Noir et libéral : un combat quotidien

Les libéraux sont bien moins intéressés par l’esprit communautaire et les stéréotypes que par les droits de chacun et la liberté pour tous.

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Noir et libéral : un combat quotidien

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 8 décembre 2013
- A +

Par Addie Hollis, depuis les États-Unis.

 

J’ai récemment eu une discussion avec une amie – social-démocrate – sur le fait que les libéraux ne sont pas d’accord entre eux sur tout.

« Évidemment que tu n’es pas d’accord avec tout ce que les libéraux disent », m’a-t-elle lancé. « Tu es noire. »

Les mains tremblantes (de colère), je lui ai répondu que ma couleur n’avait rien à voir avec le fait d’être d’accord ou pas avec les libéraux. Ils ne sont pas tout d’un seul bloc. Et les noirs non plus.

Je suis hautement consciente d’être noire. Sitôt que je l’oublie, il se trouve toujours quelqu’un pour me le rappeler – d’habitude ce sont les médias… ou bien un social-démocrate.

Cette obsession des races m’insupporte à tous les niveaux. En tant qu’individualiste et fière de l’être, j’enrage d’entendre des commentaires comme ceux de mon amie. Pourquoi toujours tout ramener à la race ? Les libéraux, bénis soient-ils, sont bien moins intéressés par l’esprit communautaire et les stéréotypes, que par les droits de chacun et la liberté pour tous.

C’est pour ça que je suis libérale.

Je sais que certains pensent que les libéraux ne parlent pas assez du racisme et du sexisme ; mais pour moi c’est justement ça qui est reposant. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de place dans le libéralisme pour ces sujets de réflexion. J’ai bien conscience que nous ne vivons pas dans une société exempte de discrimination. Mais je ne considère pas que ce soit décourageant, quand bien même c’est parfois frustrant. En fait, j’y trouve même des instants comiques.

Cela en vaut la peine, cette grande confusion et cet étonnement qui vient s’inscrire sur le visage de quelqu’un (généralement un social-démocrate) qui apprend que je n’ai jamais voté pour Obama, que je désapprouve la discrimination positive ou que j’affirme vouloir le départ d’Al Sharpton en retraite [NdT: c’est un pasteur noir militant célèbre de la cause antiraciste], pour qu’il cesse une bonne fois de nous rebattre les oreilles de ces bêtises.

Mais c’est aussi un peu triste que tant de gens présuposent que les noirs ne peuvent qu’être des sociaux démocrates votant pour le parti démocrate.

Ils disent qu’il n’y a pas de noirs libéraux. Qu’il n’y a pas de femmes libérales. Qu’il n’y a pas de femmes noires libérales.

Coucou ! Je suis là.

Nous n’étions certes pas beaucoup, mais notre nombre grandit. Et sur l’Internet au moins, je peux constater que nous sommes toujours les bienvenues. Il n’y a pas de défiance ni de préjugés fondés sur ma couleur.

Et c’est exactement comme cela que ça devrait être.


Sur le web. Traduction : J. Sedra pour Contrepoints.

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  • Pourtant, beaucoup de grands intellectuels libéraux américains sont noirs (ex: Thomas Sowell, Walter E. Williams, etc.). Si on entend rarement ces gens là à la télé, la faute est plutot à chercher du coté des médias.

    • Il faut écouter Thomas Sowell expliquer comment la sollicitude de la gauche pénalise les Noirs, dont la plus grande propension à voter à gauche est le résultat du matraquage gauchiste qu’ils subissent encore bien plus que les autres.

