L’alarmisme climatique est la « plus grande fraude scientifique » selon un astronaute d’Apollo 7

Dans une récente interview, Walter Cunningham, astronaute d’Apollo 7, critique sévèrement la position des alarmistes climatiques.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
Walter Cunningham (Crédits : Luigi Rosa, licence Creative Commons)

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

L’alarmisme climatique est la « plus grande fraude scientifique » selon un astronaute d’Apollo 7

Publié le 9 juillet 2014
- A +

Par Craig Bannister depuis les États-Unis

Walter Cunningham par Luigi Rosa CC

L’alarmisme climatique est « la plus grande fraude dans le domaine de la science » et la revendication de consensus à 97 % est absurde, a dit Walter Cunningham astronaute d’Apollo 7 à MRCTV dans une interview exclusive en avant-première de sa présentation à la prochaine conférence sur le climat du Heartland Institute, du 7 au 9 juillet.

« Depuis l’an 2000 environ, j’ai de plus en plus approfondi ce domaine et je n’ai pas trouvé une seule des revendications alarmistes qui ait une base solide en quoi que ce soit. Et c’était un peu comme une évidence d’arriver à cette conclusion. »

Cunningham rejette la notion de climat anthropique, non seulement comme un fait – mais aussi d’avoir même à la qualifier de vraie « théorie » : « Dans les médias, elle est appelée théorie. Évidemment, ils ne savent pas ce qu’une théorie signifie vraiment », dit Cunningham qui a un BS en physique (Bachelor of science, avec les honneurs) de l’Université de Californie à Los Angeles et un MS (Master of science) avec distinction à l’Institut de Géophysique et des Sciences Planétaires, pour ses travaux de doctorat en physique.

« Si nous revenons à l’hypothèse réchauffiste – pas une théorie, mais une hypothèse –, depuis le début ils ont dit que les niveaux de CO2 sont anormalement élevés et que des niveaux élevés de dioxyde de carbone sont mauvais pour les humains ; ils ont pensé que des températures plus chaudes sont mauvaises pour notre monde, et que nous étions en mesure de remplacer les forces naturelles pour le contrôle de la température de la Terre. Alors, j’ai approfondi ces assertions et le problème que j’ai découvert  parce que je n’ai pas trouvé qu’elles étaient correctes – c’est que ce ne sont certainement pas des théories mais juste des propositions de ce qu’ils aimeraient bien trouver dans les données qu’ils étudient. »

Cunningham exhorte les Américains à regarder les données et à décider pour eux-mêmes au lieu de prendre pour mot ce qu’en dit quelqu’un d’autre :

« Sortez et jetez un coup d’œil et vous trouverez que beaucoup sont de pures absurdités et des vœux pieux de la part d’alarmistes qui recherchent de plus en plus d’argent à faire tomber entre leurs mains. Ne croyez pas tout, simplement parce que le professeur l’a dit. Vous devez aller y jeter un coup d’œil. Revenez en arrière et regarder l’histoire de la température et du CO2. Regardez la valeur de dioxyde de carbone et quels en sont les avantages aujourd’hui. »

Cunningham note que les alarmistes craignent que l’atmosphère contienne actuellement 400 parties par million (ppm) de CO2 alors que ce n’est seulement qu’un dixième du niveau que son vaisseau spatial devait atteindre avant d’être une source de préoccupation. Dans son vaisseau Apollo une alarme ne se déclenchait que si le CO2 atteignait 4000 ppm et dans la navette spatiale d’aujourd’hui le signal est mis à 5000 ppm. Dans les sous-marins où les membres d’équipage peuvent avoir des missions de trois mois, le CO2 doit atteindre 8000 ppm avant que l’alarme ne soit activée.

« D’un sujet à l’autre, nous trouvons ces gens trop préoccupés, d’abord par un danger qu’ils essaient de nous mettre sur le dos, puis par l’affirmation que nous pouvons d’une façon ou d’une autre, contrôler la température de la Terre. Je ne peux pas dire que nous n’avons pas d’impact du tout mais il serait si minuscule et si insignifiant qu’il ne vaudrait pas le moindre effort. »

 

La température de la Terre est donc dictée par quoi ?

Cunningham dit qu’il est bien établi que les « principes contrôleurs » sont des forces naturelles comme le Soleil, la température des océans et même l’activité volcanique.

Ainsi, il appelle l’alarmisme climatique « la plus grande fraude du domaine scientifique » :

« Pour moi, il est vraiment risible de trouver quelqu’un qui prétend être un scientifique sérieux et qui y croirait. Donc, je me pose vraiment des questions sur quelqu’un qui prétend être un scientifique et entre dans ce jeu. Alors, ce qu’ils font est d’essayer d’en contrôler la sémantique, le verbiage. Pour moi, et c’est presque risible, c’est la plus grande fraude du domaine de la science, du moins au cours de ma vie, et peut-être la plus grande de tous les siècles. »

« Si vous revenez en arrière et regardez les données qui ont été bien documentées au fil des ans, vous pouvez voir, par exemple, qu’en ce moment, à la fois le CO2 et la température sont simultanément à l’un des niveaux les plus bas au moins des derniers 600 à 800 millions d’années. La dernière fois qu’ils étaient tous deux ensemble à ce bas niveau, c’était il y a plus ou moins 300 millions d’années, et si vous revenez 500 à 600 millions d’années en arrière, le CO2 était 15 fois plus élevé que ce qu’il est maintenant. Donc ce que je veux dire c’est que l’histoire vous montre que presque tout ce réchauffement climatique anthropique d’aujourd’hui est tout simplement absurde. »

« Et, le plus étonnant pour des personnes comme moi … est qu’il y ait des gens qui croient à ces absurdités dont on les gave. »

« Les médias sont en grande partie à blâmer pour ces idées fausses  non pas parce qu’ils trompent intentionnellement le public, mais parce qu’ils ne veulent pas prendre le temps et la peine de chercher. S’ils cherchent et regardent par eux-mêmes, ils deviennent beaucoup plus neutres dans leur présentation. »

Le pire de tout, dit Cunningham, est que les médias font la promotion de la revendication absurde qu’il y aurait un consensus scientifique à accepter l’hypothèse du climat modifié par l’Homme :

« Quand ils évoquent ces soi-disant 97 % de scientifiques qui croient que les Hommes contrôlent la température – je dis que c’est le chiffre le plus absurde et le plus stupide du monde – et que tout ce qu’ils ont à faire est une petite recherche sur Google. Je ne vais pas le faire pour eux – allez jeter un œil et vous trouverez que c’est une déclaration ridicule que font les gens – y compris le président. »

« Si vous procédez à une enquête totalement anonyme de vrais scientifiques impliqués dans ce domaine, je peux presque vous garantir que vous allez trouver une majorité qui ne sera pas d’accord avec les alarmistes. »

« Je peux seulement vous dire que, même au temps d’Apollo, nous n’avons pas eu à faire face à ce genre de bêtises », conclut Cunningham.

Source : CNSNews. Traduction : Jean-Pierre Cousty pour Contrepoints.

Voir les commentaires (163)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (163)
  • En France, les opposants à « l’hypothèse réchauffiste » sont qualifiés de climato-sceptiques, et dans le journal de référence Le Monde, la question n’est pas de leur donner la parole mais de s’interroger sur le fait que débattre avec eux risque de crédibiliser leur discours.

    http://www.lemonde.fr/sciences/article/2013/10/21/faut-il-debattre-avec-les-climato-sceptiques_3500408_1650684.html

    Selon les scientifiques auteurs de l’article du Monde :

     » il (le public) n’est pas en mesure de discriminer le vraisemblable du faux. On peut donc comprendre que certains scientifiques, pleinement investis dans leurs recherches, n’aient pas accepté que certains médias mettent sur le même pied le travail rigoureux du GIEC et celui de personnalités n’ayant aucune publication digne de ce nom sur le climat. (…)
    La démocratie, c’est aussi la capacité que nous devons avoir, chacun d’entre nous, de pouvoir refuser un débat quand il est faussé. »

    Autrement dit, le public ignorant doit faire confiance aux bons scientifiques du GIEC face aux mauvais qui ne seraient pas pleinement investis dans leur recherche, et accepter que les mauvais scientifiques ne puissent débattre pour son bien (du public) et celui de la démocratie.

