Médias, propagande et aliénation de l’esprit critique

Nos médias sont à la masse et ce phénomène s’amplifie à mesure que, la crise aidant, le modèle qu’ils tentent de nous imposer depuis les années Mitterrand prend l’eau de toute part.

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Médias, propagande et aliénation de l’esprit critique

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 2 août 2014
- A +

Par Marc Suivre
Un article de l’Institut Turgot

Le mercredi 10 septembre prochain, Sophie de Menthon et le mouvement Ethic organisent un colloque sur le thème : « Les médias sont-ils devenus fous ? » À cette occasion, l’Institut Turgot a demandé à Marc Suivre si ce sujet, particulièrement adapté à son humour caustique et à son franc parler, lui inspirait quelque réflexion. Voici sa réponse.

imgscan contrepoints726 presse médias« Les médias sont-ils devenus fous ? » En creusant le sujet, et notre cervelle par la même occasion, on commence par se demander, avec insistance : pourquoi « devenus » ? Les journalistes, à bien y regarder, ne comptent pas au nombre des personnes les plus saines d’esprit de ce pays. Leurs réflexes sont pavloviens. Ils sont toujours prompts à dénoncer chez les autres ce qui est la règle chez eux : recrutement opaque, copinage, promotion canapé, promiscuité incestueuse avec les politiques, passion pour la stigmatisation… J’en passe et des meilleures.

Alors oui, nos médias sont à la masse et ce phénomène s’amplifie à mesure que, la crise aidant, le modèle qu’elles tentent de nous imposer depuis les années Mitterrand prend l’eau de toute part.

De l’ombre à la lumière

Pour mieux comprendre la folie des journalistes, il faut comprendre deux choses. La première c’est qu’ils sont beaucoup plus à gauche que la population qu’ils sont supposés informer. La seconde qui découle – oh surprise ! –  de la première, c’est l’obsession du politiquement correct qui sert de boussole à tout ce petit monde endogame.

Tout commence en 1981 avec l’arrivée de « Tonton ». Avant, nous vivions dans l’ombre de la dictature Giscardo-Gaullienne (c’est bien connu) et l’odieuse censure empêchait nos braves Rouletabille de laisser libre cours à leurs penchants progressistes. Tous ceux qui ont vécu cette période savent ce que ce « storytelling » a d’inepte. Une légende (traduction française de l’insert anglo-saxon précédent) a beau être idiote, plus elle est répétée, plus elle prend corps. Surtout, à mesure que disparaissent les témoins susceptibles de l’infirmer, elle tend à devenir une vérité. Le baratin autour de la libération qu’a représenté le 10 mai 1981 n’existe, en réalité, que pour masquer la chasse aux sorcières éhontée entreprise, dans la profession, par les socialistes et leurs affidés dans les années qui ont suivi « le passage de l’ombre à la lumière ». Mais chut ! C’est le secret le mieux gardé de la France soviétique.

Les journalistes de droite, traités comme de vulgaires collabos, ont été pourchassés jusqu’au fond des toilettes de leurs rédactions respectives (pour reprendre une image russe qui a fait florès). Une dictature de la bien-pensance s’est alors installée, parallèlement à la montée du Front national. Tout ce qui ne pensait pas comme il fallait était accusé de complaisance avec les zheures-les-plus-sombres-de-notre-histoire et, partant, décrété infréquentable, raciste. Aux Zélotes la fortune et la gloire télévisuelle (Canal + est le temple des fidèles), aux mécréants la déchéance, l’opprobre et la ruine (Cinq you la Cinq).

La droite la plus bête du monde

Revenue au pouvoir, la droite – avec le courage qui la caractérise – décréta la forteresse imprenable, reculant devant les procès d’intention des profiteurs sus-décrits. Elle abandonna donc bien vite l’idée de débolchéviser la presse. Il ne fallait pas donner l’impression de prendre une revanche (la gauche oui, la droite non). Pire, à mesure qu’elle renonçait à appliquer ses idées, la droite française se jetait dans la gueule beuglante de ses ennemis. Eh oui, quand il devient indispensable de cacher ses renoncements successifs, la com’ remplace l’action, et il faut bien entrer dans les bonnes grâces des plumitifs pour faire croire aux naïfs qui vous ont élu que vous agissez, alors qu’en réalité vous ne faites que vous agiter.

Il n’est plus question à droite – et depuis bien longtemps – d’appliquer des idées que l’on a d’ailleurs de moins en moins. L’indigence programmatique qui tient lieu de « viatique » à l’UMP ne s’explique pas autrement que par les renoncements successifs de ses « leaders ». Ils ont tous plié devant la dictature du « politiquement comme il faut exercée par les journalistes. Nos « grands » Hommes ont longtemps été persuadés, par leurs attachés de presse respectifs, qu’il fallait « composer avec la sensibilité des médias » (comprendre : être de gauche) pour faire passer un « message » (comprendre : espérer être élu). Un message, du reste, de plus en plus vide de sens. Les « communicants » ont ainsi fabriqué des bêtes de concours agricoles, totalement déconnectées du pays réel, afin de plaire à des journalistes qui, eux, vivent sur Mars. Rien d’étonnant, dans ces conditions que Juppé soit à ce point adulé par les médias. Il est la quintessence de l’esprit munichois de la droite française qui a tout abandonné à l’adversaire, pour s’excuser de ne pas être de gauche.