  • Le racisme a une place tout à fait important dans l’aile libérale au sens français ou libre échangiste. Il se trouve que les libre échangistes sont plutôt dans les états du sud et donc assez peu black friendly(démocrate ou républicain). Il existe un nombre très important de gens qui cherche à relier le libertarianisme et la suprématie de la race blanche http://techcrunch.com/2013/11/22/geeks-for-monarchy/ (c’est la dernière théorie à la mode).
    De plus un grand nombre de penseurs libertariens américains cherchent des excuse pour permettre l’esclavage plutôt que d’augmenter la richesse. Ce qui au Etats-Unis a toujours une certaine connotation.
    En France il y a aussi une connexion évidente entre l’extrême droite et le libéralisme dans les années 70-80. Alain Madelin est un de ces repentis. La greffe n’a pas prise parce que l’extrême droite française est corporatiste.
    Ron Paul qui est soit disant libertarien a clairement versé dans le racisme et est à l’heure actuel contre la circulation des « illigals immigrants ». http://www.economist.com/blogs/democracyinamerica/2013/07/libertarian-populism
    http://www.vice.com/read/yeah-ron-paul-is-racist-after-all-sorry

    • Les libéraux sont indifférents au racisme parce qu’ils ne sont pas constructivistes, l’égalité ou l’inégalité des races n’est donc pas un sujet politique pour eux.
      Pour les socialistes en revanche, une inégalité des races se traduirait politiquement, comme le passé l’a montré.
      Les régimes dits d’extrême droite ne sont pas proches et issus du libéralisme mais du socialisme.
      L’appellation d’extrême droite est uen tromperie.

  • La couleur de la peau n’a rien à voir avec la couleur politique ! Le Libéralisme ne voit que des individus.

    ET La social-démocratie défend mieux que l’extrême-droite, l’idée de race, le communautarisme et fait du multi-culturalisme un projet utopiste et dangereux pour la société. Et j’en viens de cette social-démocratie…

    Le Nationalisme ou l’idée de Nation est un concept beaucoup plus concret qu’on ne voudrait le penser, sur la base de valeurs culturelles, d’une histoire et d’une langue commune bien entendu et non sur la base « d’un même sang » ou d’une « ethnie ».

    • Je vois pas en quoi le « multiculturalisme » ou le « communautarisme » seraient dangereux pour la société. Et j’ai beaucoup mal à croire que l’homme lambda attache plus d’importance à ses enfants qu’à son pays… L’état et l’idée de nation sont par contre des concept fumeux aux quels ont donnent le sens que l’on veut. Ils ont jamais mené les gens bien loin.
      Pour ce qui est de la race, son sens moderne est d’origine scientifique même si sa réalité est très contestable pour le cas de l’homme et de bien d’autre espèces. Ce concept a été embrassé par la gauche et par la droite. La gauche à finit par rompre avec celui devant le peu d’argument scientifique le soutenant. La droite n’en fait pas spécialement le coeur de sa doctrine non plus, d’autant plus que les courant chrétiens fondamentalistes européens pense que cela contre dit la bible.

      • « Et j’ai beaucoup mal à croire que l’homme lambda attache plus d’importance à ses enfants qu’à son pays. » –> tu intègres avec cette phrase, en position 1257, ma liste de citations. Ce n’est pas un compliment. À moins que tu aies voulu dire l’inverse ? (Je laisse toujours une chance en décembre.)

    • bonjour,

      quelqu’un pourrait’il enfin m’expliquer ce qu’est le multi-culturalisme, ou, ce que j’imagine être sont contraire, le mono-culturalisme ?

      le principal problème que je vois dans ce concept est le fait que la culture soit toujours reliée a une appartenance ethnique.

      un retraité blanc, ancien agriculteur, de la campagne, qui n’aime pas la ville, plutôt conservateur au niveau sociétal qui aime regarder le foot a la TV n’a pas la même culture qu’un jeune blanc de la ville, fan de manga, et écologiste militant…

      nous somme dans une société ou il y a autant de culture que d’individus, bien que l’on partage souvent des centre d’intérêt avec ses proche, nous n’avons pas les même héros, lecture, style de musique, style de vie…

      alors pourquoi les libéraux cherchent ils toujours a ramené la culture a une appartenance ethnique ?

