Pour en finir avec la théorie de l’effet de serre atmosphérique

Retour sur la confusion qu’a entraîné l’interprétation tendancieuse et erronée de l’équilibre atmosphérique soumis au champ gravitationnel de la Terre.

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atmosphère credits NASA Marshall's flight center (licence creative commons)

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Pour en finir avec la théorie de l’effet de serre atmosphérique

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 5 novembre 2014
- A +

Par Jacques Henry.

atmosphère credits NASA Marshall's flight center (licence creative commons)

Puisque je reçois parfois des volées de bois vert quand je m’insurge sur la théorie de l’effet de serre, il faut mettre les points sur les i .

L’effet de serre est considéré maintenant comme un « fait scientifique » puisque des millions de personnes adhèrent à ce concept en particulier les « spécialistes de l’IPCC auto-proclamés climatologues », une multitude d’ONGs politisées, et enfin de nombreux ministres de l’Environnement ou de l’Énergie de par le monde, et en particulier en Europe.

L’hypothèse du réchauffement climatique repose sur deux dogmes :

  1. L’effet de serre
  2. La contribution du CO2 à cet effet de serre

 

Ce qui est surprenant, et inquiétant, est que ce « fait scientifique » ne s’appuie sur aucun principe scientifique pourtant reconnu et incontestable comme les lois fondamentales de la thermodynamique ou l’équilibre gravitationnel de l’atmosphère. C’est sur ce dernier point que je voudrais donc insister dans ce billet, car l’interprétation de l’équilibre gravitationnel de l’atmosphère a conduit à des conclusions erronées qui ont été utilisées à tort pour formuler la théorie de l’effet de serre et l’intervention du CO2 dans cette théorie.

Je ne reparlerai donc pas de l’équilibre thermique et radiatif de la Terre soumise au rayonnement solaire qui est décrite par les équations de Planck et de Stefan-Boltzmann relatives au corps noir, mais seulement de la confusion qu’a entraîné l’interprétation tendancieuse et erronée de l’équilibre atmosphérique soumis au champ gravitationnel de la Terre.

À moins de nier la gravitation et de réfuter les observations de Newton ou de Galilée au sommet de la tour penchée de Pise, il faut reconnaître quelques faits.

L’atmosphère « pèse » en moyenne dix tonnes par m2 au niveau de la mer. C’est un premier fait et les écarts infimes autour de cette moyenne occupent les météorologistes puisqu’il s’agit des variations de la pression atmosphérique, anticyclones, dépressions et autres phénomènes simplement liés à la nature fluctuante de l’atmosphère d’un champ de pression élevée vers une zone de basse pression, des variations somme toute de plus ou moins 3 % ce qui paraît négligeable mais ne l’est pas dans la mesure où d’immenses masses d’air sont en jeu. La densité de l’atmosphère et sa température diminuent en fonction de l’altitude, personne ne peut nier ces faits, demandez à n’importe quel alpiniste, il vous le confirmera. La compression gravitationnelle de l’atmosphère établit donc une distribution des températures sur toute la hauteur de la troposphère, c’est-à-dire jusqu’à environ 17 km d’altitude (au niveau de l’équateur) car au delà la raréfaction gazeuse et l’ionisation des molécules par le vent solaire et les rayons cosmiques font que les lois relatives au comportement des gaz ne s’appliquent plus.

Cette corrélation entre altitude, densité de l’air et température est décrite par une loi physique très simple dite « gradient adiabatique » qui a été vérifiée et n’est pas contestable (voir infra). Elle indique que l’atmosphère sec se refroidit de 9,8 degrés par kilomètre et l’air humide de seulement 6,5 degrés pour un même kilomètre, en raison de la très forte inertie thermique de la vapeur d’eau.

Pour rappel, l’application des lois de la thermodynamique à la Terre indique de manière incontestable que la planète se comporte comme un corps noir à la température de – 18 degrés. L’altitude moyenne où on peut trouver cette température de -18 degrés se trouve être de 5000 mètres. Quand on applique la loi décrivant le gradient adiabatique de l’atmosphère terrestre on trouve une température moyenne au sol de 14,5 degrés (voir infra), ce qui est parfaitement conforme avec toutes les observations effectuées au niveau de la Terre. Naturellement, plus on s’approche des pôles, plus la température diminue en raison de l’incidence du rayonnement solaire qui diminue mais la loi décrivant le gradient adiabatique gravitationnel de l’atmosphère s’y applique toujours. Et dans les déserts où l’atmosphère est très sèche, cette température moyenne est plus élevée le jour et plus faible la nuit car il n’y a pas assez de vapeur d’eau pour amortir cette différence jour-nuit.

La transposition des observations relatives à l’atmosphère de Vénus qui ont conduit à la formulation de la théorie de l’effet de serre est erronée, et pour plusieurs raisons.

Vénus est plus proche du Soleil et reçoit donc plus d’énergie radiative en provenance de l’étoile, cependant son albédo (en un mot le pouvoir de réfléchir le rayonnement solaire) est beaucoup plus élevé que celui de la Terre. La densité de l’atmosphère de Vénus constituée essentiellement de gaz carbonique (CO2) est environ 92 fois plus élevée que celle de la Terre avec une pression au sol de 920 tonnes au m2 (en gros comme si on se trouvait à 1000 mètres sous l’eau sur la Terre) mais les lois décrivant le gradient adiabatique de cette atmosphère sont les mêmes que celles décrites pour l’atmosphère terrestre soit une refroidissement d’environ 9 degrés par kilomètre.

Cependant, cette densité de l’atmosphère de Vénus (95 kg/m3 au niveau du sol vénusien) est telle que la température au sol conduit selon ces mêmes lois de compression adiabatique à une température de 465 degrés. Pour retrouver les valeurs de pression atmosphérique semblables à celles de la Terre au niveau de la mer, il faut se trouver à une altitude de 50 kilomètres dans la dense atmosphère vénusienne où la température y est alors voisine de 0 degrés. Il ne faut pas oublier enfin que le jour vénusien est de 243 jours terrestres, mais que les échanges entre la face éclairée et la face sombre de cette planète sont très actifs par convection et que si la face éclairée est « surchauffée » ceci explique que la face sombre de la planète ne se refroidit pas considérablement car des vents très violents répartissent en permanence la chaleur tout autour de la planète.

Pour toutes ces raisons, il ne peut pas y avoir d’effet de serre sur Vénus. La planète se trouve en effet en équilibre radiatif avec l’espace mais les paramètres de cet équilibre sont différents de ceux existant pour la Terre en raison du très fort gradient adiabatique et du fait de la densité élevée de son atmosphère. S’il y avait « un effet de serre » sur Vénus en raison de son atmosphère riche en CO2, il y a bien longtemps que la surface de cette planète serait en fusion. Or, ce n’est pas le cas ! Il y a en effet des montagnes et des plaines sur cette planète parfaitement reconnues par imagerie radar et même des volcans et peut-être des « mers » de gaz carbonique liquide supercritique…

La confusion et la transposition à la Terre des observations de Vénus proviennent du fait que l’atmosphère de cette planète est constitué de plus de 95 % de gaz carbonique, d’azote pour le reste et des traces d’oxydes de soufre. Il n’en fallut pas plus pour que les ingénieurs de la NASA, dont James Hansen, ancien spécialiste de l’atmosphère de Vénus, déclarent à tort que le CO2 a un effet de serre parce que la surface de Vénus est chauffée par cet effet de serre à la température de 465 degrés : « Il n’y a qu’à voir ce qui se passe sur Vénus ! », ont-ils déclaré.

C’est pourtant totalement faux et contraire aux lois décrivant l’état des gaz ! La théorie de l’effet de serre est donc en violation avec les lois fondamentales de la thermodynamique et également en violation avec les lois décrivant l’état des gaz qui sont d’ailleurs liées, ça fait tout de même beaucoup, beaucoup trop pour n’importe quel esprit critique …

Au risque de recevoir encore des volées de bois vert, je me demande tout de même pourquoi personne n’ose s’attaquer de front aux tenants de la théorie de l’effet de serre et du rôle indûment attribué au CO2 dans cette théorie à l’aide d’arguments scientifiques prouvés. Les extrapolations acceptées par des gouvernements complètement aveuglés en subissant une propagande parfaitement organisée par l’IPCC et reprise par des ONG diverses qui n’ont même plus la pudeur de dissimuler leur orientation idéologique malthusienne va conduire de nombreux pays à la catastrophe économique et sociale, tout ça pour une incroyable chimère qui relève du sophisme et de la scientologie, la fausse science dans toute son horreur.

Pour les curieux voici l’équation de l’équilibre adiabatique. La situation thermodynamique d’une colonne d’air se décrit de manière simplifiée ainsi :

jacqueshenry1

où U est l’énergie totale, Cp la capacité thermique de l’atmosphère (1004 joules/kg/degré K pour l’air sec, 1012 pour un air humide comprenant en moyenne 0,25 % de vapeur d’eau), T la température de la portion de colonne d’air (en degrés Kelvin), g l’accélération de la pesanteur et h la hauteur ou altitude. Si on dérive cette équation on obtient :

jacqueshenry2

qui s’exprime en degrés K/km. On y voit le terme g/Cp appelé « gradient adiabatique » qui décrit l’équilibre entre pression et température de l’atmosphère. Cette équation différentielle peut être réarrangée ainsi :

jacqueshenry3

Comme g et Cp sont des grandeurs physiques positives, on voit tout de suite que la distribution des températures dans le champ gravitationnel terrestre, mais c’est valable pour n’importe quelle planète pourvue d’un atmosphère, décroit en fonction de l’altitude.

Cette dernière équation peut être résolue ainsi, en introduisant h « zéro », l’altitude inférieure, au niveau de la mer ou au sommet de la Tour Eiffel par exemple avec T « zéro », la température à cette altitude :

jacqueshenry4

Et on trouve alors aisément la température au sol (h-zéro = 0) en introduisant dans le calcul l’altitude de 5 kilomètres pour l’isotherme à – 18 °C correspondant à l’équilibre radiatif du système Terre + atmosphère (tel que décrit par les lois de Stefan-Boltzmann) :

t = – 6,5 (h – 5) – 18 = 32,5 – 18 = 14,5 degrés C, le facteur 6,5 étant la capacité thermique de l’air chargé en vapeur d’eau. La teneur moyenne en vapeur d’eau de l’atmosphère est de l’ordre de 0,25 % .

Note : ces données se trouvent dans n’importe quel cours de physique de lycée et aussi là

Il reste un petit détail à régler pour convaincre les sceptiques qui auraient encore quelque courage à la lecture de ce long billet. S’il devait y avoir un gaz à effet de serre dans notre atmosphère, ce serait à l’évidence la vapeur d’eau, pour deux raisons.

Il y a dans l’atmosphère plus de 600 fois plus de vapeur d’eau que de gaz carbonique, facteur 600 qu’il faut multiplier encore par 5 puisque la capacité thermique de l’eau est de 4180 joules/kg/°K en comparaison de celle du CO2 qui est de 840 joules/kg/°K. On arrive à un facteur 3000 de différence. Si donc il devait exister un « effet de serre » sur la Terre dû à la vapeur d’eau, il y a bien longtemps que tous les océans se seraient évaporés dans l’espace… Le gaz carbonique est donc accusé à tort !

La situation commence tout de même à évoluer timidement :

« Meteorologist John Coleman, who co-founded The Weather Channel, says the claim that human activity is leading to global warming is no longer scientifically credible. He wrote : There is no climate crisis. The ocean is not rising significantly. The polar ice is increasing, not melting away. Polar bears are increasing in number. He wrote : There is no significant man-made global warming at this time. There has been none in the past and there is no reason to fear any in the future, says Coleman, who was the original meteorologist on « Good Morning America. »

Efforts to prove the theory that carbon dioxide is a significant greenhouse gas and pollutant causing significant warming or weather effects have failed. « There has been no warming over 18 years. » Climate expert William Happer, a professor at Princeton University, expressed support for Coleman’s claims. « No chemical compound in the atmosphere has a worse reputation than CO2, thanks to the singleminded demonization of this natural and essential atmospheric gas by advocates of government control [of] energy production, » Happer said.

The incredible list of supposed horrors that increasing carbon dioxide will bring the world is pure belief disguised as science. »

Lu sur Bloomberg.com le 27 octobre 2014 que j’insère à l’appui du développement de ma démonstration qui je l’espère sera convaincante pour ceux qui douteraient encore du bien-fondé de celle-ci.

Traduction du passage en anglais :

« Le météorologiste John Coleman, cofondateur de « Weather Channel » dit que l’assertion que l’activité humaine conduit à un réchauffement global n’est plus scientifiquement crédible. Il écrit : « Il n’y a pas de crise du climat. Le niveau des océans ne monte pas significativement. Les glaces polaires augmentent et ne fondent pas. Le nombre d’ours blancs augmente ». Il écrit aussi : « Il n’y a pas aujourd’hui de réchauffement global. Il n’y en a pas eu par le passé et il n’y a pas de raison qu’il y en ait dans le futur ». Coleman était le premier météorologiste dans l’émission Good Morning America. »

« Tous les efforts pour prouver la théorie que le dioxyde de carbone est un gaz à effet de serre significatif et un polluant causant un réchauffement significatif ou des changement météorologiques ont échoué ». L’expert en climat William Happer, professeur à l’université de Princeton a exprimé son soutien aux déclarations de Coleman, en ces termes : « Aucun composé chimique de l’atmosphère n’a une plus mauvaise réputation que le CO2, ceci en raison de la diabolisation ridicule de ce gaz naturel et essentiel (à la vie) par les tenant du contrôle gouvernemental de la production d’énergie. La liste incroyable des horreurs supposées arriver pour le monde si le dioxyde de carbone augmentait est une pure croyance déguisée en science ».

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  • Je passerai sur la « démonstration » mais le dernier paragraphe ne me paraît vraiment pas convaincant, le phénomène nommé « pluie » semblant avoir été oublié…

  • Comme noter dans l’article:
    La capacité thermique du CO2 est de 840 joules/kg/°K

    Le co2 est un gaz a effect serre point.

    Moi aussi j’aimerai que ce soit faux.

  • La formule de l’équilibre adiabatique de l’atmosphère est bien connue et personne ne la conteste, même chez les écolos les plus intégristes. Les maths qui vont avec sont à la portée d’un bachelier de série scientifique un peu dégourdi.

    Hélas cela ne suffit pas. Si la modélisation de la température de l’atmosphère était si simple il n’y aurait pas de débat.

    D’abord qui a dit que l’atmosphère est adiabatique? Elle échange de l’énergie avec le globe terrestre ainsi qu’avec les couches supérieures de l’atmosphère ou les lois simples ne s’appliquent pas selon l’auteur de l’article.

    Ensuite l’absorption d’énergie incidente par les molécules de vapeur d’eau ou de CO2 ou autres est bien réelle. Elle ne figure pas dans ce modèle.

    Je suis beaucoup plus sensible aux observations qu’aux modèles. Le fait que la température n’augmente plus depuis 18 ans alors que nous produisons toujours autant de CO2 est un argument nettement plus convaincant.

    -1
    • Vous avez mal lu l’article. Le gradient adiabatique de l’atmosphère ici repris l’est pour l’atmosphère humide et non sèche, avec un gradient de 6.5 au lieu de +/- 10 pour une atmosphère sèche. En outre, l’auteur démontre l’apport négligeable du CO2 par rapport à l’eau, tant par la quantité présente que les valeurs de Cp.

      Quant au côté adiabatique, il est évident que ça fait quelques milliards d’années que l’atmosphère est en équilibre thermique avec le sol terrestre, sous peine que ce dernier soit en fusion perpétuelle ! Il faut donc admettre l’aspect adiabatique, aux erreurs négligeables près, causées par la très haute atmosphère, avec la quelle les échanges sont vraiment minimes.

      Ce qui est intéressant dans cet article est la démonstration de l’absence d’effet de serre sur Venus, départ de tous les fantasmes réchauffistes !

      • @Christian Coppe: « l’auteur démontre l’apport négligeable du CO2 par rapport à l’eau, »

        Désolé nous n’avons la même conception de ce qu’est une démonstration 😀

        -1
  • En octobre 2013, le « journal de référence » Le Monde titrait  » faut-il débattre avec les climato-sceptiques ?  »
    ce qui laisse une idée de l’ouverture d’esprit de certains journalistes plus ou moins experts sur le sujet…
    Quand on écoute Vincent Courtillot, ses hypothèses, ses interrogations et ses non-certitudes, on comprends mieux cette réticence à débattre avec des scientifiques à la fois clairs, compétents et humbles face aux erreurs humaines…
    http://www.inexplique-endebat.com/article-vincent-courtillot-la-terre-et-le-rechauffement-climatique-123556293.html

  • Article digne d’un théologien du 17e essayant de démonter les théories de Galilée, sur certains passages j’ai frôlé le fou rire… FM06 vous semblez être une personne rationnelle, je vous laisse vérifier par vous même que si 1998 est effectivement l’année la plus chaude enregistrée à ce jour la moyenne des températures observées dans les années 2000 est supérieure à celle des années 90 elle même supérieure à celle des décennies précédentes. Si en 98 le PIB mondial était en hausse de 5%, que la hausse moyenne dans les années 90 était de 2.5% et que la hausse moyenne des années 2000 était de 3%, dirait-on que la croissance à cessé depuis 1998?

    -1
    • La réalité de la physique n’a que faire des observations partielles, ponctuelles dans le temps et l’espace et surtout des sophismes du GIEC. De ce fait, on se demande bien à quoi ce dernier peut bien servir en matière de science et comment on peut en récupérer les arguties dans un débat : vous ne pouvez pas faire une contre critique d’une critique du GIEC avec les arguments qui sont eux mêmes critiqués.

    • commentaire digne d’un théologien du moyen âge.
      1998 n’était pas l’année du maximum de la croissance des températures, c’était l’année du maximum récent de la température moyenne (pour ce que vaut cet indicateur…). Quand on confond les variables et leur dérivée première, et qu’on frôle fou rire, on risque d’être pris pour un bouffon qui rit à contretemps…
      Si 1998 était l’année du maximum du PIB et que depuis il n’avait pas augmenté, oui, on dirait que la croissance a cessé depuis 1998.

    • Commentaire digne d’un économiste nord coréen…
      Ou d’un gamin qui aurait eu du mal avec les maths dès la seconde française des années 2000.

      pour faire simple, si ça monte de 1850 à 1998 puis que ça ne monte plus, alors de 1998 à 2014 on a (en tendance, parce qu’en fait c’est bruité… tellement bruité d’ailleurs que les intervalles de confiance font peur à voir, en vrai) un plateau qui est à un maximum local de notre courbe. Conclusion, sur cette période on aura souvent de nouveaux « records absolus » (absolus pour la période prise en compte, donc 1850-2014… ) ET pas de hausse. Or ce qui a été prévu et annoncé à grand cris par les gens du groupe intergouvernemental sur le changement climatique (pas « experts », reprenez le terme anglais pour vérifier, et ayant déjà décidé que le climat « changeait », ce qui ne veut rien dire) c’est une hausse, pas des records.