    Les français ignorants protégés par la (bonne) science et par la (bonne) presse peuvent dormir tranquilles.

    • « Selon les scientifiques auteurs de l’article du Monde  »

      Thierry Libaert est professeur en sciences de la communication à l’université catholique de Louvain (Belgique).

      Dominique Bourg est professeur en humanités environnementales à l’université de Lausanne (Suisse).

      C’est ça que vous appelez des scientifiques ? Vous leur faites beaucoup trop d’honneur. Dans ce cas, Elizabeth Teissier (« docteur en sociologie ») est aussi une scientifique, et il est urgent de lui demander son avis.

      Plus sérieusement, « Le Monde » est spécialiste en pseudo-science orientée et partisane (comme vous le montrez bien puisqu’ils refusent tout débat scientifique). La « climatologie » est déja en soi un domaine multi-disciplinaire particulièrement complexe. Mais les journalistes de « Le Monde » ne sont même pas compétents pour évaluer une démarche scientifique et les conclusions à tirer d’une publication.

      En outre il faut donner leur vraie signification aux titres ronflants des auteurs de l’article : un spécialiste en science de la communication est un lobbyiste, et un spécialiste en « humanités environnementales » est un écologiste. Il n’y a aucune science dans tout cela mais en revanche un grand foutage de geule à présenter régulièrement ce genre d’articles dans une rubrique « science et tehnologie ».

      Et dire que ces gens la accusent systématiquement de vrais scientifiques « sceptiques » de faire du lobbying pour les dénigrer.

    • Je suis toujours aussi surpris (pour ne pas dire plié en quatre) d’entendre parler du GIEC comme une référence depuis le ClimateGate de 2009. Pour ceux qui ont oublié : moins de 2 semaines avant le sommet sur le climat de Copenhague, un hacker a rendu public 1073 (!) e-mails échangés par les membres de cette noble institution (politico-scientifique qui plus est) sur une dizaine d’années.

      Ces e-mails ont été authentifiés par l’université East Anglia (qui travaille avec le GIEC). Personne n’a osé débattre de cette authentification, seulement les conséquences que l’on peut en tirer.

      Dans ces e-mails, on trouve la preuve de leur malhonnêteté. « Salut X, c’est Y ! Dis, mes résultats ne sont pas conforme à l’idée du réchauffement anthropogénique, que dois-je faire ? »

      Ou encore… « Sait-tu comment je peux faire pour ne pas être obligé de communiquer mes travaux à une instance de contrôle ? »

      Et il y en a encore qui se demande pourquoi ce sommet a été un échec… Demandez aux pays du sud 🙂

      • « Dans ces e-mails, on trouve la preuve de leur malhonnêteté. »

        A la limite, peu importe, concernant les journaleux du Monde.

        On peut ne pas être capable de voir un éléphant dans un couloir, ni de calculer combien font 2+2, c’est même requis pour être journaleux au Monde.

        Mais dans ce cas, ce n’est pas un éléphant, c’est un troupeau d’éléphant qui chargent! Est-ce que les journaleux ne voient pas un troupeau d’éléphant qui chargent?

        Ce qui importe crucialement est qu’il est facile d’imaginer une autre histoire, une histoire où ces mêmes emails sont échangés n’importe quelle autre communauté, mettons les spécialistes du cancer (« cacher le déclin de l’espérance de vie des malades sous pentoxylopéridol »); mettons les spécialistes de l’agriculture (« cacher le déclin de la productivité de telle variété »); mettons les spécialistes de ma transgenèse végétale, des réserves de pétrole (« cacher le déclin des réserves »), du nucléaire (« cacher le déclin de la résistance du réacteur »)… bref, n’importe quelle spécialité qui ne serve pas de caution scientifique aux délires pastèques.

        Il est parfaitement évident que dans tous ces cas il y aurait eu un scandale immense, avec demande de procès, de démission, que ce même journal serait monté en première ligne pour dénoncer ces manipulations, la compromissions des experts… mais là, rien.

        Pourquoi?

        Pour la même raison que ceux qui passaient à l’Ouest et qui racontaient la réalité concentrationnaire de l’URSS ont été ignorés par la bien-pensance française, dont beaucoup de scientifiques encartés PCF!

    • Le Monde est un peu en retard.
      La même question a eu lieu à la BBC, règlement déontologique oblige. Un comité ad hoc avait décidé que la question du débat était réglée.

      Problème: La BBC a refusé de communiquer les noms des meilleures compétences invitées à ce comité. Il a fallu une découverte fortuite pour constater que l’impartialité des avis n’avait pas été vraiment respectée.

      http://wattsupwiththat.com/2012/11/12/breaking-the-secret-list-of-the-bbc-28-is-now-public/
      http://www.theregister.co.uk/Print/2012/11/19/the_virus_that_ate_the_bbc/

    • C’est pareil pour les autres sujets. Le journaliste considère qu’il faut cacher certaines choses pour le bien du peuple. J’aimerais plaisanter ; c’est comme ça que fonctionnent leurs esprits.

  • – Obama : « les climatosceptiques sont comme ceux qui croient que la Lune est une boule de fromage ».
    – Al Gore : « les climatosceptiques sont comme ceux qui croient que la conquête de la Lune est du cinéma ».
    – Cunningham, l’homme qui a marché sur la Lune : « Revenez en arrière et regarder l’histoire de la température et du CO2. Regardez la valeur de dioxyde de carbone, et quels en sont les avantages aujourd’hui. »

    Bon bah, la messe est dite.

  • Je ne suis pas le seul blogueur à dénoncer à longueur de billets l’imposture de l’IPCC et la collusion évidente de cette assemblée de pseudo-experts avec la NASA (James Hansen) qui par un cheminement anti-scientifique ahurissant en est arrivé à « imposer » des directives aux gouvernements pour entamer un virage énergétique. La théorie ou l’hypothèse du changement climatique repose sur la falsification de données pourtant disponibles dans la littérature scientifique. La théorie de l’effet de serre ne tient pas la route puisqu’elle contredit les lois fondamentales de la thermodynamique tout en niant purement la loi de Stefan-Boltzmann. L’ensemble de la communauté scientifique tentant de rassembler des données sur la végétation, la faune aquatique ou marine, les variations de la surface des glaciers connaissent avant même d’avoir initié une quelconque étude les résultats de cette dernière puisqu’ils doivent être en conformité avec le dogme du réchauffement climatique au risque, dans le cas contraire, de ne plus avoir de soutien financier pour leurs travaux ! Enfin, la négation de l’effet de l’activité solaire sur le climat est systématique et qui ose parler de ce dernier point, de très loin le plus important, est considéré comme un iconoclaste qu’en d’autres temps on brûlerait vif. A longueur de billets je dénonce également la collusion entre certaines ONG, dont Greenpeace et WWF en premier lieu, pour collaborer ouvertement à cette imposture planétaire montée de toute pièce avec, cerise sur le gâteau, sa consécration par le Comité Nobel (Al Gore et l’IPCC). Il faut que de plus en plus de personnalités osent dénoncer ce scandale pour qu’enfin on prenne conscience du désastre qui nous attend car des politiques comme les transitions énergétiques en sont la directe conséquence et elle seront très dommageable tant aux économies qu’aux simples citoyens !

