Et si la NASA se mettait à douter du changement climatique ?

La Nasa serait-elle sur le point de changer son fusil d’épaule concernant le réchauffement climatique ?

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Nasa credits Luke Bryant (licence creative commons)

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Et si la NASA se mettait à douter du changement climatique ?

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 7 janvier 2015
- A +

Par Jacques Henry.

Nasa credits Luke Bryant (licence creative commons)

La NASA, qui est l’un des principaux instigateurs de la théorie de l’effet de serre et du changement climatique, à la suite des affirmations douteuses de James Hansen relatives à la transposition à la Terre de l’état de l’atmosphère de Vénus, serait-elle sur le point de changer son fusil d’épaule ? On est en droit de constater que le doute s’installe dans l’esprit des ingénieurs de cette organisation tentaculaire qui a largement bénéficié de crédits exceptionnels pour développer une recherche en tous genres afin de surveiller ce changement climatique qui désespérément n’arrive toujours pas…

Le principal fautif est censé être le CO2. Or ce gaz est essentiel à la vie sur Terre et dans les océans. Sans CO2, pas de plantes ni de plancton, c’est aussi simple que cela. Certains maraîchers le savent bien, si on enrichit l’atmosphère d’une serre en CO2, en restant dans des limites raisonnables, les plantes poussent plus vigoureusement. Ce phénomène est très bien expliqué car l’enzyme qui fixe le CO2, la RUBISCO, ne sait pas trop s’il doit s’occuper de l’oxygène ou du gaz carbonique pour son bon fonctionnement. Dès lors qu’on enrichit l’atmosphère en CO2, l’équilibre fonctionnel de la RUBISCO est déplacé vers une fixation plus rapide de CO2. Tous les biologistes qui se sont penchés sur le fonctionnement des plantes le savent très bien.

Apparemment, avec une flottille considérablement coûteuse de satellites et d’aéronefs renifleurs de CO2 épaulés par de non moins coûteuses observations sur le terrain, la NASA a fini par enfoncer une porte ouverte : plus il y a de CO2, plus les forêts tropicales ont tendance à piéger ce gaz accusé de tous les maux ! Au moins on est rassuré car la tendance des forêts tropicales à incorporer le CO2 atmosphérique en surplus en raison des activités humaines déraisonnables contrebalance largement le déficit d’absorption des forêts boréales qui, comme chacun sait, souffrent gravement du réchauffement climatique. Seulement, il y a un gros hic selon les ingénieurs experts en modélisation en tous genres du Jet Propulsion Laboratory à Pasadena : le réchauffement climatique risque de mettre en péril les ressources en eau à la suite de sécheresses prolongées. On ne sait pas trop s’il s’agit de périodes de longue sécheresse dans les zones inter-tropicales qui sont à redouter ou si ces perturbations hydrologiques affecteront plus dramatiquement les forêts boréales.

Néanmoins, le réchauffement climatique perturbera inévitablement l’immobilisation du carbone par les forêts et il faudra encore plus de satellites, d’avions, de ballons-sonde et d’autres moyens terrestres pour être enfin absolument certain que le réchauffement climatique perturbe à grande échelle le cycle du carbone. Mais au fait, c’est quand que ça se réchauffe vraiment ? Depuis 18 ans les températures n’ont pas sensiblement augmenté, le Niño tant attendu n’est toujours pas au rendez-vous, les Seychelles et les Tuamotu n’ont toujours pas été submergées, les glaciers de l’Himalaya ne fondent toujours pas, les vagues de froid se succèdent en Amérique du Nord, la navigation circum-boréale est toujours impossible et les glaces de l’Antarctique ne fondent toujours pas à la vitesse prévue par les modèles… de la NASA et on ne parle plus du trou d’ozone.

Difficile de croire dans ces conditions que le soi-disant réchauffement climatique dont le GIEC parle à longueur de communiqués de presse et de publications scientifiques (qui n’ont plus rien de scientifique) puisse constituer une menace dont il faille se préoccuper à grands coups de milliards de dollars !