L’économie ou la lutte des classes

Si vous en doutez, demandez-vous pourquoi Chirac, puis Sarkozy ne sont jamais revenus sur ces trente-cinq heures qu’ils ont pourtant, tous les deux en leurs temps, dénoncés pour ce qu’elles étaient : un gouffre financier. Car il n’y a pas qu’en matière politique que le conformisme journalistique agit. La relation qu’entretiennent nos médias à l’économie de marché est aussi réaliste que celle qui unit Chavez au progrès social et elle explique très bien pourquoi la droite n’a jamais dépassé son horizon étatiste, malgré l’échec patent de notre « modèle social ».
Le marché est, en France pour les journalistes, un instrument démoniaque d’aliénation là où, partout ailleurs sur la planète, il est un simple lieu de rencontre entre l’offre et la demande. Chez nous, le présenter ainsi est un péché contre l’esprit des lumières, une preuve de votre affiliation aux puissances de l’argent bref, une pensée déviante. Vous aurez certainement remarqué que, dans nos journaux, les libéraux et le libéralisme n’apparaissent que nantis du préfixe « ultra ». Bien peu nombreux sont, du reste, les lecteurs qui saisissent l’allusion à la Restauration (la période de l’histoire de France, pas le complément à l’hôtellerie) et à la Chambre introuvable (là encore rien à voir avec le guide Michelin). Peu importe la culture, seul compte le résultat et les « ultras » sont plus communément assimilés à l’outrance. Si les trains déraillent ou se rentrent dedans en Grande Bretagne c’est la faute à l’ultralibéralisme alors que chez nous… C’est la faute à pas assez de service public ! Attentifs comme vous l’êtes, vous aurez sûrement remarqué que ce terme d’ultra ne s’applique jamais à l’islamisme qui n’est qu’une version un tout petit peu excessive d’une Religion fondée, par ailleurs, sur la paix et la tolérance… Comme le constatent quotidiennement les Chrétiens d’Orient.

Si les journalistes ultracisent à qui mieux mieux tout ce qu’ils se sont donnés pour mission de détester et de faire détester, c’est qu’en France, depuis les Jacobins : il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la liberté. Appliqué à l’économie politique ça donne le discours du Bourget délivré par Pépère, lors de sa campagne présidentielle. Ce tissu d’âneries n’a pas eu d’autre raison d’être que celle de brosser dans le sens du poil tous les résistants en peau de lapin que compte notre classe jactante. La presse française se voit, en effet, pêle-mêle comme héritière et garante :

  • de la Révolution
  • des Droits de l’Homme
  • des acquis sociaux
  • du Service Public

Le tout se résumant dans l’indépassable droit d’en foutre un minimum pour un profit maximum et son corollaire : le droit légitime de l’État à pomper toutes les ressources disponibles afin de garantir que ce bordel ne cesse jamais. Dans ces conditions, il n’y a rien d’étonnant à ce que tout ce que ce milieu compte de buses se soit mis à idolâtrer l’andouille de Tulle quand ce dernier déclara que son ennemi c’était la finance et à ce qu’ils aient applaudi, comme le premier crétin des Alpes venu, devant le projet – forcément génial – de taxer à 75% tous ceux qui touchent plus d’un million par an.

Internet voilà l’ennemi

imgscan contrepoints843 presse médiasPareil aveuglement partisan conduit généralement à un réveil brutal car on ne peut pas impunément diverger sans arrêt du quotidien de ses contemporains. Pourtant, comme il est plus doux de rêver, nos médias refusent obstinément de se réveiller et avalent force Temesta pour y parvenir. Sous nos latitudes, ce médicament est prescrit par l’État sous le nom générique d’aides à la presse.

Les lecteurs d’une presse à sens quasi unique désertent les journaux à mesure que grandit le fossé entre ce qu’ils voient et ce qu’ils lisent. Nous réussissons ce tour de force inouïe d’avoir une presse d’autant plus subventionnée par l’État qu’elle perd des lecteurs par wagons entiers. Au nom de la « liberté d’informer de désinformer », l’État paye grassement des journalistes, avec nos sous, pour nous écrire la légende d’un pays qui n’existe plus. Il en va de même sur les radios et à la télévision. À défaut de pluralisme, vous ingurgitez la même soupe faite de bons sentiments, très dans l’air du temps. L’audiovisuel ne vous informe plus qu’à la marge, mais en revanche vous rééduque vigoureusement. Aux spots de pubs de tous les ministères inutiles qui vous somment de manger 5 fruits et légumes par jour, s’ajoutent les campagnes destinées à vous faire accepter votre condition de délinquant de la route en puissance ou votre statut d’exploiteur des rares ressources de la planète. Toutes ces campagnes onéreuses sont autant de subventions publiques glissées dans les poches profondes des « entrepreneurs » du spectacle de l’information et destinées à compenser les pertes dues à l’érosion continue de l’audience, consécutive à la montée en puissance d’Internet.