  • La preuve qu’il n’y a pas que des côtés négatifs au réchauffement climatique. Et dire que des mecs sont payés pour faire ce genre de recherche…. http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/07/08/en-voie-dextinction-les-roux-vont-ils-disparaitre-a-cause-du-rechauffement-climatique/

  • 14 degrés sur le balcon à 11:00.
    C’est le réchauffement, très logique : plus il fait plus chaud, et plus il fait plus froid …
    Rires.

    • Ceci relève de la météo pas de climato. Faire une erreur aussi grave vous disqualifie directement.

      • Une météo estivale pourrie qui suit « le second printemps le plus chaud avec 2010 », tempêté par certains !

        Est-ce disqualifiant de faire une remarque sensée ?

      • S’il fait plus chaud, ça peut être aussi une question de clito.

      • Bonjour kim
        Il se moque lol
        Moi aussi de vous;
        Rires.

        • Non il est sérieux, il fait ce genre de sortie régulièrement. Savez vous que le premier semestre 2014 a été le plus chaud en France depuis 1900 juste derrière 2007? C’est tout de même infiniment plus pertinent qu’un 14° sur un quart de la France (qui n’a rien d’un sans précédent), même si cela relève de la météo, je ne fais pas d’amalgame. Evidamment MichelC se garde bien de le dire….

          • Vous vous prenez décidément très au sérieux.
            30 degrés au cercle polaire, cela vient du pole Nord, et 6 degrés au pied des Alpes ce matin, cela vient du Sahara 🙂
            Normal :mrgreen:

            • 6° au pied des alpes.. c’est un peu flou; 30° à Trondheim ou Tromso on comprend mieux ( et tempéraure nocturne digne de la méditerranée!)

              • Non, ce n’est pas flou. C’est net et précis.

              • Je suppose que vous faites référence à cette news (de l’année dernière?) et reprise en boucle sur les températures au Groenland ou en Icelande, me souviens plus, mais ce dont le me rappelle parfaitement c’est qu’il s’agissait d’une erreur due à une température donnée en °F et non corrigée °C. Mais les médias zidolâtres n’ont été que trop contents de transmettre illico sans vérifier… d’ailleurs certains ne l’ont jamais fait malgré les messages des internautes sur leurs articles.
                Bref du travail de qualité.

                • Pas du tout du tout! Mais regardez les relevés météo du 9 juillet en scandinavie, de quoi vous parlez?

                  • 😉
                    J’avais pas vu. Oui, en effet, ils doivent être contents!

                  • C’est l’été la-bas, en plein mois de juillet, non ?

                  • Le matin à Trondheim en ce moment et une notion très relative, le soleil n’a du se coucher que 10 à 15 minutes, c’est à dire passer juste au dessous de la ligne d’horizon. Et de toute façon, les moustiques sont très très chauds et pullulent…

                    • Non non, à Trondheim il fait nuit plus de 4h environ en ce moment , de toute façon, le soleil est si bas durant la nuit polaire estivale que le soleil chauffe peu. Il y a bel et bien une alternance jour nuit. Cette chaleur est du au flux de sud est et un ensoleillement généreux. L’effet de fœhn résultant donne des allures méditerrannéene au températures notamment au fond des fjords.

                  • KfhikkicretiiiinnnFhhghj

                    Les scandinaves qui vous lisent doivent bien rire. Foutez un peu le nez en dehors de chez vous avant de sortir des âneries.
                    30° en juillet en Norvège c’est parfaitement banal.
                    Certes on est proche du cercle polaire donc l’incidence du rayonnement solaire est plus grande, mais en été, il fait aussi jour quasiment 20/24h, petit malin.
                    Dans les zones subpolaires il n’est pas rare d’avoir des êtes très doux.

                    Je me suis deja baigné en juillet en Norvège, il y a des années. Oui: il n’y a pas que mimizan plage ou le cap d’agde : incroyable…

      • Le pire, c’est que des fanatiques du RCA font cette erreur, eux c’est normal, ils ont le droit.
        Moi pas.
        Alors, je fais bien évidemment volontairement, et vous tombez dans le panneau, comme le leader Pikouli.
        C’est comme les mouches vertes et la m…. , cela va bien ensemble.

    • rien de remarquable.. 30° au cercle polaire scandinave aujourd’hui, je pourrais faire la même.

    • Oui lol.

      Lors de notre dernier épisode d egrosse chaleur en juin, on a eu, mouchoir mouillé sur la tête et pastaga a la main, la dernière offensive des ecolo-collectivistes sur le mode « il est urgent d’agir! 6 degrés en 20 ans! Ne pas agir est criminel!! » sur toutes les ondes. Tiens cohn bendidt sur europe 1 un jour ou il faisait déja 24 degrés a 9h du mat.
      A chaque fois on les entends beaucoup moins quand il fait 9° en juillet, que quand il fait 40… Mais appelez europe 1 pour leur signifier le caractère véléitaire de ce genre d’intervention; vous ne trouvez pas d’interlocuteur…

      • Mouais, l’inverse est beaucoup plus vrai. Ca y’est les gens parle d’été pourri; alors que c’est tout à fait l’inverse. La mémoire en météo des gens est très souvent erronée.

        • C’est vrai, on oublie les périodes de froid 😆

          • On se rappelle bien mieux des vagues de froid que des épisodes de douceur remarquable

            • Je dirais que l’on se souviens mieux des épisodes chauds.
              été 2003 cascades sèches dans le Jura.
              1976, bel été.

              • On se souvient seulement des épisodes chauds en été; à cause de la canicule, le seul cas ou cette chaleur devient gênante. En revanche, un temps plus froid que la normale en toute saison exaspère les gens et le remarque.

        • L’inverse de quoi?? pas du comprendre ce que j’ai dit.

          • J’ai bien saisi. Sauf que 9° en Tn en Juillet, c’est on ne peut plus banal, alors qu’un 40° est tout a fait exceptionnel. Prenez la Tnm du bassin parisien, 12°; prenez la Txm, 24°. Comparez avec vos valeurs..

        • « Ca y’est les gens parle d’été pourri; alors que c’est tout à fait l’inverse. »

          L’été est exceptionnellement chaud?

          Vous avez bu?

          • Vous illustrez parfaitement cette discussion avec votre réaction.
            1) je n’ai pas dit qu’il était chaud, j’ai dit qu’il était l’inverse d’un été pourri (pourri n’est pas forcément très froid)
            2) l’été a commencé le 1er juin, et voyez l’ensoleillent record de ce mois…
            3) on a eu 5 jours de moche, et l’été est loin d’être fini, d’ailleurs la semaine prochaine c’est 30° à Paris avec du soleil..

            Encore une fois, il est facile de démanteler toute les remarques. Mais c’est bien, c’est constructif.

          • « Vous avez bu? »

            Non, c’est ça le problème. C’est son état « normal »…

  • L’alarmisme ne pèse pas seulement sur le moral mais surtout sur notre porte-monnaie. Ce matin j’ai lu que la Commission européenne allait libérer un milliard d’euros pour lutter contre le « réchauffement » !!! Ne pourrait-on pas utiliser cet argent à des fins plus utiles ?

  • Quelques vraies sources scientifiques pour s’informer sur le réchauffement climatique:
    -http://www.nature.com/nclimate/index.html
    -http://www.metoffice.gov.uk/climate-change/resources/hadleycentre
    -http://www.ineris.fr/
    -http://www.ipsl.fr/
    Egalement, un excellent ouvrage pour comprendre l’érosion de la biodiversité dans le monde:http://www.amazon.ca/GRAND-MASSACRE-LAVENIR-ESP%C3%88CES-VIVANTES/dp/201235341X

    • Bonjour Loki
      Vous savez qu’en science il n’y a pas de ‘vraies’ sources scientifiques.
      Il y a des points de vue divergent, en particulier sur l’importance des conséquences du RCA (s’il existe).
      Toute bonne science est prudente, mais je pense que l’on a basculé avec le RCA dans le coté sombre de la science.
      Cordialement.

