Il faut donner le prix Nobel de physique au GIEC

Le GIEC nous annonce fièrement que la probabilité pour que le réchauffement climatique soit d’origine anthropique est de 95%. Vraiment ?

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Il faut donner le prix Nobel de physique au GIEC

Les points de vue exprimés dans les articles d’opinion sont strictement ceux de l'auteur et ne reflètent pas forcément ceux de la rédaction.
Publié le 15 octobre 2013
- A +

Par Jean-Pierre Bardinet.

giec perdu dans la scienceLe résumé pour les décideurs (SPM) en quelques mots : « Depuis que nous avons commencé en 1990, nous avons vu juste pour l’Arctique, faux pour l’Antarctique, faux pour la troposphère tropicale, faux pour la température de surface, faux pour les ouragans, faux pour les Himalayas, faux pour la sensibilité climatique. Nous sommes dans le brouillard au sujet des nuages et inutiles au sujet des tendances régionales. Et au vu de ces constats, nous sommes confiants à 95% d’avoir raison. »  – Ross McKitrick.

On nous annonce fièrement que la probabilité pour que le réchauffement climatique (oui, ce terrible réchauffement climatique de +0,7°C depuis 150 ans…) soit d’origine anthropique est de 95%. Ce qui veut dire qu’il n’y a aucune preuve de l’action présumée du CO2 sur la température globale, sinon ce serait 100%.

Mais d’où vient ce 95%, repris avec soulagement par tous nos médias, qui ont eu peur de se voir pris en flagrant délit de propagande et de mensonges éhontés… ? Il provient d’une demande de représentants de gouvernements lors de la négociation du résumé de l’AR5 pour les décideurs (SPM). Donc la probabilité pour que cette probabilité ait un sens est de 0%. Et cette assertion, qui est à 100% anthropique, a une probabilité de 100% d’être exacte…

Le problème du GIEC et de ses affidés, c’est qu’il n’y a AUCUNE preuve scientifique que le CO2 (0,04% de l’atmosphère et deux bandes émissives étroites à 4,6 et 15 microns, alors que la vapeur d’eau, 1% à 4% de l’atmosphère, a un large spectre d’absorption IR) ait un rôle majeur sur la température globale. Si le CO2 avait une action significative, sa signature existerait en zone tropicale, ce qui n’est pas le cas :

fig1 giec
http://www.drroyspencer.com/wp-content/uploads/Spencer_Misdiagnos_11.pdf

Le GIEC est très embêté par tout cela, par toutes les publications « GIECquement très incorrectes », et par les divergences de plus en plus grandes entre les projections des modèles numériques et les observations. Car la température globale est stable depuis 1997, et le GIEC ne peut plus le cacher…S’il s’avérait que les thèses du GIEC sont fausses, et que nous avons été leurrés et pécuniairement plumés pour de sombres raisons idéologiques, il s’ensuivrait un tsunami planétaire qui devrait faire perdre toute crédibilité à l’ONU, l’OMM, l’UNEP, l’UE, les gouvernements, les politiques, les « escrologistes » (bon, pour eux c’est déjà fait), et les médias complices depuis belle lurette.

Il est donc vital de trouver une explication à ce fichu plateau de température globale depuis 1997, afin de sauver le dogme du réchauffement climatique anthropique, les modèles numériques et leurs projections, et afin que perdurent les grasses subventions aux bêlants disciples du dogme ainsi que toutes les politiques inutiles et ruineuses qui en découlent.

Donc, le GIEC, dont la créativité est immense quand il s’agit de raconter tout et n’importe quoi, nous explique à présent, à nous, pauvres ignares, qu’il y a en fait une énorme quantité de chaleur « perdue », prévue par leurs magnifiques modèles numériques, et qu’elle se trouve tapie dans les profondeurs océaniques. Et que, quand elle surgira, vous allez voir ce que vous allez voir, non mais !… Or, depuis 2003, les 3300 sondes océaniques ARGO ont mesuré un léger refroidissement des océans, de la surface à une profondeur de 700 m (1000 m pour les sondes récentes).

fig2 giec

La chaleur perdue serait-elle néanmoins descendue dans les abysses océaniques, comme l’affirment les dirigeants du GIEC, car ils considèrent que les modèles numériques ne peuvent se tromper et il leur est impensable d’avouer qu’ils sont faux.

Voyons cela de plus près. Si tel était le cas, cette chaleur perdue aurait augmenté les températures de surface, ce que les 3300 sondes ARGO auraient détecté, puis elle aurait diffusé à partir de la surface vers les couches plus profondes (700 à 1000 m), ce que les sondes auraient aussi détecté. Eh bien non, rien de tel n’a été détecté par les sondes. Donc elle est passée par un autre chemin, et le GIEC a alors  fait une extraordinaire découverte qui explique tout : il existe un mode inconnu de transfert de chaleur : le transfert quantique (comme l’effet tunnel), qui, de plus, évite subtilement de passer par les couches balayées par les sondes ARGO…

Il faut tout de suite donner le prix Nobel de physique à ces éminents scientifiques du GIEC pour cette extraordinaire découverte qui fera date dans l’histoire de la science…

Usque tandem, delirium carbonum, abutere patientia nostra ?

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  • Est-ce que manger énormément des glaces à la crème modifie la gravité au voisinage d’un pèse-personne?

  • « il existe un mode inconnu de transfert de chaleur : le transfert quantique (comme l’effet tunnel), qui, de plus, évite subtilement de passer par les couches balayées par les sondes ARGO… »

    J’ai bien ri de bon matin.
    Merci pour cet article.

  • C’est effectivement une découverte extraordinaire. comme les modèles du GIEC ne peuvent pas se tromper, on ne peut donner qu’une explication : C’est toute cette chaleur « perdue » dans les océans qui a permis leur refroidissement.

    Le GIEC vient donc de mettre en évidence un cas où le second principe de la thermodynamique ne s’appliquerait pas.

    Si ça ne vaut pas le Nobel …

    • Fabuleux !
      C est toujours le même principe avec les escrologistes : ils arrivent toujours à sortir un théorie dans laquelle l entropie baisse massivement. Et à chaque, je rigole bien.

  • Succulent ! Je diffuse à tout mon carnet d’adresses !

  • La liste de Ross McKitrick du début de l’article ne prétendait pas à l’exhaustivité. Quelques items oubliés

    – Faux pour la montée des eaux, au moins autour des îles et à Concarneau.
    – Faux pour la disparition de la neige, au moins en hiver.
    – Faux pour les tornades et cyclones, au moins sur la planète.
    – Faux pour la disparition des ours, au moins polaires.
    – Faux pour le climat tropical à Londres, au moins en Angleterre.

    Par contre, concernant le « juste », la liste de Ross McKitrick est complète :
    – Juste pour la banquise Arctique, en attendant l’an prochain

    Bravo Jean-Pierre, avec un bémol : pour le « Transfert quantique », le Nobel paraît un peu juste. « Prix Nobel » ne veut plus dire grand-chose depuis qu’ils filent le Nobel de la PAIX à des gens qui ont bien du mal à nous la foutre …

    • « Juste pour la banquise Arctique, en attendant l’an prochain »

      En quoi l’an prochain va-t-il modifier la donne ?

      • Bon, je ne saurai jamais pourquoi les données de banquise de 2014 modifieront le « juste pour la banquise arctique ».

        Dommage.

    • Encore une fois, je proteste. Jamais la disparition de la neige ne fut prevu (pourriez precisez ou vous parler).
      Les tornades et les cyclones, c’est de l’amalgame. Le climat tropical a Londdres, la c’est trop… deja que le mediterraneen c’etait n’importe quoi, etc..

    • « climat tropical à Londres »

      Tropical à présent.

      Dans un précédent article, minitax, P. et consorts ont été bien en peine de me fournir les « centaines d’articles sur Google Scholar » traitant du passage au régime méditerranéen en Grande-Bretagne.

      A présent, le voici tropical le climat promis.

      Des références ?

      • Allo Papy ? Ce climat tropical promis, il sort d’où ?

        Amateur de couvre-chefs, Minitax ne s’offusque étonnamment pas de voir Papy sortir des assertions du chapeau.

        Vous avez décidément le jugement sélectif ici.

        • Dites, Luc, aujourd’hui encore, vos grands scientifiques réchauffistes parlent d’un climat plus que méditérranéen pour Londreset la Belgique. Vous vous foutez de qui ? Lamentable personnage que vous êtes.

          « Un coup de chaud sur la Terre dès 2056 Thomas Leroy Publié le dimanche 20 octobre 2013 à 05h33 – Mis à jour le dimanche 20 octobre 2013 à 17h48 Monde C’est l’année où, en Belgique, les températures maximales actuelles seront devenues les minimales. L’étude fait froid dans le dos. Des chercheurs de l’université d’Hawaï ont enquêté sur un nouvel indicateur de réchauffement : l’année où les températures mensuelles les plus basses seront supérieures aux températures mensuelles les plus chaudes vécues de 1860 à 2005. « Les résultats de l’étude nous ont choqués. Dans une génération, le climat tel que nous l’avons toujours connu sera du passé », a commenté Camilo Mora, auteur principale de cette étude publiée par la revue Nature. Dans un scénario d’émissions de gaz à effet de serre inchangées par rapport à aujourd’hui, ce cap virtuel pourrait être atteint de façon globale sur l’entièreté de la planète dès 2047, selon les chercheurs. Dans un scénario plus optimiste, incluant des mesures plus importantes contre le CO2, l’échéance serait retardée à 2069. Si on se base sur le premier scénario, Londres et Bruxelles connaîtraient des minima à hauteur des maxima actuels dès 2056. Quarante-trois ans ! Et nous serons parmi les derniers à vivre cette situation climatique. D’après les statistiques et chiffres récoltés par les chercheurs puis l’analyse qu’ils en ont faite, certaines régions d’Indonésie vivraient ce changement dès 2020… À Lagos, au Nigéria, 2029 serait l’année charnière. Le Caire, Bagdad, Mumbai ou Bogota suivrait dans la décennie suivante. En Europe, Rome serait dans cette situation à partir de 2044. Plus au Nord, douze ans seraient encore nécessaires avant pareille modification climatique. D’une manière générale, ce sont en premier lieu les zones tropicales qui vivront cette hausse des températures.

          • Vous rigolez ou quoi ? Vous savez ce qu’est au moins un référence correcte ?

            Vous n’avez aucune idée de la manière dont se fait la bonne science, à des références de Nature, tel PapyJako, vous me filez un bout de papier de la DH écrit par je ne sais quel journaliste.

            On croit rêver, le pire étant que vous basez vos pseudo-raisonnement sur base de ces bouts de torchon.

            Je vous demande des fameux ARTICLES Scientifiques traitant du climat tropical à Londres.

          • Lamentable Luc. La revue chauffagiste « Nature », qui a publié l’étude « scientifique » commentée par le journaleux, n’est pas une revue scientifique. On est d’accord.
            Maintenant, écrivez ce que vous voulez, et continuez vos minables arguties.

          • Vous êtes un rigolo Célestin.

            Ma main à couper que vous n’avez pas pris une seule seconde de vérifier la source primaire (quoi ? qu’est-ce ? ah bon, il fallait le faire ?). Ca passe chez Contrepoints, vu le niveau, ça passe plus difficilement dans les mlilieux académiques.

            « The projected timing of climate departure from recent variability

            Camilo Mora,
            Abby G. Frazier,
            Ryan J. Longman,
            Rachel S. Dacks,
            Maya M. Walton,
            Eric J. Tong,
            Joseph J. Sanchez,
            Lauren R. Kaiser,
            Yuko O. Stender,
            James M. Anderson,
            Christine M. Ambrosino,
            Iria Fernandez-Silva,
            Louise M. Giuseffi
            & Thomas W. Giambelluca

            Nature
            502,
            183–187
            (10 October 2013)

            Published online
            09 October 2013  »

            Vous croyez VRAIMENT que ça parle de climat tropical à Londres ??? Et vous osez traiter vos interlocuteurs de lamentable ?

            « Unprecedented climates will occur earliest in the tropics and among low-income countries, highlighting the vulnerability of global biodiversity and the limited governmental capacity to respond to the impacts of climate change. Our findings shed light on the urgency of mitigating greenhouse gas emissions if climates potentially harmful to biodiversity and society are to be prevented. »

            Des incroyables amateurs ici, hallucinant !

          • Alors nous sommes d’accord. C’est en quelque sorte un point de non retour. Si « Nature » constitue une source non crédible, je crois effectivement qu’il n’y a pas lieu de discuter avec vous.

            Deux dernières choses:

            – Les yeux dans les yeux, vous l’avez lue cette étude ?
            – Quelles sont, à vos yeux, les références crédibles ? PapyJako et son cherry-picking ? Jean-Pierre et ses bouées ? Minitax et ses insultes ?

          • C’est hallucinant, la Dernière Heure les Sports belge constitue une meilleure source que « Nature ».

            On dépasse les limites de l’entendement.

    • Bonjour Jean-Pierre,

      Que penser de la compilation de 7 sources de données indépendamment publiées et concluant à la même tendance générale (je vous laisse deviner laquelle) ?

      http://www.nature.com/nature/journal/v465/n7296/pdf/nature09043.pdf

    • et faux aussi sur la crosse de hockey de Mann puisque l’Optimum Médiéval qui avait été effacé dans l’AR4 par des manoeuvres statistiques trompeuses et réapparu dans l’AR5

  • Bonjour Contrepoints,

     » […] c’est qu’il n’y a AUCUNE preuve scientifique que le CO2 (0,04% de l’atmosphère et deux bandes émissives étroites à 4,6 et 15 microns, alors que la vapeur d’eau, 1% à 4% de l’atmosphère, a un large spectre d’absorption IR) ait un rôle majeur sur la température globale […]  »

    Le problème de cette phrase c’est qu’elle ne s’articule sur aucun raisonnement valide et comporte au moins trois erreurs grossières. La comparaison entre CO2 et H2O sous entend que le fait qu’un constituant se retrouve à l’état de ppm dans l’atmosphère n’a pas de rôle majeur. Or, non seulement c’est faut, à savoir que des molécules à l’état de trace peuvent tout à fait avoir un rôle majeur dans n’importe quel système qu’il soit climatique, biologique, … mais en plus, l’auteur « oublie » de mentionner que: 1. ce constituant a vu sa teneur doubler environ pendant l’ère industrielle ce qui dans un système initialement à l’équilibre peut voir ses paramètres changer. 2. Les effets de serre dû à l’eau, au méthane, … sont bien connus et entièrement pris en compte dans les analyse, et en soustrayant l’effet de ces constituants on peut en déduire les effets du CO2.

    Pour ce qui est de la chaleur accumulée dans les océans, retournons le problème. Plutôt que de détruire le discours actuel ce que vous faites, je vous propose d’un construire un qui tienne la route à votre tour. Le système Terre a accumulé d’énormes quantités de chaleur ces dernières décennies, nous sommes je l’espère d’accord là-dessus. Question: si elle n’est pas dans les océans, où diable est-elle passée selon vous ?

    • *faux* fallait-il lire

    • « Question: si elle n’est pas dans les océans, où diable est-elle passée selon vous ? »

      Luc not snad.

    • « Le système Terre a accumulé d’énormes quantités de chaleur ces dernières décennies, nous sommes je l’espère d’accord là-dessus.  »
      —————————-
      NON !

        • @Luc
          « ceci » = estimations basés sur des données ajustées et non ajustées et sur des modèles sortis du chapeau => poubelle. Lisez le dans votre propre lien !
          Et vous, niez-vous que les « estimations mises à jour » issues de la DAO (divination assistée par ordinateur) n’ont rien à voir avec des mesures et que vos « énormes quantités de chaleur accumulée » reposent sur du vent ?

          « We provide updated estimates of the change of ocean
          heat content and the thermosteric component of sea level
          change of the 0–700 and 0–2000 m layers of the World
          Ocean for 1955–2010. Our estimates are based on historical
          data not previously available, additional modern data, and
          bathythermograph data corrected for instrumental biases.
          We have also used Argo data corrected by the Argo DAC if
          available and used uncorrected Argo data if no corrections
          were available at the time we downloaded the Argo data. »

          • Merci minitax pour votre contribution majeure.

            En général, lire l’article en entier, cela fait plus sérieux. Le comprendre est un plus.

          • Luc : « En général, lire l’article en entier, cela fait plus sérieux. Le comprendre est un plus. »
            ————————-
            Effectivement.
            Vous devriez répéter plusieurs fois ce bon conseil qui sort de votre grande gueule mais ne rentre toujours pas dans votre petite tête.

          • Pour le chapeau, si c’est de la méthodologie dont vous parlez, je vous aide un peu.

            ftp://ftp.nodc.noaa.gov/pub/WOD09/DOC/wod09_intro.pdf

            Ne vous contentez pas de 10 premières lignes cette fois.

          • Luc : « Pour le chapeau, si c’est de la méthodologie dont vous parlez, je vous aide un peu. »
            ————————-
            Oui donc, la base de données de la NOAA confirme qu’avant les années 80, il y a que dalle comme mesures, pas de bouées fixes, pas de bouées dérivantes, nada, zilch.
            Mais avec ça, nos climastrologues savent qu’il y a eu « d’énormes quantités de chaleur » cachées ces dernières décennies dans les océans, en comparant à une référence sortie du chapeau. Donc, vous confirmez que c’est bien une clownerie, typique des fables réchauffistes.

            Soit dit en passant, profitez des liens que vous collez et qu’évidemment vous n’avez pas lus pour nous trouver les prétendues mesures de pH, prétendument preuve de la prétendue « acidification » des océans prétendument responsable de la prétendue dissolution de la coquille de prétendues espèces dont on attend toujours un seul nom. Eh oui, ces prétendues ***mesures*** de pH, on les attend toujours.

    • Le problème c’est que vous partez d’une hypothèse (dont tout laisse à penser qu’elle est erronnée), à savoir que sur ces dernières années une énorme quantité de chaleur a été « accumulé » par le système terre. Si on part de l’hypothèse que le soleil n’a pas connu de bouleversement terrifiant le poussant à rayonner beaucoup plus d’énergie que d’hab’ et que l’albédo général de la planète n’a pas été follement modifié (faudrait le prouver, OK, mais je le soupçonne finalement assez stable), la quantité d’énergie entrant dans le système est restée stable, et celle en sortant idem.
      Où sont les fameux milliards de milliards de milliards de watts « excédentaires » qui sont partis se cacher dans le fond des océans ? Issus d’un calcul qui confond un système semi-ouvert (la planète terre) et une vulgaire serre de maraichers ? De modélisations qui n’ont jamais fourni un résultat statistiquement fiable ? De théories qui doivent plus à l’idéologie qu’à la construction logique scientifique ? Ou plus simplement du besoin d’inventer des trucs pour avoir du pognon, plein de pognon, sans avoir à le produire ?

      •  » … l’albédo général de la planète n’a pas été follement modifié (faudrait le prouver, OK, mais je le soupçonne finalement assez stable) …  »

        Je rêve. Vous soupçonnez ?

        Mais comment voulez-vous que nous ayons ne fut-ce que le début d’une discussion rationnelle avec ce type de raisonnement aberrant ?

        • Hé oui, contrairement à vous je n’affirme pas ex-abrupto. Je demande à voir (mais ça va être compliqué de me les fournir) des séries de mesures précises de l’albedo total (pas des moyennes sur des trucs bidouillés, hein) sur les 30 ou 40 dernières années, mettons… Idéalement sur les 3 ou 400 dernières années.
          Après, quand vous verrez que les variation sont bien à l’intérieur de l’intervalle de confiance de la mesure, comme pour les températures, et que vous aurez compris que brandir le consensus ou même des publi ne suffit pas à établir une vérité, on pourra parler, en effet.

          • Du vent Franz, comme tous vos confrères ici, vous êtes incapable de fournir une seule référence valide, hormis des liens vers d’obscurs blogs formatés.

            Pour les affirmations « ex abrupto », offrez-vous la peine de lire les liens vers les études que j’ai fourni plus haut, et plus bas.

            Par contre, pour les articles étayant les propos de Contrepoints, on les attend toujours.

    • Non. Ce n’est pas parce que des modèles numériques le prétendent que c’est vrai. Appliquons tout simplement le principe du rasoir d’Ockam: il n’y a aucune chaleur perdue dans les océans.

      Et les modèles sont faux (on en était déjà certains, vu le nombre de processus non modélisable, comme par exemple le cycle de l’eau).

      • IL faudrait écrire un article ou un livre sur « La petite cuisine des modèles numériques », avec des vrais bouts de témoignages de cuisiniers dedans. Quitte a ce que ce soit un peu repoussant pour les non matheux, je pense que ce serait assez comique. Avec ou sans sel, le modèle? Et si on rallonge la sauce? Et a feux doux le réchauffement, ou a feu vif?

        L’analogie avec la cuisine est assez bonne : en cuisine on sait quel gout on veut obtenir, et on ajoutera un peu de paprika, on enlevera un peu de cumin pour ça. J’ai bien peur qu’avec les modeles, les bidouillages de constantes et les simplifications drastiques tiennent lieu de moyens, en vue du « gout a obtenir ».

        Je pense que la réalité des témoignages serait édifiante. Va t on trouver un traitre pret a parler? (et a se ridiculiser au passage)

      • après je n’ai rien contre les modèles; sauf quand ils cessent de se prendre pour ce qu’il sont, et commencent a être utilisés comme l’interprétation de la parole divine.
        Le problème c’est que le public accepte l’amalgame sans broncher : il en a a peine conscience.