Car nos propagandistes ne s’y sont pas trompés. La vraie menace sur leur rente de situation ne vient pas du grand soir hypothétique d’une droite dotée des attributs de virilité nécessaires au nettoyage des écuries d’Augias. Non, de ce côté-là, il n’y a rien à craindre des eunuques du sérail ! Le grand danger vient de cette nébuleuse incontrôlable qu’est l’internet. Pensez, tout un chacun peut prendre la plume et rapporter les faits sans les précautions d’usages œillères réglementaires dont sont dotés les journalistes « professionnels ». Les Français se passionnent pour ces nouveaux médias, moins prompts à leur cacher ces vérités qui ne sont jamais bonnes à dire. Il convient donc, dans la logique liberticide qui préside à la préservation de tout monopole national, de « réguler » Internet. Les plus allants de nos « combattants de la liberté » par le stylo bille vont même jusqu’à louer le gouvernement chinois pour ses aptitudes libérales en matière de contrôle du web.

C’est ainsi que nous en arrivons à des aberrations qui font qu’une candidate éphémère du Front national, primo délinquante, se voit condamnée à 9 mois de prison fermes pour injure raciale sur internet, pendant que l’on relaxe quantité de dealers, voleurs et violeurs en tous genres. Le tout sous les applaudissements, presque unanimes, des plumitifs qui tiennent enfin leur « bête immonde ». Dans la même semaine, les jeunes victimes du racisme intrinsèque de la société française attaquent des synagogues et mettent nos quartiers à feu et à sang aux cris de « mort aux Juifs » (slogan ô combien humaniste et original, on en convient), au nom d’une guerre qui se déroule à plus de 4 000 kilomètres. Pour nos journalistes, la cause est entendue : c’est la faute à Internet. Pas un d’entre eux pour s’interroger sur le fait qu’il y a à peine un an, on emprisonnait préventivement des pères de famille qui avaient le mauvais goût d’arborer un pull siglé d’une famille stylisée se tenant par la main. Pas un pour se demander pourquoi le ministre de l’Intérieur de l’époque mobilisait des effectifs démesurés pour encadrer des manifestations pacifistes et pourquoi, le même, devenu Premier ministre s’est montré incapable d’empêcher le déroulement de manifestations propalestiniennes qu’il avait pourtant interdites ?

Nos journalistes sombrent dans la schizophrénie la plus avancée, à force de ne voir le monde qu’avec le côté gauche de leur cerveau. On ne compte plus les jours sans que nos médias ne nous enfument avec des histoires à dormir debout afin d’être sûr de ne pas parler des sujets qui préoccupent les Français. Il est d’ailleurs cocasse que journaliste soit la profession la plus mal considérée par nos compatriotes, juste après celle de politicien. Dans ces conditions, il n’est plus besoin de s’interroger bien longtemps. Oui nos médias sont fous et ça ne va pas en s’arrangeant.

Sur le web

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  • Oh putain ça déchire…!!100 fois Bravo

  • bravo !

    tout est dit

    et je crains que nous n’ayons pas encore vu le pire. Si Marine est au deuxième tour en 2017……………………


  • Les journalistes disent dans quel sens il faut tourner autour du totem pour faire revenir la pluie.

    Une moitié tourne dans un sens, une moitié dans l’autre.

    La pluie revient.

  • Rien à dire. Tout cela semble juste et le parfait de reflet d’une réalité. Il manque à cet édito la même analyse à propos de l’enseignement.
    Dans les années 80 Pink Floyd chantait ‘The Wall’. Je recommande le visionnage du clip de ‘Another Brick In The Wall’ pour une mise en relief étonnamment d’actualité de rôle de l’enseignement dans le formatage matriciel de la pensée. Dans les années 90 Daft Punk chantait ‘Television rules the nation’ sous l’indifférence de fans analphabètes.
    Aujourd’hui, qui secoue le cocotier ?
    Merci Marc pour cet édito. Et maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? Parce que c’est bien beau de se plaindre, mais i faudrait peut-être passer à l’action. Non ?

  • Superbe analyse, a consommer sans aucune modération (tant que l’état n’aura pas censuré le net)

    • Merci Emile Sabords pour ce lien. Je crois que ces documents dont tout le monde parle depuis quelques temps vont nous prouver une seule chose : les ‘citoyens’ français ne font absolument rien et se laisse dépouiller alors qu’ils savent sans ambiguité qu’ils ne vivent plus en démocratie et que la Vème République avec son cortège de contre-pouvoirs a été déclarée morte depuis longtemps. La plupart d’entre eux, selon un dernier sondage paru il y a 3 jours seulement, veulent revoir Sarkozy à la tête du pays ! C’est dire l’indigence intellectuelle du citoyen de base. Ces mêmes citoyens croient que liker des pages Facebook ou laisser des commentaires hargneux sur des blogs suffit à chasser la canaille gouvernementale.
      ‘On n’est pas sortis des ronces’…

      • Tout a fait d’accord avec vous. Et quand 40% des jeunes sortent de l’école primaire sans maitriser le français, le pire est à venir.
        Au point où en est le pays, devant le manque de réaction de nos concitoyens,’je ne vois que l’échange et la mise en forme d’informations utiles, et l’expatriation pour ceux qui le peuvent.