      la criminalité n’est pas la conséquence d’un multiculturalisme ethnocentré mais plutôt celle de la discréditation incessante des droit fondamentaux par toutes les entités socialiste de France.

      les droit de l’homme, de 1789, non modifiée par les force socialisante, interprétés comme ils étaient prévus d’être interprétés (exemple : payer des impôt a raison de ces capacités signifie proportionnellement) permettent de définir les seule règles nécessaire a la construction d’une société prospère.

      a quand des cour, dès la primaire, sur « pourquoi les philosophes des lumière souhaitaient un droit de la propriété fort pour assurer la cohésion sociale ? »

      • « quelqu’un pourrait’il enfin m’expliquer ce qu’est le multi-culturalisme »

        Forcer à vivre sous une même loi des groupes qui pour des raisons culturelles VEULENT vivre sous des lois différentes ? Rien a voir avec le fait de preferer la musique pop au classique.

        • Affirmer que l’individu se définit non par lui-même, mais par la culture à laquelle il appartient, et que toutes les cultures sont égales, surtout les minoritaires.

          • Je comprends mais le droit de propriété n’est pas seul réservé aux individus les entreprises possèdent les associations possèdent.Eux ceux ci forment des groupes (et même parfois des lobbys), je ne vois pas en quoi c’est mal. Penser qu’il n’y a que des individu dans nos société c’est ne pas voir la réalité. Il y a des animaux des murs des groupes de musiques ect…. Tous sont légitimes. Lorsque les enfants sont en bas âge c’est sa communauté autrement appelé sa famille qui décide pour lui. Personne ne s’en offusque. C’est bien un cas flagrant de définition social d’un individu par sa communauté mais qui ne vous choque pas je pense.

          • Bien sûr, si l’individu souhaite se définir lui-même en fonction des communautés et des cultures auxquelles il appartient, c’est très bien. C’est quand c’est autrui fait passer ces éléments devant son individualité que ça cloche. L’individu cesse alors d’être libre pour être à la merci de son groupe ou de la vision que le reste du monde a de son groupe. Il est réduit à son appartenance. Réduit.

          • @Cédric : le droit de propriété est individuel. La propriété des diverses communautés humaines n’est qu’une extension accessoire, par subsidiarité, du droit de propriété individuel. Sans propriété privée individuelle, la propriété communautaire n’existe pas : on ne peut pas donner à la communauté ce qu’on ne possède pas individuellement.

            Par ailleurs, une communauté n’est légitime que si elle respecte l’individu, donc tant que l’adhésion à cette communauté reste volontaire et que l’individu peut y renoncer à tout instant. Une communauté, même de dimension nationale, qui ne respecte pas la liberté individuelle est une institution immorale, illégitime (illibérale). Les Etats-nations qui s’accommodent de l’immoralité sont condamnées à dépérir puis à disparaître.

            Enfin, votre exemple sur les enfants et la famille est hors sujet car d’une part l’enfant, s’il est un individu en devenir, n’est pas un individu accompli et d’autre part la famille n’est pas qu’une institution forgée par l’expérience. La famille, loin d’être une communauté comme vu ci-dessus, est d’abord le reflet de la nature humaine. Quoi qu’on fasse, l’enfant aura toujours un père et une mère. Avant d’être individu, l’enfant est ses deux parents. L’amour que les deux parents donnent à leur enfant est un absolu indépassable et les ersatz artificiels de familles ne pourront jamais l’égaler.

        • @Patrick, +1

          C’est ce que j’entendais par la politique multiculturaliste de la social-démocratie française.

          Ce « forcé de vivre ensemble sous des lois différentes » est en contradiction avec le modèle Républicain (un seul droit)

      • Mono-culturalisme: Maladie française, qui consiste à vouloir couper des têtes qu’un individu sort du tas. Voir aussi génocide de Vendée, interdiction de parler son patois, vouloir transformer l’Europe en un état français en plus grand(et plus gros…).

