont peu utiles, ou nuisibles à la survie ou au bonheur des hommes et de leurs sociétés. C’est déjà le cas du catastrophisme sur la pollution attribuée aux automobiles en ville: l’effet est une hypertrophie des transports en commun, les bus urbains deviennent plus polluants et bruyants par personne transportée que les voitures individuelles (certains bus polluent plus que 50 voitures diesels modernes et comme ils ne transportent souvent que et pourtant les municipalités mettent en condition les habitants par statistiques truquées et catastrophisme pour augmenter la circulation de ces bus plus nuisibles. Le résultat est que les nuisances augmentent par les bus, augmentent aussi par les mesures de contrainte et travaux de voiries aux dépens des automobilistes (plus d’embouteillages par trajet, ralentisseurs, trajets plus longs et heurtés,…), elles augmentent aussi par manque de moyens pour lutter contre les nuisances car les moyens financiers et humains sont gaspillés dans les transports en commun urbains: dans certaines agglomérations les coûts pour la société française (ménages, entreprises, état, collectivités, pollution, accidents) des déplacements en transports en commun urbains approchent 1euro par km et par personne transportée, contre 1 quart d’euro en voiture individuelle ; ce qui a été dilapidé n’est plus disponible pour acheter des véhicules plus dépollués (neufs aux normes Euro6, électriques, hybrides), cette politique augmente de la même manière le manque de moyens financiers pour guérir ou traiter les effets des nuisances sur la santé. La lutte contre les nuisances est ainsi torpillée.

    -Mise en place d’un climat de peur dans notre société . Ce terrorisme met sous pression la population et mine ainsi sa santé, le stress et diverses maladies cardiaques, cancéreuses et mentales liées au stress diminuent la durée de vie, augmentent les souffrances et les dépenses de santé aux dépens des Français. Ce terrorisme entraîne des comportements nuisibles tels que la fuite des personnels de santé lors des accidents de Fukushima, malades et blessés du tsunami ont ainsi péri abandonnés, ou tels que l’arrêt des centrales nucléaires japonaises depuis 4 ans qui a provoqué des milliers de morts de la pollution due au recours à des énergies fossiles polluantes de remplacement.

  • Je propose une cinquième explication : l’effondrement du communisme, l’echec du socialisme, laisse un vide pour les religions sans dieu.

  • À la demande de certains blogueurs et pour ceux qui douteraient encore de l’étendue de cette arnaque mondiale du Réchauffement Climatique due à l’Homme.
    Excusez du peu…

    « Plus de 1350 études à « comité de lecture » (peer reviewed) à l’appui des Sceptiques de l’alarmisme du Réchauffement Climatique Anthropique. »

    Voir : Sélection des études de la liste. (avec toutes les références)
    « Highlights: A sample selection of papers from the list  »

    http://www.populartechnology.net/2009/10/peer-reviewed-papers-supporting.html

    Quelques commentaires des plus grands experts du climat :

    « A tour de force list of scientific papers… »
    – Robert M. Carter, Ph.D. Environmental Scientist

    « Wow, the list is pretty impressive …It’s Oreskes done right. »
    – Luboš Motl, Ph.D. Theoretical Physicist

    « I really appreciate your important effort in compiling the list. »
    – Willie Soon, Ph.D. Astrophysicist and Geoscientist

    « …it’s a very useful resource. Thanks to the pop tech team. »
    – Joanne Nova, Author of The Skeptics Handbook

  • Pourquoi faut-il absolument se convaincre que la Terre n’est pas malade de l’homme, alors qu’il suffit de regarder, d’ouvrir les yeux….pour voir.
    Pourquoi les hommes sont-ils si rétifs à assumer leur responsabilité ?
    Pourquoi les hommes ont-ils si peur de se remettre en cause et de changer ?
    Pourquoi les hommes se réfugient-ils derrière des concepts pour rationaliser leurs petitesses ?
    Pourquoi les hommes ne voient pas que tout est inter-dépendant ?
    Pourquoi les hommes mettent-ils leur liberté plus haut que leur esprit de raison ?

    Je ne suis pas catholique, mais je vous invite à lire l’encyclique du pape. A lire vraiment, en laissant vos convictions à la porte, en ouvrant votre coeur et votre esprit.

    Bien cordialement.