  • Source : Jet Propulsion Laboratory News


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  • Si la NASA change son fusil d’épaule, une conséquence directe : le GIEC va perdre ses subventions. S’il croit ce qu’il dit, il lui faudra financer ses recherches lui-même. S’il n’y croit pas, le phénomène s’arrêtera tout de sujet. Nicolas Hulot sera au chômage. Dur, dur pour les écolos verts dessus, rouge dedans, qui venaient de trouver une nouvelle planche de surf pour tuer la bête immonde, l’hydre à deux têtes qu’est le capitalisme et le libéralisme. Mais peut-être qu’au fond c’est la vie que détestent ces écolos ! La vie, ils ne la maîtrisent pas, donc la société, il n’y arrivent pas non plus car celle-ci est la conséquence de la vie. Les écolos idéologues, les gens de gauche en général, sont des constructivistes. Ils veulent changer tout ce qui leur résiste, et la nature en était une bonne, de résistance comme plat. Le problème, c’est que là, le morceau est vraiment trop gros pour leurs estomacs.

  • Les écolos sont justes des crypto-marxistes, le reste c’est de l’enfumage ozonique…

  • Nous sommes les victimes depuis plusieurs années d’un matraquage médiatique extraordinaire, visant à nous imposer l’idée que la Terre se réchauffe.
    Et que ce réchauffement serait une conséquence directe de l’activité humaine.
    En réalité, il s’agit de nous culpabiliser, nous, consommateur final, afin de nous préparer et nous faire accepter l’idée que l’énergie doit être payée plus chère, que de nouvelles taxes sont impératives…
    Si vraiment le CO2 met la terre en péril, c’est aux Gouvernements du monde entier de s’attaquer à la source du CO2, à savoir l’exploitation des énergies fossiles : pétrole, charbon, gaz (de schiste ou non…). Interdisons cette exploitation et tout ira bien. Point-barre.
    Les énergies renouvelables montrent leurs limites (rentabilité en particulier…).
    Finançons plutôt les recherches sur la filière de la fusion du projet ITER, qui, contrairement à la fission de nos réacteurs est extrêmement moins polluante et produit très peu de déchets radioactifs.
    Ou la filière « thorium », également moins polluante, mais aussi plus sure (basse pression des circuits, pas de risque de fusion du cœur, …).

    • Le thorium est une bonne idée, la technologie z-ping aussi. Iter est une catastrophe, c’est non rentable et la durée de vie ridicule. Reste le confinement inertiel et par impulsion laser dont l’application est militaire pour l’instant.

      • ITER n’a pas vocation à être rentable ni à avoir une durée de vie longue.
        Le chantier en cours n’est même pas un modèle pré-industriel.
        Il s’agit pour l’instant de valider les choix techniques et industriels, en particulier sur la stabilité du plasma en mode de fonctionnement.

  • Bien ! Le CO2 est donc un bienfait pour la vie, et plus il y en aura et mieux les plantes et les animaux se porteront bien. Plus de CO2(acidification), dans les océans(puits de carbone), accroît le développement de la vie sous-marine. C’est bien connu. Les températures terrestres sont soit en régression soit stationnaires depuis 15 ans. Les glaciers ne fondent pas bien au contraire. Dans ma campagne,sur 10 ans de relevé de température, il y a pratiquement plus de jours de gel(en durée et en intensité) alors qu’il y a 20 ans ceux-ci étaient nombreux. Mais bien entendu cela n’a aucune signification, puisque l’Amérique du nord subit en contrepartie de cette douceur hivernale un froid terrible.
    Et horreur suprême : les scientifiques qui s’occupent du climat sont de fieffés menteurs et profiteurs.
    Méfiez-vous braves gens de ces imbéciles que sont ces empêcheurs de tourner en rond car ce remarquable article très fouillé et plein de références bibliographiques, comme tant d’autres, vous le démontre.
    Il faut avoir foi dans l’avenir.

