La panique écologique met le turbo et l’écotaxe

Comme les preuves d’une absence de lien entre climat et activité humaines s’accumulent, les écologistes mettent le turbo et des écotaxes partout.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
écologie : une orque dévorant une otarie

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

La panique écologique met le turbo et l’écotaxe

Publié le 5 septembre 2013
- A +

En général, lorsqu’on se rend compte que quelque chose ne marche pas, deux attitudes sont possibles : la première consiste à analyser le problème et tenter d’y apporter une solution. La seconde consiste à s’entêter, en partant du principe que si ça ne fonctionne pas, c’est parce qu’on n’a pas suffisamment essayé. En matière d’écologie politique appliquée, c’est bien évidemment cette seconde attitude qui est choisie avec obstination.

Il y a quelques années, écrire quelques lignes sur l’échec évident des mesures de lutte contre le réchauffement puis le changement climatique revenait à ouvrir tout grand les vannes aux sarcasmes voire aux insultes de toute l’habituelle brochette de trolls, suivis par les inévitables moutons bêlants, généralement très mal informés mais persuadés d’avoir tout compris parce qu’ils l’ont vu à la télé, qui débarquaient plein de bonne volonté évangélisatrice pour expliquer que remettre en cause l’idée que l’Homme influe (dans les grandes largeurs) sur le climat revenait à nier les évidences, à voir une Terre plate et se faire le jeu de tous ces lobbies pétroliers ultra-puissants.

stopwarming.jpgLa donne aura bien sûr changé avec la remise en question fondamentale de plusieurs piliers essentiels sur lesquels se basaient les affirmations des joyeux réchauffistes et autres climatologues alarmophiles. Au bout de 17 années, la Terre refuse de se réchauffer alors que les concentrations de CO2 continuent de n’en faire qu’à leur tête, ce qui invalide d’un coup les modèles numériques, des plus sophistiqués aux plus simples qui, tous, furent incapables de prédire autre chose que de l’air chaud (alors qu’il fut, finalement, froid).

Et l’arrivée de la crise économique aura aussi apporté son lot de remise en cause : comment imposer des énergies abominablement coûteuses lorsqu’on n’a plus de sous ? Comment justifier des contraintes invraisemblables sur les bâtiments qui font monter leur prix en flèche alors qu’on se plaint, parallèlement de la bulle immobilière ? Comment faire vendre des voitures en les tabassant de malus écologiques et autres taxes idiotes et contre-productives ?

La question économique est d’ailleurs si prégnante dans ces histoires écologiques mal boutiquées que les services de l’État eux-mêmes commencent à trouver la soupe amère : en effet, au premier octobre prochain, joie et bonheur, une nouvelle taxe entre en vigueur (ça tombe bien, en France, l’effet positif des taxes sur la consommation, la production et l’état général du pouvoir d’achat n’est plus à démontrer). Cette taxe, bien évidemment rebaptisée « éco » pour faire passer le suppositoire à ailette dans sa gangue de mauvaise foi socialiste éco-consciente, va s’abattre sur les 600.000 poids lourds que compte le territoire français. Normalement, cette taxe aurait dû entrer en vigueur le 20 juillet dernier. Seulement voilà : entre le nombre de véhicules concernés, la complexité des formulaires débiles à remplir, les négociations entre chargeurs et routiers pour savoir qui, au final, devra payer cette nouvelle ponction, et l’habituel foutoir dans lequel se passe toute nouvelle imposition en France, l’usine-à-gaz issue de Grenelle a capoté.

Et joie et bonheur, tout le monde est en donc retard pour s’enregistrer. Les routiers, comprenant que l’écologie devient le nouveau cache-misère d’une gabelle honteuse qui ne dit pas son nom, montrent les dents, renâclent à l’enregistrement, et vont jusqu’à détruire des portiques en Bretagne pour bien marquer leur ferme opposition à cette lubie dont les finalités écologiques sont aussi rikikis que sont grosses les ficelles que Bercy manipule pour tenter d’éviter la faillite du pays. Eh oui : à 100 millions d’euros par mois de perception estimée, on comprend que cette taxe revêt un enjeu certain lorsqu’on sait que le pays est, financièrement parlant, aux abois. Au passage, on comprendra assez facilement l’ire des routiers déboulonneurs de portiques étatiques lorsqu’on sait qu’un bien produit à l’étranger et importé en France paiera cette taxe une fois, lors de son transport sur le territoire, là où par exemple, le poulet local, élevé à un endroit et déplacé à un autre pour l’abattage, paiera cette taxe une première fois lors de ce déplacement puis une autre pour sa mise en condition pour la vente, puis une autre lorsqu’il sera amené aux points de distributions. Difficile de rivaliser ensuite avec l’importation dans ces conditions. Fusiller la production locale en lui collant un boulet aux pieds n’aura jamais été aussi facile.

(Aparté) Pendant ce temps, à l’Élysée, nous découvrons Flamby Au Pays Des Ors Républicains. Cette animation crapoteuse vous est vendue offerte par le Service De Communication de l’Élysée Que Vous Payez Avec Vos Sous. Ne riez pas.

(Fin de l’aparté)

On l’aura compris : l’excuse écologique passe de plus en plus mal. Devant cette grogne montante, le gouvernement, les administrations et, de façon générale, ceux qui ont tenté, ces dernières années, d’instiller cette atmosphère pesante de peur et de culpabilité pour faire lourdement pencher l’opinion en faveur de leurs petits agendas personnels pourraient changer leurs angles d’attaques. On pourrait croire que la réaction épidermique croissante des populations devant les mauvaises idées écologiques motiverait les thuriféraires du Tout À l’État Écologique à changer leur fusil d’épaule, ou, au moins, à la jouer en sourdine.