    • Le « grand massacre » … 🙂
      Parlant pour les crétins… 🙂

    • Prenons l’Ineris.
      Sous la tutelle du ministère de l’Ecologie. Pour mission de « contribuer à la prévention des risques que les activités économiques font peser sur la santé, la sécurité des personnes et des biens, et sur l’environnement. » 57 % de l’activité en appui aux politiques publiques. 70% des recettes en provenance du secteur public. 20% de l’activité en recherche. Que croyez-vous qu’il lui arriverait s’il niait que l’activité économique soit à l’origine de risques climatiques ?

  • lisez les diplomes obtenus par cet astronaute,notamment maitrise en géophysique(méteo et climato,sont des branches de la géophysique).Si les premiers astronautes ont étés sélectionnés parmi des pilotes de l’usaf,les missions suivantes ont préférés des scientifiques.

    • Mon cher Donald, j’ai bien peur que chez nous on préfère sélectionner en priorité les pilotes de l’urssaf. On a vu où ça mène !

  • Bah, les climato-sceptiques étant incompétents en climatologie, leur avis n’a aucun intérêt dans ce débat : http://tinyurl.com/q2tuanq

  • Même si les hypothèses du réchauffement climatique peuvent être contestables, ce n’est pas une raison pour justifier la pollution et le gaspillage excessif des ressources fossiles, qui ne sont pas inépuisables… !
    A long terme, une solution « durable » et moins polluante, devra de toute manière être trouvée.

    • Quel gaspillage ?

      L’économie libre de marché aboutit au contraire à l’optimisation des ressources, baissant les couts de production et permettant notre croissance et l’innovation.

      Ce n’est pas en désoptimisant, comme par exemple via un controle idéologique de l’économie, que vous allez trouver cette solution durable. Car, en désoptimisant l’économie, vous augmentez les couts de la recherche, vous supprimez aussi les moyens d’innover et encore plus, les moyens d’adaptation aux changements.
      L’adaptation au changement se passe-t-elle mieux lorsqu’elle est dirigé d’une main de fer par un bureaucrate qui cherche à appliquer une idéologie ou lorsque chaque membre est libre de s’adapter aux nouvelles conditions, telle une particule de fumée dans un conteneur changeant de forme ?

      Si la disparition des ressources produit une augmentation des couts, si vous augmentez à l’avance les couts, cela n’aboutira pas à réduire l’augmentation lors de la raréfaction. Alors qu’au contraire, si les couts sont réduit grace à la destruction créatrice et la croissance, l’impact sera moindre.

      De toutes façons, il ne sera jamais possible de dire comment sera le monde du futur.

    • A long terme on trouvera forcément le moyen fiable, et peu onéreux de produire de la chaleur par fission (thorium) ou fusion nucléaire (hydrogène). Douter de cela est douter de la capacité de la technologie à répondre aux besoins futurs.

      Avec les soi-disant énergies renouvelables, cela me parrait moins évident à cause des coûts d’infrastructure impliqués. Pensez que la viabilité actuelle suppose la création de lignes à très haute tension et d’immenses bassins de retenue d’eau. Dans la plupart des pays, aucune infrastructure n’existe actuellement. (Inutile d’ergoter avec des Yaka – c’est un problème économique).

      Mais quelle que soit la solution qui dans le futur permettra de produire 100% de l’énergie dont nous avons besoin, et de synthétiser les carburants dont on ne peut se passer, l’urgence de la mise en place est une arnaque. On a largement le temps nécessaire pour valider et inventer les technologies nécessaires malgré la finitude des ressources fossiles utilisées actuellement. La seule inquiétude est celui du coup futur de production des carburants liquides par synthèse ou exploitation des ressources non-conventionnelles. (Mais à priori, il n’est pas forcément supérieur aux prix actuels de négoce du brut – certains se rempliront simplement un peu moins les poches)

      Ruiner notre économie et engager les recherches dans des voies douteuses est doublement stupide : ça ne résoud pas le problème des carburants liquides, cela compromet nos chances de trouver rapidement une solution réellement déployable à grande échelle. Car le but du jeu n’est pas d’alimenter des lampes à LED dans les pays riches en se passant de centrales nucléaire, mais d’équiper de vastes continents comme l’Afrique de climatiseurs, de couvrir la Chine de véhicules, de fournir du carburant aux avions et d’équiper les navires de réacteurs nucléaires sans dangers.

      Il est donc urgent d’en finir avec le mythe de la catastrophe climatique : si elle était avérée, on ne pourrait pas y faire face avec des demie-mesure et la restriction sur la production énergétique provoquerait une catastrophe au moins égale à celle d’un réchauffement de cinq degrés (dont on a pas vu le début du commencement d’un prémice. En revanche on va au mur en ce battant contre des chimères.

      • « A long terme on trouvera forcément le moyen fiable, et peu onéreux de produire de la chaleur »

        Ca ne vous servira à rien pour convaincre les réchauffistes ! Notez que si vous trouvez un moyen fiable et peu onéreux de produire du froid, ce qui est tout à fait aussi efficace pour produire de l’énergie, votre fortune ET votre réputation sont faites. 🙂

    • Oui effectivement

      en marge du sujet on peut rappeler que climato-sceptique ne veut pas dire pollueur compulsif et décomplexé.

      Sur le sujet lui même et pour faire court : le réchauffisme est un avatar du collectivisme, une prétention a diriger le monde dont les ficelles findumondistes sont si grosses, que forcément, ca passe. Tous les idiots utiles y trouvent une cause a la mesure de la boursoufflure de leur nombril.

      • Ce serait comique si cela ne mettait en évidence que la vanité et le ridicule de leur prétention; Voyez Kerry : c’est une archétype.

        Mais cela débouchera sur un collectivisme absurde et mortifère. Genre le »grand bond en avant » a la mao.

        Ceux qui n’ont pas compris et ne veulent pas comprendre, et sont prets a recommencer une connerie de ce calibre, eh bien il faudra les combattre, tot ou tard.

      • Les comiques qui viennent ici nous faire la morale, avec comme seule argument le nombre de diplomes des uns contre le nombre de diplomes des autres, feraient mieux d’une seule fois envisager la question avec un a priori de neutralité. Plutot que de relayer betement ce que les médias nous ont martelé depuis 20 ans.

        • Entre un diplomé de grandes universités en Physique et en Géophysique qui a été choisi pour aller dans Apollo 7 et un DEA de géographie à Paris XXIV qui place le Japon dans l’hémisphère Sud, je n’hésite pas longtemps….

    • Justement, les pastèques veulent qu’on leur finance (ils ne mettrons pas leur propre fric!) des machines à capturer les énergies très diffuses comme le rayonnement du soleil et le vent, ce qui nécessite d’énormes engins, dont la construction est énergivore sans parler des matériaux nécessaires (comme les terres rares), et qui nécessitent d’avoir des solutions de repli quand il n’y a ni vent ni soleil (la plupart du temps), donc des centrales qui ne seront pas utilisées à pleine capacité, ce qui signifie qu’elles sont moins rentables.

      Où est l’optimisation des ressources là dedans?

      Les pastèques veulent toujours favoriser leur technologie FÉTICHE, jamais la meilleure techno, c’est à dire la plus efficace.

      Où est l’optimisation des ressources là dedans?

  • Il en pense quoi Claude Allègre ?

    • Celui-ci n’était pas spécialement mon copain, mais je regrette que depuis ses ennuis de santé on ne l’entende plus, – ni sur les mammouths, ni sur le climat.
      Sûr que ça doit arranger beaucoup de monde.
      Toute ma sympathie à ce Monsieur.