    • @Riondel

      C’est vrai quoi pourquoi on est pas resté dans nos cavernes à crever à 40 ans d’une rage de dent ! Mince alors !

    • Et vers la neuvième heure, François s’écria d’une voix forte: Gaïa, Gaïa, lama sabachthani?

    • Pourquoi on se suicide pas tous pour laisser la pauvre terre tranquille ….
      L’écologiste le plus hypocrite dans ce cas est celui qui a des enfants, il a mis un capacité illimité de nuisance (elle peut se reproduire à l’infini) sur la terre, il est plus pollueur qu’un gros homme d’affaire sans enfant avec son jet et son yacht qui ne feront qu’un temps …..

    • Riondel: « alors qu’il suffit de regarder, d’ouvrir les yeux….pour voir. »

      Vous ne les avez ouvert que pour regarder la télé mon pauvre.

      Riondel: Pourquoi les hommes ont-ils si peur de se remettre en cause et de changer ?

      A part deux poubelles de tri pour votre bonne conscience vous n’avez rien changé, c’est donc à vous de répondre:

      Pourtant télévisuellement religieusement convaincu pourquoi ne faites vous rien pour Gaïa ? Égoïsme, couardise, imbécilité ?

    • « Pourquoi faut-il absolument se convaincre que la Terre n’est pas malade de l’homme, alors qu’il suffit de regarder, d’ouvrir les yeux….pour voir. »

      Tout simplement que vous n’êtes pas un observateur suffisamment fiable pour tirer de telles conclusions à partir du simple fait d’ouvrir les yeux… D’abord, vous ne voyez qu’une infime partie de la réalité, ensuite, votre jugement par rapport à ce que vous voyez est biaisé par vos convictions et bien d’autres choses.
      Juste en ouvrant les yeux, on peut constater que la Terre est plate et que le soleil se lève à l’est pour se coucher l’ouest.

      « Pourquoi les hommes sont-ils si rétifs à assumer leur responsabilité ? »

      Au contraire, les libéraux sont pour le fait d’assumer la responsabilité… responsabilité par rapport des causalités clairement établies, réelles et non idéologiques…

      « Pourquoi les hommes ont-ils si peur de se remettre en cause et de changer ? »

      Changer en quoi ? Supprimer le Mal pour réaliser le Bien ? Lol…
      Changez si vous le voulez, personne ne vous l’interdit. Qu’attendez-vous pour le faire ?

      « Pourquoi les hommes se réfugient-ils derrière des concepts pour rationaliser leurs petitesses ? »

      La petitesse est-elle vraiment chez ceux que vous accusez ? Ou tout simplement qu’ils réfléchissent un peu plus, au delà de votre propre compréhension ?

      « Pourquoi les hommes ne voient pas que tout est inter-dépendant ? »

      S’il y a de la causalité entre les évènements, ce n’est pas pour cela qu’on l’a forcément comprise et il faut pas non plus la voir où elle n’existe pas.

      « Pourquoi les hommes mettent-ils leur liberté plus haut que leur esprit de raison ? »

      Tout simplement parce que cette raison n’est pas si fiable que cela et est fortement biaisée et que l’expérience nous démontre suffisamment que ça ne vaut pas le coup de supprimer la liberté pour réaliser des utopies.

  • Le GIEC est clairement un organe politique: il faut soit le réformer pour le transformer en organe scientifique soit le supprimer: https://www.youtube.com/watch?v=f8_ClrXqQD0

    • Les modèles du GIEC sont pipés : certains facteurs (le CO2) ont le droit de prendre toute l’influence statistique pour « expliquer » le résidu inexpliqué, alors que d’autres (le soleil) n’ont droit qu’à une influence prédéfinie de façon étriquée (irradiation mais pas le magnétisme) et naïve (simple « forcing » évalué directement et pas influence physico chimique multiple). Or l’influence énorme de facteurs solaires ou cosmiques plus complexes est attestée par de nombreuses observations météorologiques ou géologiques liées au climat passé et les modèles privilégiés par le GIEC font l’impasse là dessus.

    • http://www.weatheraction.com/
      (THE MINI-ICE AGE IS COMING AND THE SUN IS CAUSING IT)
      Piers Corbyn, WeatherAction, 28 June 2015:

      Piers Corbyn criticises UK Met Office Comments on possible Mini-Ice Age, « which will not overcome Man-Made Global warming »,
      as « delusional nonsense from true charlatans »
      and warns of Papal regression against science repeating the Catholic Church and Inquisition terror meted out against Galileo in 1633.