      En science quand on annonce un truc et qu’il ne se produit pas, on ne dresse pas des buchers pour les critiques, on change la théorie. Mais ça, c’est « en science ».

      • Ca fait 15 ans que le GIEC fait des triples saltos sur une piste de skateboard parfaitement plate. Avouez quand même que c’est un exploit.

      • 2014 est bien parti pour battre un nouveau record … en l’absence de Nino, contrairement à 98.

        Comment l’expliquez-vous, étant donné les aérosols qui se portent bien et l’irradiance pas au top et un nino absent en cette fin d’année ?

        • 2014 est surtout bien parti pour ajouter une année à la série où la tendance est statistiquement nulle, et pas pas loin de 0.5° de moins que prévu par le GIEC, ce qui n’est pas rien.
          Comment l’expliquez vous, vous ? quel épicycle a votre faveur, parmi la cinquantaine connus ?

          • Des références pour les épicycles ?

            • Comment, vous n’en connaissez pas un seul ? il faut que je vous en fournisse une liste ?
              Allons allons, un si grand spécialiste que vous, vous galéjez, n’est-ce pas 🙂

              • Oui, volontiers, une référence qui pourrait expliquer l’influence de vos cycles sur la tendance actuelle.

                Comme vous disiez si bien plus bas:

                « non, cite nous un vrai papier de vrai scientifique, STP »

                • Vous vous ridiculisez de plus en plus, mon cher Jack.
                  Pour un « scientifique » vous semblez ignorer ce que sont les épicycles et plus encore à quoi il font référence.
                  Bref même votre culture scientifique est pitoyable…
                  Comment vous en vouloir de vous accrocher à la doxa médiatique, d’être « plus royaliste que le roi » et de ne pas réaliser à quel point tout ça est à coté de la plaque, alors que vous êtes certainement à des lieux de votre domaine de compétence?

                  Bon, je me désinscrit de ce fil, le trollage lourdingue des deux duettistes prétendument scientifiques mais qui ne comprennent pas ce qu’est la méthode scientifique et n’ont aucune culture scientifique me gave un poil (rire c’est bien, mais en toute chose l’excès est nuisible).

                  • Oui, curieux, enfin non : le bandeau publicitaire conseille lui de voir du côté de Courmayeur. Est-ce (Courmayeur) la seule raison d’être de cet « article » ?

                  • Tiens le commentaire dédié (bien plus bas) à Joe le taxi s’est copié ici ! Marrant.
                    En fait, là, je voulais dire à Franz de ne pas nous quitter sur un coup de tête : la cause a besoin de vous, de votre immense culture (bayesienne, of course) et de votre incomparable maîtrise de la langue française : « alors que vous êtes certainement à des lieux (sic) de votre domaine de compétence ».
                    Que voulez vous dire ? Que jack est bien dans son domaine de compétence (lieu = position, endroit) et alors votre phrase est du pur charabia. Ou bien est-ce votre fatuité qui vous a conduit à vouloir employer une ancienne unité de mesure (le lieue ~ 4 kms) au lieu (on en sort pas !) de tout simplement écrire : « très loin ». Exprimez vous simplement, avec des mots que vous maîtrisez et ça ira mieux.
                    A moins que tout cela ne soit que pure poésie (ou mieux, pure déconnade) auquel cas je m’incline respectueusement.

                    • Binvoyons, Je vous assure que tout scientifique comprend parfaitement Franz.
                      Désolé pour notre jargon un peu exclusif pour les non membres de la tribu des Bac S, mais on accepte aussi les littéraires de bonne foi qui ne prennent pas une coquille pour un motif à tartines condescendantes ( autre tribu dont vous ne faites apparemment pas partie).

                    • Hé, Binvoyons… C’est UNE LIEUE… (et bien sûr pas lieux quand le correcteur du smartphone ne fait pas d’excès de zèle).
                      Et les unités ne prennent pas de s. « Kms » c’était encore de mon temps une faute impardonnable dès la 8ème, donc vos cours de phranzé et d’auretoghraff en sont d’autant plus drôles.

                    • Vous êtes très cornichonesque là ❗

                    • @P : je ne fais effectivement pas partie de la tribu des Bac S. Je n’ai qu’un bac C, suivi d’une prépa à Henri IV dont je n’enorgueillis d’avoir été viré pour foutage de bordel incompatible avec cette fabrique d’élite docile et décérébrée.
                      Je me rappelle très bien que le prof de maths nous demanda un jour de rédiger un devoir assez ardu de topologie algébrique sans employer un seul symbole mathématique : excellent exercice permettant de vérifier la clarté du raisonnement et la pertinence de l’usage des concepts utilisés.
                      Vous devriez essayer.
                      @Franz : exact pour le genre de lieue, mais faux pour kms si j’en crois le petit Robert. Mais sans doute celui-ci se trompe-t-il à l’instar de l’immense majorité des climatologues…

                  • Je vous demande de quelles sources tenez-vous que vos « épicycles » pilotent les paramètres actuels du climat AKA le réchauffement de l’ère industrielle.

                    C’est encore trop compliqué comme formulation ?

                • Mon dieu, je viens de comprendre : vous avez raison Franz, Jack n’avait pas compris à quoi je faisait allusion en faisant référence aux épicycles alors que c’est de la culture scientifique de base que comprends automatiquement quiconque à un bac S (peut-être bac +1 ou +2 de nos jours ?) .
                  Jack n’a jamais fait la moindre étude de science de sa vie. Et il vient donner des leçons.
                  Les bras m’en tombent.

              • Je ne vous demande pas ce qu’EST un « épicycle ».

                Je vous demande sur quoi vous basez-vous (AKA des réfs) pour dire que ces « épicycles » gouvernent la tendance actuelle.

                Ca balance des affirmations dans le vent, et après ça écrit des tartines sur la méthode scientifique.

                • « Je ne vous demande pas ce qu’EST un « épicycle ».  »
                  Vous devriez demander, pourtant. C’est pas honteux de s’instruire, et ça vous éviterais de poser des exigences parfaitement hors sujet.
                  Passe ton bac (S, de préférence) d’abord.

        • Ben non, pas partout.

  • Il y a un gros détail qui m’échappe : à quel altitude appliquer l’équation de Stefan-Boltzmann pour calculer la température théorique forcée par le soleil. Pour l’appliquer, il faut connaître l’albedo (ce qui est directement réfléchi), ce qui n’est pas facile. Mais cela suppose en plus et surtout qu’il n’y a pas d’échanges d’énergie autres que radiatifs avec l’extérieur (en direction de l’espace). Or dans l’atmosphère et encore plus à la surface il y a des échanges par rayonnement, conduction, convection, échanges de matière (sous forme de pluie) et surtout changement d’état de l’eau en vapeur qui part se recondenser et libérer son énergie en altitude !

    Déjà que la répartition spatiale pose un gros problème de calcul, la rétroaction par l’effet de vaporisation me semble rendre les calculs hasardeux en particulier à la surface du globe, mais je ne suis pas sur qu’ils soient plus fiables en haute atmosphère. Et si ce calcul relativement simpliste de la température à la surface n’est pas fiable, tout le reste n’est que du vent : aussi bien la validation de l’existence de l’effet de serre que son calcul ou sa variation en fonction de la concentration de CO2.

    Ou plus exactement, le calcul qu’on nous présente actuellement est complètement foireux.

    • « à quel altitude appliquer l’équation de Stefan-Boltzmann pour calculer la température théorique forcée par le soleil »
      c’est dans l’autre sens : on a des satellites qui mesurent l’énergie reçue, celle qui est émise, et l’albédo. il apparait que la Terre se comporte peu ou prou, vue de l’espace, comme un corps noir à 255 K (-18°C)? Et ce sont les observations qui nous disent que c’est la température aux alentours de 5000 m d’altitude.

  • Content de voir que cet article ne contient pas les trop fréquente élucubration sur la violation du 2nd principe.
    Sur le principe du rétro-calcul de la température au sol à partir de la température cosmique de la planète ( -18° ) et de la loi décrivant le gradient adiabatique de l’atmosphère terrestre, RAS, seulement il manque un préalable : pourquoi donc la température cosmique se réaliserait nécessairement à 5000 m d’altitude, plutôt qu’à 4000 ou 6000 ?
    Et c’est là que les GES, que l’auteur évacue par la porte, peuvent revenir par la fenêtre…

    • Quoiqu’on en pense, la Terre n’est pas un corps noir parfait, loin s’en faut. Cependant, il peut être assimilé tel quel, pour autant qu’on y apporte le correctif nécessaire : la t° de rayonnement de -18°C. En d’autres termes, vu de très loin, la Terre apparaît comme un corps noir rayonnant à -18*C. Mais si la Terre était un corps noir, à la T° à laquelle nous vivons, on serait dans des mines de charbon à ciel ouvert, en T-shirt et pantalon noir !

      • Certes. Reste que la question non traitée dans l’article demeure : pourquoi donc les -18°C se trouvent à 5000 m, plutôt qu’à 4000 ou 6000, ou même au sol, au niveau de la canopée forestière, voire sous le niveau de la mer ?
        C’est une question d’épaisseur optique bien plus ardue que celle du gradient adiabatique. Et qui dit optique, dit GES : l’auteur n’a en fait rien réfuté, il a juste évacué la question difficile …

        • …Parce que, en moyenne, la température est de -18°C à environ 5.000 mètres. C’est un constat, c’est tout. Comme la Terre n’est pas un corps noir parfait, elle rejette une partie de sa chaleur, et ainsi la t° moyenne est de +14°C en surface, tandis que l’énergie rendue correspond à un rayonnement de -18°C. Je ne vois pas très bien où est le problème.

          • le problème c’est que vous ne pouvez pas simplement vous contenter de constater que la température de -18° se trouve à 5000 m . Il faut aussi être sûr que rien, et notamment pas les GES, ne peut faire bouger cette altitude. Il est bien clair que si les GES sont capable de faire monter cette altitude, alors ils feront monter les températures au sol ; or il est très facile d’imaginer un mécanisme (opacité plus grande aux IR) par lequel les GES font monter l’altitude où on observe les -18° …

            • Que disent les ballons sondes qui montent jusqu’à près de 35 km ?
              Quelles sont les variations ?
              On devrait pouvoir en tirer quelque chose.

              • Pour ça il faudrait une quantité monstrueuse de ballons. La climatologie est à un niveau préhistorique, au sens propre : il n’y a pas assez de chroniques des paramètres pour construire un discours scientifique.

                • Mais lâcher quelques ballons de plus, ne serait-ce pas moins débile que de planter des stations de mesure du CO2 partout ?
                  A-t-on vraiment besoin des micro-vibrations de la teneur en CO2 ?

                  • Je n’en sais rien. mesurer le CO2 ça ne sert à rien pour le climat mais c’est très utile pour l’agronomie, et gérer des stations fixes c’est facile donc pas trop cher. Inversement je crains que la quantité de ballon requise pour avoir un commencement de réponse sont considérable et très cher.

                    • c’est très utile pour l’agronomie,

                      Le problème, c’est que ces stations ne sont pas les serres, là ou elles seraient utiles ❗

        • Il me semble que seule la température de surface du système terre+atmosphère aurait un sens pour la loi de Stefan-Bolzmann. Mais cette surface n’existe pas car le rayonnement se fait depuis toutes les altitudes. Il me semblait que dans sa présentation simpliste pour noeud-noeud, le GIEC parle du rayonnement de la terre sans atmosphère. Cela fait que le raisonnement est pipé dès le départ car la loi de SB n’est jamais appliquée à une terre avec atmosphère. (Est-ce que je me trompe ?)

          Comme je ne suis pas convaincu non plus par le raisonnement radiatif, je garde un gros doute sur l’effet du CO2 (du moins par radiation). la fourchette discutable et discutée de « l’effet de serre » peut donc être bien plus grande que généralement admise.

          • Stricto sendu, la loi de Stefan Bolzmann ne tient pas compte d’une atmosphère, en effet, et Stefan, dans un exercice de détermination de la température du soleil, avait estimé que l’atmosphère absorbe +/- 1/3 du flux énergétique solaire (ce qui s’est avéré assez juste par la suite).

  • Ce qu’il y a de bien avec ce genre d’article, c’est qu’on sait que c’est de la foutaise avant même de devoir le lire. Pour ceux qui sont intéressés, je suggère la lecture du papier de Bullock et Grinspoon (2001 http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0019103500965709), qui explique en détails pourquoi ce n’est pas la pression atmosphérique qui détermine la température de Vénus. Les autres, posez-vous simplement la question : comment se fait-il que tout ce que l’on sait sur la physique depuis plus de 200 ans est faux et seul Jacques Henry s’en est rendu compte ?

    • C’est un peu le problème actuel : on balaie la Science d’un revers de la main, afin d’y imposer en lieu et place des dogmes dignes des périodes les plus obscures de l’Histoire de la Terre. C’est à cause de gens comme vous qu’il existe encore des créationnistes. Relisez un traité de thermodynamique élémentaire, ça vous remettra les idées en place. Ensuite, attaquez Hawkins ou un de ses semblables, cela vous fera le plus grand bien…

    • Vous trouverez exactement la MÊME démonstration que celle de Jacques Henry dans n’importe quel cours de n’importe quel climatologue, y compris climatocatastrophiste (par exemple : http://www.lmd.jussieu.fr/~jldufres/IUFM_Creteil/Dufresne_bil_serre_terre.pdf ) (la différence sera ailleurs, pas sûr que vous compreniez où). La foutaise, vous l’avez dans les yeux : parce que la conclusion vous déplait, tout ce qu’il raconte est forcément faux, je me demande même si vous ne vous gausseriez pas de 2+2 = 4 si l’auteur l’avait écrit …

      Jacques Henry est loin d’être le seul a s’être rendu compte que la théorie GES ne rends pas compte de la science et des observations : « it’s a travesty » Trenberth l’a exprimé bien avant devant ses pairs climatocatastrophistes dans les fameux mails fuités par exemple, et ça c’est aggravé au point de l’intrusion forcée dans le débat du mot « hiatus » (bel euphémisme …).

      La conclusion de Bullock et Grinspoon c’est, et ce n’est que,
      « We find that the maintenance of sulfuric acid/water clouds on Venus today requires sources of outgassed sulfur active in the past 20–50 Myr, in contrast with the 1.9 Myr as determined from geochemical arguments alone (B. Fegley and R. G. Prinn 1989, Nature337, 55–58) »
      ce qui n’a évidemment rien à voir avec ce que vous voulez leur faire dire…
      Manifestement vous avez pris une de leur hypothèse de départ pour une conclusion … Assez typique des croyants du GIEC, comme attitude.

      • P,
        Jacques Henry nie l’existence de l’effet de serre (« La théorie de l’effet de serre est donc en violation avec les lois fondamentales de la thermodynamique et également en violation avec les lois décrivant l’état des gaz qui sont d’ailleurs liées »), et pour appuyer son propos, vous me citez un document du LMD qui démontre et explicite l’existence de l’effet de serre, en prétendant que c’est la « même démonstration » ? C’est sans doute ça, l’attitude sceptique ?
        La différence se situe effectivement ailleurs : le gradient thermique adiabatique ne permet que de déterminer la variation de la température en fonction de l’altitude, pas de déterminer la température au niveau de la mer ou au sommet de la tour Eiffel. L’erreur de Jacques Henry consiste à considérer que la température à 5000m d’altitude constitue une sorte d’absolu, et à en déduire la température à la surface. Or cette température à 5000m dépend elle-même du bilan radiatif de la terre, et donc aussi de l’absorption et émission d’IR par l’atmosphère. En gros, Jacques Henry ignore l’effet de serre pour en conclure que l’effet de serre n’existe pas. Pas très convaincant.

        -1
        • Si vous savez lire, il nie « La théorie de l’effet de serre ». L’effet de serre, c’est une expression qui a autant de sens que de gens pour en parler, dont
          * l’effet des température plus élevée dans une serre (réel et observable)
          * la cause réel de ce phénomène (blocage de la convection)
          * la cause proposé par Arrhénius, et démontrée fausse (interception et renvoi vers l’intérieur de la serre, par la vitre, des IR émis par le sol )
          * l’application à plus grande échelle, celle de l’atmosphère, de cette cause fausse (probablement aussi fausse dans le cas de l’atmosphère que dans la cas de la serre, mais c’est plus difficile à prouver)
          * la hausse de température que devrait provoquer l’augmentation de la concentration en CO2
          * etc.
          Je vous cite un document d’un enseignant qui donne exactement la même démonstration que « Jacques Henry » ; par ailleurs ce document contient quantité d’élucubration qu’il est honteux de trouvez dans un document d’enseignement, mais c’est pas le sujet.

          RAS sur votre second paragraphe, vous ne faites qu’exprimer à votre manière ce que j’ai déjà écrit plus tôt et plus haut.

          • P,

            il s’agirait de changer de disque, ça fait plus d’un siècle qu’on sait que serre et atmosphère ne fonctionnent pas de même manière.
            Je suis quand m^me très étonné que vous parliez d’approximations dans le papier que vous sortez, sans tiquer une seule seconde sur le calcul de coin de table de notre scientifique de cuisine.

            Toujours est il, on attend encore la publication copernicienne qui bouleverserait la théorie si décriée ici.

            • Le disque de P est rayé, de plus c’est le seul qu’il ait en magasin, ne vous attendez donc pas à ce qu’il en change.

              • autodescription projective de Noma 🙂

                • il semblerai que P s’embarque dans de l’épistémologie de comptoir en ce moment

                  • De comptoir certes, je le déplore mais faut bien se mettre au niveau du pochtron qu’on à en face de soi.
                    Mais psychologie, Jack, pas épistémologie :
                    « ÉPISTÉMOLOGIE, subst. fém.
                    A. Vieilli Étude de la connaissance scientifique en général
                    B. Usuel. Partie de la philosophie qui a pour objet l’étude critique des postulats, conclusions et méthodes d’une science particulière, considérée du point de vue de son évolution, afin d’en déterminer l’origine logique, la valeur et la portée scientifique et philosophique
                     »
                    Demain on apprendra un autre mot

            • « il s’agirait de changer de disque, ça fait plus d’un siècle qu’on sait que serre et atmosphère ne fonctionnent pas de même manière. »
              Certes, et pourtant ça fait plus de 30 ans qu’on fait des cours de climatologie où on présente l’atmosphère comme fonctionnant comme une serre. C’est con, quand même, non ?
              Vous vous étonné aussi de l’existence des dahus, je suppose, non ? parce que j’ai tiqué, et pas qu’un peu ni qu’une fois, sur les calculs de votre « scientifique de cuisine » (sic)

              • « Certes, et pourtant ça fait plus de 30 ans qu’on fait des cours de climatologie où on présente l’atmosphère comme fonctionnant comme une serre. »

                Où l’on voit bien que vous n’avez jamais assisté à ces cours.

            • « ça fait plus d’un siècle qu’on sait que serre et atmosphère ne fonctionnent pas de même manière »

              Et pourtant les médias et les « pédagogues » continuent à diffuser cette notion!