    • @Luc
       » ce constituant (le CO2) a vu sa teneur doubler environ pendant l’ère industrielle »

      Merci de nous donner les références des mesures de CO2 de la fin du XIXe siècle…

      • Pas de bol abitbol! Une vrai perle
        C’est une plaisanterie?

        • C’est ta réponse la plaisanterie.
          Bon alors, tu m’éclaires avec les mesures de CO2 des débuts de l’ère industrielle ?

          • La mesure du CO2 des bulles d’air de la glace permet de déterminer que la concentration était de 280ppm environ en 1800.
            Ca rime à quoi cette plaisanterie? Vous voulez nous faire croire que vous remettez en doute ces données?

          • Buzzz !

            J’ai demandé les mesures (directes) pas les reconstructions qui sont faites et que ne peuvent d’êtres que des estimations d’un seul et unique endroit sur la planète et qui peuvent être sujettes à biais.
            Ce n’est pas une plaisanterie.
            Il existe des mesures directes faites par des prix Nobel et ne correspondent pas aux résultats des reconstructions.

          • @Abitbol

            « Il existe des mesures directes faites par des prix Nobel et ne correspondent pas aux résultats des reconstructions. »

            C’est intéressant.

            Des références. Solides j’entends, pas soties d’un obscur blog.

          • La technique d’analyse des glaces est un methode sure. Les echantillons ne sont pas preleves a un seul endroit. Arctique comme antarctique, voir certains glaciers sont les zones de prelevement. Les methodes directes existent depuis les annees cinquante, et une part importante de la hausse du CO2 fut observee apres cette date.

          • Quelles sont ces références mesures directes faites par les prix Nobel ?

            Beaucoup, beaucoup de questions sans réponses sur ce post dites-donc.

      • Rectification, nous sommes passés d’environ 280 ppm à 400 ppm environ, ce qui ne constitue pas un doublement.

    • Un système en équilibre ! Ah le rêve humide d’une nature figée !
      Le rêve humide du constructiviste ignare qui croit voir des gaussiennes partout.
      Bah non dommage, la nature et surtout les système complexes ne sont pas régis par des gaussiennes mais des lois puissance qui hélas supportent très mal les modèles.

    • @Luc

      encore une fois, en supposant que vous ayez raison sur tout, que préconisez vous ? si vous êtes tant acharné à venir défendre une cause ou animer des débats, cela poursuit fatalement un but, quel est le votre ? je n’arrive pas à le discerner dans l’ensemble de vos propos ?

      • @ Patronus.

        Relisez vous.

        Vous dites:  » si vous êtes tant acharné à venir défendre une cause ou animer des débats, cela poursuit fatalement un but, quel est le votre ? »

        C’est là une erreur fondamentale.

        Mes commentaires sont purement techniques (le cas contraire, je vous défie de me relever UNE SEULE citation), depuis le début et dans cette optique, je n’ai rien à proposer.

        Le billet de Jean-Pierre, comme ceux de PapyJako précédemment, comporte des fautes graves, entre autres des raisonnements fallacieux et des biais de sélection de données (voir commentaire du 15 octobre 14h58 et 16 ocotobre 10h53). Je mets en évidence ces erreurs factuelles.

        Si vous lisez vos propos, nous constatons que c’est VOUS qui me placez dans « un camp » (je défendrais une cause) et que j’ai « fatalement un but ». Donc, selon vous, opposer des arguments scientifiques relève du positionnement idéologique. Un positionnement idéologique n’a STRICTEMENT rien à faire dans un débat scientifique.

        En fait, il n’y a que VOUS et VOUS SEUL (en fait non, bcp de personne ici dans ce blog le font aussi) qui opérez ce placement idéologique, voyant du militantisme là où il n’y a que discussion technique.

        Je crois que vous devriez vous pauser de sérieuses questions sur la manière dont vous interprétez les faits scientifiques. Le prisme déformant n’est peut-être pas dans le camp que vous pensez qu’il soit.

        • @Luc,
          oui oui, « l’accumulation d’énormes quantités de chaleur dans les océans », « l’acidification des océans », c’est des « faits scientifiques » et c’est technique en effet.
          Il suffit juste d’attendre de voir les **mesures**… quand elles seront là, à la St Glinglin.
          Clown va !

        • @Luc

          Si j’avais un doute, il vient de se dissiper en vous lisant.
          Ainsi, vous qui êtes très informé, tant et tellement que vous parcourez le web pour relever l’anomalie dans l’analyse des intervenants tout en prétendant que vous n’êtes partie prenante ni n’avez aucune position particulière.

          Foutraque, vous désignant, le mot vous convient ?

          Ayez au moins le courage de vos opinions.

        • Tres bien dit, cela illustre parfaitement mon post sur les sensibilites personnelles et le climato-sceptisisme.

          • @cockenstock
            bien essayé, mais à coté de la plaque, après tout si croire au réchauffement climatique vous apporte quelque chose, c’est bien la l’essentiel, le bonheur est dans le CO2 !

          • @cockenstock
            c’est « Foutraque » que vous ne saisissez pas non plus ?

  • « Voyons cela de plus près. Si tel était le cas, cette chaleur perdue aurait augmenté les températures de surface, ce que les 3300 sondes ARGO auraient détecté, puis elle aurait diffusé à partir de la surface vers les couches plus profondes (700 à 1000 m), ce que les sondes auraient aussi détecté. Eh bien non, rien de tel n’a été détecté par les sondes. Donc elle est passée par un autre chemin, et le GIEC a alors fait une extraordinaire découverte qui explique tout : il existe un mode inconnu de transfert de chaleur : le transfert quantique (comme l’effet tunnel), qui, de plus, évite subtilement de passer par les couches balayées par les sondes ARGO… »

    Sans oublier la montée des eaux, vu la dilatation que provoquerait une telle accumulation de chaleur…
    Mais probablement que cette eau disparaît sur mars.

  • Merci pour cet article !
    Le mot « dogme » renvoie à juste titre à la notion de religion, ici le socialisme et l’écologisme.
    Ce sont des religions non laïques, puisque leur dogme porte sur la réalité et s’impose par la coercition – de l’impôt, de la réglementation, du sectarisme.
    Ces fausses religions prospèrent sur la vanité, mais requièrent comme préalables le relativisme et le nihilisme.
    Déserter le champ religieux, promouvoir le nihilisme, serait oeuvrer pour le socialisme.

  • Merci de faire un peu rire de cet immense arnaque.

    • Encore 10 a 15 ans de patience avant de conclure que c’est une arnaque, avant de pouvoir betement rire… En attendant ce sont les conclusion hative, l’arnaque.

      • Heum…
        Ca fait 15 ans (en fait un peu plus), le GIEC disait ça. 15 ans après, il demande encore 15 ans… Dans 50 ans on verra finalement que heu… ben en fait on ne sait pas trop bien comment ça marche le climat. Mais le pognon, il aura été bel et bien dilapidé. Et les gens morts de faim suite à leurs conneries le resteront. Ceux qui n’auront pas brûlé dans la « fritteuse » quoique l’ayant promis, ben ils seront un peu concons, mais pas virés, emprisonnés, fouettés publiquement, privés de retraites ou autre. Non, juste un peu concons… Et pourront se planquer derrière l’argument ultime « oui, mais tout le monde se plantait aussi, hein… « 

        • Les personnes bien informées savent que l’augmentation du taux de CO2 a permis à la végétation de coloniser 11 millions de km2 de désert depuis les années 80. Ces personnes savent aussi que la végétation est plus gaillarde et que la production alimentaire est augmentée. De toute évidence, les écologistes militants rouges souhaitent l’ignorer et le cacher de la vue de tous.
           
          Nous avons librement accès a un immense champ d’informations. Mais, selon notre psychologie, nos préférences, notre niveau d’éducation etc…, elles vont être classées dans trois catégories principales : 1-celles que nous faisons nôtres 2-celles qui nous indifférent ou que nous n’avons pas rencontrées et 3-celles dont nous ne voulons pas et que nous rejetons.
          Nous avons une histoire et des préférences et c’est ainsi que notre esprit est biaisé : nous sélectionnons les informations qui vont nous servir à construire notre pensée. C’est au stade de ce premier tri que se trouve l’explication de la plupart des désaccords que l’on observe tous les jours dans la « pensée populaire ».
          La pensée scientifique est libre de ce type de biais. Les écologistes militants, pour la plupart, ont des esprits terriblement biaisés. Par ailleurs, l’esprit des politiques est tordu à un autre niveau : alors même qu’ils auraient l’aptitude d’accéder à toutes les informations avec un esprit non-biaisé, ils introduisent un autre biais et afin d’amener les gens à penser ce qu’ils souhaitent les voir penser. Alors maintenant, essayez d’imaginer lorsqu’un militant écologiste décide d’entrer en politique : c’est une monstruosité, du moins pour tous ceux qui aiment la vérité pour elle-même.
           
          Durant les années 70, le CO2 était tenu pour être responsable du refroidissement climatique observé sur les 30 dernières années (de 1945 à 1975). Mais la température s’est mise à remonter et ainsi donc le CO2 ne pouvait plus être tenu responsable d’un refroidissement inexistant. L’accusation ne pouvait plus tenir. Quelques années plus tard (cf. le premier rapport du GIEC en 1990) le CO2 est à nouveau désigné coupable mais cette fois-ci du réchauffement climatique. Ainsi donc, durant les quarante dernières années, le CO2 a été alternativement accusé de refroidir le climat puis de le réchauffer !… Le CO2 serait-il un coupable idéal ?
          C’est alors qu’il nous revient à l’esprit que c’est lors du grand choc pétrolier au début des années soixante-dix que l’on a commencé à accuser le CO2.
          LA question que je me suis posé ensuite (parce qu’elle est centrale et permettrait d’expliquer l’existence même de ce débat sur le climat) est celle-ci :
          pourquoi le GIEC veut-il absolument nous faire penser que le CO2 est responsable du réchauffement climatique ?
          C’est une question trop complexe pour être bien traitée ici (et puis je n’ai pas encore fini de mettre au jour toutes les implications). Il me suffira ici d’attirer votre attention sur ce FAIT que le GIEC a travesti et détourné la Science à de multiples reprises afin de nous faire penser, croire, que le CO2 produit par l’homme est coupable. Peu importe de quoi le CO2 serait coupable finalement : c’est de montrer sa culpabilité qui semble être de la plus haute importance pour le GIEC et l’ONU.
           
          Je pense que nous devrions :
          1-montrer que le GIEC n’est pas au service de la vérité (faire une liste exhaustive et bien documentée de toutes les perversions avérées du GIEC telles que manipulations de données, affirmations foireuses tenues pour vérités définitives, questions importantes ignorées etc…).
          2-mettre en avant les recherches qui élargissent le débat parce qu’elle tiennent compte du Soleil, des rayons cosmiques etc… (alors que le GIEC cherche à minimiser tout ce qui n’est pas son coupable CO2).
          3-faire la liste, documenter et mettre en avant tous les bienfaits du CO2.
          Avec ces trois nous gagnerons en efficacité pour discréditer totalement et définitivement le GIEC et en finir avec la maladie mentale qu’il propage. Le GIEC est un outil politique et il lui suffit que son discours semble vraisemblable aux yeux du plus grand nombre : la vérité, il s’en fout.

      • fabulous : « Encore 10 a 15 ans de patience avant de conclure que c’est une arnaque, »
        —————————————-
        Ha ha ha. M’enfin, on rirait plus si les clowneries réchauffistes ne nous coûtaient pas si cher.

        « Les opinions divergentes sur le réchauffement global pourraient être départagées dans un futur proche car nous entrons actuellement dans la phase descendante du cycle solaire. D’ici à 2006, l’influence des gaz à effet de serre dominera si l’on en croit la plupart des spécialistes. Si [les solaristes] ont raison, alors la baisse d’activité solaire pourrait ralentir un peu le réchauffement ». Edouard Bard dans la Recherche n°352 avril 2002

        « Des nations entières pourraient être rayées de la surface de la Terre par la hausse des mers si le réchauffement global n’est pas stoppé avant l’an 2000. » Noel Brown, directeur de l’Agence de l’Environnement de l’ONU (UNEP), en 1989

  • de plus si jamais la chaleur s’était enfouie au fonds des océans (par effet tunnel)

    1 cette température qui est de l’ordre de 4°c serait affectée de quelques millièmes de degrés eu égard aux masses en jeu
    2 sa remontée en surface est physiquement impossible car en contradiction avec le 2ème principe de la thermodynamique (si ce principe était réfuté cela pourrait constituer matière à un autre prix Nobel 🙂 )

    Enfin les conclusions du GIEC me font penser à une version du chat de Schrödinger : bon ça chauffe plus mais ça chauffe quand même .. mais la terre n’est pas un objet quantique

  • Grass : « IL faudrait écrire un article ou un livre sur « La petite cuisine des modèles numériques », avec des vrais bouts de témoignages de cuisiniers dedans. »
    ————————————–
    Mais on les a, ces témoignages de ce qui se passe dans l’arrière boutique de la cantine numérique de la science Nintendo réchauffiste. C’est sur le site même du LMD de l’inénarrable Le Treut, alias monsieur-les-modèles-sont-entièrement-basés-sur-de-la-physique-établie : : http://www.lmd.jussieu.fr/~lmdz/CRs/LMDZ/CR17012002

    Quelques morceaux choisis, attention, prévoir une poche pour ceux aux estomacs fragiles :
    – Tiedtke surestimait largement les précipitations sur les océans et
    les sous-estimait sur les continents
    – un gros biais froid (5 à 15 degrés) à la tropopause
    – Quand on compare sur une simulation longue les flux en bas et en haut,
    on a un biais de l’ordre d’une 10aine de W/m2. C’est beaucoup trop.
    – Olivier mentione qu’il faudra régler un problème d’accumulation de neige
    qui peut atteindre plusieurs milliers de mètres d’épaisseur.
    etc, etc…

    Mais hé, c’est la « science » climatique.

  • Il y un truc qui m’étonne quand même : l’eau chaude ne descend jamais en profondeur. Les échanges de chaleur se font par convection. Si on chauffe la surface de l’eau, le transfert thermique vers le fond est quasi-nuls. Par exemple, il est possible faire bouillir l’eau à la surface d’un aquarium, la température au fond restera sensiblement la même.
    Alors je m’explique mal l' »enfouissement » de la chaleur au fond es océans.
    Effet tunnel, peut être.
    Bon après tout l’équation d’onde de Schrodinger a pu fournir un modèle théorique des vagues scélérates, mais quand là même…

  • Judith Curry, éminente climatologue, demande la dissolution du GIEC.
    On ne peut que l’approuver…

    Delendum est Giecum.

  • Pour cokenstock

    « Children just aren’t going to know what snow is, » Dr David Viner, senior research scientist at the climatic research unit (CRU) of the University of East Anglia. -March 2000

    • Ca ne veut rien dire, c’est une phrase informelle, a ne pas prendre au premier degre. Il n’y a que vous pour prendre ca au pied de la lettre et le brandir a la premiere occasion. Meme avec un rechauffement considerable, vous trouverez des zones ou il neige. Ca sert a rien de relever cette phrase.

      • C’est bien vous faites du révisionnisme sur les déclarations de vos petits copains, continuez comme ça.
        – « les ours polaires vont s’éteindre, nos enfants les verront dans les livres d’histoire » ? « ouais mais non, fallait pas le prendre au pied de la lettre »
        – « la banquise va disparaitre » ? « ouais mais non, fallait pas le prendre au pied de la lettre »
        – « les océans vont monter, nos villes, et iles vont se faire submerger » ? « ouais mais non, fallait pas le prendre au pied de la lettre »
        – « les tempêtes dévastatrices vont devenir fréquentes » ? « ouais mais non, fallait pas le prendre au pied de la lettre »
        – etc etc etc…………

        Vous avez conscience d’être profondément ridicule ou même pas ?

        • Ray : « Vous avez conscience d’être profondément ridicule ou même pas ? »
          —————————
          Pour sentir le ridicule, encore faut-il qu’il soit conscient de ce qui est la honte ou le remord, ce qui n’est de toute évidence pas le cas.
          L’absence de conscience, de responsabilité de ses paroles ou actes, une moralité relative et changeante selon l’air du temps, la mauvaise foi, le mépris pour la vérité et l’histoire, c’est les traits psychopatiques caractéristiques des gauchistes. Traits amplifiés par le système éducatif post-moderne qui leur apprend depuis tout petit à ne jamais assumer et à « éviter de stigmatiser ».

          Les bigots réchauffistes comme cockenstock ou Luc nous le démontrent et nous le rappelle constamment : les faits et le raisonnement logique, ça ne veut strictement rien dire pour eux.

          • C’est le genre de discussions stériles qu’on pourrait éviter. Vous n’allez pas ressortir tout ce que des personnes « réchauffistes » ont dit parce que vous me classez en réchauffistes. Ca sert strictement à rien. Depuis des années on nous promet l’hiver le plus froid du siècle, ce n’est pas pour autant que je vais m’amuser à crier sur tout les toits que c’est faux…

          • En faites, vous vivez dans votre petite bulle, vous êtes bloqué dans un mode de pensée..
            Mais vous vous rendez compte de ce que vous dites. Vous êtes l’incarnation de ce que vous dénoncez.
            Vous ne comprenez pas que ce n’est en rien pertinent de ressortir « les ours polaire vont disparaitre »  » la neige aussi » « les eaux submergeront nos villes ». Mais c’est bien allez y continuez…

        • Mais c’est totalement ridicule votre mascarade…
          Du révisionisme?
          1) les propos de certains de regardent qu’eux
          2) veuillez préciser vos sources quant à ces pseudo citations*
          3) vous parlez de prévisions, donc vous ne pouvez pas dire que je fais du révisionisme, à moins que j’emprunte une dolorean
          – les ours polaire vont disparaitre; c’est surement excessif, mais la banquise qui est leur terrain de chasse n’a pas encore disparu l’été que je sache…c’est une prévision, donc votre phrase absurde;
          – la banquise va disparaitre: à nuancer, il est prévu que l’océan arctique deviendra libre de glace en septembre(<1Mkm²) d'ici une certaine échéance; donc votre phrase est absurde;
          -les océans vont monter, c'est vrai; mais que des villes soient submergée, c'est une figure de style, à ne pas prendre au pied de la lettre, encore une fois c'est une prévision, donc je n'ai pas de révisionisme à faire, donc c'est absurde
          -idem pour les tempêtes

          Vous êtes juste totalement ridicule , surtout pour le coup de la neige; mais c'est incroyablement nul.
          Vous allez me faire croire que des climatologues ont dit qu'il n'y aura plus de neige?? Mais faut vraiment être à cours d'éléments pour balancer ce genre de choses.
          Je ne veux plus parler de révisionisme.

          Vous voulez que je vous sorte toutes les perles de minitax et bien d'autres encore?

          • cokenstock : « -les océans vont monter, c’est vrai; mais que des villes soient submergée, c’est une figure de style, à ne pas prendre au pied de la lettre, encore une fois c’est une prévision »
            ———————————
            Ce que l’UNEP avait annoncé en 1989 pour l’an 2000, ça s’appelle « une prévision », maintenant ???  »
            « Des nations entières pourraient être rayées de la surface de la Terre par la hausse des mers si le réchauffement global n’est pas stoppé avant l’an 2000. » Noel Brown, directeur de l’Agence de l’Environnement de l’ONU (UNEP), en 1989.

            Et c’est pas du révisionnisme, non, non . Pauvre clown va !
            Et les « perles de miniTAX », quelles perles (à supposer que notre clown sache lire et comprendre une simple phrase) ?

          • (En plus d’être un menteur, vous êtes d’une médiocrité affligeante. Pour les citations, il suffit de les copier-coller dans google, et vous trouvez en 30s.)

            – la neige : http://www.independent.co.uk/environment/snowfalls-are-now-just-a-thing-of-the-past-724017.html
            De plus, en 2006, des « scientifiques » annoncent que les stations de sports d’hiver seront en danger pour cause de disparition de neige.
            De plus, vous n’avez pas vu le film d’Al’Gore ? L’establishment climatique continue d’affirmer qu’il ne comporte pas d’erreurs.
            Bouffons (ça s’adresse à eux, ça s’adresse à vous).
            – « les ours polaire vont disparaitre; c’est surement excessif ». Non ça n’est pas excessif, c’est surtout complètement faux. Savez-vous qu’ils sont actuellement en surpopulation ? Non évidemment, quand on est biberonné aux médias mainstream, on ne peut pas le savoir.
            http://opinion.financialpost.com/2013/06/12/junk-science-week-now-we-have-too-many-polar-bears/
            – « la banquise va disparaitre: à nuancer » Non, ça n’est pas à nuancer, c’est surtout complètement faux. Allez voir les dernières données, elle est remontée à un niveau de la moyenne des 15 dernières années. (ET on ne vous parle même pas de l’antarctique qui bas des records absolu…)
            – « les iles qui vont se faire submerger ». Non c’est surtout complètement faux. Une étude récente portant sur 42 iles du pacifiques montre, que parmi elles, seules 3 ou 4 ont perdu en surface, toutes les autres étant stables et en augmentation.
            – les tempêtes, encore une fois vous allez être ridicule…
            Lorsque l’on prend les données des phénomènes météo extrêmes (comprenant les périodes de froids intenses en hiver, les périodes de fortes chaleurs en été, ainsi que les tornades, tempêtes tropicales et ouragans), sur les 100 dernières années, ça n’a pas bougé d’un pouce :
            http://notalotofpeopleknowthat.files.wordpress.com/2013/01/image36.png
            Pareil pour les seules tornades :
            http://wattsupwiththat.files.wordpress.com/2013/05/ef3-ef5.gif?w=578&h=396

            Un seul mot : vous n’êtes qu’un petit soldat du GIEC le doigt sur la couture du pantalon, et un bouffon.

