Jean Roucas dans le collimateur socialiste

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Jean Roucas dans le collimateur socialiste

Publié le 2 avril 2015
- A +

Le regard de René Le Honzec.

jean roucas rené le honzec

Jean Roucas, glorieux rescapé des Collaroshow-Cocoboy-Cocoricocoboy, fit hurler de rire des millions de spectateurs de 79 à 87, et ridiculisa Mitterrand sous la forme d’une grenouille dans le Muppet Show revisité. Jean Roucas sur le tard s’est trouvé des affinités avec le parti honni de la République des copains et des coquins. Déjà passé par l’alcoolisme, il a sans doute voulu tenter une forme de suicide professionnel en protestant sur Tweeter : « Les méthodes du PS contre les candidats FN : Incendies, menaces de mort, agressions… Valls et ses SA en action. Heil Hollande ! ». Devant la classique manip des réseaux bien-pensants, il fait marche arrière et conclut : « J’ai oublié qu’en France, seuls les humoristes de gauche ont le droit de s’exprimer. » Personnellement, je confirme.

Signe des temps, le courageux directeur du Théâtre des Deux Ânes, Jacques Mailhot, jusque-là talentueux égratigneur de nos Princes, se couche et le vire.

Marine Le Pen rappelle que Bedos père la comparait à Hitler sans problème. Quant à Bedos fils, il l’a traitée de salope fascisante, suivi par le Tribunal de la 17ème Chambre correctionnelle qui trouvait qu’il était « parfaitement clair que la chronique en cause se situe dans un registre délibérément provocateur » et youpi.

Mon engagement citoyen et ma confiance totale dans la Justice du Mur des Cons en sortent renforcés. Comme l’a dit courageusement Michel Fugain, dans le Parti Nazi, il y a national-socialiste, et donc « socialiste »… Historien et germanophone, je confirme.

« Ami, entends-tu le vol rose des corbeaux sur nos plaines
Ami, entends-tu le bruit sourd des médias qu’on enchaîne… »

On peut être certain que le pouvoir socialiste fera tout pour le faire taire, y compris lui envoyer ses huissiers.

Voir le commentaire (1)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (1)
  • C’est toute l’horreur de cette bienpensance qui a totalement submergé nos vies. Certains sont Charlie, d’autres pas, ce sont toujours les mêmes, une minorité ostentatoire, mais prodigieusement actifs.
    Que M. Berger, ce grand homme, dise qu’une bombe qui exploserait dans une manifestation contre le mariage pour tous ne le dérangerait pas (sic), est recevable, nos peintres en lettres de journalistes s’en émeuvent, c’est tellement Charlie ! Par contre, une (mauvaise ?) blague de Roucas, et tout le monde sur le pont, haro sur le baudet… Même si tous ces rétrécis du bulbe sont à plaindre, il n’en demeure pas moins qu’ils nous les brisent bien comme il faut.

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don
6
Sauvegarder cet article

 

 

Le 12 décembre dernier s’est tenue une nouvelle édition de l’Assemblée des Idées, un cycle de débats bimestriel organisé à la Galerie des Fêtes de l’Hôtel de Lassay, résidence officielle de la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, qui préside également cette série de colloques.

Après le logement, le rôle de la France à l’international, l’intelligence artificielle ou encore la morale, la chambre basse a accueilli plusieurs dirigeants de médias pour débattre du pluralisme et de l’indépendance ... Poursuivre la lecture

Par P.-E. Ford

Jusqu’à présent, la cancel culture au pouvoir à Harvard, Stanford, Yale et consoeurs, ne suscitait guère d’émotion dans les rangs du Parti démocrate, ni dans la presse qui lui est si dévouée. Tout a changé le 5 décembre, grâce aux auditions publiques de la Commission sur l’éducation et la population active de la Chambre des représentants, présidée par la républicaine Virginia Foxx, de Caroline du nord. Ce jour là, la présidente de Harvard, Claudine Gay, son homologue de University of Pennsylvania, Liz Magill, ainsi que l... Poursuivre la lecture

Deux événements se sont produits simultanément le 7 décembre 2023.

Le premier concerne la bronca qui a gagné un collège des Yvelines à la suite de la présentation en cours de français d’un tableau de Giuseppe Cesari datant du XVIIe siècle, Diane et Actéon. Parce que ce tableau représente des femmes dénudées, des élèves musulmans de 6e ont exprimé leur réprobation. Des tensions et des menaces ont suivi, ce qui a conduit les enseignants à faire valoir leur droit de retrait, avant que le ministre Gabriel Attal ne se rende sur place.

<... Poursuivre la lecture
Voir plus d'articles