      • P

        Comment pouvez vous portez du crédit un seul instant à cet article ?

        • où avez vous vu que je le fait ? voyez plutôt
          P le 5 novembre 2014 à 10 h 10 min
          P le 5 novembre 2014 à 12 h 19 min
          P le 5 novembre 2014 à 17 h 27 min
          etc.

        • P dit vrai ❗
          Vous attaquez très mal.

          • Michel,

            vous avez une idée à quel point vos interventions ressemblent au grognement d’un roquet dans les jupes de sa grand-mère un peu zinzin ?

            • Avez vous l’impression que cette intervention précise ressemble elle-même à autre chose que ce que vous décrivez ?
              vous pouvez faire plus constructif, non ?

            • Maître Kim, coucouche panier et retour dans la min-jupe à sa maman :mrgreen:

              Je disais juste que P critiquait l’article, et que BillyBob l’attaquait injustement.

              Vu que l’on peut discuter, on va troller, et vous semblez aimer cela.
              Ne vous plaignez pas si on arrive au niveau cornichon.

            • Vu que l’on ne peut discuter calmement, on va troller, et vous semblez aimer cela.
              Ne vous plaignez pas si on arrive au niveau cornichon.

    • Votre critique est fragile. Même si je ne maitrise pas toute cette science j’ai compris une chose : il faut comparer ce qui est comparable.
      La démarche de l’auteur est louable, que vous y croyez ou non d’ailleurs, parce qu’il propose, non pas de partir d’un seule fait : « ho di donc venus est super chaud, et oh dis donc, il y a bcp de co2 sur cette planète ! Ca veut dire que pour la Terre c’est pareil ! Chouette une nouvelle théorie »
      Non, il dit que si vous voulez comparer la Terre à Venus, alors comparez leur atmosphère, comparez leur pression atmosphérique, leur situation par rapport au soleil, etc. Et sa démarche est bien plus scientifique que les rapport du GIEC qu’on nous pond chaque année !

      • Il y a de sérieuses questions à se poser sur vos facultés de juger lorsque vous cautionnez l’article ci-dessus d’une part et rejetez le travail de compilation de milliers d’articles scientifiques d’autre part.

      • « Votre critique est fragile. Même si je ne maitrise pas toute cette science j’ai compris une chose : il faut comparer ce qui est comparable. »

        Ah ouais, ça c’est du solide, c’est vrai que les scientifiques vous ont attendu pour comparer ce qui est comparable 🙂

        Merci pour votre contribution à l’avancée de la Science.

        « que vous y croyez ou non d’ailleurs » ben voilà, tout est dit avec l’emploi du verbe croire.

        « Et sa démarche est bien plus scientifique que les rapport du GIEC qu’on nous pond chaque année » Ouah, le Nobel de (pata)physique pour Jacques Henry c’est l’année prochaine, ou alors ce sera une inqualifiable injustice, encore un Galilée qu’on sacrifiera sur l’autel de la (pseudo) science!

    • comment se fait-il que tout ce que l’on sait sur l’univers depuis des millénaires est faux et seul Copernic s’en est rendu compte ?

    • Lien très intéressant : on vous sort du chapeau en préliminaire dans l’abstract que c’est l’effet de serre qui contrôle la température de Vénus, et il faut payer $36 pour obtenir l’article en PDF et examiner le chapeau ?!?

      C’est de la science ça ?

      « on sait que c’est de la foutaise avant même de devoir le lire » ?!?

      Vous ne lisez pas les articles à moins de $36 ?

  • Oui : Bien !

    Mais il serait quand même plus simple d’expliquer que le CO2, pour être un gaz plus lourd, plus dense, que le reste de l’atmosphère, il ne peut que « descendre » et non pas monter à faire « effet de serre » en altitude…
    C’est complètement absurde et c’est en CE2 qu’on apprend ça (et la fameuse bougie tenue au bout d’une pelle à proximité du sol des caves à fermentation du vin, qui s’étouffe en présence de ce gaz inodore et létal pour l’esprit humain).

    Notons aussi que si nous avons 20 % d’oxygène dans notre atmosphère et si peu de CO2, c’est grâce aux bactéries qui se nourrissaient de ce gaz et cassaient les molécules en carbone et oxygène pour en vivre pendant les premiers temps de la planète encore en formation.
    (Cyanobactéries, c’est ça ?).
    Vénus, manifestement n’en a jamais bénéficié et on la rendra habitable (dans un futur éloigné) quand justement on parviendra à l’ensemencer de ces fameuses bactéries…

  • « L’hypothèse du réchauffement climatique repose sur deux dogmes, l’effet de serre et la contribution du CO2 à cet effet de serre »

    1) L’effet de serre: il y en existe une trentaine de définitions toutes incompatibles (cf publication de Gerlich et Tscheuschner). De plus, dans une serre réelle, les transferts de chaleur se font essentiellement par contact et convection. Le transfert radiatif y est marginal. Donc parler d’effet de serre est fort mal approprié. En fait, mieux vaut parler de modèle radiatif (avec rétroaction), car c’est cela la thèse du GIEC, jamais prouvée. Mais, pour leurrer le bon peuple, l’effet de serre est parfait, car les citoyens pensent avoir tout compris…

    2) Il y a un troisième dogme: la part du CO2 anthropique est de 30%.

    3) Et un quatrième: la durée vie du CO2, quelle que soit son origine est de 100 ans ou plus.

    • De toutes façons, toutes les théories, hypothèses, lois physiques (ou quelque soit le nom qu’on leur donne) sont des dogmes dès lors qu’on les applique sans pouvoir démontrer leur aspect prédictif – en gros leur utilité et capacité à décrire le monde de façon correct.

      Je suis un peu surpris qu’on nous présente l’atmosphère de Vénus comme validation de la base de la base de la théorie du méchant réchauffement du à la mauvaise société. J’irai bien faire un tour sur Vénus le week-end prochain avec un thermomètre pour vérifier tout ça … Après je pourrais m’attaquer à l’effet de serre, l’anthropicité du CO2 et la progression de son espérance de vie au cours des ages (même si je dois visiter le reste du système solaire, tant il y a de choses bizarres dans ces affirmations dont on nous bourre le crâne depuis 10 ans).

    • « Gerlich et Tscheuschner » n’est pas un papier c’est un document médiocre maintes fois recalé.

      Si c’est ça votre preuve de l’absence de l’effet de serre, on lui a collé un zéro pointé

      • Il y a eu une réponse de Rahmsdorf, qui n’avait rien compris, et elle a été réfutée par G et T. Depuis, silence radio de la part des grands gourous du RCA….

        Rahmsdorf a donc eu un quintuple zéro pointé….

        • Non non, c’est un assemblage incohérent de calculs à la louche, d’équations sans liens, d’hypothèses non fondées, de bibliographie lacunaire, j’en passe et des meilleures. Loin d’être un silence radio, les démontages de G&T sont multiples:

          Ici la réfutation ligne par ligne: h t tp://www.ing-buero-ebel.de/Treib/Hauptseite.pdf

          Ici: h t tp://arxiv.org/abs/0802.4324

          ou ici: h t tp://rabett.blogspot.be/2008/02/all-you-never-wanted-to-know-about.html

          voire ici: h t tp://rabett.blogspot.be/2008/02/kramm-steps-on-another-rake-just-when.html

          et des dizaines d’autres encore

        • Vous ne semblez pas être au courant de la littérature là-dessus non plus. Pour rappel, le commentaires officiel est:

          JOSHUA B. HALPERN et al, Int. J. Mod. Phys. B 24, 1309 (2010)

          Et le fait qu’il existe une réponse au commentaire ne rend pas le papier plus crédible d’autant que dans cette réponse, les auteurs esquivent totalement les deux remarques majeures de Halpern, à savoir la non prise en compte de tous les échanges de chaleur dans le bilan, y compris les échanges non radiatifs.

          Tiens, tant qu’on y est, pour P notre petit épistémologue en herbe, le papier de G&T s’appelle:

          « Falsication Of The Atmospheric CO2Greenhouse Eects Within The Frame Of Physics »

          Bigre ! G&T eux-mêmes reconnaissent la théorie falsifiable.

          Petit test logique P:

          Vous prenez G&T et admettez donc que la théorie est falsifiable.

          Ou vous écartez l’argumentaire en bloc de G&T car on ne peut falsifier l’infalsifiable ?

          • Mais dans l’absolu la théorie type GIEC de l’effet de serre du CO2 comme cause principale d’un réchauffement anormal d’origine anthropique est parfaitement falsifiable. La preuve, elle a été falsifiée par les observations.
            Ils annoncent « si pendant plus de 15 ans il n’y a pas de réchauffement mesurable, la théorie sera invalidée ». Après 17/21 ans de non-réchauffement on y est largement.

            Le problème c’est qu’au lieu de réagir en scientifiques digne de ce nom face à la falsification de leur théorie « ah ben merde, on va devoir trouver un nouveau modèle, donc des nouvelles hypothèses à tester etc. et c’est reparti pour un tour… mais au moins on sait ce qu’on ne sait pas », nos gugus que vous semblez vous acharner à nommer « scientifiques » nous sortent des épicycles.

            Donc le truc devient infalsifiable puisque sa falsification est réfutée par les gens même qui l’ont posée.

            Le problème n’est pas une théorie en soi (potentiellement toutes sont falsifiables pour peu qu’elle aient un fond de scientificité) mais l’utilisation qui en est faite. Et cette utilisation, ainsi que vos interventions, partant d’une vérité supposée absolue « science is settled », détruit toute la scientificité qui était là.

            Pour votre info « science is settled » pour la climato qui n’arrive pas à faire une seule prédiction vérifiée, mais « c’est une théorie bancale et transitoire » pour la mécanique quantique qui accumule les prédictions vérifiées. D’un coté des augures romains dopés aux subsides étatiques et de l’autre des scientifiques. Devinez qui est qui ?

            • Pour réfuter une théorie, il faut qu’il y en ait une.
              Or dans la controverse climatique c’est d’une évaluation de plusieurs phénomènes interdépendants dont il s’agit.
              Le problème de fond est double
              1) l’attribution des changements de température (comme valeur indicatrice des autres) aux diverses causes naturelles et humaines, en y éliminant les perturbations à terme trop court pour parler de changement de climat
              2) l’évaluation de la sensitivité de la température à la concentration en gaz dits à effet de serre, en particulier le CO2

              On ne réfute pas des évaluations, on les critique et on en propose d’autres.
              Le phénomène de base de forçage, élévation de la température suite à l’absorption de rayonnements électromagnétiques infrarouges, n’a jamais été réfuté (mais nié par des farfelus, ce qui n’est pas la même chose).
              Ce qui ne fait surtout pas consensus c’est l’aspect quantitatif de ce phénomène, car il est lié à des rétroactions du système à ce forçage primaire. Le GIEC dit 1.5 à 4.5 °C pour un doublement de la concentration de CO2, alors que moi-même je calcule 0.4 à 0.8 °C (avec les mêmes paramètres que le GIEC).
              Ce qui a d’importantes conséquences. surtout sur le totalitarisme qui se met en place.
              Et mon calcul n’a pas encore été réfuté car les personnes impliquées ne daignent pas répondre, … car il est correct.
              On trouve mon calcul et celui, erroné, qui est à l’origine des affirmations du GIEC à:
              http://climate.mr-int.ch/index.php/en/modelling-uk/feedback-uk/ipcc-mistake
              (en anglais car c’est dans cette langue qu’il faut se faire comprendre)

              • « Pour réfuter une théorie, il faut qu’il y en ait une. »

                Dont acte, le papier de G&T est donc nul et non avenu selon vous.

                • Mon « cher » jack, vous devriez vous limiter à des trucs très basiques, genre discussions sur la mode ou critiques de sport. Là, vous vous ridiculiser à chaque intervention. Vous ne comprenez rien, c’en est douloureux à lire !

                • Si je me souviens bien, ces Prof Dr. allemands réfutent l’utilisation du modèle de la serre pour expliquer le réchauffement. S’ils ont raison ou tort n’est pas la question: ils s’occupent du faux problème car l’analogie (et non pas la théorie) avec une serre n’est pas vraiment satisfaisante. C’est bête, mais ils se préoccupent des mots.
                  Mais si l’effet de serre n’est pas la bonne explication (ce qui n’est pas un débat) il faut bien comprendre pourquoi y-aurait-il un réchauffement.
                  C’est là que le forçage radiatif avec ré-équilibrage du gradient de température intervient.
                  Si ce c’est pas simple, c’est donc compliqué.

                  • Vous pouvez changer de disque concernant la sémantique du terme « effet de serre » ?

                    Ca fait un siècle que ce débat n’a plus lieu d’être, sauf chez Contrepoints

                • Vu que vous êtes si prompt à réfuter, par votre silence vous agréez la thèse de Michel de Rougemont :mrgreen:
                  Donc les gens di GIEc sont bien des charlots.
                  Merci de votre aimable confirmation 🙂

            • « Ils annoncent « si pendant plus de 15 ans il n’y a pas de réchauffement mesurable, la théorie sera invalidée » »

              sources ?

              Le reste c’est du grand n’importe quoi.

              • « sources ? »
                Rapport du GIEC d’il y a quelques années. Vous êtes « très doué » pour récupérer toute cette littérature, ça ne devrait pas vous être difficile de le retrouver.

                Ce qui me surprend c’est que vous, grand expert du climat ne l’ayez pas lu. Et que si vous l’avez lu vous n’en n’ayez pas retenu ce point crucial.

                • Il a la mémoire sélective 😉

                • « si pendant plus de 15 ans il n’y a pas de réchauffement mesurable, la théorie sera invalidée » »

                  « Rapport du GIEC d’il y a quelques années. »

                  Vous qui avez publié vous semblez subitement oublier comment on cite.

                  Votre phrase n’existe dans aucun des rapport, et d’abord c’est quoi « il y a quelques années » ? bé oui il y en a eu plusieurs « il y a quelques années ».

                  Donnez moi la page et l’année du rapport.

                  Si c’est si facile de trouver, en quoi cela serait si difficile de citer explicitement le passage visé ?

                  • Vous vous croyez où, petit chenapan ?
                    Faites votre boulot vous même, ignare !

                    • Nous savons pertinemment bien que cette phrase n’existe pas.

                      Ma question est: dans quel but but balancez vous ces mensonges ?

                    • Nous savons pertinemment bien que cette phrase existe.

                      Ma question est: dans quel but balancez vous ces mensonges ?

                    • Franz,

                      il ne tiendrait qu’à vous de sortir la phrase pour prouver votre bonne foi.

                      Tout ceci est ridicule.

                    • Vous êtes complètement absurde.

                      Vous sortez des propos imaginaires à la louche sur ce blog, absolument rien de ce que vous sortez n’est référencé, prétendre expliquer les températures avec la détente adiabatique est d’une absurdité sans nom, le calcul de coin de table mérite un zéro pointé en fac’, le second principe est appliqué de manière abrutie sans prendre en compte les bilans radiatifs, j’en asse et des meilleures.

                      Et vous voulez nous faire croire que c’est de la science ?

          • Falsification veut dire réfutation. Revoyez votre anglais…

            • Arrêter votre sémantique à deux balles:

              falsificationism (uncountable)

              (epistemology) A scientific philosophy based on the requirement that hypotheses must be falsifiable in order to be scientific; if a claim is not able to be refuted it is not a scientific claim.

          • Une publication dans une revue à comité de lecture (International Journal Of Modern Physics), donc analysée par d’autres physiciens, et qui est acceptée, alors qu’elle est très critique vis-à-vis des thèses du GIEC, cela veut dire qu’elle est sérieuse et qu’elle doit être prise en compte.

            Je comprends fort bien qu’elle ait semé la panique chez les ardents défenseurs du dogme du RCA, et c’est pour cela qu’elle a été ridiculisée, que ses auteurs aient été traités de comiques, mais pour le moment elle reste d’actualité.

  • « Le météorologiste John Coleman »

    Rien que ça ça vaut son pesant de cacahuètes.

    John Colenan est un ex-présentateur météo, un Laurent Cabrol américain donc, l’équivalent d’Anthony Watts.

    Le qualifier de météorologiste est une boufonnerie.

    Par ailleurs « L’hypothèse du réchauffement climatique repose sur deux dogmes, l’effet de serre et la contribution du CO2 à cet effet de serre »

    Non, l’effet de serre et la contribution du CO2 sont des réalités scientifiques dûment démontrées et documentées depuis bien longtemps.

    Le dogme est du côté des pseudo-sceptiques tels l’auteur de l’article ou JPB qui se contentent de publier sur Contrepoints mais se gardent bien de soumettre leurs « opinions » à des revues scientifiques (par peur du ridicule j’imagine)

    • « Non, l’effet de serre et la contribution du CO2 sont des réalités scientifiques dûment démontrées et documentées depuis bien longtemps. »
      documenté mais pas à hauteur de +3°C/ doublement de la concentration en CO2 comme le GIEC l’affirme. Seulement à hauteur de +0.5 à +1°/doublement, au pire. Seulement ça c’était pas suffisant pour justifier le GIEC : il n’y a rien à craindre d’un +2°, ce qui veut dire qu’on pourrait supporte de cramé du charbon pendant au moins 2 siècle de plus avant de se poser des questions … On a donc sorti du chapeau des mécanismes délirants de rétroaction positives parfaitement anti-physiques pour faire monter la facture.

    • Mano : « Le dogme est du côté des pseudo-sceptiques tels l’auteur de l’article »

      La science c’est la preuve, point final !

      Tous les modèles du GIEC ce sont plantés = pas de preuve
      Au mieux, la science peut actuellement dire qu’on ne comprend pas vraiment le climat, ceux qui affirment l’inverse sont des pseudo-scientifique ignorants des fondamentaux comme vous.

      Ceux là sont de vrai scientifiques:

      « nous ne savons pas ce que le climat fait. Nous pensions le savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des ouvrages alarmistes – y compris de ma plume – parce que cela semblait clair, mais cela ne s’est pas produit »
      James LOVELOCK – Père de la théorie Gaïa

      « Les modèles du climat sont défaillants en ce qu’ils ne reflètent pas l’influence cyclique du soleil sur le climat »
      Judith Lean – Phd Reviseur GIEC

      « Il est vrai qu’il n’y a pas eu de réchauffement depuis 1995… »
      Phil Jones – Phd chercheur GIEC

      « La question scientifique N’EST PAS résolue. »
      Roger Pielke Sr – Phd . Chercheur du GIEC

      « peut être que les chercheurs ont, de manière chronique, sous-estimé l’effet réfléchissant de la pollution de l’air »
      James Hansen – Phd Ponte du GIEC

      «Je suis heureux d’avoir la possibilité d’ajouter mon nom à la liste de ceux qui sont en désaccord avec l’affirmation que le réchauffement climatique résulte des activités humaines. »
      John Theon – Phd ancien directeur de James Hansen à la NASA

      La liste des 650 chercheurs en désaccord: http://www.epw.senate.gov/public/index.cfm?FuseAction=Minority.Blogs&ContentRecord_id=1a5e6e32-802a-23ad-40ed-ecd53cd3d320

      • « La science c’est la preuve, point final ! »

        Vous avez trouvé ça où?

        Rien que cette affirmation suffit à vous discréditer.

        La science c’est surtout des théories, qui parfois débouchent sur des preuves.

        La relativité est une théorie qui est parfois remise en question, sans toutefois avoir jamais été invalidée ; si la relativité avait été « prouvée » alors toute discussion serait close, ce qui n’est pas le cas.

        En ce qui concerne le climat il y a des théories, qui ne sont pas le fait du GIEC mais des scientifiques dont les travaux sont synthétisés par le GIEC qui n’est que le messager.

        Si vous voulez contester ces théories, basées souvent sur des éléments de preuves, alors publiez vos recherches dans des revues scientifiques, autrement passez votre chemin.

        • Noma: « La science c’est surtout des théories, qui parfois débouchent sur des preuves. »

          Des théories, tout le monde en a.
          Ce qui distingue la science de tout le reste, c’est la vérification et la reproductibilité qui font de ces théories des faits scientifiques.

          Quand tu arriveras en 5eme écoute un peu mieux ce que dit le professeur parce que là, tu fais pitié.

          • « Des théories, tout le monde en a. »

            Vous confondez théories et opinions, c’est ça votre problème.

            « Ce qui distingue la science de tout le reste, c’est la vérification et la reproductibilité qui font de ces théories des faits scientifiques. »

            Non, certaines théories ne sont que des théories et ne sont ni vérifiables ni reproductibles à certains moments, elles peuvent même être fortement contestées à l’intérieur de la communauté scientifique, elles n’en demeurent pas moins des théories « scientifiques ».

            Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thode_scientifique et ce passage « Ce fut également le cas pour Alfred Wegener et sa théorie de la dérive des continents confirmées par la physique et ainsi reconnue par tous les scientifiques après une forte polémique qui a duré 40 ans, allant des simples perturbations des cours par les professeurs « contre la dérive » au tir de carabine dans la porte de bureau vide du collègue[18] ; bien que les sources diverses et multiples tout aussi scientifiques qui ont été apportées pendant toute cette période l’avaient validées bien avant la preuve par la physique. »

            Quant à « Quand tu arriveras en 5eme écoute un peu mieux ce que dit le professeur parce que là, tu fais pitié. » cela suffit à juger du niveau auquel vous êtes capable de vous rabaisser.

            • Ce qui fait de la dérive des continents une théorie valide et scientifique c’est qu’on peut imaginer un test qui permet de l’invalider. Et que les résultats de ce test seront reproductibles (n’importe qui qui essayerai de suivre le protocole de test décrit dans le papier arrivera à un résultat similaire).
              Et ce dès les départ. Elle est donc parfaitement « falsifiable ». Donc scientifique. Qu’elle ait été contestée fortement n’a aucun rapport avec la choucroute.

              Wikipedia contient souvent des trucs intéressants mais wikipedia contient aussi parfois des conneries grosses comme des montagnes.

              • Ce qui fait de « l’effet de serre » une théorie valide et scientifique, c’est qu’on peut imaginer un test qui permet de l’invalider. Etc…
                J’ai bon ?

                • vous aurez bon quand vous aurez produit le fameux test. Pour l’instant je vous défie de trouvez dans les productions climatocatastrophiste la moindre prédiction utilisable pour un test ; l’équivalent d’un calcul de l’avance du périhélie de Mercure qui a convaincu de la plus grande validité de la théorie d’Einstein que de celle de Newton…

                  • Vous avez toujours eu cette détestable habitude : répondre quand on vous cause pas ? Il n’est pas assez grand le Franz ? Il a besoin d’un porte-flingue ? A moins que vous soyez en couple…

                    • Vous avez toujours eu cette détestable habitude : écarter les remarques qui vos dérangent avec des arguments hors sujet ou (non exclusif) ad personam ? c’est important que ce soit Franz, moi ou un autre qui vous demande le fameux test ? vous avez sous le code pour vous défausser un ad personam anti-Franz, mais pas anti-P, alors ça vaut pas ? a moi que vous n’ayez pas vu que c’est ici un fil de discussion publique, pas une conversation privée entre vous et lui ?

                    • Et si on parlait de cornichons ❓

                  • A votre service : 10 tests permettant de falsifier ce que l’on sait sur la science du climat : http://ourchangingclimate.wordpress.com/2014/02/17/is-climate-science-falsifiable/
                    Quand vous voulez …

                    • mega lol
                      Un blog militant, dont la première proposition n’est même pas une prédiction (c’est à dire qu’elle ne réponds pas à la question). Et elle vaut son pesant de cacahouètes :
                      « 1. A drop in global temperatures for some period of time to the level of 50 years ago or longer, without a clear cause »
                      Pourquoi une chute (!) plutôt qu’une stagnation ou une hausse modérée compatible avec la physique du GES CO2 au premier ordre (+0.5 C/doublement), pourquoi « un certain temps », pourquoi le niveau d’il y a 50 ans et pas 15 ou 100 ou 2000 ou l’époque de la terre glacée ? mystère et boule de gomme. La réincarnation de Paul le poulpe.
                      Oh, en fait, pourquoi pas 2000 ans, je sais : parce que les températures actuelles n’ont pas encore atteint celle de l’optimum climatique romain …

                      non, cite nous un vrai papier de vrai scientifique, STP

                      Comme « Do Global Temperature Trends Over the Last Decade Falsify Climate Predictions? [in « State of the Climate in 2008″]  » : http://www.metoffice.gov.uk/media/pdf/j/j/global_temperatures_09.pdf
                      « The simulations rule out (at the 95% level) zero trends for intervals of 15 yr or more, suggesting that an observed absence of warming of this duration is needed to create a discrepancy with the expected present-day warming rate. »
                      Ah ben c’est fait. les 15 ans sont largement dépassés selon toutes les métriques. Rideau. poubelle la théorie. Du moins, si on est un scientifique, bien sûr, mais Elisabeth Tessier n’a même pas mal évidemment

                    • « mega lol
                      Un blog militant »

                      Rappelez-moi où nous sommes ?

                    • P

                      Je suis ravi que vous vous mettiez à lire des documents un peu plus sérieux.

                      Puisque P a élégamment appelé de ses vœux des « vrai papier de vrai scientifique, STP », poursuivons par le MET 2013, car vous n’êtes pas sans ignorer qu’il faut se mettre à jour dans notre domaine:

                      h t tp ://www.metoffice.gov.uk/media/pdf/q/0/Paper2_recent_pause_in_global_warming.PDF

                      « It is not possible to explain the recent lack of surface warming solely by reductions in the total energy received by the planet, i.e. the balance between the total solar energy entering the system and the thermal energy leaving it .  »

                      Pour reprendre notre conversation sur les forçages dont vous nous dites qu’ils ne sont pas bien connus, voici le MET qui vous dit exactement ce que je vous disais.

                      « Observations of ocean heat content and of sea- level rise suggest that the additional heat
                      from the continued rise in atmospheric carbon dioxide concentrations has been absorbed in the ocea n and has not been manifest as a rise in surface temperature . Changes in the exchange of heat between the upper and deep ocean appear to have caused at least part of the pause in surface warming , and observations suggest that the Pacific Ocean may play a key role.  »

                      La position du MET est on ne peut plus claire, le réchauffement ne s’est pas arrêté et le hiatus récent ne remet pas en cause le phénomène global à long terme.

                    • Votre conclusion est à la hauteur de votre scientificité (et de celle du MET … qui parlait de l’autre zig du weather chanel, au fait?)

                      « le réchauffement ne s’est pas arrêté récemment, son arrêt n’est que temporaire », sic.

                      Vous avez vraiment un QI inférieur à 70 et un niveau bac -5 ou vous faites semblant ? Si c’est la deuxième solution, vous êtes vachement doué.

                    • Franz,

                      je vous propose de lire l’entièreté du document et de me dire si le MET ne dit pas autre chose.

                    • Franz,

                      Ah le MET est un incapable.

                      Que ferions-nous sans vous ? Il doit en valoir vraiment la peine votre club très fermé.

                      Que faites donc vous ici parmi les mortels ?

                    • La question de falsifier (en français: réfuter est plus compréhensible) ou non UNE théorie n’est pas pertinente lorsqu’il s’agit d’un mélange de plusieurs phénomènes.
                      Les analyses du MET, que certains citent ici, ne sont pas fausses, mais la question de la sensibilité du système n’y est pas abordée.

                      Le problème du catastrophisme climatique est celui des ORDRES DE GRANDEUR (en particulier la sensibilité de la température à la concentration en CO2) et de l’attribution des causes à un ou plusieurs phénomènes (dont le CO2 en augmentation).

                      Les conclusions que je tire de l’approche que je fais à http://climate.mr-int.ch sont claires:

                      – oui ça se réchauffe,
                      – les gaz à effet de serre expliquent cela pour environ 40% dont 30-35 pour le CO2,
                      – le réchauffement n’est donc que très peu contrôlable par une diminution des émissions de CO2,
                      – la mobilisation générale anti-carbone tient plus d’une idéologie collectiviste que d’une alerte écologique.
                      – le GIEC y joue un rôle équivoque.
                      – les vraies priorités pour le développement souffrent de cette activisme monomaniaque.
                      – Il n’y a pas de planète à sauver.

                      Cette position n’est ni réchauffiste, ni négationniste, ni sceptique: dans le courant politique du temps elle est simplement hérétique.

                    • Ne te vante pas Jack , et tu es hors sujet. L’avis du Coleman payé sur fonds publics anglais (le Met), ce n’est pas le sujet (*). le sujet c’est : une prédiction spécifique de la théorie (c’est à dire que ne serait pas produite par une autre théorie, n’est-ce pas, sinon Paul le poulpe peut faire aussi bien) qui puisse être confronté à la réalité pour vérifier la théorie.
                      On vous écoute. On va attendre longtemps 🙂

                      (*) Mais il est rigolo parce que
                      * d’une part il introduit la notion de réchauffement sans augmentation de température. Pas idiot, je dirai-même enfin, c’est pas trop tôt : parlons de la chaleur et pas de la T globale. Au bout de 30 ans …
                      * et d’autre part il se retourne comme un gant : si l’absence d’augmentation de la température s’explique par la variation de la chaleur des océans, alors inversement on a pas besoin des GES pour expliquer la hausse jusqu’en 1998, il suffit d’un transfert de la chaleur des océans vers l’atmosphère.
                      or ces transferts océan atmosphère sont évidents, et d’ordre de grandeur plus que suffisant (Cf. El nino). Et le rasoir d’Occam tranche l’hypothèse GES.
                      Le seul malheur c’est qu’il ne semble pas aux dernières nouvelles que la chaleur des océans a varié significativement depuis 1998. C’est con pour les « suggest » et les « appear » (sérieusement, il ne faut pas avoir honte pour utiliser des mots pareils dans une publication prétendument scientifique)…

                    • « d’une part il introduit la notion de réchauffement sans augmentation de température. Pas idiot, je dirai-même enfin, c’est pas trop tôt »

                      Alors qu’ici même vous jetez à la poubelle la théorie sur bases des températures depuis 98.

                      Sinon, le MET il a bon dos pour sortir une phrase de son rapport de 2008, mais d’un autre côté c’est un ramassis d’incompétent dès lors que ça ne vous convient pas.

                      Vous êtes pétri de contradictions.

                      Je suis vraiment intrigué par : »si l’absence d’augmentation de la température s’explique par la variation de la chaleur des océans, alors inversement on a pas besoin des GES pour expliquer la hausse jusqu’en 1998, il suffit d’un transfert de la chaleur des océans vers l’atmosphère. »

                      Il s’agit d’une chaleur EXCEDENTAIRE calculée par rapport à l’ère pré-industrielle. Selon votre raisonnement, il ne pourrait y avoir de hausse sur la période considérée étant donné que le bilan de ce que reçoit l’atmosphère et de ce qu’elle renvoie devrait être nulle.

                      Soit vous niez l’existence de cette chaleur accumulée, auquel cas vous devez nous expliquez par quel autre facteurs le climat s’est-il réchauffé, soit vous l’acceptez comme telle, mais vous ne pouvez affirmer à la fois que la somme des transferts est nulle ET que la température augmente

                    • D’autre part je vous fait part du fait que la notion de chaleur accumulée est présente dans la littérature depuis 25 ans au moins.

                      Mais si comme les concepts de chery picking, de falsifiabilité, de (10s-10min) vous les découvrez aujourd’hui, je comprend votre incompréhension du sujet.

                    • super, Jack , je vois que vous avez a votre disposition des données sur la quantité de chaleur stocké dans les océans, le sol et l’atmosphère non seulement aujourd’hui (alors que les scientifiques publiés sont encore très approximatifs et modestes), mais même à l’époque pré-industrielle. Le prix Nobel de physique vous attend 🙂

                      « Soit vous niez l’existence de cette chaleur accumulée, auquel cas vous devez nous expliquez par quel autre facteurs le climat s’est-il réchauffé, soit vous l’acceptez comme telle, mais vous ne pouvez affirmer à la fois que la somme des transferts est nulle ET que la température augmente »
                      heu … vous savez que les températures n’augmente plus depuis 17 voire 26 ans, oui ? même au GIEC ils le savent …
                      Et la somme des transferts océan-atmosphère n’a aucune raison d’être nul, en fait les océans transfert à l’atmosphère bien plus de chaleur qu’ils n’en reçoivent (jusqu’à 100 W/m² et plus en zone équatoriale). Je suppose que je vous l’apprends… A noter qu’il suffit d’une micro variation (quelque pour mille) de la quantité ainsi transférée, qui n’a aucune raison d’être fixe, pour expliquer +/- 1 degré de variation de la température de la basse atmosphère.
                      alors QUI peut bien avoir besoin d’affirmer « à la fois que la somme des transferts est nulle ET que la température augmente » ? c’est quoi cette bouillie ?

                    • Et pour en revenir au sujet, Jack : on attend toujours une prédiction spécifique de la théorie permettant de la tester. On va attendre longtemps, je sens …

                    • P

                      A chaque coup vous nous balancez un gloubiboulga pseudo épistémologique, mais êtes incapable de faire la plus chose la plus basique que l’on demande à un scientifique: donner des références des assertions incongrues que vous avancez.

                    • C’est cela, oui, demander des prédictions permettant de tester la théorie c’est des « assertions incongrues » et du « gloubiboulga pseudo épistémologique ».
                      Mais on attend toujours.
                      Mais je savais qu’on allait attendre sine die, de la part de Jack l’astrologue.

              • On attend toujours le papier qui invaliderait la théorie.

                • Pour ça il faudrait d’abord que la théorie soit réfutable, c’est à dire scientifique. Autrement dit, qu’elle produise des prédictions qu’on puisse confronter à une réalité observable (ou construite ad hoc, c’est à dire une expérience, mais en la matière ça parait difficile).
                  il y a bien des sorte de prédictions, comme le fameux points chaud tropical, ou l’impossibilité de voir une série de 15 ans sans réchauffement, mais les théoriciens se récusent et refusent de les considérer comme des prédictions dès que la réalité leur donne tort…

                  • C’est pas compliqué P.

                    retirez les GES, expliquez-nous le climat actuel sans, et pondez-nous votre fameux article qui ne viendra jamais.

                    A ce moment seulement la communauté scientifique se penchera sur ce que vous avez à proposer.

                    • lol, quel double aveu :
                      1) vous changer de sujet, reconnaissant implicitement que vous ne pouvez pas vous opposer à ma critique
                      2) vous reconnaissez qu’on ne sais pas expliquer le climat sans les GES… et vous croyez qu’on peut se permettre d’ajouter un facteur qu’y n’y représente au plus qu’une perturbation (au sens du calcul des perturbations) de quelques % pour expliquer ce qui se passe ?
                      3) vous reconnaissez avoir des standards scientifique digne de l’astrologie, puisque votre proposition s’y applique parfaitement :
                      « C’est pas compliqué Jack
                      retirez l’influence des astres, expliquez nous la vie humaine sans, et pondez nous un fameux article qui ne viendra jamais
                      A ce moment seulement la communauté astrologique se penchera sur ce que vous avez à proposer. »

                      Je crois que c’est plié pour vous, là 🙂

                    • P,

                      Visiblement ce fût d’un niveau trop élevé, évitez de vous vautrer dans de l’épistémo à deux balles.

                      les papiers mettant en cause les GES existent par centaines, ce que je vous dis est simple, on attend les vôtres démontrant que ceux-ci ne sont pas en cause.

                    • Et rebelote, encore une exigence anti-scientifique de l’ignare.
                      Désolé, je ne sais pas prouver l’absence d’effet d’un truc, que ça soit les GES ou l’odeur de la licorne rose invisible. Aucun scientifique ne sait faire ça. Au mieux on peut faire une expérience négative, mais l’absence de preuve n’étant pas la preuve de l’absence, ça ne suffira pas à conclure.

                      Seul un ignorant de la méthode scientifique peut le demander. QED

                    • Je vous repose la question plus simplement.

                      La grande majorité affirme que les GES sont à l’origine du comportement du climat actuel.

                      Comment l’expliquez-vous ? Proposez-nous l’alternative.

                    • « La grande majorité affirme que les GES sont à l’origine du comportement du climat actuel. »
                      C’est faux.
                      La grande majorité (et moi compris !) pensent que l’homme perturbe un peu les climats locaux (urbanisation, agriculture, coupe ou plantation de forêt, travaux hydrauliques, etc.) et que les GES ont un effet. Ce sont les fameux « 97% », qui incluent à peu près tout le monde, y compris moi ou Coleman cité plus bas.
                      Les gens qui pensent que « les GES sont à l’origine du comportement du climat actuel. » (sic, pour ce que ça veut dire…) ne sont qu’une poignée de (pseudo)scientifiques tricheurs, menteurs, voleurs et conspirationnistes (Mann, Gleick, Lewandowsky, …) , quelques mercenaires de l’industrie (Dana nuticceli), une grosse masse d’activistes ignorants, et une quantité bien trop grande de politiciens et businessmen qui en tire profit (Al Gore, industriels du « renouvelable » ou du nucléaire, Jouzel foucard et huet, etc. ) .

                      L’alternative, c’est simple : le climat est un système chaotique imprévisible, qui peut monter de 4 ou 5 degré ou descendre de 15 (iceball earth), sur lequel l’Homme n’a une prise que du second ordre au pire ou au mieux, ce qui veut dire qu’il lui faudra s’adapter de toute façon.

                    • « L’alternative, c’est simple : le climat est un système chaotique imprévisible, qui peut monter de 4 ou 5 degré ou descendre de 15 (iceball earth) »

                      Encore sorti de l’immense chapeau sans fond de Contrepoints.

                    • « Encore sorti de l’immense chapeau sans fond de Contrepoints. »
                      non, juste sorti de l’histoire terrestre. On voit mal pourquoi les même causes ne produirait pas les même effets, dès lors à vous de nous dire quels mécanisme a bien pu disparaitre pour qu’on puisse exclure une nouvelle glaciation massive ou inversement le retour d’un climat tropical sur les pôles.
                      Ou bien vous niez le caractère chaotique du temps qu’il fait (alors qu’on le considère plutôt comme l’archétype du chaos) ? Venu de vous, tout est possible, je suppose …

                    • J’aimerais savoir sur quelles études vous basez-vous pour affirmer que le comportement chaotique guide la hausse des température à l’ère industrielle ?

                      La liste des trucs que vous sortez du chapeau s’allonge à vitesse exponentielle (bayésiennement parlant)

                    • « J’aimerais savoir sur quelles études vous basez-vous pour affirmer que le comportement chaotique guide la hausse des température à l’ère industrielle ? »
                      O_o
                      Vous vous rendez compte de l’énormité de cette phrase ? non, évidemment, sinon vous ne l’auriez pas écrite.
                      Passe ton bac et reviens que tu pourra poser des questions avec un minimum de sens

                    • retirez les GES

                      Donc la vapeur d’eau :mrgreen:

                    • « L’alternative, c’est simple : le climat est un système chaotique imprévisible, qui peut monter de 4 ou 5 degré ou descendre de 15 (iceball earth) »

                      C’est pas faux.

        • Noma vous n’avez rien compris. La science c’est la preuve, point finale. Pas la preuve de la validité de la théorie, non, au contraire, la preuve de fausseté de la théorie. La science est une démarche critique de mise en doute, de recherche de l’échec. C’est ce qui fait de la démarche du GIEC une démarche NON scientifique : il n’y a aucune recherche d’auto-réfutation, de test sur les limites, de production de prédictions réfutables etc., il n’y a que des recherche d’indice concordant, d’ajout d’épicycles pour expliquer pourquoi le modèle est bon même quand les observations le contredisent, etc.

          • Elle vient la publication des preuves ?

            • faudrait que le GIEC la cherche, et donc que les climatologues voient un intérêt (et pas une menace pour leur carrière et leur réputation) à la chercher.
              Vues les circonstances actuelles on va attendre longtemps. Je sens que ce truc va rejoindre les hypothèses sur la terre plate au panthéon des théories bidons qu’on a le moins cherché à invalider.

          • « La science c’est la preuve, point finale »

            Vous confondez la science avec le droit.

            « C’est ce qui fait de la démarche du GIEC une démarche NON scientifique  »

            Désolé mais là c’est vous qui n’avez rien compris.

            Le GIEC rassemble les recherches de dizaines de milliers de chercheurs de toutes nationalités, le GIEC est donc un messager qui fait une synthèse des travaux scientifiques sur le Climat.

            Critiquer le GIEC c’est remettre en cause le travail de tous les scientifiques qui ont produit leurs recherches dans des revues scientiques, dont la plupart à comité de lecture (peer review)

            Et vous qu’avez vous produit à part donner votre opinion ici dans Contrepoints?

            • Non, non, non…
              La démarche scientifique ce n’est pas de synthétiser, déjà… Mais de chercher à falsifier les prédiction. Ce que le GIEC ne fait jamais.
              Ensuite le GIEC est un organisme politique doté d’une mission politique qui fait du « cherry picking » pour appuyer une théorie dont il suppose par avance la véracité (d’où le nom). C’est anti-scientifique par nature. C’est une perversion absolue de la science : prendre des travaux scientifiques (pour certains parce que justement le pognon, l’influence etc. du GIEC et les perversion du peer-reviewed ont déjà largement amoindri la scientificité de beaucoup des travaux concernés) pour les transformer en un objet de propagande à l’opposé diamétral de ce qu’est la science.
              Brulons le GIEC (et ça m’irrite le poil de mettre « GIEC » avec le présupposé « expert » rajouté en français… dans le vrai nom, IPCC il n’y est pas, ce n’est qu’un « panel », « intergouvernemental » sur le « changement climatique ».) et revenons à la vérité : ON NE SAIT RIEN OU PRESQUE SUR LA DYNAMIQUE DU CLIMAT.

              Essayons trois seconde d’utiliser une approche bayésienne sur ce problème (l’approche statistique à la mode -parce que ça marche super bien- dans toutes les démarches empirique). Que voit-on ? Que la probabilité d’un « man made global warming » faible au départ ne fait que baisser… Que l’écart type de nos a posteriori est en pleine explosion. Donc dans un cas de vraie science, on ferme sa gueule et on retourne bosser. Le fait que ça ne soit pas le cas ici serait, seul, une preuve suffisante de la non scientificité absolue de cette excroissance du « machin ».

              • Le Giec n’a pas « falsifier des prédictions ». Il recueille l’état des connaissances scientifiques.
                Il s’ensuit que tout le reste est faux

                • Il n’y a pas de prédictions réfutables, l’état des connaissance en la matière est affreusement maigre (couverture spatiale et temporelle moyenne sur la planète de l’ordre d’un point par an pour la France entière) , et le GIEC y ajoute une bonne dose d’élucubrations risibles tirés de publications de Greenpeace et autre organes « scientifiques » bien connus (Cf. les glaciers himalayens), ainsi qu’un « résumé pour les décideurs » en parfaite contradiction avec le maigre contenu scientifique (le résumé étant aussi affirmatif que le contenu scientifique est prudent).
                  Il s’ensuit que le GIEC est moins crédible que Paul le poulpe, qui se trompait moins souvent.

                  • On sent bien que P. a lu hier soir un peu fatigué la page Wiki sur la réfutabilité après avoir découvert sa définition plus haut il y a quelques heures. Grand bien nous fasse, il a décidé de faire profiter tout le monde de sa synthèse toute personnelle.

                    P. vous êtes à l’épistémologie ce qu’Allègre est à la climato.

                    • Remarquez, vus vos commentaires de ce jour vous avez découvert la notion de cherry picking cette nuit.
                      Et la notion de falsifiabilité/réfutabilité, vous n’avez pas l’air de la comprendre du tout, donc évitez d’en critiquer l’usage par d’autres.

                    • On sent le Jack à cours d’argument, réduit à de petites piques dignes d’une puce

                    • Franz,

                      vous n’étiez pas censé rejoindre votre club très sélect qui a tout compris ?

              • Qu’est ce qu’ils sont niais au CERN. Ils passent leur temps à chercher à VALIDER les prédictions du modèle standard de la physique quantique. Genre boson de Higgs. Et tout ça avec notre pognon.
                Quel scandale !

                • Bel preuve de votre incapacité à comprendre la science, Binvoyons
                  et non justement, aux CERN ils cherchent à invalider les prédictions du modèle standard : ils confrontent les prédictions à la réalité, à la recherche de la différence. Qu’ils ne trouvent pas, ce qui, a contrario, ajoute à la validé de ce modèle, mais si le résultat avait été différent, et bien ils auraient été tout aussi content, en fait : un nouveau champ de questions s’ouvrait.
                  C’est ça la science, et c’est exact inverse de la démarche des prétendus climatologues qui, eux, ne tiennent aucun compte de la confrontation entre leurs prévisions et la réalité observée, choisissent les arbres (et autres « proxy » de température) qui confortent leurs idées et écartent les autres, etc.

                  • Pourquoi ce que font, à vos yeux, correctement les pysiciens, les climatologues ne seraient-ils pas capable de faire ? (les abrutis oserais-je rajouter)

                    • Pourquoi ? je n’en sais rien, pourquoi. Et je ne dirais même pas qu’ils en sont incapables ; je constate juste qu’il ne le font pas, et qu’à ce titre ils sont autant scientifiques que Paul le poulpe et Elisabeth Tessier.

                    • C’est bien cela la question.

                      Pourquoi une très large majorité de scientifiques d’un domaine bien précis (la climatologie) seraient devenus subitement incapables de connaître et d’appliquer les stats, d’appliquer une méthode scientifique et de tirer des conclusions adéquates des observations ?

                      Pourquoi ce très large scandale ne serait connu que de vous et n’éclate pas à la face du monde si c’est si retentissant que cela ?

                      Pourquoi seuls P. et Franz sont ils capables mieux que ces milliers de gens de comprendre le climat ?

                      Un brain washing de masse ? Des formations universitaires gangrénées par les lobbys ? Des usines à lobotomisation ? On vous musèle ? Les chefs de la labos sont téléguidés par les reptiliens ?

                    • Déni, argumentum ad populum et paradoxe du barbu.
                      Quelle belle collection de sophisme vous enfilez …
                      Non, il n’y a pas que P et Franz pour constater le scandale. Il n’y a que vous pour refuser de le voir, en fait.

                    • Comment se fait-il alors que tant d’erreurs n’aient pas été mis à disposition de la communauté via les canaux ad hoc, j’ai nommé la publication et les débats en colloque ?

                    • Bizarrement je n’ai jamais entendu le discours que vous tenez à la tribune d’un colloque.

                      Pourquoi ?

                    • Parce que vous n’allez jamais dans les colloques, je suppose ?
                      🙂

                    • Très bien, les actes du colloque en question ?

                    • Pour le moment on attend que tu nous cites une proposition réfutable de la théorie, permettant de la tester.
                      On parlera colloque après.

                    • P

                      Ca fait le énième truc que vous balancez sans fondement.

                      Ils sont où les calculs à la louche de Franz, la contribution des « épicycles », vos fameuses interventions en colloques ?

                      Pas une seule référence fournie en 250 commentaires, avouez que c’est alarmant.

                    • « Pas une seule référence fournie en 250 commentaires, avouez que c’est alarmant. »
                      Je ne te le fais pas dire. Aucune référence de prédiction permettant de rendre la théorie réfutable, donc scientifique.
                      QED. la théorie du GIEC est du niveau de l’astrologie, et les Jack qui y croient sont des ignares scientifique qui vont chercher leur référence dans libé

                    • p

                      Il n’y a qu’ici que vous pouvez vous permettre ce genre de pitrerie.

                    • Spécialement pour P:

                      h t tp ://www.lefigaro.fr/sciences/2014/11/06/01008-20141106ARTFIG00163-le-rapport-du-giec-ampute-de-deux-pages-jugees-trop-contraignantes.php

                      C’est plus orthodoxe ou ce sont tous des pourris de journalistes ?

                  • Alors là vous êtes injuste P.
                    Je dénonce la gabegie du CERN qui fout l’argent par les fenêtres en cherchant à valider une théorie alors que, vous avez mille fois raison, ils feraient bien mieux de chercher à falsifier les prédictions (sic) et vous me rentrez dedans. Cé tro pain juste.

                    • vous ne dénoncez rien du tout, vous n’avez juste rien compris.
                      En science on ne valide pas une théorie, c’est impossible. Et ce n’est pas ce qu’ils font au CERN. En science on fait des prédictions et on les confrontent à des observations, tirées du monde réel ou d’expérience ad hoc ; si les prédictions sont validées, on est content et on cherche d’autres prédictions plus dures qu’on confrontera à d’autres observations plus difficiles à faire, jusqu’à ce que la théorie craque.
                      et c’est bien ce qu’ils font au CERN. Mais pas en climatologie.

                    • « En science on ne valide pas une théorie, c’est impossible. »

                      http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1411 ; regardez bien tout, notamment ce passage : »…Me voilà avec une théorie, et une expérience que j’estime honnête et convaincante pour la valider (ou en pratique, l’amélioration d’une théorie sur un détail, et sa validation)…’

                      http://www.philolog.fr/a-quoi-reconnait-on-quune-theorie-est-scientifique/ ; lisez le 5ème critère…

                      « En science on fait des prédictions et on les confrontent (sic) à des observations, tirées du monde réel ou d’expérience ad hoc  »

                      Ben oui, sauf qu’on ne parle pas de prédictions, ça c’est du domaine de l’astrologie, on parle d’hypothèses et (justement) de théories. Pour voir si ces hypothèses et théories ont un sens on peut être amenés à construire des modèles afin de les tester « sur le papier », et ensuite on peut les confronter avec les observations et voir ce qui marche et ce qui ne marche pas, c’est le cas des modèles climatiques (qui ne sont certes pas parfaits, mais c’est le propre d’un modèle de ne pas être parfait) qui se comportent pas si mal que cela dans l’ensemble (il y en a de nombreux et tous donnent des informations dans l’ensemble concordantes, bien que construits par des équipes indépendantes)

                    • Je le répète, en science on ne valide pas, on réfute. Point barre. Avec du bol, on a parfois la possibilité d’utiliser le tiers exclu pour valider la seule chose qui reste quand on a réfuté tout le reste. Mais en général, le mieux qu’on a c’est « Pour le moment je n’ai rien trouvé de mieux [mieux = plus simple, avec moins de facteurs et paramètres : rasoir d’Ockham, etc. ] et malgré tous mes tests je n’ai jamais réussi à prendre ça en défaut ». Mais pour le moment les suppots du GIEC n’ont jamais procédé comme il convenait.

                      Pour que les modèles soient utiles, il faudrait les utiliser scientifiquement, c’est à dire en mode réfutation, pas en mode validation : c’est pas parce qu’on arrive à reproduire la réalité sur une courte période avec en paramètre d’entrée le taux de GES, la production de chou-flour ou le taux d’équipement en brosse à dents (si, si, on peut le faire aussi, les doigts dans le nez) que ces facteurs hypothétiques sont effectivement à l’œuvre dans le phénomène réel. C’est inverse : ces facteurs sont envisageables si on est incapable de reproduire le réel SANS les introduire, ET que leur introduction améliore la concordance.
                      Comme les modèles repris par le GIEC utilisent tous l’hypothèse GES, il ne la valide pas, par définition : ce qui est en hypothèse se retrouve forcément en sortie.
                      En outre les modèles ont trop de paramètres par rapport au nombre d’observables. Sur-apprentissage garanti.
                      « “With four parameters I can fit an elephant, and with five I can make him wiggle his trunk”
                      Combien de paramètres dans les modèles climatiques ? …

    • Effet de serre? Dans une serre, les transferts de chaleur se font essentiellement par contact et convection. Donc parler d’effet de serre pour l’atmosphère voudrait dire que les échanges sont convectifs et non radiatifs. Ce qui est contraire aux thèses GIECquiennes…

      Bien sûr, pour leurrer les citoyens, si on parle d’effet de serre, ils ont l’impression de comprendre, alors que cela n’a rien à voir…

  • Article d’une rare nullité. Mélange de considérations morales et de science. J’ai l’habitude de ne pas lire les articles à forte contenance théologique. A ce niveau c’est juste ridicule. Il n’y a pas l’ombre d’une démonstration de quoi que ce soit. Mais surtout démontrer que ce que fait le GIEC est faux ne démontre pas qu’il n’y a pas de réchauffement climatique. Il n’y a toujours pas de démonstration mathématique du second principe c’est pas pour autant que l’on ne s’en sert pas!

    • « Mais surtout démontrer que ce que fait le GIEC est faux ne démontre pas qu’il n’y a pas de réchauffement climatique. »

      Cela démontrerait simplement que leurs conclusions sont du grand n’importe quoi ! Car les oracles du GIEC prétendent que le réchauffement existe, qu’ils en connaissent la cause, savent le calculer, en prédire les conséquences, savoir comment l’éviter. Dernièrement, j’ai même lu qu’ils avaient calculé l’impact sur la croissance de la lutte contre le CO2. Spécialistes en physique, en climat, en agriculture ET en économie ?

      Alors qui produit des articles nuls et se fout de la gueule du monde ?

      • « Dernièrement, j’ai même lu qu’ils avaient calculé l’impact sur la croissance de la lutte contre le CO2 »
        LOL le genre de truc parfaitement impossible à faire. J’ai bien aimé aussi le calcul du coup d’ébola dans des pays ou la statistique national est embryonnaire… Pour rappel au Nigéria la mise à jours des méthodes de calcul à des standard récents à fait doubler le PIB….

    • Le problème avec le GIEC c’est que ce qu’ils disent n’est ni mathématique et démontrable, ni empirique et donc reposant sur une analyse fine et sérieuse des données. C’est juste théologique (au sens faible). Maquillé en science. Et donc ça trompe assez facilement les non scientifiques. Pour les autres (les scientifiques donc) soit ils s’en foutent totalement (une grosse part) soit ils en vivent (ça permet de publier n’importe quoi à bas coût, c’est génial) soit ils s’en moquent entre eux (et parfois en public, mais bon… vous comprenez madame Michu, c’est un spécialiste des fraction continues, il n’y connait rien en climat… C’est un géologue, il ne devrait pas parler de ce qu’il connait pas… sauf bien sûr si c’est pour confirmer la doxa.).

      Donc là on est dans le genre l’hôpital qui se fout de la charité…

      • Franz, vous connaissez le monde de la recherche pour dire cela ?

        • Un tout petit peu… un tout petit peu… :mrgreen:

          • « Un tout petit peu… un tout petit peu… »

            Oui, vraiment très très peu.

            • Mettons que c’est mon métier et que j’ai formé à la recherche une « petite » quantité de gens… qui travaillent dans des institution réputées un peu partout dans le monde. Et que le GIEC est une inépuisable source de blagues pour mes collègues et moi même.
              J’adore internet !

              • « j’ai formé à la recherche une « petite » quantité de gens »

                Les pauvres.

                Mais heureusement il n’y en avait pas beaucoup, la casse est donc limitée.

                • l’attaque « ad personam » est la reconnaissance qu’on a perdu le débat et qu’on est totalement largué.
                  Merci de confirmer par cette remarque spécieuse et crétine que vous ne comprenez rien à rien mais que vous êtes prêts à vous ridiculiser pour défendre un dogme qui ne met même pas de beurre dans vos épinards.
                  Les gens qui en vivent (grassement) vous remercient. La science et le reste de l’humanité pas du tout.

                  • « l’attaque « ad personam » est la reconnaissance qu’on a perdu le débat et qu’on est totalement largué »

                    Vous confondez ad personam et ad hominem, mais bon, vous n’êtes pas à une confusion près, donc on va vous pardonner sur ce coup.

                    Par ailleurs vous êtes un peu culoté de m’accuser d’ad hominem, alors que vous-même traitez de charlatans la plupart de vos collègues (en admettant que vous soyez réellement scientifique, ce dont je doute)

                    Je vous cite : « Le problème avec le GIEC c’est que ce qu’ils disent n’est ni mathématique et démontrable, ni empirique et donc reposant sur une analyse fine et sérieuse des données. C’est juste théologique (au sens faible). Maquillé en science. »

                    Or « ce que dit le GIEC » n’est rien d’autre que ce que disent des floppées de scientifiques de par le monde.

                    Donc vous accusez tous ces scientifiques de faire de la théologie et de maquiller la science, si ce n’est pas de l’ad hominem ça…

                    • Vous avez un gros problème d’ego Franz à traiter l’ensemble d’une profession d’ignares.

                    • Hélas pour vous, l’ad personam et ce que vous faites (diminuer la personne en soi) l’ad hominem c’est l’attaque sur une caractéristique qu’on suppose la définir (« vous êtes mathématicien donc vous ne dites que des conneries).
                      Sinon, mes collègues (je ne suis pas climatologue donc en fait ce ne sont pas mes collègues, et même étant mathématicien, je ne suis pas « scientifique »… mais bon, disons entre « académiques ») ne sont pas des charlatans en majorité (même s’il y en a un nombre plus important que dans d’autre disciplines) mais le GIEC qui n’est pas un centre de recherche, une université, une institution scientifique mais bien un bidule politique, oui est un charlatan.
                      Le GIEC choisi dans les publi et dans les faits ce qui va dans son sens, ignore le reste. Le GIEC part d’un présupposé et veut le démontrer. Et est payé pour ça.

                      Des flopées de scientifiques disent des choses sur le climat (pas du tout de la même façon que le GIEC, même si pour certains ils sont d’accord avec l’axe général que présente cet organisme), des flopées d’autres disent d’autres choses, chacun sur un point précis, restreint, et avec le plus souvent l’honnêteté de dire « on sait pas trop mais il se pourrait que… ».

                      Le fait qu’il y ait un GIEC, des torrents de pognon pour la climato etc. produit un biais significatif dans le publication. En gros vous mettez « réchauffement climatique » dans le titre ou l’abstract, vous allez dans « le bon sens », et même si ça n’a en fait aucun rapport vous augmentez fortement vos chances d’être publié. Donc les gens qui en majorité publient pour rester « en vie » (le fameux « publish or perish ») et pas parce qu’ils ont vraiment quelque chose d’important à dire sur une quelconque vérité en soi, le font avec ce biais « imposé ». Après, en parlant avec eux, ils sont beaucoup plus modéré que ce qu’ils ont écrit. Et ce qu’ils ont écrit est bien plus modéré que ce que le GIEC en retient et qu’il amplifie encore après coup dans les rapports qu’ils publient et que les média et politiciens ré-amplifient.

                      Maintenant, oui, le GIEC part d’une conclusion qu’ils estiment être vraie et trouvent dans les publications celles qui vont dans ce sens, (démarche plus religieuse que scientifique). Ils sortent de la démarche Popperienne et ne sont pas dans la science. Mais il ne font pas de la théologie. La théologie c’est sérieux. Et ma discipline (les maths) est finalement plus proche de la théologie que de la science malgré les confusions fréquentes (on part d’axiomes, clairement identifiés, et supposés vrais, et tout le reste n’est que conséquence logique absolument vraie). Le GIEC part sur la même ligne, mais s’arrête là et axiomatise des choses qui pourtant sont falsifiables. Dire que quelqu’un qui a été intégré dans un rapport du GIEC est un charlatan de part cette citation, là oui, effectivement ça serait bien de l’ad hominen (pas ad personam, donc… )

                      Bref, si vous n’avez pas vu le problème avec ce bidule, que dire de plus… continuez à rêver à vos licornes et à votre climat bien modélisé, mais ne demandez pas à quiconque de payer quoi que ce soit pour ça.

                    • Avouez que vous êtes gonflé Franz.

                      Vous victimiser et accuser l’autre de vous diminuer, tout en déféquant sur l’ensemble d’une profession.

                      L’antiphrase est élevée au rang d’art chez Contrepoints

                    • C’est bien « ad personam », ne vous en déplaise ❗

                    • Avouez que vous êtes gonflé Franz.

                      Vous victimiser et accuser l’autre de vous diminuer, tout en déféquant sur l’ensemble d’une profession.

                      L’antiphrase est élevée au rang d’art chez Contrepoints

                      Maître Jack Kim est très légèrement gonflé : il va servir de roue. Il servira enfin à quelque chose.

                • Noma & Billybob : vos attaques deviennent fatigantes. Il m’étonnerais très fort que vous soyez en possession d’un Ph.D. en Sciences, et que vous soyez directeurs de mémoires et de thèses. Aussi, ce serait sympa de débattre si vous en avez envie, et d’arrêter d’attaquer à tout va tous ceux dont l’opinion ne va pas dans votre direction. Pour peu, on vous prendrait pour des membres du GIEC…

                  • Coppe,

                    le billet ci-dessus est plus que médiocre, il est nul.

                    On attend toujours que vous publiez votre grande révolution copernicienne, le rest du blabla

                  • « arrêter d’attaquer à tout va tous ceux dont l’opinion ne va pas dans votre direction »

                    Opinion, vous avez dit opinion?

                    C’est bien ce que je pensais, votre science se résume à une « opinion »…

              • Un scientifique aussi compétent que vous ne devrait pas ignorer qu’il existe des voies pour faire entendre son point de vue, j’ai nommé la publication.

                Bizarrement je ne vois toujours rien venir.

  • « Galilée au sommet de la tour penchée de Pise »
    ————
    Galilée n’a jamais rien fait depuis le sommet de la tour de Pise, voyons, cf 3’19 » –>
    https://www.facebook.com/video.php?v=532996163477424

  • Il est remarquable que l’immense majorité des gens qui ont fui les sciences (et l’effort ?) au cours de leur formation croient au réchauffement climatique comme en une certitude scientifique !

    • Ceux-la n’ont jamais compris pourquoi un « à-peu-près » valait zéro et pas la moitié des points.

      • Et qu’une probabilité à 96% qu’un enfant atteigne entre 1m et 2m une fois adulte ne veut pas dire qu’on est certain à 96% qu’il va faire 2m comme le comprennent les catastrophistes.

        Même si tout était exacte dans le rapport et qu’on pouvait mesurer en vrai la température globale et les mers au dixième (lol) ça coincerait à ce niveau de communication.

        « Malheur à moi, je suis nuance » (Nietzsche, Ecce Homo)

  • Ben moi je suis bien content d’apprendre qu’il fait plus froid à 5000 mètres d’altitude qu’au sol. Merci Jacques Henry ! La prochaine fois que je ferai le Mont Blanc, j’y penserai.

    • Non, vous n’avez pas appris qu’il fait plus froid au niveau de la mer qu’au sommet du Mt Blanc, vous avec appris pourquoi. C’est pas du tout pareil.

  • Dans plusieurs de mes commentaires je suis taxé de climato-septique ….
    Le scientifique pur et dur est TOUJOURS animé par une chose: LE DOUTE. C’est le doute qui fait progresser et évoluer la recherche. S’il y a doute il y a quelque chose à chercher, à découvrir, à comprendre.
    La CERTITUDE elle est stérile. puisqu’il y a certitude, il n’y a rien à chercher à comprendre, à approfondir donc la recherche ne progresse plus.
    Or nos politiques sont pétris de certitudes, ils ont la science infuse et détiennent (à les entendre) la vérité vraie et ils sont appuyés par des cohortes de soi disant « experts » (certainement bien rémunérés pour abonder dans le sens du politique), vous savez ces « experts » qui n’anticipent rien, qui ne voient rien venir comme les « experts économiques » qui n’ont jamais vu arriver ce qu’il est convenu d’appeler en haut lieu « la crise » en 2008 …
    Alors le GIEC avec ses conclusions fantaisistes et tout ce que ses conclusions impliquent dans notre vie de tous les jours n’a qu’à aller se coucher !!!
    C’est de la politique politicarde de bas étage.
    Au demeurant je suis conscient qu’il ne faille pas nier notre implication mais quand on vous explique que c’est au Vatican de faire TOUS les efforts et non à la Chine je me marre de ces guignols politiques et encore plus de leurs pseudos experts ….
    Que fait on de la précession de l’axe de la terre, de la variation climatique au cours des millénaires, de l’influence des grosses planètes … etc … etc … etc … ce n’est pas vendeur et ça oblige à réfléchir ….
    Alors mieux vaut avoir des CERTITUDES.

    • Marc : « est TOUJOURS animé par une chose: LE DOUTE »

      Très vrai.
      Mais surtout la grosse différence de la science, c’est la PREUVE !

      Et il n’y en a pas de PREUVE dans le cas du réchauffement, bien au contraire, les mesures des 17 dernières années invalident mêmes les théories.

      • « les mesures des 17 dernières années invalident mêmes les théories. »

        En quoi les invalident -elles ?

        • Invalident juste sur le plan fréquentiste, à 5% ou même 1%…
          Sous un angle bayésien, ça remet juste la probabilité d’un réchauffement anthropique global causé par le CO2 à un niveau très inférieur de ce qu’elle était en 1995… donc vraiment pas bien haut, sauf pour des croyants illuminés.

          • Enfin, on ne peut pas dire que ça invalide le réchauffement (qui est un poil compliqué à définir sérieusement). Ni que ça élimine totalement une responsabilité humaine partielle dans ce truc susmentioné… Juste que les modèles et la théorie sous-jacente que le GIEC à mis en avant est totalement invalidée. Donc qu’il faut se remettre au travail (et forcer tous les climatologues à suivre un petit cours de statistiques mathématiques pourrait aider un poil… )

            • Mais totalement invalidé par quoi ?

              • Par la sortie des températures réels de l’enveloppe des prédictions à 95% utilisée par le GIEC.
                Par une période de 15 ans consécutifs (largement plus, maintenant) sans réchauffement (la durée de 15 ans ayant été avancée par un des principaux contributeurs au GIEC lui-même).

                • Vous confondez théorie et modèles encore une fois.

                  Où la théorie dit-elle que le réchauffement doit être continuellement en hausse ?

                  D’autre part, par quoi les températures ont -elles été guidées ces 15 dernières années ? Autrement dit, sans l’effet des GES, qu’en aurait-il été toutes choses étant égales ?

                  • C’est vous qui confondez.
                    La théorie ne dit rien de suffisamment précis, c’est bien ce que je lui reproche.
                    Les théoriciens par contre, si : ils disaient en 2008 qu’il était impossible de voir 15 ans de suite sans hausse (pour la référence voyez mon post plus haut (P le 7 novembre 2014 à 10 h 21 min). on en est entre 17 ou 26 ans selon les jeux de données …

                    « Autrement dit, sans l’effet des GES, qu’en aurait-il été toutes choses étant égales ? » Bonne question, à laquelle une théorie solide aurait été capable de répondre. Ce que celle du GIEC ne fait pas : les effets hors GES anthropiques sont bien trop inconnus. Ajouter les GES la-dessus est juste une fumisterie du même niveau qu’ajouter l’influence de Saturne à ce qui commande l’humeur des gens.

                    • Une modélisation n’invalide pas une théorie, vous comprenez ce fait simple ?

                    • Votre compréhension de ce que font et de ce que l’on obtient avec des modèles est largement à côté de la plaque.

                    • « Une modélisation n’invalide pas une théorie, vous comprenez ce fait simple ? »
                      LOL
                      Une modélisation c’est une forme particulière d’expérience de pensée, et si, les expériences de pensée en général (et donc les modélisation en particulier) peuvent invalider des théories.

                    • « Votre compréhension de ce que font et de ce que l’on obtient avec des modèles est largement à côté de la plaque. »
                      Tiens ? un Dieu omniscient qui sait mieux que moi ce que je comprends en général et en particulier sur la modélisation.

                    • « Bonne question, à laquelle une théorie solide aurait été capable de répondre. Ce que celle du GIEC ne fait pas : les effets hors GES anthropiques sont bien trop inconnus »

                      Il faut lire, critiquer ensuite pour éviter les âneries:

                      « h t tp://sciences.blogs.liberation.fr/files/giec-2014-rapport-synth%C3%A8se-long-1.pdf »

                      figure 1.9

                    • les blogs de libération maintenant. Mort de rire.
                      Je comprends mieux 🙂

                    • P

                      On se calme, et on arrête de dire des bêtises.

                      Vous n’allez pas vous changer en statue de sel, faut vous enlever vos œillères et cliquer, vous tomberez sur le rapport du GIEC, pas sur Libé.

                    • merci, j’avais vu.
                      C’est juste le besoin de passer par les blogs de libé qui me fait rire.
                      J’ai un scoop pour vous : le rapport du GIEC, on le trouve directement sur le site du GIEC. Étonnant, non ?
                      Et sur mon propre ordi je l’ai déjà depuis longtemps …
                      Et j’ai un autre scoop pour vous : le GIEC postule les effet des GES, et ne produit strictement rien qui n’en tiennent pas compte. Il est donc, par construction, par définition, parfaitement incapable de dire ce qui se serait passer si les GES n’avait aucun effet, il ne fait que le poser comme hypothèse.

                    • P

                      c’est de la bêtise à l’état pur, chez P. l’adresse du document importe plus que le document.

                      J’attends toujours vos réfs sur les épicyles et autres actes de colloques

                    • Tu t’enfonce avec tes épicycles, ignare scientifique.
                      Et on attend toujours tes refs de prédictions permettant de rendre la théorie réfutable, donc scientifique.

                    • Vous avez pensé à faire part aussi de vos découvertes philosophiques ici:

                      h t tp://www.springer.com/philosophy/epistemology+and+philosophy+of+science/journal/13194

                      ?

                      Parce que dans le domaine non plus, à l’instar de la climatologie, je ne vois pas non plus beaucoup de gens se remuer pour dénoncer une telle violation des critères popperiens. Vous avez le champ libre.

                      Ah, sinon, vous a-t-on dit qu’il y a une vie après et en dehors de cet auteur ?

                      Vous n’êtes pas sans ignorer que ce dernier a eut des mots très durs, les mêmes que vous d’ailleurs sur la théorie de l’évolution, parce qu’il appliquait dans un premier temps ses principes obtusément, pour se rétracter par la suite. Que les critères d’application ne peuvent s’appliquer stricto sensu à tout un tas de disciplines comme la biologie évolutive, n’ont pas qu’elles ne sont pas scientifiques (oseriez-vous l’avouer ?) car, pour faire simple, le cadre de cet auteur ne tient pas compte de la dynamique épistémologique des sciences du vivant. Le cadre de la climatologie ayant en commun avec la biologie évolutive une large part de prédiction et d’empirisme, il y a fort à parier, disent les observateurs, que la première discipline réagisse au cadre épistémologique de Popper comme le fait la biologie évolutive.

                      Vous rétracter vous demandera pas mal de contorsions tellement vous êtes aveugle.

                    • Ben non, justement.
                      La climatologie n’a pas une grande part d’empirisme. Si c’était le cas elle dirait « on n’en sait rien » et attendrait d’avoir assez de donnée.

                      Quant aux prédictions, elle en fait tout le temps, depuis longtemps. Hélas pour elle, elle est désormais une « science » suffisamment ancienne pour qu’on puisse comparer prédictions et réalisations. Et elle a TOUJOURS faux. Elle est en ce sens une science bien moins convaincante même que la macro-économie. Franchement pas de quoi pavoiser.

          • Donc en fait vous êtes en possession de données éminent publiables.

            Faites-vous plaisir.

            • Donc en fait vous n’avez même pas vu que tous cela est parfaitement notoire pour quiconque suit un peu le débat, et que la grosse affaire climatologique c’est maintenant le « hiatus »
              Donc en fait vous parlez d’un domaine dont vous ne connaissez rien.
              Vous avez raison, continuez à vous faire plaisir. Et vous avez aussi un avis sur la reproduction des truites arc-en-ciel ?

              • « la grosse affaire climatologique c’est maintenant le « hiatus » »

                Non, cette « grosse affaire » comme vous la nommez a été construite de toute pièce par les pseudo-sceptiques qui l’appellent « pause » en manipulant les données.

                C’est facile de bâtir une pause en partant d’une année exceptionnellement chaude comme 1998, on appelle ça du cherry-picking en anglais.

                Ce subterfuge a été maintes fois démonté, par exemple ici : http://blog.hotwhopper.com/2013/10/about-that-hiatus-ipcc-climate-models.html

                Mais je pourrais vous montrer quantités d’autres sites taillant en pièce ce mythe, comme vous pourriez me montrer quantités de sites qui continuent de le répandre.

                Il suffit de quelques secondes pour dire une ânerie (ou l’écrire et la répandre par internet) mais il faut de longues minutes pour dire en quoi il s’agit d’une ânerie ; c’est ça la force des climato-pseudo-sceptiques.

                • Et maintenant « hotwooper » … Ça c’est de la science 🙂

                  Il suffit de quelques secondes pour dire une ânerie (ou l’écrire et la répandre par internet) mais il faut de longues minutes pour dire en quoi il s’agit d’une ânerie ; c’est ça la force des climato-catastrophistes.
                  Comme prétendre que « C’est facile de bâtir une pause en partant d’une année exceptionnellement chaude comme 1998, on appelle ça du cherry-picking en anglais. »
                  Seulement, voyez vous, c’est pas comme ça que ça été calculé (et pas choisi par cherry picking). Non, c’est en sens inverse : on prend la date d’aujourd’hui, et on CALCULE combien de temps sans réchauffement on constate. Et on tombe sur 17 ou 26 ans selon le jeu de données. Et non, ça ne tombe pas sur 1998.

                  • « Il suffit de quelques secondes pour dire une ânerie (ou l’écrire et la répandre par internet) mais il faut de longues minutes pour dire en quoi il s’agit d’une ânerie ; c’est ça la force des climato-catastrophistes. »

                    Comme le cherry picking, vous avez toujours une bonne dizaine d’années de retard à reprendre à votre sauce les concepts utilisés pour débugger vos discours de science de cuisine.

              • P,

                je vous le répète, vous voulez faire éclater la « pseudo-science climatique » au grand jour ?

                Pondez un bon gros papier, publiez et le et on l’inspectera avec autant d’attention que vous le faites pour les rapport du GIEC.

              • Bé non en fait personne sauf Contrepoints ne l’avons vu, c’est trop horrible, on nous ment.

                Qu’attendez-vous, un P, Franz et al. ?

          • « Sous un angle bayésien, ça remet juste la probabilité d’un réchauffement anthropique global causé par le CO2 à un niveau très inférieur de ce qu’elle était en 1995 »

            On peut avoir le détail ?

            • Bayes n’a pas de secret pour vous (comme les épicycles, apparemment, et le cherry picking). Appliquez donc, c’est d’un niveau L1 à tout casser, terminale il n’y a guère…

              • Non parce que j’ai calculé sur mon coin de table qu’il y a une probabilité de 95% que vous nous sortez cela de votre chapeau.

                Bayesiennement parlant j’entends.

                • Honnêtement, j’en ai pas grand chose à cirer de ce que vous pensez du « grand réchauffement climatique anthropique catastrophique qui vient », mais rendez-vous service, évitez d’utiliser des mots que vous ne comprenez pas et quand vous en rencontrez (ça doit vous arriver souvent) renseignez vous (wikipedia est généralement pas mal pour les choses « stables »).

                  J’espère que vous vous rendez au moins un peu compte que vous vous ridiculisez sur cette page ? Et que vous desservez votre « cause » plus qu’autre chose ?

                  • J’attends toujours vos calculs bayésiens détaillés, vos réfs sur les épicycles soit dit en passant.

                    • Pour les épicycles, passe ton bac. tu comprendra mieux après, et après quelques études tu pourra même, qui sais, jouer au referee, exiger qu’on te passe des références, te plaindre que tu les attends toujours. Tu auras La Classe.

                  • Ceux qui desservent leur « cause » sont Jacques Henry et ses soutiens. La rédaction de Contrepoints devrait être plus vigilante.

        • Billy, ne vous fatiguez pas avec Franz, il ne comprend pas, donc il croit que personne ne comprend, donc si personne ne comprend ça ne peut pas être vrai, ça doit être ça l’angle bayésien dont il parle.

          • Mouarf. Vous êtes assez pitoyables. Même les mecs du climate research unit d’East Anglia (pourtant assez bouchés) sont moins bornés que vous et reconnaissent qu’ils n’y captent pas grand chose et bricolent à tout va pour tenter de « trouver ce qu’on veut » (pas publiquement bien sûr, mais bon… ici on est anonymes, donc… )

            Prenez votre courage à deux mains, découvrez un truc aujourd’hui et allez regarder ce que les statistiques/méthodes/l’inférence/etc. bayesien(ne) sont.

            • Mais dites donc, tous le monde scientifique est un immense ramassis de crétins selon vous !

              Vous avez publié quoi qu’on y jette un oeil ?

              • Non, juste les clowns du GIEC et une grosse part des climatologues. Remarquez grosso modo 80% des publi usitant de statistiques sont pour le moins… criticables.
                Sinon, je suis là anonyme et je le resterai.

            • « reconnaissent qu’ils n’y captent pas grand chose  »

              C’est bien ce que je disais, magnifique demonstration de « je comprends pas, donc personne comprend, donc c’est de la foutaise »

              Un conseil, lisez le rapport du GIEC, vous verrez que l’on commence à comprendre pas mal de choses, même si beaucoup de choses restent encore à découvrir.

              Mais bien sûr pour vous, du moment qu’il reste encore des choses qu’on ne comprend pas totalement, ça invalide toute la théorie.

              Et laissez Bayes en paix svp, ou bien allez discuter de probabilités avec des spécialistes du sujet au lieu de polluer Contrepoints de vos élucubrations.

              • Je vous laisse continuer vos élucubrations, donc. Et moi je vais effectivement continuer mes élucubrations sur Bayes dans des cercles un poil mieux formés.

                • Vous n’oublierez pas de publier votre contribution (bayésienne) au débat.

                  • J’en ai déjà publié quelques unes… cherchez et (peut-être) vous trouverez…
                    Si je vous dis que j’ai connu P-L Lions c’est bien la plus grosse entorse à l’anonymat que je ferai.

  • Attention: la terre n’est pas un système isolé.
    Elle reçoit de l’énergie solaire dans l’UV et le visible et la ré-emlet dans l’infrarouge. Si à cette sortie on met un frein (par les gaz dits à effet de serre que sont la vapeur d’eau, le CO2, le méthane, les oxydes d’azotes, etc) il faudra « pousser » un peu plus: la température doit augmenter. Ça s’appelle le *forcing ».
    Une molécule absorbant les rayons électromagnétique ajoute au forcing c’est additif.
    Pour le CO2 un doublement de sa concentration force 3.71 W par m2 (la terre reçoit du soleil en moyenne 341.5 W par m2). Rien ne sert de contester cela, à moins d’avoir une réfutation solide des spectres d’absorption IR et de la loi de Lambert-Beer.

    Tout ça est bien compliqué et demande de s’y pencher avec attention.
    À cet effet je viens d’ouvrir un site internet (en majorité en anglais) ou j’y donne des informations, des calculs plus ou moins simples et des réflexions originales, plutôt hérétiques. Pour faire court: oui ça chauffe un peu, mais ce n’est pas grave.

    On y accède à http://climate.mr-int.ch

    Bonne visite ! donnez vous de la peine pour y surfer, ça la vaut.

    • « Pour le CO2 un doublement de sa concentration force 3.71 W par m2  »

      C’est le modèle radiatif du GIEC. Qu’une petite partie du rayonnement IR réémis par la terre soit absorbé en altitude est une évidence physique (spectre d’absobtion). Mais il est en concurrence avec la vapeur d’eau et limité par la profondeur optique, le chiffre est en outre il me semble déduit de vagues estimations issues de modélisations intrinsèquement fausses et le fait que l’énergie soit rayonnée vers la terre (et absorbée) et non dissipée dans l’atmosphère en altitude n’est pas si évident pour moi.

      Je ne parierais pas sur ce chiffre de 3,7 W/m2. Et ce n’est que le premier étage de la fusée. Le deuxième qui est l’amplification par la vapeur d’eau est encore plus douteux. Enfin, le refroidissement de la surface par évaporation accrue n’apparaît pas dans la vulgarisation (il doit pourtant y avoir une partie de l’énergie qui se dissipe en altitude ?). Et la grosse cerise sur le gâteau est la modification de l’albédo que générerait la production accrue de nuages qui reste un dilemme de l’aveu même des climatologues.

      Cependant, je crois que l’on discute dans le vide : les modèles qu’on nous présente sont des simplifications abusives uniquement élaborées pour convaincre et qui ne correspondent pas à ce que les chercheurs entrent dans leurs ordinateurs. Mais présenter ça pour convaincre est de la pure arnaque. (Les 95% de certitudes sont aussi parlants qu’une élection démocratique à 95% de majorité …)

      Un décideur politique devrait avoir ses propres conseillers scientifiques (je ne parles pas du clown de N. Hulot) capables de remonter et évaluer l’information à la source (et non pas le discours pipé du GIEC). La, il y a vraiment quelque chose qui cloche : imaginez que quelqu’un confie ses comptes en banques, délègue tous ses droits et signatures à un unique représentant qui nommerait lui même les experts, serait financièrement intéressé, ne serait pas lui-même contrôlé et n’aurait ni engagement contractuel ni responsabilité légale. Et si De Gaule nommait l’ONU « le machin », que doit on penser de ses sous-commissions ?

      Bref, le GIEC est une pitrerie, les vrais chercheurs sont dans le flou (qu’ils aient ou non de bonne raisons de croire au RCA), les politiques sont soit dans le mensonge, soit dans le n’importe quoi au niveau de la plus élémentaire prudence, les media sont des fantoches (parfaitement en phase avec leur façon habituelle de confondre information, sensationnalisme et collusions coupables).

      • L’absorption IR , c’est de la physique de base. Le GIEC n’est pas responsable de ça, il d’autres sottises bien plus graves.
        Voir l’article scientifique en cause:
        Myhre et al.
        New estimates of radiative forcing due to well mixed greenhouse gases.
        Geophysical Research Letters, Vol. 25, No.14, pages 2715-2718, July 15, 1998
        http://folk.uio.no/gunnarmy/paper/myhre_grl98.pdf
        Personne n’a encore réfuté ceci, et aucun Galilée ne se pointe à l’horizon, ce serait très difficile.

        Les commentaires désolants sur la non-science de certains me rappelle ce mauvais élève qui, ne comprenant rien de rien à ce que le prof lui expliquait, le traitait de con et de méchant. Je n’en comprenais peut-être pas plus, mais je m’abstenais de faire de telles remarques.

      • Au sujet des médias … (en fait des courroies de transmission du pouvoir politique) pourquoi le Monde et ses compères sont ils TOUS rachetés par des financiers si ce n’est pour contrôler et distiller la « bonne parole » à 95% d’incultes.

  • Bon, à peine 50 commentaires depuis ce matin pour un article qui fera date dans l’histoire des sciences, c’est quand même très peu. Les lecteurs de ce site semblent assez indifférents face à une avancée scientifique de grande ampleur et c’est bien dommage.

    • Et oui, le public est beaucoup plus compétent en physique nucléaire qu’en thermodynamique !

      • J’ai sous le coude deux billets qui mettent définitivement un terme à l’imposture de la théorie de l’effet de serre, quand ils paraîtront sur Contrepoints ou sur mon blog tout le monde se posera alors de réelles questions sur la validité de cette théorie qui va ruiner toutes les économies occidentales. Indépendamment du fait que cette théorie n’a aucune valeur scientifique elle a été montée de toute pièce par des groupes d’influence politiques et économiques utilisant des ONGs serviles pour faire passer leur message alarmiste. Cette légende de réchauffement climatique non encore prouvé n’a rien de scientifique. Il s’agit d’une manoeuvre parfaitement illustrée par les déboires récents de Hyundai et Kia lourdement sanctionnés pour ne pas respecter les « quotas » de carbone avec leurs véhicules commercialisés aux USA (voir mon blog demain). On nage dans le plus vaporeux surréalisme où une peur injustifiée s’est infiltré dans les esprits. Consternant !

        • « Consternant ! »

          Effectivement, vous ne croyez pas si bien dire.

          Vous parliez de vous n’est-ce pas? En tout cas c’est ce que j’ai compris, mais je peux me tromper, vous savez parfois il y a des gens qui n’ont pas conscience de leur état, mais bien sûr ça ne peut pas s’appliquer à vous 🙂

          Et au fait, est-ce que vous-même vous avez déjà violé la seconde loi de la thermodynamique? Et si oui vous avez écopé de combien?

        • Quel comique ce Jacquo.

          Sinon cette nuit j’ai mis une couverture pour me réchauffer, ça a marché ! Je crois que j’ai violé le second principe !

          Que faire docteur ?

        • « elle a été montée de toute pièce par des groupes d’influence politiques et économiques utilisant des ONGs serviles pour faire passer leur message alarmiste » Oui, il est indéniable que le GIEC est le bras armé des lobbys écolo-gauchiste contre lesquels la frêle industrie pétrolière ne peut absolument rien. Il faut agir dès maintenant contre ces « groupes d’influence politique » qui ont clairement pour objectif de détruire la société dans laquelle nous vivons, aux armes non de dieu! On nage effectivement dans le plus vaporeux surréalisme… Mais enfin, l’effet de teasing est réussi, je suis pressé de pouvoir lire ces billets qui mettent un terme au plus grand hoax de l’histoire de l’humanité et qui j’espère démasquent l’action de ces dangereux terroristes.

        • Tremblez climatologie, Jacques Henry va sortir son papier

  • Jacques Henry,

    vous savez que vos calculs vous sont l’objet de graves lacunes ?

  • Avez-vous remarqué qu’à chaque fois que l’imposture du réchauffement anthropique est dénoncée scientifiquement dans ces colonnes, quelques individus, qui changent de pseudo à chaque fois, attaquent en maniant l’invective, le sarcasme, sans jamais argumenter scientifiquement, mais sans jamais se lasser. Ils ne sont là que pour donner l’impression qu’il y a encore un débat. Ce sont les petits soldats de la désinformation qui sévissent un peu partout.

    C’est une catastrophe mondiale, cette fumisterie. Que le prix de l’énergie double pour subventionner les moulins, ce n’est pas un facteur négligeable de la baisse de la croissance et du cortège de nuisances qui en découle. D’ailleurs l’objectif annoncé est celui de la décroissance. Pour faire bonne mesure, les mêmes essaient d’obtenir le démantèlement du nucléaire et ils y parviennent (au moins au niveau des décisions pour l’instant), nucléaire qui n’émet pourtant pas de CO2. Leur objectif est la décroissance et non la réduction des émissions. Derrière la décroissance, il y a la diminution de la population, qui est peut-être l’objectif ultime de ces fanatiques. Bref ce sont de dangereux artisans de misère et de mort.

    D’ailleurs ce sont les mêmes ou la même idéologie qui s’efforce de bloquer toutes les innovations, car elles sont le principal facteur de croissance.

    J’ai vu quelque part le terme écolo-fasciste. Plus on met bout à bout ces faits et plus ce terme parait justifié.

    • Quelle éloquence…

      Pour ma part j’ai découvert récemment ce site et je ne compte pas changer de pseudo, d’ailleurs je n’en voie vraiment pas l’intéret. Concernant l’argumentation scientifique, dans la mesure ou vous vous accrochez au 1 ou 2% d’études scientifiques qui vont dans le sens de vos intérets, ce qui implique que les 98% restantes sont à vos yeux fallacieuses, je trouve inutile de perdre mon temps à argumenter vos capacités de jugement étant manifestement largement supérieures aux miennes.

      Mais admettons que vous soyez dans le vrai, j’aimerai sincèrement connaitre vos réflexions sur l’origine, les moyens et les buts des ces « dangereux artisans de misère et de mort ». Qui est derrière tout ça? Qui peut orchestrer cette fumisterie?

    • « l’imposture du réchauffement anthropique » et « sans jamais argumenter scientifiquement, »

      Et pour couronner le tout « Ce sont les petits soldats de la désinformation qui sévissent un peu partout »

      En voilà un qui sait se décrire en quelques mots.

    • CQFD…. Vous n’en demandiez pas tant, je présume.

    • Brutus,

      désolé pour vous si vous prenez le genre de papier ci-dessus pour preuve.

  • John Coleman, un météorologiste ? C’est un présentateur météo le gars, il a fait des études en… journalisme. Vérifier ses sources, c’est pas mal aussi. C’est pas parce que le gars possède une chaîne spécialisée dans la météo que ça en fait une autorité reconnue sur le sujet.

    • Ah ouais, avoir consacré sa vie à la météo, c’est sûr, ça ne fait pas de vous un spécialiste du sujet …

      Einstein, un physicien ? c’est un petit fonctionnaire du bureau des brevet le gars. Pas la peine d’examiner ce qu’il raconte, que dis-je, ce qu’il élucubre, hein ?

      • « ce qu’il élucubre »

        Arrêtez de vous décrire P.

        Et Coleman est bien un Laurent Cabrol américain, rien de plus.

        Quant à le comparer à Einstein, LOL quoi 🙂

        • Coleman est bien un Laurent Cabrol américain, rien de plus, mais rien de moins, et clairement un Laurent Cabrol est plus fiable qu’un Jean Jouzel, à tout point de vue.

          Je ne compare pas Coleman à Einstein, je relève juste le niveau de l’argument ad hominem qui s’applique aussi bien à Einstein qu’à Coleman, c’est dire ce qu’il vaut.

      • « Coleman, combien de publications scientifiques ? »

          • Il s’agit des publications scientifiques de Coleman, pas de Ben.

            Une autre question?

            • Oui, une autre question : et les vôtres ❓

              Et la question était bien sur les publications de Ben ❗ Oublions scientifique puisque c’est de trop ❗
              On ne va quand même pas exagérer, hein ❓

        • « Coleman, combien de publications scientifiques revues par des paires tenus par les paires de c. ? »

          « Coleman, combien de publications scientifiques rétractées ? »

          « Coleman, combien de publications scientifiques frauduleuses non rétractée ? »

          « Coleman, combien de publications scientifiques cosignées avec des fraudeurs notoires ? »

          « Coleman, combien de publications scientifiques faites en collaboration avec des psychiatres staliniens malades mentaux ? »

          Etc.

      • Ah mais P a toutes les compétences pour recaler le travail de milliers de climatologues.

        Sa petite production personnelle ne dépasse pas les blogs.

        • Le commentaire précédent contient une coquille. il faut bien sûr remplacer « P » par « Jack », mais tout le monde aura rectifié de lui-même 🙂

  • Je n’ai pas compris l’histoire de la capacité thermique.

    • Ne vous inquiétez pas, Jacques Henry non plus.

      • corolaire : ne vous inquiétez pas, Noma va vous expliquer ça lui même plus clairement.
        Ou pas.
        🙂

        • Je n’ai rien à expliquer puisque je ne suis pas un spécialiste, tout comme JE et vous monsieur P (comme prétentieux?)

          Un gars qui vient sur Contrepoints expliquer que les scientifiques de la planète sont des cons parce qu’ils n’auraient rien compris alors que lui aurait la science infuse, je dis simplement que ce n’est même pas la peine de le lire ni de chercher à comprendre.

          Et vous P vous n’êtes même pas capable de dire en quoi JE aurait raison, sauf à ânonner vos sempiternelles litanies pseudo-sceptiques.

          Et comme je vois que vous tenez Hotwhopper (et non hotwooper, apprenez l’anglais ça pourra vous servir) en peu d’estime, comme j’imagine SkepticalScience ou Realclimate entre autres, je voudrais savoir si pour vous Contrepoints est un site reconnu dans le monde entier pour la qualité de ses informations, comme le sont les sites que je viens de mentionner.

  • « Au risque encore de recevoir encore des volées de bois vert, je me demande tout de même pourquoi personne n’ose s’attaquer de front aux tenants de la théorie de l’effet de serre et du rôle indûment attribué au CO2 dans cette théorie à l’aide d’arguments scientifiques prouvés. »

    Peut être parce que le CO2 n’est pas le seul pb avec les énergies fossiles, non ?

    Particules fines, extraction du charbon dangereuse, émission de métaux lourds par combustion. dépendances énergétique (et pas que électrique, hein !), déficit commercial, risque SEVEASO, rivières nitritées, phosphatés…Etc et j’en oublie sans doutes.
    Acceptez vous au moins la possibilité que la planète n’est pas infinie en combustibles fossiles et en minerais métalliques ou non, ce qui conduira a un peak all, comme l’écrivait mathieu auzanneau (pétrole.blog.lomnde.fr) dans un de ses articles ?

    Il y a plein d’autres raisons. Et je n’ai même pas abordé les puissances militaro-industrielles ou les empires économiques des multinationales du combustible fossile

    • Et bien si la question est celle du « peak all », pourquoi faire chier le peuple avec le global warming ?
      Quand on a un bon argument, pourquoi en avancer un foireux ?

      « Et je n’ai même pas abordé les puissances militaro-industrielles ou les empires économiques des multinationales du combustible fossile »
      Vous devriez pourtant. C’est une vrai question, mais vouloir la résoudre en accroissant le pouvoir à faire chier le peuple des Etats, c’est à dire …  » les puissances militaro-industrielles » et « les empires du combustible fossile  » (puisque ce sont les LES MEMES ! ), c’est de la politique de Gribouille.

      • Mouais, enfin vous occultez un peu vite les autres problèmes cités juste avant…C’est a dire la pollution d’une manière générale…J’ai cité des exemples, mais volus ne voulez pas les regarder alors que tous les organismes internationaux, et même les états les connaissent. De lac hine aux USA, tous savent très bien que la pollution aux particules fines est néfastes aux population car la population est soumise a de longues exposition, presque permanentes.
        Sinon, je ne vois pas pourquoi la chine aurait fait ralentir ses usines et ses centrales a charbon, ainsi que réduire la circulation auto alors qu’elle va accueillir les « principaux chefs d’États » pour un forum économique mondial a Beijing ces prochains jours…

        Niez jusqu’au bout si vous voulez, mais la réalité est que le charbon, ça pue, ça pollue, et ça tue…Il y a donc de bonnes raisons autres que le CO2,le pourvoir et l’argent pour lutter contre lui et les combustibles fossiles.

        • « lutter » … c’est un mot bien trop usuel dans des contxte où il n’a rien à faire. Le monde occidental est devenu une vaste caserne depuis 1914 (au moins) et passe son temps à « lutter » ; contre le chômage, la pollution, la drogue ou le terrorisme. Et il en sort quoi ? des Méric et des Fraisse. Vous ne pouvez pas juste négocier, convaincre, proposer des alternative, et bosser vous même ? au lieu de « lutter », imposer (dans les deux sens du terme) et chercher à réduire en esclavage les autres ?
          La fin ne justifie pas les moyens.