        • Non seulement, vous continuez à racontez des inutilités totales (qu’est ce que ça me fait que un tel a dit ceci ou cela et c’est totalement tiré par les cheveux vos salades) ..mais vous m’insultez. Vas te faire modérer sale geek.

      • cockenstock : « Meme avec un rechauffement considerable, vous trouverez des zones ou il neige. Ca sert a rien de relever cette phrase. »
        ——————————-
        Effectivement.
        Et inversement, même avec un refroidissement considérable, vous trouverez des zones où il fait canicule. Pensez bien à mettre ça dans le crâne de vos co-religionnaires réchauffistes, pov clown !

        • C’est vous le clown, c’est pas parce que je pense autrement que j’ai à supporter des termes comme co-religionnaire ou clown. En plus votre com sert à rien…vous en avez d’autres comme ça?

        • Ben allez y, déroulez vos trivialités.. et encore une insulte à votre actif, faudrait que quelqu’un vous modère

  • Récemment , sur tv5? j’ai entendu le directeur local confirmer les prévisions du GIEC pour 2100 , la montée de la mer etc etc et nous convaincre de « faire quelque chose » pour éviter ce désastre ( sic )….En face de lui , il y avait un scientifique qui ,se semble-t- il doutait , pour le moins ,de cette théorie fumeuse J’ajouterai que, selon moi , seul était valable ,le nucleaire , et que l’éolien et le solaire ne tenaient pas la route

  • Cette histoire est allée beaucoup trop loin, les fortunes colossales englouties, les postes politiques créés(Commissaire du climat à l’UE !!!), les lobbys (éoliennes, solaires ….) interdisent tout retour en arrière. Nous sommes condamnés à vivre dans le mensonge, le détournement massif de l’argent public et la plus gigantesque entreprise d’endoctrinement jamais entreprise.

  • peut etre faut-il resortir la théorie phlogistique???

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Phlogistique

  • http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/09/edouard-bard-explique-le-plateau-des-temp%C3%A9ratures.html

    article hallucinant… Edouard Bard , titulaire de la chaire Evolution du climat et de l’océan au Collège de France, membre de l’Académie des sciences :

    « Enfin l’excès de chaleur lié au réchauffement global est absorbé à 90% par l’océan. Ses couches profondes ont capté plus de chaleur que ce que nous estimions, ce qui explique en partie la stabilité transitoire de la température atmosphérique. »

    • Ouaip…
      C’est tout de même énorme toute cette climatologie ou quand il fait chaud, c’est le réchauffement, mais quand il fait froid, c’est normal car « la chaleur se cache dans les profondeurs océaniques ».

      Ca s’appelle une explication ad-hoc. On sort du chapeau, comme un lapin, une telle explication embarrassée lorsque les faits ne collent pas à la théorie.
      C’est un des critères qui permettent de classer la climatologie de l’IPCC dans la catégorie des « sciences pathologiques ».
      Il y a d’autres critères qui permettent de le vérifier, tous brillamment remplis…
      😆

    • Ce qui est génial en ce moment c’est la com’ affolée et pas du tout cohérente des réchauffistes :
      « Il n’y a pas de pause de la hausse des températures, c’est un mythe inventé par des charlatans »
      « les températures ne montent plus parce qu’elles sont accumulées dans l’océan profond ».

      Ah bon ? Donc il n’y a pas de pause, mais la pause est causée par la chaleur qui descent dans les océans. L’anti-convection des océans, après avoir mis en place de la convection dans l’atmosphère, notamment au niveau des parois de CO2 cristallin qui nous sépare du milieu interplanétaire…

      ‘tain, nos impôts sont trop bien dépensés par le CNRS… Tout ce pognon pour ces droles, et on lutte pour avoir des financements pour les doctorants en maths (et surement dans plein d’autres domaines).

      • Le CNRS reste sérieux quand même. Regardez ce qu’ils disent sur les modélisations informatiques :

        « Tous les modèles aujourd’hui ont leurs qualités et leurs défauts », estime Frédéric Hourdin, chercheur CNRS au Laboratoire de météorologie dynamique (LMD/IPSL). C’est pourquoi le Giec préfère continuer à les utiliser tous même s’ils conduisent à des résultats différents pour donner un large état de la planète. Et tant que les modèles continueront de porter leurs propres incertitudes, les chercheurs préfèreront encore privilégier leur diversité. « D’où vient cette différence entre les modèles ? Un modèle global est une alchimie de différents paramètres codés, continue le chercheur. Et comme il est encore impossible de faire interagir dans un seul modèle toutes les composantes physiques du climat, les modélisateurs doivent faire des choix entre les divers paramètres. Ainsi, les modèles actuels sont encore très loin de représenter tous les processus qui rentrent en jeu dans le climat ».

        Mais y arrivera-t-on un jour ? Les chercheurs en doutent. « Plus un modèle se complexifie, plus il est difficile de le fiabiliser, et plus la possibilité qu’il fasse des erreurs augmente », admet Frédéric Hourdin. Peut-être faudrait-il les simplifier et limiter le nombre de paramètres ? Mais comment prendre en compte alors des micro-phénomènes souvent déterminants, comme les nuages ou les tourbillons océaniques ?

        http://www.insu.cnrs.fr/environnement/climat-changement-climatique/projection-vers-le-futur

        • Double langage grotesque ! D’un côté, ils disent que les modèles climatiques sont incapables de reproduire le climat avec des contorsions sémantiques dignes de la Pravda, chose que n’importe quel modélisateur digne de ce nom sait depuis des lustres (Lorentz avait déjà averti dès les années 80 que le climat, tout comme la météo sont des phénomènes chaotiques impossible à modéliser). De l’autre, ils n’arrêtent pas de répéter que les modèles arrivent bien à reproduire le climat et à les faire cautionner par les politiciens pour pondre des mesures de « protection du climat » (!) stupides et ruineuses.

          Tous ces charlatans et parasites qui déshonorent la science devraient avoir honte sur plusieurs générations.

  • @Luc @ Cockenstock qui, arcboutés sur la défense d’une thèse que les FAITS contredisent jour après jour, et dont la seule vertu est d’enrichir leurs partisans qui se gavent de crédits, de voyages, de séjours dans des resorts tropicaux … ne savent présenter en défense des turpitudes du GIEC, que des écrits … du GIEC … ou de « Nature » (c’est pareil) …
    J’imagine, en lisant vos interventions, la rigolade à un procès où le seul argument de la défense serait « mon client n’a pas volé, ,’a pas tué, n’a pas violé … la preuve c’est qu’il le dit, et ses complices aussi »
    @Grass : votre comparaison entre la « science » des climastrologues et la cuisine est un peu offensante pour la cuisine. Mais, sur un thème proche, j’avais écrit au moment du ClimateGate un article « L’alchimie des arrières cuisines … de la Science Climatique » http://huff.to/1gsv6Lm qui devrait vous régaler.
    @LM « Ah le rêve humide d’une nature figée ! ». Il y a un autre rêve, tout aussi stupide, c’est le rêve de la « prolongation des tendances ». N’importe qui peut entrer des chiffres dans un tableau excel, calculer une tendance, et la prolonger. La moitié de ce que disent les climastrologues est de ce tonneau, l’autre moitié sort de boites à corrélation, un petit peu plus techniques mais tout aussi idiotes.
    La question à cent sous est : qui peut exhiber, dans l’histoire de la terre, UN SEUL CAS de tendance qui ne se soit pas, un jour, retournée ?
    Pour les températures, le monde a, souvent, été beaucoup plus chaud, et a fini par se refroidir. Il a aussi été beaucoup plus froid, et a fini par se réchauffer. Personne, ni le GIEC, ni ses adversaires, ne peut dire quelle température il fera dans un siècle. La meilleure preuve est l’énormité de la fourchette offerte par le GIEC dans ses dernières « prévisions ». Sans labo, sans crédits de recherche, sans orgies de dépenses à Cancun ou ailleurs, je déclare être en mesure de faire une prévision de température bien meilleure que celle du GIEC :
    A la fin du siècle, l’anomalie de température sera comprise entre -4°C – si le GIEC améliore sa technologie de transfert de chaleur dans les endroits cachés – et +4°C, si toute la chaleur dissimulée par le GIEC nous revient à la figure. Rendez-vous en 2100 pour vérifier

    • Personnellement, je ne défend que la thèse de la raison. Excusez moi si beaucoup de raccourcis, d’exagération, d’amalgames voir d’erreurs sont racontés ici. Ca vaut pour les 2 camps.
      Le fait est que la manière d’argumenter par certains refroidistes est nulle.
      On me fait un panel de citation, dont certaines ont 25 ans…c’est ridicule.
      A quoi bon ressortir  » la neige disparaitra », ça ne veut rien dire! Ou? Quand? En quel terme? etc..

      • @cokenstock
        « Personnellement, je ne défend que la thèse de la raison. »
        =================
        Et vous la trouvez où, la raison, dans cette blague de « chaleur enfouie au fond des océans » au mépris des lois élémentaire de la physique ?

        « On me fait un panel de citation, dont certaines ont 25 ans…c’est ridicule. »
        =================
        Les âneries d’aujourd’hui auront, dans 25 ans, exactement le même statut qu’ont aujourd’hui les âneries d’il y a 25 ans.

        Les charlots qui nous prédisent le climat pour dans 25 ans préféreraient bien sûr qu’on oublie les âneries qu’ils nous ont raconté depuis 25 ans … et qu’on les laisse nous plumer pendant encore 25 ans.

      • @cokenstock
        « citation, dont certaines ont 25 ans…c’est ridicule. »
        Haha énorme encore ! Mettez-vous d’accord avec vos petits camarades. Parce que certains demandent un paquet de temps pour la vérification leurs prédictions…. :DDD
        Il y a 15 ans, vos escrocs : « Vous allez voir dans 15 la hausse de températures !!!! »
        Maintenant qu’on y ait (et que évidemment rien ne s’est produit), « Ouais mais non, en fait il faut attendre plus longtemps pour que ça soit valable ! »
        Foutage de gueule.
        Et là vous, vous nous dites « Plus une prévision est ancienne, moins il faut la prendre en compte. »
        Bref vous êtes tous RIDICULES.

        • C’est vous le ridicule, personne n’a dit que la neige aurait disparu de la planète en 2013.
          Vous voulez me faire croire que je suis responsable et complice de certains dires, je m’en fiche! alors fichez moi la paix!

        • Il n’y a rien a argumenter avec vos histoires de tropiques a Londres et d’ours polaire, c’est bien le probleme…Si des gens l’ont dit, c’est leur responsabilite.

    • @ Papy

      Commencez par répondre aux questions.

      Quid des réfs du fameux climat tropical à Londres ?

      • @Papy.

        Vous dites,

        « Juste pour la banquise Arctique, en attendant l’an prochain »

        Aussi, les données de banquise de l’an prochain, en quoi modifieront-elles la tendance selon vous ?

  • M. Bardinet,

    Tout est dit ici, je pense :

    « Car la température globale est stable depuis 1997, et le GIEC ne peut plus le cacher… […] Il est donc vital de trouver une explication à ce fichu plateau de température globale depuis 1997, afin de sauver le dogme du réchauffement climatique anthropique, les modèles numériques et leurs projections, et afin que perdurent les grasses subventions aux bêlants disciples du dogme ainsi que toutes les politiques inutiles et ruineuses qui en découlent. »

    Ces quelques lignes révèlent à la fois 1. vos lacunes en statistiques, 2. votre méconnaissance des sciences du climat, 3. votre confusion concernant le rapport du GIEC, 4. votre mépris concernant les scientifiques et leurs travaux de recherche, et 5. votre incapacité à raisonner objectivement sans être aveuglé par vos opinions politiques. Ces différentes caractéristiques étant possédées par la plupart des commentateurs de Contrepoints, j’y vois un parfait exemple d’ignorance rationnelle auto-entretenue (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ignorance_rationnelle).

    Voici quelques éléments de réponse factuels sur les trois premiers points ; ils seront probablement plus utiles au lecteur curieux et impartial qu’au Contrepointeur militant. Je ne répondrai pas aux quatrième et cinquième points qui relèvent de votre opinion, que vous êtes parfaitement libre d’exprimer, aussi méprisante qu’elle soit.

    1. La tendance de température globale sur 1998-2012 est de 0.5°C/siècle, l’intervalle de confiance à 90% allant de -0.5 à 1.5. Affirmer qu’elle vaut 0 est simplificateur et faux. Il est plus rigoureux de dire que le rythme du réchauffement a probablement ralenti (il était de l’ordre d’1°C/siècle sur 1950-2000).

    2. De façon générale, les fluctuations de T globale sont expliquées par (i) les variations de d’énergie reçue à la surface, et (ii) la façon dont cette énergie se répartit entre les compartiments (océans, atmosphère, continents, glace, etc.). En l’occurence, sur 1998-2012, les variations naturelles (soleil, volcans) et l’absorption de chaleur par l’océan contribuent à masquer le réchauffement par gaz à effet de serre. La quantification précise de chaque contribution est délicate, et actuellement à l’étude.

    3. Le GIEC n’existe pas en tant que tel. Seul existent les rapports du GIEC. Le premier tome de chaque exercice est une synthèse objective et documentée des connaissances scientifiques sur les bases physiques du changement climatique actuel. Cette synthèse est réalisée par des scientifiques et respecte la procédure académique de publication (en particulier elle est « peer-reviewed »). En conséquence le GIEC n’a pas de thèse, de modèle ou de dogme, et il n’annonce rien, il ne crée rien, etc. Ses auteurs ne font que réunir et confronter les publications scientifiques pertinentes, en insistant sur les points de consensus ET de désaccord. Il se trouve qu’à l’heure actuelle, AUCUNE étude scientifique n’est parvenue à expliquer, sur la base de processus physiques, les évolutions récentes des différentes variables climatiques sans prendre en compte l’énergie additionnelle introduite par effet de serre anthropique.

    Bien cordialement.

    • Bonjour Contrecontrepoints

      Je viens de lire attentivement votre message et je souhaite attirer votre attention, si seulement vous le voulez bien, sur quelques points de désaccord.

      Lorsque vous dites, « Tout est dit ici, je pense », je l’interprète comme une réduction de l’argumentaire contre la théorie du réchauffement climatique EN TANT qu’elle prétend avoir découvert en le CO2 le coupable dudit réchauffement. C’est comme si vous nous disiez d’emblée et clairement que vous êtes certain qu’il n’existe pas d’argument pertinent pour contrer la théorie mise en avant par le GIEC.
      Ce qui nous saute aux yeux c’est votre ignorance quant aux raisons qui font que des esprits posées et réfléchis s’opposent au GIEC. Ce que je souhaite réussir à vous faire comprendre c’est que votre « Tout est dit ici, je pense » me fait penser qu’en effet « tout est dit ici » à votre sujet: vous avez choisi d’ignorer ce qui pourrait vraiment remettre en question la theorie du rechauffement anthropique. Acceptez-vous de considérer que ma réponse à votre message puisse être tout à fait rationnelle et fondée?

      Par exemple, auriez-vous oublié le graphique en crosse de hockey proposé par Michael Mann et mise en avant dans les rapports du GIEC alors que 1-les températures mesurées présentent plutôt cette forme:
      http://c3headlines.typepad.com/.a/6a010536b58035970c01901d3c8fd2970b-pi
      2-qu’il a été découvert que la méthode utilisée par Mann conduit toujours à une forme en crosse de hockey et quelles que soient les données.
      Vous refuseriez-vous à tirer les conséquences de ce triste épisode et à l’oublier comme s’il n’avait jamais existé ?
      Il y a d’autres exemples de ce type qui, de mon point de vue, ruinent la crédibilité du GIEC. Mais voyons déjà ce que vous allez nous répondre.

      Permettez-moi d’ajouter une dernière question :
      Pourriez-vous, je vous prie, nous expliquer comment il est possible d’affirmer que le CO2 est responsable d’environ 50% du réchauffement climatique (avec 95% de certitude) en l’absence de la CERTITUDE d’avoir une liste EXHAUSTIVE de tous les facteurs (cf. rayons cosmiques etc…) qui interviennent sur le climat et son évolution (+ connaissance de l’amplitude de leur effets avec plus de 95% de certitude). Merci.

      • Si je puis me permettre,

        Il a été tracé comment ce « machin » sur le graphe ?

        • Ce « machin » s’appelle bizarrement une « crosse de hockey ».
          Étonnant non ? 🙂

          • Non, c’est un bout de droite tracée sur le coin d’une nappe on-ne-sait-trop-comment, par on-ne-sait-trop-qui. Ce n’est même pas une régression, un modèle, une tendance, c’est un « machin » établi au pifomètre, et vous le gobez.

            Vous vous rendez compte de l’absurdité de votre raisonnement ?

            Pour affirmer un ubuesque refroidissement, vous utilisez, qui plus est erronément, des méthodes (que vous ne comprenez pas) que vous même critiquez lorsqu’elles montrent un réchauffement climatique.

            Ca vire à la schizophrénie chez Contrepoints

          • Sisi, il y a même la marque dessus.
            Pauvre Luc. 🙂

      • Bonjour, et merci de votre réponse. Quelques remarques.

        1. Mon « tout est dit ici » signifiait simplement que ces quelques lignes réunissent les principales erreurs faites par l’auteur au fil du billet. En particulier le mépris de M. Bardinet envers les scientifiques (« bêlants disciples du dogme ») et l’omniprésence de son opinion politique (« grasses subventions », « politiques inutiles et ruineuses ») me rendent perplexe quant à sa capacité à analyser objectivement et impartialement l’état actuel des connaissances scientifiques sur ce sujet.

        2. Je me répète, mais le GIEC n’existe pas à la 3e personne, et n’a donc ni théorie ni esprit. En conséquence parler « d’argument pertinent pour contrer la théorie mise en avant par le GIEC » ou « d’esprits posés et réfléchis [qui] s’opposent au GIEC » est un non-sens. En ce qui me concerne, je m’intéresse à la compréhension scientifique du climat, sans exclure aucun élément « a priori ». En particulier, je ne choisis pas « d’ignorer ce qui pourrait vraiment remettre en question la theorie du rechauffement anthropique ». Je constate simplement qu’à ma connaissance, aucune étude scientifique robuste n’a pu expliquer physiquement l’évolution cimatique du XXe siècle à partir de la variabilité naturelle seule. Corrigez-moi si je me trompe, en m’indiquant les publications correspondantes.

        3. Votre exemple de la « crosse de hockey » est hors-sujet, car je ni l’auteur ni moi n’avons évoqué la question du dernier millénaire. Vous avez le droit de penser que la présentation des données faite par M. Mann a « ruiné la crédibilité du [rapport du] GIEC », il n’en reste pas moins que son résultat principal a été confimé par toutes les études de reconstruction de T réalisées depuis (cf. Fig 5.7 de l’AR5) : les dernières décennies sont probablement les plus chaudes depuis 1400 ans.

        4. Comment les auteurs du GIEC établissent ce « 95% de certitude » n’est pas clair pour moi. En revanche ce n’est pas parce que l’on a une incertitude sur la réponse du système à une cause que l’on ne peut pas être certain que cette cause ne suffit pas à expliquer à elle seule l’évolution du système. Par exemple, je ne sais pas exactement à quelle vitesse vous êtes capable de marcher, et l’incertitude est même assez grande (2, 10, 20km/h ?). Mais si vous me dites que vous avez parcouru le trajet Paris-Lyon en 3h, je suis « certain » que vous ne l’avez pas fait seulement à pied. En probabilisant votre vitesse de marche, je peux quantifier ma certitude en faisant un test statistique de rejet de l’hypothèse « vous l’avez fait à pied ». De même, les scientifiques ont une incertitude sur la réponse du climat aux forçages naturels, mais en probabilisant cette incertitude, ils peuvent tester statistiquement l’hypothèse « l’évolution du climat sur le XXe siècle s’explique par la variabilité naturelle seulement ». Il se trouve que cette hypothèse est rejetée avec un niveau de confiance élevé (90, 95 ou 99% suivant les études).

        Vous disiez « ce qui nous saute aux yeux c’est votre ignorance » et  » voyons déjà ce que vous allez nous répondre ». Ce message satisfait-il votre schizophrénie (qui est ce « nous » ?) et votre arrogance ?

        • Le GIEC est un organe POLITIQUE, monté PAR les politiques pour livrer une commande politique, ni plus ni moins.
          Tout ce qui ne va pas dans le sens de la commande est écarté. On peut le comprendre.

          • Ray, pouvez-vous me dire où intervient la politique dans l’écriture du volet 1 du rapport, celui qui concerne les bases physiques du changement climatique ?