    • homevieux: « Dans ma campagne,sur 10 ans de relevé de température, il y a pratiquement plus de jours de gel »

      Dans le bistrot non plus…
      D’ailleurs en 1830 Fourier faisait la même observation que vous depuis son bistrot: « la température se vicie rapidement; les excès climatériques deviennent habituels, les régions voient disparaître leurs cultures ancestrales; les saisons s’inversent; l’hiver surgit au printemps, le printemps arrive en hiver; la disparition des saisons intermédiaires; la fin des forets; le tarissement des sources; le déclenchement de ouragans »

      Coté science, vous n’avez qu’a examiner ce graphique parfaitement officiel des 73 modèles climatique du GIEC comparé à la réalité mesurée:
      http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/CMIP5-73-models-vs-obs-20N-20S-MT-5-yr-means1.png

      Si vous avez bien écouté les cours de science à l’école vous devez savoir quel est le processus scientifique: hypothèse, modélisation, vérification etc. et ce qui arrive à l’hypothèse quand ON NE LA VERIFIE PAS DANS LES FAITS.

      Pour finir ce que la science a vraiment à dire du climat actuellement c’est le Scientifique écologiste James Lovelock qui va vous le dire: « nous ne savons pas ce que le climat fait. Nous pensions le savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des ouvrages alarmistes – y compris de ma plume – parce que cela semblait clair, mais cela ne s’est pas produit »

  • Si la terre doit se réchauffer, elle se réchauffera et nous n’y pourrons rien. Tout ceci n’est que bisness.

  • Comment expliquez-vous alors les données suivantes : « Le taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère était proche de 285 parties par millions (ppm) en 1880, chiffrent les chercheurs. Dans les années 1960, la concentration mesurée par la NOAA (Administration nationale pour les océans et l’atmosphère aux États-Unis) mesurait au-dessus de l’observatoire de Mauna Loa (à Hawaï) un taux de 315 ppm. Le 9 mai 2013, le seuil des 400 ppm a été pour la première fois franchi. » sciencesetavenir.fr

    L’article est convaincant sur la forme seulement ! Aucun élément chiffré ne vient étayer cet article ! Et même votre assertion selon laquelle la NASA commence à douter n’est pas étayée dans la suite de l’article…

    • Et comment expliquez vous qu’il y a 100.000 ans il y avait (selon les écolos !!) 3 fois plus de CO2 que maintenant ?

      • Il n’y avait pas, ni selon les écolos, ni selon les scientifiques, trois fois plus de CO2 il y a 100 000 ans que maintenant. Vos informations sont erronées. Voir par exemple DOI: 10.1126/science.1178296

        • Que sont alors les traces de carbone observées entre les couches géologiques ? Vous êtes drôle, vous ! Comment évacuez vous les extinctions massives des espèces qui sont les conséquences directes de ces faits scientifiques avérés nés de l’observation directe de notre planète effectuée à l’œil nu, qu’elles soient d’origine extraterrestre donc exogènes (un géocroiseur terminateur) ou endogènes (les volcans et les cycles naturels), ou d’une combinaison des deux.

    • Thomas: « Comment expliquez-vous alors les données suivantes : Le taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère était proche de 285 parties par millions (ppm) »

      Au lieu de 0.000285 parties pour une il y en a 0.000400… wow ! et alors ? Ce n’est ni une nouveauté dans le climat et il reste a prouver que c’est un problème.

      Le « Normalized Difference Vegetation Index » mesuré par satellite nous indique que la planète verdi, les plantes se gavent de CO2. (17% de zones végétales mondiale en plus depuis 1982), ce n’est pas bien ?

      Quoi d’autres ? les sautes de température ne sont en rien exceptionnelle par rapport à ce qu’on sait du passé et toutes les modélisation catastrophistes du GIEC sont en échec grave.

      Et j’ose vous rappeler en passant que nous somme sorti d’une ère glaciaire voici seulement 10’000 années, que ces périodes interglaciaire ne durent en moyenne que de 10’000 à 20’000 ans et que les périodes glaciaires elles durent 80’000 ans. Coté extinction et biodiversité c’est un massacre du coté de gaïa-qui-prend-soins-de-ces-enfants.