  • à 8 000 ppm de co2 dans le sous marin, soit 20 fois plus que le taux atmosphérique, la petite lampe rouge ne s’allume toujours pas… très bon argument pour dire que le co2 n’est en aucun cas néfaste aux taux actuels dans l’atmosphère.

  • Dire que c’est de la fraude, ce n’est pas un argument d’autorité.
    C’est prendre position, avec force, certes, mais c’est un scientifique lui, un vrai.
    Bachelor et MS (Master of science) avec distinction à l’Institut de Géophysique et des Sciences Planétaires, pour ses travaux de doctorat en physique.

  • Il faut être prudent sur ce sujet très technique. L’avis des scientifiques les plus sérieux est qu’on va vers le réchauffement. En revanche c’est sur la manière dont ce problème doit être traité qu’il peut y avoir débat. D’ailleurs sur le long terme, est-ce vraiment un problème et non pas plutôt une opportunité pour l’humanité? Les mesures prises à ce jour sont de courte vue et handicapent plutôt qu’autre chose les États qui s’y astreignent.

  • Autant j ai toujours été sceptique á propos des climato sceptiques, autant je ne vois pas pourquoi il faudrait condamner sa conséquence qui pourrait s’ avérer bénéfique á savoir un changement dans nos pratiques de production et de consommation énergétique… Est ce devenu mal de vouloir exploiter moins d énergies fossiles ou du nucléaire pour le remplacer par de l énergie renouvelable? Ceci étant dit je suis d accord avec le fait que toute cette hypothèse sur l homme étant le principal responsable d un soit disant réchauffement sent la funiaterie á plein nez. La question est donc si fumisterie il y a, quel est son véritable but?

    • flavien: « pour le remplacer par de l énergie renouvelable? »

      Le problème c’est que ça ne la remplace absolument pas, la technologie actuelle n’est pas prête.
      Donc pour pallier l’intermittence des renouvelables vous avez des backups conventionnel et vous aboutissez au résultats allemands: énergie hors de prix, trois fois plus de rejet de CO2 que la France et consommation record de charbon pour pallier les insuffisances des « renouvelables ».

      • Et en prime variations brutales de productions qui rendent le réseau de moins en moins stable. Pour l’instant ça passe encore, mais avec encore plus de renouvelables on va avoir des black-out, c’est évident.

        Déjà les industriels se plaignent des variations de fréquence qui peuvent démolir des machines hors de prix. Mais bon, ça fait marcher le business des vendeurs de ces machines, non?

        Qu’est-ce qu’on ne ferait pas par keynésianisme? Par contre, l’obsolescence contrôlée par l’instabilité du réseau, ce n’est pas très écolo!

        Absolument tous les indicateurs montrent que le modèle de croissance incontrôlée – dopée aux subventions (1) – des renouvelables est à bout tant en Europe qu’aux USA :
        – en terme économique pour les producteurs (2) : prédation économique par les producteurs de renouvelables, qui sont espèces protégées par la Loi;
        – en terme de sécurité énergétique : stabilité du réseau (3);
        – en terme économique tant pour le consommateur que pour le contribuable.

        (1) subventions directes et indirectes, dont la priorité sur le réseau et le droit de vendre à prix négatif (injection forcée de puissance sur une grille qui n’en a pas besoin, puissance dont personne ne veut), subventions implicites dont l’existence même est presque toujours niée pas ses promoteurs!

        (2) la production renouvelable menace la rentabilité des centrales « classiques », qui assurent la production en l’absence de renouvelables

        (3) à tel point qu’on prévoit de subventionner les centrales « classiques » afin qu’elles continuent à assurer la sécurité de l’approvisionnement

        Les signaux sont au rouge depuis longtemps, il faut être socialiste pour ne pas le voir.

        Classiquement, on voit qu’action motivée par des idéaux (comme dans l’idéaux-logie dixit Ségolène Royal) abstraits conduit à des actions politiques passant par des subventions qui aboutissent à des déséquilibres qui nécessitent plus de subventions pour éviter une catastrophe économique complète.

        Sauf saut technologique majeur, on ne voit pas bien comment augmenter la production renouvelable sans tout casser.

    • Le renouvelable est une entourloupe sémantique, le soleil et les terres rares ne sont pas plus renouvelables que le pétrole.

  • « Cunningham note que les alarmistes craignent que l’atmosphère contienne actuellement 400 parties par million (ppm) de CO2, alors que ce n’est seulement qu’un dixième du niveau que son vaisseau spatial devait atteindre avant d’être une source de préoccupation. Dans son vaisseau Apollo, une alarme ne se déclenchait que si le CO2 atteignait 4000 ppm et, dans la navette spatiale d’aujourd’hui, le signal est mis à 5000 ppm. Dans les sous-marins où les membres d’équipage peuvent avoir des missions de trois mois, le CO2 doit atteindre 8000 ppm avant que l’alarme ne soit activée. »

    Ce paragraphe décrédibilise totalement l’article. Quel est le rapport entre un seuil de CO2 fixé pour protéger la respiration humaine dans un espace clos et les effets du C02 sur le climat terrestre ?

    • Ah tiens. En quoi ça décrédibilise, disons, les historiques de températures ? Et complètement qui plus est ?

      On lit souvent cette vilaine petite manip’ rhétorique sur le web.

      • Sauf à s’intéresser au sujet, ce qui n’est pas mon cas*, le fait que quelqu’un dise une énormité à tendance à rendre plus difficile l’adhésion à l’ensemble de son propos. Humaine faiblesse.

        Mais puisque vous en parlez j’ai pris la peine de m’intéresser au graphique, et en réalité il s’agit aussi d’une énormité : les échelles de temps sont bien trop large pour avoir la moindre pertinence dans le débat sur le réchauffement climatique anthropique (le fait que les dinosaures ait vécu il y a des millions d’années dans un environnement nettement plus riche en C02 ne nous dit rien sur les conséquences sur le climat d’une augmentation du C02 sur quelques siècles, ni sur ce que cela impliquera éventuellement pour la société humaine ).

        *la climatologie doit bien être la science naturelle qui m’intéresse le moins. Je ne connais strictement rien au sujet, et pire encore je ne veux rien y connaître. Mon petit doigt me dit que le réchauffement climatique c’est beaucoup de bruit pour pas grand chose, mais j’ai la décence de ne pas écrire d’article sur l’opinion de mon petit doigt. Mais tout cela ne m’empêche pas de voir quand on se moque de moi : cet article ne vaut pas mieux que l’article sur la disparition des roux.

        • Par contre ça dit bien qu’il n’y a pas de point de non retour vers l’emballement des températures et que l’énorme effet de rétro-action positive du CO2 utilisé dans les modèles n’est pas crédible.

          • On pourrait se demander si elle n’est pas légèrement négative cette rétro-action.

          • Ben non même pas. Le graphique nous dit qu’il n’y a pas de point de non-retour à l’échelle du million d’année (ou plutôt de plusieurs millions d’années), mais un emballement sur dix mille ans avant un retour à la normal sur cent-mille ans (par exemple la libération d’un stock de C02 puis son absorption) serait tout à fait invisible sur un tel graphique.

            Je ne dis pas que cela s’est produit ou que cela peut se produire, je dis simplement que ce graphique ne prouve strictement rien, ni dans un sens ni d’en autre. Je ne connais rien à la climatologie mais je sais lire un graphique.

        • Comment établir la part de l’activité humaine sans observer les variations avant ?

          • en éliminant tout les humains,on laisserait juste des machines prendre des mesures,comme ça on serait sauvés!

          • Pas les variations sur des millions d’années. Un tableau de variations par décennies ou par siècle avant la révolution industrielle serait tout à fait pertinent.

            (On notera au passage que sur le graphique on trouve la variation de la température mondiale, valeur que les défenseurs de cet article considèrent ordinairement comme vide de sens.)