  • La traduction de cet article le rend complètement incompréhensible. Depuis quand le mot anglais « liberal » se traduit-il par « social-démocrate »? sans parler de « libertarian » traduit par « liberal »… Les traditions politiques des États-Unis sont extrêmement différentes de celles de l’Europe; les confondre comme vous le faites ici brouille complètement le propos de l’auteure de l’article. À moins que cela soit le but et que vous vouliez tordre et utiliser le texte comme arme dans un combat politique ici en Europe, et dans ce cas, c’est pure malhonnêteté.

    Contrepoints >> Il s’agit pourtant d’une traduction tout à fait correcte.
    « Liberal » en anglais correspond bien à « social-démocrate » par chez nous.
    Et « libertarian » désigne bien les libéraux outre-Atlantique.
    Vous ne le saviez pas ?

    • N’est-ce pas justement la traduction correcte (liberal = socialiste) qui est proposée par le traducteur, respectant la pensée de l’auteur ?

      Sinon, excellent article ! Reprocher à un noir d’être libéral est l’acmé du racisme, tellement caractéristique du socialisme !

    • Depuis quand l’anglais « liberal » veut dire social-démocrate? Depuis longtemps. L’archétype du « liberal » américain, c’est Barack Obama.
      Quant à « libertarian » traduit par libéral, ça reste logique. Va lire le programme du Libertarian Party, ce sont les mêmes qui sont prônées ici.
      Aucune tentative de malhonnêteté…sauf peut-être de ta part.

      • Mais Barack Obama n’est pas Social Démocrate! Il serait centre droit Borloo sur l’échiquier français. Et aux Etats Unis ils font pas franchement la différence entre social démocratie et communisme… Libéral en Europe ça désigne aussi des gens qui ne sont pour le progrès et la sciences. Ce qui n’est pas vraiment le cas de bon nombre de libertariens qui refusent le darwinisme.

        • « Ce qui n’est pas vraiment le cas de bon nombre de libertariens qui refusent le darwinisme. »

          Voilà, tout est dit.
          « Vous êtes libertarien, donc j’imagine que vous refusez le darwinisme ! »

          • Ils ne font pas beaucoup pour sa promotion Ron Paul le premier. Et c’est pareil pour le réchauffement climatique qui à mes yeux n’est absolument pas prouvé, mais ils le transforment en un espèce de complot international….
            Personnellement je suis contre toute forme d’état, on peut donc me définir comme libertarien. Je n’ai aucun problème avec la science.
            J’ai posté un plus haut des références de the economist sur le racisme et Ron Paul. Si les libertariens aux Etats Unis sont perçus par une bonne partis des gens comme étant d’extrême droite ce n’est pas pour rien. On est pas obligé de tout voir comme eux.

          • @Cédric,
            Ce que les négateurs des races qualifient de racisme chez Ron Paul n’est rien d’autre que du réalisme racial.

        • Les libéraux ne s’occupent pas des croyances des gens, tout ce qui compte c’est que chaucn soit libre de vivre sa vie comme il l’entend et bien sur qu’il laisse les autres faire de même. Contrairement au socialistes de tout poiles les libéraux (libertariens) ne prétendent pas détenir la vérité suprême et ne cherche pas à imposer leurs croyances à la terre entière.

        • « le cas de bon nombre de libertariens qui refusent le darwinisme. »

          Comment peut-on « refuser le Darwinisme ? « @ Tea Party » vous concède que certains libertariens réfutent cette thèse. Réfuter, où tenter de réfuter est consubstantiel de la science. et de la liberté.

      • @ Cédric Salvador :  » L’archétype du « liberal » américain, c’est Barack Obama » . Ne venez pas dire cela dans une réunion des Tea Party, voire chez les Républicains ! Attention : Le port d’armes est légal  » chez nous  » ! et le français passe déjà bien de trop, pour un imbécile communiste patenté, ce qu’il est.