Ben non.

C’est ainsi qu’on découvre, toujours aussi amusé, que la presse relaie gentiment les ridicules atermoiements du GIEC qui vient de faire fuiter (de façon fort commode) certains passages de son prochain rapport, dont la teneur est — on en est encore tout étonné — que la situation empire ! Encore une fois ! On va tous mourir, mais encore plus fort ! C’est terrible : on va être plus mort que mort ! Fonte généralisée des glaces terrestres (zut, on n’arrive pas à le constater), la multiplication des vagues de chaleurs (zut, on aimerait bien mais décidément, c’est pas ça), des difficultés alimentaires croissantes (ah et flûte encore, ça n’en prend pas le chemin) ainsi que des changements massifs dans la vie végétale et animale (comme par exemple, une Terre qui reverdit à toute vitesse ?) ! Vraiment, la catastrophe est imminente ! Repentez-vous écolo ! Achetez écolo ! Votez écolo et expiez votre faute !

C’est ainsi qu’on découvre, un peu consterné, que le 10 septembre prochain se tiendra une conférence de presse du Conseil Économique, Social et Environnemental, cette grosse choucroute institutionnelle molle qui est à la République ce que le sanatorium est à la polyclinique. Thème de la conférence ? « Comment financer la transition écologique et énergétique ? », ce qui annonce la couleur dès le titre et permet de mieux comprendre les petits paragraphes qui suivent, mécaniques : dans une avalanche de bêtises pseudo-scientifiques, on apprend qu’on doit absolument limiter la hausse de température à 2°C pour éviter que les espèces vivantes terrestres se réduisent de 25 à 50 % selon les régions. 25% ? en taille ? en nombre ? en poids ? Sur la base de quel nombre d’espèces, sachant qu’il est globalement inconnu ? Quelles régions ? Tout un tas de palpitants mystères qui, soyez-en sûrs, ne seront absolument pas abordés dans cette conférence. Et puis, lutter contre la hausse des températures, c’est plutôt bien engagé : elles n’ont plus progressé depuis 17 ans, sans qu’on sache vraiment pourquoi (tout comme on ne sait pas vraiment pourquoi elles ont augmenté en premier lieu).

Bien évidemment, le CESE nous informe : « il y a urgence à agir avant que la situation ne devienne irréversible. » Ben oui. D’ailleurs, si la situation était déjà irréversible, par définition, il n’y aurait alors aucune urgence. Comme cela fait plusieurs dizaines d’années qu’il y a urgence à agir, j’en déduis ou bien que l’urgence n’est pas si grande, ou bien que l’action menée jusqu’à présent fut d’une médiocrité sans nom. Et en parlant d’action, le CESE nous propose la même chose que ce qui fut fait avant, mais en plus fort, plus loin, plus haut :

Face à ce problème totalement nouveau, des politiques publiques, anticipatrices et visionnaires, doivent être développées et des financements à la hauteur des enjeux doivent être mis en place.

Oui. Totalement nouveau

Je vous laisse tirer votre propre conclusion sur l’efficacité du résultat qu’on peut déjà attendre puisqu’on s’obstine à faire la même chose que ce qu’on a fait, en plus fort. Il y a de fortes chances qu’on obtienne donc le même échec, en plus retentissant.

Et puisqu’on parle de Gros Fail qui fait rire, je terminerai là-dessus : pendant que le CESE se pignole avec des mouvements experts sur sa prochaine conférence de presse, des gens, courageux, agissent, eux. Ils savent que le pôle fond. Ils savent qu’on va tous mourir noyés et brûlés. Alors ils vont sur place, au pôle Nord, et … et restent coincés par les glaces, demandent de l’aide et se font désincarcérer par un brise-glace. Nucléaire.

Shipment of fail !
—-
Sur le web

Voir les commentaires (49)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (49)
  • Le gif élyséen n’est pas très écologique puisque toutes les lumières sont allumées en pleine journée. On voit que c’est pas pépère qui paye les factures.

  • Deux points en réponse à votre chronique :

    1. Vous ne croyez pas au réchauffement climatique, très bien. Je tiens juste à rappeler qu’il est quand même bien présomptueux de trancher entre deux analyses très différentes de scientifiques très compétents si on est pas soi-même spécialiste du domaine. Si vous n’êtes pas vous même scientifique, décréter quel camp à raison revient juste à choisir quel camp vous est le plus confortable intellectuellement. Je suis ingénieur et je me garde bien de tirer des conclusions de choses très intelligentes que je lis de climatosceptiques car je sais que je ne m’y connais pas suffisamment et parce que je lis aussi des choses très intelligentes dans le camp d’en face. Et évidemment je lis aussi des choses bêtes dans les deux « camps ». Il ne reste qu’à faire confiance à ce que pense la majorité des scientifiques, et la balance semble pencher quand même du côté du réchauffement d’origine (en partie) humaine.

    2. Même en considérant que le réchauffement est une problématique négligeable, la taxe carbone répond à une autre problématique très préoccupantes, les limites de la production de pétrole. J’imagine que vous n’y croyez pas, effectivement les économistes n’en parlent jamais car ils sont économistes. Les géologues sérieux savent que nous sommes proches du maximum de production journalière de pétrole (voir les travaux de Jean Laherrere, « climatosceptique » lui aussi si ça vous rassure). Nos anciens puits, très faciles à pomper, se vident et on n’arrive plus à trouver assez de nouveaux pour simplement maintenir une production constante. Les pétroles de schiste vont juste donner quelques années de répit aux USA (dès 2020 ils auront très probablement atteint leur max avant une descente rapide de la prod car les puits se vident très vites. Gare à la bulle). Les sables bitumineux eux ont un autre problème, on n’arrive pas à le produire vite. Il y a de la réserve mais le nombre de barils max que l’on arrive à sortir de manière journalière est hélas limité. Et tout ça c’est pas des
    Je vous renvoie vers cette video de M . Auzanneau, journaliste spécialisé sur la question (14 min, regardez là vraiment). C’est une bonne porte d’entrée sur la question.
    http://www.dailymotion.com/video/xz0sw2_pic-petrolier-chimere-ou-danger-imminent-m-auzanneau_news?start=811
    Vous pouvez aussi lire son blog qui donne des chiffres et des sources pour vous faire un avis sur la question. Sachez que ce n’est pas une lubie de babacools. C. de Margerie le reconnait lui aussi, de même que d’anciens membres de l’administration Bush, Pierre René Bauquis ou encore le président de Shell.

    L’avantage de cette taxe carbone est donc de nous forcer à essayer de décorréler notre économie au pétrole qui deviendra de plus en plus rare (dès maintenant hein, pas dans 20 ans) avant d’être complètement étranglés par la hausse des prix. Si on ne paye pas cette taxe en France, on en payera une « autre » avec la hausse des prix mais aux pays producteurs hors de France pour le coup. Autant garder cet argent ici non vu que quoiqu’il arrive on va payer?

    • « Bout » : pseudo idoine au vu de la dose concentrée de fariboles produites par les trafiquants de peurs, le « débat » sur le réchauffement anthropique d’une part, le peak oil d’autre part.

      Hmmm, le peak oil ! Voilà un bon siècle déjà que, le peak oil, c’est « maintenant hein, pas dans 20 ans » ! Et dans un siècle, ce sera toujours vrai. C’est comme ça, dans le monde merveilleux perpétuellement renouvelé du malthusianisme.

      « Quoiqu’il arrive on va payer »… des taxes. Quelle révélation ! Ainsi, nous avions correctement cerné l’obsession écolo-socialiste pour l’esclavagisme, pour s’approprier le fruit du travail d’autrui par la force. Notez la logique : pour éviter de se faire spolier par les Etats obèses producteurs, il faut se faire spolier par son propre Etat obèse.

      • @bout

        Vous vous efforcez d’essayer de démontrer aux libéraux qu’il est hasardeux de prendre parti pour l’un ou l’autre camp .
        Mais intellectuellement cela intéresse peu les libéraux de savoir qui a raison dans ce débat scientifique.
        Leurs vraies motivations sont banalement celles de gros radins qui ne veulent pas payer .
        ils polluent à titre individuel , comme tout un chacun, donc ils doivent payer leur part d’eco-taxe. indépendamment du fait que la terre se réchauffe ou se refroidisse

        • Y paie pas d’impôts l’enseignant ou alors il considère que cela ne doit servir qu’à payer les fonctionnaires.
          Savoir à quoi va être utilisée cette éco taxe lui importe peu. J’imagine que, sachant que cet argent va tomber dans le puits sans fond qui alimente le budget de son patron lui suffit. Des fois que ce dernier ne puisse pas honorer, entre autre, ses engagements de retraite !

        • Ils polluent, donc ils doivent payer. Non. Ils produisent, donc ils doivent assumer l’intégralité des coûts de cette production, y-compris les réparations des nuisances avérées. Polluer, si c’est défini comme faire bouger l’aiguille du capteur bricolé pour l’occasion par celui qui veut récupérer le montant de la taxe à son profit, c’est du racket mêlé de sectarisme religieux. Seuls des dommages avérés à des victimes identifiées doivent être soumis à réparation (et non à taxation). Par exemple, le fait d’enseigner une vision partielle et partiale de la société, hostile à l’entreprise et à l’initiative individuelle, pourrait être qualifié de pollution des jeunes esprits.

        • rémi-enseignant: « Mais intellectuellement cela intéresse peu les libéraux de savoir qui a raison dans ce débat scientifique. »

          La plupart des intervenants libéraux ici ont dix fois plus de culture scientifique que vous ou que l’ingénieur plus haut. Aucun des 72 modèles climatique n’avaient prévu l’arrêt du réchauffement ces 17 dernières années. En science ça veux dire que la théorie est fausse.

          Vous menez un combat d’arrière garde mon vieux, votre défense de l’homme de Piltdown donne la mesure de votre niveau scientifique…

      • @Cavaignac
         » au vu de la dose concentrée de fariboles produites par les trafiquants de peurs,  »
        Alors là , elle est bien bonne !
        Les Libéraux se moquent des fouteurs de trouille écologique alors qu’eux passent leurs temps à vouloir semer la panique chez les autres en affirmant des fariboles économiques glanées dans les égouts d’internet.

        • « Les Libéraux se moquent des fouteurs de trouille écologique »

          Normal, ils disent n’importe quoi. Et ne sont qu’une énième déclinaison des millénaristes avec une couche pseudo-scientifique, ont les tares habituelles des socialauds de tous bords, qu’ils soient internationalistes ou nationalistes, avec la théorie du grand mal invisible, de l’ennemi commun, de la conquête du pouvoir pour résoudre le mal, le sacrifice de l’individu, le repentir…
          Et bien sur, les critiques sont tous des salops d’égoïstes, agents de l’armée blanche, des juifs, du grand kapital, des pétroliers…

          La description macroclimatique ne sera jamais correcte, il manque trop de points d’observations, les modèles auront beau être parfaits, ce qui est inconnu reste inconnu ce qui n’est pas mesuré reste non mesuré. Additionner des pommes et des poires sans tenir compte des prunes ne donne pas un aperçu de la réalité.

          Et se baser sur des descriptions faussées pour faire des modèles prédictifs dans des modèles non déterministes est complètement fallacieux. Et puis de là faire des prédictions économiques est juste de l’astrologie.

          Et je ne parle même pas des modèles prescriptifs, qui semblent sortis du manifeste du PC… Tiens, les zécolos sont souvent d’anciens marxistes et qu’est-ce qu’ils proposent ? Les bonnes vieilles recettes marxisto-saint-simonniennes comme solution ! Avec l’État ingénieur qui règle l’économie et mieux encore, le climat comme s’il poussait des leviers, des boutons… Et après, ils veulent qu’on les prenne scientifiquement au sérieux ? Et les critiquer serait donc critiquer la « Science » ou du conspirationnisme ? Mais lol !

          De plus, j’attends toujours qu’on m’explique comment on pourra constater l’efficacité des politiques écolos… Si le climat se réchauffe malgré les politiques, les uns diront que ça aura été pire sans, les autres que c’est inefficace… S’il refroidit, on dira que c’est grace à lui ou que ça se fait en dépit de…

          J’attends aussi qu’on m’explique comment vous allez faire pour imposer le marxisme vert à 190 pays et faire en sorte que ça tienne plus d’un an…

          « alors qu’eux passent leurs temps à vouloir semer la panique chez les autres en affirmant des fariboles économiques glanées dans les égouts d’internet. »

          Non, ils défendent leur droit face à ceux qui veulent taxer ou imposer des réglementations sur des théories foireuses ayant des bases idéologiques ou pseudo-scientifiques.

          Et oui, un être humain a des droit et n’est pas le rat de laboratoire des apprentis sorciers de la dernière idéologie à la mode.

    • @ Bout : Se fier à la majorité scientifique pour avoir un avis me semble furieusement douteux (Galilée s’est certainement retourné dans sa tombe lorsque vous avez écrit ces mots). Au surplus, lorsque l’on étudie la composition de cette « majorité » (le GIEC étant, à mon sens, un organisme plus politique que scientifique), vos propos perdent encore de leur crédibilité.

      En toute hypothèse, lorsque le doute persiste, lorsque les théories, malgré l’apparence de la science, sont continuellement remises en cause par la réalité, la moindre des choses est d’admettre que l’on ne sait pas et ne surtout pas chercher à imposer ses positions à tous par la contrainte étatique.

      • @JM Vous citez Galilée mais il ya plein d’autres exemple où l

        • Au contraire, il n’y a pas d’exemple où un consensus ait une quelconque valeur de preuve scientifique. Toutes les nouvelles théories se sont basées sur la réfutation ou l’insuffisance des théories consensuelles précédentes.
          De même, il est stupide d’initier une action si on n’a pas montré (pas intuité, _montré_) que l’inaction était plus nuisible.

        • Je vous conseille la lecture de la structure des révolutions scientifiques, de Thomas Khun, qui démontre que la science fonction par rupture imposées par des scientifiques minoritaires remettant en question les vérités des bureaucraties académiques, noyautées par des dogmes, des intérêts personnels…
          Bien sur, cette majorité académique réussit à réécrire l’histoire et à s’arroger tout le mérite des recherches scientifiques…

      • @JM Vous citez Galilée mais mais l’histoire de la science montre plein d’exemple où la majorité des scientifiques avait raison contre la minorité :o). Moi je dis juste que je ne me lancerais pas dans un pari audacieux qui dirait de continuer à lâcher du carbone en espérant que la minorité ait raison. Mais c’est aussi parce que je suis encore suffisamment jeune pour avoir beaucoup à perdre sur un tel pari :). Et il n’y a pas que le GIEC qui fait des études sur le changement climatique, moi je suis pragmatique je me base sur le nombre de publications sérieuses pour chaque camp (blablabla les revus à comité de lecture ne sont pas indepblablabla). Mais je suis pour le débat scientifique, quand des scientifiques font des travaux de qualité qui vont à contrecourant il faut les laisser s’exprimer (M. Allègre, ce message ne s’adresse pas à vous)

        @Cavaignac : La baisse de production des Big Oil est un fait, les chiffres sont là, malgré des investissements tjrs plus importants dans la recherche de gisements. Je vous dis juste que si vous regardez les prévisions de Jean Laherrere il y a 10 ans, elles n’étaient pas mauvaises et hélas ce n’était pas le plus optimiste (hélas parce qu’étant jeune, vivre un moment dans une société sans croissance qui base tout son fonctionnement sur la croissance ne m’enchante pas). Après vous pouvez continuer à penser qu’il faut continuer à avancer sans essayer de prévoir un minimum ce qui va se passer demain et que notre société va miraculeusement s’adapter d’un coup de baguette magique en cas de changements. Je vous conseille juste de vous méfier et de ne pas acheter d’actions Airbus ou Air France :o)

        • A partir du moment où les libéraux ne veulent rien payer à la collectivité pour tout ce qui concerne le prévisionnel

          En toute logique dogmatique

          – ils refusent le principe de précaution.
          – il se contentent d’attendre d’avoir de vrais catastrophes pour éventuellement ouvrir le porte-monnaie
          -ils combattent farouchement tout scientifique qui émet une alarme après des recherches sérieuses.
          – ils pensent que tous les problèmes vont se régler d’eux-mêmes sans avoir rien à payer.(comment ? grace au ciel.! faut-il rappeler que parmi eux se trouvent, comme par hasard, bon nombre de cathos traditionnalistes).

          • « – ils refusent le principe de précaution. »

            J’imagine que vous auriez été contre le train à son époque et que vous étiez contre le LHC qui provoque des trous noirs ?

            J’imagine que vous n’avez jamais été dans l’eau avant de savoir nager ?

            « il se contentent d’attendre d’avoir de vrais catastrophes pour éventuellement ouvrir le porte-monnaie »

            Non, ouvrir mon porte monnaie, je le fais moi-même. Cependant, je refuse de le faire par la contrainte d’idéologues.

            « -ils combattent farouchement tout scientifique qui émet une alarme après des recherches sérieuses. »

            Vu que la science a toujours été détournée facilement par des idéologues afin d’avoir une caution scientifique, il est normal d’être dubitatif.
            Si des scientifiques payés par Exxon disaient que le pétrole était infini, ne mettriez-vous pas sa parole en doute ?

            « – ils pensent que tous les problèmes vont se régler d’eux-mêmes sans avoir rien à payer.(comment ? »

            Non. La logique est que ce n’est pas parce qu’il y a un problème qu’il y a forcément une solution, que c’est en mettant des taxes et des réglementations que les problèmes se résolvent.
            Que ce n’est pas avec des incantations de politiciens payés avec l’argent du contribuable que cela changera quelque chose.

            Des problèmes, il y en a des tas pour lesquels l’état n’a jamais agit et n’agira pas. C’est juste qu’on s’y est adapté et qu’on ne les remarque même plus.
            La mort est un problème, le vice est un problème, la maladie est un problème, les accidents, la bétise…
            Est-ce si difficile pour vous de considérer que la perfection n’existe pas ?

          • Si la masse dit: bruler cette femme c’est une sorcière…vous le faites, n’est ce pas ?
            Perso ce sujet ça me chauffe…..car ça troll, il y a plein de petits moralisateurs qui connaissent la bonne réponse et jugent les autres un petit coup au passage. Un crachat de fiel vert. Venant de moi: Golum, c’est pas un compliment….

          • « En toute logique dogmatique »

            Quand le dogme est de se faire une opinion par soi-même, peut-on encore l’appeler un dogme ?

            « – ils refusent le principe de précaution. »

            J’attends de savoir quel problème le principe de précaution est censé régler pour en évaluer la valeur. Ca fait 40 ans que j’attends.

            « – il se contentent d’attendre d’avoir de vraies catastrophes pour éventuellement ouvrir le porte-monnaie »

            C’est évident, tant que les catastrophes sont virtuelles, il est impossible d’en estimer le risque et stupide de dépenser son argent tant qu’on ne connait pas le risque. Une fois qu’on connait le risque, le libéral est le premier à faire la comparaison perte encourue/coût de la protection et à faire le choix qui s’impose.

            « -ils combattent farouchement tout scientifique qui émet une alarme après des recherches sérieuses. »

            Je combats farouchement tout « scientifique » dont les recherches ne sont pas sérieuses, et je soutiens tout aussi farouchement ceux dont les recherches sont sérieuses. Savoir si la personne en question émet des alarmes est anecdotique.

            – ils pensent que tous les problèmes vont se régler d’eux-mêmes sans avoir rien à payer.

            Certainement pas. Je pense qu’il est impératif de m’assurer que mon argent sera utilisé à régler de véritables problèmes, et même que nombre de problèmes peuvent se régler en aidant d’autres que ceux qui réclament de l’argent sans avoir montré la moindre capacité à les comprendre et les traiter.

            « (comment ? grace au ciel.! faut-il rappeler que parmi eux se trouvent, comme par hasard, bon nombre de cathos traditionnalistes). »

            Ah ! Je ne me suis jamais enquis des opinions religieuses de mes interlocuteurs dans l’analyse de risque. En général, ça ne transparaît qu’au moment du repas de conférence, j’en connais bouddhistes, taoïstes, shintoïstes, juifs orthodoxes, témoins de Jéhovah, rosicruciens, mormons, athées, musulmans, etc. Ca n’a pas plus d’importance que la race ou le sexe, mais je reconnais que j’ai un préjugé contre ceux qui eux y attachent de l’importance.

        • En attendant, je parie que vous avez une voiture et que vous continuez à lui faire le plein.

          Bref, du vent.

          • je compte acheter un véhicule électrique dans les prochaines années.

          • rémi-enseignant : « je compte acheter un véhicule électrique dans les prochaines années. »
            —————————-
            Et c’est le même type qui vient faire la morale aux libéraux sur le « principe de précaution ».
            Décidément, les éco-tartuffes est d’une hypocrisie à vomir.

          • En passant à la voiture électrique alimentée grâce aux centrales, il pourra choisir soit de polluer immédiatement via une pile de charbon ou plus tard, à condition de ne pas retraiter le combustible, via une pile atomique.
            encore un qui réfléchit chaque jour un peu plus loin que le bout de son nez.

          • rémi-enseignant « je compte acheter un véhicule électrique dans les prochaines années. »

            A encadrer celle-là LOL !!!

            -Moi aussi j’arrêterais de polluer complètement d’ici une trentaines d’années.
            -La voiture électrique ne résout RIEN. Le bilan dépend de la production primaire hors les écolos veulent aussi sortir du nucléaire. Avec une production conventionnelle l’électrique ne fait pas mieux que les meilleurs essences actuelles.
            -Votre voiture est une part infime de toute les pollutions que vous engendrez.

            Tartuffe ignorant…

        • Bout : « le GIEC qui fait des études sur le changement climatique »
          —————————————
          Le GIEC ne fait AUCUNE étude sur le changement climatique. Le GIEC est un organe politique mis en place par l’ONU pour démontrer que le changement est d’origine humaine. La preuve, son patron, un menteur pathologique, n’est pas scientifique, il est économiste.
          Et puis l’argument du « je ne maîtrise pas la science, donc je ne peux pas avoir d’avis », c’est du grand n’importe quoi ! D’abord, le débat sur le changement climatique, sur les politiques vertes, le seuil de température à ne pas dépasser, les quotas carbones, les taxes écologiques, la nécessité de lutter contre un réchauffement éventuel… n’a rien à voir avec la science, c’est purement politique et/ou économique. Ensuite, en ce qui concerne le volet scientifique, nul besoin d’être climatologue, ni même scientifique pour questionner la manière de compiler et l’incertitude (béante) des températures, de constater un plateau dans la température ou l’avance de la glace en Antarctique ainsi que les mensonges par omissions sur ce sujet, de remarquer le décalage entre les faits réels et les fausses certitudes vendues par les réchauffistes… C’est du niveau d’un élève de lycée doté d’un minimum de sens critique.

          ——————————–
          « La baisse de production des Big Oil est un fait, les chiffres sont là, malgré des investissements tjrs plus importants dans la recherche de gisements. Je vous dis juste que si vous regardez les prévisions de Jean Laherrere il y a 10 ans, elles n’étaient pas mauvaises »
          ——————————–
          La baisse de production des big oils, tout comme la hausse de leur CA & profits (que tu balaies sous le tapis, bien évidemment) est un factoïde, on s’en tape. Quand tu fais le plein, tu t’en fiches que le carburant viennent des big oils ou de gazprom, du pétrole de schiste ou du golfe persique. Ce qui importe, c’est la production totale, et elle augmente. Mais bien évidemment, tu préfères ne raconter que la moitié de l’histoire qui t’arrange et tu « oublies » le reste. C’est au mieux de l’aveuglement, au pire de la malhonnêteté, typique des croyants malthusiens. Et les prévisions de Laherrère, « pas mauvaise » ?? Laherrère avait prédit dans Scientific Americain 1998 le peak-oil pour… 2004, il est même pas fichu de prédire quoi que ce soit à moins de 10 ans et il serait capable de prédire pour 2020 voire 2050 ? Si tu es capable de croire à ça, pas étonnant qu’on arrive à te faire croire à n’importe quoi.

          Bref, tu racontes quasiment une ânerie par phrase, alors qu’il suffit juste d’une recherche élémentaire pour vérifier qu’aucun de tes pseudo-experts ne tien la route. On ne t’a jamais appris à faire un état de l’art avant d’avoir un avis ? Et ça se prétend « ingénieur », mon Dieu !

          • C est meme écrit dans les statuts du GIEC : son objectif est de montrer la corrélation entre réchauffement climatique et l augmentation du CO2 d origine humaine !
            Évidemment, si on a la réponse avant… Facile !

          • @miniTAX

            Déjà je vous trouve bien plus agressif que nécessaire (comme pas mal de monde ici visiblement donc c’est mon dernier message)
            « La baisse de production des big oils, tout comme la hausse de leur CA & profits (que tu balaies sous le tapis, bien évidemment) est un factoïde, on s’en tape. »

            Non, car quand on cherche toujours plus et qu’on trouve toujours moins, c’est un sacré signe que cela devient plus difficile aujourd’hui qu’avant alors que l’on a besoin de toujours plus de pétrole (coucou la croissance). Surtout que c’est les big oils qui ont les meilleurs outils et scientifiques qui bossent dessus (car justement elles gagnent beaucoup d’argent comme vous le rappelez)

            « Ce qui importe, c’est la production totale, et elle augmente. »

            Déjà pas dans le pétrole conventionnel, nous avons vraisemblablement atteint le pic en 2006 et je vous fait remarquer que Jean Laherrere avait prévu cette date car il parlait bien du pétrole conventionnel. Moi je trouve qu’il a vu assez juste en prenant en compte les marges d’erreur, sachant la difficulté d’avoir les chiffres réels des différents acteurs, non? Je vous renvoie donc à votre « il suffit juste d’une recherche élémentaire pour vérifier qublablabla » (toi même :o) )
            Dommage pour le pétrole conventionnel dont la production diminue, c’est le moins cher et le plus facile à utiliser. Et sa production va baisser assez rapidement. Avec tout ce qu’on ne pourra plus produire très bientôt avec le pétrole conventionnel, il va falloir trouver l’équivalent de 4 Arabies Saoudites ou 10 mers du Nord en 10 ans ou. Et c’est des gens pourtant bougrement optimistes qui le disent.

            « Quand tu fais le plein, tu t’en fiches que le carburant viennent des big oils ou de gazprom, du pétrole de schiste ou du golfe persique »

            Oui et alors? je ne saisis pas le message de cette remarque? En tout cas pour le pétrole et gaz de schiste aux USA, on observe que les sweet spots ne sont finalement pas aussi étendus que ce que les opérateurs le pensaient (ou déclaraient plutôt 🙂 ) et la prod des puits décline très rapidement. Même l’administration US n’est plus aussi optimiste qu’avant et table pour un pic en 2020.
            L’incertitude majeur reste le pétrole de schiste en Chine, on verra ce que ça donne. Mais je rappelle que la baisse de la prod de pétrole conventionnel est tellement importante qu’on aura bien du mal à combler avec uniquement du pétrole de schiste, des sables bitumineux ou du pétrole en Antarctique qu’on n’arrive pas à aller chercher.

        • @ Bout : Bien heureusement la majorité a souvent raison…la question n’est pas là. Ce n’est pas l’avis de la majorité ou de la minorité qui doit fonder votre opinion, mais votre seule intelligence. C’est votre intelligence qui doit ensuite vous permettre de rallier ou non la majorité. S’en remettre à l’avis de la majorité plutôt qu’à sa propre intelligence est hautement critiquable (de la même manière que s’en remettre à l’avis du seul scientifique relève de la folie et du scientisme). L’avis de la majorité, lorsqu’il ne correspond pas à ce que votre intelligence vous incite à penser, doit tout au plus vous motiver à faire preuve d’encore plus de rigueur, à confronter les thèses pour éviter l’erreur.

          N’oubliez jamais : « l’erreur est humaine, la répétée est diabolique ». En ce sens, le GIEC, Al Gore, le club de Rome, etc. sont diaboliques.

          Par ailleurs, je trouve que vous sous-estimez grandement l’intelligence humaine (et le moteur de progrès incroyable qu’est l’intérêt personnel) en pensant que seule la planification centralisée est à même de nous « sauver » d’un hypothétique peak oil. Les opportunités de profits que pourraient créer une telle perspective seraient suffisantes à motiver de nombreuses personnes à trouver une alternative. Si cette prédiction malthusienne devait se réaliser, je peux vous assurer que le salut ne viendra pas de nos dirigeants « philanthropes » mais bien d’individus qui poursuivront leur intérêt personnel.

          Enfin, comment peut-on imaginer un seul instant que l’intelligence combinée d’une poignée de dirigeant est plus élevée que l’intelligence des milliards d’individus qui arpentent et arpenteront cette terres ? Comment peut-on croire que cette poignée de dirigeant arrivera à anticiper les réactions, les désirs de ces milliards d’individus dotés d’une intelligence distincte ?

          Laissez faire les individus (vous y compris), vous ne serez pas déçus !

        • Hélas concernant le climat, ce n est pas facile de se fier à la majorité.
          En effet, si tu es chercheur et que tu veux que ton projet soit financé, tu dois rajouter des fadaises eco-sensibles.
          Cela biaise considérablement les recherches.

          @remi-enseignant : les libéraux, contrairement à vous, sont pour la responsabilité.
          Si ou voulez comprendre un peu mieux la nature, une des premières avancées serait de comprendre que l immense majorité des processus qui y règnent sont des lois de puissance et non des lois normales coMme tout dirigiste le prétend. Et là, c est le drame. Vouloir contrôler de tels processus amene au résultat inverse de celui escompté.

    • « Les pétroles de schiste vont juste donner quelques années de répit aux USA (dès 2020 ils auront très probablement atteint leur max avant une descente rapide de la prod car les puits se vident très vites. Gare à la bulle). »

      Comment pouvez-vous prétendre cela alors qu’on début tout juste et qu’une infime partie de prospection de la surface seulement a été réalisée ? Ces quand même fou cette fausse évidence que toutes nos ressources sont déjà connues. Pour lutter contre le réchauffement il faut de toute manière de la richesse et donc du progrès économique. Surement pas des taxes alors que nous sommes surendettés !

    • « L’avantage de cette taxe carbone est donc de nous forcer à essayer de décorréler notre économie au pétrole qui deviendra de plus en plus rare (dès maintenant hein, pas dans 20 ans) avant d’être complètement étranglés par la hausse des prix. Si on ne paye pas cette taxe en France, on en payera une « autre » avec la hausse des prix mais aux pays producteurs hors de France pour le coup. Autant garder cet argent ici non vu que quoiqu’il arrive on va payer? »

      Archétype de l’argument débile…

      Admettons une seconde que le pétrole devienne rare et donc cher. Est-ce que le consommateur moyen achètera un litre d’essence à 10 euros le litre avec le même salaire moyen qu’aujourd’hui ? Un smicard mettra-t-il la moitié de son salaire pour un plein ? A-t-il besoin de s’entraîner à le payer plus cher dès à présent ? l’Etat va-t-il mettre cet argent sur un compte pour le redistribuer au consommateur plus tard ?

      Ingénieur ? Sérieusement ?

  • Bon, je suis pas ingénieur, ni ingénieux, mais j’ouvre ma grande gueule quand même. Le « Hollande » est très drole dans ce petit gif. On voit toute l’énergie qu’il essaye de faire ressortir pour montrer qu’il est actif/proactif. Mais si on regarde la fin du gif: il a les mains moites et les sèches sur ses poches: berk, dégueu !
    Pour le Co2, à priori il y en a plus (H16) le reconnait. Cela n’est à priori pas un problème pour le réchauffement de la planète: les plantes, les arbres, les algues adorent cela. Par contre là ou je suis dubitatif c’est le manque d’eau dans certaines régions. La désertifcation à certains endroits, il y a une modification à ce niveau….ce que j’en dis ! Après moi le déluge !
    Les taxes sont une conneries de plus, ou on peut penser: ouf, ça va enfin finir d’achever le pays, enfin.
    Le manque de pétrole je n’y crois pas trop, le manque de gens intelligents et compétents par contre j’y crois: surtout en France. Des Français qui connaissent tout sur tout et qui donnent des leçons: j’y crois. Le reste….la France est foutu.

  • @bout:
    deux questions:
    1 – pourquoi le terre c’est réchauffé il y a 10.000 ans (fin de la dernière glaciation).
    2 – la même question pour la petite glaciation (~1600).
    Une fois que vous savez précisement pourquoi , vous pouvez affirmer que vous savez (et votre GIEC de surcroît) .
    j’attends les réponses !!!!!!!

  • bout est un troll sans aucune formation scientifique,considérant qu’une vérité scientifique se vote à la majorité et argumentant sur des doc de journalistes.Quant à l’enseignant,à l’heure de la rentrée de mes enfants je poursuis mon travail de sape:jamais d’assurance scolaire(le décret n’est jamais paru)jamais de carnet de santé(lire page de garde:seul un médecin y a accès)je certifie que mes enfants sont vaccinés sur papier libre,refus de toute communication médicale lors de la visite réalisée par une infirmière(voir loi dur le secret médical),si on m’appelle pour récupérer un enfant,je ne signe aucune décharge de responsabilité

    • « bout est un troll sans aucune formation scientifique »
      ———————
      Attention, c’est quand même un « ingénieur ». Formé par l’EdNat !

    • Deux proportions à connaître: énergie utilisée par tous les hommes (pétrole, gaz, nucléaire, ….) = 1/10000ème de l’énergie solaire reçue par la planète terre.
      Rôle des océans? 1 homme (75 kgs en moyenne 90 % d’eau) pour 5 km3 d’eau de mer (7 milliards d’hommes pour 35 milliards de km3 d’eau océanique). et 5 km3 d’eau ça fait beaucoup!!

    • Disons que j’ai l’honnêteté intellectuel de reconnaitre que je ne peux pas maîtriser tous les sujets scientifiques, surtout un aussi complexe.

  • Seriez vous en train de sous entendre que le gulf stream sera bientôt remplaçé par les balais des navires marchants, toujours plus gros et polluant que de l’eau de mer.

    Après tout les avions ne font que de polluer l’air alors, il reste un peu de terre pour nos machines agricoles et voila le progrès. On va couper la merde de vache en petit cube !

    • @Lafayette
      Le Gulf Stream va très bien, il s’arrêtera quand la Terre s’arrêtera de tourner.
      Seriez-vous en train de sous-entendre qu’on aurait le pouvoir de changer son débit (qu’on n’est même pas fichu de mesurer correctement), en particulier par une taxe ?

  • @Bout
    Ça va, vous avez été bien formaté par les campagnes d’Al’gore et de ses activistes. Ils ont fait du bon boulot dis donc.

    (PS: Renseignez-vous quand même, et vous constaterez qu’il y a Très Très loin d’y avoir un consensus scientifique sur la question…)

  • et au dernier sommet de la terre, c’était déjà la dernière chance pour agir…si ça ne signe pas un marchand de peur…

    A quand un article sur le bilan des actions écolo , sauveuses de planètes, que sont devenus les fours solaires de Arthur volant…??
    les forets achetées par le vatican et des bilans svp… mettre les gens devant leur bétise…

    Aujourd’hui deux zozos se baladent en ballon électrique, ce qui est ça va de soi « écologique »…

  • Impossible de résister :

    « Deux Français, Sébastien Roubinet et Vincent Berthet, bloqués dans l’Arctique après s’être lancés début juillet dans la traversée du Pôle Nord à bord d’un catamaran char à voile, ont annoncé mercredi avoir été sauvés par un brise-glace russe.
    Partis d’Alaska à bord d’un petit engin baptisé Babouchka (grand-mère, en russe) — mi catamaran, mi char à voile, capable d’avancer sur mer et sur glace — ils cherchaient à relever deux défis : rejoindre le Spitzberg dans l’archipel du Svalbard, en Norvège, en passant par le Pôle Nord géographique, et observer la fonte des glaces dans l’Arctique pour tenter d’expliquer l’accélération de ce processus ces dernières années. »

    Mouahahhahaha !!

    http://www.directmatin.fr/france/2013-09-04/2-francais-secourus-dans-larctique-544104

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

La nécessité de décarboner à terme notre économie, qui dépend encore à 58 % des énergies fossiles pour sa consommation d’énergie, est incontestable, pour participer à la lutte contre le réchauffement climatique, et pour des raisons géopolitiques et de souveraineté liées à notre dépendance aux importations de pétrole et de gaz, la consommation de charbon étant devenue marginale en France.

Cependant, la voie à emprunter doit être pragmatique et ne doit pas mettre en danger la politique de réindustrialisation de la France, qui suppose une... Poursuivre la lecture

L’INSEE vient de publier un bilan démographique pour l’année 2023 qui met en évidence un affaissement de la natalité française. Selon des sources concordantes, celle-ci n’est plus guère soutenue que par la fécondité des femmes immigrées. Ce qui laisse entrevoir à terme une diminution de l’effectif global de la population, et une nouvelle configuration de sa composition ethnique et culturelle.

Faut-il s’en inquiéter ? Pour la plupart de nos concitoyens, cette question n’a pas de conséquence directe et immédiate, encore moins pour les re... Poursuivre la lecture

2
Sauvegarder cet article

Chaque année, le public se soucie davantage de l'environnement. Nous sommes de plus en plus conscients de l'impact que nous avons sur la planète, du changement climatique, de la pollution et de la manière dont nous dégradons la nature. Ce qui semble être une tendance plutôt positive.

Malheureusement, certaines marques semblent plus enclines à dissimuler les pratiques néfastes pour l'environnement dans leurs chaînes d'approvisionnement qu’à consacrer le temps et l'argent nécessaires pour y remédier.

 

De nombreux exempl... Poursuivre la lecture
Voir plus d'articles