      At WeatherAction HQ, London Bridge, UK, Piers Corbyn, Director of WeatherAction, astrophysicist and solar and climate physicist said:

      « The recent Met-Office Johnny-come-lately references to a possible coming Mini-Ice Age are the mark of true charlatans.
      « They denied predictions by ourselves in 2008 and others at various times that a mini-Ice Age was coming and now they see that ALL THE EARLY WARNINGS WE AT WEATHERACTION MADE HAVE BEEN CONFIRMED, they jump in and agree with our prediction, without acknowledgment.
      They are true charlatans. Their behavior is despicable.

      « They can neither explain nor predict the climate developments of the last 7 years yet they receive hundreds of millions of public funds to pretend to understand what is going on and put forward the deluded religious view that the extreme changes seen are driven by mankind’s CO2.
      « Their so-called long-range forecast and Climate operation should be de-funded immediately and they should be forced to fund their operation by selling long range forecasts and climate predictions based on their record – of total failure.
      « This Government claims to be into rewards for success, so why do they continue this theft from the public for even one more day?

      « The facts are:
      « WeatherAction warned in 2008 that general decreases in solar activity and timely lunar modulations of sun-earth links would lead to a general lengthening and wild changes of the jet stream,
      world cooling, especially in temperate regions,
      longer colder winters,
      late Springs
      and increasing incidence of extreme hail events.
      ALL these predictions have been confirmed.

      « The Met Office, UN Climate Committee (IPCC) and their camp-followers in various research institutions and media (e. g. BBC, AlJazeera) around the world who are funded to propagate the delusional religion of man-made climate change admit that in their models extra CO2 cannot explain the changes in the Jet-Stream which are the arbiter of modern climate change.
      « They can explain nothing. They can predict nothing. They are paid by the public for failure.

      Next, » the MetOffice and or associates pretend that previous Mini-Ice-Ages were confined to USA / Europe and therefore not world-wide and so the coming MIA will not be world-wide either.
      « The problem is: they are lying. Previous mini-ice ages, such as the Maunder Minimum (1645-1715) and Dalton Miniumum (1785-1820) of solar activity and world temperatures were worldwide. Furthermore, recent very extreme cold has also been experienced in China, the Indian sub-continent and Australasia.

      « The claim that the relentless march of the Mini-Ice-Age will be stopped by man-made global warming is BIASED OPINION NOT BASED ON ACTUAL PEER-REVIEWED SCIENCE.
      It is delusional nonsense based on cretin physics and data fraud.
      T »he fact is: world (sea) temperatures lead and control levels of the trace-gas CO2, not the other way around;
      claims of ongoing world warming are based on surface data ‘selection’ (fraud), while satellite data shows cooling and
      Man’s 4% of the total CO2 flux, in and out of the sea and biomass is trivial compared with, and does not control, natural changes which are 25 times bigger!

      See slides 7+8, 6 and 1+3 in pdf (link):
      http://www.weatheraction.com/docs/WANews15no16.pdf

      « The onset of the Mini-Ice-Age continuing to 2035 is inevitable
      – and no amount of data fraud by the UN and camp-followers in academia, baseless propaganda by BBC and AlJazeera, inane green religious piety by politicians or anti-science diktats
      – echoing the terror the Catholic Church and Inquisition meted-out to Galileo and other ‘heretics’ by the Pope can stop it. »

      he said

      « The Pope’s Encyclical pronouncements on ClimateChange are the work of The Devil and – like the Papal Inquisition against Galileo in 1633 – place baseless and deluded belief and lies (e. g. from UN Climate Committee the IPCC) above observed scientific fact.
      « We challenge the Pope (or his agents) to public debate on the science, and we challenge all Man-made Climate Change believers to call on the Pope to debate the science or recant their regression to the anti-science days of the 1633 inquisition against Galileo. »

      said Piers
      References: http://www.dailymail.co.uk/news/article-3136780/You-need-wrap-UK-set-plunge-mini-ice-age-Met-Office-warns-one-five-chance-temperatures-drop-leaves-seen-17th-century.html

  • Une des personnes les plus crédibles sur le (contre)sujet est Benoit Rittaud. Son blog est très intéressant : https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com