      • Je ne pense pas que la plupart d’entre eux veulent un retour de Sarkozy. Il faudrait voir les détails du sondage, mais la question ne demandait sûrement pas « qui voulez-vous voir sur le fauteuil à l’Elysée » mais plutôt « entre Marine, Nicolas, François, Alain et autres têtes vues, revues et re-revues depuis 30 ans, pour laquelle voteriez-vous en cas de 1er tour ? Et si 2e tour avec untel et untel, vous choisissez qui ? »
        C’est comme ça qu’on se retrouve avec des gros titres qui disent « on veut Nicolas », alors que le message principal de ce sondage est plutôt « on n’en peut plus des clowns en place actuellement ». Et d’un point de vue stratégique pour François ça montre que jouer un 2e tour face à Marine, ça passera pas (sauf s’il veut tout de suite saborder son successeur en faisant valoir qu’il a été élu « contre l’autre » et pas « pour lui »). Bref…

  • Admirable ! tout est dit et avec quel panache !! Merci

  • Effectivement, un article indispensable. Le jour venu, le passif sera lourd à porter pour les collabos qui, par ambition ou veulerie (imaginer qu’il s’agisse de conviction serait les insulter inutilement), diffusent aujourd’hui la propagande de la pensée inique socialiste.

  • Rôle de la presse : « écrire la légende d’un pays qui n’existe plus ». Ok.
    Antonio Gramsci a théorisé le principe que le combat culturel contre la classe bourgeoise est un préalable à la révolution;
    et il a eu raison : nous assistons au cours du dernier tiers du XXème siècle à la victoire d’une idéologie (le filtre à travers lequel est vue le réel -Marx-) et donc la naissance d’une « nouvelle bourgeoisie » (bobo) dont le clergé n’est autre que les journalistes (comparez le sermon dominical et le journal de 20h).
    Mais revenons aux politiciens, et là, il n’y a plus ni Droite ni Gauche.
    La droite (UMP) est porteuse de l’idéologie dominante :
    sa différence avec la Gauche consiste en son électorat qui reste essentiellement fidèle à des idées « archaïques » … alors que les élites (voir NKM, qui en est l’archétype) sont fondamentalement modernistes.
    UN seul trublion, Marine … et si les théories de Gramsci s’avèrent en ce siècle, la conquête du pouvoir n’est pas pour demain.

    • Pardon, mon alergie aux fautes d’orthographe ;
      « le filtre à travers lequel est vu le réel -Marx-« 

    • La honte « allergie » …

      • allerfin..désolé…moi je n’ y fait aucune attention par dessus le marché, je ne pense simplement pas être lu…

        sur l’article, je ne sais pas trop, nous avons une curieuse tradition de polémique qui semble remplacer l’absence de contre pouvoirs réels.

  • Parlant de censure, je suis surpris que contrepoint ne parle pas beaucoup du fameux « droit à l’oubli ». Le droit de décider personnellement de ce que les autres ont le droit de savoir.

    • Et les « dérapages » de plus en plus fréquents de certains Français de plus en plus nombreux et relayés par la presse mainstream ! On se demande à quoi servent tous ces radars, amendes et retraits de points.

  • en l’absence d’une liaison internet de qualité (clef 4G ) , je ne peux assurer un suivi et un dialogue cohérent !

  • Bravo, ça fait du bien quand c’est dit et écrit !

  • Excellent article à un détail près sur lequel je ne suis pas d’accord. Vous dites que tous les journalistes sont sur Mars. J’ai rencontré et discuté avec beaucoup de gens de gauche et d’extrême gauche (dont des journalistes de la rédaction de France Télévision) quand j’avais le temps et encore eu l’espoir de les convaincre par des arguments pragmatiques. Erreur de jeunesse ! J’ai constaté alors que tous ces gens étaient bien au-delà de la ceinture d’astéroïde, et les plus extrêmes d’esprit franchement d’essence plutonienne, c’est à dire au-delà du potentiel d’observation humain à l’œil nu.

    Sinon votre article est d’intérêt public républicain. Il devrait être placardé dans toutes les mairies, les salles de rédaction, les bars-tabacs de France et de Navarre. Nous vivons clairement dans un pays soviétisé par la pensée et le premier travail de modernisation devrait être de commencer à nettoyer les goulags que sont devenus les salles de rédaction. Après ce nettoyage, le domaine des arts devrait être aussi passé au tamis, c’est la suite logique. Car en remplaçant vos termes « journalistes » par « artistes » (pardon, intermittents du spectacle) on pourrait faire exactement la même description.

  • Contrepoints fait son autocritique ? il est délicieux de parler de propagande sur ce site.

    • L’honnête citoyen correctement éduqué ne s’étonnera pas que les socialistes, du fait du lavage de cerveau dont ils sont victimes, soient inaptes à distinguer l’information et de la propagande. D’ailleurs, il a dépassé le stade de l’étonnement ou de l’abattement. Pour la civilisation, le temps est venu de mettre un terme à l’insalubrité publique des diverses expériences du socialisme et de les confiner à l’état de curiosités douteuses dans la poubelle de l’histoire.