      Si nous étions sur que le CO2 réchauffait la planète la meilleurs choses à faire ce serait d’en émettre encore plus si vous voulez mon avis. :mrgreen:

    • On n’a jamais nié l’augmentation du CO2.
      Faut suivre un peu mon vieux 😉

    • « Comment expliquez-vous alors les données suivantes : « Le taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère …  »

      C’est une bonne question. Entreprenez tout de suite vos études de physique pour y répondre. En effet les phénomènes d’échanges entre l’atmosphère et les sols, les océans, la végétation et le reste sont si complexes que l’on ne les maîtrise pas vraiment. Quand vous aurez la réponse, on commencera à pouvoir tenter d’établir une corrélation entre l’activité humaine et le réchauffement autrement qu’avec des boules de cristal numériques et de la science 2.0.

  • C’est ce qu’on avait constaté aux périodes préhistoriques par la géologie. L’augmentation du CO2 était concomitante de l’augmentation des végétaux. Le pétrole (petra oleum – huile de pierre) en est la conséquence directe.

  • Amusant !!!
    Moi qui pensait:
    Que ce qui est affirmé mordicus par les génies transcendants du GIEC c’était parole d’évangile …
    Que nos politiques aussi géniaux qu’inspirés détiennent la seule vérité vraie …
    Je vais me conforter dans ma position d’horrible et impie « climatoseptique »

    Alléluia !!!

    A ce sujet j’ai envoyé à EELV une note sur la toxicité du benzène dans l’essence il y a quelques jours et je n’ai toujours pas de réponse. Ma question devait être iconoclaste car seul le diésel pollue ….

    Iconoclaste et climatoseptique …. Je suis damné !!!!!

  • Dans notre nombrilisme habituel, l’Homme croit qu’il est au centre de toute chose, ainsi tout ce qui se passe est de manière inévitable une conséquence de son action, surtout quand il ne comprend rien.

    • Le célèbre humoriste George Carlin disait que l’écologie « ouin ouin » moderne n’était qu’un arrogance de plus pour tenter de controler la nature.

      Un sketch engagé à voir et revoir:

  • Pour mémoire, 400ppm, ça fait 0,04%
    Le GIEC essaie de nous persuader de l’influence prépondérante de ce gaz minoritaire dans la composition de l’atmosphère avec des modèles qui prennent comme hypothèse un certain nombre de rétroactions positives. La conclusion est donc conforme aux hypothèses. Comme le réalité constatée ne colle pas, soit on met en doute les hypothèses, soit on persiste dans l’erreur parce que trop d’intérêts sont en jeu. On en est là…
    C’est aussi la manipulation médiatique qui a permis la situation actuelle. Pour en sortir: informer, comme le fait ce site, et d’autres

  • J’ai cru en lisant quelques articles que ce site était scientifiquement sérieux, et en lisant cet article, je commence à douter…
    L’article ne cite aucune source (aucun lien vérifiable), comment peut-on alors vérifier la véracités des propos de son auteur ? Je suis allé sur http://www.jpl.nasa.gov et on ne parle nulle part de ce qui est expliqué dans cet article..
    Il est dommage de retrouver toujours les mêmes arguments, mais aussi cette approximation, et ce manque de sources.
    Il suffit de se rendre sur des sites scientifiques pour trouver des éléments de réponses qui permettent de comprendre mieux ce qui se passe.
    Quant à la couche d’ozone, on continue d’en parler et de s’en inquiéter, mais on a fait ce qu’il fallait pour éviter la catastrophe (et pourtant, il continue à y avoir des variations, sans doute dû à des usines qui utilisent des produits interdits).
    Renseignez-vous mieux.

    • Il faut toujours avoir le sens critique et c’est ce que vous faites en recherchant les sources de ces informations.
      Des sources ?
      Vous en trouverez quelques-unes sur ce site : http://www.pensee-unique.fr/
      Ce site s’adresse à ceux qui se refusent à tout gober sans réfléchir… Ce que font tous les adeptes, dont je suis, du « Zététisme »…

    • Bravo vous avez réussi à trouver l’adresse du Jet Propulsion Laboratory http://www.jpl.nasa.gov
      L’article site explicitement sa source : Jet Propulsion Laboratory NEWS
      Et il faut donc cliquer sur MORE NEWS et se rendre à la page : http://www.jpl.nasa.gov/news/

      Donc la prochaine fois avant d’attaquer un auteur prenez au moins le temps de chercher correctement ça vous évitera de passer pour un âne.