            • Comment decide-t-on de l’échelle pertinente ?

            • Les 5 dernières périodes interglaciaires par exemple ?

              http://blog.world-mysteries.com/wp-content/uploads/2010/11/ice_age_graph.jpg

              • Identifier ce qui est pertinent est souvent difficile, mais identifier ce qui est totalement hors-sujet est en général assez facile et ne nécessite qu’un peu de bonne foi.

                Mais on notera la pirouette : je commence par critiquer la référence aux seuils de C02 dans les sous-marins comme étant totalement hors-sujet, et on me parle du graphique. Quand je remarque que le graphique lui-même est d’une pertinence discutable (pour être gentil) on me parle encore d’autre chose (un autre graphique sur une autre échelle et qui ne fait même plus référence au CO2).

                Je ne vois même pas où vous voulez en venir en fait.

                • Bonsoir Arn0
                  C’est vrai que l’article est plutôt à classer dans le genre anecdotique.

                • Le monde à l’envers. Qui a ouvert sur « décridibilise complètement », qui reste toujours à justifier, et a changé sur l’échelle passée ? Pour ensuite m’accuser de changer de sujet ? On aimerait savoir pourquoi ces petits trucs tactiques, à la place d’un échange sincere ?

                  • Quel mauvaise foi. Mais puisqu’il faut en arriver là je vais vous parlez comme un enfant, puisque c’est quelque chose qu’un enfant de cinq ans est capable de comprendre.

                    1) Est-il VRAI ou est-il FAUX que les recommandations en terme de taux de CO2 dans les sous-marins et autre espace clos n’ont STRICTEMENT rien à voir avec les effets climatiques réels ou supposés du CO2. Question simple qui attend une réponse simple : VRAI ou FAUX.

                    Si vous reconnaissez que sur ce seul point la réponse est VRAI (et je dirais trivialement vrai) alors vous devez reconnaître que mon commentaire sur ce point (le seul que j’ai évoqué au départ) était justifié, et donc que l’article se trompe au moins sur ce point là*. Si vous ne reconnaissez pas ce point là alors discutez avec vous est une pure perte de temps.

                    *désolé pour la répétition mais j’essaye de faire en sorte qu’on ne change pas de sujet avoir d’avoir traité ce point (tout à fait trivial, mais bon).

                    • Pourquoi crier et pourquoi de telles accusations ? Pourquoi perdre son sang froid ? Je l’ai admis dès le début, puisque j’ai demandé en quoi ça décrédibilise complètement toutes les informations contenues dans l’article. Quiconque sait garder son calme l’a vu. Je ne comprends pas un tel niveau d’agression quand il n’y a pas désaccord sur ce point.

                      Sur le point de savoir en quoi ça décrédibilise complètement toutes les autres informations contenues dans l’article, je ne vais pas crier et lancer de sales accusations, parce que je comprends que, si je n’ai eu aucune réponse jusqu’ici, c’est que je n’en aurai jamais.

                      Pour revenir la question de pourquoi M. Cunningham évoque la teneur respirable en CO2, il est nécessaire de comprendre le débat américain sur cette inoffensive substance : comme le congrès ne la pénalise pas, elle est rationnée par fait du prince exécutif, sous forme de l’ « endangerment finding » de l’EPA. L’EPA l’a mise dans les produits créant un danger, et c’est comme ça qu’ils peuvent pousser des centrales charbons -et leurs employés- à fermer. C’est dans ce contexte que les gens raisonnables se voient obligés d’expliquer au public que ce n’est pas un polluant, pas un gaz dangereux, mais bien un gaz inoffensif.

                      C’est ainsi que ce qui peut paraitre dans cet article comme un cheveu sur la soupe, et je concède que c’est maladroitement inséré, pour lui, c’est une façon de défendre son pays contre une confiscation du pouvoir par l’exécutif.

                    • Merci à Nick pour l’explication – même en sachant que Cunningham fait du contre-lobbying, je commençais à me demander s’il n’était pas un peu gateux. Avec cette explication, c’est beaucoup plus clair : il cherche à retourner le pseudo-argument CO2= »poison » des activistes. Mentalité américaine …

                    • Arn0 : « 1) Est-il VRAI ou est-il FAUX que les recommandations en terme de taux de CO2 dans les sous-marins et autre espace clos n’ont STRICTEMENT rien à voir avec les effets climatiques réels ou supposés du CO2. Question simple qui attend une réponse simple : VRAI ou FAUX. »
                      —————————————
                      Nick vous a expliqué, le taux max de CO2 en espace clos a été évoqué pas dans le contexte climatique mais dans le contexte de la soit-disant « pollution carbone », un slogan obscurantiste totalement débile mais abondamment utilisé par les réchauffiste.

                      Vous ne connaissez rien du sujet comme vous le dites et vous débarquez pour critiquer avec véhémence une phrase dont de toute évidence vous ne comprenez pas le contexte. C’est légèrement ridicule !

                    • Ou vous avez-vu une agression ? C’est vous qui ne pouvez vous empêchez de parler de « manip rhétorique », de « truc tactique », de refus « d’échange sincère ». Et quand on vous répond vous vous la jouez joueur de foot en surface de réparation simulant une « d’agression ». Par exemple les majuscules n’était pas pour un cri mais pour mettre en valeur des mots, en l’absence de balise italique (enfin il me semble que les balises ne marche pas ?).

                      « Pour revenir la question de pourquoi M. Cunningham évoque la teneur respirable en CO2, il est nécessaire de comprendre le débat américain sur cette inoffensive substance : comme le congrès ne la pénalise pas, elle est rationnée par fait du prince exécutif, sous forme de l’ « endangerment finding » de l’EPA. L’EPA l’a mise dans les produits créant un danger, et c’est comme ça qu’ils peuvent pousser des centrales charbons -et leurs employés- à fermer. C’est dans ce contexte que les gens raisonnables se voient obligés d’expliquer au public que ce n’est pas un polluant, pas un gaz dangereux, mais bien un gaz inoffensif. »

                      Vous insistez en plus : si le CO2 à été placé dans les gaz dangereux ce n’est pas pour ces effets respiratoire mais pour ces effets climatiques supposés. Le moyen légal importe peu : le fond du sujet à toujours été la question climatique.

                      « C’est ainsi que ce qui peut paraitre dans cet article comme un cheveu sur la soupe, et je concède que c’est maladroitement inséré, pour lui, c’est une façon de défendre son pays contre une confiscation du pouvoir par l’exécutif. »

                      Résumons : vous reconnaissez finalement que ce paragraphe c’est du n’importe quoi. Mais vous le justifiez avec des excuses absurdes parce que vous êtes prêts à justifier tout et n’importe quoi quand cela va dans votre votre sens. N’importe quel argument aussi mauvais ou hors-sujet qu’il soit trouve grâce à vos yeux tant qu’il va dans votre sens. Voila le problème de crédibilité.

                      C’est comme votre graphique sur l’ère glacière qui ne parle même plus de CO2 mais uniquement de température globale : il faudrait peut-être se décider sur le fait que cette valeur ait un sens ou non (moi par exemple je ne le sais pas). Très bien.

                      Notez bien : je suis neutre sur le sujet, et très anti-écolo. Si vous n’arrivez pas à me convaincre vous n’arriverez jamais à convaincre personne qui n’est pas déjà convaincu.

                       » Nick vous a expliqué, le taux max de CO2 en espace clos a été évoqué pas dans le contexte climatique mais dans le contexte de la soit-disant « pollution carbone », un slogan obscurantiste totalement débile mais abondamment utilisé par les réchauffiste. » Ils défendent (je parle du GIEC et équivalent, pas de je ne sais quel écolo du net) la « pollution carbone » à cause… de l’effet supposé du CO2 sur le climat, pas à cause de l’effet respiratoire du CO2.