        @ Cédric : vous avez raison,  »socialisme » aux USA, et relié au communisme, dont une insulte … justifiée ! Obama est socialiste ! Comme le prouve, l’ Obamacare,  » l’oeuvre de sa vie » !! dont nous aurons la peau, quand il partira .
        Merci, de ne pas oublier, qu’effectivement certains  » extrémistes » réfutent le darwinisme, il y en a, au sein des Tea Party, qui sont en fait un patchwork de multiples petits partis, mais ils sont minoritaires, fort heureusement, et acceptés au nom de la liberté de penser, la vraie. Nos ennemis, bien sur, ne parlent que d’eux !

    • Philologus : « Depuis quand le mot anglais « liberal » se traduit-il par « social-démocrate »? sans parler de « libertarian » traduit par « liberal »…  »
      ————————-
      Depuis toujours, s’agissant des USA. La traduction de Contrepoints est donc parfaitement fidèle.
      Soit dit en passant, « liberals » signifie gauchiste aux USA, mais pas en Australie où il a son vrai sens original, à savoir « libéraux » (le Liberal Party australien est… libéral).
      Preuve une fois de plus de la manie orwellienne des gauchistes de déformer systématiquement le sens des mots. Après avoir avoir pillé le mot « liberals » pour éviter de se nommer « communists », ce qu’ils sont réellement, ils ont rendu le mot « liberals » tellement imbuvable qu’ils se sont rebaptisés « progressists » alors que ce sont les pires réactionnaires sur une foule de questions fondamentales (économie marxiste, malthusianisme, environnemntalisme à la Rousseau…).

  • Contrepoints >> MESSAGE MODÉRÉ
    Les propos racistes ne sont pas tolérés.

    • Parce que la théorie démocrate et socialiste est que l’on doit choisir pour qui on vote en fonction de la couleur de sa peau ?

      • Oui. Si vous en voulez bonne preuve je peux vous conseiller de visionner les séries télé américaines du moment, qui donnent un assez bon instantané du ‘gestalt’ des USA. On y trouve à la fois ces clichés (noir=démocrate, femme=démocrate, vieux blanc riche = républicain) à la pelle, et en même temps une dénonciation de ces clichés (dans The Newsroom, par exemple).

    • Pourquoi? Toujours pour les même raison : les démocrates (les socialistes du cru) promettent toujours l’argent des autres aux « pauvres » cela s’appel acheter des voix.
      Le processus est identiques aux Venezuela et partout ailleurs, des politiciens corrompus trompe les électeurs naïfs en leur promettant monts et merveilles, ça marche à tout les coups…

      • Il y a des tas de gens pauvres aux US qui sont républicains tout le monde le sait. Et puis la subventionnite grave touche autant le parti républicain que démocrate.

    • Contrepoints >> MESSAGE MODÉRÉ
      Les propos racistes ne sont pas tolérés.

      • Si les faits sont têtus votre analyse, elle, est idiote : expliquer le vote noir en faveur d’Obama comme vous le faites c’est ignorer tous les faits qui ne colle pas avec votre vision des choses. Comment expliquez vous que les autres « minorités », y compris celles qui ont des QI supérieurs à la moyenne, votent aussi démocrate ?

        Les juifs ont voté pour 74% pour Obama, alors qu’il n’est pas juif et que les républicains n’ont pas du tout une image anti-juifs. On peut aussi rajouter que les asiatiques ont voté pour lui à 73%, les hispaniques à 71%…

        Disons les choses clairement : pour moi vos propos sont totalement racistes et totalement « puants ». Jugez les gens en se basant sur la couleur de leur peau j’appelle cela… du racisme ! Comme on dit : les faits sont têtus.

        • Contrepoints >> MESSAGE MODÉRÉ
          Les propos racistes ne sont pas tolérés.