            Pour rappel, il s’agit d’une synthèse des connaissances rédigée par des scientifiques sur la base de publications dans des revues à comité de lecture, synthèse elle-même peer-reviewed comme le veut la procédure académique. Auteurs et reviewers sont volontaires et bénévoles, et viennent de pays aux intérêts politiques et/ou économiques très opposés sur les questions environnementales.

            Le calendrier imposé (un nouveau rapport tous les 6-7 ans) ainsi que les produits dérivés (e.g. le résumé aux décideurs) sont critiquables, et on peut en discuter. En revanche, vous ne pouvez contester la légitimité des éléments scientifiques présents dans ce rapport, puisque déjà publiés par voie académique (aucun résultat « nouveau » dans le rapport). A moins que vous ne remettiez en cause le processus entier de publication des travaux scientifiques en sciences du climat, et par conséquent l’intégrité et l’honnêteté intellectuelle des chercheurs impliqués, et ce à l’échelle internationale ?

          • Ne prenez pas les gens pour plus cons qu’ils ne sont.
            Vous savez très bien que ça marche par vote des représentants de politique. Game over.

          • Contrecontrepoint illustre très bien aussi mon post sur les sensibilités personnelles.
            Vous me faites la remarque de ma non argumentation; en même temps, lorsqu’on compare la qualité d’expression et d’argumentation de Contrecontrepoint à vous, il est clair que vous paraissez piteux (voir votre dernière réponse –> une phrase fuyante de dernier recours).

          • Ray : Que désignez-vous par « ça » dans « ça marche par vote des représentants de politique » ?

            Si « ça » = les publications scientifiques ctiées dans le rapport, c’est faux.

            Si « ça » = les 2200 pages du rapport scientifique, c’est faux.

            Si c’est le résumé aux décideurs, c’est partiellement vrai : chaque phrase est approuvée à l’unanimité des délégations gouvernementales, elles-mêmes constituées de représentants politiques ET de scientifiques du monde entier. Cette procédure a pour unique objectif de résumer en 30 pages de langage technocratique les 2200 pages du rapport, tout en restant fidèle aux éléments scientifiques du rapport. D’ailleurs, je ne comprends pas l’intérêt des pays en développement à voter pour un texte volontairement catastrophiste qui impliquerait des réductions drastiques de leurs émissions de GES ! Mais peut-être me l’expliquerez-vous ?

            Je ne prends personne pour un con. J’expose des faits de manière objective. Ce que vous ne faites manifestement pas.

          • Exactement.
            Et ce fonctionnement vicié a été dénoncé à maintes reprises.

            (ps : Pour les pays sous développés, ils ne sont évidemment pas concernés par les baisses. Vous le savez je pense.)

          • @cokenstock : merci de votre réponse.

            Notez que dans l’intégralité de mes commentaires, il n’est nullement question de ma « sensibilité personnelle ». J’expose simplement des faits de façon objective.

            En revanche, vues les réactions que cela suscite (en particulier la haine de Ray), mes propos semblent toucher la sensibilité personnelle de plusieurs commentateurs ici… ce qui anihile immédiatement leurs tentatives de discussion scientifique.

            Dans votre autre post vous dites « seuls les scientifiques qualifies ont la legitimite de traiter de [climat] ». Pas tout à fait. Tout le monde a le droit d’avoir une opinion et de l’exprimer. Libre à chacun d’évaluer la pertinence des différents propos, et je vous rejoins, la légitimité scientifique de son auteur est un bon critère.

        • Bonjour Contrecontrepoints

          Je continue de penser que le GIEC existe à la troisième personne, qu’il s’agit d’un organisme ouvert aux pays membres de l’ONU dont nous pouvons contempler la face émergée et deviner quelque peu ce qui se cache par en dessous.
          Quoi qu’il en soit je vous reponds en allant à l’essentiel.

          (2) Vous dites: « Je constate simplement qu’à ma connaissance, aucune étude scientifique robuste n’a pu expliquer physiquement l’évolution climatique du XXe siècle à partir de la variabilité naturelle seule. Corrigez-moi si je me trompe, en m’indiquant les publications correspondantes. »
          Oui et alors? Vous ne pensez quand même pas que l’absence « d’étude scientifique robuste permettant d’expliquer physiquement l’évolution climatique du XXe siècle à partir de la variabilité naturelle » permet de justifier le bien-fonde de la théorie du réchauffement climatique anthropique. Rassurez-moi !

          (3) Vous dites: « son résultat principal (la forme de la courbe?) a été confirmé par toutes les études de reconstruction de T réalisées depuis (cf. Fig 5.7 de l’AR5) : les dernières décennies sont probablement les plus chaudes depuis 1400 ans. »
          et je réponds tout simplement: non, elle est fausse et cela a été démontrée par plusieurs équipes indépendantes. Par exemple, voyez cet extrait de cette conférence de Vincent Courtillot :
          http://www.youtube.com/watch?v=K10UuLg7YcA&list=PLEB68FC5FF9FF2F72

          (4) Vous dites : « Comment les auteurs du GIEC établissent ce « 95% de certitude » n’est pas clair pour moi. En revanche ce n’est pas parce que l’on a une incertitude sur la réponse du système à une cause que l’on ne peut pas être certain que cette cause ne suffit pas à expliquer à elle seule l’évolution du système. »
          Je trouve votre réponse inquiétante. En effet, avant de se poser la question de savoir si telle ou telle cause suffit ou pas à expliquer à elle seule l’évolution du système, il faudrait commencer par établir la liste de ces causes. Je souhaite vous faire contempler cette évidence que nous ignorons si cette liste est complète ou non. Or, en l’absence de la CERTITUDE que ladite liste est complète il est IMPOSSIBLE d’affirmer que le CO2 est responsable d’au moins 50% du réchauffement climatique observé.
          Le rapport du GIEC est un mauvais gag.

          • Bonjour orobindo,

            Merci pour vos réponses constructives (Ray pourrait d’ailleurs s’en inspirer), qui semblent vous demander un effort si considérable que vous n’êtes pas parvenu à faire fi de votre subjectivité jusqu’au bout (« Le rapport du GIEC est un mauvais gag »). Malgré cette erreur de fin de parcours, je vous réponds.

            2. Question. Beaucoup d’études de mathématiques disent que 2+2=4. Aucune ne dit que 2+2=5. Pour quelles raisons devrais-je objectivement penser que la théorie selon laquelle 2+2=4 est fausse ?

            Evidemment, je caricature. Concernant le climat, des arguments sont régulièrement avancés pour mettre en doute la théorie « 2+2=4 » (i.e. la contribution des GES anthropiques à l’évolution climatique au XXe siècle) : saturation de l’effet de serre CO2, erreurs d’observations, sous-estimation des forçages naturels, etc. Qui plus est, ces arguments sont avancés par des scientifiques bien rôdés au processus académique de publication des résultats scientifiques. Pourquoi alors ces scientifiques ne publient-ils pas leurs explications alternatives de l’évolution du climat au XXe siècle dans des revues scientifiques ? En d’autres termes, pourquoi refusent-t-ils le débat scientifique ?

            3. Insinuez-vous que toutes les études servant de base à la Fig 5.7 sont fausses ? Pour quelles raisons scientifiques ? (le rapport est dispo ici : http://www.climatechange2013.org/report/review-drafts/ , la figure concernée et les références bibliographiques associées sont dans le chapitre 5).

            4. Oui, nous ignorons si la liste est complète. Mais cette ignorance peut être probabilisée : c’est la quantification de l’incertitude dont je parlais. Je ne connais pas tous les ingrédients du ketchup, mais je suis certain (à un degré de confiance élevé) que les tomates contribuent fortement à son goût.

          • @Contrecontrepoints
            Vous dites N’importe Quoi.
            Bien sûr qu’ils publient dans des revues scientifiques.
            Simple exemple proche de nous et bien connu. Courtillot.
            Et allez donc consulter ce site, vous avez une liste innombrables de scientifiques qui publient sur le sujet.
            http://www.pensee-unique.fr/
            (Vous n’êtes qu’un menteur.)

            (ps : concernant mes réponses, je les faits en fonction de mes interlocuteurs. Lorsque l’on a affaire des menteurs et zélotes qui ne méritent pas mieux, je m’adapte.)

          • A ce qu’il me semble, vous m’avez répondu avec un peu trop d’empressement Contrecontrepoints.
            En effet, je m’attendais plutôt a lire un message comme celui-ci:

            « En effet, orobindo, j’ai bien conscience que notre ignorance est telle que nous ignorons ce que nous ignorons. Je sais aussi que des travaux importants sont, en ce moment même, revus par les pairs (cf. par exemple CLOUD) et il n’est pas impossible qu’ils nous montrent que c’est la couverture nuageuse qui est le facteur dominant dans l’évolution du climat et non pas le CO2. Il n’est donc pas impossible que le dernier rapport du GIEC finisse à la poubelle d’ici quelques mois, en effet. »

            En ce qui me concerne, l’affirmation du GIEC « science is settled » est largement suffisante pour justifier que j’utilise le rapport du GIEC pour me chauffer cet hiver (qui pourrait être bien froid).

          • Ray :

            OUI, Vincent Courtillot, comme d’autres scientifiques qui nient la contribution anthropique à l’évolution climatique actuelle, a publié et publie encore dans des revues scientifiques. Encore heureux, cela fait partie intégrante du travail d’un chercheur !

            MAIS il n’a jamais, à ma connaissance, publié d’étude proposant une explication de l’évolution climatique au XXe siècle dans son ensemble (pas qu’une série temporelle de température isolée, mais plusieurs variables à l’échelle globale) sur la seule base des mécanismes naturels. Aucune honte, car en fait, personne ne l’a jamais fait.

            Je ne peux pas être plus clair. Si vous pensez que je me trompe, merci de m’indiquer des références bibliographiques pertinentes (un lien vers pensee-unique n’a aucune valeur scientifique).

            Par ailleurs, il va sans dire que si vous continuez à m’insulter à tout va (« menteur », « zélote », etc.), je ne prendrai plus la peine de vous répondre, et me ficherai totalement de la façon dont vous l’interpréterez.

          • Orobindo :

            Les rétroactions nuageuses sont effectivement un vaste sujet d’étude, mais à nouveau, les incertitudes associées sont quantifiées et font partie de ce que l’on appelle « la variabilité interne ».

            Vous êtes libre de l’utilisation que vous faites du rapport du GIEC, ainsi que de vos capacités cognitives. En ce qui me concerne, je ne base pas ma compréhension sur des affirmations au conditionnel dérivées de vagues études en cours de review.

          • Vous vous foutez de ma gueule ? Bien sur que non qu’il n’a pas publié de théorie globale. Ce que disent les sceptiques est que, précisément, la variabilité naturelle est TRES insuffisamment connue pour pouvoir le faire.
            Il y a encore des scientifique qui ont l’honnêteté de dire que l’on ne sait pas tout.
            Le « débat est clos du GIEC » est RIDICULE, et TOUT SAUF DE LA SCIENCE.
            (On a jamais vu cela en science à part dans l’ex-URSS, et aux heures les plus sombres de l’Inquisition.)

            Bref, j’hésite entre « ignorant » ou « menteur ». « zélote » c’est évident par contre.

            @orobindo
            Hors de question que j’attend l’hiver.
            Personnellement j’utilise le rapport du GIEC dans la plus petite pièce de ma maison comme backup lorsque le rouleau rose est épuisé. (Désolé Contrecontrepoints, vous ne méritez pas mieux.)

          • Ray :

            Extrait de mon précédent message : « si vous continuez à m’insulter à tout va, je ne prendrai plus la peine de vous répondre, et me ficherai totalement de la façon dont vous l’interpréterez ».

            Extraits de votre réponse : « foutage de gueule », « RIDICULE », »On a jamais vu cela en science à part dans l’ex-URSS, et aux heures les plus sombres de l’Inquisition », « ignorant », « menteur », « zélote ».

            Dont acte.

            Dernière précision : vous êtes libres de vous torcher avec le rapport du GIEC, je ne vois pas en quoi cela est censé m’affecter. Rabelais écrivait que l’éducation commence par le contrôle des sphincters ; vous n’avez visiblement pas dépassé ce stade.

            Fin.

          • Oui, Contrecontrepoints, il semblerait que l’on en soit à ce stade de la discussion qui questionne non plus les informations que nous utilisons pour former notre pensée mais bien plutot l’intelligence qui s’en sert.

            Vous dites: « En ce qui me concerne, je ne base pas ma compréhension sur des affirmations au conditionnel dérivées de vagues études en cours de review » alors que j’aurais plutot pensé:
            « oui, orobindo, l’affirmation « science is settled » est malheureuse: j’ai bien conscience que la POSSIBILITE que la couverture nuageuse soit le facteur déterminant du climat (en attendant de le savoir) suffit pour totalement ruiner l’affirmation « science is settled ». »

          • En votre âme et conscience, lorsque vous déclarez que « le débat est clos » et que vous traitez de négationnistes les scientifiques qui ne vont pas dans votre sens, pensez-vous réellement que vous méritez mieux comme considération que ce que je manifeste dans mes messages ?

          • Orobindo : j’ai raté quelque chose. Quand ai-je affirmé « science is settled » ? Il me semble n’avoir parlé que d’incertitudes et de probabilités.

            Votre comportement est symptomatique des réactions sur ce site (ou sur pensee-unique, ou sur skyfall) : il suffit qu’un internaute soit sceptique sur les arguments anti-RCA et/ou anti-GIEC pour qu’il soit immédiatement caricaturé avec suffisance et mépris (sans parler des insultes de Ray).

            J’ai eu la patience de vous répondre en considérant objectivement chacun de vos points et en opposant des éléments factuels à vos idées préconçues. Je vous retourne à présent la question que vous m’aviez posée initialement : « acceptez-vous de considérer que mes réponses à vos messages puissent être tout à fait rationnelles et fondées ? ».

            Pour l’instant il me semble que non : vous préférez ignorer systématiquement mes réponses et les réécrire en m’attribuant des citations à tort. Si cette attitude traduit la limite de vos capacités cognitives, alors oui, autant arrêter là cette discussion.

          • Orobindo :

            La nouvelle réponse de Ray ne pouvait pas mieux illustrer mon propos : quand ai-je « déclaré que le débat est clos » et « traité de négationnistes les scientifiques qui ne vont pas dans [mon] sens » ?

            Symptomatique, vous disais-je.

          • Encore une fois vous mentez, même sur un point de détail.
            Le site Pensée-unique.fr ne comporte pas de partie interactive.
            Pensez-vous réellement que « menteur » soit une insulte vous concernant ? C’est un constat.

          • De plus, vous soutenez aveuglément (en « zélote » donc) des gens qui, eux, le font. Traiter de négationniste, lobbying pour faire virer des scientifiques pensant différemment, etc.
            La bande du GIEC a même été jusqu’à se REJOUIR du décès d’un scientifique sceptique génant (Marcel Leroux).
            Vous réalisez ou ces mecs en sont arrivés ?

            Un simple constat vous dis-je.
            Qu’en pensez-vous ?

          • [ERRATUM : je pensais à wattsupwiththat, non à pensee-unique – merci Ray d’avoir relevé ma bévue (ce qui ne fait pas de moi un menteur)]

          • Oui oui bien sûr, vous étiez trop préssé de répondre.
            « C’était pour voir si vous suiviez. » ? n’est-ce pas ? 🙂
            On voit le niveau…

          • Vraiment, Contrecontrepoints, vous ignoriez que le GIEC et ses porte-paroles affirment que c’est le CO2 le vilain coupable et que cela est sur et certain à 95%’et que « science is settled » ?

            Je n’ai rien contre vous. Mais je souhaite que le GIEC soit dissout et disparaisse.

          • En plus, vous connaissez Wattsupwiththat qui est un site anglophone primé à de nombreuses reprises pour la qualité de l’information qu’il délivre. Ce qui signifie que vous avez connaissance des scientifiques sceptiques qui publient.
            Donc NON SEULEMENT vous nous avez MENTI, mais en PLUS vous avez pris les lecteurs de ce blog pour des imbéciles.

            Votre passif s’allourdi.

          • @orobindo

            Oui tout à fait.
            C’est, en effet, ce que réclame maintenant Judith Curry, une climatologue réputée et respectée, qui est devenue sceptique (comme beaucoup d’autres).
            Elle démontre que le fonctionnement vicié du GIEC est un frein puissant à l’avancée de la science dans ce domaine.
            Il est URGENT que cette farce s’arrête et que la science reprenne sont cours.

          • Bonjour Ray

            Oui, Judith Curry, ce qu’elle dit est intéressant et utile.

            Bonne soirée.

          • Orobindo : « je souhaite que le GIEC soit dissout et disparaisse ». Vous avez l’amalgame tenace. Vous parlez de l’organisation ? Du rapport ? Des scientifiques eux-mêmes ?

            Les sciences du climat n’ont pas attendu la création du GIEC. Les études montrant un réchauffement planétaire au cours de la période industrielle non plus. Les études reliant ce réchauffement à l’augmentation de CO2 non plus. Le développement des modèles numériques de climat non plus. Etc. Etc. Ce billet d’Ed Hawkins est intéressant à ce sujet : http://theconversation.com/a-brief-history-of-climate-science-18578

            Critiquer l’organisation GIEC et juger si elle décrédibilise, ou non, la science relèvent de l’opinion. Vous donnez la vôtre, je garde la mienne pour moi. Je déplore simplement que vous utilisiez cette opinion pour ignorer plus d’un siècle d’avancées scientifiques sur la compréhension du climat.

          • Grosse blague ça encore.
            Savez-vous qu’il y a peu (avant le GIEC), les mêmes scientifiques qui aujourd’hui prédisent un réchauffement, prédisaient un refroidissement drastique et que (comme aujourd’hui) nous allions tous mourir si rien n’était fait.
            D’autres part, les études reliant les CO2 au réchauffement ont été invalidées par les carottages glaciaires. Dommage.
            Encore une fois, l’observation détruit l’idéologie.

            Quand aux modèles ? ENORME blague ça encore.
            AUCUN des 73 (oui excusez du peu, il faut bien faire tourner les ordinateurs) modèles du GIEC n’approche de près ou de loin les observations. AUCUN.
            Le Dr Roy Spencer, spécialiste des mesures satellitaires a récemment présenté le résultat de ses travaux devant le Sénat américain. C’est édifiant et se passe de commentaire. Je n’en citerais que 2 :
            « La différence entre les modèles et les observations n’est pas un problème nouveau… elle est juste de plus en plus criante au fil du temps.»
            « Aucune personne saine d’esprit ne peut continuer d’affirmer que les modèles ne sont pas « incompatibles » avec les observations. »
            Courtillot s’est aussi exprimé récemment à ce sujet. Il estime, à juste titre, que les modèles c’est bien, mais qu’il faut revenir aux observations.

            Bref, encore une fois Contrecontrepoints vous MENTEZ grossièrement.

          • Bonjour et merci Contrecontrepoints, vous m’avez éclairé. Vous m’avez fait comprendre que parmi les défenseurs de la théorie du réchauffement climatique anthropique, certains pensent ainsi:
            -l’affirmation « science is settled » vient de nulle part et on ne peut trouver personne qui en soit responsable et il est donc vain de s’y opposer. Il n’y a qu’un seul coupable, c’est le CO2 et personne d’autre. Le GIEC n’existe même pas.

            Merci pour m’avoir mieux fait comprendre comment fonctionne l’esprit des « réchaufistes ».

            Pour ma part, sachez que parmi les « avancées scientifiques sur la compréhension du climat » je m’intéresse plus particulierement au Soleil, aux rayons cosmiques, aux déplacements du systeme solaire dans la galaxie, la formation des aérosols (en lien avec les rayons cosmiques), les variations de l’orbite terrestre, bref, tout ce qui touche à l’espace.
            Il me semble qu’une tendance forte chez de nombreux (sinon la plupart) des « réchaufistes » serait plutot de se regarder le nombril et de se sentir coupable.
            Je pense que le désaccord climatique prend racine dans l’aptitude de nos esprits a s’élever (ou pas).
            Courage !

          • Orobindo, vous persistez dans vos erreurs rhétoriques.

            1. A nouveau vous caricaturez et déformez mes propos. L’exemple le plus flagrant est  » Il n’y a qu’un seul coupable, c’est le CO2 et personne d’autre ». Si vous me relisez, j’ai dit : « les fluctuations de T globale sont expliquées par (i) les variations [naturelles et anthropiques] de d’énergie reçue à la surface, et (ii) la façon dont cette énergie se répartit entre les compartiments (océans, atmosphère, continents, glace, etc.). » et « [on ne sait pas expliquer] l’évolution climatique au XXe siècle dans son ensemble […] sur la seule base des mécanismes naturels ». L’attribution n’est pas booléenne, elle est probabiliste.

            2. A nouveau, vous me cataloguez comme appartenant à un groupe purement sorti de votre imaginaire — les « réchauffistes » (même imaginaire, prenez au moins la peine de l’orthographier correctement) –, et vous m’attribuez tout ce que vous avez cru comprendre des propos de ceux que vous cataloguez également dans ce prétendu groupe.

            Sortir de ces simplfications/raccourcis/caricatures demanderait-il un effort intellectuel trop important pour vous ?

            La suite est en revanche intéressante :

             » Pour ma part, sachez que parmi les « avancées scientifiques sur la compréhension du climat » je m’intéresse plus particulierement au Soleil, aux rayons cosmiques, aux déplacements du systeme solaire dans la galaxie, la formation des aérosols (en lien avec les rayons cosmiques), les variations de l’orbite terrestre, bref, tout ce qui touche à l’espace.  »

            Très bien. Et avez-vous connaissance de travaux scientifiques publiés qui quantifient l’impact de ces facteurs sur les fluctuations climatiques aux échelles de temps qui nous intéressent ici (typiquement un siècle ou moins) ? Je précise l’échelle de temps par prévention : n’allez pas écrire que je conteste le rôle des variations des paramètres orbitaux dans l’alternance de périodes glaciaires / inter-glaciaires terrestres. Simplement notez que ces variations se font sur des périodes de temps typiquement mille fois plus grandes que le siècle, qui nous intéresse ici.

            A vous lire.

        • Effectivement, vous ne faites pas preuves de sensibilité personnelles; je parle bien sur de Ray ou minitax..Quant à la légitimité des scientifiques à traiter le sujet, je maintiens. Tout le monde peut penser ce qu’il veut, mais ceux qui ont vraiment la légitimité, ce sont bien ces professionnels.

  • Je vois que nous en sommes toujours au même point avec les bonobos du climat.
    Ils n’ont pas encore compris que la « science » climatique n’est qu’opinions et rien qu’opinions. DES scientifiques et non pas LES scientifiques émettent des hypothèses d’après des modèles informatiques et non pas d’après des observations, lesquelles observations sont tout à fait insuffisantes en termes de durée, de répartition et de nombre (hormis les mesures par satellite depuis 30 ans). Le GIEC collectent ce qu’il veut bien collecter (pas que des études revues par les pairs) et ignorent d’autres études et/ou minimisent l’importance d’autres. Croire que le GIEC est autre chose qu’une entreprise humaine qui répond à des intérêts, des désirs, des préjugés, etc., et que cette entreprise est infaillible ou divine, relève de la naïveté.
    Le champ de la climatologie est si large et fait intervenir tellement d’autres disciplines : telles que la glaciologie, la physique, la géographie, les mathématiques, les statistiques, etc., que personne ne peut se targuer d’embrasser le tout. Le climatologue, n’est même pas au niveau du généraliste en médecine, il est même loin d’un médecin du travail. Les « experts » le sont tous dans des spécialités bien définies et ne comprennent pas grand chose, voire rien aux autres domaines. Chacun travaille sur un morceau du puzzle, mais peu sont ceux qui savent où vont leur pièce et personne n’a jamais vu l’image en entier (surtout pas les rédacteurs du GIEC) parce qu’elle est tout simplement incomplète.
    Les climato-sceptiques ne sont ni refroidistes, ni invariabilistes. Ils rejettent l’hypothèse d’un réchauffement dû à l’homme sur la base de la science parce qu’ils ont compris que la science ne peut répondre, dans l’état actuelle des connaissances, à cette question. Reconnaître qu’on ne sait pas n’est pas un drame.
    On peut dire que le climat change, parce qu’à échelle de l’Histoire humaine, nous avons des preuves de ces changements. Exemple, le désert du Sahara qui n’était pas un désert, tel que nous le connaissons, il y a quelques siècles. Sans la présence de 4X4…

    • Abitbol :

      A première vue, la longueur de votre message et sa structure (phrases, paragraphes) laissaient présager une capacité d’argumentation scientifique infiniment supérieure à celle de Ray (oui, « infiniment », la sienne étant nulle). Malheureusement il n’en est rien.

      Ainsi, à moins que vous ne retiriez toutes vos attaques personnelles (je paraphrase : bonobo naïf fanatique du GIEC et qui ne comprend rien), et que vous ne cessiez votre schizophrénie visiblement contagieuse ici (qui est ce « nous » qui s’oppose aux « bonobos » ?), je ne prendrai pas la peine de vous répondre.

      Je suis ouvert à la discussion scientifique, pas aux échanges d’insultes.

      • Au sujet des « insultes », relisez donc vos messages destinés, par exemple, à orobindo…
        C’est cette différence entre la réalité et l’idée que vous vous en faites qui nous montre qui vous etes.
        Par ailleurs je vous informe que je vous ai répondu ici: le 23 octobre 2013 à 10 h 59 mn et que je n’ai plus trop envie de perdre mon temps avec vous.

        • Orobindo : « Au sujet des insultes, relisez donc vos messages destinés, par exemple, à orobindo… »

          Effectivement, les messages que je vous ai destinés fournissent un parfait exemple de courtoisie, montrant qu’il est tout à fait possible de discuter sereinement sans la moindre insulte envers ses interlocuteurs.

          « je vous informe que je vous ai répondu ici: le 23 octobre 2013 à 10 h 59 mn et que je n’ai plus trop envie de perdre mon temps avec vous »

          Je vous ai répondu à mon tour.

          • So you are saying that yours are the only forecasts of global temperature that are the products of proper scientific procedures?
            (…)
            There is no support from scientific forecasting either for an upward trend in temperatures, or for a downward trend. Without support from scientific forecasts, the global warming alarm is baseless and should be ignored.
            Government programs, subsidies, taxes and regulations proposed as responses to the global warming alarm result in misallocations of valuable resources. They lead to inflated energy prices, declining international competitiveness, disappearing industries and jobs, and threats to health and welfare.

            http://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/10/22/the-un-ipccs-climate-modeling-procedures-need-serious-remodeling/

            Les alarmistes et malades du CO2 penseront que l’auteur, 54 ans, puisqu’ils ont trouvé la preuve qu’il fait toujours pipi au lit… ses compétences et son témoignage ne valent donc rien.

      • Ne vous en faites pas pour cela. Votre avis de menteur n’intéresse personne.

        • Bonjour Ray,
          En effet, je pense que nous pouvons l’ignorer.
          Voici un article intéressant qui contient un lien vers une étude publiée dans Nature le 6 octobre 2013 au sujet de la découverte d’un mécanisme refroidissant l’atmosphere. Ceux qui affirment « science is settled » sont des idiots ou des charlatans:
          http://press.web.cern.ch/fr/press-releases/2013/10/lexperience-cloud-du-cern-apporte-de-nouveaux-elements-sur-le-changement

          • Orobindo, merci de vos réponses, vous êtes pour l’instant le seul à chercher à parler de science ici, et chose appréciable, vous appuyez vos propos par une référence à une publication scientifique.

            En revanche vous semblez interpréter cet article de manière erronnée en parlant de « la découverte d’un mécanisme refroidissant l’atmosphere ». L’effet refroidissant des aérosols sulphatés est connu depuis longtemps, il vous suffit de lire l’abstract pour vous en rendre compte :

            « Aerosols can cause a net cooling of climate by scattering sunlight and by leading to smaller but more numerous cloud droplets, which makes clouds brighter and extends their lifetimes [2]. Atmospheric aerosols derived from human activities are thought to have compensated for a large fraction of the warming caused by greenhouse gases [2] »

            Ces deux phrases citent la référence numérotée [2]. Si vous jetez un oeil à la bibliographie, vous verrez qu’il s’agit … du quatrième rapport du GIEC :
            « [2] IPCC. Climate Change 2007: the Physical Science Basis. Contribution of Working Group I to the Fourth Assessment Report of the Intergovernmental Panel on Climate Change (Cambridge Univ. Press, 2007) »

            Donc tant mieux si, personnellement, vous découvrez à l’occasion de ce papier l’effet refroidissant des aérosols, et les grandes incertitudes associées à cet effet. Mais ce n’est absolument pas le cas de la communauté scientifique, à commencer par les auteurs de ce papier qui sont les premiers à dire que le résultat principal de leur étude concerne le processus de formation des aérosols, et non leur impact sur le climat.

            Pour finir, puisque les rayons cosmiques semblent particulièrement vous intéresser, notez cette phrase extraite du communiqué de presse du CERN que vous avez donné en lien :

            « [Les chercheurs de CLOUD] ont constaté que les rayonnements ionisants, tels que le rayonnement cosmique qui bombarde l’atmosphère depuis l’espace, n’ont qu’une influence négligeable sur la formation de ces aérosols particuliers. »

            Bien à vous.

          • « Orobindo, merci de vos réponses, vous êtes pour l’instant le seul à chercher à parler de science ici, et chose appréciable, vous appuyez vos propos par une référence à une publication scientifique. »

            Evidemment, j’aurais modéré ces propos si j’avais commencé par lire votre autre réponse parlant de « pipi au lit »…

          • Vous ne comprenez pas que, DE MON POINT DE VUE, chacune de vos interventions ne fait qu’aggraver votre cas. Je ne vais pas perdre mon temps a relever toutes les fois (trop nombreuses) ou vous montrez un esprit biaisé ou tordu.
            Ne serait-ce que dans votre dernier message… Je me doutais bien (m’attendant au pire) que vous alliez sélectionner le passage que vous citez et ne pas citer cet autre: « Toutefois, les mesures que nous avons réalisées n’excluent pas que la formation des aérosols dans l’atmosphère puisse se produire avec d’autres vapeurs, sur lesquelles les effets des rayons cosmiques peuvent être différents. »

            Et, pareil au sujet de votre remarque au sujet de l’absence de decouverte… Pour ma part j’ai lu ceci:
            « La propension à la formation d’aérosols en présence d’amines, telle qu’elle apparaît dans les mesures, a SURPRIS les chercheurs. Elle semble indiquer un mécanisme de refroidissement du climat qui pourrait être significatif. De plus, comme l’absorption aux amines est appelée vraisemblablement à devenir une technologie importante pour le captage du dioxyde de carbone produit par les centrales électriques à combustible fossile, cet effet devrait S’ACCROITRE à l’avenir. »

            Votre esprit est au service d’une cause et non pas de la vérité.
            Et vous ne semblez pas pouvoir penser en votre ame et conscience « en fait, nous ne savons pas vraiment »… alors que c’est l’évidence.

          • Orobindo : pour vous prouver que je ne suis pas biaisé, je vous cite le dernier paragraphe de l’article en question dans son intégralité.

            « The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) considers that the increased amount of aerosol in the atmosphere from human activities constitutes the largest present uncertainty in climate radiative forcing [2] and projected climate change this century [29]. »

            « The results reported here show that the uncertainty is even greater than previously thought, because extremely low amine emissions—which have substantial anthropogenic sources and have not hitherto been considered by the IPCC—have a large influence on the nucleation of sulphuric acid particles. »

            « Moreover, amine scrubbing is likely to become the dominant technology for CO2 capture from fossil-fuelled power plants, so anthropogenic amine emissions are expected to increase in the future [30]. If amine emissions were to spread into pristine regions of the boundary layer where they could switch on nucleation, substantial increases in regional and global cloud condensation nuclei could occur. »

            « This underscores the importance of monitoring amine emissions—as well as those of sulphur dioxide—when assessing the impact of anthropogenic activities on the radiative forcing of regional and global climate by aerosols. »

            Mon interprétation objective : les auteurs n’ont pas « découvert un mécanisme refroidissant », ils montrent (et c’est un résultat majeur !) que les incertitudes associées à ce mécanisme déjà connu (aérosols) sont plus grandes si l’on considère sur les émissions anthropiques d’amine – ce qui n’est actuellement pas le cas – surtout que ces émissions pourraient croître à l’avenir (géo-ingénierie). En d’autres termes l’influence des activités humaines sur le climat pourrait être plus importante que pensé jusqu’à présent.

            Etes-vous d’accord avec cette interprétation ?

          • Pas tout à fait d’accord. En effet lorsque vous dites: « En d’autres termes l’influence des activités humaines sur le climat pourrait être plus importante que pensé jusqu’à présent. », pour ma part je pense que si deux influences s’opposent (le CO2 réchauffe et les amines refroidissent) alors l’influence des activités humaines sur le climat pourrait être, dans leur ensemble, moins importante que pensé jusqu’à présent.

            Pour ma part je suis en train de chercher un complément d’information au sujet de Dr. Kesten Green. En effet, il est possible que les climato-sceptiques trouvent un argument de plus et pas des moindres pour réduire au silence et anéantir l’IPCC et l’esprit qui l’inspire:

            http://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/10/22/the-un-ipccs-climate-modeling-procedures-need-serious-remodeling/

          • Orobindo : « pour ma part je pense que si deux influences s’opposent (le CO2 réchauffe et les amines refroidissent) alors l’influence des activités humaines sur le climat pourrait être, dans leur ensemble, moins importante que pensé jusqu’à présent.  »

            Votre remarque est tout à fait pertinente. Cependant, on ne saurait résumer le climat à une température globale (même si c’est un indicateur important). Aux échelles locales, et sur d’autres variables (par ex. les précipitations), il n’y a pas de raison de penser que les effets GES et aérosols se compensent. Il est tout à fait possible d’imaginer un changement climatique anthropique à température globale de surface constante.

            Etes-vous d’accord ?

            [ P.S. Point de détail : ne pas réduire les GES au seul CO2, et les aérosols anthropiques aux seuls dérivés des amines. ]

      • L’avantage avec les bonobos, c’est que toute conversation est superflu.
        Déjà, vous vous reconnaissez, c’est un bon début…

  • Visiblement vous n’avez pas entendu parler de la théorie des probabilités durant toutes votre carrière, autrement vous ne seriez pas surpris par ce 95% ! Ou alors, vous jouez les imbéciles pour tromper les ignorants et les gagner à votre cause idéologique et non scientifique ! Quiconque a fait quelques études en sciences sait très bien d’où vient ce 95%, pour être précis et dire la vérité, il provient des seuils qu’on se fixe lors des tests statistiques ! Osez prétendre que tant que l’on n’est pas sûr à 100% de quelque chose c’est que cette chose n’est pas vraie est une hérésie scientifique et est la preuve que la personne qui affirme cela n’a jamais vraiment réfléchi à ce qui est une preuve admise par la communauté scientifique, et tout encore pire à ce qu’est une preuve. Autrement dit, c’est intellectuellement très faible. J’espère que l’auteur me répondra pour qu’on puisse avoir une conservation sensée et peut-être pourrai-je lui donner une leçon !

    • @ Lionel37 :

      Vous avez tout à fait raison : ces 95% viennent du test statistique de rejet de l’hypothèse nulle (H0) que l’on pourrait ici formuler comme suit « l’évolution de T globale au XXe siècle est explicable par la variabilité naturelle seulement ». En l’occurrence les études publiées montrent que l’on peut rejeter H0 avec moins de 5% de chances de se tromper (cf. Section 10.3.1.1.3 dans le Chapitre 10 du rapport, et les références associées).

      Tout cela est d’ailleurs expliqué dans le Technical Summary associé au rapport, Box TS1 « Treatment of Uncertainty », dont voici l’extrait correspondant :
      « If uncertainties can be quantified probabilistically, an author team can characterize a finding using the calibrated likelihood language or a more precise presentation of probability. Unless otherwise indicated, high or very high confidence is associated with findings for which an author team has assigned a likelihood term. »

      Et je rappelle que le rapport complet est disponible ici : http://www.climatechange2013.org/report/review-drafts/

    • « il provient des seuils qu’on se fixe lors des tests statistiques ! »

      Le « test statistique » ne dit JAMAIS qu’un résultat est sûr à 95 %.

      JAMAIS.

      Vous avez peut être étudié les statistiques, mais vous n’y avez RIEN compris.

  • Ceux qui trouvent très puissant de mettre en avant ce que dit la secte, comme preuve que la secte a raison, semblent avoir perdu de vue le sujet du papier. Il est vrai que le sujet est gênant pour la secte. En voici une reformulation :

    C’est quoi cette foutaise d’eau chaude qui coule au mépris des lois de la physique ?

    • ContreContreContrepoints, vous illustrez on ne peut mieux vos propres propos : « personne fermée à toute discussion, prompte à rejeter autrui, à le mépriser et à le catégoriser », c’est précisément la définition de « sectaire ». http://fr.wikipedia.org/wiki/Secte

      Je ne pense pas que ce soit le cas, mais si votre question est une réelle interrogation sur les mécanismes physiques et les tendances récentes de l’absorption de chaleur par les océans profonds (« deep-ocean heat uptake » en anglais), alors je vous invite à lire ce billet et de vous reporter aux publications scientifiques qu’il cite : http://skepticalscience.com/watanabe-et-al-2013-another-piece-of-the-puzzle.html

      • La définition de « sectaire » s’applique tout à fait au site auquel vous me renvoyez, qui n’a de « sceptique » que son préfixe puisqu’il est le lieu où s’exprime la quintessence de la foi anti-CO2, et où des cerbères veillent efficacement à ce qu’aucune opinion mécréante ne puisse s’exprimer.

        Sur « Contrepoints », vous êtes parfaitement libre de vous exprimer, même en annonçant d’emblée dans votre pseudo que vous êtes « contre ». Sur « skepticalscience » vous n’auriez pas dépassé le stade du premier post, et vous auriez été rejeté comme mécréant. Le choix d’un pseudo du genre « anti-skepticalscience » vous aurait blackboulé d’emblée.

        Alors, s’il vous plait, Monsieur le Donneur De Leçons de Politesse, gardez pour vous votre « science » hémiplégique, ou, mieux, si vous êtes sincère, allez donc regarder dans la maison qui fait face à celle du GIEC.

        De l’autre côté de la rue, il y a en effet un NIPCC (Nongouvernemental International Panel on Climate Change) http://bit.ly/1acNjFC qui synthétise les travaux des centaines de scientifiques – qui valent bien les vôtres – qui ne se reconnaissent pas dans les travaux sélectionnés par le GIEC comme conformes à l’hystérie anti-carbone. Ceux-là pratiquent une science plus « traditionnelle », vous savez, cette science où, lorsque la réalité ne se conforme pas à la théorie, on a l’humilité de remettre en cause la théorie, au lieu de distordre les faits.

        Vous y trouverez, en particulier, un document qui fait pendant à l’AR5 du GIEC, intitulé « Climate Change Reconsidered ». La partie qui devrait vous intéresser est celle intitulée « Physical Science » http://bit.ly/1acOGEn. Vous pouvez commencer par le « Summary for Policy Makers » http://bit.ly/1acOWD5 qui, au contraire de celui du GIEC, présente l’avantage de ne pas avoir été négocié pied à pied avec les représentants politiques mandatés par tous les états membres de l’ONU. Il a donc pu conserver une certaine intégrité conceptuelle.

        • CCCP : Mon pseudo n’est rien d’autre qu’un jeu de mots (vous pouvez le juger maladroit). Je ne suis pas aveuglément « anti »-contrepoints.org, je pense que la teneur de mes propos et le ton que j’emploie suffisent largement à le prouver.

          L’article que j’ai pointé vers skepticalscience a le mérite de se baser sur des études scientifiques qu’il cite explicitement. Vous pouvez être allergique au site, cela ne vous empêche pas d’aller lire ces papiers.

          Quant au NIPCC (que j’avais déjà parcouru), je suis en désaccord avec vous lorsque vous lui prêtez la même valeur scientifique que le rapport du WG1 de l’IPCC et que vous vantez son intégrité conceptuelle. En particulier le NIPCC ne « source » pas les citations (parfois fausses, par ailleurs) qu’il attribue au rapport de l’IPCC, et introduit à de nombreuses reprises des jugements subjectifs qui n’ont pas leur place dans un document scientifique (en premier lieu le « dangerous » climate change).

          Bien à vous.

          • Je n’aime pas beaucoup lire des blogs où je sais que je n’aurai pas le droit de m’exprimer, sauf à accepter les « vérités révélées ». Je n’ai par ailleurs aucun doute sur l’efficacité de « skepticalscience » à sélectionner les travaux qui vont dans le « bon » sens.

            Je sais de plus très bien comment on peut faire dire aux modèles tout ce qu’on veut, moyennant la dose suffisante de persuasion et les intruments de torture idoines utilisés sur les « proxys ».

            Le seul FAIT avéré est que la partie mesurable des océans ne se réchauffe pas. Et ce fait est très gênant. Alors les contorsions qui permettent de contourner ce qui est mesurable, en invoquant de qui ne l’est pas, à grands coups de « modèles » et de « proxys », c’est bon pour les gogos, je n’en suis pas.

            « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir » Marcel Proust

          • CCCP : « Le seul FAIT avéré est que la partie mesurable des océans ne se réchauffe pas. »

            Merci d’indiquer une référence, car ce que vous dites est en totale contradiction avec – pour n’en citer qu’une – l’étude de Levitus et al. (2012) dans GRL, uniquement basée sur les observations océaniques, et dont je copie l’abstract dans son intégralité pour ne pas être accusé d’interprétation biaisée :

            « We provide updated estimates of the change of ocean heat content and the thermosteric component of sea level change of the 0–700 and 0–2000 m layers of the World Ocean for 1955–2010. Our estimates are based on historical data not previously available, additional modern data, and bathythermograph data corrected for instrumental biases. We have also used Argo data corrected by the Argo DAC if available and used uncorrected Argo data if no corrections were available at the time we downloaded the Argo data. The heat content of the World Ocean for the 0–2000 m layer increased by 24.0 ± 1.9 × 1022 J (±2S.E.) corresponding to a rate of 0.39 W m−2 (per unit area of the World Ocean) and a volume mean warming of 0.09°C. This warming corresponds to a rate of 0.27 W m−2 per unit area of earth’s surface. The heat content of the World Ocean for the 0–700 m layer increased by 16.7 ± 1.6 × 1022 J corresponding to a rate of 0.27 W m−2(per unit area of the World Ocean) and a volume mean warming of 0.18°C. The World Ocean accounts for approximately 93% of the warming of the earth system that has occurred since 1955. The 700–2000 m ocean layer accounted for approximately one-third of the warming of the 0–2000 m layer of the World Ocean. The thermosteric component of sea level trend was 0.54 ± .05 mm yr−1 for the 0–2000 m layer and 0.41 ± .04 mm yr−1 for the 0–700 m layer of the World Ocean for 1955–2010. »

            Le lien vers le papier : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2012GL051106/abstract

          • Pauvre cloche…

            « We provide updated estimates of the change of ocean heat content and the thermosteric component of sea level change of the 0–700 and 0–2000 m layers of the World Ocean for 1955–2010. »

            On est toujours et encore dans la science Nitendo. Ce papier traite d’estimations. Il n’y a pas de mesures utilisables de la température de l’ensemble des mers et océans entre 1955 et 2010. Si je me balade avec un thermomètre dans la France et que je prends 15 mesures sur l’année, je pourrai aussi faire une estimation de la température pour le pays sur un an…

          • Donc, au 27ème post de votre part, où vous avez soulevé toutes les arguties, et enculé les mouches dans toutes les positions, voilà que vous découvrez, incidemment dans mon argument, l’assertion qui est centrale dans le papier de jipebe29 que vous critiquez.

            L’assertion est « depuis 2003, les 3300 sondes océaniques ARGO ont mesuré un léger refroidissement des océans, de la surface à une profondeur de 700 m (1000 m pour les sondes récentes) ».

            Sans cette assertion, l’article de jipebe29 n’aurait même pas été écrit.

            J’en déduis donc que l’équipe qui vous épaule dans les tentatives de démolition est bien inefficace, et vous devriez leur remonter les bretelles. Car vous ne pouvez être seul Monsieur Contrecontrepoints, ou alors vous devez avoir une motivation très forte, et rien d’autre à faire.

            Ce n’est pas mon cas. Je ne vous ferai pas le cadeau de vous suivre dans le jeu Qui-va-donner-le-plus-de-liens. A ce jeu-là, vous gagnerez forcément.

            Bien sûr, votre complice Luc a bien fait valoir que de 2003 à aujourd’hui la période est bien courte pour conclure, mais cela fait tout de même 10 ans sans réchauffement des couches superficielles (0 à 1000 m) et avant, personne ne sait, et vous le savez bien.

          • CCCP : Et voilà qu’à votre tour vous me répondez avec vulgarité et en me catégorisant.

            Pour votre information, je ne connais ni Luc ni personne sur ce forum. Je n’ai ni « complice » ni « équipe qui [m’] épaule ». J’ai pris la parole par curiosité, souhaitant voir les réactions des commentateurs de Contrepoints dès qu’on leur expose les faits scientifiques étayés par des publications pertinentes. Si cela peut vous rassurer, ce n’est pas si chronophage : répondre à chaque commentaire est quasi-instantané pour tout chercheur qui tient sa culture scientifique et sa bibliographie à jour, et le faire avec courtoisie, respect et patience est à la portée de tout pédagogue.

            Quant aux réactions de mes interlocuteurs, le constat est affligeant : torrent d’insultes et paranoïa du complot. Un seul a été capable de me citer une publication scientifique ; son interprétation en était cependant erronée.

            Donc CCCP, Abitbol, Ray, si vous avez envie de penser que le GIEC est une secte, que les scientifiques qui publient sur le climat (dont je fais partie, vous l’aurez deviné) mentent par idéologie, cupidité et/ou hystérie, que les activités humaines n’influencent pas le bilan d’énergie de la Terre, que les températures de surface de l’atmosphère et/ou de l’océan superficiel n’ont pas augmenté à l’ère industrielle, etc., etc., pensez-le.

            Je ne répondrai désormais qu’à ceux qui exposeront des éléments scientifiques étayés, non des opinions de café du commerce. Fort probable que ce soit donc mon dernier post ici.

            Bien cordialement.

          • CCP vous êtes indécrottable…
            Moi je, moi je… vous n’êtes personne ici, puisque vous utilisez un pseudo. De facto, vous vous mettez au niveau des autres intervenants anonymes et vous ne pouvez aucunement vous parez d’un quelconque autorité.
            Récemment, deux scientifiques sont intervenus sous leur nom dans ces colonnes : Isvan Marko et JP Bardinet.

            Vous confondez toujours et encore LES scientifiques et DES scientifiques.
            Vous confondez DES études scientifiques et ce qu’en retient le GIEC.
            Enfin, vous confondez la réalité et ce que VOUS et d’autres perçoivent de la réalité.
            C’est votre problème de faire de telles simplifications.

            Vous êtes au mieux un enfant, au pire un truand. La vérité se situant entre les deux, à vous de placer le curseur.
            Oui, le GIEC est un repère de politiciens et de complices scientifiques qui manient des études sérieuses ou non (cela dépend des cas) par amour du pouvoir, des sous, du prestige. Imaginez une seconde que demain la preuve irréfutable que l’homme n’est pour rien dans la variabilité du climat soit établie. Finis les postes super rémunérés, finis les voyages, les hôtels, les plateaux télé (ceux qu’on regarde, pas ceux qu’on mange), finis l’écoute des puissants, etc.
            C’est vous qui employez le mot « complot », alors que nous n’avons affaire qu’à une banale et triviale ESCROQUERIE.

            Oui, c’est vrai qu’il y en a marre de la bêtise des crédules et de la malhonnêteté des vendeurs de peur. Ceci explique des dérapages de vocabulaires et l’exaspération des honnêtes gens.

          • Si c’est l’expression « enculer les mouches » que vous avez trouvé « vulgaire », je regrette de ne pas avoir dit, plus précieusement « sodomiser les diptères ».

            Pour vous, un argument n’est valide que s’il est étayé par une publication qui a reçu l’onction de la petite clique qui tient bien serrées les rênes de son pouvoir. Personne ne peut s’étonner que vous ne puissiez que tourner en rond dans votre pensée unique.

            Une adhésion sans faille au système peut s’avérer un puissant accélérateur de carrière. Quelques exemples célèbres montrent qu’on peut approcher du sommet sans savoir grand-chose du climat. Vous saurez sans nul doute prendre le bon vent.

            Le vent qui vous portera est puissant, puisque dorénavant soufflé par le politique.

            Tel celui qui portait Lyssenko.

          • No amount of experimentation can ever prove me right; a single experiment can prove me wrong. A.Einstein

            De l’eau tombe dans une baignoire qui est percée de trous (le niveau d’eau dans la baignoire représente la température). Nous avons observé depuis les années 70 et jusqu’à la fin des années 90 une élévation du niveau de l’eau dans la baignoire.
            Les publications du GIEC annoncent que le niveau d’eau dans la baignoire va continuer de monter, et de façon catastrophique pour les humains. La raison en serait que le CO2 serait responsable de la réduction du diamètre de l’un des trous dans la baignoire (il réduit ce qui sort).

            Ce que nous savons faire, c’est :
            -mesurer le niveau d’eau dans la baignoire
            -estimer ce qui fuit
            -estimer ce qui entre

            La validité de ces estimations peut être jugée de deux façons :
            par la réflexion (erreurs etc…) et par l’observation.
            Le dernier mot revient à l’observation.

            Hélas pour le GIEC, les prévisions faites vers la fin des années 90 ne sont pas validées par l’observation: le niveau d’eau dans la baignoire ne bouge plus depuis la fin des années 90. La situation devient dangereuse pour le GIEC et pour toute ou partie de sa clique. En effet, il y a un risque grandissant que l’on se mette à penser dans les chaumières que l’observation invalide les prévisions et donc aussi la théorie du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA).

            Si la température (le niveau de l’eau dans la baignoire) est constante alors ce qui entre égale ce qui sort. Mais puisque 1-la théorie RCA nous dit que le CO2 bouche (un peu) le plus gros trou au fond de la baignoire et que le niveau devrait monter et 2-le niveau d’eau ne bouge plus,
            il se pose la question de savoir pourquoi le niveau d’eau ne bouge plus.

            Il n’y a que deux solutions raisonnables à ce problème: soit la baignoire reçoit moins d’eau (c’est ce que pensent les solaristes) soit on découvre qu’un réservoir se cachait sous la baignoire et qu’il collecte l’eau qui sort par les trous sous la baignoire.

            La théorie RCA se voit adjoindre une seconde théorie, celle du réservoir caché, et afin d’éviter que RCA ne soit remise en cause.
            Hélas pour le GIEC, les sondes ARGO ne mesurent pas, n’observent pas, d’élévation de la température au fond des océans. La théorie du réservoir caché n’est pas vérifiée par l’expérience.

            Pire, il est observé (ou tout au moins pressenti) que le niveau d’eau dans la baignoire commence à baisser… Si cela se confirme alors que deviendra la théorie du réservoir caché sous la baignoire et avec celle du RCA?…

          • Bonjour Orobindo. C’est avec plaisir que je reprends le clavier après votre message qui, une nouvelle fois, démontre votre curiosité scientifique et votre intérêt pour la physique du climat et sa modélisation.

            Votre modèle de baignoire trouée à réservoir est une excellente analogie des modèles simplifiés de bilan d’énergie (de type « Energy balance models », EBMs), qui calculent en général la T du système {basse atm + océan superficiel } en fonction :
            – du flux net d’énergie qui entre au sommet du système (énergie entrante moins énergie sortante),
            – du flux net d’énergie captée par l’océan profond (« deep ocean heat uptake »).

            [ Ceci est donc parfaitement équivalent à calculer la hauteur de l’eau dans la baignoire en fonction :
            – du flux net d’eau entrante (eau qui rentre par le robinet moins eau qui sort par les trous),
            – du flux net d’eau captée par le réservoir sous la baignoire. ]

            Au premier ordre, on peut ensuite considérer que :
            – le flux net d’énergie au sommet est directement modifié par des causes naturelles (soleil, volcans) et des causes anthropiques (aérosols, GES). Par exemple, comme vous le dites, si l’activité solaire diminue, le flux diminue, et si les GES augmentent, le flux augmente, et vice-versa.
            – le flux net d’énergie avec l’océan profond fluctue selon une variabilité propre au système (variabilité dite « interne »).

            Vous dites ensuite que la T du système augmenté des 1970s aux 1990s, et qu’elle « n’augmente plus » depuis. En toute rigueur, les mesures indiquent qu’elle augmente plus lentement depuis les 1990s qu’avant (pas d’arrêt, données HadCRUT4, par ex.). Comprendre pourquoi le rythme est différent d’une période à l’autre est toutefois une question parfaitement légitime.

            Vous résumez les explications à un choix booléen : « soit la baignoire reçoit moins d’eau, soit [le] réservoir sous la baignoire collecte l’eau ». Notez que les deux peuvent jouer en même temps. Notez également que la première ne dépend pas que du soleil : les volcans et les aérosols anthropiques peuvent aussi contribuer.

            Puis, vous rejetez la seconde explication par la simple affirmation que « les sondes ARGO ne mesurent pas, n’observent pas, d’élévation de la température au fond des océans », faisant probablement référence à la 2e figure du billet ci-dessus. Cette affirmation, ainsi que la figure, ne sont étayées par aucune référence à une étude scientifique, ni même aux données utilisées. Elles sont scientifiquement irrecevables en l’état.

            De plus, cette affirmation est en contradiction avec Levitus et al. (2012, GRL) ou Purkey and Johnson (2010, J. Clim.) qui concluent à un réchauffement des océans profonds. Je suis bien entendu conscient que ces études reposent sur des estimations, et que les observations d’océan profond sont très pauvres à échelle globale. A ce titre, notez que même les sondes ARGO, en plus de n’avoir que quelques années de recul historique, présentent des biais de mesure (Barker et al., 2011, J. Atmos. Oceanic Technol.).

            Pour conclure, en l’état actuel des connaissances et dans les limites de ce modèle simplifié, je ne vois aucune raison d’écarter les océans profonds comme explication partielle potentielle du ralentissement du réchauffement global. Les termes « partielle » et « potentielle » sont cruciaux ici, et s’opposent à « totale » et « définitive ». En ce qui concerne les océans profonds, science is far from settled, Orobindo 😉

            A vous lire.

          • @CCP
            « Pour conclure, en l’état actuel des connaissances et dans les limites de ce modèle simplifié, je ne vois aucune raison d’écarter les océans profonds comme explication partielle potentielle du ralentissement du réchauffement global »

            Il faut au moins être climatomancien pour sortir ça !

            Et l’action des petits hommes verts comme éventuelle explication partielle potentielle de l’arrêt du réchauffement, vous ne l’écartez pas non plus ?

            De trois choses l’une : vous êtes débile, vous faites semblant de l’être, ou vous nous prenez pour des débiles. Choisissez.

          • @CCCP

            Trop tordant, notre un contre en moins est bien conscient qu’il n’y a pas de mesure dans les grandes profondeurs, que les études à la noix qu’il cite ne font part que d’estimations au doigt mouillé, mais ça ne l’empêche pas de CROIRE qu’il est possible que l’explication de la chaleur cachée et de son passage secret soit tout de même à prendre en compte…

            Moi, j’ai choisi. CCP est débile.

          • Si on évite de penser l’évolution de la courbe de la température de l’atmosphère à partir des années 90 mais bien plutôt à partir de l’an 2000 ou 2002 alors il apparaît une tendance à la baisse (de 0,05 degrés si j’ai bonne mémoire). Ce qui est intéressant c’est de relever une tendance qui soit significative c’est a dire sur une durée qui soit suffisamment longue mais pas trop (et en évitant el nino). Le choix de prendre les années 90 en référence afin de pouvoir continuer de penser que le réchauffement climatique n’a pas cessé est très suspect. Et d’autant plus suspect que vous dites:
            « En toute rigueur, les mesures indiquent qu’elle augmente plus lentement depuis les 1990s qu’avant… ». En toute rigueur? Qu’est-ce que la « rigueur » a à voir avec le choix de la plage de données qui débute en 90 versus 2002 ? Je ressens comme un excès qui, selon moi, signale une volonté politique de faire penser que « science is settled ».
            Il me semble bien plus pertinent de penser que la température s’est mise à baisser depuis le début des années 2000 plutôt que de dire que la température continue d’augmenter depuis le milieu des années 90. De plus cette façon de penser est LA SEULE qui s’accorde avec l’observation récente qui montre une augmentation significative de la glace arctique.

            Au sujet de la température des océans en profondeur:
            L’eau salée est plus dense que l’eau douce.
            L’eau froide est plus dense que l’eau chaude.
            Seule l’eau salée froide descend au fond des océans.
            L’eau qui descend au fond des océans descend près des pôles.
            Si les glaces polaires fondent alors elles diminuent la salinité en surface et diminue la quantité d’eau salée qui vient se refroidir à proximité des pôles et qui peut descendre vers les fonds marins.
            Vers la fin de l’été lorsque la salinité de surface est la plus faible, la circulation de l’eau à forte salinité pourrait se ralentir. Vers le milieu et la fin de l’hiver, lorsque l’eau de surface est la plus froide alors la salinité de surface remonte et la circulation de l’eau à forte salinité devrait augmenter.
            Cependant, l’inertie (cf. masse gigantesque) devrait faire que la circulation (débit) ne devrait pas avoir le temps d’être très affecté par ces variations saisonnières de salinité.
            En conséquence je peux concevoir que de l’eau salée de surface et en déplacement vers les pôles plonge un peu sous une couche d’eau moins salée venant de la fonte des glaces et continue de se déplacer vers les pôles avant de plonger avec une température supérieure à celle qu’elle aurait si elle était passée plus prés de la surface.
            Ce pourrait être ainsi un mécanisme conduisant à une augmentation de la température de l’eau au fond des océans (peut-être quelques millièmes de degrés?).
            Cependant cela ne concernerait que la circulation en arctique et puisqu’en antarctique il n’y a pas eu d’augmentation de la fonte liée au réchauffement climatique.

            Si un tel mécanisme pouvait expliquer une augmentation de la température en eau profonde alors il viendrait aussi expliquer un refroidissement pendant la période 1945-1975. De plus on doit penser cette question à partir du petit age glaciaire et même de bien plus tôt étant donnée la durée de 10000ans (!) qui est requise pour remplacer l’eau en profondeur.

            La dimension cataclysmique associée au réchauffement climatique est au-delà du ridicule.

          • Bonjour,

            AU SUJET DE LA TEMPERATURE DES OCEANS EN PROFONDEUR

            (Je recopie un extrait que j’ai posté le 27 octobre 2013 à 0 h 00 min afin de le corriger et le compléter)

            L’eau salée est plus dense que l’eau douce.
            L’eau froide est plus dense que l’eau chaude.
            Seule l’eau salée froide descend au fond des océans.
            L’eau qui descend au fond des océans descend près des pôles.
            Si les glaces polaires fondent alors elles diminuent la salinité en surface et diminue la quantité d’eau salée qui vient se refroidir à proximité des pôles et qui peut descendre vers les fonds marins.
            Vers la fin de l’été lorsque la salinité de surface est la plus faible, la circulation de l’eau à forte salinité pourrait se ralentir. Vers le milieu et la fin de l’hiver, lorsque l’eau de surface est la plus froide alors la salinité de surface augmente et la circulation de l’eau à forte salinité pourrait augmenter.
            Cependant, l’inertie (cf. masse gigantesque) devrait faire que la circulation (débit) ne devrait pas avoir le temps d’être très affecté par ces variations saisonnières de salinité en surface.
            En conséquence je peux concevoir que de l’eau salée de surface et en déplacement vers les pôles plonge un peu sous une couche d’eau moins salée venant de la fonte des glaces et continue de se déplacer vers les pôles avant de plonger avec une température supérieure à celle qu’elle aurait eu si elle était passée plus prés de la surface.
            Ce pourrait être ainsi un mécanisme conduisant à une augmentation de la température de l’eau au fond des océans. Cependant cela ne concernerait que la circulation en arctique et puisqu’en antarctique il n’y a pas eu d’augmentation de la fonte liée au réchauffement climatique. De plus, ce mécanisme de réchauffement des eaux profondes ne se produirait que pendant l’été ou la fin de l’été.

            Si un tel mécanisme pouvait expliquer une augmentation de la température en eau profonde alors il viendrait aussi expliquer un refroidissement pendant la période 1945-1975. De plus on doit penser cette question à partir du petit age glaciaire et même de bien plus tôt étant donnée la durée de 10000ans (de mémoire, ce n’est donc peut-etre pas la valeur exacte mais elle est supérieur a 5000 ans) qui est requise pour remplacer l’eau en profondeur. Trente années de réchauffement (depuis 1975) font une durée ridiculement courte pour modifier la température des océans en profondeur.

            Ainsi donc, le mécanisme de réchauffement des océans en profondeur n’existerait qu’en arctique et seulement pendant l’été, ce qui multiplierait par quatre environ (a la louche) la durée de 5000 ou 10000ans requise pour remplacer les eaux froides en profondeur par une eau un peu moins froide (de quelques centièmes de degrés, ou au pire d’un ou deux dixièmes).

            Le pire dans cette histoire de réchauffement des océans c’est qu’elle est utilisée pour: 1-défendre la théorie du réchauffement anthropique et 2-pour essayer de nous faire peur en affirmant que lorsque la chaleur accumulée au fond des océans va ressortir alors ce sera terrible pour nous a la surface…

            La théorie du réchauffement des eaux profondes peut être utilisée CONTRE la théorie du réchauffement climatique anthropique !!!
            En effet, la capacité thermique des océans est tellement gigantesque que si l’eau en profondeur se réchauffe et si c’est bien ainsi que l’on doive expliquer la stagnation de la température en surface depuis 2000 alors cela signifie qu’il n’y a aucune URGENCE.

            Ces idiots se tirent eux-mêmes une balle dans le pied.
            La dimension cataclysmique associée au réchauffement climatique est au-delà du ridicule.

          • Orobindo :

            Sur la T globale, le choix des périodes vient de votre précédent message où vous aviez parlé des rythmes différents entre 70s-90s et 90s-maintenant. Aucune subjectivité de ma part. De plus, vous affirmez qu’il y a une tendance significative à la baisse depuis 2000 ou 2002, or je viens de vérifier que le jeu de données HadCRUT4 ne confirme pas cette affirmation. Quelle est votre source ?

            Quand bien même, sélectionner une période aussi courte pour tirer des conclusions sur le long-terme est une erreur scientifique. Lire par ailleurs le papier d’Easterling & Wehner (2009, GRL) qui montre que courtes périodes de refroidissement et réchauffement à long terme ne sont pas incompatibles, compte tenu de la variabilité interne du système climatique (http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2009GL037810/abstract).

            Vous mentionnez ensuite une « observation récente qui montre une augmentation significative de la glace arctique » : de quoi parlez-vous ? Le site https://sites.google.com/site/arcticseaicegraphs/ vous aidera peut-être à y voir plus clair à propos de la fonte à long terme de la banquise arctique.

            Quant à vos longues digressions sur la température océanique, vous mélangez circulation thermohaline et réchauffement océanique, ainsi que les échelles de temps associées.

            A bientôt.