      • mam’selle Scarlett posait dans un post précédent la question du « comment? »
        Je vous pose également, à vous et aux autres contributeurs, la question : que faire pour changer cette situation ?

      • Si l’article dénonce des vérités connues de tous, il en ressort que l’auteur se plante en pensant qu’internet puisse se targuer de quoi que ce soit. Une telle analyse est même guignolesque puisque ce qui est reproché à la presse serait donc particulier à cette profession ? Allons, un peu de bon sens, la presse ce sont des hommes et femmes qui n’ont rien de différent, de pire où meilleur que les autres. Internet souffre des mêmes maux, le site Contrepoints n’échappe à aucun des reproches qui sont adressés à la presse en général.

        • « des hommes et femmes qui n’ont rien de différent » : ben si, un peu, quand même. 90% des journalistes ne votent-ils pas à gauche ? Ne vivent-ils pas presque intégralement de subventions publiques ? Ne soutiennent-ils pas indéfectiblement la doxa socialiste ? Ne disposent-il pas d’avantages indus en nature et en espèces sur le dos des Français ? Mais qu’est-ce qui peut donc être si difficile à comprendre dans ce que les Français reprochent à cette presse muée en pur instrument de propagande collectiviste ? On se le demande…

          • Vous déplacez le problème de la presse à la « gauche ». Qu’est ce que vous ne comprenez pas dans mes propos ?

            • C’est vous qui déplacez le problème.
              Vous parlez de l’impartialité qui ne se retrouverait pas non plus sur internet. Ce n’est pas de cela que l’on parle mais de la multiplicité des opinions qui peuvent s’échanger et à travers lesquelles l’individu peut faire des choix. Avec la presse mainstream, il n’est pas question de choisir entre plusieurs points de vues, ils sont tous identiques (70% à gauche et le reste à droite, ce qui signifie 100% socialo-étatistes) avec seulement quelques légères divergences.
              Sur internet, l’impartialité est bel et bien présente mais l’éventail des opinions qui y sont présentées est incroyablement plus large.

              • Ces chiffres, vous le tenez d’où ? Comme il vous appartient de dire qu’internet représente un éventail d’opinion plus large, surtout affublé d’incroyable. Internet n’est que la continuité de la presse, les gens qui œuvrent sur des sites n’ont rien de différent avec le reste de la population, le nombre ne fait pas la qualité ni ne garanti une quelconque impartialité. Contrepoints, puisque nous sommes en ces lieux, est en tout point similaire à tout ce qui se fait ailleurs : propagande, parti pris, copinage, etc. Vous pouvez en décliner des pages, le pire c’est que vous semblez croire en ce que vous dites.

                • le pire c’est que vous semblez croire en ce que vous dites.

                  Le pire c’est que c’est votre cas 😆

                  • Pointvirgule, tu es typiquement un produit lobotomisé de la société française et j’ai un sourire en coin qui émerge en te lisant, tant tes propos sont paradoxales et symptomatiques de ce que nous dénonçons ici même. Tu est l’archétype de ce que nous dénonçons : un être tellement enfermé dans une pensée unique qu’il n’arrive plus à s’en extirper et à contempler de haut ce brouillage médiatique qui nous enferme dans une forme moderne d’obscurantisme.

        • La presse n’est pas représentative de la population mais essentiellement des bobos pastèques.

      • ah et vous Cavaignac comment faites-vous pour distinguer l’info de la propagande ?

        • L’information fait appel à votre intelligence pour augmenter votre liberté. La propagande vise à obtenir votre consentement pour la réduire.

          • C’est vous qui faites appel à votre intelligence, la liberté n’a rien à voir la dedans.

            • Apprenez à lire svp. La liberté est la conséquence.
              L’information doit faire travailler l’esprit critique mais pour cela elle doit présenter les points de vue et les enjeux. A chacun de se déterminer en conséquence suivant sa sensibilité une fois qu’il est bien informé.

              Une grande partie de la presse s’est positionnée contre la mondialisation comme si c’était un choix alors que c’en était pas un ! Pas sûr qu’elle ait compris puisque certains sont encore dans ce débat. Il aurait certainement été judicieux de préparer les français à ce phénomène inéluctable plutôt que leur faire croire que l’on pouvait lutter contre.

              • Vous n’avez aucun argument valable, du blabla, des chiffres sortis d’un chapeau. C’est vous qui dites que Contrepoints n’est pas différent des autres médias, au seul prétexte qu’il ne serait pas conventionné.
                Question : pourquoi les auteurs de ce site s’emploient comme ils le font ? quel est leur but ? pour qui roulent-ils ? « Préparez les français », vous résumez l’étroitesse de votre pensée en une phrase, commencez donc par penser et vous préparez vous même, les « français » dont je fais partie n’ont que faire de vos conseils, explications et préparations.

                • les « français » dont je fais partie n’ont que faire de vos conseils, explications et préparations.