          • Désolé de vous couper dans votre envolé, mais Haiti a été ruiner par la France après que celle-ci ai acquis son indépendance. Vous me direz mais comment? L’impot! He oui jamais en manque d’imagination on a réussi a inventer un impot pour dédommager les esclavagistes… Haiti était alors l’un des pays les plus riches du monde.

          • Contrepoints >> MESSAGE MODÉRÉ
            Les propos racistes ne sont pas tolérés.

          • Je suis entièrement contre la discrimination positive, je vois pas ce que cela vient faire là-dedans. Un élément totalement hors-sujet qui sert… à noyer le poisson !

            « Les faits sont têtus en effet, et comme vous n’y trouvez rien à redire, vous essayez de noyer le poisson en pinaillant sur un détail pour ignorer tout le reste.

            Je ne pinaille pas du tout. Votre analyse est éclairante : si les juifs et les asiatiques votent massivement pour les démocrates c’est pour des raisons politiques et historiques plus ou moins rationnelles. Si les noirs en font autant c’est.. qu’ils sont incapables de faire un choix rationnel. Le même fait qu’on explique par des causes différentes quand cela nous arrange.

            Rien que l’expression « les faits sont têtus », que j’ai reprise ironiquement, est révélatrice de votre incapacité à avoir une analyse correcte (ce qui par essence implique d’aller au-delà des faits particuliers et d’utiliser l’abstraction). Neuf fois sur dix quand quelqu’un utilise cette expression c’est d’ailleurs pour dire n’importe quoi : pas étonnant pour une expression de Lénine qui l’utilisait pour défendre l’idée que « les faits confirment la justesse de la ligne du bolchévisme et ses progrès » !

            « Et en sortant comme prévu le couteau-suisse des arguments creux : le racisme. »
            Dire qu’un propos est raciste n’est pas un argument : c’est une affirmation, fondée sur une définition. Si vous affirmez que les noirs sont par essence stupides, violents et incapables de se gouverner eux-mêmes et… bien vous êtes tenez des propos racistes, au sens strict du terme. Vous reprochez au gauchiste de manipuler systématiquement le sens des mots mais vous en faites autant en refusant d’appeler un chat, un chat.

            Assumez : dites que la réalité valide les théories racistes d’infériorité de certaines races. J’aurais plus de respect pour vous. Je pense que vous vous trompez radicalement, mais je n’ai pas vraiment la motivation pour faire des commentaire aussi longs que les vôtres pour expliquez en quoi. (Si c’est la loi qui vous empêche d’assumer, contentez-vous de ne pas rejetez hypocritement l’accusation de racisme.)

  •  » pour moi, new york, c’est un grand noir avec un couteau, qui vous courre aprés… « 

  • Cédric : « Je comprends qu’on puisse être suprématiste mais je vois pas bien le lien avec le libéralisme. »
    —————————
    Fucius vous avait déjà répondu plus haut. Mais vous n’écoutez rien, vous ne comprenez rien, vous n’apprenez rien, vous continuez de raconter n’importe quoi sur le libéralisme.

    Je le répète, en tant que libéral, je m’en fiche qu’il y ait des races ou qu’une race soit supérieure ou inférieure à une autre, comme on s’en fiche qu’il y ait dans la famille des enfants plus ou moins intelligents ou riches ou beaux que d’autres.
    Ce que je dénonce, c’est l’exploitation politique de la notion de race, surtout par les socialauds et marxistes

    [
    Contrepoints >> MESSAGE MODÉRÉ
    ]

    Au passage, histoire que vous arrêtiez d’étaler votre ignorance crasse sur le libéralisme, aux USA, les esclavagistes, ségrégationnistes et autres suprémacistes avaient toujours été… les Démocrates donc les gauchistes jusqu’à l’après 2nd guerre mondiale. Ce qui montre bien que les gauchistes n’en ont rien à battre des noirs et que les noirs sont incapables de voter avec discernement. En Europe, le pire génocide racial a été commis par les… national socialistes allemands. Les libéraux n’ont jamais été lié à rien de cela.

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