          • La liste des climatologues compétents qui, de bonne foi, ont travaillé pour le GIEC et qui ont été dégouté par ce qui s’y passe et qui ont quitté le navire est plutot longue et instructive. Leurs témoignages constituent selon moi notre meilleure source d’information pour y voir clair dans cette affaire… La décadence qui reigne au GIEC est pire qu’à Sodome et Gomorrhe. Qui pourrait dignement accepter de travailler avec ceux-là?…

            http://www.pensee-unique.fr/bonnetdane.html#crosse3

            Et pour ce qui est de la température des océans je me pose la question de savoir selon quel(s) processus elle pourrait augmenter en contournant les sondes… et je remarque aussi que l’inertie thermique des océans est si gigantesque que s’ils pouvaient justement absorber de la chaleur et ralentir le réchauffement ALORS la dimension cataclysmique associée au dit réchauffement serait atténuée voire détruite.

            Je pense que la théorie du réchauffement des océans, si elle permet de sauver la théorie du réchauffement climatique alors, du meme coup, elle fait disparaitre (sinon atténue fortement) le probleme… Ces idiots du GIEC me semblent acculés dans une impasse.

          • Essayons d’y voir clair…
            En supposant que l’eau des océans se réchauffe (on se demande bien comment… mais, supposons-le), et que ce soit l’explication correcte pour ce qui a été observé: que le réchauffement climatique n’existe plus depuis 15 ans… alors on pourra se poser les questions suivantes:
            -l’ypothese de l’effet tampon des océans a-t-elle été clairement énoncée?
            -quelles observations ont conduit a formuler cette hypothese?
            -selon quels mécanismes cet effet existerait-il?
            -a-t-on des preuves quant a la pertinence de ces mécanismes?
            -comment cet effet se caractérise-t-il?
            -A-t-il été observé pour d’autres périodes?
            -cet effet tampon est-il permanent?
            -sinon, qu’est-ce qui le déclenche ou le suspend?

            En l’absence de réponses solides a ces questions… comment expliquer que l’hypothese du réchauffement des océans soit non seulement connue mais mise en avant par les médias???… C’est dingue !!!…
            Pensez ce simple constat: l’explication que le GIEC met en avant pour sauver sa peau (pour survivre face a la stagnation des températures depuis 15 ans) n’est pas encore une théorie digne de ce nom mais une simple hypothese: ce n’est rien, c’est du vent.
            De plus, si cette hypothese était correcte alors il n’y aurait plus d’urgence.

          • ContreContrepoint,

            l’IPCC est biaisé, c’est certain, alors que le NIPCC ne l’est certainement pas:

            http://blog.heartland.org/2013/10/usa-today-serves-fruits-and-nuts-on-global-warming/

    • Bonjour ContreContreContrepoints,

      Je ne pense pas que vous réussirez à faire bouger Contrecontrepoints de sa ligne et puisqu’il en a décidé ainsi. Lorsqu’on se donne le nom de Contrecontrepoints c’est donc que l’on a un objectif qui ne laisse pas grand espace pour changer de point de vue.
      Quoi qu’il en soit, je pense que l’on devra attendre (et il nous faudra etre patients) que les réchauffistes soient péniblement chatiés par la réalité et pour qu’ils soient enfin obligés (bien qu’on se le demande) de céder.
      En attendant et afin de m’opposer à la propagation de cette maladie mentale, l’hystérie réchauffiste, je pense utiliser une argumentation épistémologique.

      Ils prétendent savoir et ils offrent une jolie cible. Nous savons que la complexité du fonctionnement du climat est tres grande et qu’il est donc difficile d’arriver à dominer la question.
      Je me propose donc de leur donner à penser:
      1-qu’ils ignorent s’ils ont connaissance de toutes les causes
      2-qu’ils ne peuvent quantifier ce dont ils n’ont pas connaissance
      3-qu’ils ne peuvent donc estimer avec certitude la part qui revient au CO2

      Un autre facon d’opérer serait de leur mettre sous le nez encore et encore ce qu’ils refusent de voir en face et parce qu’ils sont irresponsables: les travaux, courbes et affirmations mis en avant par le GIEC et qui étaient foireux. N’est-il pas parlant que les erreurs avérées allaient toutes dans le meme sens: le réchauffement ? Ainsi donc, pas d’erreur signalant trop de refroidissement ? Est-ce vraiment par hasard ? Pas de volonté de faire croire au réchauffement climatique ?
      Et n’est-ce pas là l’une des meilleures évidences montrant que le GIEC est un outil politique et économique de l’ONU ?

      • Orobindo et al. : pourquoi DIABLE n’avez-vous rien d’autre à opposer à mes élements scientifiques que le champ lexical de la religion (j’ai relevé, entre autres, « zélote », « chatiment », « hystérie », « inquisition », « prédiction », « divine », « secte », « croyance ») ?

        Tenez, un élément de réflexion sur le prétendu « catastrophisme » des scientifiques du climat et des modèles qu’ils développent :

        – Les modèles surestiment le réchauffement global observé sur 1998-2012 (cf. http://www.nature.com/nclimate/journal/v3/n9/full/nclimate1972.html?WT.ec_id=NCLIMATE-201309, ainsi que la Box 9.2 du rapport du GIEC).

        – Les modèles sous-estiment le rythme de la fonte récente de la banquise arctique (cf. http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2012GL052676/abstract).

        Ah, tiens, les biais ne seraient donc pas toujours dans le même sens ?

        • Vous dites:
          « Orobindo et al. : pourquoi DIABLE n’avez-vous rien d’autre à opposer à mes élements scientifiques que le champ lexical de la religion (j’ai relevé, entre autres, « zélote », « chatiment », « hystérie », « inquisition », « prédiction », « divine », « secte », « croyance ») ? »

          Contrecontrepoints, comment DIABLE est-il possible que votre lecture, ne serait-ce que de mon précédent message, soit aussi biaisée et fausse ? Comment DIABLE faites-vous pour ignorer les éléments qui n’appartiennent justement pas seulement au « champ lexical de la religion »?

          Afin de vous aider à voir ce que vous ne voyez pas, je recopie ce passage:

          « Nous savons que la complexité du fonctionnement du climat est tres grande et qu’il est donc difficile d’arriver à dominer la question.
          Je me propose donc de leur donner à penser:
          1-qu’ils ignorent s’ils ont connaissance de toutes les causes
          2-qu’ils ne peuvent quantifier ce dont ils n’ont pas connaissance
          3-qu’ils ne peuvent donc estimer avec certitude la part qui revient au CO2. »

          De plus, je suspecte que vous et moi n’avons pas du tout la meme estimation quant à la force ou à l’impact que ce raisonnement ou ces trois points devraient avoir sur la théorie du réchauffement climatique anthropique. En effet, vous avez la tete dans le guidon alors que je souhaite penser d’une certaine altitude ou d’une vision d’ensemble.

          • Orobindo : j’ai déjà répondu (avant-hier, de mémoire) aux 3 points du passage que vous m’avez recopié. Vous êtes donc en tort lorsque vous dites que j’ai ignoré ces éléments. En revanche vous êtes parfaitement libre de penser que mes réponses factuelles ne vous satisfont pas, comme je suis parfaitement libre de ne pas prétendre à vous « convaincre », i.e. à modifier votre opinion subjective.

            Par ailleurs, j’ai également complimenté à plusieurs reprises votre attitude : malgré quelques préjugés tenaces à mon égard, vous semblez en effet « penser d’une certaine altitude ou d’une vision d’ensemble », en particulier lorsque vous discutez d’éléments scientifiques sur la base de publications. J’apprécierais en retour que vous reconnaissiez que mes propos font également preuve d’un certain recul et que non, je n’ai pas « la tête dans le guidon ».

            Pour finir, vous n’avez pas répondu à deux de mes questions, purement scientifiques :
            – [suite au papier du CERN] : êtes-vous d’accord pour dire que quand bien même les effets GES et aérosols se compenseraient sur la T globale, ils ne le feraient pas systématiquement en local et/ou sur d’autres variables ? En d’autres termes êtes-vous d’accord pour dire qu’il est possible d’imaginer un changement climatique anthropique à T globale constante (ce qui est d’ailleurs quasiment le cas de la fourchette basse du scénario RCP2.6) ?
            – [suite aux accusations de « catastrophisme »] : êtes-vous d’accord pour dire que les biais des modèles de climat dans la représentation des tendances observées ne sont pas systématiquement à la sur-estimation (exemple T globale vs. étendue de banquise arctique) ?

            A vous lire.

        • Vous dites:
          « Tenez, un élément de réflexion sur le prétendu « catastrophisme » des scientifiques du climat et des modèles qu’ils développent :
          – Les modèles surestiment le réchauffement global observé sur 1998-2012 (cf. http://www.nature.com/nclimate/journal/v3/n9/full/nclimate1972.html?WT.ec_id=NCLIMATE-201309, ainsi que la Box 9.2 du rapport du GIEC). »

          J’ai donné un coup d’oeil et je constate que nous ne raisonnons pas du tout de la meme facon.
          En effet, je distingue clairement entre les travaux des scientifiques et ce que le GIEC en fait ou n’en fait pas.
          Le GIEC, avec l’aide des médias, fait son possible afin de cacher sa vraie nature et pour mieux manipuler son monde. Pensez: outil politique.

        • Ne voyez-vous pas Contrecontrepoint que votre dernier message ne tient pas, qu’il ne répond pas à mon argument ?
          Il s’agit de pure logique, de rigueur intellectuelle. Alors, pour vous, j’écris en lettres capitales le passage que vous n’aviez (encore!) pas voulu voir:

          « Un autre facon d’opérer serait de leur mettre sous le nez encore et encore ce qu’ils refusent de voir en face et parce qu’ils sont irresponsables: les travaux, courbes et affirmations mis en avant par le GIEC ET QUI ETAIENT FOIREUX. »

          En quoi vos deux exemples étaient-ils des exemples d’études foireuses?

      • Tiens le menteur est toujours là. 🙂

        Oui orobindo.
        Ils sont déjà largement châtiés par cette réalité.
        Tous les modèles sont dans les choux. La seule explication pondue à l’arrache et qui a fait rire tout le monde, est que la chaleur perdue s’est planquée au fond des océans. 😀
        Et ça n’est pas fini. Depuis une quinzaine d’années, de nombreux climatologues, dont les travaux sont soigneusement écartés par le GIEC (on comprend bien pourquoi :), voient pour l’avenir proche, non pas un réchauffement, mais un refroidissement.
        (Et juste pour info soit dit en passant, le froid est beaucoup plus dévastateur que le chaud. Si on doit se préparer à quelque chose, on ferais d’écouter ceux qui eu raison depuis 15ans.)
        Juste pour donner une idée, et recadrer un peu sur la variabilité naturelle, regardez donc ceci :
        http://www.youtube.com/watch?v=DFbUVBYIPlI&feature=player_embedded
        (comment le GIEC sombre dans le ridicule.)

  • Si je peux ajouter mon grain de sel ou de sable dans cette liste interminable de commentaires…

    je suis étonné de l’énergie que mettent certains à discréditer/insulter le travail du GIEC et au passage tous ceux qui ce préoccupent et/ou travaillent directement ou indirectement à la protection de « notre » Environnement au sens large. Ce que montre le GIEC c’est que les choses sont très complexes, tant il y a dans le système climatique terrestre, d’éléments intervenants, d’interactions, d’effets d’avalage, de contre-réactions, etc. Certains résultats d’analyses de modèles et de mesures physiques peuvent parfois en contredire ou a minima en neutraliser d’autres, mais ce n’est pas une raison pour « jeter le bébé avec l’eau du bain » et de traiter l’ensemble de la communauté scientifique qui travaille sur le sujet de charlatans…

    Indépendamment de savoir s’il y a ou pas de changement climatique anthropique dans l’air… le fait d’essayer d’y remédier par exemple sur le plan énergétique est assurément favorable. La mise en place de normes et de programmes environnementaux (motivés par la question du Changement Climatique et du Principe de précaution) contribuent indéniablement à l’amélioration progressive de notre efficacité énergétique dans tous les domaines (bâtiment, mobilité, procédé industriel, etc.). Non seulement, elles réduisent localement les nuisances respiratoires et sonores, mais aussi notre dépendance et facture (balance économique) énergétique. Last but not least: elles créent du travail « local ». Bref tout ce travail « écologique », dans le bon sens du terme, c’est comme pour le cochon: tout y est bon!

    Sol(id)airement 😉

    • Oui c’est, à peu de chose près, le discours de Vincent Courtillot :
      – le GIEC est aberration de la science.
      – Aucun preuve, de près ou de loin, du caractère anthropique.
      – Ça n’empêche qu’il faut :
      – Éviter de polluer. (rien à voir avec le CO2, qui n’est pas un polluant, au contraire)
      – Être économe dans nos dépenses d’énergie.
      – etc

      (Par contre il dénonce vigoureusement le principe de précaution, qui est une connerie à plusieurs égards, et je suis d’accord avec lui.)

      • Bonjour Solidairement et Ray,

        Pour ma part j’estime que notre civilisation est malade, en tout premier lieu, de cette incapacité des humains à aimer la vérité pour elle-même, j’entends « la pure vérité », celle qui n’est pas déformée ou soumise à nos désirs, nos préférences, notre arrogance, nos intérêts, nos habitudes de pensées, nos idéologies etc… etc… et c’est la raison pour laquelle j’aime la Science, son esprit, son idéal.
        Du côté des politiques c’est toujours la même histoire qui nous est racontée: « puisque le monde est ainsi… si l’on veut arriver à tel résultat… il nous faut donc dire et faire ce qui est efficace pour… »
        C’est-à-dire: « si la vérité ne sert pas nos objectifs (souvent déguisés en biens publics) alors elle doit passer à la trappe ». Ceux qui agissent ainsi prennent leurs interlocuteurs pour des irresponsables et des sacs de patates. C’est une tendance lourde de notre civilisation: elle nous encadre si bien, nous greffes tant de béquilles que nous devenons des irresponsables, des sacs de patates.
        Si cela nous convient ainsi, alors il n’y a rien à en dire… Mais si cette perversion de l’esprit continue de se propager alors comment notrecivilisation pourrait-elle survivre ? Déjà, souvenez-vous de ce que pensaient les premiers indiens d’Amérique que nous ayons rencontrés : « vous (occidentaux) n’avez pas d’âme ». Et comment aurait-pu les entendre après les avoirs massacrés et jugés pour savoir s’ils avaient, justement,… une âme !
        Pour les autres, ceux qui souhaitent s’élever et élever la société, il serait de leur responsabilité de refuser les mensonges, par principe, et de servir humblement d’exemple. Et telle est la raison centrale qui me pousse à participer aux débats sur le réchauffement climatique anthropique.
        Vous comprendrez donc que, partant de ce point de vue, je puisse être parfois très critique envers le mouvement écologique militant qui, tout au contraire de ce que je pense, place l’efficacité (pour ce qui est d’affirmer son point de vue) avant la vérité.
        J’ajoute quelques éléments afin de nourrir votre réflexion dans le cadre de mon bref commentaire ci-dessus:
        -selon les politiques le nuage de Tchernobyl s’est arrêté à la frontière.
        -selon les scientifiques (ceux qui ne sont pas au service des politiques) le nuage de Tchernobyl ne s’est pas arrêté à la frontière.
        -les medias sont parfois (sinon souvent) au service des politiques.
        -le GIEC dépend de l’ONU qui est la principale organisation politique intergouvernementale à vocation mondiale.
        -le CO2 anthropique provient des énergies fossiles; les énergies fossiles coûtent très cher aux membres permanents de l’ONU (et aucun des 5 n’est membre de l’OPEP) et ce coût ne peut qu’augmenter à l’avenir (cf. Inde et Chine etc…) mettant en péril l’économie du monde occidental.

        Je finis par cette courte conclusion:
        les actions positives pour l’environnement devraient être motivées par un authentique respect de la nature et non pas par la peur ou l’intérêt. C’est même ce lien que l’on établit entre le meilleur de nous-mêmes et le monde extérieur et les autres qui, si l’on peut dire, construit ou révèle notre âme. Et n’est-ce pas cela qui devrait nous importer finalement?
        Il est bien connu qu’avant de vouloir changer le monde, il faut se changer soi-même. Telle serait notre meilleure discipline : aimer la vérité, la respecter, la défendre dans ce monde qui nous tire vers le bas.

        • J’approuve entièrement votre vision.
          Je complèterais juste en précisant qu’il n’est guère étonnant de constater que le moteur du mouvement écolo d’aujourd’hui est l’idéologie. Il (le mouvement écolo militant) est, en effet, l’héritier des mouvements gauchistes des années d’après guerre. Défaits suite aux évènements historiques que l’on connait (chute du mur, explosion de l’urss, etc), ils se sont repliés sur l’écologie.
          (Et malgré une assise électorale proche de zéro, ils sont néanmoins aujourd’hui au pouvoir par le jeu des alliances politiques.)

    • N’importe quoi, c’est de la réflexion a minima…
      Je résume votre commentaire, peu importe de savoir sdi le RCA est une réalité ou non, il faut lutter contre. Peu importe donc de savoir si le patient est malade ou non, il faut le soigner et pourquoi pas avec une cure ou une petite saignée ? C’est vrai quoi, quand on est bien portant, rien de mieux qu’un remède.
      La mise en oeuvre de normes est un frein pour l’économie. Mais la situation du pays est tellement bonne…
      Les programmes environnementaux sont une catastrophe pour notre porte-monnaie. Il suffit de voir nos factures d’énergie qui ont considérablément augmentées depuis le début de ces idioties. Et quand on voit le prix de l’énergie en Allemagne, on sait ce qui nous attend : on se chauffera moins, on se déplacera moins, l’industrie se portera moins bien et les produits seront plus chers, ce doit être ça « l’efficacité énergétique ».
      Et où sont les emplois locaux ? Des quels parlez-vous ?
      Bref, le travail « écologique » est en train de nous reléguer au rang des pays sous-développés, mais c’est dans la bonne humeur et la méthode Coué des imbéciles.

  • Il serait très intéressant de discuter avec de ce que vous appelez « preuve ». En effet, prétendre qu’une probabilité à intervalle de 95% n’est pas une preuve mérite discussion et enore plus lorsqu’on fixe le niveau de preuve à 100%. Je suis malheureusement contraint de poser cette alternative lorsque je lis cela : ou bien c’est de la malhonnêteté intellectuelle ou bien c’est de l’ignorance. Je dois dire que je préfèrerais le second choix. Il est vrai que pour beaucoup la science serait un domaine de perfection, dans lequel un énoncé serait incontestable. Malheureusement (ou heureusement), c’est une conception bien naïve de la science.

    Pour ceux qui sont un peu lointain des probabilités et des statistiques, lorsqu’il est question de 95%, cela veut, en général, dire qu’il y a une corrélation entre deux variables (ici l’émission de CO2 par l’Homme et la hausse des températures) avec un risque de se tromper vis à vis des données, de 5% (ou dit autrement avec le risque d’avoir raison à 95%). Ceci dit, il faut cependant préciser que corrélation ne veut pas dire cause et effet. Mais il faut être bien clair, la relation de cause à effet est une relation purement subjective ou intersubjective, mais en aucun cas de nature objective. Cela veut tout simplement dire que la relation de cause à effet c’est l’être humain qui la construit. Ainsi prétendre que si on a pas 100%, il n’y a pas de preuve de cause à effet est doublement faux.

    Pour conclure, les modèles intégrant le rôle des océans sont adéquats avec les observations. Autrement dit, scientifiquement valides ! Heureusement au Giec; contrairement à ici, on met l’idéologie de côté selon les bons vieux canons de la science de Merton !

  • Bonjour Lionel37,
    Nous attendons toujours une source quand à vos allégation sur les modèles du GIEC.
    Vous seriez bien aimable d’étayer vos propos.
    Cordialement

    • Bonjour, concernant l’effet temporisateur du Pacifique équatorial il s’agit de travaux de Yu Kosaka et ShangPing Xie, du Scripps Institute. Je cite Yu Kosaka : « Ce phénomène [la baisse de la température de surfae du Pacifique équatorial] n’était pas pris en compte par les modèles climatiques. Or en introduisant la température océaniquedu Pacifique éuqatorial; ils reproduisent parfaitement la stagnation des températures. »

      Concernant les courbes du GIEC, tout d’abord, ce sont en général des prévisions à long terme (leur intérêt réside surtout là) dans le rapport de 2001, les scénarios de concentration en CO2 par exemple correspondent bien à ce qui a été observé. Ceci dit, il n’y a pas trop de mal à cela étant donné qu’entre 2001 et aujourd’hui seulement 10 ans se sont passés !

      • Non vous n’avez pas compris.
        On vous demande une source précise. Pas du blabla sorti de votre chapeau.
        Cordialement.

        • je vous cite les auteurs de l’étude Yu Kosaka et ShangPing Xie, vous n’appelez pas cela une source précise ? Quant au rapport 2001 du Giec, il suffit de prendre le « Bilan 2001 des changements climatiques : les éléments scientifiques, vous trouverez les courbes de prévisions de la concentration en CO2 page 61, vous n’aurez alors qu’à comparer avec ce qui s’est passé. Vous pourrez également voir p. 69 les prévisions sur l’élévation du niveau des mers et la correspondance avec ce qui s’est passé (même si c’est à la limite haute des prévisions).

          Cordialement.

          • C’est bien ce que je pensais, vous n’avez rien du tout.
            Et le jour ou vous aurez quelque chose, pensez vite à prévenir le GIEC, ils ne sont pas au courant que leurs modèles sont exacts.
            C’est dommage, ça avait l’air alléchant.