                      « Vous ne connaissez rien du sujet comme vous le dites et vous débarquez pour critiquer avec véhémence une phrase dont de toute évidence vous ne comprenez pas le contexte. C’est légèrement ridicule ! » Je ne connais rien du sujet, c’est vrai. Il m’avait échappé que je répondais à un article s’adressait à des connaisseurs en climatologie…

                      Cela dit je sais lire un graphique, et je sais quand on se moque du monde avec des arguments absurdes. Pas besoin d’être un expert en sismologie pour savoir que l’hypothèse d’un poisson géant qui remue pour expliquer les tremblements de Terre est absurde. Les arguments utilisé ici sont presque du même niveau.

                      Le fait que des gens qui prétendent connaître le sujet comme vous n’hésite pas à défendre une telle argumentation me fait sérieusement remettre en cause votre crédibilité.

                    • effets climatiques supposés.

                      Supposés, comme les suppositoires ? D’autres gaz sont plus toxiques. Méthane, NOx …

                    • Ils n’ont jamais démenti la moindre absurdité de leur congénère. Une vrai secte. Par contre très anti écolo ça rime à quoi?

                    • « Ils n’ont jamais démenti la moindre absurdité de leur congénère. Une vrai secte. Par contre très anti écolo ça rime à quoi? »

                      Pour moi l’écologie politique est une abomination politique comparable au socialisme, mais ce n’est pas le sujet.

                    • Je suis pas complètement en désaccord; mais lorsque les décideurs ne font rien, il est alors normal de créer ce genre de parti. En soi, l’écologie politique ne devrait pas exister mais le système est tel que cette entité existe.

                    • Si vous entendez par là qu’il faut pousser les décideurs politiques à « faire » quelque chose qui ressemble de près ou de loin aux propositions écologistes alors je suis en total désaccord avec vous. Je suis profondément anti-écolos, et je ne parle pas du parti politique (folklorique plus qu’autre chose) je parle bien de la pensée politique écologiste.

                      Si il s’agit de protéger les droits de propriété privée existant, de permettre l’appropriation des ressources rares libres de propriétaire, de libérer le mécanisme des prix pour favoriser une bonne allocation des ressources, d’engager effectivement la responsabilité civile voir pénale des pollueurs, de privatiser les ressources publiques ou à défaut encourager une gestion saine (ie comme un « bon père de famille ») de ces ressources par l’état et les collectivités locales… alors oui il y a beaucoup de chose à faire (ou plutôt à laissez-faire). Mais tout ceci est du droit commun et n’a rien à voir avec une quelconque « écologie ».

                      Je n’ai pas spécialement d’avis sur le RCA (principalement par désintérêt et manque de compétence, mais aussi parce que je n’aime pas les positions politiquement déterminées sur des questions purement scientifiques) et je n’aime pas les arguments que je trouve idiots (et c’est encore pire quand il sont produit pour défendre une position que je partage, ou que l’on pourrait penser que je partage étant donné mon positionnement politique). Mais ne vous y trompez pas : je n’en suis pas moins un « anti-ecologiste primaire ».

                    • Pour une fois, je n’ai pas affaire avec un personnage total. Vous restez mesuré au moins sur un point. Par contre, votre anti-écologie primaire, ça ne me plait pas. Voire des dollars et des euros sur chaque chose, chaque ressource tel un prédateur est je pense profondément mauvais. Vous semblez raisonner en prédateur obsédé. Vous êtes, je le crains déconnecté, de la réalité d’un bien être dans un environnement respecté. Votre mode de pensée est dangereux.

                    • Après c’est mon point de vue; heureusement que le monde est fait d’un équilibre des influences. Les écolos ont toutes leur places puisque le système est ainsi. La démocratie et le monde, c’est comme la libéralisme; il faut laissez faire comme vous dites; et si aujourd’hui le système a accouché d’écolo; c’est que il y avait un besoin. Ce raisonnement est bien plus puissant que défendre son appartenance politique de manière forcené et aveugle.

                    • Le mécanisme des prix et la propriété privée n’ont rien à voir avec la prédation. Le prédateur ne produit rien, n’échange rien et ne préserve rien : il se sert. Il n’a pas besoin de droit de propriété et il ne respecte pas celui des autres. Si prédation il y a c’est bien lorsqu’une ressource rare est collective.

                      Pour le reste le laissez-faire signifie respecter la liberté individuelle, pas respecter la liberté des partis politiques d’opprimer leurs prochains. Et le simple fait que les écolos existent ne prouve en rien qu’ils aient une quelconque utilité (dans l’histoire de la démocratie les partis purement nuisible ce n’est pas cela qui manque). L’équilibre que vous défendez c’est un peu comme défendre l’équilibre entre la bonne santé et la maladie : personnellement je préfèrerais simplement être totalement en bonne santé.

            • « la variation de la température mondiale, valeur que les défenseurs de cet article considèrent ordinairement comme vide de sens »

              Dans le vaste buzz du RCA, il y a :
              – une tentative d’étude scientifique qui n’aurait de valeur (indicative) que s’ils arrivaient à créer un modèle pertinent, c.a.d. qui colle aux observations (c’est raté et c’est la que le bas blesse : pas de modèle pertinent, rien ne peut être validé et retour à la case départ)
              – des études statistiques plus ou moins baclées sur les effets actuels ou les conséquences du réchauffement, ou les températures et paramètres climatiques du passé (tout est bon pour la poubelle)
              – des à-peu-près de vulgarisation scientifique destinés à impressionner et effrayer les masses (carrément répréhensible car c’est de la pure manipulation)

              Chez les lobbyistes (car Cunningham fait clairement du lobbying anti RCA), on trouvera bien évidamment plutot des réfutations des études statistiques baclées ou des réfutations de la propagande réchauffiste à base de vulgarisation scientifique toute aussi mauvaise que celle de l’adversaire parce que la cible est le public qui a gobé les bobards du GIEC et des médias.

              Aussi, je ne me placerais pas en « défenseur de l’article », mais en revanche en défenseur de l’auteur car sa critique sur la « fraude dans le domaine de la science » est tout à fait pertinente et l’auteur est un scientifique apte à en juger, même si les vrais arguments ne sont pas dans l’article. Les vrais arguments tels que « Tglobale n’existent pas » ne sont pas compréhensibles pour le public. Dire « c’est du grand n’importe quoi » n’est guère convainquant face à des escrocs qui vous vendent du vent avec des milliers de pages de données, de graphiques, et de plats de spaghettis foireux.

              Mais pour démontrer qu’une hypothèse est fausse dans un raisonnement par l’absurde, on peut en toute logique utiliser un paramètre hypothétique sans signification comme Tglobale pour montrer que l’hypothèse se détruit elle même en aboutissant à une contradiction.

              • « Aussi, je ne me placerais pas en « défenseur de l’article », mais en revanche en défenseur de l’auteur ». Le pauvre.
                Sinon, j’aime bien « l’hypothèse qui se détruit elle-même ». Un peu de surréalisme dans cette austère branche des mathématiques qu’est la logique est très plaisant.

                • Vous vous surpassez dans le trollisme.

                  Si vous ne savez pas ce qu’est un raisonnement par l’absurde et que la logique est la base des mathématiques et donc des sciences (et non une « branche austère »), gardez vous de juger.

                  • « Vous vous surpassez dans le trollisme. »

                    Ce n’est pas la peine de me flatter, je ne mange pas de ce pain là.

                    Sinon, il me semble que vous confondez « logique » et « logorrhée ». Vous êtes pardonnable.

    • « Quel est le rapport entre un seuil de CO2 fixé pour protéger la respiration humaine dans un espace clos et les effets du C02 sur le climat terrestre ? »

      Aucun.