                  Ah, c’est bien réciproque :mrgreen:

                • Vous parlez au nom des Français? J’aimerais voir votre procuration.

                • Pointvirgule :
                  Je peux t’expliquer mon cheminement personnel. Je suis étudiant en Master et je n’ai eu l’âge de voter la première fois que pour le duel Sarkozy/Hollande. Force m’était de constater que les deux points de vue en lice n’étaient en aucun cas en adéquation avec mes idées, sans parler du FN ou du FG qui en sont l’antithèse. D’ailleurs il faudra m’expliquer pourquoi on oppose ces deux partis, surtout quand on sait à quel point leurs électorats sont consanguins.
                  Bref, j’ai décidé de me raccrocher à ce que j’avais appris en cours, à savoir le combat des Lumières contre l’obscurantisme. Et j’ai constaté qu’on était bien loin des idéaux des Lumières, et même que la France roulait à contresens sur ce terrain là. Il n’y avait qu’à voir un débat sur l’homoparentalité (ça m’a beaucoup marqué, ayant des cousins nés en PMA) en cours pour savoir que la laïcité n’est plus qu’un mythe.
                  Il y avait bien vaguement ce parti centriste (MODEM) qui ne me semblait pas trop repoussoir, mais quand il a vendu son cul à Hollande je me suis dis qu’il n’y avait finalement pas grand chose à en espérer.
                  J’ai cherché quelle était la ligne idéologique qui rejoignait mes idéaux de libertés pendant longtemps, avant de tomber sur un article partagé sur Reddit de Contrepoint.
                  Et là, je n’ai pu que constater l’objectivité et le rationnalisme intrinsèque qui découle de ces articles. J’ai donc compris dans quel prison mentale on évoluait, car je n’en imaginait alors pas l’ampleur. Lire vos propos me rappelle que s’en extirper n’est pas chose aisée.
                  Mais qu’on soit clair : je ne me suis pas converti au libéralisme, je l’était au plus profond de moi sans le savoir, guidé par les penseurs qui ont bercés mes études, tels que Voltaire ou Pascal.

                  • Quel bonheur de vous lire cher jean.moralo ! Le pays n est peut être pas si foutu que ça pour citer notre cher h16 dont je salue au passage le retour ! Il me prend d espérer à lire des jeunes tels que vous !

                    • Je ne veux pas donner de faux espoir concernant ma génération … Avec les connaissances que j’ai accumulé et le constat de mon environnement social, le verdict est sans appel : fuir, quelque chose de grave va arriver.

                    • Cette triste conclusion prouve encore votre lucidité. Bien que croyante , je n ai aucun enthousiasme pour le martyr et encore moins pour celui de nos jeunes brillants éléments dont vous faites manifestement partie . Je vous souhaite de réussir , ou que vous alliez .

                  • Personnellement, je crois que le système français à encore de beaux jours devant lui pour asservir son peuple. C’est pourquoi la fuite est nécessaire. je ne crois pas comme certains que la fin est si imminente. Cela va être une lente et horrible agonie longue et désastreuse. Et elle a commencé.

                • Merci Point Virgule.

                  Je note que vous venez sur Contrepoints bien que ce soit d’aucune utilité.
                  Vous n’êtes pas à une contradiction près.

            • Apprenez à lire et surtout à réfléchir un zeste 😆

          • excellente réponse.

    • Il n’a rien d’inconcevable à envisager que les partis frères aient délégué quelques contradicteurs moqueurs et cyniques sur ce forum, de manière statutaire. Certains ont des petites mains boutonneuses issues des bancs des Sciences politiques juvéniles affectées à l’année à cet effet pour preuve de stage et de formation professionnelle ou politique. Le triste sire mégalomane de l’Elysée lui-même ayant été affecté en son temps à ces tâches sinistres sous le pseudonyme de Caton.

      Il est vrai que les arguments, les faits, les écrits produits sur Contrepoints commencent à faire tâche d’huile, à gêner la nomenklatura en place, uniquement par le fait que la publication met cette caste insupportable devant ses contradictions, ses crimes sociaux, son incompétence au delà de tout ce que l’histoire humaine avait bien pu produire jusqu’alors. Comment Contrepoints ne les gênerait-il pas désormais ces moins que rien. Ils ne peuvent récuser ces analyses et témoignages innombrables et concordants parce que « de droite ou d’extrême droite » classique attaque des « intellectuels » de gauche à court d’arguments, de « nauséabond », de « brun ».

      Peut-on d’ailleurs être stigmatisé de la sorte quand on ne décrit que la vérité vue, sentie, entendue ?

      Le cynisme, la malhonnêteté, la veulerie et l’incompétence, le tout couronnés d’un mensonge qui fait d’eux des princes de la médiocrité la plus crasse n’auraient-il jamais droit à des contradicteurs qui n’auraient eu comme audace dans leurs descriptions que de mettre un miroir entre leur faces délabrées et leurs images symétriques ?

      • Par ailleurs la sémantique de Point Virgule signe l’origine de l’opinion. « Autocritique » n’est-il pas le terme propre aux cellules de gauche d’extrême gauche ?

  • Ce texte est excellent.
    Mais ce « cap à gauche » de la presse est-il réservé à la France ?
    Ne peut-il être étendu à l’Europe, voire au monde dit occidental ?
    Je me pose ces questions en observant le pape actuel, adulé par la presse mondiale comme Juppé l’est par la presse française, qui accorde des interviews répétées à un journal italien de gauche, qui évite avec le plus grand soin de parler de points précis ( les collégiennes enlevées par Boko Haram, la jeune mère mise en prison au Soudan, le triste sort d’Asia Bibi au Pakistan pour en citer trois) et qui se forge une image consensuelle progressiste faisant le bonheur des journalistes du monde entier.
    J’ai pris le pape en exemple, mais on pourrait aussi bien parler du climat, ou d’un autre grand sujet mou.
    Dans ce cas, si le 10/05/81 a été un facteur déclenchant en France, il doit aussi y avoir un autre facteur, lequel ?
    La folie est contagieuse ? Devenue mondiale ?

    • Et Nelson Mandela ? Pourquoi ne parle-t-on jamais de la face noire du prince africain dont l’iconographie aurait beaucoup à perdre de l’évocation de ses années criminelles dans les factions d’extrême gauche à exterminer des innocents ? Ne va pas en prison pendant des dizaines d’années que pour des motifs politiques ! Sinon, on devrait remettre le Prix Nobel de la Paix ainsi qu’à Che Guevara et Cesare Battisti, pour services rendus à la gauche mondiale. C’est vrai que la gauche a toujours aimé les grands criminels !

      J’ai toujours un mal fou au ventre pour les innocents victimes tuées des mains de ce personnage tortueux quand je passe près des lycées français baptisés de son nom. Lycée Che Guevara, Lycée Cesare Battisti, cela aurait de la gueule, non !

      Mais il est de gauche. Jurisprudence Taubira : un criminel de gauche est une victime, relâchons-le !

      • Ce n’est pas ce que j’ai lu de mon côté car on a soigneusement effacé dans les biographies officielles son appartenance à une ou des factions criminelles de sinistre réputation dans le sud du continent africain. Je suis désolé, quand on milite pour l’URSS et que l’on soutient Staline, on soutient et on partage son idéologie et sa politique. Comme on partage tout cela, on est donc co-responsable de ces crimes. N’était-il pas soutenu par Moscou et le KGB directement ?

        • Apprenez déjà ce qui constitue de la propagande et ce qui n’en est pas.

          • Cavaignac de la propagande ❓ Quel délire … 🙁

            Qu’il fasse quelques erreurs, qui n’en fait pas, vous ou moi compris, mais avancer comme vous le faites, c’est aller dans l’excès.

        • C’est vrai que votre article Wikipédia dit qu’ils faisaient de la guérilla armée… Ils devaient tirer en l’air… C’était pour jouer à la poupée ? Logique quand on une formation marxiste-léniniste avancée !

          Vous vous moquez de qui ?

  • Bravo! Une telle clairvoyance dans le déchiffrement de comment fonctionne « la surface » de notre pays mériterait d’être saluée … dans la presse nationale ! 😉
    Mais heureusement il y a internet. Ouf, et bravo encore.

  • Superbe article, un vrai plaisir à lire et criant de vérité . Merci

  • Merci pour cet excellent article, un vrai bonheur à lire…. ça fait du bien !

    • Oui rien à ajouter. Le fonctionnement des journalistes est pathétique.

      • Le figaro est grandement « sponsorisé » pas l état , pour ne pas dire , perfuse . Ils jouent la comédie d une presse d opposition , pour la galerie , ça prend assez bien vous en conviendrez ….

      • Non le Figacon est de droite. Donc il est étatiste. Comme TOUS les autres médias mainstream français.

      • Je vois plutôt ça dans le sens inverse: 95% des citoyens sont étatistes car les médias (ainsi que l’Ed Nat et le monde « culturel ») le sont.

        Vous pourriez me dire que c’est l’histoire de l’œuf et de la poule, mais historiquement c’est le Parti Communiste qui a voulu, et on comprend bien maintenant pourquoi, faire main basse sur les ministères de l’Éducation et de la Culture. Et Tonton a bouclé la boucle avec les médias.

        Education, médias, culture, tous plus étatistes les uns que les autres, et vous avez la recette pour la propagande soft avec efficacité prouvée à 95% (de citoyens étatistes).

        • Ça n’a pas rien à voir avec l’imbécillité ou la condescendance : ignoti nulla cupido !

        • La CGT prend 95% des français pour des ânes …
          Alors les sommets, vous y arrivez fastoche les 2 doigts dans le nez.

        • Pas du tout, je ne les prends pas du tout pour des imbéciles, et n’ai pas non plus de condescendance envers eux. C’est juste que 95% n’ont pas l’envie ou le temps de vérifier les informations distillées par les médias mainstream. Ce qui est parfaitement rationnel.

          • Je confirme, vérifier les infos consomme énormément de temps (la plupart des sources « alternatives » sont loufdingues).

            La majorité n’a plus confiance dans les journaleux mais pas l’énergie pour se réinformer.