  • Quand on sait que 16 milliards de dollars sont quotidiennement gaspillés dans le monde pour endiguer le réchauffement climatique (89000 milliards jusqu’en 2030, c’est le programme onusien pour combattre le réchauffement climatique, vous avez bien lu, faites le calcul) on est en droit de se poser de réelles questions ! Le GIEC (ou IPCC en anglais) remplit son contrat, c’est un organisme criminel au même titre que Greenpeace, deux groupes d’activistes opposés au développement de pays comme l’Inde ou le Pakistan, d’ailleurs y a-t-il une différence entre ces deux organisations: https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/06/30/ca-se-rechauffe-cette-fois-cest-certain/

  • La concentration en gaz carbonique de l’atmosphère n’a jamais influencé sa température, et cette dernière ne cesse de baisser depuis dix ans.
    http://www.weatheraction.com/docs/WANews15no16.pdf

  • Bonjour,
    Lecteur régulier de Contrepoints, je n’ai pas pour autant l’habitude de laisser de commentaires. J’apprécie son côté « poil à gratter » de la langue de bois et de la soupe médiatique actuelle. Sur le fond de la critique du réchauffement je ne suis pas assez renseigné pour intervenir, bien que je partage globalement l’idée que des organismes comme le GIEC ont de quoi laisser… sceptique. Sur ce sujet où l’anathème est manifestement systématiquement (ou presque) de mise, je serais preneur d’un topo pédagogique pour prendre le contrepoint (!) de chaque propos définitif sur le catastrophisme ambiant. Mais peut-être un tel document existe-t-il déjà ?
    Sur l’article, je n’aurai qu’une seule remarque qui concerne la religion catholique : contrairement à ce qu’écrit Lomo, je pense que M. de Rougemont n’est pas un fin connaisseur des curés (ou alors il en a un souvenir vraiment déformé). La religion catholique n’est pas « idéaliste » mais au contraire profondément ancrée dans le réel. De même, M. Vincent Andrès, la religion catholique n’a pas « inventé le péché » mais au contraire libère du sentiment de culpabilité ! Quant à la pauvreté, il s’agit d’abord de celle du coeur (humilité pour lutter contre l’orgueil qui peut entrainer par exemple dans l’idéologie, … comme celle de l’écologisme !) ; pour ceux qui connaissent les Evangiles, l’ami le plus proche du Christ était Lazare un des hommes les plus riches de Jérusalem. Et puisque nous sommes sur le sujet de la science (ou supposée telle !), il faut avoir à l’esprit que pour l’Eglise, la foi sans la raison n’a aucun sens (ce que beaucoup de gens ne savent pas, oublient ou ne veulent pas savoir.. cochez la formule qui vous convient le mieux) ; comme l’a exprimé Benoît XVI en septembre 2006 : « Agir contre la Raison c’est agir contre Dieu » (rencontre avec la communauté scientifique à Ratisbonne), avec un décryptage sur la naissance du lien historique entre la foi et la raison dans la chrétienté. Quant à l’encyclique du pape François, je ne l’ai pas encore lue, mais j’ai lu ou entendu toutes sortes de commentaires disons variés… Bon, sur la question du climat, ça laisse un peu songeur… N’oublions pas cependant que le pape est un jésuite. Il donne parfois l’impression de ménager la chèvre et le chou, ce qui intrigue pas mal de catholiques et permet à nos puissants et aux médias qui les servent de prendre ce qui les intéresse et de vite oublier le reste !
    Désolé de ce petit écart dans vos échanges, un peu loin j’en conviens de la question climatique, mais profondément épris de liberté !

  • Je pense qu’il y existe une réalité scientifique, tiré d’un protocole de mesure et de calcule qu’on ne veut pas voir. 95% de la biomasse de l’Atlantique nord aurait été détruite au XXe siècle. Je parle au conditionnel car je n’est pas vue de mes yeux cette extermination. Sans vouloir tirer vers le catastrofisme cette mesure fait froid dans le dos. Si nous ne devons pas généraliser, je pense que l on doit bien comprendre que le font de crise écologique est bien réel, il s’agit bien d’une vérité. Les indicateurs trichent mal, les conclusions et leurs emploient sont peut-être aussi maladroites, et le discours est dogmatique par « nécessité », reposant sur la croyance de l’existence de vérités objectives et d’un destin commun au hommes de cette planètes. Cela reste aussi des idées, mais marquerai un changement de conscience, vers une conscience « biosphérique » qui peut-être un point de convergence dans le monde « globalisé », et devenir alors un repère commun. Ce serait-un équilibre entre liberté et interdépendance des civilisations dans une projection idéale. Nous trouverons toujours à redire tant que ces changements resterons des abstractions chiffrées sur du papier, difficile d y tenir un discours claire et ordonner dans cette complexité d’information, en attendant l’année 2015 est bien placé pour devenir l année la plus chaude de l’histoire.

    • @Alex
      « il s’agit bien d’une vérité »

      Quand bien même se serait le cas, ‘l’enfer est pavé de bonnes intentions’, le mensonge et la manipulations pour la bonne cause ne font pas partie de ce que j’attend de la vie.

      Rien ne sors actuellement de bon de ce système qui méprise la liberté, la responsabilité et l’intelligence des hommes.

    • Alex: « 95% de la biomasse de l’Atlantique nord aurait été détruite au XXe siècle. »

      Seul un enfant qui n’a pas idée de la taille des océans et de leur contenu peut gober une telle ânerie.

      Alex: en attendant l’année 2015 est bien placé pour devenir l année la plus chaude de l’histoire.

      Oui oui, 95% sur aussi comme le « record » de 2014 à 0,04C° mesuré avec des stations USHCN dont 85% ont une précision au delà du degré.

      D’ailleurs, les 73 modèles climatique du GIEC ne ce sont plantés qu’a 100% après tout:
      http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png

      • C’est comme le loto! 100% des perdants ont tenté leur chance!

      • Oui oui, 95% sur aussi comme le « record » de 2014 à 0,04C° mesuré avec des stations USHCN dont 85% ont une précision au delà du degré.

        Les records sont simplement liés aux oscillations (naturelles, et toujours mal comprises… la climato devrait travailler plus sur ça) autour d’un plateau. Et même si depuis 2000 les températures « globales moyennes » étaient sur un trend descendant, on battrait quand même des records une année sur 4 ou 5 max vu que 2000 et des brouettes est un maximum local sur les séries de températures.

        Cela dit, la précision à 0.04° avec des engins ayant une précision de 2° ou 3° ce n’est pas de la magie mais des maths. En l’occurrence des statistiques. Après le fait que ça soit possible ne change rien au fait que c’est probablement faux vue la taille des ajustements ad hoc que les climescrologues collent partout et qui sont d’une amplitude plus importante que le bruit d’estimation.

    • Mesurer la moyenne de température est scientifiquement stupide, seul le fait que 95% de la population mondiale n’a aucune compréhension en physique (ou en économie) ne conduit pas à un éclat de rire généralisé.
      La « réalité scientifique » n’est jamais que le reflet de notre compréhension toujours imparfaite du monde. lorsque cette compréhension est douteuse il est urgent de ne pas tirer de conclusions et de poursuivre études et observations plutôt que de batir toute notre société sur des prémisses faux.

      • Oui, on devrait plutôt estimer la quantité de chaleur dans le système ouvert terre/soleil… Mais comme c’est trop dur on fait des moyennes.

        Et comme on n’a pas l’instrument de mesure nécessaire à observer les points pour l’établissement de cette moyenne, on fait des modèles de moyenne. Qui dépendent plus des hypothèses retenues que des observations. Et comme ça n’est pas assez on corrige les observations.

        Et après on s’étonne que la fiabilité des prédictions est… faible pour être gentil ?

    • « il s’agit bien d’une vérité »

      Probablement l’argument le plus fréquent chez les croyants…
      Lorsqu’on est capable de prouver la véracité d’une théorie, on n’a pas besoin de ponctuer en disant qu’il s’agit d’une vérité.