    • « il continue à y avoir des variations, sans doute dû à des usines qui utilisent des produits interdits »

      Vous critiquez la valeur scientifique d’un article (injustement car vous n’avez pas suivi le lien), mais d’un autre côté vous émettez des hypothèses (orientées méchant pollueurs) en les qualifiant de certaines sur un autre sujet ?!?

      Et vous passez à côté de l’essentiel de ce que montre l’article :
      – les études scientifiques sont constamment remises en cause par de nouvelles données. Il est donc stupide de crier à la catastrophe tant qu’on n’a pas des études consolidées, avec des résultats convergents, reproductibles et confirmées par d’autres approches.
      – le parti pris de considérer la terre fragile et le système instable au point que l’humanité le perturbe de façon catastrophique est hautement douteux.

    • @janvier
      Par définition un climatoseptique est quelqu’un qui s’est déjà « renseigné mieux », sinon il croirait ce que dit la presse.

  • @ janvier (commentaire de 19h32)
    voici le lien : http://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?feature=4424
    au lieu d’argumenter négativement prenez la peine de rechercher sur le site de la NASA, il y a plein de trucs à apprendre ….

  • Les glaces arctiques ont fondu bien plus vite que ce que l’on présagé il y a 15 ans. Et les vagues de froid américaine ne sont pas prêtes de s’arrêter. Vous imaginez un instant qu’avec 1 ou 2 ° de réchauffement ( actuellement) les vagues de froids s’arrêteraient dans ces régions où le thermomètre peut descendre en dessous de -20 assez régulièrement? Même en 2100 il y en aura toujours. Ce sont le genre de remarques bourrages de crânes qui n’ont pas de sens.

  • Ce que les maraîchers savent bien, c’est que les fruits et légumes locaux sont disponibles sur les étals 20 jours plus tôt qu’il y a 30 ans.

    • Alors que les fruits, les légumes mais aussi les plantes et animaux sauvages n’ont pas d’idéologie, il faut le rappeler ! 🙂

  • Comme le rappelle l’auteur, le Niño tant attendu n’est pas arrivé en 2014 … Et pourtant on s’achemine vers un nouveau record, alors que 98 était une année à Niño.

  • Clairement je ne suis pas climato-sceptique. Cependant, (essayant) de laisser mes opinions de coté je trouve que cet article est mal ficelé et se décrédibilise:

    +Je comprend (peu être mal) le 2eme paragraphe ainsi: bien qu’on accuse le CO2 de nuire à l’environnement à cause du réchauffement, celui ci à en fait un effet bénéfique notamment sur la végétation « Or ce gaz est essentiel à la vie sur… ».
    =>Mais qu’elle rapport entre cet effet bénéfique pour les plantes et le réchauffement? On a pas dit que le réchauffement aller tuer toute végétation, seulement qu’il change les conditions environnementales et oblige la végétation à s’adapter: les plus faibles disparaitrons, certaines s’en accommoderont bien. Pour moi il y a gros égarement ici.
    + »les glaciers de l’Himalaya ne fondent toujours pas »
    =>Et en été il y a encore des glaciers dans les alpes donc l’été n’est pas plus chaud que l’hiver.
    + »la navigation circum-boréale est toujours impossible »
    =>On y est presque mais on sait jamais il peut y avoir un retournement de dernière minute. Et pour les îles immergé pareil…
    + »les vagues de froid se succèdent en Amérique du Nord »
    =>Qu’on soit bien d’accord: réchauffement climatique=réchauffement global=changements climatique au niveaux régionaux sur une échelle long terme!!: certaines régions vont se refroidir notamment la France avec l’arrêt du Golf Stream, donc pas la peine de sortir sont thermométrie l’hiver prochain et dire: »ha voilà il fait plus froid que l’an passé!! » car il faut penser long terme, global et différencier changement du aux émissions humaines et à d’autres facteurs (comme le soleil).
    +Enfin: « et on ne parle plus du trou d’ozone. »
    =>Le trou d’ozone n’a pas de rapport avec le réchauffement climatique…

    =>Gros pot pourrie de théorie écolos, on met tout dans le même sac, on s’en fou tout est à jeter…
    +

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