          « ça pue, ça pollue, et ça tue… »
          D’une part c’est un peu court : après tout, à quoi et à qui cette critique ne s’applique -t-elle pas ? Comme chaque être vivant et chaque humain, vous même vous puer, polluez et tuez, est-ce une raison pour lutter contre vous ?
          D’autre part, le charbon c’est juste une matière, qui ne pue pas, ne pollue pas et ne tue pas. C’est l’activité humaine autour du charbon qui peut être puante, polluante et mortelle.
          Certains humains en tire des avantages qu’ils considèrent comme supérieurs à ces inconvénients.
          Pour d’autres, dont vous, ces inconvénient sont de pures abstraction théorique : ils ne les vivent pas et ne les connaissent pas.
          Que chacun se mêle de ses oignons, déjà, et les choses iront mieux. Comme vous le remarquez vous-même, les chinois s’occupent de la pollution due au charbon, et ils sont bien plus à même que vous de faire la balance des avantages qu’ils tirent et des inconvénients qu’ils subissent.

          • SI, je maintiens, le charbon, ça pue, ça pollue, et ça tue. Bien plus que toute autre forme de matière brulée pour en faire de l’énergie. Ce n’est donc nullement une matière comme les autres comme vous le sous-entendez implicitement dans vos propos. Il ne s’agit pas de sens figuré quand je dis que la charbon tue en masse. Les particules que l’allemagne nous envoie tous les jours ne sont pas de chimères et des satellites mesures très bien leur nombre et d’où elles viennent. De même que les nuages bruns qui se promène entre l’Asie et l’Amérique.
            Quand je dis que ça tue, je parle de tuer de manière directe pas de manière indirecte comme vous le suggérez en me traitant, moi et n’importe quel humain, de « tueur naturel ».
            Il n’est point besoin de subir une pollution pour savoir qu’elle est dangereuse. Il n’y a que quand personne ne sait que c’est dangereux, que ça l’est encore plus. A moins de cacher volontairement car une profit est tiré de l’ignorance du danger de cette ressource. De la même manière, il n’est point besoin d’être mineur pour savoir que de se retrouver enfermé dans une mine souterraine de charbon tue. Donc votre belle expression « d’abstraction théorique » ne tient pas non plus la route.
            Quand a la puanteur, il faudrait bien que vous alliez faire un tour dans les anciennes régions minières de France pour vous rendre compte des inepties négationnistes que vous écrivez. Les Lorrains et les Alsaciens savaient parfaitement que tout chez eux sentaient la suie et le charbon. jusqu’à avoir des pellicules de graisses sur tous les bâtiments de la ville…

            Ne faites pas non plus exprès de confondre les dirigeants communistes et les entrepreneurs capitalistes chinois (taïwanais ?) avec le peuple chinois en entier. Les inconvénients, c’est pour le peuple, les avantages pour les dirigeants et les capitalistes chinois. D’autres parts, Il n’y a pas que la chine qui utilise le charbon, son voisin l’inde en fait tout autant. Le charbon est essentiellement utilisé pour faire de l’électricité, et l’électricité dans ces pays est essentiellement produite au charbon. Or, la mesure des traders qui est la plus significative pour relever la croissance ou la récession chinoise est justement la consommation électrique qui explose depuis bientôt 30 ans. Il n’est pas terminé le temps ou la chine ouvrait une tranche a charbon par semaine. Le rythme de croissance de construction de ces tranches a probablement baissé un peu, mais leur nombre continue de croitre a un rythme élevé en comparaison d’autres zones économiques du monde. Occidental par exemple.

            Si chacun se mêle seulement de ses oignons, nous ne vivons plus dans une démocratie ou chacun accepte les règles communes minimales qui ne tournent pas toutes autour de la loi du plus fort comme dans les régimes féodaux. En regard de l’ghistoire de ces régimes dans le passé, je doute que cela ira mieux en gérant les populations et les ressources de cette manière féodale que vous appelez de vos vœux. Donc la encore, vous êtes plus en posture que dans la réalité.

            Les capitalistes chinois ne fermeront pas leurs usines, et ce ne sont pas non plus les dirigeants communistes corrompus par les premiers que le feront . Pas plus qu’il ne réduirons leur consommation de combustibles fossiles. Je décrivais là des mesures exceptionnelles dues au fait que la chine va accueillir pendant 15j un sommet de chefs d’états OCDE qui, d’après le régime chinois et ses consignes a ce sujet, ne doivent pas voir les dégâts monstrueux de la pollution chinoise par les combustibles fossiles, et en particulier par le charbon.

            Un négationniste de tous poils par excellence (perdue !), c’est comme ça que je vous qualifierai si je vous connaissais. Car nier que l’utilisation du charbon est dangereuse est tout aussi stupide et contre-productif que ce que fait l’auteur de ce torchon en niant complètement l’existence d’un quelconque effet de serre …
            Clairement, en lisant votre commentaire, j’ai la nausée qui le vient tellement je trouve dommage que vous perdiez votre compétence rhétorique a la défense du charbon…

            • « inepties négationnistes » … « Un négationniste de tous poils par excellence (perdue !), c’est comme ça que je vous qualifierai si je vous connaissais.  »
              ça pose un peu le niveau de votre discours, assez représentatif du prêt-à-penser sauveur de planète : mythomane (où ai-je dis que le charbon n’était pas dangereux ? nulle part ; vous l’avez inventé tout seul, sans doute parce que sans cette invention votre discours banal tombait à plat), pontifiant, prétentieux, sur de lui et dominateur, intrusif, traitant tout opposant comme un untermensch débile et négligeable, et antidémocratique.
              Revenez sur terre. Le charbon a suffisamment de défauts réels, le mettre sous contrôle au prétexte d’un défaut imaginaire (l’effet de serre catastrophique) c’est juste de la débilité, contreproductive, du même niveau que celle qui a conduit à l’augmentation de la consommation de charbon en Allemagne par peur de l’effet d’un Tsunami sur une centrale nucléaire …

              Se mêler de ses oignons est le prérequis pour vivre en démocratie. C’est même quasiment la définition : c’est parce que le roi d’Angleterre (ou AtomicBoy44) n’a démocratiquement aucune légitimité à donner son avis sur ce qui se passe en Amérique (ou en Chine) que la Révolution américaine éclate.

      • curieux non, que depuis que l’on évoque cette théorie, on aie jamais réussi à en apporter une preuve , par exemple, expérimentalement.

        Je dois dire que j’ai été pour le moins surpris de voir un scientifique tout à fait « kasher », qui tente de nous prouver cette théorie au moyen d’expériences genre géotrouvetout dans son jardin.

        Et par exemple sur l’effet de serre dans une serre, je partage ses conclusions
        de là à la valider dans un milieu gazeux,turbulent,il y a un pas plus délicat à franchir

        Sur un site « dénialiste », un intervenant avit trouvé un nom tout à fait indiqué pour identifier cette polémique:
        le bidulator

        Mais je suis sur que nos amis de la poele à frire vont me citer une expérience menée par les vrais climatologues, qui validerait leur théorie

        Concernant les 0 .85 ° de réchauffement cités partout, faudra refaire les calculs, car en Nouvelle Zélande, il est maintenant patent que la tendance officielle doit être revue à la baisse, de 0.7°, la révision a fait l’objet d’une procédure de pêerrewied, tenace(l’étude a été déposée début 2013),
        On assiste aux mêmes « découvertes » en Australie, où curieusement des stations qui montrent une tendance au refroidissement se mettent à « chauffer », avec des modifications allant ,jusqu’à 2°,sans aucune raison valable, sinon que le BOM applique les mêmes méthodes utilisées partou dans le monde

        Moi je trouve que cela fait désordre, pour une sciences qui compte des milliers de « vrais » scientifiques .

        Notez que l’on peut faire le même constat pour la hausse du niveau des océans, la t° des océans, l’étendue des glaciers, des banquises, etc.
        Pas à dire, la sciences climatique ,c’est du béton

        • La Nouvelle-Zélande ? Ca serait pas du beau cherry picking tant dénoncé ici ?

          • oui la confrontation aux réalités est parfois pénible.
            un commentateur d’un article sur le sujet faisait remarquer que la nouvelle courbe de tendance établie en NZ, était pratiquement identique à celle établie avec le central england thermometer,
            une coïncidence de plus.
            par contre ma petite plage où ma mère me disait avoir joué enfant, est toujours exactement au même endroit
            mince encore une coïncidence

            tiens vous savez comment nait un glacier
            ben comme ceci

            http://bishophill.squarespace.com/blog/2014/11/4/snow-longer-a-thing-of-the-past.html

            curieux hein?

            • Oui, curieux, enfin non : le bandeau publicitaire conseille lui de voir du côté de Courmayeur. Est-ce (Courmayeur) la seule raison d’être de cet « article » ?

            • « un commentateur d’un article sur le sujet faisait remarquer que la nouvelle courbe de tendance établie en NZ, était pratiquement identique à celle établie avec le central england thermometer,
              une coïncidence de plus. »

              C’est digne du café du commerce vos sources

              • que pourriez vous bien faire d’autre, sinon rire,bêtement,quand vous êtes confrontés avec des évidences?

                et votre réaction montre à quel point votre dogmatisme sur la question vous empêche d’imaginer même que vous gourous pourraient être tentés d’un peu torturer les données qui ne corroborent pas leurs « découvertes »

                En Australie, ce petit problème a fait l’objet d’une demande d’enquête parlementaire, et la presse découvre ,mieux vaut tard que jamais, que la sciences climatique est loin d’être « setteled »
                En NZ,il aura fallu 15 mois de « peerewied » ,et on imagine que cela a du donner bien des nuits blanches aux suspects habituels, pour qu’un papier soit publié qui démontre à quel point , on a trafiqué les données.

                Aux USA, il faudra peut-être un changement de présidence pour que le blocus sur un audit des courbes de t° ,puisse voir le jour, ce qui n’empêche pas que déjà ,les critiques vont bon train, avec toujours leur cortège de distorsions .

                Ce qui m’effraie, et en même temps me sidère, c’est que pratiquement partout dans le monde, des gens réputés intègres se sont livrés à des manipulations , il ne peut s’gir de corruption quelconque, mais bien de quelque chose de plus profond, qui tient du religieux

                • Le coup de la plaque de givre en Ecosse avec madame skiant dessus pour nous nier le réchauffement, ça vaut tout l’or du monde.

        • « Concernant les 0 .85 ° de réchauffement cités partout, faudra refaire les calculs, car en Nouvelle Zélande, il est maintenant patent que la tendance officielle doit être revue à la baisse, de 0.7°, la révision a fait l’objet d’une procédure de pêerrewied, tenace(l’étude a été déposée début 2013),
          On assiste aux mêmes « découvertes » en Australie, où curieusement des stations qui montrent une tendance au refroidissement se mettent à « chauffer », avec des modifications allant ,jusqu’à 2°,sans aucune raison valable, sinon que le BOM applique les mêmes méthodes utilisées partou dans le monde »

          Des références sur le sujet ? Pour reprendre P. : « non, cite nous un vrai papier de vrai scientifique, STP »

          • pour qui vous prenez-vous?
            on connait la technique, elle est un peu usée,qui consiste à demander des références, qui évidemment ne seront pas crédibles, du moins pour un inconditionnel de la poele à frire
            si vous suivez cette problématique, sinon dans vos catéchismes, vous êtes parfaitement au courant de ce qui se passe en NZ et en Australie

            tiens , une autre petite annonce qui à peine sortie, est descendue en flammes

            http://notalotofpeopleknowthat.wordpress.com/2014/11/07/more-misleading-claims-from-the-met-office/#more-11242

            dormez braves gens, la clique de la poele à frire veille

            • « pour qui vous prenez-vous? »

              En général quand on avance quelquechose, on s’appuie sur des travaux antécédents

              « on connait la technique, elle est un peu usée,qui consiste à demander des références, qui évidemment ne seront pas crédibles »

              Bigre, vous vous tirez une balle avant m^me d’avoir commencé

  • Jacques Henry,

    n’allez pas croire un seul instant que le nombre de commentaire reflète un intérêt pour la qualité de votre démonstration.

  • Le pire c’est que le GIEC prétend aussi être expert économique.
    Et de dire que le coût des mesures sera faible ❗ Osé ❗

  • Trés bien: „Gaz carbonique est donc accusé à tort !“

    Voire ici:

    « Pourquoi le CO2 refroidit la surface de la Terre »

    http://gerhard.stehlik-online.de/CO2/2014/141105 Pourquoi le CO2 refroidit la surface de la Terre.pdf

    • La page n’existe pas. Il faut aller à la pagre principale.

    • Très jolie note.
      Les oxydes d’azotes devraient avoir le même rôle, et même l’amplifier.

    • C’est très instructif. Et c’est ce qui me semblait 😉

      Au niveau du sol, ce n’est pas aussi réfrigérant ? neutre ?

      Il faut donc chercher ailleurs, du coté du soleil et de la galaxie.

      • Au niveau du sol, ce est aussi réfrigérant, parce que l’air et le ciel sont toujours plus froid que le sol.

        • C’est ce qui me semble.

          Il faudrait donc voir plutôt du coté du méthane par exemple, qui lui semble réchauffer avec une grande efficacité.

          • Le réchauffement par le méthane est impossible ainsi que le réchauffement par le CO2. Aucun matière chimique peut chauffer ou refroidir de lui-même. Certains chimique est chauffé par le soleil, pas méthane, pas CO2. Certains chimique est refroidie par de l’univers, pas N2, pas O2, mais méthane, mais CO2 sur tout plus.

            • Corrigiez, s’il vous plais:
              Aucun matière chimique ne peut pas chauffer ou refroidir de lui-même.

              • Salut doc,

                je cherche mais ne trouve rien de vous sur le sujet dans PubMed ou ISIWeb ni m^me Google scholar.

                Peut-être que je cherche mal et que Franz pourrait m’aider ?

                • J’attend votre réponse ❗

                  • La vérité n’a besoin ni de censure (peer review), ni PubMet, ISIWeb, Google.

                    L’application des lois simples de la nature sur des données de mesure très bien connues est triviale et rien de la science.

                    The simple (ordre au lieu de chaos) is the seal of the true!

    • Vous réalisez le degré atteint dans votre délire ?

      • On croirait l’homme de la rue du XIVè entendant dire que peut-être la terre ne serait pas plate…

      • Vous savez lire non ?
        Vous allez à la page, et vous lisez.
        L’anglais, vous maîtrisez, maître Kim ❓

        Hihi, le mot Kim est toujours banni :mrgreen:

      • Jack, pas la peine de vous fatiguer, il est temps de passer à autre chose, par exemple comme le dit MichelC on peut aller du côté de la galaxie, comme tout le monde sait c’est la porte à côté.

        • Noma,

          C’est assez fascinant ce qui se passe ici. Le pouvoir réfrigérant du CO2.

          Vous réinventez la roue, James Russell l’explique:

          « Carbon dioxide and nitric oxide are natural thermostats. When the upper atmosphere (or ‘thermosphere’) heats up, these molecules try as hard as they can to shed that heat back into space.”

          Et fait la même chose dans la basse atmosphère en réémettant vers le sol (mais oh mon dieu cela viole le second principe). Bref rien de neuf sous le soleil (!), m^me votre grand gourou Tony l’admet:

          « Yes, of course the upper atmosphere is going to deflect and re-radiate the energy of solar storms, that’s why we don’t burn to a cinder when they happen. There’s nothing new here, this is what the upper atmosphere (thermosphere) does. »

          Ainsi je m’étonne que l’on cite ici une expérience de la NASA pour montrer que le CO2 réémet vers l’espace (quel scoop !) mais que ces mêmes personnes omettent de préciser que ce même CO2 réémet aussi vers la surface de la Terre.

          • Et fait la même chose dans la basse atmosphère en réémettant vers le sol

            M’étonne que l’on aie pas déjà 200 degrés C au sol ❗

          • Jack, vous vous trompez de cible, je suis 100% avec vous, mais c’est vrai qu’avec tous ces zozos qui racontent n’importe quoi il est facile de perdre le fil…

            Maintenant c’est un soi-disant docteur teuton qui vient nous dire que le CO2 refroidirait en fait l’atmosphère et que ce serait cautionné par la NASA et le GIEC, on croit rêver.

            Et MichelC qui gobe ça sans sourciller….

            C’est pour cela que je vous disais de ne pas vous fatiguer, discuter ici ne sert à rien, vous êtes sur Contrepoints, pas sur un site scientifique, mais cela je pense vous l’aviez bien compris 🙂

          • Noma,

            Il gobe ce qu’il veut celui-là.
            Le droit de croire n’importe quoi est un droit :mrgreen:

      • Le CO2 qui refroidit l’atmosphère, on croit rêver.

  • Rien de pire que des ignorants qui croient savoir, deux formules et un produit en croix pour se faire mousser par des babas qui n’ont jamais lu une publication sur le sujet et encore moins publié sur le sujet. Chez les créationnistes on fait pareil. C’est vraiment prendre à la fois les personnes travaillant sur le sujet et les gens pour des c*. Est-on obligé de racler le fond pour faire de l’audimat ?

    • Rien de pire que des ignorants qui croient savoir. Tout à fait exact comme remarque.

      Mais ça s’applique très bien aux « climatologues officiels ». Les vrais climatologues sérieux le disent bien : ils ne savent pas grand chose et notamment pas faire de prédictions fiables au delà de 3/4 mois. Et même là, c’est très très vague. Ils admettent que toutes les tentatives pour transformer les beaux modèles en des hypothèses falsfiables et donc testables ont toutes foiré lamentablement.

      Mais ils ne le disent pas dans leurs publication (évidement, ça ne se publie pas, de nos jours, un papier qui donne uniquement des résultats négatifs et conclut que la théorie ne marche pas) et moins encore dans les média. Pas fous, ils seraient suicidaires de scier la branche sur laquelle ils sont assis.

      Et ils s’auto-congratulent de leurs papiers qui répètent la même chose (mais bon, c’est la tare du système PRJ, et c’est totalement général, ça a tué la science depuis les années 40/50… seules les maths résistent -un peu, gloire et honneur éternel à Grigori Perelman- mais ce n’est pas une science). Bref, vos commentaires, comme ceux de beaucoup des laudateurs du GIEC montrent surtout que vous n’avez jamais publié et si vous l’avez fait, peu et mal, sans aucune réflexion sur le système et ce qu’il favorise.

    • Observation du réel : en ce moment, il y a pas mal de glace en Arctique.

      Comment l’expliquez-vous avec ce CO2 croissant ❓ On devrait traverser en canoë tranquillement, non ❓
      Je vous invite à le faire puisqu’il y a réchauffement. Cela devrait fondre d’un coup demain matin.
      Dans le pire des cas, un brise-glace russe, équipage hilare, mais cela ne se voit pas, ils sont bourrés, vous récupérera.

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