  • De l’absence de corrélation entre la température de l’atmosphère et celle de la concentration en gaz carbonique on est OBLIGE DE DEDUIRE que les secondes NE DETERMINENT PAS généralement les premières.
    Quiconque a la moindre compétence pour analyser les données aurait dû COMMENCER PAR LA CHERCHER, cette corrélation, et déduire de son ABSENCE non seulement que la politique réchauffiste se fonde sur de FAUX ARGUMENTS, mais qu’une bonne partie de ses promoteurs doivent FORCEMENT LE SAVOIR.
    Car si l’éventualité théorique que, jusqu’à un certain plafond, et autour de certaines températures, les variations de concentration en gaz carbonique puissent influencer celles de la température atmosphérique ne se traduit pas par une corrélation OBSERVABLE DANS LA REALITE, cela devrait suffire pour conclure que le prétendu « PROBLEME » est IMAGINAIRE, et sa « SOLUTION » a fortiori ILLUSOIRE.
    La deuxième raison pour laquelle croire au réchauffisme est indigne d’un économiste, c’est qu’UN ECONOMISTE DOIT POUVOIR RECONNAITRE UN MENSONGE ORGANISE;
    Quand on est économiste, la science que l’on pratique est par nature POLITISEE en plus d’être une BRANCHE DE LA LOGIQUE ;
    de sorte que si vous n’y avez pas acquis la capacité experte de RECONNAITRE UN MENSONGE ORGANISE ou une NEGATION DE L’EVIDENCE, alors c’est que vous n’en êtes pas vraiment un.
    Si vous êtes vétérinaire, et qu’un quidam vous donne un iguane pour un caméléon, vous n’en êtes pas moins censé savoir de science certaine que c’est un iguane, et en tirer les conclusions qui s’ensuivent sur les assurances du quidam susdit : parce que vous êtes vétérinaire ; sinon, c’est que vous n’en êtes pas un.
    L’économiste doit savoir reconnaître le mensonge organisé pour des raisons politiques, comme un vétérinaire doit savoir identifier un iguane ; ou plutôt un chat, tant l’EXPERIENCE qu’il devrait en avoir est OMNIPRESENTE.
    A fortiori lorsque le mensonge crucial implique sa compétence spécifique :
    en effet, LE MOTEUR DU RECHAUFFISME A TOUJOURS ETE POLITIQUE, et sa mise en scène de prédictions « scientifiques » du climat subventionnées à coups de milliards VOLES n’est qu’un PROCEDE D’INTIMIDATION ET DE DIVERSION.
    Il s’agit d’ABUSER DE L’IGNORANCE DU PUBLIC et de la confiance qu’il accorde à « la science » pour l’empêcher de se rendre compte qu’en plus de n’être PAS CREDIBLE, l’effet que l’on affecte de prêter aux politiques ruineuses dont elles sont le prétexte ne serait PAS DESIRABLE NON PLUS.

  • Le prétendu « débat scientifique », qui est entièrement résolu par l’observation depuis longtemps ( = c’est le soleil) ,
    n’est qu’une DIVERSION.
    La question est de savoir si les POLITIQUES réchauffistes sont justifiées, et posant justement les questions dont les comploteurs du réchauffisme font tout pour détourner l’attention.

    J’ajoute que, étant donné que le réchauffement observé au cours des années 1980-90, D’AMPLEUR ET DE DUREE EGALE AUX TROIS AUTRES QUI NOUS ONT SORTIS DU MINIMUM DE DALTON, a CESSE DEPUIS 18 ANS.
    De sorte que les minuscules baisses de la température, bien en-deçà (et pour cause) de l’incertitude sur ces prétendues « prévisions », que l’on affecte d’attendre des politiques ruineuses qu’on nous impose ont déjà été DEPASSES PLUSIEURS FOIS,
    et cela parce que l’activité électromagnétique et magnétique du soleil a fortement baissé et nous menace d’une PETITE ERE GLACIAIRE qui pourrait durer au moins un quart de siècle
    http://business.financialpost.com/fp-comment/lawrence-solomon-global-warming-doomsayers-take-note-earths-19th-little-ice-age-has-begun
    (l’estimation optimiste est celle de Piers Corbyn).
    Si les réchauffistes n’étaient que des demi-escrocs a lieu d’être les escrocs à 100 % qu’ils ont toujours été, ils crieraient « victoire » et nous foutraient la paix, au lieu de surenchérir avec leur complot de gouvernement communiste mondial imposé par traité.

  • certains petits malins se sont sans doute cru plus intelligents que leurs anciens qui eux sentent les propagandes à distance ,ces peurs inventés par ces climatologues ressemblent à s’y méprendre à de la propagande alarmiste ni plus ni moins ou l’art de faire une montagne d’ une simple taupinière

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