      • Il faut préciser que tous les journaux français (et particulièrement Le Figaro, « de droite et d’extrême droite ») sont tenus au garde à vous par le Syndicat du Livre CGT. Toute vérité n’est donc pas bonne à dire sinon le syndicat arrive n’imprime pas, fait grève sur le tas. De plus il est spécialisé dans la casse des imprimeries libres récalcitrantes non inféodées au codes (communistes) de la profession, des machines, des vitrines. Il fait aussi dans le rapt, la prise d’otage et les demandes de rançons, comme dans le trafic d’armes de guerre ( fr.wikipedia.org/wiki/Presstalis ).

        Tout ce que fait la CGT est bien pour la gauche. Les plaintes sont systématiquement annulées au nom de la paix sociale et du syndicalisme roi, de la camaraderie de gauche, même quand il y a des morts. Une véritable petite machine au service de la démocratie… stalinienne.

      • Les bonbons sont sucrés, les gosses aiment le sucre. Je ne reproche PAS aux fabricants de bonbons de faire des bonbons sucrés.

        Mais je veux qu’on cesse de dire que les bonbons sont la base de l’alimentation, le sommet de la culture gastronomique, et d’accorder des avantages fiscaux aux fabricants de bonbons.

        Oh wait…

  • Très bon article, un style agréable, un vocabulaire riche, une démonstration convaincante. Le terme ultra moie aussi je le supporte plus.

  • Merci pour cet article ! On se sent moins seuls tout à coup ! 😉

  • j’ai essayé d’expliquer que ma réception internet était précaire et ne me permettait pas un suivi intense !

  • Seulement des réponses à mes commentaires. Merci

  • Ou pas… Quand on subventionne à mort les médias, quand ils distillent tous la même soupe étatiste (pardon, il y’a une grande diversité: la plupart sont étatistes de gauche, mais certains sont étatistes penchant légèrement à droite), quand on va même jusqu’à sauver un torchon communiste (oui, communiste, ça existe encore, enfin seulement en France et en Corée du Nord), quand il y a carrément des journaux et des télévisions d’Etat (Pravda?), quand les journalistes ont des privilèges fiscaux et autres, quand certains propos sont INTERDITS par la loi, quand la dictature du politiquement correct fait rage, quand …, il n’y a pas vraiment de marché de l’information libre.

    Ce serait aussi débile que de forcer tout le monde à payer pour l’éducation publique et dire ensuite « vous êtes libre de payer pour une éducation privée (en plus) ». Oh wait…

    • Et fraserve rappelle également la main mise et les comportement mafieux (sans exagération) de la CGT Livre sur la presse papier (commentaire à 20h06)

  • Bon article! Il aurait été excellent s’il était moins de droite (ou pas du tout), mais je pinaille.

    • Enfin, plus exactement s’il sentait un peu moins l’idéologie droiteuse: c’est plus un ressenti que quelque chose de factuel.

  • Bonne analyse, dommage pour l’argo.

    Mais cela pose une question : d’où vient l’incapacité à créer un média de pensée alternative, un média de droite, ou mieux encore, responsable et sensé. Un média qui prendrait des journalistes qui auraient déjà travaillé « en vrai », qui ne font pas de fautes d’orthographe (en pensant que tout le monde les fait), un média fait de gens de bon sens.

    Pourquoi cela n’existe pas? Le marché est là. Et pas besoin de subventions pour créer un média, demandez aux américains.

  • Messages de Mateo et fraserve supprimés.
    Merci d’aller vous insulter ailleurs.

    Premier avertissement avant bannissement.

  • Merci infiniment au modérateur d’avoirsupprimé toute cette partie du débat entre moi et Mateo qui n’apportait vraiment rien. J’en avais aussi marre. J’aurais dû arrêter avant. Désolé !

  • Merci à vous .
    Belle analyse qui change de la propagande gauchisante qui inonde de plus en plus Contrepoint

    • C’est le débat de fond que je menais avec un sieur précédemment qui m’a valu cette menace ci-dessus. Contrepoints, comme tous les forums et les publications à la pointe du débat (c’est un compliment mérité que je ne retirerais pas pour rien au monde, sauf si Contrepoints vire à gauche, cette publication m’ayant permis d’à nouveau respirer en France) ne fait pas exception à la règle : la gauche pratique son entrisme habituel de force.

  • Les commentaires sont fermés.

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Nicolas Quénel est journaliste indépendant. Il travaille principalement sur le développement des organisations terroristes en Asie du Sud-Est, les questions liées au renseignement et les opérations d’influence. Membre du collectif de journalistes Longshot, il collabore régulièrement avec Les Jours, le magazine Marianne, Libération. Son dernier livre, Allô, Paris ? Ici Moscou: Plongée au cœur de la guerre de l'information, est paru aux éditions Denoël en novembre 2023. Grand entretien pour Contrepoints.

 

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Pierre Valentin est diplômé de philosophie et de science politique, ainsi que l'auteur de la première note en France sur l'idéologie woke en 2021 pour la Fondapol. Il publie en ce moment Comprendre la Révolution Woke chez Gallimard dans la collection Le Débat.

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