          • Voilà l’artifice des sectaires. On leur met sous le nez des preuves, des faits, mais ils ne veulent pas les voir ! Dommage pour eux ! Un jour peut-être accepteront-ils de voir la réalité en face !

          • Montrez-nous une courbe de prévision ou vous n’avez RIEN.
            Bon courage.

          • je vous répète donc, lisez source citée, les pages citées, vous aurez de jolies courbes de prévision. Ensuite comparez avec ce qui s’est passé. Voici le lien, si c’est cela qui vous gêne, mais franchement, ce n’est pas compliqué de chercher le rapport de 2001 ! https://www.ipcc.ch/pdf/climate-changes-2001/scientific-basis/scientific-spm-ts-fr.pdf

          • Oui c’est bien cela, vous nous linkez vers les modèles qui sont tous dans les choux.
            Bien essayé quand même.
            Donc, en conclusion, non seulement vous n’avez RIEN, mais en PLUS vous êtes un MENTEUR. Ce que j’avais pressenti dès votre première intervention, j’avais vu juste.

          • Votre esprit scientifique est assez curieux voire inexistant. Si vous voulez contrôler les prévisions d’un modèle, ce n’est pas en regardant le rapport de 2013 que vous allez pouvoir le faire. Il faut prende un rapport qui date d’un certain temps, cela me paraît assez évident, mais apparemment pas pour vous. Or comme je l’ai dit et je le répète et tout le monde peut le vérifier sur le lien, les courbes de prévision du GIEC sur la concentration en CO2 et sur l’élévation du niveau de la mer sont correctes. Il faut savoir ce que vous voulez, je vous donne des courbes de prévision correctes et vous n’êtes pas content ! Comme je le disais, cela frôle le sectarisme !

            Cordialement !

          • En en plus vous sombrez dans le ridicule.
            Magnifique. 🙂

          • « pourriez-vous nous montrer, une (une seule) courbe de prévision du GIEC qui soit exacte ? ». Voilà ce qu’écrit Ray, je lui en sors deux et il n’est pas content ! Que voulez-vous faire avec un esprit aussi obtus, en tout cas certainement pas de la science.

            Cordialement !

          • On parle de courbe de prévision de températures bien sûr, mais vous n’avez pas peur du ridicule manifestement. 🙂

          • Ah tiens comme ça ne convient pas, on change ! Concernant la température, je vous ai cité les travaux des chercheurs du SCRIPPS et même cité un des deux chercheurs, maintenant peut-être que vous ne leur faites pas confiance ! A l’heure actuelle je n’ai pas pris connaissance de leurs travaux directement, mais par des revues scientifiques, c’est de là que provient la citation. Pour ma part je leur fait confiance.

            Cordialement.

          • Désolé, je n’ai parlé nulle part de co2, je vous ai laissé sombré tout seul dans le ridicule.
            Et je vous le redis, si vous avez des informations sur des courbes de températures exactes du GIEC, ça n’est pas à moi de le dire, prévenez tout de suite le GIEC, ils ne sont PAS au courant.

          • 1. Vous parlez de courbes de prévision u GIEC, si vous n’êtes pas capable de vous exprimer correctement n’en rendez pas responsable les autres.
            2. Les travaux du Giec ne concernent pas seulement la hausse des températures, mais vous semblez ne pas être bien au courant
            3. Dans ma toute première réaction, je ne parle pas de prévision, mais de la prise en compte dans les modèles de l’effet du Pacifique équatorial mis en évidence par les chercheurs du SCRIPPS qui explique pourquoi nous voyons une stagnation des températures depuis 17 ans. Autrement dit, pour vérifier si c’est exact (en tenant compte de cet effet), il faudra attendre quelques années. Lorsqu’on modifie un modèle, il faut attendre pour avoir les prévisions, cela ne vous semble pas évident ?

            Cordialement.

          • Vous êtes en plus pitoyable, étant donné que les courbes de prévision de CO2 n’ont pas fait débat dans cette discussion. 😀
            Et en plus de cela, vous avez un gros problème de compréhension de la langue. Je n’ai dis nulle part que vous aviez parlé de prévision dans votre 1er message. Jusque que vous aviez déjà démontré votre statut de petit soldat du GIEC, le doigt sur la couture du pantalon, et vous aviez fait rire tout le monde.
            Donc apprenez à lire, ça vous évitera des déconvenues. 😉

          • Mon bon ami, j’adore me divertir en vous lisant mais je me dois de rappeler quelques faits réels, même si le réel semble être le cadet de vos soucis.
            1.Mon commentaire s’adressait à l’auteur de l’article, et non pas aux commentateurs, donc ce qui s’y est dit, je m’en contre-fiche (lire les propos de sectaires sur le sujet m’importe peu).
            2. Voulez-vous que je recite votre réponse ? Vous me parlez de courbes de prévision du Giec, je vous en fournis, cela ne vous plaît pas donc ou bien vous apprenez à vous exprimer pour qu’on vous comprenne, ou bien vous prenez acte que je vous ai fourni ce que vous demandiez et cela même si cela va contre votre idéologie.
            3. Puisque les preuves semblent vous intéresser, vous me prouverez en quoi je suis « un bon petit soldat du Giec ». Bien entendu, comme je connais les sectaires de votre genre, vous en serez incapable et préfèrerez ne pas répondre à cela.

            Cordialement;

          • « Mon commentaire s’adressait à l’auteur de l’article, et non pas aux commentateurs »
            Oui, sans doute, mais ça change quoi à son contenu ? Rien. Merci. 🙂
            « Vous me parlez de courbes de prévision du Giec »
            Ne vous en faite pas, tout le monde a bien compris que vous n’aviez rien sur les températures (et pour cause), donc vous vous êtes rabattu pitoyablement (et je vous ai laissé vous enferré là dedans joyeusement) sur d’autre courbes. 🙂
            « en quoi je suis « un bon petit soldat du Giec ». »
            Parce que vous êtes un zélote : vous défendez aveuglément, un organisme désormais indéfendable, dont les résultats sont tout sauf de la science, et tout de la politique. Des voix, de plus en plus nombreuses dans le monde scientifique s’élèvent pour réclamer sa dissolution. Vu l’impasse dans laquelle il s’est engagé, c’est maintenant indispensable pour que la science reprenne son cours.

            Je cite le suédois Lennart Bengtsson, entres-autres co-fondateur du GIEC :
            « Nous sommes actuellement confrontés à un dilemme parce que le public et la communauté des politiciens se sont beaucoup trop impliqués dans le débat sur le changement climatique influençant ainsi la science véritable. »
            « (en parlant des observations de températures) De telles observations, aussi problématiques pour la science soient-elles, n’ont pratiquement jamais retenu l’attention des médias tandis que, bien au contraire, le public a été saturé de rapports excessifs »

            Je cite l’allemand Hans von Storch, professeur à l’Institut de Météorologie de l’Université de Hambourg et directeur de l’institut de Recherche Côtière à Geesthacht en Allemagne, spécialisé dans les modélisations climatiques. (hé oui, dommage.)
            « Le réchauffement climatique a été confisqué des mains des météorologistes et de celles des climatologues traditionnels et il est, à présent, dans les mains des professionnels des médias et dans celles de membres bien connus (politiciens ou autres) du public au sens large qui ont trouvé dans l’exagération actuelle du climat, un moyen commode pour conserver ou acquérir une place en vue sous les feux de la rampe des médias. »
            « Malheureusement, certains scientifiques se comportent comme des prêcheurs qui délivrent des sermons au peuple. »
            « Jusqu’à présent, personne n’a été capable de fournir une réponse convaincante au fait que le changement climatique semble faire une pause. Il y a là un problème scientifique sérieux auquel sera confronté le GIEC lors de la présentation de son prochain rapport qui sortira plus tard, l’année prochaine. »
            « Sans aucun doute, la plus grande erreur des climatologues a été de donner l’impression qu’ils détiennent la vérité absolue. Ce faisant, ils ont joué avec et perdu la chose la plus importante qui soit pour des scientifiques : la confiance du public. »
            Et maintenant, un nouveau transfuge récent en la personne du professeur Mike Lockwood de l’université de Reading annonce le risque d’un minimum de Maunder devant nous (petit age glaciaire).
            (Pour ceux qui suivent un peu l’affaire, il y a quelques années, il se battait, avec une mauvaise foi toute idéologique, contre ceux qui montraient que l’activité solaire avait une influence sur notre climat (étonnant non ?))
            etc, etc, etc,.. on continu mon bon Lionel37 ? 🙂

            Vous n’êtes qu’un zélote dans un navire en train de couler. 🙂

          • Cela ne change rien au contenu, cela change tout simplement le fait que lorsque vous écrivez « les courbes de prévision de CO2 n’ont pas fait débat dans cette discussion », je m’en contre-fiche étant donné que je n’ai pas lu les autres commentaires, donc ce qui a fait débat ou non, n’a pas d’importance pour moi. Vous me demandez ds courbs de prévision correcte, je vous en donne.

            A quel moment ai-je écrit que j’avais des courbes de prévision de températures correctes ? Citez-moi, j’attends avec impatience. Bien évidemment, vous ne pourrez pas puisque je n’ai jamais écrit cela.

            Donnez-moi donc les preuves comme quoi je défends aveuglément le Giec. Je rappelle simplement des faits objectifs vérifiables par tous ! Pour vous faire preuve d’esprit scientifique c’est donc défendre aveuglément quelque chose ! On dirait que ça ne tourne pas très rond.

            Les déclarations des deux chercheurs que vous citez montrent justement un véritable esprit scientifique fait de prudence et de doute. Mais que disent-ils en fait ? A aucun moment ils ne remettent en cause le GIEC et la scientificité de ses travaux, ils critiquent à la fois le traitement par les medias et la société civile des travaux du GIEC, et les interventions de certains scientifiques dans le débat public, chose assez commune en sciences, l’histoire des sciences est truffée de tels épisodes, de telles controverses. Que la société civile est ue influence sur la science est une évidence et il en ser toujours ainsi, croire que la science peut-être un monde à part, coupé du reste, c’est une conception bien naïve de la science. Elle doit s’en accomoder, heureusement des chercheurs comme ceux dont vous parlez permettent de réguler cette influence.

          • Ah vous reconnaissez enfin, il en aura fallu du temps et de l’hypocrisie (avec des courbes dont on a rien à fiche). 🙂

            (En même temps, pas moyen de faire autrement, les spécialistes du domaine reconnaissant eux-même qu’il y a un gros problème, c’est le moins que l’on puisse dire ! )

          • A noter tout de même que vous n’avez toujours appris à lire.
            Je re-cite « influençant ainsi la science véritable ». Ceci EST une remise en cause de la scientificité des « travaux » du GIEC.
            Je re-cite « Le réchauffement climatique a été confisqué des mains des météorologistes et de celles des climatologues traditionnels ». Ceci EST une remise en cause de la scientificité des « travaux » du GIEC.
            (et ce genre de mise en cause de la part des scientifiques du domaine, je pourrais vous en citer à foison)

          • Et encore, là j’ai été soft, je ne vous ai pas cité ceux qui demandent carrément la dissolution du GIEC.
            Par exemple, Judith Curry, climatologue réputée et respectée, montre, preuves à l’appui, (allez voir sur son blog judithcurry.com/), que le GIEC est devenu un frein puissant à l’avancée de la science dans ce domaine.

            Là je ne vous avais cité que 2 scientifiques, qui, pour des raisons personnelles ont intérêt à ce que le GIEC perdure. Ils ne sont pas tout à fait neutres, ils ne vont pas se tirer une balle dans le pied évidemment.

            (Au passage, juste pour vous faire une petite idée de l’imposture de ce prétendu « consensus scientifique » (qui n’a jamais existé que dans la bouche d’Al’Gore et de ses activistes, repris en cœur par les médias, on comprend bien pourquoi), allez-donc jeter un coup d’oeil à ceci : petitionproject.org/)

          • Mon pauvre ami, il faut vous faire suivre sans délais, car oser écrire « des courbes dont on n’a rien à fiche » alors que c’est vous qui me les demandez frôle la schozophrénie ! ceci dite, je consens à continuer à dialoguer avec vous, si cela peut vous aider dans votre thérapie !

            Désolé mais celui qui a des problèmes de lecture c’est vous, car votre citationne remets nullement en cause les travaux du GIEC. D’ailleurs si vous lisiez l’interview en entier et ne pompiez pas vos propos sur des sites de nieur de réchauffement climatique vous le sauriez. Cela fera sans doute l’objet d’un prochain commentaire de viotre part, dans lequel vous me demanderez de vous donner l’interview en entier, ce dont avec grand plaisir je ferai.

            « Le réchauffement climatique a été confisqué des mains des météorologistes et de celles des climatologues traditionnels ». Ceci EST une remise en cause de la scientificité des « travaux » Cela serait une remise en cause si les bénéficiaires de la confiscation était justement le GIEC. Or dans vos propos rien ne l’indique. Comme quoi, c’est bien la preuve que c’est l’idéologie et non pas la rigueur scientifiue qui ous guide (une fois encore !).

            Ce qui est dommage avec la suite de vos propos, c’est que des scientifiques réputés font partie du GIEC et défendent ses conclusions ! D’ailleurs même ceux que vous citez précédemment !

            Comme j’ai eu l’occasion de le dire, les controverses sont une constante dans l’histoire des sciences depuis des siècles. User du fait que certains scientifiques remettent en cause les conclusions du GIEC pour défendre la non-scientificité de ses travaux relève donc soit de l’ignorance du monde de la science soit de la malhonnêteté. Dans quel camp vous placez-vous ? Peut-être les deux, car je remarque que vous êtes incapable de fournir des preuves sur le fait que je serais un « bon petit soldat du GIEC » ou encore sur le fait que j’ai écrit à un moment que je détenais des courbes de prévision de température, cela aurait tendance à montrer votre malhonnêteté mais étant donné le reste de vos propos, je perçois également de graves lacunes en sciences.

            Cordialement.

          • « Mon pauvre ami, il faut vous faire suivre sans délais, car oser écrire « des courbes dont on n’a rien à fiche » alors que c’est vous qui me les demandez frôle la schozophrénie ! »
            Ok, très bien. Trouvez-moi un seul site, une seule personne qui remette en cause les courbes de prévision de CO2. Je vous écoute. 🙂

            (pour le reste, revenez lorsque vous aurez appris à lire… )

          • D’autres part, de quel site parlez-vous en parlant de « sites de nieur de réchauffement climatique » ?

          • Je sens que ça va être intéressant, j’en salive d’avance. 🙂

          • Donc, juste pour préciser (puisque notre ami s’est défilé), cette dialectique mensongère « nieur de réchauffement climatique » est typique des petits soldats du GIEC. Les climato-sceptiques sont tout sauf des « nieur de réchauffement climatique », puisque, au contraire, ils montrent que le climat a TOUJOURS évolué.
            Ce qu’ils contestent formellement, c’est la responsabilité du CO2, qui lui est loin d’être un polluant. (Al’Gore avait besoin de cette qualification pour monter son arnaque de bourse carbone.)
            (Merci à Lionel37 de nous avoir donné l’occasion de le rappeler, en nous montrant une nouvelle fois son statut de petit zélote.)

        • Mais heureusement que personne de sensé remette en cause les courbes de prévision du GIEC en ce qui concerne le CO2 ou l’élévation du niveau de la mer puisque celle-ci sont confirmées ! Vous me demandez des courbes de prévision du GIEC correctes je vous en fournis, je ne vois pas pourquoi vous avez tant de mal à l’accepter. Cela frôle la démence mon pauvre ami !

          Ce que j’entends par sites de nieurs de réchauffement climatique ? Des sites qui regorgent d’individus comme vous, c’est à dire des individus qui sans grande connaissance sicentifique, qui défendent leur idéologie, qui citent des personne sans vraiment les avoir lues, des personnes qui utilisent finalement la méthode hypercritique. Si vous savez ce que c’est et qui l’emploie habituellement, vous comprendrez pourquoi j’utilise le terme « nieur » au lieu d’un autre bien trop connoté.

          Mais qui a jamais écrit que le CO2 était un polluant ?

          C’est vrai, vous avez deux catégories de nieurs de réchauffement climatique :
          1. ceux qui nient véritablement le réchauffement, ils se font rares maintenant
          2. ceux qui nient l’impact de l’Homme sur ce réchauffement. Ceci dit, ces derniers n’hésitent pas à repasser dans la première catégorie quand ils obtiennent des résultats qui montrent une stagnation des températures depuis 17 ans.

          • « Mais heureusement que personne de sensé remette en cause les courbes de prévision du GIEC en ce qui concerne le CO2  »
            Très bien merci, vous venez de reconnaitre que vous avez fourni des courbes qui ne présentent AUCUN intérêt, TOUT EN LE SACHANT. Votre sois-disant excuse que je l’aurais demandé parce que je n’aurais pas précisé « courbe de température » est ridicule (mais pas étonnant). Sans rancune. 🙂

            haha, vous n’allez pas vous en tirer comme cela. Citez-moi UN site qui nie les évolutions de températures. Je veux quelque chose de précis hein, un graphe, des données. Ce que vous voulez mais quelque chose de précis, pas un truc vague du genre « comme vous ». Je vous écoute, je sens que ça va être intéressant.

            Sinon concernant le CO2, encore une fois vous êtes ridicule mon pauvre ami. En 2009, L’EPA a placé le CO2 sur la liste des polluants. 🙂
            Et juste pour information. loin d’être un polluant, il est le vecteur N°1 du cycle du carbone indispensable à toute vie organique sur notre planète, et responsable du verdissement de la Terre depuis 30 ans. Entre 1982 et 2011, 20.5% de la végétation de la planète a verdi tandis que seulement 3% a bruni. Le reste étant inchangé. Une équipe du CSIRO et d’une université australienne ont montré que l’augmentation du CO2 atmosphérique est responsable d’une augmentation de la couverture foliaire de 11% des zones chaudes et sèches de 1982 à 2010.
            Cela, les « écologistes » devraient s’en réjouir. Non, leur idéologie le leur interdit.

          • Et savez-vous pourquoi l’EPA a placé le CO2 sur la liste des polluants ? Je pense que vous le savez.
            Parce que l’EPA, tenu par des activistes a obéi à leur chef de file Al’Gore qui avait besoin de cette qualification pour monter son arnaque de bourse carbone. Même si aujourd’hui cette bourse périclite, il est aujourd’hui le 1er éco-milliardaire. Il s’est fait construire une gigantesque et magnifique villa en bord-de-mer. (Oui, vous savez ce bord de mer qu’il a lui-même déclaré se faire inonder.) Cela fait désordre pour une idéologie qui prône la sobriété pour notre société n’est-ce-pas ? 🙂
            Oh wait, vous le voyez de là-bas, avec un grand sourire, vous faire un bras d’honneur. 😀
            « follow the money » comme on dit.

          • Il faut bien, puisque c’est vous qui me demandiez des courbes de prévision correctes. Curieusement, vous trouvez que des courbes de prévision correctes ne présentent aucun intérêt. Vous montrez là votre combat idéologique bien plus que scientifique.

            Je vous fais remarquer que vous m’inviteer à fournir des courbes correctes sans qu’à aucun moment je ne prétendent en disposer, mais bon.

            Etant donné que la mauvaise foi ne vous dérange pas, je vais vous inviter à relire ce que j’ai écrit, ça vous mettra les idées au clair.

            Vous venez enfin de faire une découverte : le CO2 est indispensable à la vie sur Terre; Pas besoin d’aller sur des sites pour le savoir si vous avez été à l’école dans votre vie !

            J’aimerai également comprendre un peu votre histoire de verdissement et de brunissement, je sens que ça va encore me divertir ! C’est toujours comme ça quand quelqu’un parle de choses qu’il ignore !

  • Vous avez raison de vous foutre complétement du CO2 les petits cocos, ça ne change pas forcément « grand chose » à l’affaire, d’une certaine manière :
    http://blogs.mediapart.fr/blog/yt75/030713/transition-energetique

    • @yt75

      Vous inondez les forum sur le récahauffement avec des références à un pic de production d’hydrocarbures. Cependant, notez que :
      – changer de discours est ni plus ni moins qu’avouer que l’on s’est trompé (au mieux) ou que l’on a cherché à manipuler l’opinion (au pire).
      – je vous rapelle la fable d’Esope ‘Le garçon qui criait au loup’. (A force de lancer des fausses alertes, on n’est plus crédible le jour où l’alerte est avérée). Cela souligne à mon sens l’énorme responsabilité des scientifiques qui « oublient » de dénoncer les à-peu-près, exagérations ou mensonges du GIEC.
      – Il y a bien 40 ans qu’on nous parle de « la fin du pétrole », ce qui nous ramène à la remarque précédente.

      Si vous changez un peu vos sources et faites preuve d’un peu de réalisme, vous comprendrez qu’au prix actuels de négoce du brut, il n’y a pas de problême d’approvisionnement à court ou moyen terme du fait de la rentabilité de l’exploitation des pétroles non-conventionnels. En revanche, il y a un problême d’investissement et de visibilité de rentabilité des investissements généré par l’interventionisme ecolo-utopique dans l’industrie.

      Et la est le véritable problême, ce qui dément votre affirmation que « cela ne change pas grand-chose à l’affaire ».

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