      Mais à force de parler de CO2 dans tous les médias, beaucoup de personnes s’imaginent que c’est un composant majeur de l’atmosphère.

      • « Aucun.  »

        On est d’accord.

        « Mais à force de parler de CO2 dans tous les médias, beaucoup de personnes s’imaginent que c’est un composant majeur de l’atmosphère. » A-t-on jamais vu le GIEC et les autres principaux tenants du RCA affirmer que l’augmentation du taux moyen de CO2 dans l’atmosphère représentait une menace directe pour la santé humaine via la respiration ? Il ne me semble pas.

        Il n’y a que deux explications pour se paragraphe : soit l’auteur prend ses lecteurs pour des abrutis, soit il est de mauvaise foi, soit il n’a rien compris au sujet.

        • Oui je sais cela fait trois 🙂

          • C’est un aveu ! Vous reconnaissez implicitement que votre liste d’explication n’est pas fermée … 😉

          • Vous pouvez remplacer tous les « ou exclusifs » (les « soit ») de votre dernière phrase par des « ou inclusifs »…

            • Tiens ! Vous avez découvert l’algèbre de Boule ? Il ne vous reste plus qu’à découvrir comment l’utiliser à bon escient (que ce soit pour faire de l’humour ou pour raisonner).

              • Et paf, une ânerie de plus (vous faites un concours avec miniTax ?).
                L’algèbre de Boulle ? L’ébéniste ? L’écrivain ?
                Ah non, il doit s’agir de l’algèbre de Boule (avec un seul l), indispensable pour exceller à la pétanque ou à la lyonnaise…
                A moins qu’il existe un épisode de Boule et Bill traitant de l’algèbre ?
                Sinon j’ai : Euh..l’air? God! Elle, et bien sûr, spécialement pour vous…Riez man.

  • Tiens, un graphe avec la température moyenne globale pour appuyer le propos de l’article !

    Cela ne choque plus les lecteurs de Contrepoints subitement ?

    • Bonjour Kim
      Personnellement non.
      La température moyenne globale a tjs été montrée sur CP.
      D’ailleurs quand le relevé des températures passera de 12° à 22° je m’inclinerait (même avant).
      On attend.

      • gillib : « La température moyenne globale a tjs été montrée sur CP. »
        ——————————————-
        La température moyenne globale, personne ne la connaît, même à 1°C près. Ce n’est pas moi, c’est Hansen, l’alarmiste en chef himself, qui l’a dit, le plus officiellement au monde : http://data.giss.nasa.gov/gistemp/abs_temp.html

        Et de toute façon, la FARCE (la fraternité des alarmistes du RC exagéré) évite soigneusement de la montrer cette température moyenne globale, qui est autour de 14°C, des fois que la populace ait la bêtise de penser que c’est quand même frisquet.
        Elle préfère sortir du chapeau le terme nettement plus menaçant de « anomalie », qui existe nulle part dans aucun manuel de physique ni même de statistique (on y parle de « déviation »), comme par hasard.

        Eh oui, elle est aussi mauvaise que ça la « science » climatique.

        • Oui bon..
          Imaginons que la moyenne des températures relevées sur le globe montrent une augmentation de disons 3°, on ne pourrait plus rejeter l’argument du bout des doigt en disant, ‘ca ne veut rien dire’.

          Les réchauffistes ont basés leur démonstration sur la courbe de Mann (qui est morte) et sur l’évolution future des températures avec ‘leur’ modèle. il y a discordance entre le modeles et les mesures, je ne vois pas le mal à reprendre leur température, leurs relevées, leurs modèles et de les mettre devant leur contradiction.
          On peut attaquer un astrologue sur ses prédictions (en double aveugle) ce n’est pas dire que l’on est complice ou dupe.

    • Et si on ne crois pas au RCA, je suppose que tu nous interdit d’utiliser le terme puisque l’on n’y croit pas ? (Voir mon commentaire plus haut sur les raisonnements par l’absurde).

      Et dire que c’est des gens qui ne comprennent rien à la science et à la logique qui veulent régenter le monde au nom de la science !

      • On ne peut pas utiliser directement une valeur dont on pense qu’elle est vide de sens. On peut effectivement l’admettre temporairement, en précisant d’abord qu’elle est vide de sens*, pour montrer que même en l’acceptant on arrive soit à une contradiction soit à une conclusion différente de ceux qui l’utilise. Mais non on ne peut pas dire « ça ne vaut rien » le matin et l’utiliser le soir quand cela nous arrange.

        *ce que l’article ne fait pas pour la température moyenne mondiale, donc on doit présumer qu’il l’utilise au premier degré ce qui devrait gêner les sceptiques.

    • Contrepoints mis devant de ses contradictions

      • Contrepoints n’est pas un site monolithique, d’autant que beaucoup de ses articles sont de simple traduction d’articles étrangers. Que certains « climato-sceptiques » admettent la valeur de la température moyenne globale et d’autre la rejettent ne pose pas de problème en soi. Ce qui pose problème c’est d’accepter n’importe quel argument qui va dans le « bon » sens, même si ces arguments sont contradictoires ou hors-sujet (mais dans ce domaine personne ne battra jamais les écolos).

      • Si soulever les failles des divers modèles climatocommunistes aboutit à une contradiction, c’est que la contradiction vient en réalité de ces modèles.

  • Démolir une thèse ou une théorie ne requiert pas d’autorité (et pas forcément d’expertise). Il suffit de démontrer que ça ne tourne pas rond. Il n’est pas nécessaire de parfaitement connaitre tout le domaine en question, et il faut refuser de jouer à celui qui connait mieux le sujet : je peux dire à un docteur qu’il connait peut être mieux la médecine que moi, mais que son incitation au dépistage ou à la vaccination repose sur du vent.

    Défendre une théorie (selon les meilleurs données du moment) demande énormément d’expertise et de l’autorité : il faut à un moment faire confiance à quelqu’un qui vous affirme qu’il se base sur les meilleurs études. Parce que seul un expert sait quelles sont ces meilleures sources.

  • Ce type essaie juste de gagner un peu plus de temps pour son employeur, Point.
    Malheureusement, d’accord !
    A qui profite l’alarmisme climatique ?
    Et maintenant :
    A qui profite le statu-quo ?

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

La nécessité de décarboner à terme notre économie, qui dépend encore à 58 % des énergies fossiles pour sa consommation d’énergie, est incontestable, pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique, et pour des raisons géopolitiques et de souveraineté liées à notre dépendance aux importations de pétrole et de gaz, la consommation de charbon étant devenue marginale en France.

Cependant, la voie à emprunter doit être pragmatique et ne doit pas mettre en danger la politique de réindustrialisation de la France, qui suppose une... Poursuivre la lecture

Le CNES, Centre national d’études spatiales, est l’agence spatiale de l’État français. Elle est chargée d’élaborer et de proposer à son gouvernement un programme spatial, puis de le mettre en œuvre. Son président, Philippe Baptiste, a présenté ses vœux à la presse le 9 janvier. Ce qui frappe à première vue dans son message, c’est l’ambition, ce qui est bien, mais aussi le grand nombre d’objectifs. La France, pionnière dans le domaine spatial, a une tradition qui l’entraîne à se lancer dans de multiples projets. Mais, en tant que puissance pub... Poursuivre la lecture

L’INSEE vient de publier un bilan démographique pour l’année 2023 qui met en évidence un affaissement de la natalité française. Selon des sources concordantes, celle-ci n’est plus guère soutenue que par la fécondité des femmes immigrées. Ce qui laisse entrevoir à terme une diminution de l’effectif global de la population, et une nouvelle configuration de sa composition ethnique et culturelle.

Faut-il s’en inquiéter ? Pour la plupart de nos concitoyens, cette question n’a pas de conséquence directe et immédiate, encore moins pour les re... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles